Règlement biocides : Focus sur les dispositions relatives aux articles traités - FAQ
|
|
- Brian Lessard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Règlement biocides : Focus sur les dispositions relatives aux articles traités - FAQ Mardi de la DGPR La réglementation des produits biocides Paris, France 4 Novembre 2014 M. Ludovic Chatelin Commission européenne 1
2 I Rappel : Dispositions sur les articles traités II Guide / FAQ III Focus : Produits biocides vs articles traités IV Focus : Etiquetage V Focus : Articles traités s complexes 2
3 I Rappel : dispositions sur les articles traités 3
4 Articles traités (Art. 58) Objectif de la disposition : assurer la protection de la santé et de l'environnement, assurer une meilleure concurrence entre les articles traités dans l'union et ceux traités en dehors de l'union, assurer une meilleure information des consommateurs/clients Définition des "articles traités" (Art. 3(1)(l)) : Substance, mélange ou article (au sens de REACH) Traité avec ou incorporant intentionnellement des biocides Attention : Un article traité ayant une fonction principalement biocide est considéré comme un produit biocide Mise sur le marché possible uniquement si toutes les substances actives contenues dans le produit biocides sont approuvées pour le type de produit (TP) et l'utilisation concernée, et conformément aux conditions approbation de la (les) substances active(s) le cas échéant Etiquetage obligatoire des articles traités dans certains cas prévus à l'article 58(3) et (4). 4
5 Application Dispositions applicables dès le 1er septembre 2013, en particulier l'étiquetage Dispositions applicables aux articles traités dont la mise sur le marché UE s'effectue à compter du 1er septembre 2013 (ie. 1ère fourniture à titre onéreux ou gratuit, cf. Art 3(1)(i)) Ne s'applique pas aux articles traités déjà présents sur le marché à cette date (ex: tous les articles traités présent dans la chaine de distribution avant le 1 er septembre 2013) Disposition transitoire néanmoins relative à l'obligation de présence d'une substance active approuvée (Art. 94) Obligation à compter du 1 er septembre 2016 de traitement avec des substances approuvées ou en cours d'examen Ex: si la substance active n'est actuellement pas soutenue, un dossier devra être déposé d'ici le 1 er septembre 2016, sinon les articles traités ne pourront plus être mis sur le marché à compter du 1er mars 2017 Concerne en particulier les articles traités importés (ex: importation de cuir traité, de bois traités, d'une table en bois traité, de textiles traités etc ) 5
6 II Guide / FAQ 6
7 Guide Dispositions suscites de nombreuses discussions Développement d'un document guide : 1 ère version de Septembre 2013, document "CA-Sept13-Doc 5.1.e -Final- treated articles.doc" Actuellement en révision, projet de Novembre 2014 en discussion : CA-Nov14-Doc Treated articles guidance note.doc Mise à jour principalement sur les articles traités complexes 7
8 8
9 III Focus : Articles traités s vs Produits biocides 9
10 Produits biocides vs Articles traités Fonction biocide vs Propriété biocide Fonction biocide : détruire, repousser ou rendre inoffensifs les organismes nuisibles, à en prévenir l action ou à les combattre de toute autre manière par une action autre qu une simple action physique ou mécanique (cf. définition d'un produit biocide) Propriété biocide : propriété attribuée à "l'objet" (substance, mélange ou article) due au traitement ou l'incorporation du biocide Arbre de décision inclus dans le projet de document guide pour décider si, au final, l' "objet" en question est un "produit biocide" ou un simple "article traité" différence selon que l'objet soit une substance/mélange, ou un article (au sens de REACH) 10
11 Produits biocides vs Articles traités Pour une substance/mélange: dès lors que la substance/mélange traité(e) à une fonction biocide due au traitement/incorporation du biocide, c'est un produit biocide (ex: une produit de protection du bois qui incorpore une substance active PT08). Sinon, ce n'est pas un produit biocide mais un simple article traité (ex : une simple peinture qui incorpore un conservateur PT06 pour s'assurer une conservation en évitant la dégradation due à des bactéries) Pour un article : un article traité qui a une fonction principalement biocide est considéré comme un produit biocide (ex: une moustiquaire imprégnée, traitée avec un insecticide/répulsif contre les moustiques). Les autres articles sont des effectivement de simples articles traités (ex : un oreiller traité contre les acariens). Fonction principalement biocide : sujet à interprétation, non défini dans le règlement biocide Interprétation proposée dans le guide : fonction de 1 er rang ou d'importance égale comparée aux autres fonctions de l'article traité Approche au cas par cas, basée sur la combinaison de divers critères (ie. la concentration du biocide dans l'article, l'importante/prééminence de l'allégation lors de la mise sur le marché, l'importance des allégations portant sur la santé publique, la présentation etc.) 11
12 Produits biocides vs Articles traités 12
13 IV Focus : Etiquetage 13
14 Etiquetage de certains articles traités Requis si 1 er cas : une allégation est faite sur les propriétés biocides de l'article (ex: bois protégé contre l'attaque des insectes) 2 ème cas : les conditions d'approbation de la substance l'exige Information doit être fournie dans la(les) langue(s) nationale(s) du pays où l'article est mis sur le marché 1. Mention que l'article incorpore des biocides 2. La propriété conférée (ex: bois protégé contre l'attaque des insectes, protection valable durant X ans etc.) 3. Le nom de la substance active et de tout nanomatériau (ex: traité avec [la substance active Y]; incorpore le nanomatériaux Z etc.) 4. Instructions d'utilisation pertinentes pour protéger l'homme et l'environnement, lorsque nécessaire (ex: pour la protection de l'environnement, le bois traité ne doit pas être utilisé pour réaliser des constructions en plein air situées à proximité de l'eau, sur l'eau ou en contact avec de l'eau douce) En dehors de ces 2 cas : Toute instruction d'utilisation pertinente lié au traitement pour protéger l'homme et l'environnement, lorsque nécessaire (ex: cf. point 4 ci-dessous) Sur demande d'un consommateur, obligation des fournisseurs des articles traités à fournir, sous 45 jours et gratuitement, des informations sur le traitement biocide (ex: demande d'un consommateur sur un oreiller sans étiquetage oreiller traité contre les acariens avec [la substance X] etc.) 14
