Journée Resonord : atelier 1

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Journée Resonord 09.10.2014 : atelier 1"

Transcription

1 Journée Resonord : atelier 1 Présentation de l Agence du Bénévolat (AB) par Madame Caroline Milbert-Bové, chargée de direction. L AB dépend de l Association du Bénévolat Luxembourg a.s.b.l. présidée par Monsieur Marc Crochet. Missions de l Agence du Bénévolat : Est un Centre de consultation, d information et d échange pour l engagement bénévole Soutient les candidats au bénévolat dans la recherche d un projet/d une activité bénévole adéquat(e) Coopère avec le monde associatif et les secteurs privé et public Offre des entretiens d orientation et de formations en matière de bénévolat S engage à promouvoir la valorisation et la reconnaissance du bénévolat Soutient les entreprises dans leur engagement socialement responsable S occupe de la gestion du portail du bénévolat Présentation de 3 projets en cours réalisée par l agence du Bénévolat : 1. PROJET 1 : Label de qualité pour Associations L Année européenne du bénévolat 2011 a mis un cadre propice pour l élaboration de réflexions de fond concernant le bénévolat. Une des recommandations élaborées a été «de promouvoir et de travailler à un bénévolat de qualité Une meilleure qualité augmente le volume, l impact et la valeur du bénévolat. Il est admis que le bénévolat de qualité est le résultat d actions conjointes définies entre les principales parties prenantes et implique des partenariats multiples, solides et transparents entre acteurs.» (EYV 2011 Alliance Policy Agenda for Volunteering in Europe P.A.V.E.) Afin de répondre au mieux à ces orientations européennes et dans un souci de responsabilisation et de transparence, l Agence du Bénévolat se propose d introduire un label de qualité pour associations soutenu par l ONS. Pour répondre au double enjeu, ce label serait destiné à identifier et à valoriser les associations correspondant à des critères définis dont les principaux objectifs seraient : Promouvoir un bénévolat de qualité, tous secteurs confondus Mettre à disposition un outil accessible à toutes les associations, petites et grandes Fournir un cadre propice à la responsabilisation des associations Garantir une transparence à travers des critères définis à respecter par les associations Faciliter l engagement bénévole 1

2 La première étape est réalisée : la charte du bénévolat, accessible et adressée à toute organisation établie au Luxembourg (toute association, fondation, club etc). Elle sera lancée officiellement le 05 décembre 2014, journée internationale du bénévolat. Chaque association peut la signer et rendre ainsi visible une première étape vers une démarche de qualité. Se renseigner auprès de l Agence du Bénévolat : Tél : ou agence.benevolat@pt.lu 2. PROJET 2 : 72 Stonnen Bénévolat du 15 au 17 mai 2015 (2 ème édition) Définition : Le projet «72 STONNEN, Bénévolat fir unzepaken» est une manifestation de 72 heures, qui regroupe les associations/organisations désirant mieux se faire connaître et par la même occasion, recruter de nouveaux bénévoles. Chaque association est invitée à présenter un projet précis, une action déterminée et interactive où tout un chacun peut participer. L action est annoncée sur le site internet spécialement conçu à cet effet au moment et pendant la durée qui est définie par l association La population a la possibilité de s intéresser aux activités des associations locales, poser des questions et, le cas échéant, s engager bénévolement. Objectif : Les associations présenteront une activité/projet/action (repeindre une balustrade, tondre le gazon, ranger des jeux etc) pendant les 72 heures. Les associations sont libres de proposer un programme cadre de la manifestation : animations, restauration, visites ou et de demander la collaboration de leurs communes. (Les horaires, projets, activités seront communiquées par internet). Les visiteurs des différents évènements pourront prêter main-forte à la réalisation du projet et par ce biais l association pourra recruter de nouveaux bénévoles motivés. Les futurs bénévoles auront directement un aperçu de la cohésion sociale de l association. Les responsables pour l encadrement des bénévoles donneront sur place les informations nécessaires des tâches pour lesquelles ils nécessitent des bénévoles. L évènement aide à la consolidation de l intégration dans le secteur géographique de l association et à créer de nouveaux contacts. Missions de l Agence du Bénévolat : L Agence du Bénévolat lance le projet, regroupe et diffuse l information pour le public, identifie les associations intéressées désirant participer à ce projet. Les associations sont priées de présenter leurs actions et sont responsables du bon déroulement de leurs activités pendant l événement. Elles sont priées de s investir, dans la mesure de leur possibilités, dans la promotion de l événement (inclure la commune, distribution de flyers, parler le l événement etc ) Le rôle de l Agence est de promouvoir la manifestation par une publicité adéquate auprès des médias luxembourgeois et locaux. 2

