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1 Comment évaluer la qualité de l air intérieur? Wafa Sakr,ing., Ph.D

2 Qu est-ce que la qualité de l air intérieur? Caractéristiques physiques, chimiques et biologiques de l air intérieur dans les lieux où aucun procédé ou opération de nature industrielle ne peut influer sur le confort ou la santé de l occupant. La QAI dans les espaces d occupation humaines est définie par son effet sur les occupants : C est l état qui répond aux besoins humains 1

3 Une bonne qualité de l air intérieur! Exigences : Que l air soit perçu comme frais et plaisant; Qu il n ait aucun impact négatif sur la santé; Qu il améliore la productivité 2

4 Problèmes de QAI -Causes principales Environnement intérieur Température, humidité relative, éclairage, bruit, etc. Contaminants de l air intérieur Chimiques, biologiques, particules et fibres Apport d air extérieur insuffisant 3

5 Sources de pollution de l air intérieur L air extérieur Les occupants et leurs activités Les systèmes de ventilation (conduits contaminés, humidificateurs et déshumidificateurs mal entretenus, t saletés accumulées sur les filtres, etc.) Les matériaux de construction et les meubles Les équipements électroniques Les fumées de tabac Un taux d humidité élevé Chimie de l air intérieur 4

6 La qualité de l air intérieur dans les établissements de santé Sources de préoccupations La diversité de personnes dans le même établissement La présence d une clientèle potentiellement vulnérable aux effets d une mauvaise QAI Le vieillissement du parc immobilier L évolution constante des pratiques et des technologies 5

7 Les effets sur la santé d une mauvaise QAI dans les hôpitaux Les problèmes de santé non spécifiques reliés aux bâtiments Les problèmes de santé en lien avec une contamination fongique Les problèmes de santé causés par une exposition aux contaminants chimiques Les infections nosocomiales environnementales (Aspergillose, Légionellose) Les aggravations de certaines maladies chroniques causées par des niveaux de chaleur élevés 6

8 Procédure d évaluation Procédure d évaluation à suivre pour éviter les dépenses sur des mesures qui n ont aucun rapport avec les problèmes réels ou sur des mesures qui sont difficiles à interpréter. 7

9 Mener une investigation de la QAI Début (raison de préoccupation) 1. Évaluation initiale Inspection visuelle Discussion avec les occupants et le personnel Prise des mesures préliminaires - Formulation des hypothèses Oui Avez-vous une explication pour les plaintes? Non 2. Évaluation détaillée Cueillette d informations supplémentaires sur les occupants, les systèmes CVCA, les sources de pollution Prise d échantillons, si nécessaire Développement des hypothèses Non Est-ce que les résultats soutiennent votre hypothèse? Non Problème résolu? Oui Appliquer des mesures correctives Oui Fin

10 1. Évaluation initiale Examen préliminaire de l édifice afin d évaluer la gravité du problème. Cueillette des informations sur les occupants, le système de CVCA, les source visibles de pollution, l histoire du bâtiment et celle des plaintes. Obtention d une copie des plans de l étage pour indiquer directement les observations. Prise des mesures préliminaires : la température, l humidité relative, le dioxyde de carbone et la vélocité de l air. 9

11 1. Évaluation initiale (suite) Indicateurs à observer lors de la première visite : Odeurs (corporelle, moisissure, gaz d égout, solvant, etc.); Problèmes d humidité, taches ou décoloration (murs, plafond, etc.); Poussières, saletés; Surpopulation; Conditions thermiques. 10

12 But de l évaluation initiale Recueillir les informations nécessaires dans le but de formuler une hypothèse suffisante pour : Expliquer la cause des plaintes et proposer une solution (fin de l enquête); Élaborer un plan pour la deuxième étape (enquête plus détaillée). 11

13 2. Évaluation détaillée Déterminer le secteur des plaintes; Cueillir des informations sur les plaintes des occupants (enquête par questionnaire); Ramasser des informations sur le système de CVCA : Réviser les documents disponibles sur la conception, l installation et l opération du système actuel; Rencontrer le personnel technique; Inspecter les composantes du système qui dessert le secteur problématique (le système lui-même peut être une source de pollution). 12

14 1. Quel est votre emploi actuel? Questions sur la qualité de l air intérieur à un poste de travail 2. Depuis combien de temps occupez-vous cet emploi? 3. Au cours des 6 derniers mois, avez-vous vous éprouvé l'un ou l'autre des symptômes suivants pendant 2 jours ou plus? Symptômes Maux de tête Nausées Étourdissements Épuisement/fatigue Irritation des yeux, du nez, de la gorge Problèmes respiratoires Congestion/écoulement nasal Congestion des sinus Toux Éternuements Respiration sifflante Essoufflement Vision trouble Difficulté de concentration Autres : Oui, souvent Oui, à l'occasion Jamais Si vous avez répondu NON à toutes ces questions, passez immédiatement à la page 3. 13

