Congrès Experts et expertises en santé publique Diversité des acceptations, multiplicité des enjeux : comment avancer?
|
|
- Marie-Thérèse René
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Congrès Experts et expertises en santé publique Diversité des acceptations, multiplicité des enjeux : comment avancer? Les acteurs régionaux de santé publique : expertise et rôle d influence auprès des décideurs et de la population Dr Richard Lessard Directeur de santé publique, Agence de la santé et des services sociaux de Montréal Lille, France Vendredi 4 novembre 2011 Direction de santé publique 1
2 MONTRÉAL Montréal, Scolarité et une emploi île de 5 commissions 500 km 2 scolaires englobant 4 universités 15 municipalités reliée 918 emplois aux deux rives par: 16 er ponts secteur: routiers Commerce 2 5 e ponts secteur: ferroviaires Fabrication 2 3 e lignes secteur: de Soins métro de santé et assistance sociale Démographie Santé Population: Chaque année 1,9 à millions Montréal: 25% de naissances la population du Québec Agglomération: décès 3,6 millions 2 38 e ville centres la plus hospitaliers populeuse (dont du Canada 4 psychiatriques) 31% Annuellement, d immigrants les hôpitaux montréalais enregistrent Langues Près maternelles de visites à l urgence Français: Plus de % 000 hospitalisations Anglais: 17% Autres: 33%
3 DES DISPARITÉS DE SANTÉ SUR LE TERRITOIRE
4 Mandats du Directeur régional selon la loi SSSS Informer la population de l état de santé général des individus qui la composent, des problèmes de santé prioritaires, des groupes les plus vulnérables, des principaux facteurs de risque et des interventions qu il juge les plus efficaces, d en suivre l évolution et, le cas échéant, de conduire des études ou recherches nécessaires.
5 Mandats du Directeur régional selon la loi SSSS D identifier les situations où une action intersectorielle s impose pour prévenir les maladies, les traumatismes ou les problèmes sociaux ayant un impact sur la santé de la population et lorsqu il le juge approprié, de prendre les mesures qu il juge nécessaires pour favoriser cette action.
6 Selon la loi de santé publique: ``D autres mesures édictées par la présente loi visent à prévenir les maladies, les traumatismes et les problèmes sociaux ayant un impact sur la santé de la population et à influencer de façon positive les principaux facteurs déterminants de la santé, notamment par une action sectorielle concertée.``
7 PRENDRE LA PAROLE: un choix d organisation «La Direction de santé publique de Montréal agit, auprès de ses différentes clientèles, comme la référence en matière de santé publique par la qualité de son expertise, par sa crédibilité et par sa capacité d influencer»
8 LES CONDITIONS DE SUCCÈS Des priorités de contenu qui reflètent les besoins de la population Une information crédible basée sur des données scientifiques. Des porte-parole formés et disponibles Des sorties publiques orchestrées avec nos partenaires pour susciter l adhésion
9 Le plan de communication Des objectifs de communication choisis en fonction de l impact désiré Informer Sensibiliser Convaincre Mobiliser Des messages adaptés en fonction des publics-cibles : Décideurs sectoriels et intersectoriels Intervenants réseaux, partenaires Grand public Médias
10 RAPPORTS DU DIRECTEUR
11 POURQUOI PRIORISER LE DÉVELOPPEMENT DES ENFANTS? Rapport annuel 1998 : Inégalités sociales de santé Le tiers des enfants de moins de 6 ans vivent dans la pauvreté à Montréal (la moyenne québécoise est de 1 sur 5) La pauvreté exerce une influence sur la santé toute la vie durant et elle peut être marquante en début de vie.
12 1 er PROJET PHARE : ENQUÊTE SUR LA MATURITÉ SCOLAIRE DES ENFANTS MONTRÉALAIS
13 POURQUOI UNE ENQUÊTE? Obtenir une mesure de l état de développement des enfants montréalais au moment de leur entrée à l école Fournir un outil de planification pour les acteurs du réseau de la petite enfance et du réseau scolaire Accompagner les communautés dans l appropriation et l interprétation des résultats de l enquête Favoriser la mobilisation de l ensemble des acteurs autour des besoins des tout-petits et des familles
14 35% des enfants à Montréal éprouvent des difficultés dans l une des sphères de leur développement, ce qui les rend vulnérables pour commencer l école Santé physique et bien-être Compétence sociale Maturité affective Développement cognitif et langagier Habiletés de communication et connaissances générales
15 MATURITÉ SCOLAIRE : DISTRIBUTION SUR L ÎLE DE MONTRÉAL
16 LA DÉMARCHE DES SOMMETS Sommets locaux ( ) Sommet montréalais (28 Mai 2009) 12 CSSS Comité des partenaires régionaux Plus de 1500 acteurs mobilisés
17 POURQUOI ORGANISER DES SOMMETS? S approprier les résultats de l enquête à partir de l expérience des acteurs locaux Mieux cerner les besoins des tout-petits et des familles Mettre en mouvement les acteurs locaux et régionaux et identifier des pistes d action afin de mieux répondre aux besoins des tout-petits et des familles
18 LES RETOMBÉES ET PERSPECTIVES Discours du budget Une des 5 priorités de l ASSS de Montréal Effet d entraînement chez les partenaires (du décrochage scolaire à la préparation à l école) Enquête sera faite à l échelle de la Province l an prochain. Horizon 0-5: Pour une action concertée en développement de l enfant 0-5 ans à Montréal.