3 3. PROJET 3 : Partenariat Association-Entreprise L Agence du Bénévolat est contactée par différentes entreprises établies au Luxembourg qui désirent offrir une JOURNEE DE SOLIDARITE. En d autres mots, quelques salariés (ou un service entier) sont mis à disposition pour offrir leur savoir-faire et leurs compétences professionnels et/ou personnels pendant par exemple une journée, durant leurs heures de travail habituelles au service d une association. Rôle de l Agence du Bénévolat : L Agence se veut médiateur pour bien préparer les deux parties aux enjeux d un tel événement. En effet, ce partenariat nécessite une très bonne préparation et clarification aussi bien sur le principe de collaboration que sur les détails. Un médiateur neutre est important pour éviter toute mésentente. Une fois le concept et les détails clarifiés, l Agence met en relation les responsables de part et d autre pour s entendre sur les dernières questions pratiques. Contenu débat Atelier 1 : Avant de commencer tout débat, les participants ont souhaités remplacer le terme de professionnels par le terme de salariés. Dans le cadre du bénévolat, il est important de noter qu un bénévole peut également réaliser un travail de manière professionnelle. (ex médecins bénévoles, assistantes sociales bénévoles, psychologues bénévoles etc). Le bénévole est capable, selon son profil et son expertise personnelle et professionnelle, de réaliser un travail bénévole avec professionnalisme. Il n est pas rémunéré pour son bénévolat et se différencie ainsi par son statut du salarié qui travaille dans le cadre d un contrat de travail. Il se peut que, dans certains cas, l expertise et la compétence du salarié et du bénévole soient identiques. Certains cas de figures montrent qu un bénévole soit recruté pour son expertise (ex médecin bénévole recruté par un chargé de direction salarié d une autre formation). Tous deux, salarié et bénévole travaillent avec professionnalisme. A été soulignée la valeur économique importante que peut représenter le bénévolat pour un pays. Il pourrait être intéressant pour les associations de noter les heures de bénévolat et de faire un calcul du montant en salaire que le bénévolat représente. Ceci est notamment intéressant s il est nécessaire de recruter des bénévoles pour des raisons économiques. Noter qu une étude européenne précise que la valeur économique du bénévolat représente 1-2% du PIB de notre pays. 3