15 Etiquetage de certains articles traités Positionnement de l'étiquetage : le BPR laisse de la flexibilité en la matière. De préférence, information apposée sur l'article traité et non séparée de l'article traité (cf. article 58(6)) Responsabilité de l'étiquetage : personne responsable de la mise sur le marché (ie. 1 ère cession) Applicable à tout article traité, même ce que les opérateurs économiques peuvent habituellement considéré comme des "biens intermédiaires", des "master batches", des "matières premières" (ex: bobines de fils textile, planches de bois etc ) 15
16 Allégations / Revendications Spécification de l'allégation / revendication essentielle : quel est le problème que vous souhaitez résoudre par le traitement biocide? Quel est le bénéfice du traitement comparé à l'absence de traitement? Si manque de clarté et de précision, cela rend plus difficile le choix des substances actives / types de produits pertinents, et vos propres évaluations d'exposition / de risques Le besoin du traitement doit être justifiable / justifié Est-ce que l'organisme/cible visée est présent ou se développe dans les conditions normales d'utilisation de l'article traité? Si oui, est-ce que cela pose réellement un problème, est-ce un problème significatif? Ex: Textile traité contre les bactéries, T-shirt de sport contenant du nano argent etc. Utilité / Efficacité? (persistance du traitement, passage rapide dans les eaux de lavages?) Purement marketing ou réel besoin? Conséquence sanitaires ou environnementales : exposition homme? émission dans l'environnement? développement résistance? Objectif : bons sens, utilisation raisonnée e et justifiée 16
17 V Focus : Articles traités "complexes" 17
18 Définition / Appellation commune Pas de définition dans le BPR, langage commun "Article traité complexe" = bien composé de différents éléments ayant chacun subi un traitement ou l'incorporation d'un biocide à un moment donné Tout bien répondant à la définition d'un "article traité" est couvert par le BPR, car aucune exclusion particulière dans le BPR: Dispositions applicable à tout article traité, même à ce que les opérateurs économiques peuvent habituellement considérer comme des "biens intermédiaires", des "master batches", des "matières premières" (ex: bobines de fils textile, planches de bois etc ) Dispositions applicables pas seulement à ce que l'on pourrait voir comme une "article fini" 18
19 Définition / Appellation commune En d'autres termes : si un élément présent dans le "bien" mis sur le marché a subi un traitement, le "bien" est un "article traité" au sens du BPR Ex : Fabrication d'une table, une chaise les planches/morceaux de bois ont été traités en usine dans le but d'assurer une protection longue contre les insectes/champignons (ie. bois = article traité) ces éléments sont mis sur le marché ils servent à fabriquer des tables, des chaise, des fauteuils etc. les tables, chaises, fauteuils etc ne subissent aucun traitement biocide par la suite => Les tables, chaises, fauteuils etc sont des "articles traités" au titre du BPR, car le bois a été traité 19
20 Difficultés Difficulté : limite à poser Ex : Fabrication d'une table Est-ce que le conservateur en pot de la peinture servant à peindre la table doit être pris en compte? Le conservateur de la colle servant à fixer certains éléments de la table? Etc. Difficulté de diffusion de l'information tout au long de la chaîne de fabrication, avec différents acteurs Responsabilité de la personne responsable de la mise sur le marché du bien concerné 20
21 Propositions sur les limites à poser Importance : Pour définir quelles substances actives contrôler et prendre en compte Pour définir l'étiquetage nécessaire en particulier en l'absence de revendication (ex: les conditions d'approbation de la substance active ont prévu un étiquetage spécifique obligatoire) Discussions avec les Etats membres et parties intéressées, voie de compris Pour un bien donné, si le traitement a toujours un bénéfice b attendu pour ce bien, dans ce cas le bien est un article traité au titre de ce traitement, et les substances actives impliquées doivent être prises en compte Pour un bien donné, si le traitement n'a plus un bénéfice b attendu pour ce bien, dans ce cas le bien n'est pas un article traité au titre de ce traitement, et les substances actives impliquées ne doivent pas être prise en compte Exemple : Table en bois, peinte, avec des éléments collés Bois traités contre l'attaque des insectes/champignons : bénéfice encore attendu pour la table Peinture contenant un conservateur pour sa conservation en pot : bénéfice non attendu pour la table Colle contenant un conservateur pour sa conservation en pot/tube : bénéfice non attendu pour la table La table est un article traité vis-à-vis du traitement effectué pour protéger le bois 21
22 Conclusion 22
23 Articles traités : sujet complexe Nouvelles dispositions tant pour les opérateurs économiques que les autorités A ce stade, mettre en œuvre les disposition en suivant le guide et acquérir de l'expérience Mise en œuvre pragmatique attendue 23
24 Merci pour de votre attention Pour plus d'information: Le site Internet et l'extranet de la Commission européenne: enne: Le site Internet de l'echa & Helpdesk sur les biocides : 24
Les articles traités : les nouvelles exigences du règlement n 528/2012
Journée réglementation biocides FCBA 08/04/2014 Les articles traités : les nouvelles exigences du règlement n 528/2012 Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention des nuisances
Plus en détailEnterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.