19 ème 2 PROJET PHARE : LE TRANSPORT
20 Système de transport et impacts sur la santé Qualité de l air Changements climatiques, îlots de chaleur Maladies cardiorespiratoires Asthme Mortalité et morbidité cardiorespiratoires Sécurité routière Blessés de la route Activité physique Bruit Excès de poids et obésité Diabète Perturbation du sommeil - Hypertension Mobilité, accessibilité Exclusion
21 RAPPORTS DE COTES POUR HOSPITALISATIONS POUR PROBLÈMES RESPIRATOIRES CHEZ LES PERSONNES DE MONTRÉAL DE PLUS DE 60 ANS, SELON L EXPOSITION AU TRAFIC ROUTIER Volume de circulation Nombre de cas (%) Nombre de témoins (%) RC (IC95%) RC ajustés pour le SSE (IC95%) < 3160 véhicules 5322 (91,7%) (93,5%) véhicules 345 (5,9%) 1922 (4,9%) 1.24 ( ) p< ( ) p=0.28 >7700 véhicules 138 (2,4%) 613 (1,6%) 1.55 ( ) p< ( ) p=0.007 Smargiassi et al., 2005
22 Piétons blessés : desdes milliers de sites différents! Localisation de l'ensemble piétons blessés* ( ) : interventions ambulancières Sites où un ou plusieurs piétons ont été blessés Réseau routier Mètres * Victimes d'une collision routière ayant entraînée une intervention d'urgences-santé. Projection: NAD83, MTM zone 8 Sources: Ville de Montréal; Urgences-santé Prod. cartographique: MS Cloutier, 2004 Direction de santé publique de Montréal
23 NOMBRE DE BLESSÉS ( ) PAR ARRONDISSEMENT SELON LE VOLUME DU TRAFIC QUOTIDIEN * * À l exclusion des autoroutes Source : Urgence-santé , Enquête O-D, 1998
24 Piétons, cyclistes, motocyclistes et occupants de véhicules moteurs blessés dans l arrondissement de Ville-Marie du au
25 Chaque tranche de 60 minutes par jour passée en voiture correspond à une hausse de 6 % de probabilité d être obèse Chaque kilomètre parcouru à pied quotidiennement est associé à une baisse de probabilité de 5 % d être obèse
26 Message livré à chacune de nos interventions Le transport a des impacts sur la santé publique Maladies reliées à la pollution atmosphérique Traumatismes routiers Obésité et autres conséquences sanitaires reliées à l inactivité physique Augmentation des gaz à effet de serre qui contribuent aux changements climatiques
27 Message livré par l ensemble de nos interventions Il est donc nécessaire de procéder autrement en modifiant les infrastructures du transport Diminuer la capacité routière et les véhiculeskilomètres parcourus (VKP) Améliorer la desserte en transport en commun Favoriser les déplacements actifs sécuritaires
28 Leviers de communication Production de mémoires dans le cadre d audiences publiques comme le BAPE ou de consultations publiques Extension de l autoroute 25 Modernisation de la rue Notre-Dame Reconstruction du complexe Turcot Projet Bonaventure Production d un rapport du directeur de santé publique en 2006
29 Le rapport s interroge sur la question du transport, à l échelle de la région, et de ses conséquences sur la santé. Il analyse de nombreuses études traitant de l évolution du parc automobile, ici et ailleurs, des conséquences sur la qualité de l air, sur l émission de gaz à effet de serre, sur le bilan routier ainsi que sur l inactivité physique et ses conséquences sur la santé. Il termine sur une série de recommandations visant à diminuer les impacts du transport sur la santé des Montréalais.
30 Organisation de forum de discussion et de colloques Forum sur les transports et la santé suite à la publication du rapport annuel Dans le cadre du débat sur l échangeur Turcot, la DSP a organisé un colloque faisant appel à des experts étrangers sur la requalification des autoroutes en milieu urbain But : sensibiliser la population et les décideurs à la nécessité de planifier des solutions alternatives à la construction et à la reconstruction des autoroutes en milieu urbain
31 3ème PROJET PHARE : ÉTUDE SUR LA SANTÉ RESPIRATOIRE DES ENFANTS MONTRÉALAIS
32 OBJECTIFS PRINCIPAUX Déterminer la prévalence des maladies respiratoires selon les territoires socio-sanitaires de Montréal - Asthme - Infections respiratoires - Rhinite allergique hivernale Identifier les facteurs associés à leur distribution Dégager des pistes de solutions pour améliorer la situation
33
34 PRINCIPAUX FACTEURS ÉTUDIÉS Facteurs de risque non modifiables (exemples) : Statut socioéconomique Antécédents d allergie Sexe de l enfant Facteurs de risque modifiables (exemples) : Exposition à l humidité/moisissures Exposition à la fumée du tabac Allaitement Exposition aux animaux domestiques ou nuisibles (coquerelles et rongeurs) Trafic routier et autre pollution atmosphérique Autres facteurs liés à la qualité de l air
35
36 LE DIRECTEUR DE SANTÉ PUBLIQUE RECOMMANDE : L entretien préventif des immeubles et la correction rapide des problèmes liés à l insalubrité des logements par les propriétaires. La poursuite de l application rigoureuse de la réglementation sur l entretien et la salubrité des logements par les municipalités de l île de Montréal.