4 Souhaits des participants concernant les thèmes à aborder : - Communication positive entre bénévoles et salariés ( bonne volonté ne suffit pas, limites dans la participation aux décisions, etc) - Recrutement de bénévoles - Encadrement/gestion de bénévoles gestion ressources humaines - Difficultés à éviter - Comment valoriser les bénévoles, plus value des bénévoles pour une association - Rôle de la direction dans le recrutement et la gestion de bénévoles - Différences entre associations gérées par bénévoles et qui recrutent un salarié et l inverse, les associations gérées par des salariés qui recrutent des bénévoles. Résumé du contenu du débat : Il existe différentes formes de partage de travail dans le cadre d une collaboration salarié-bénévole. Quelques exemples sont le travail en complément l un à l autre où salarié et bénévoles réalisent communément une tâche, le travail sur un même projet où chacun a sa part de responsabilité, le travail sur différents projets où chacun, salarié et bénévole travaille de manière responsable et autonome sur un projet distinct, etc Les relations entre bénévoles et salariés peuvent cependant porter à conflit. Les conflits peuvent avoir différentes causes et se situer à différents niveaux : - Niveau de la gestion de bénévoles (gestion quotidien/ management ; responsable et/ou de la gouvernance ; production) - Niveau de la communication avec les bénévoles Il est intéressant de travailler sur des modèles de philosophie d action :pour quelles raisons travaillons-nous avec des bénévoles, quelle est la plus value, quelles sont les missions, de quelles compétences avons-nous besoin? Pour optimiser les compétences de ses bénévoles, une association peut offrir des formations. Nombreuses sont celles qui le font déjà dans un cadre bien défini. Il ressort de la discussion qu il est important que les compétences demandées soient clairement formulées. Il est également intéressant de partager clairement les missions de l association et du bénévole, de définir son profil en adéquation et de clarifier les missions différentes entre salariés et bénévoles. 4

5 Un moyen efficace pour clarifier le «contrat de travail» au sein du bénévolat, est le document «convention». La convention clarifie les rôles, missions et compétences de chacun, et signale la confiance respective. Elle met un cadre de travail intéressant. La convention ne doit pourtant pas être une dissuasion pour le bénévole qui peut prendre peur et se désister. La convention peut être très utile pour certains fonctionnements d associations. Elle peut représenter un obstacle d engagement pour d autres. La discussion relève qu il est important de donner au bénévole un moment d orientation au sein de l organisation ( Schnuppertage). Les membres de l atelier retiennent certains points relevant de la gestion des bénévoles qui sont destinés au bon encadrement, à la bonne gestion des bénévoles et à la prévention de conflits entre bénévoles et salariés : - Partage clair des missions de l association - Etablissement d un profil clair du bénévoles pour des missions précises - Mandater une personne de contact pour les bénévoles - Définir les tâches et missions de la personne de contact pour les bénévoles - Etablir une période d essai et d intégration pour le bénévole (Schnuppertage) - Disposer d une convention pour bénévoles et définir le moment pour l utiliser (idéalement après la période d essai) - Veiller à fixer les règles de secret professionnel pour les bénévoles - Il est possible de demander un casier judiciaire aux bénévoles, veiller à un suivi et une évaluation respective du bénévolat réalisé - Prévoir des formations pour bénévoles si nécessaire - Disposer d un lieu, endroit, local, réservé aux bénévoles avec du matériel nécessaire à la réalisation des tâches bénévoles - Veiller à la valorisation et reconnaissance des bénévoles - Prévoir un entretien de sortie en fin de bénévolat (au début du bénévolat on parle de la fin) - Etablir et communiquer les règles non négociables 5

Charte FAIR PRICE «Eis Präisser si korrekt!»

Charte FAIR PRICE «Eis Präisser si korrekt!» Charte FAIR PRICE «Eis Präisser si korrekt!» soutenue par 29 février 2008 Charte FAIR PRICE Page 1 / 6 La Charte FAIR PRICE «Eis Präisser si korrekt!» a pour objectif de promouvoir la transparence et le

Plus en détail

Déclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée

Déclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée Déclaration conjointe de la CoESS et d UNI-Europa sur l harmonisation européenne des législations gouvernant le secteur de la sécurité privée Introduction Dans l Union européenne, le secteur de la sécurité

Plus en détail

DOCUMENT DE CONSULTATION

DOCUMENT DE CONSULTATION COMMISSION EUROPÉENNE Bruxelles, le 10.4.2015 C(2015) 2303 final DOCUMENT DE CONSULTATION Première phase de consultation des partenaires sociaux au titre de l article 154 du TFUE concernant une consolidation

Plus en détail

CONVENTION D ACCUEIL AU PAIR 1

CONVENTION D ACCUEIL AU PAIR 1 CONVENTION D ACCUEIL AU PAIR 1 La présente convention d accueil au pair est conclue entre la famille d accueil ci-après désignée: Madame nom et prénom Matricule nationale et / ou Monsieur nom et prénom

Plus en détail

Ghana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni.