15 4. Lorsque vous avez pris conscience des symptômes, depuis combien de temps étiez-vous au travail en moyenne? Moins de 1 h De 2 à 4 h Plus de 4 h 5. Au travail, les symptômes sont-ils prononcés qu'à la maison? (Encerclez une réponse.) moins / aussi / plus 6. Après le travail ou à la fin de votre quart, vos symptômes sont-ils prononcés? (Encerclez une réponse.) moins / aussi / plus 7. Après une semaine sans être allé au travail, vos symptômes sontils prononcés? (Encerclez une réponse.) moins / aussi / plus 8. Vous êtes-vous absenté du travail à cause de vos symptômes? (Encerclez une réponse.) Oui / Non 9. Dans quelle mesure vos symptômes vous gênent-ils dans les situations ci-après, selon une échelle de 1 à 10 où 1 signifie «pas du tout» et 10 «énormément» : a) Au travail : b) Dans vos activités personnelles : c) Pendant votre sommeil : 14

16 10. Avez-vous remarqué l'une ou l'autre des conditions suivantes? Conditions Oui, souvent Oui, à l'occasion Jamais Y a-t-il des odeurs inhabituelles ou désagréables dans l'immeuble? L'air vous semble-t-il malsain? L'air est-il sec? Prenez-vous des chocs à cause de l'électricité statique? La température est-elle trop élevée dans l'aire de travail? La température est-elle trop basse dans l'aire de travail? La température varie-t-elle d'une pièce à l'autre? Y a-t-il des courants d'air à votre poste de travail? 15

17 Les informations recueillies fournissent une base pour des mesures postérieures 16

18 Les indicateurs de QAI à mesurer Température et humidité relative Mouvement de l air Dioxyde de carbone Monoxyde de carbone Formaldéhyde d Particules et fibres Composés organiques Micro-organismes : moisissures, bactéries 17

19 Points à considérer lors de l échantillonnage La stratégie de l échantillonnage doit être conçue pour évaluer le pire cas (émission maximale, ventilation minimale, etc.); La durée de l échantillonnage peut varier selon le seuil de détection minimal de la méthode d analyse; Il est important de bien connaître le fonctionnement des équipement (gamme de fonctionnements, précisions, etc.) et de les calibrer souvent; Choisir les sites d échantillonnage selon l hypothèse à vérifier (zones types de CVCA, zones faisant ou non l objet de plaintes, en fonction du type de plaintes, etc.). 18

20 À RETENIR! Les mesures de qualité de l'air intérieur sont souvent dispendieuses et prennent beaucoup du temps. Il faut donc se baser sur un jugement approprié p à l effet que les mesures fourniront de nouvelles informations. Il faut s assurer que ces informations pourront être évaluées et que les résultats des mesures pourront déterminer la cause des problèmes et aider à déterminer la solution. 19

21 1. Paramètres de confort thermique 1. Température et humidité relative ASHRAE 55 (recommandations visant à obtenir des conditions thermiques qui sont jugées acceptables pour 80% des occupants); ISO 7730 (conditions qui satisfait 90% des occupants) Lecture directe : mesures instantanés ou en continu. 2. Vitesse de l air ASHRAE (< 0,15 m/s en hiver, <0,25 m/s en été); Lecture directe (ex. anémomètres thermiques). es) 20

22 2. Dioxyde de carbone Concentration à l extérieur : ppm; À l intérieur, produit par le métabolisme humain; Indicateur du taux de ventilation; La concentration à l intérieur varie en fonction du taux d occupation ( ppm); ASHRAE ( <1000ppm); Lecture directe : mesures instantanées ou en continu. Il faut être prudent lorsqu on utilise les concentrations ti de dioxyde de carbone comme indicateur d une QAI acceptable. 21

23 3. Monoxyde de carbone Gaz toxique inodore et incolore produit par une combustion incomplète; Mesurer si les occupant se plaignent d odeurs de gaz d échappement ou si l on soupçonne la présence des gaz de combustion à l intérieur; ASHRAE (<9ppm pour 8 heures d exposition); Lecture directe : mesures instantanées ou en continu. 22