37 Autres actions Engagement de personnel qualifié en inspection de bâtiments ( technicien et ingénieur) Achat d instrumentations de pointe pour mesurer humidité, moisissures, infiltration d eau Formation du personnel de la Ville de Montréal chargé d appliquer le règlement sur la salubrité des logements Rencontre avec les élus de la Ville centrale et des arrondissements les plus touchés. Développement d un plan conjoint d intervention avec les autorités de la Ville
38 H1N1
39
40
41 FIN
42 PLAN RÉGIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE Agence de la santé (DSP) et 12 Centres de santé et services sociaux
43 6 ORIENTATIONS Des actions de santé publique organisées autour de 6 orientations convenues avec la Table régionale de santé publique : 1. Des enfants qui naissent et se développent en santé 2. Des jeunes en santé qui réussissent leur apprentissage scolaire 3. Des milieux de travail exempts de risques pour la santé 4. Une population vaccinée et protégée des infections et des risques chimiques et physiques 5. Un environnement urbain favorable à la santé 6. Un système de santé qui sert aussi à prévenir
44 2 PRIORITÉS STRATÉGIQUES RÉGIONALES Prévenir les maladies chroniques Diminuer les inégalités sociales de santé
45 4 STRATÉGIES Soutenir le développement des communautés Influencer l élaboration de politiques publiques favorables à la santé et au bien-être Mobiliser et soutenir les partenaires sectoriels et intersectoriels dans des actions de promotion, prévention et protection Soutenir le développement et le maintien des pratiques professionnelles et de gestion afin qu elles intègrent la promotion, la prévention et la protection
46 PROJETS PHARES
JASP 2010 Québec 24 novembre 2010
Direction de santé publique L'éthique pour guider la réflexion et influencer l'élaboration des politiques publiques favorables à la santé: le cas des logements insalubres à Montréal JASP 2010 Québec 24
Plus en détailConsultations prébudgétaires 2011-2012
Présenté au Comité permanent des finances de la Chambre des communes 12 août 2011 Sommaire Dans le cadre des consultations prébudgétaires du Comité permanent des finances de la Chambre des communes, le
Plus en détailMes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est. unique. mfa.gouv.qc.ca
Mes parents, mon éducatrice, mon éducateur, partenaires de mon développement! Parce que chaque enfant est unique mfa.gouv.qc.ca Les services de gardes éducatifs, un milieu de vie stimulant pour votre enfant
Plus en détailPlan Climat énergie Territorial. notre défi pour l avenir du territoire!
Plan Climat énergie Territorial notre défi pour l avenir du territoire! La Communauté Urbaine en 2050... Celle de nos enfants, petits-enfants,... Quels objectifs pour ce Plan Climat? Vous rêvez pour eux
Plus en détailRoulons En Ville à Vélo
Contribution au débat public sur la politique des transports dans la vallée du Rhône et l arc languedocien Roulons En Ville à Vélo Pour une prise en compte des modes doux et des transports en commun Notre
Plus en détailLEADER... LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : UN OBJECTIF FORT : LEADER ACCOMPAGNE : LES 4 THÉMATIQUES : POUR VOUS ACCOMPAGNER
LE DISPOSITIF DE FINANCEMENT EUROPÉEN LEADER AU SERVICE DE L ATTRACTIVITÉ TERRITORIALE LE PROJET DU PAYS DE SAINT-MALO : Le programme LEADER est un outil au service de la mise en œuvre du projet de territoire
Plus en détailVous avez dit pandémie? Planification et coordination de la communication du gouvernement du Québec en cas de pandémie d influenza
Vous avez dit pandémie? Planification et coordination de la communication du gouvernement du Québec en cas de pandémie d influenza Planification de la communication Une première ligne Réseau de la santé
Plus en détailClick to edit Master title style
Le Service des délégués commerciaux MAECI: Orientation et rôle Investissement étranger direct (IED) Anderson Blanc Délégué commercial Click to edit Master title style Investissement & Innovation Coordonnateur
Plus en détailMOBILITÉ DURABLE: CONCEPT ET APPLICATIONS, DE LA THÉORIE À LA PRATIQUE. Présenté par Monique Léveillé Sherbrooke, le 17 février 2011
MOBILITÉ DURABLE: CONCEPT ET APPLICATIONS, DE LA THÉORIE À LA PRATIQUE. Présenté par Monique Léveillé Sherbrooke, le 17 février 2011 MOBILITÉ DURABLE: CONCEPT En théorie,un concept à déclinaisons multiples,
Plus en détailEnsemble vers de saines habitudes de vie!