Ghana, de l Inde, de la Jordanie, du Kenya, du Mexique, de New Zélande, du Portugal, de Serbie et du Royaume Uni. Principes de Belgrade sur la relation entre les Institutions nationales des droits de l Homme et les Parlements (Belgrade, Serbie, les 22-23 février 2012) Le séminaire international de février 2012 sur

Plus en détail

RECOMMANDATIONS COMMISSION

RECOMMANDATIONS COMMISSION L 120/20 Journal officiel de l Union européenne 7.5.2008 RECOMMANDATIONS COMMISSION RECOMMANDATION DE LA COMMISSION du 6 mai 2008 relative à l assurance qualité externe des contrôleurs légaux des comptes

Plus en détail

Avis de la Chambre des Métiers

Avis de la Chambre des Métiers CdM/18/04/2012-133-11 Proposition de Directive relative au règlement extrajudiciaire des litiges de consommation. Proposition de Règlement relatif au règlement en ligne des litiges de consommation. Avis

Plus en détail

RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS AVEC SES CITOYENS

RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS AVEC SES CITOYENS PROVINCE DE QUÉBEC MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE COMTÉ DE RIVIERE-DU-LOUP RÈGLEMENT NO. 2010-02-289 AUX FINS DE DOTER LA MUNICIPALITÉ DE NOTRE-DAME-DU-PORTAGE D UNE POLITIQUE DE GESTION DES RELATIONS

Plus en détail

Numéro de déclaration d organisme formateur: 83430318543

Numéro de déclaration d organisme formateur: 83430318543 ESPACE GRENOUILLIT FORMATION 47 Bd St Louis 43000 LE PUY EN VELAY Tél. : 04 71 09 33 86 Mail : communication@espace-grenouillit.com Siret: 441 763 646 000 29 Numéro de déclaration d organisme formateur:

Plus en détail

REUNION DU GROUPE DE TRAVAIL MAE-ONG

REUNION DU GROUPE DE TRAVAIL MAE-ONG REUNION DU GROUPE DE TRAVAIL MAE-ONG Réunion du 6 juin 2014 Procès-verbal Liste des participants Pour le Ministère des Affaires étrangères et européennes : Madame Martine SCHOMMER Monsieur Manuel TONNAR

Plus en détail

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre?

Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Réduire la pauvreté : comment les collectivités territoriales peuvent-elles être des catalyseurs du développement économique pro-pauvre? Les trois dernières décennies ont été marquées par des progrès impressionnants

Plus en détail

TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE

TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS RÉGLEMENTAIRES LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. FORME JURIDIQUE TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. - INFORMATIONS LA SOCIÉTÉ TREETOP ASSET MANAGEMENT S.A. RÉGLEMENTAIRES FORME JURIDIQUE TreeTop Asset Management S.A. (ci-après «TREETOP» ou la «Société») est une société anonyme

Plus en détail

FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques

FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES. Promouvoir les soins pharmaceutiques FORMATION CONTINUE RECHERCHE APPLIQUÉE OUTILS PÉDAGOGIQUES Promouvoir les soins pharmaceutiques PRÉSENTATION DE LA FORMATION Contexte Le métier du pharmacien est en pleine évolution. Un concept qui va

Plus en détail

Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration

Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration Annexe IV : rapport du Président du Conseil d Administration joint au rapport de gestion rendant compte des conditions de préparation et d organisation des travaux du Conseil ainsi que des procédures de

Plus en détail

Pour un dialogue réussi enseignant parent parent enseignant

Pour un dialogue réussi enseignant parent parent enseignant Pour un dialogue réussi enseignant parent parent enseignant le mot du médiateur de l éducation nationale Madame, monsieur, Parent, enseignant, vous aurez l occasion, au long de l année scolaire, de vous

Plus en détail

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi?

Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? Emploi 3 Comment les entreprises anticipent-elles le vieillissement de l emploi? François Brunet* Inévitablement les générations nombreuses du baby-boom nées entre 1946 et 1973 s approchent de l âge légal

Plus en détail

Animer des séances pratiques et/ou des laboratoires

Animer des séances pratiques et/ou des laboratoires Évaluation par un professeur superviseur Nom de l évaluateur évaluatrice Date de l évaluation 1. Choisir le niveau approprié. L assistante assistant d enseignement est : débutant (1 re expérience à titre

Plus en détail

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE

CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE CHARTE DES UNIVERSITÉS EUROPÉENNES POUR L APPRENTISSAGE TOUT AU LONG DE LA VIE European University Association Association Européenne de l'université Copyright 2008 par l Association Européenne de l Université

Plus en détail

Les Principes fondamentaux

Les Principes fondamentaux Les Principes fondamentaux DU MOUVEMENT INTERNATIONAL DE LA CROIX-ROUGE ET DU CROISSANT-ROUGE Christoph von Toggenburg/CICR Les Principes fondamentaux du Mouvement international de la Croix-Rouge et du

Plus en détail

(la Société ) I. ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE

(la Société ) I. ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE Wereldhave Belgium SCA Société en commandite par action Société publique d investissement à capital fixe en immobilier (Sicafi) de droit belge Medialaan 30, boîte 6 1800 Vilvoorde Numéro d entreprises

Plus en détail

SAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste

SAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste DESCRIPTIF DE VISION SAM/TES Samenwerken voor een meer rechtvaardige maatschappij Travailler ensemble pour une société plus juste Un centre d expertise en tant que balise pour le huissier de justice soucieux

Plus en détail

La Formule pour la réussite des satellites de club

La Formule pour la réussite des satellites de club La Formule pour la réussite des satellites de club COMMENT LANCER UN SATELLITE Vous voulez rendre votre club encore plus pratique, gratifiant et attrayant pour les membres potentiels et les membres actuels?

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

LA DÉMOCRATIE LOCALE. Vers une citoyenneté participative. Avec le soutien de la Wallonie

LA DÉMOCRATIE LOCALE. Vers une citoyenneté participative. Avec le soutien de la Wallonie LA DÉMOCRATIE LOCALE Vers une citoyenneté participative Avec le soutien de la Wallonie Citoyenneté responsable Le citoyen responsable est «à la mode» politique médias monde éducatif monde associatif Citoyenneté

Plus en détail

RECUEIL DE LEGISLATION. A N 163 13 juillet 2009. S o m m a i r e

RECUEIL DE LEGISLATION. A N 163 13 juillet 2009. S o m m a i r e MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 2391 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 163 13 juillet 2009 S o m m a i r e ENSEIGNEMENT FONDAMENTAL: TÂCHE

Plus en détail

1 5 : M A 15 minutes d'avance

1 5 : M A 15 minutes d'avance 15 minutes, c est peu dans une journee mais c est juste le temps qu il nous faut pour preparer l avenir... Magalie PETIT CONSEIL EN DEVELOPPEMENT COMMERCIAL ET COLLECTE DE FONDS M A 1 5 : 15:MA est une

Plus en détail

PV de la Réunion Grappe Langues du 08 juin 2009-06-09

PV de la Réunion Grappe Langues du 08 juin 2009-06-09 PV de la Réunion Grappe Langues du 08 juin 2009-06-09 Présents : Mme Sac (Professeur de langues dans le primaire à Bertrix) ; Mme Mathy (Professeur de langues dans le secondaire à Arlon) ; M. Dominé (Professeur

Plus en détail

Évaluation en vue de l accréditation. Programme Master Européen en Médiation de l Institut Universitaire Kurt Bösch