FICHE PRATIQUE LES PRODUITS BIOCIDES Enterprise Europe Network, CCI de Lyon Contact : Catherine Jamon-Servel Tél : 04 72 40 57 46 Mail : jamon@lyon.cci.fr www.lyon.cci.fr/een La Chambre de commerce et
Plus en détailLa réglementation Mardi de la DGPR. sur les produits biocides 05/04/2011
La réglementation r Mardi de la DGPR 05/04/2011 sur les produits biocides Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention des nuisances et de la qualité de l environnement Département
Plus en détailLe Règlement «Biocides» UE 528/2012
Le Règlement «Biocides» UE 528/2012 23 juin 2015 Romy COLLET Anses Unité coordination biocides, DPR Règlement (UE) 528/2012 du 22 mai 2012 concernant la mise à disposition et l utilisation des produits
Plus en détailLes Autorisations de Mise sur le Marché (AMM) délivrées au titre du Règlement (UE) n 528/2012 (dit BPR)
Les mardis de la DGPR 17/09/2013 Les Autorisations de Mise sur le Marché (AMM) délivrées au titre du Règlement (UE) n 528/2012 (dit BPR) Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention
Plus en détailbiocides : définitions d et frontières res réglementaires
Les produits Conférence «Biocides» MEDDTL - ANSES 10/04/2012 biocides : définitions d et frontières res réglementaires Direction générale de la prévention des risques Service de la prévention des nuisances
Plus en détailREACH : Actualités et Perspectives
: Actualités et Perspectives Sylvie Drugeon DGPR,SPNQE 5 avril 2011 Ministère de l'écologie, du Développement durable, des Transports et du Logement www.developpement-durable.gouv.fr = Règlement n 1907/2006
Plus en détailTableau d'information sur les diagnostics immobiliers publié le 7 août 2012 19:59 par Christophe RONCHETTI [ mis à jour : 21 sept.
Tableau d'information sur les diagnostics immobiliers publié le 7 août 2012 19:59 par Christophe RONCHETTI [ mis à jour : 21 sept. 2012 14:45 ] 1 - Les diagnostics immobiliers obligatoires pour une vente
Plus en détailFICHE PRATIQUE. CLP : Classification, étiquetage et emballage des produits chimiques. Contexte : classifier et identifier les substances chimiques
FICHE PRATIQUE CLP : Classification, étiquetage et emballage des produits chimiques Contexte : classifier et identifier les substances chimiques «En vue de faciliter les échanges internationaux tout en
Plus en détailCode de la publicité écologique
Code de la publicité écologique Code de la publicité écologique: Préambule Une société saine construit un avenir durable. De plus en plus, le souci de l'homme pour son environnement en constitue un élément
Plus en détailJournal officiel des Communautés européennes. (Actes dont la publication est une condition de leur applicabilité)
17.4.2001 L 106/1 I (Actes dont la publication est une condition de leur applicabilité) DIRECTIVE 2001/18/CE DU PARLEMENT EUROPÉEN ET DU CONSEIL du 12 mars 2001 relative à la dissémination volontaire d'organismes
Plus en détailLA GARANTIE LÉGALE DU VENDEUR
LA GARANTIE LÉGALE DU VENDEUR Tous les produits achetés auprès d'apple, y compris les produits qui ne sont pas de la marque Apple, bénéficient de la garantie légale de conformité de 2 ans du vendeur, prévue
Plus en détailProposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché
IP/03/1022 Bruxelles, le 16 juillet 2003 Proposition de la Commission sur les allégations nutritionnelles et de santé en vue de mieux informer les consommateurs et d'harmoniser le marché Aujourd'hui la
Plus en détailHelpdesk Biocides belge État des lieux. Kristof Claes Le 18 décembre 2013
Helpdesk Biocides belge État des lieux Kristof Claes Le 18 décembre 2013 Présentation FPS SPSCAE DG5 Environnement INSP FAPE Helpdesk Civils Gestion des risques Biocides Politique des produits Helpdesk
Plus en détailArrêté royal du 12 août 1993 concernant l'utilisation des équipements de travail (M.B. 28.9.1993)
Arrêté royal du 12 août 1993 concernant l'utilisation des équipements de travail (M.B. 28.9.1993) Modifié par: (1) arrêté royal du 17 juin 1997 concernant la signalisation de sécurité et de santé au travail
Plus en détail00 02 23 DENIS THIBAULT 00 02 24. Demandeur. Entreprise. réclamée. Elle lui confirme que La Capitale, Compagnie d assurance générale (ci-après
00 02 23 DENIS THIBAULT 00 02 24 Demandeur c. LA CAPITALE, COMPAGNIE D'ASSURANCE GENERALE Entreprise OBJET DU LITIGE L'entreprise a transmis au demandeur une copie intégrale du dossier qu'il a réclamée.
Plus en détailUnion Suisse des Fiduciaires USF
Union Suisse des Fiduciaires USF Règlement sur l approbation des statuts des sections et la qualité de membre d une section de l USF (Règlement des membres) du 26 novembre 2005 Préambule Conformément à
Plus en détail4. Comment la maladie est-elle transmise à l homme? 2. Les composantes des soins de santé primaires : 1. Qu est-ce que l Initiative de Bamako (IB)?