Ensemble vers de saines habitudes de vie! Du plan d action gouvernemental «Investir«pour l avenir» et du Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie aux balises de déploiement du soutien de Québec
Plus en détailQuestionnaire eevm. échange école ville montagne. www.parc-du-vercors.fr/eevm/
Questionnaire eevm échange école ville montagne www.parc-du-vercors.fr/eevm/ Répondre aux questions. Il y a 3 types de réponses en fonction des types de questions. - Questions fermées à réponse unique
Plus en détailACOUPHEN ENVIRONNEMENT GROUPEMENT COORDONNE PAR LA COMMUNE DE MONTESSON ETUDE REALISEE POUR LE COMPTE DU : RAPPORT D ETUDE RA-080001-07-A
MANAGEMENT DE L SONORE WWW.ACOUPHEN-.COM CONTACT@ACOUPHEN-.COM SIEGE SOCIAL LYON CAMPUS DE LA DOUA 66, BD NIELS BOHR B.P. 52132 69603 VILLEURBANNE CEDEX TEL / 33 (0)4 72 69 01 22 FAX / 33 (0)4 72 44 04
Plus en détailInvestir dans l action pour le climat, investir dans LIFE
Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Un aperçu du nouveau sous-programme LIFE Action pour le climat 2014-2020 istock Action pour le climat Qu est-ce que le nouveau sous-programme LIFE
Plus en détailDéfinition, finalités et organisation
RECOMMANDATIONS Éducation thérapeutique du patient Définition, finalités et organisation Juin 2007 OBJECTIF Ces recommandations visent à présenter à l ensemble des professionnels de santé, aux patients
Plus en détailLittératie financière pour jeunes Canadiens Ce que vous devez savoir
09 Littératie financière pour jeunes Canadiens Ce que vous devez savoir La littératie financière est essentielle dans la vie. Les jeunes qui ont acquis une compréhension de l argent dès leur jeune âge
Plus en détaildéposé à l Office de consultation publique de Montréal
Mémoire sur les projets de règlement P-06-069 et 04-047-34 Implantation d un campus de l Université de Montréal sur le site de la gare de triage d Outremont déposé à l Office de consultation publique de
Plus en détailPROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR :
PROFIL DE POSTE DU CONDUCTEUR AMBULANCIER SMUR : IDENTIFICATION DU POSTE : Titre de la fonction : Conducteur Ambulancier SMUR*. Etablissement : Centre Hospitalier Régional Universitaire de Brest. Service
Plus en détailGuide méthodologique
Communauté d Agglomération de NIORT du GRAND NANCY PLAN DE DEPLACEMENTS URBAINS Plan de Déplacement Entreprise Guide méthodologique Septembre 2007 m u n i c i p a l i t é s e r v i c e 7 1, a v e n u e
Plus en détail3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212)
3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212) Le Ministère apporte un soutien financier aux commissions scolaires pour favoriser le développement de l éducation interculturelle.
Plus en détailRépondre aux nouveaux enjeux de la filière automobile française. Dossier de presse
Répondre aux nouveaux enjeux de la filière automobile française Dossier de presse Octobre 2014 Après de trop longues années de crise, un léger vent d optimisme souffle enfin sur notre industrie automobile.
Plus en détailElaboration d une méthodologie définissant un indicateur représentatif du risque sanitaire induit par les nuisances sonores en milieu urbain
Elaboration d une méthodologie définissant un indicateur représentatif du risque sanitaire induit par les nuisances sonores en milieu urbain Marine Baulac Delphine Bourgois, Solène Marry, Christophe Goeury,
Plus en détailUne vision d avenir. Il était deux petits navires. Mise en contexte. Rapport Perrault. Forum des générations (2004) En bref...
Une vision d avenir Il était deux petits navires Alain Poirier, directeur national de santé publique et sous-ministre adjoint février 200 En bref... Mise en contexte Une mise en contexte Quelques données
Plus en détailPROJET TOSA INFORMATIONS GÉNÉRALES
PROJET TOSA INFORMATIONS GÉNÉRALES 1 LE BUS DU FUTUR EST SUISSE Grande première suisse et même mondiale, TOSA est un bus articulé à batterie rechargeable pour la desserte des villes. L'énergie de propulsion
Plus en détailC est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de
C est quoi un centre d apprentissage Les centres d apprentissage sont des lieux d exploration et de manipulation qui visent l acquisition de connaissances, la pratique d habilités ou le développement d
Plus en détailPlan d actions 2011/2014
Plan d actions 2011/2014 Le présent plan d actions s organise en fiches actions, qui précisent les objectifs opérationnels des actions et explicite les modalités de mise en œuvre. Ces fiches répondent
Plus en détailmodèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE
modèle d atelier de LECTURE-ÉCRITURE à partir du tableau SIMDUT et des fiches signalétiques Les commissions scolaires, les experts de la formation en entreprise. Durée : 3 heures Les étapes de l atelier
Plus en détailCOMPTE-RENDU DE LA CONSULTATION PUBLIQUE ARRONDISSEMENT DE BROMPTON RÉVISION DU SCHÉMA DE COUVERTURE DE RISQUES EN SÉCURITÉ INCENDIE
COMPTE-RENDU DE LA CONSULTATION PUBLIQUE ARRONDISSEMENT DE BROMPTON RÉVISION DU SCHÉMA DE COUVERTURE DE RISQUES EN SÉCURITÉ INCENDIE 13 JUIN 2012 19 h BUREAU D ARRONDISSEMENT DE BROMPTON SONT PRÉSENTS
Plus en détailForum sur le développement social de Roussillon. Assurer l équilibre. 4 juin 2009. Manoir d Youville Île Saint-Bernard, Châteauguay