Évaluation en vue de l accréditation. Programme Master Européen en Médiation de l Institut Universitaire Kurt Bösch Évaluation en vue de l accréditation Programme Master Européen en Médiation de l Institut Universitaire Kurt Bösch Rapport final du Comité de visite de l OAQ 30 août 2005 I - Description du processus d

Plus en détail

DOSSIER D ENTREPRISE ENTREPRENEURIAT TRANSFORMATION CROISSANCE

DOSSIER D ENTREPRISE ENTREPRENEURIAT TRANSFORMATION CROISSANCE DOSSIER D ENTREPRISE ENTREPRENEURIAT TRANSFORMATION CROISSANCE MOT DE BIENVENUE Le temps des défis est aussi celui des opportunités Madame, Monsieur, J ai le plaisir de partager avec vous le lancement

Plus en détail

Tableau récapitulatif de l analyse fréquentielle

Tableau récapitulatif de l analyse fréquentielle Tableau récapitulatif de l analyse fréquentielle Très Plutôt Quelque Ni Quelque Plutôt Très TOTAL peu ni peu 1. L utilité du d inclure le contexte dans la note de stratégie 4% 4% 4% 8% 64% 16% 100% 2.

Plus en détail

ASSEMBLEE GENRALE 2015

ASSEMBLEE GENRALE 2015 ASSEMBLEE GENRALE 2015 Réponse du conseil d Administration du 29 avril 2015 (articles L. 225-108 et R 225-84 du Code de commerce) QUESTIONS ECRITES D ACTIONNAIRE posée le 17 avril 2015 par EUROPEAN WOMEN

Plus en détail

Gestion des salaires éprouvé pour PME suisses.

Gestion des salaires éprouvé pour PME suisses. éprouvé pour PME suisses. Gestion commerciale Comptabilité Travailler de façon plus efficace Davantage de temps pour les tâches de direction Des milliers de PME suisses travaillent avec la gestion des

Plus en détail

Intervenants. Problématiques annexes Les données personnelles dans le cadre de l administration électronique. Démonstration Questions - Réponses

Intervenants. Problématiques annexes Les données personnelles dans le cadre de l administration électronique. Démonstration Questions - Réponses Protection des données d entreprise, patrimoine informationnel d une société Identification de l information à valeur ajoutée Un patrimoine d information à protéger impérativement Traitement des données

Plus en détail

Conférence de presse. Jeudi 23 avril 2009 LIVRE BLANC. pour développer les enchères électroniques et protéger le consommateur

Conférence de presse. Jeudi 23 avril 2009 LIVRE BLANC. pour développer les enchères électroniques et protéger le consommateur Conférence de presse Jeudi 23 avril 2009 LIVRE BLANC pour développer les enchères électroniques et protéger le consommateur Les enchères électroniques : de vrais enjeux économiques Selon une étude du BIPE,

Plus en détail

CHAPITRE 7 RELATIONS DE TRAVAIL

CHAPITRE 7 RELATIONS DE TRAVAIL Les relations de travail sont révélatrices de l atmosphère qui règne au sein de votre entreprise. Le gestionnaire désirant obtenir de saines relations de travail se doit d être proactif dans ses actions.

Plus en détail

Téléfilm Canada. Du cinéma au téléphone cellulaire

Téléfilm Canada. Du cinéma au téléphone cellulaire Téléfilm Canada Du cinéma au téléphone cellulaire Téléfilm Canada Pourquoi sommes-nous ici aujourd hui? Pour vous donner un compte rendu de ma première année comme directeur général de Téléfilm Canada

Plus en détail

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte

Comité de Bâle sur le contrôle bancaire. Charte Comité de Bâle sur le contrôle bancaire Charte Janvier 2013 La présente publication est disponible sur le site de la BRI (www.bis.org). Banque des Règlements Internationaux 2013. Tous droits réservés.