GENERALITES SUR : SANTE et MALADIE SOINS de SANTE PRIMAIRES (SSP) INITIATIVE de BAMAKO (IB) Objectifs généraux Au terme de ce module de formation, les participants devraient être capables de: Comprendre
Plus en détail(Actes non législatifs) RÈGLEMENTS
23.4.2010 Journal officiel de l Union européenne L 102/1 II (Actes non législatifs) RÈGLEMENTS RÈGLEMENT (UE) N o 330/2010 DE LA COMMISSION du 20 avril 2010 concernant l'application de l'article 101, paragraphe
Plus en détailLe règlement 1907/2006 REACh
Le règlement 1907/2006 REACh Bénédicte La Rocca Matthieu Lassus Tunis, 22-25 juin 2009 1/ 30 Enregistrement obligations générales des UA titre V Appliquer les RMM (FDS) pour la S classées dangereuses Vérification
Plus en détailQUESTIONS/REPONSES SUR LE STATUT D'EXPORTATEUR AGREE DGDDI Bureau E1- septembre 2011 Statut d'exportateur agréé (EA)
Questions Quand un exportateur doit-il prendre le statut d'exportateur agréé? QUESTIONS/REPONSES SUR LE STATUT D'EXPORTATEUR AGREE DGDDI Bureau E1- septembre 2011 Statut d'exportateur agréé (EA) Réponses
Plus en détailRAPPORT D ÉTUDE 02/02/2015 DRC-15-142169-01907A
RAPPORT D ÉTUDE 02/02/2015 DRC-15-142169-01907A RAPPORT D ACTIVITÉ AU 31/12/2014 DU SERVICE NATIONAL D ASSISTANCE RÉGLEMENTAIRE SUR LE RÈGLEMENT (CE) N 1272/2008 (CLP) ET LE RÈGLEMENT (CE) N 1907/2006
Plus en détailLa loi NRE. Article 116
La loi NRE La loi sur les nouvelles régulations économiques fixe (art.116) l'obligation pour les sociétés française cotées sur un marché réglementé l'obligation de rendre compte dans leur rapport annuel
Plus en détailRÈGLEMENTS INTÉRIEURS ET DE PROCÉDURE
L 82/56 2.6.204 RÈGLEMENTS INTÉRIEURS ET DE PROCÉDURE RÈGLEMENT INTÉRIEUR DU CONSEIL DE SURVEILLANCE PRUDENTIELLE DE LA BANQUE CENTRALE EUROPÉENNE LE CONSEIL DE SURVEILLANCE PRUDENTIELLE DE LA BANQUE CENTRALE
Plus en détailNorme de la Chaîne de Traçabilité
Norme de la Chaîne de Traçabilité Mars 2014 Réseau d'agriculture Durable et Rainforest Alliance, 2012-2014. www.san.ag Ce document est disponible sur les sites suivants: www.san.ag - www.rainforest-alliance.org
Plus en détailAfssa Saisine n 2007-SA-0028
2 août 2007 AVIS LA DIRECTRICE LE DIRECTEUR GENERALE GÉNÉRAL de l Agence française de sécurité sanitaire des aliments relatif à l'évaluation des risques pour l'homme des constituants des produits de nettoyage
Plus en détailPOLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ
Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme
Plus en détailÉvaluation de la conformité Certification des produits OEM (mise à jour : octobre 2010)
Évaluation de la conformité Certification des produits OEM (mise à jour : octobre 2010) Traduction non officielle du document "Antworten und Beschlüsse des EK-Med" 3.9 1010 B 16 publié sur le site internet
Plus en détailPLAN DE PRÉVENTION DES RISQUES TECHNOLOGIQUES. Établissement OM GROUP. Communes de SAINT-CHERON et de SERMAISE
PRÉFECTURE DE L'ESSONNE DIRECTION DÉPARTEMENTALE DES TERRITOIRES DE L'ESSONNE DIRECTION RÉGIONALE ET INTERDÉPARTEMENTALE DE L'ENVIRONNEMENT ET DE L'ÉNERGIE D'ÎLE-DE-FRANCE Unité territoriale de l'essonne
Plus en détailMaîtrise universitaire ès Sciences en finance Mas ter of Science (MSc) in Finance Règlement d'études
Maîtrise universitaire ès Sciences en finance Mas ter of Science (MSc) in Finance Règlement d'études CHAPITRE Dispositions générales Article : Objet L'Université de Lausanne, par la Faculté des hautes
Plus en détailL évaluation des biocides à l Anses
L évaluation des biocides à l Anses Catherine Gourlay-Francé Direction des produits réglementés 23 juin 2015 L Anses Agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Plus en détailGUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS SENSIBLES
REPUBLIQUE FRANÇAISE PREMIER MINISTRE Secrétariat Général de la Défense Nationale N 730/ SCSSI Issy-les-Moulineaux, le 13 janvier 1997 GUIDE INTERMINISTERIEL SUR LES SYSTEMES D'INFORMATION ET APPLICATIONS
Plus en détailFormacode 11.0 Thésaurus de l offre de formation
Thésaurus de l offre de formation Champs sémantiques Listes annexes Des types de certifications/diplômes/titres Des pays Des logiciels Des publics Des mots-outils Correspondances Formacode Formacode Présentation
Plus en détailCOMMENTAiRES/ DECISIONS
Plate-forme d'échanges affichage environnemental des PGC Date : 2009-12-21 Assistante: Lydia GIPTEAU Ligne directe : + 33 (0)1 41 62 84 20 Lydia.gipteau@afnor.org GT Méthodologie Numéro du document: N
Plus en détailPolitique en matière de dons: procédures de mise en œuvre
Cote du document: EB 2015/114/INF.5 Date: 10 avril 2015 Distribution: Publique Original: Anglais F Politique en matière de dons: procédures de mise en œuvre Note pour les représentants au Conseil d administration
Plus en détailIntroduction générale aux nanomatériaux
Introduction générale aux nanomatériaux J.Lecomte, M.Gasparini 16/10/2014 le centre collectif de l industrie technologique belge Notre centre Federation for the technology industry Collective centre of