Forum sur le développement social de Roussillon Assurer l équilibre 4 juin 2009 Manoir d Youville Île Saint-Bernard, Châteauguay Assurer l équilibre Le CLD de Roussillon compte parmi ses instances la commission
Plus en détailFICHES DE PARCOURS DE FORMATION
FICHES DE PARCOURS DE FORMATION Ce document comprend : 3 fiches générales L industrie de la métallurgie Parcours de formation Conditions d admissibilité générales Fiches de métiers, dont : Électricien
Plus en détailL ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES
L ÉDUCATION THÉRAPEUTIQUE DU PATIENT EN 15 QUESTIONS - RÉPONSES CONTEXTE 1. Pourquoi avoir élaboré un guide sur l éducation thérapeutique du En réponse à la demande croissante des professionnels de santé
Plus en détailLes nouvelles offres de transport partagé dans les politiques de mobilité
Les nouvelles offres de transport partagé dans les politiques de mobilité Le cas de Montréal Marc Blanchet - Ville de Montréal Directeur direction des transports Préparé par : Service des infrastructures,
Plus en détailSdem50. Projet de déploiement d infrastructures de recharge sur le département de la Manche. Communauté de communes de Sèves-Taute le 7 octobre 2014
Sdem50 Projet de déploiement d infrastructures de recharge sur le département de la Manche Communauté de communes de Sèves-Taute le 7 octobre 2014 Un peu d histoire Les prémices du véhicule électrique
Plus en détailRésumé non technique. Tableaux d estimation
Résumé non technique Tableaux d estimation 4 Chapitre 1 Introduction 5 E n application de la directive européenne 2002/49/CE, et de ses retranscriptions en droit français (décret 2006-361 du 24 mars 2006
Plus en détailECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social
Nations Unies Conseil économique et social ECE/AC.21/SC/2014/3 Distr. générale 10 septembre 2014 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Réunion de haut niveau sur les transports,
Plus en détailPour une analyse stratégique des réseaux d acteurs des politiques publiques
Nous débuterons à 14h00. Pour une analyse stratégique des réseaux d acteurs des politiques publiques Téléconférence: 1-866-398-2885 Code: 239 172 3909 # Veuillez mettre votre téléphone en mode discrétion
Plus en détailMoins d accidents et moins de victimes en 2009
DIRECTION GÉNÉRALE STATISTIQUE ET INFORMATION ÉCONOMIQUE COMMUNIQUE DE PRESSE 12 avril 2011 Moins d accidents et moins de victimes en 2009 Les chiffres des accidents de la route portant sur 2009 viennent
Plus en détail2004 2014 : un risque a chassé l autre
2004 2014 : un risque a chassé l autre En 10 ans, le profil des conducteurs français a évolué, leur rapport à la conduite aussi. Pour autant le poids des bons et mauvais conducteurs est resté stable, de
Plus en détailLE SAMU SOCIAL DE BRUXELLES
LE SAMU SOCIAL DE BRUXELLES Le SAMU SOCIAL DE BRUXELLES Un dispositif de lutte contre l exclusion : 24h/24, 365j/an : 1) Une permanence téléphonique le N vert : 080099/340 2) Des équipes mobiles d aide
Plus en détailImpact économique de l industrie canadienne du camping et analyse des tendances SOMMAIRE EXÉCUTIF. www.ccrvc.ca
Impact économique de l industrie canadienne du camping et analyse des tendances SOMMAIRE EXÉCUTIF Le camping est une belle occasion de passer du temps en famille, de créer de beaux souvenirs qui dureront
Plus en détailPrise de position du CCRE sur la proposition de directive relative à l efficacité énergétique
COUNCIL OF EUROPEAN MUNICIPALITIES AND REGIONS CONSEIL DES COMMUNES ET REGIONS D EUROPE Inscrit au registre des représentants d intérêts de la Commission européenne. Numéro d inscription : 81142561702-61
Plus en détailForum du 07 /04 /2011
Forum du 07 /04 /2011 Bilan général du tout automobile et de ces conséquences. La voiture est devenue l objet primordial de nos déplacements Infrastructures au détriment de la qualité de la vie Conséquences
Plus en détailRESPONSABILITÉ, SANCTION Introduction: Être responsable de ses actes ET ASSURANCE. Il existe deux types de responsabilité
Introduction: Être responsable de ses actes Vivre en société exige l existence et le respect de règles visant à garantir la liberté des individus qui la composent, 2 mais aussi à les protéger sur les plans
Plus en détailMémoire de la Corporation de développement communautaire de Côte-des-Neiges portant sur le projet de Schéma d aménagement et de développement de l
Mémoire de la Corporation de développement communautaire de Côte-des-Neiges portant sur le projet de Schéma d aménagement et de développement de l agglomération de Montréal Novembre 2014 Mémoire sur le
Plus en détailRepenser l organisation du temps scolaire Corinne Azélie, Marc Zanoni et vous Vallon Pont d Arc, 3 février 2015
Repenser l organisation du temps scolaire Corinne Azélie, Marc Zanoni et vous Vallon Pont d Arc, 3 février 2015 Que pensez-vous? De vos nouveaux rythmes : Du point de vue des enseignants? 2 points positifs
Plus en détailPlan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture
Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret
Plus en détailISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009
REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.