24 Lecture directe: T, HR, CO 2 et CO 23

25

26 4. Formaldéhyde Gaz incolore d une odeur âcre; Sources : tapis, panneaux de contreplaqué ou de particules, liquide de nettoyage, adhésifs, etc.; Concentration variable selon l âge de la source, du taux de ventilation, de la température et du taux d humidité; Santé Canada (<0,1 ppm) une concentration de seulement 0,01 01 ppm peut gêner les personnes sensibles; Échantillonnage : Passif (dosimètre portable); Actif (pompe + absorbant solide); Lecture directe. 25

27 5. Particules et fibres 5.1. Particules Sources intérieures ou extérieures, CVCA, activités humaines; Dimensions nuisibles pour la santé humaine et la QAI, s étend de 0,1 à 10 µm; Normes ASHRAE (adopte la norme de EPA) : PM10 <50 µg/m 3 (exposition annuelle) PM10 < 150 µg/m 3 (exposition quotidienne) Dans les immeubles à bureaux : PM10 autour de 10 µg/m3 (non fumeur); Mesure : pompe (2 L/min) + filtre 37 mm (à 1,2 m du plancher pour une période de 6 heures). 26

28 5. Particules et fibres (suite) 5.2 Fibres (à l exception des fibres d amiante) Se trouvent pratiquement dans tous les bâtiments (tuiles de plafond, isolants des tuyaux, barrières sonores, etc.) mais leur présence est critique seulement dans les endroits où la source est exposée à l air. Pas de normes de confort pour les fibres de verre respirables mais il semble prudent de réduire l exposition au minimum. Lignes directrices pour une concentration maximale acceptable : 1000 fibre/m 3 d air; dair; 30 fb/cm 2 d une surface à l intérieur. Mesure : pompe (0,5-16 L/min; 400L) + filtre (ECM-25). 27

29 6. Composés organiques Désigne tous les produits chimiques qui contiennent du carbone et de l hydrogène Sources : peinture, tapis, colles, photocopieurs à processus liquides, linoléum, produits de nettoyage, etc.; Mesure : active : pompe + tube absorbant (charbon, Tenax, etc.) échantillons de la poussière passive 28

30 Difficultés Le nombre élevé des composés qui peuvent se trouver à l intérieur (>>1000 composés); Interactions entre les différents composés; La grande majorité des polluants chimiques sont présents en concentration ti bien inférieures i à celles qui causent des problèmes de santé; Information insuffisante sur l impact d un mélange des composés sur la santé; Les critères d hygiène industrielle ne constituent pas une base significative ifi pour l évaluation l de QAI (une concentration beaucoup plus faible que les TLV de l ACGIH peut causer de l inconfort). 29

31 Pompe d échantillonnage d air avec différents média 30

32 7. Agents chimiques utilisées dans les hôpitaux Oxyde d éthylène: utilisé pour la stérilisation RSST: 1 ppm (VEMP) sur 8 heures Les solvants organiques:utilisés dans les laboratoires Les gaz anesthésiants (protoxyde d azote+anesthésiant halogéné tel l halothane+ enflurane ou isoflurane+oxygène) - RSST(VEMP) :50ppm pour protoxyde d azote et l halothanel 75 ppm pour l enflurane - NIOSH: 25 ppm pour protoxyde d azote 1 ppm pour les anesthésiants halogénés 31

33 8. Micro-organismes : champignons et bactéries Se trouvent à l extérieur; À l intérieur, les champignons se trouvent dans tous les endroits réunissant humidité et éléments nutritifs. Mesure : Échantillonnage de l air Échantillonnage de surface: cotons tiges stériles En vrac Il n y a pas de seuil d exposition ni de norme. 32

34 Protocole de Santé Canada pour la détermination et la gestion des moisissures Déterminer les problèmes dans l immeuble; Découvrir les facteurs favorables à la prolifération à l intérieur; Appliquer les mesures correctives : Arrêter la source d humidité; Nettoyer toutes t les surfaces avec une solution nettoyante; Passer l aspirateur doté d un filtre absolu sur toutes les surfaces; Échantillonner pour s assurer de l efficacité des mesures appliquées. 33

35 Stratégies pour prévenir la croissance des micro-organismes Éviter les surfaces mouillées. Garder le taux d humidité le plus bas possible. Filtrer efficacement les particules. Bien entretenir les systèmes de ventilation et les différent locaux à l intérieur de l immeuble. 34

36 Conclusion L enquête sur la qualité de l air intérieur est souvent un travail de collecte et re-collecte d informations informations, d élaboration d hypothèses et de vérification de ces dernières. L'analyse des résultats d une enquête est un travail de type «détective» et ce travail exige différentes expertises : psychologique, technique, médicale, etc. L échantillonnage de l'air ne devrait pas être effectué avant que toutes les autres activités investigatrices n aient été utilisées et qu une une quantité considérable d informations ne soient assemblées. 35

37 Merci pour votre attention!

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