Plus en détailConformité aux exigences de la réglementation "21 CFR Part 11" de la FDA
Conformité aux exigences de la réglementation "21 CFR Part 11" de la FDA Définition de la réglementation 21 CFR partie 11 Au cours de la dernière décennie, l'industrie pharmaceutique a très rapidement
Plus en détailIntroduction : Informations clés et activités du Helpdesk REACH et CLP Luxembourg
Helpdesk REACH & CLP Luxembourg Café REACH&CLP - 6 octobre 2011 1 2 3 Introduction : Informations clés et activités du Helpdesk REACH et CLP Luxembourg Helpdesk REACH&CLP Luxembourg Chambre de Commerce
Plus en détailPARTENARIATS POUR LA CRÉATION D'EMPLOIS DE L'ONTARIO EXIGENCES EN MATIÈRE DE VÉRIFICATION ET DE REDDITION DE COMPTES POUR LES BÉNÉFICIAIRES 2014-2015
PARTENARIATS POUR LA CRÉATION D'EMPLOIS DE L'ONTARIO EXIGENCES EN MATIÈRE DE VÉRIFICATION ET DE REDDITION DE COMPTES POUR LES BÉNÉFICIAIRES 2014-2015 1 PARTENARIATS POUR LA CRÉATION D'EMPLOIS DE L'ONTARIO
Plus en détailPolitique...2 Procédures...2 Limites...3 Approbation...3 Communication de l'information au Bureau...4 Annexe...5
Bureau du surintendant des institutions financières Canada Office of the Superintendent of Financial Institutions Canada 255, rue Albert 255 Albert Street Ottawa, Canada Ottawa, Canada K1A 0H2 K1A 0H2
Plus en détailTPE et PME : comment me situer et justifier de mon statut?
DRC- 10-107725 - 03911 A mars 2010 TPE et PME : comment me situer et justifier de mon statut? Vérification du statut de PME par les micro, petites et moyennes entreprises au sens du règlement REACH Ce
Plus en détailPerte de superficies ayant fait l objet de traitements sylvicoles
OBJET : Perte de superficies ayant fait l objet de traitements sylvicoles Numéro de la politique : FMB 017 2006 Numéro du dossier : 836 00 0003 Date d entrée en vigueur : 1 er septembre 2006 Date de révision
Plus en détailBENCIB Aymeric CHEVRON Cécile CRETIN Ninon GOCKER Aurélie
BENCIB Aymeric CHEVRON Cécile CRETIN Ninon GOCKER Aurélie 1 PLAN o Introduction o REACH : Qu est ce que c est o REACH : La mise en place o Conséquences sur l industrie o Outils de soutien aux entreprises
Plus en détailFiche Juridique CRÉATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ASSOCIATION LOI DU 1ER JUILLET 1901!
Fiche Juridique CRÉATION ET FONCTIONNEMENT D'UNE ASSOCIATION LOI DU 1ER JUILLET 1901 Cette fiche à vocation pédagogique a été conçue pour vous initier au droit des associations, tout en vous présentant
Plus en détailRECUEIL DES DIRECTIVES ET PROCÉDURES. Directive # S.A.-S.F.-1 UTILISATION DE LA CARTE D'ACHAT RÉSOLUTION : DATE D'ENTRÉE EN VIGUEUR :
RECUEIL DES DIRECTIVES ET PROCÉDURES Directive # S.A.-S.F.-1 UTILISATION DE LA CARTE D'ACHAT RÉSOLUTION : DATE D'ENTRÉE EN VIGUEUR : DIRECTIVES ET PROCÉDURES ANTÉRIEURES : Version de l'année 2000 UNITÉS
Plus en détailRÈGLES ET PRATIQUES EN COMPTABILITÉ DE GESTION FACTURATION INTERNE Août 2000
A Hydro-Québec Requête R-3401-98 RÈGLES ET PRATIQUES EN COMPTABILITÉ DE GESTION FACTURATION INTERNE Original : 2000-11-21 HQT-13, Document 1.1.2 (En liasse) 1 1. PRINCIPES ET RÈGLES DE FACTURATION INTERNE
Plus en détailGros-pois & Petit-point. Fiches d activités
Gros-pois & Petit-point Fiches d activités Du livre au film Les aventures de «Gros-pois et Petit-point» ont d abord vu le jour en Suède sous forme de livre avant d être adaptées au cinéma. Compare les
Plus en détailCLP : Obligations, impacts et opportunités pour les entreprises
CLP : Obligations, impacts et opportunités pour les entreprises Forum de la Sécurité et Santé au Travail Luxexpo, 27 mars 2014 Laurène CHOCHOIS Helpdesk REACH & CLP Luxembourg www.reach.lu - www.clp.lu
Plus en détailAVIS. de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail
Le Directeur général Maisons-Alfort, le 1 er avril 2014 AVIS de l'agence nationale de sécurité sanitaire de l alimentation, de l environnement et du travail relatif à la demande d autorisation de mise
Plus en détailAnalyse et conception des Systèmes d Information. La démarche Merise : La Maintenance
Analyse et conception des Systèmes d Information La démarche Merise : La Maintenance Place, spécificité, objectifs et principes directeurs Niveaux et catégories de maintenance Formes de maintenance Déroulement
Plus en détailAnnexe A : tableau des Indicateurs GRI
Annexe A : tableau des Indicateurs GRI Ce tableau présente les indicateurs de la Global Reporting Initiative (GRI) ayant été utilisés dans la préparation de notre rapport. Symboles I Inclus P Partiellement
Plus en détailCONDITIONS GÉNÉRALES DE VENTE DE BLACK CAT Website CRÉATION ET MAINTENANCE DE SITES INTERNET
Etant donné la nature particulière du lieu d'exposition des sites internet (réseau informatique mondial), et en l'absence de réglementation le concernant, les parties désignent que la loi belge sera prise
Plus en détailFormation à l outil REACH EXCEL TOOL
Formation à l outil REACH EXCEL TOOL 3 Octobre 2013 Virginie PIATON Laurène CHOCHOIS Helpdesk REACH & CLP Luxembourg www.reach.lu - www.clp.lu Helpdesk REACH & CLP Luxembourg Service d assistance technique