Plus en détailLe développement des moyens de transport (1) a considérablement transformé
dossier L automobile et la ville : raisonner la cohabitation? par Jean-Pierre Orfeuil* * Professeur à l université Paris XII et responsable du D.E.A Transport. Cet article reprend en grande partie l introduction
Plus en détailMÉMOIRE L ORGANISATION DU TRANSPORT COLLECTIF DANS LA MRC DE L ASSOMPTION
MÉMOIRE L ORGANISATION DU TRANSPORT COLLECTIF DANS LA MRC DE L ASSOMPTION PRÉSENTÉ DANS LE CADRE DU PROJET PLAN D AMÉNAGEMENT ET DÉVELOPPEMENT MÉTROPOLITAIN PMAD 13 OCTOBRE 2011 1 INTRODUCTION La communauté
Plus en détailCompétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe
Compétences, qualifications et anticipation des changements dans le secteur de l électricité en Europe Un cadre d action commun des partenaires sociaux européens du secteur de l électricité I. Introduction
Plus en détailOrganiser une permanence d accès aux soins de santé PASS
Établissements de santé Droits et accueil des usagers Organiser une permanence d accès aux soins de santé PASS Recommandations et indicateurs Préface Faire face aux inégalités de santé qui touchent tout
Plus en détailMobilité durable, développement rural et cohésion territoriale
Mobilité durable, développement rural et cohésion territoriale «Des territoires ruraux, pôles de développement, contributifs à la Stratégie 2020 Rurality-Environment-Development International association
Plus en détailQuelle qualité de l air au volant? Premiers éléments de réponse en Ile-de-France
Quelle qualité de l air au volant? ---------------------------- Les automobilistes sont nettement plus exposés à la pollution atmosphérique que les piétons, même à proximité des grands axes. Tel est le
Plus en détailComprendre les négociations internationales sur le climat. Contexte, historique et enjeux
Comprendre les négociations internationales sur le climat Contexte, historique et enjeux Chapitre 1 LE CONTEXTE: L URGENCE CLIMATIQUE La planète s est déjà réchauffée de +0,8 C Les impacts Les impacts
Plus en détailGérard COLLOMB et ses équipes sont à l écoute de vos sollicitations et de vos demandes, car la Ville de demain se construit évidemment avec vous.
Madame, Monsieur, Dans un courrier électronique en date du 10 février 2014, vous nous avez interrogés en matière de transition énergétique et de lutte contre le changement climatique. Nous vous prions
Plus en détailFORMATION THÉORIQUE. Trait d Union TM
TM FORMATION THÉORIQUE Laurier Fortin, titulaire de la chaire CSRS Marie-France Bradley, Amélie Plante et Marielle Thibaudeau, psychoéducatrices et professionnelles de recherche PLAN DE LA PRÉSENTATION
Plus en détailNouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser»
Nouvelle stratégie européenne d action pour la jeunesse «Investir en faveur de la jeunesse et la mobiliser» Odile Quintin Directrice générale de la DG Education et Culture Commission européenne Bruxelles,
Plus en détailRÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement
RÉSUMÉ DU PLAN STRATÉGIQUE DE RECHERCHE (2013-2018) Une culture de l excellence en recherche et en développement La recherche à l Université Sainte-Anne L Université Sainte-Anne, par son emplacement géographique,
Plus en détailUne école adaptée à tous ses élèves
PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS Une école adaptée à tous ses élèves PLAN D'ACTION EN MATIÈRE D'ADAPTATION SCOLAIRE Québec Ministère de l'éducation Une école adaptée à tous ses élèves PRENDRE LE VIRAGE DU SUCCÈS
Plus en détailRÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ
RÉSEAU D ACTION PROFESSIONNELLE CSQ Compte-rendu Réunion du 22 octobre 2008 Cette réunion terminait un processus de 3 ans portant sur les cinq propositions pour une meilleure éducation au Québec. D entrée
Plus en détailRecommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains par Saint-Marin
Comité des Parties de la Convention du Conseil de l'europe sur la lutte contre la traite des êtres humains Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la
Plus en détaild infirmières et d infirmiers Pour être admissible au répit spécialisé sur référence Des services spécialisés intégrés en
DES SERVICES DES INTERVENTIONS DE RÉADAPTATION CIBLÉES ET SPÉCIFIQUES VISANT LE DÉVELOPPEMENT OPTIMAL DE LA PERSONNE ET AYANT COMME OBJECTIFS de favoriser l intégration et la participation sociales de
Plus en détailPrévention et gestion des risques hospitaliers et politique nationale
Prévention et gestion des risques hospitaliers et politique nationale La hiérarchisation des risques, une aide à la décision 2 ème congrès de l Afgris 16 et 17 octobre 2003 Direction de l Hospitalisation
Plus en détailCONSTRUIRE ET VIVRE ENSEMBLE
LANAUDIÈRE Novembre 2014 CONSTRUIRE ET VIVRE ENSEMBLE Pour des logements salubres et abordables qui répondent aux besoins de notre collectivité Bianca Bourbeau ps. éd. Coordonnatrice régionale en itinérance
Plus en détailCadre de gestion du fonds régional d investissement (FRIJ) en Chaudière-Appalaches
Cadre de gestion du fonds régional d investissement (FRIJ) en Chaudière-Appalaches Document mis à jour en avril 2014 Table de matière 1. RENSEIGNEMENTS GÉNÉRAUX 3 1.1 PRÉSENTATION DU FONDS RÉGIONAL D INVESTISSEMENT
