QCM Modules 6 & 7 : ALLERGIES ALIMENTAIRES et ALLERGIES AUX MEDICAMENTS
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- Hippolyte Plamondon
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1 DIUFRAL QCM Modules 6 & 7 : ALLERGIES ALIMENTAIRES et ALLERGIES AUX MEDICAMENTS COCHER LES REPONSES JUSTES 1 LES TESTS CUTANES a Les prick tests explorent l hypersensibilité immédiate b Ils doivent être comparés aux deux témoins : positif et négatif c Un prick test est positif si le diamètre de la papule est au moins trois fois plus grand que celui du témoin positif d Les aliments doivent être testés cuits et crus e En cas d allergie alimentaire sévère, on pratique un SAFT ou skin application food test Réponses : A, B, D, E 2 ON DECIDE DE PRATIQUE DES TESTS CUTANES A UN OU PLUSIEURS ALIMENTS a Quand un patient le demande car se dit allergique à ce ou ces aliments b Quand un interrogatoire "policier" permet de suspecter ce ou ces aliments c En cas d urticaire chronique d En cas de dermatite atopique modérée sensible à une corticothérapie locale e En cas d allergie alimentaire connue pour rechercher une co sensibilisation ou des allergies croisées Réponses : B, E 3 UN TEST CUTANE AUX ALIMENTS (avec l extrait commercial et/ou l extrait natif) négatif signifie : a Que le patient n est pas sensibilisé (la valeur prédictive négative des prick tests réalisés avec des aliments natifs est excellente) b Que le patient a peut être pris un médicament qui empêche sa peau de réagir (antihistaminique, corticoïde ) c Que la technique du prick test n est peut être pas valable d Qu il ne s agit peut être pas d une hypersensibilités IgE médiée e Que la peau est momentanément réactive et qu il faudra reprendre la bilan plus tard si l histoire clinique est évocatrice Réponses : A, B, C, D, E 4 LORSQ UN TEST CUTANE A UN OU DES ALIMENTS (avec l extrait commercial et/ou l extrait natif) est positif a Le patient est certainement allergique (la valeur prédictive positive des tests est excellente) b La recherche des IgE spécifiques du ou des aliments est obligatoire c Une éviction stricte de l alimentation de tous les aliments positifs en tests cutanés s impose d Une éviction stricte de l alimentation des aliments pouvant entraîner une réaction croisée s impose de façon préventive e Un régime pauvre en gluten et en produits laitiers est recommandé à titre préventif Réponse : AUCUNE
2 5 ALLERGIE ALIMENTAIRE DE L ADULTE a Est plus souvent responsable de choc anaphylactique que chez l enfant b L allergie au blé se traduit dans 75 % des cas par une anaphylaxie d effort c Les cofacteurs (effort, acide acétylsalicylique, alcool) doivent systématiquement être recherchés car ce sont des facteurs aggravants d Sa prévalence est de 10 à 15 % de la population selon les études e L oesophagite à éosinophiles se manifeste par des dysphagies et des impactions alimentaires oeosphagiennes 6 ALLERGIE ALIMENTAIRE DE L ADULTE a L augmentation de la perméabilité digestive secondaire à la prise d alcool, d épices, d anti inflammatoires non stéroïdiens AINS favorise une réaction anaphylactique b Les trois familles d aliments les plus fréquemment en cause sont les céréales, le lait et les oeufs c Les bêta bloquants et les IEC peuvent majorer une réaction anaphylactique d L urticaire est la manifestation la plus fréquente de l allergie alimentaire e Les allergies au sésame, au poisson, aux crustacés et au kiwi sont des allergies qui persistent Réponses : A, C, E 7 ALLERGIE ALIMENTAIRE DE L ENFANT a Sa prévalence est dix fois supérieure à celle de l adulte b Les trois allergènes principaux en France sont le lait de vache, l œuf de poule et l arachide c Dans la première année de vie, les hypersensibilités alimentaires allergiques IgE dépendantes ne représentent que 50 % des allergies alimentaires d L existence d une allergie à l œuf doit faire penser au risque associé d allergie aux acariens ou d asthme e La cosensibilisation œuf et arachide est fréquente Réponses : B, C, D, E 8 LA DERMATITE ATOPIQUE a Est une maladie inflammatoire chronique de la peau b Le SCORAD permet de chiffrer l étendue et l intensité des lésions d eczéma c S associe toujours à un asthme au cours de son évolution d Est une maladie exclusivement pédiatrique e Peut se développer sur un terrain familial prédisposant Réponses : A, B, E