Plus en détailEtat des risques naturels, miniers et technologiques
Etat des risques naturels, miniers et technologiques En application des articles L125-5 et R125-26 du code de l'environnement. Référence : 15/IMO/0204 Date de réalisation : 16 avril 2015 (Valable 6 mois)
Plus en détailPARTIE I : PRINCIPES GENERAUX DE LA COMPTABILITE GENERALE
PARTIE I : PRINCIPES GENERAUX DE LA COMPTABILITE GENERALE CHAPITRE I - LA COMPTABILITÉ : UN ÉLÉMENT DU SYSTÈME D'INFORMATION DE L'ENTREPRISE. CHAPITRE I - LA COMPTABILITÉ : UN ÉLÉMENT DU SYSTÈME D'INFORMATION
Plus en détailCONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE. Bruxelles, le 27 février 2014 (OR. en) 5777/14 ADD 1 PV/CONS 2 ECOFIN 72. PROJET DE PROCÈS-VERBAL Objet:
CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE Bruxelles, le 27 février 2014 (OR. en) 5777/14 ADD 1 PV/CONS 2 ECOFIN 72 PROJET DE PROCÈS-VERBAL Objet: 3290 e session du Conseil de l'union européenne (AFFAIRES ÉCONOMIQUES
Plus en détailCIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06. Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit.
Tunis, le 20 mai 2011 CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N 2011-06 Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit. Le Gouverneur de la Banque Centrale de Tunisie,
Plus en détail',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ
',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ UHODWLYHjODSURWHFWLRQVDQLWDLUHGHVSHUVRQQHVFRQWUHOHVGDQJHUVGHVUD\RQQHPHQWVLRQLVDQWVORUV GH[SRVLWLRQVjGHVILQVPpGLFDOHVUHPSODoDQWODGLUHFWLYH(XUDWRP LE CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE,
Plus en détailComprendre ITIL 2011
Editions ENI Comprendre ITIL 2011 Normes et meilleures pratiques pour évoluer vers ISO 20000 Collection DataPro Extrait 54 Comprendre ITIL 2011 Normes et meilleures pratiques pour évoluer vers ISO 20000
Plus en détailSystèmes de transport public guidés urbains de personnes
service technique des Remontées mécaniques et des Transports guidés Systèmes de transport public guidés urbains de personnes Principe «GAME» (Globalement Au Moins Équivalent) Méthodologie de démonstration
Plus en détailLes enjeux de la dématérialisation en assurance
Colloque de l'ajar 4 décembre 2012 Les enjeux de la dématérialisation en assurance Philippe POIGET, Directeur des affaires juridiques, fiscales et de la concurrence Fédération Française des Sociétés d'assurances
Plus en détailCHAÎNE DE TRACABILITÉ GLOSSAIRE DES TERMES ET DÉFINITIONS
CHAÎNE DE TRACABILITÉ GLOSSAIRE DES TERMES ET DÉFINITIONS Mars 2014 Sustainable Agriculture Network (SAN) and Rainforest Alliance, 2012-2014. Ce document est disponible sur les sites suivants: www.sanstandards.org
Plus en détailLOI du 4 FEVRIER 2000 relative à la création de l'agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (Mon. 18.II.2000) (1)
LOI du 4 FEVRIER 2000 relative à la création de l'agence fédérale pour la Sécurité de la Chaîne alimentaire (Mon. 18.II.2000) (1) Modifications: L. 13 juillet 2001 (Mon. 4.VIII.2001) L. 24 décembre 2002
Plus en détailService d'installation et de démarrage de la solution de stockage réseau HP StoreEasy 1000/3000
Service d'installation et de démarrage de la solution de stockage réseau Services HP Données techniques Le service d'installation et de démarrage de la solution de stockage réseau offre l'installation
Plus en détailSérie sur les Principes de Bonnes Pratiques de Laboratoire et Vérification du Respect de ces Principes Numéro 4 (version révisée)
Non classifié ENV/JM/MONO(99)20 ENV/JM/MONO(99)20 Or. Ang. Non classifié Organisation de Coopération et de Développement Economiques OLIS : 22-Oct-1999 Organisation for Economic Co-operation and Development
Plus en détailRECOMMANDATION UIT-R SM.1048. (Question UIT-R 68/1)
Rec. UIT-R SM.1048 1 RECOMMANDATION UIT-R SM.1048 DIRECTIVES DE CONCEPTION D'UN SYSTÈME DE BASE POUR LA GESTION AUTOMATISÉE DU SPECTRE (Question UIT-R 68/1) Rec. UIT-R SM.1048 (1994) L'Assemblée des radiocommunications
Plus en détailMarquage CE des enrobés bitumineux à chaud QUESTIONS - REPONSES SUR LE MARQUAGE CE DES ENROBES BITUMINEUX A CHAUD
Marquage CE des enrobés bitumineux à chaud QUESTIONS - REPONSES SUR LE MARQUAGE CE DES ENROBES BITUMINEUX A CHAUD (Version 11 juillet 2008) 1- Quels enrobés doivent être marqués? Tous les enrobés bitumineux
Plus en détailHELPDESK IMAGINLAB GUIDE UTILISATION POUR IMAGINEURS. : Guide HelpDesk pour les Imagineurs-v1.2.docx. Date : 2013-07-24
HELPDESK IMAGINLAB GUIDE UTILISATION POUR IMAGINEURS Fichier : Guide HelpDesk pour les Imagineurs-v1.2.docx Date : 2013-07-24 Rédacteurs : Helpdesk ImaginLab FICHE D'EVOLUTION Edition Date Auteur Action
Plus en détailAssurance téléphone mobile et tablette /
Assurance téléphone mobile et tablette / Votre assurance en bref Tout ce qu'il faut savoir sur notre offre d'assurance. Obligation d'informer de l'intermédiaire conformément à l'art. 45 LSA Qui est l'assureur?