Plus en détail[Texte] GLOSSAIRE DU CDT. [Texte]
GLOSSAIRE DU CDT AGENCE NATIONALE POUR LA RENOVATION URBAINE (ANRU) L agence nationale pour la rénovation urbaine est un établissement public industriel et commercial, créé par l article 10 de la loi d
Plus en détailProjet d Accueil. Entre Parent(s) et Assistant Maternel
Outil proposé par les Relais Parents Assistants Maternels des Côtes d Armor dans le cadre de leur mission d accompagnement. Ce document n a pas de valeur légale ou réglementaire. Juin 2012 Projet d Accueil
Plus en détailMONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL. Le moniteur-éducateur intervient dans des contextes différents :
MONITEUR-EDUCATEUR ANNEXE I : REFERENTIEL PROFESSIONNEL 1.1 DEFINITION DE LA PROFESSION ET DU CONTEXTE DE L INTERVENTION Le moniteur-éducateur participe à l'action éducative, à l'animation et à l'organisation
Plus en détailLa sécurité routière en France Bilan de l année 2007
La sécurité routière en France Bilan de l année 2007 Hôtel de Roquelaure 18 juin 2008 Jean CHAPELON Secrétaire général de l Observatoire national interministériel de sécurité routière (ONISR) La sécurité
Plus en détailSOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER
SOCIÉTÉ DE L ASSURANCE AUTOMOBILE DU QUÉBEC BILAN ROUTIER 2013 SOMMAIRE Depuis 1978,... le nombre de décès a chuté de 77,4 %. Il y a eu 399 décès sur les routes en 2013, soit 22 de moins qu en 2012, ce
Plus en détailPOLITIQUE INTERCULTURELLE
POLITIQUE INTERCULTURELLE Adoptée à la 269 e réunion du conseil d administration du 21 septembre 2009 Politique interculturelle Préambule Le Collège de Maisonneuve évolue dans un contexte interculturel
Plus en détailCAMPUS SANTÉ OUTAOUAIS : UNE SYNERGIE REMARQUABLE POUR PRENDRE SOIN DE LA SANTÉ DE L OUTAOUAIS
Communiqué CAMPUS SANTÉ OUTAOUAIS : UNE SYNERGIE REMARQUABLE POUR PRENDRE SOIN DE LA SANTÉ DE L OUTAOUAIS Gatineau, le 14 septembre 2009. Campus santé Outaouais, le consortium créé en juin 2008 et dont
Plus en détailATELIERS DE FORMATION PROFESSIONNELLE A LA PRISON LOCALE DE SALE RISQUES ET CONSEQUENCES. Présenté par Dr Mouna REGRAGUI Dr Mohammed Abdalilah NEJJAR
ATELIERS DE FORMATION PROFESSIONNELLE A LA PRISON LOCALE DE SALE RISQUES ET CONSEQUENCES SUR LA SANTE Présenté par Dr Mouna REGRAGUI Dr Mohammed Abdalilah NEJJAR Capacité de Médecine et Santé au Travail
Plus en détailIntervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Capacités d accueil, aménagements commerciaux, mutabilité foncière : des outils concrets pour construire un SCOT intégrant les vulnérabilités énergétiques et climatique Intervenant : Séverin Poutrel, BURGEAP
Plus en détailGaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes. à l habitation et aux déplacements d
Gaz à effet de serre émis et consommations énergétiques inhérentes à l habitation et aux déplacements d des ménagesm Exemple d un ménage de 3 personnes habitant un logement de 100m² à Lille Métropole Mars
Plus en détailN i1007 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI
N i1007 ASSEMBLÉE NATIONALE CONSTITUTION DU 4 OCTOBRE 1958 TREIZIÈME LÉGISLATURE Enregistré à la Présidence de l Assemblée nationale le. PROPOSITION DE LOI visant à renforcer la protection et la sécurité
Plus en détailPrésentation et proposition d engagement. Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013
COMMUNAUTE D AGGLOMERATION MARNE ET CHANTEREINE AGENDA 21 - DEVELOPPEMENT DURABLE PLAN CLIMAT ENERGIE TERRITORIAL Présentation et proposition d engagement Conseil Municipal de Courtry 13/06/2013 DE QUOI
Plus en détailLes actions en sécurité alimentaire, notre DSP avant 2006
Leadership et mobilisation intersectorielle t i régionale : l exemple du Comité intersectoriel sur la sécurité alimentaire à Laval (CASAL) Présentation dans le cadre des Journées annuelles de santé publique
Plus en détailSynthèse Mon projet d emploi
Synthèse Mon projet d emploi Nom : Date : Complété par : TÉVA Estrie 2012 La synthèse permet de recueillir les informations notées dans les questionnaires et de constater les ressemblances et les différences
Plus en détailRÉGIME DE PRÉVOYANCE OBLIGATOIRE
CONVENTION COLLECTIVE NATIONALE DES BUREAUX D ÉTUDES TECHNIQUES CABINETS D INGÉNIEURS CONSEILS SOCIÉTÉS DE CONSEILS RÉGIME DE PRÉVOYANCE OBLIGATOIRE DES SALARIÉS MALAKOFF MÉDÉRIC, VOTRE PARTENAIRE POUR
Plus en détailENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE
ENTENTE DE PRINCIPE INTERVENUE ENTRE LA FMOQ ET LE MSSS AFIN D ACCROÎTRE ET D AMÉLIORER L ACCESSIBILITÉ AUX SERVICES MÉDICAUX DE PREMIÈRE LIGNE CONSIDÉRANT les réels problèmes d accessibilité aux services
Plus en détailGroupement ICS eau et William Terry Conseil, représenté par:
Catalogue de Formations THERMALISME Accompagnement à la Certification Aquacert HACCP (Certification basée sur le Guide Bonnes Pratiques de la profession Conforme aux exigences règlementaires de janvier
Plus en détailDocument d information sur les inégalités sociales de santé et le logement. Laboratoire d innovation sociale sur le logement à Montréal