3 9 DERMATITE ATOPIQUE ET ALLERGIE : QUELS LIENS? a La DA peut être associée à d autres maladies allergiques : asthme, rhinite allergique, allergie alimentaire b Le risque de sensibilisation/allergie alimentaire est d autant plus élevé que la DA est sévère, à début précoce et peristante c La DA de l enfant peut être aggravée en cas d allergie aux acariens d Un bilan allergologique aux pneumallergènes et trophallergènes est systématique dans toute DA e Un eczéma de contact peut compliquer une DA 10 DANS LE CADRE DE l ALLERGIE ALIMENTAIRE, UN PROGRAMME D EDUCATION THERAPEUTIQUE (ETP) a Permet de comprendre son allergie alimentaire b Permet d apprécier la gravité des signes de l allergie alimentaire c Permet d apprendre à utiliser ses traitements d Se fait au cours d un entretien unique et individuel entre la patient et le médecin e Concerne les enfants et les parents 11 LES REACTIONS D HYPERSENSIBILITE PROUVEES AUX AINS RESULTENT LE PLUS SOUVENT a D une hypersensibilité non allergique pharmacologique b D une histamino libération non spécifique c D une activation du complément d D une hypersensibilité allergique IgE médiée e D un déficit en bradykinine Réponse : A 12 QUEL AINS PRESENTE LA PLUS FORTE ACTIVITE SELECTIVE ANTICOXI? a Celecoxib b Piroxicam c Aspirine d Nimesulide e Ibuprofène
4 13 QUELS AINS PRESENTENT UNE ACTIVITE SELECTIVE OU PREFERENTIELLE ANTI COX2? a Celecoxib b Piroxicam c Aspirine d Nimesulide e Ibuprofène Réponses : A, D 14 SUR QUEL TEST DIAGNOSTIC PRINCIPAL REPOSE L HS AUX AINS? a Les tests cutanés : prick tests, IDF, patch tests, selon la nature et la chronologie des réactions b Les IgEs c Le test de réintroduction en milieu hospitalier d Le dosage du complément e L examen clinique 15 DEVANT UNE ANAPHYLAXIE A L AMOXICILLINE PROUVEE a Je contre indique uniquement les pénicillines b Je contre indique les béta lactamines c Je contre indique les béta lactamines mais je programme un bilan pour rechercher les allergies croisée d Je ne contre indique aucun médicament e Je prescris systématiquement du sulfamethoxazole 16 POUR LES TESTS CUTANES AUX PENICILLINES, JE TESTE EN IDR JUSQU A LA LIMITE DE SPECIFICITE DE a mg/l b 100 mg/ml c 2 2,5 mg/ml d 1 g/l e 10 g/l Réponse : A 17 POUR LES TESTS CUTANES AUX CEPHALOSPORINES, JE TESTE EN IDR JUSQU A LA LIMITE DE SPECIFICITE DE a 100 mg/ml b 2 2,5 mg/ml c mg/l d 1 g/l e 10 g/l
5 Réponse : B 18 LES REACTIONS CROISEES ENTRE PENICILLINES ET CEPHALOSPORINES SONT DE L ORDRE DE a > 20 % b Entre 10 et 20 % c < 10 % d toujours (100 %) e jamais (0 %) 19 UN PATIENT DIT ETRE ALLERGIQUE A L IODE CAR IL SE GRATTE S IL VA AU BORD DE LA MER ET A EU UNE REACTION CUTANEE IL Y A VINGT ANS EN UTILISANT DE LA BETADINE. IL MANGE DU POISSON. IL DOIT AVOIR UN SCANNER AVEC UTILISATION DE P. C. I. QUE FAITES VOUS? Réponse : E a Des tests aux P. C. Iodés b Des tests cutanés à la BETADINE c Des tests cutanés aux poissons d Des tests cutanés aux crustacés e Rien, je le rassure 20 LES TESTS CUTANES LORS D UN BILAN D UNE URTICAIRE ET D UNE GENE RESPIRATOIRE IMMEDIATE (< 20 minutes) SUITE A UN EXAMEN INJECTE AVEC UN P. C. I. DOIVENT SE FAIRE a Avec tous les P. C. I. b Un pannel chois de P. C. I. (3 à 5) dont celui utilisé et celui souhaité c Le seul produit suspect d En IDR à concentration croissante e En patch tests Réponses : B, D
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