Plus en détailNC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles
NC 06 Norme comptable relative aux Immobilisations incorporelles Objectif 01. Une entreprise peut acquérir des éléments incorporels ou peut elle-même les développer. Ces éléments peuvent constituer des
Plus en détail- 37 - TABLEAU COMPARATIF. Texte de la proposition de loi. Proposition de loi relative aux contrats d'assurance sur la vie.
- 37 - TABLEAU COMPARATIF Proposition de loi relative aux contrats d'assurance sur la vie Proposition de loi relative aux contrats d'assurance sur la vie Article 1 er Article 1 er Code des assurances I.
Plus en détailAide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Edition janvier 2009
Aide à l'application EN-1 Part maximale d'énergies non renouvelables dans les bâtiments à construire Contenu et but Cette aide à l application traite des exigences à respecter concernant la part maximale
Plus en détail1 Informations générales
PAMEC-CEEAC Programme d Appui aux Mécanismes de Coordination et au renforcement des capacités de la CEEAC pour la mise en œuvre et le suivi du PIR Communauté Economique des Etats de l Afrique Centrale
Plus en détailQu'est-ce que la normalisation?
NORMALISATION 1 Qu'est-ce que la normalisation? La normalisation est un outil élémentaire et efficace des politiques européennes, ses objectifs étant de : contribuer à la politique visant à mieux légiférer,
Plus en détailCycle «Betriber an Ëmwelt»
Cycle «Betriber an Ëmwelt» «Réduction des déchets par l utilisation de concepts vecteurs d innovation» Centre de Ressources des Technologies pour l Environnement (CRTE) Aya Takagi, Mélanie Guiton, Alex
Plus en détailLa mise en oeuvre de la coopération renforcée dans le domaine de la Taxe sur les Transactions Financières (TTF) 23 Janvier 2014
La mise en oeuvre de la coopération renforcée dans le domaine de la Taxe sur les Transactions Financières (TTF) 23 Janvier 2014 Les mesures préparatoires et procédurales entre 2010 et 2013 10.2010 Communication
Plus en détailNous prøsentons dans ce document notre questionnaire et les røponses telles que nous avons re ues, dans leurs intøgralitøs.
Nous prøsentons dans ce document notre questionnaire et les røponses telles que nous avons re ues, dans leurs intøgralitøs. Questionnaire: (q Oui q Non) (q Oui q Non) espaces verts? (q Oui q Non) q IntØressantes
Plus en détailRétributions. Coordonnées bancaires : Procédure nationale: Code BIC : PCHQBEBB. Moment et communication pour effectuer le paiement
Rétributions Coordonnées bancaires : Banque de la Poste 162, avenue Roi Albert 2 1000 Bruxelles N compte : 679-2005959-96 Code IBAN : BE65 6792 0059 5996 Code BIC : PCHQBEBB Les frais de paiement pour
Plus en détailKEIM Optil Plus. Peinture d intérieur écologique pour un habitat sain
KEIM Optil Plus Peinture d intérieur écologique pour un habitat sain 2 KEIM Optil Plus, une nouvelle dimension, un esthétisme unique Des couleurs inégalées Ambiance et élégance KEIM Optil Plus est la première
Plus en détail++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Présenté par : Imed ENNOURI
++++++++++++++++++++++++++++++++++++ Présenté par : Imed ENNOURI Réglementation de la profession d expert comptable en Tunisie - Loi 88-108 du 18 août 1988, portant refonte de la législation relative à
Plus en détailSEP 2B juin 20. Guide méthodologique de calcul du coût d une prestation
SEP 2B juin 20 12 Guide méthodologique de calcul du coût d une Sommaire Préambule 3 Objectif et démarche 3 1 Les objectifs de la connaissance des coûts 4 2 Définir et identifier une 5 Calculer le coût
Plus en détailCharte d'usage et de contrôle du Label Hosted in Luxembourg
Charte d'usage et de contrôle du Label Hosted in Luxembourg La présente charte a pour objet de définir les conditions et modalités d'exploitation de la marque Hosted in Luxembourg ci-après désignée «Le
Plus en détailLa procédure V.E.I. (Véhicules Economiquement Irréparables) Renforcer la sécurité routière en empêchant un véhicule ayant subi des dommages importants
La procédure V.E.I. (Véhicules Economiquement Irréparables) Objectifs de la procédure Renforcer la sécurité routière en empêchant un véhicule ayant subi des dommages importants d'utiliser sans contrôle
Plus en détailNORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE
NORME INTERNATIONALE D AUDIT 260 COMMUNICATION DES QUESTIONS SOULEVÉES À L OCCASION DE L AUDIT AUX PERSONNES CONSTITUANT LE GOUVERNEMENT D'ENTREPRISE SOMMAIRE Paragraphes Introduction... 1-4 Personnes
Plus en détailL'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3)
L'appel public à l'épargne, pour quel besoin de financement? (2/3) Lors d'une précédente analyse, nous avions présenté deux outils d'appel public à l'épargne qui bénéficient d'un régime légal favorable
Plus en détailL outil HP Marketing Development Funds (MDF Tool)
L outil HP Marketing Development Funds (MDF Tool) Guide des partenaires Version nº2, juin 2012 Copyright 2012 Hewlett-Packard Development Company, L.P. Les informations contenues dans ce document peuvent
Plus en détailCEP-CICAT 5 Février 2015. Lieutenant Jean-marc BRUCKERT - Service Prévention
CEP-CICAT 5 Février 2015 Lieutenant Jean-marc BRUCKERT - Service Prévention EVACUER EN TOUTE SECURITE ESPACES D ATTENTE SECURISES SOLUTIONS EQUIVALENTES CAS D EXONERATION ERP CODE DU TRAVAIL IGH Introduction
Plus en détailMai Thanh LE - Pôle Hygiène
Sodexo Le Better Tomorrow Plan Nos actions de progrès en bio nettoyage Mai Thanh LE - Pôle Hygiène Présentation de l entreprise Sodexo Depuis la création de l entreprise en 1966, Sodexo est le partenaire
Plus en détailRÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE
RÈGLES DE CERTIFICATION D ENTREPRISE Fabrication et transformation de matériaux et d emballages destinés au contact des aliments : respect des règles d hygiène (méthode HACCP) Réf. Rédacteur LNE PP/GLB
Plus en détailREFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE :
REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : RECONNU GARANT DE L ENVIRONNEMENT Date de mise en application : 20/02/2014 QUALIFELEC RE/0010 indice A 1 SOMMAIRE 1. DOMAINE D APPLICATION... 4 1.1 Objet...
Plus en détailFEDERATION DE RUSSIE Certification GOST R INTRODUCTION OBJECTIFS PRINCIPAUX DE LA CERTIFICATION GOST R CERTIFCAT DE CONFORMITE GOST R
INTRODUCTION La certification GOST R a été instaurée par le gouvernement russe en 1993 avec l objectif principal d assurer la sécurité et de protéger la santé et l environnement de la population russe.
Plus en détailCONCOURS D OUVRIER PROFESSIONNEL SPÉCIALITÉ "AGENCEMENT INTÉRIEUR" CONCOURS EXTERNE ET INTERNE
CONCOURS D OUVRIER PROFESSIONNEL SPÉCIALITÉ "AGENCEMENT INTÉRIEUR" CONCOURS EXTERNE ET INTERNE NATURE DES ÉPREUVES Arrêté du 24 janvier 1992 (publié au Journal officiel du 14 février 1992) Les épreuves
Plus en détailOFFRE DE FORMATION DANS LE SYSTÈME LMD
OFFRE DE FORMATION DANS LE SYSTÈME LMD Par le Pr YAYA MAHMOUT, Recteur/UDM Plan 1. Rappel du concept LMD 2. Présentation d une offre de formation selon la réforme LMD 3. Conclusion 2 1. Qu est-ce que le
Plus en détailRèglement sur les critères d'obtention des titres de courtier d'assurance associé et de courtier d'assurance agréé
Page 1 of 5 Éditeur officiel du Québec Ce document n'a pas de valeur officielle. Dernière version disponible À jour au 1er novembre 2009 c. D-9.2, r.1.1.1 Règlement sur les critères d'obtention des titres
Plus en détail.. -... -... Mention : En débat
Page 1 sur 6 Point du programme Domaine d'activité : LE MONDE CONSTRUIT PAR L'HOMME FAIRE ROULER - "Petites Voitures" CYCLE II Objectifs généraux Comment fabriquer une petite voiture capable de rouler
Plus en détailDECLARATION ISO/CEI SUR LA PARTICIPATION DES CONSOMMATEURS AUX TRAVAUX DE NORMALISATION
ISO/CEI/GEN 01:2001 DECLARATION ISO/CEI SUR LA PARTICIPATION DES CONSOMMATEURS AUX TRAVAUX DE NORMALISATION Avant-propos Parallèlement à l'essor rapide du commerce international des biens et services,
Plus en détailVu le décret présidentiel n 2014-145 du 28 Joumada Ethania 1435 correspondant au 28 avril 2014 portant nomination du Premier ministre;
Décret exécutif n 2015-87 du 20 Joumada El Oula 1436 correspondant au 11 mars 2015 définissant le montant et les modalités d'octroi de subvention pour sujétion imposée par l'etat pour l'importation et
Plus en détailThe Arab Cloud Computing Study Days Tunis- Tunisia 4-5 December 2014. M elle Rafia BARKAT. Chargée d Etudes Experte
The Arab Cloud Computing Study Days Tunis- Tunisia 4-5 December 2014 M elle Rafia BARKAT Chargée d Etudes Experte Quels sont les avantages du Cloud Computing? Quels sont les risques et les principales
Plus en détail