Document d information sur les inégalités sociales de santé et le logement Laboratoire d innovation sociale sur le logement à Montréal 1 Table des matières 1 Introduction... 3 2 Portrait des enjeux du
Plus en détailSynthèse du bilan carbone
Synthèse du bilan carbone patrimoine et services ville de CANNES Ce projet est co-financé par l Union europénne. Projet sélectionné dans le cadre du programme opérationnel FEDER PACA 27-213. Année de référence
Plus en détailPlan Stratégique 2008-2013
Plan Stratégique 2008-2013 Version finale Adopté le 26 septembre par le Conseil d administration Septembre 2008 Mission La Société Santé en français est un chef de file national qui assure, en étroite
Plus en détailOUTILS DE SENSIBILISATION : PIÉTON / CYCLISTE / AUTOMOBILISTE / CYCLOMOTEUR
OUTILS DE SENSIBILISATION : PIÉTON / CYCLISTE / AUTOMOBILISTE / CYCLOMOTEUR Piétons Les causes possibles d'accidents impliquant des piétons et des véhicules sont bien connues. La négligence, l'inattention
Plus en détail10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive»
10 ENGAGEMENTS, 30 PROPOSITIONS DE LA MAJORITÉ DÉPARTEMENTALE «Avec vous, une Saône et Loire innovante et attractive» Préambule Si l actuelle majorité peut indéniablement se prévaloir d un très bon bilan,
Plus en détailProfesseur Rémi Quirion, Scientifique en chef
4 e rencontre thématique en vue du Sommet sur l enseignement supérieur La contribution de la recherche à la société québécoise Professeur Rémi Quirion, Scientifique en chef Université du Québec à Rimouski
Plus en détail«La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.»
39 e Congrès de la Mutualité Française Résolution générale «La Mutualité Française ouvre de nouveaux chantiers innovants.» La crise financière, économique, sociale et écologique frappe durement notre pays,
Plus en détailAppel à projets. Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne
Appel à projets Portage et animation des «Forums Citoyens» Contrat de Ville de Narbonne Date limite : mercredi 25 février 2015 à 12h 1. Contexte La loi de programmation pour la ville et la cohésion urbaine
Plus en détailPROFIL DECEMBRE 2012 Contacts : Nathalie IRISSON, secrétaire générale - 01 53 04 16 21 Frédéric CASTELNAU, relations presse 06 62 23 05 15 www.
PROFIL DECEMBRE 2012 Contacts : Nathalie IRISSON, secrétaire générale - 01 53 04 16 21 Frédéric CASTELNAU, relations presse 06 62 23 05 15 www.gemaprevention.com -1- - @le_gema GEMA et GEMA Prévention
Plus en détailDenis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en régime d assurance collective
Le budget santé d une entreprise Denis Gobeille, M.Sc. R.I., CRHA Conseiller en régime d assurance collective Notre mission Faire de l assurance collective un outil de gestion de la santé Objectif: Outiller
Plus en détailSe donner les moyens d assurer la réussite du transport collectif
Se donner les moyens d assurer la réussite du transport collectif Mémoire présenté dans le cadre des consultations prébudgétaires 2010-2011 du ministère des Finances du Québec 22 février 2010 Document
Plus en détailConférence mondiale sur les déterminants sociaux de la santé. Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé
Déclaration politique de Rio sur les déterminants sociaux de la santé Rio de Janeiro (Brésil), 21 octobre 2011 1. À l invitation de l Organisation mondiale de la Santé, nous, Chefs de Gouvernement, Ministres
Plus en détailPRÉSENTATION DU PROGRAMME 2014
PRÉSENTATION DU PROGRAMME 2014 10 ANS DE CULTURE CÉLÉBRÉ AVEC LA NATURE! Grâce à votre fidèle participation et celle de plus de 100 institutions culturelles, le programme Cultivez le Jour de la Terre célébrera
Plus en détailCompétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental
Compétences de gestion et leadership transformationnel : les incontournables liés au nouveau contexte environnemental Natalie Rinfret, Ph.D. Colloque de l Association des directeurs généraux des services
Plus en détailÉvaluation d un projet pilote visant à promouvoir l utilisation correcte des sièges d auto pour enfants dans deux régions du Québec
Évaluation d un projet pilote visant à promouvoir l utilisation correcte des sièges d auto pour enfants dans deux régions du Québec INSTITUT NATIONAL DE SANTÉ PUBLIQUE DU QUÉBEC Rapport d évaluation Évaluation
Plus en détailwww.igg.fr Tout savoir sur l itinéraire à grand gabarit
www.igg.fr Tout savoir sur l itinéraire Direction Régionale de l Équipement Midi-Pyrénées Mission Grand Direction Régionale de l'équipement Midi-Pyrénées Cité administrative bâtiment A boulevard Armand
Plus en détailPar: Michel Morin, coordonnateur à l énergie et à l entretien. Président du comité d énergie régional LLL.
Par: Michel Morin, coordonnateur à l énergie et à l entretien. Président du comité d énergie régional LLL. Pierre Lefrancois, B.ing., consultant en gestion d énergie. Plan de la présentation La commission
Plus en détailAppuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports
Appuis de l ADEME à la Transition Energétique dans les Transports Jérôme CICILE Transports, Mobilité, Qualité de l Air ADEME Direction Régionale PACA ORT- Avril 2015 De l évaluation des filières énergétique
Plus en détail