Plus en détail

Plan d Action sur la Gouvernance d Entreprise

Plan d Action sur la Gouvernance d Entreprise Plan d Action sur la Gouvernance d Entreprise 3 mars La Salle de Conférence Centre Panafricain Ecobank 2365 Boulevard du Mono Lomé Togo 3443_GRP_EX_AGM_NOTICE_275x190mm_FR.indd 2 11/02/ 10:04 Proposition

Plus en détail

Contrats commerciaux Contrats de distribution, d agence, de franchise, de coopération, de recherche et développement, de licence.

Contrats commerciaux Contrats de distribution, d agence, de franchise, de coopération, de recherche et développement, de licence. 1996. Quatre avocats issus d un cabinet international de premier plan s associent pour créer leur propre cabinet BMG Avocats, spécialisé dans le droit des affaires. Le cabinet dispose aujourd hui de bureaux

Plus en détail

educationsolidarite.org

educationsolidarite.org Education International Internationale de l'education Internacional de la Educaciòn Bildungsinternationale Conception : L.Talbot & Efficience Crédits photographiques : sxc.hu - flashfilm Juin 2008 educationsolidarite.org

Plus en détail

AVIS FORMEL DU CONSEIL D ETAT. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les membres de la commission, * * *

AVIS FORMEL DU CONSEIL D ETAT. Monsieur le Président, Mesdames, Messieurs les membres de la commission, * * * CONSEIL D ETAT Château cantonal 1014 Lausanne Commission thématique de la modernisation du parlement Secrétariat général du Grand Conseil Place du Château 6 1014 Lausanne Réf. : PM/15007041 Lausanne, le

Plus en détail

Zurich Invest SA. Le placement de vos valeurs patrimoniales est une activité exigeante et délicate. Confiez-la à des professionnels.

Zurich Invest SA. Le placement de vos valeurs patrimoniales est une activité exigeante et délicate. Confiez-la à des professionnels. Zurich Invest SA Le placement de vos valeurs patrimoniales est une activité exigeante et délicate. Confiez-la à des professionnels. Zurich Invest SA à l écoute des investisseurs. Zurich Invest SA, filiale

Plus en détail

Charte de la Société suisse de la sclérose en plaques

Charte de la Société suisse de la sclérose en plaques Charte de la Société suisse de la sclérose en plaques Préambule La présente charte tend à rassembler l essentiel des principes, valeurs et visions qui sont chères à la Société suisse de la sclérose en

Plus en détail

RÈGLEMENT. sur la collaboration avec les intermédiaires

RÈGLEMENT. sur la collaboration avec les intermédiaires RÈGLEMENT sur la collaboration avec les intermédiaires Fédération Internationale de Football Association Président : Joseph S. Blatter Secrétaire Général : Jérôme Valcke Adresse : FIFA FIFA-Strasse 20

Plus en détail

B E L G I A N R E D C R O S S

B E L G I A N R E D C R O S S Rue de Stalle 96 1180 Bruxelles Tél: 02/371.31.11 www.croix-rouge.be Jean-Pierre Boulanger IBR - IRE Directeur Administratif et Financier 17 Octobre 2008 Croix-Rouge de Belgique, Communauté Francophone

Plus en détail

Catalogue des formations

Catalogue des formations Catalogue des formations S FORMATIONS OPÉRATIONNELLES POUR LES ARTISANS ET LES ENTREPRENEURS Une nouveauté CAPBOX 2012 370 DU MANAGEMENT Animer et motiver son équipe Recruter et intégrer un nouveau collaborateur

Plus en détail

LE CONSEIL GÉNÉRAL VOUS PRÉSENTE. Constitution du dossier de demande d agrément

LE CONSEIL GÉNÉRAL VOUS PRÉSENTE. Constitution du dossier de demande d agrément LE CONSEIL GÉNÉRAL VOUS PRÉSENTE haute-garonne.fr Le dossier de demande Constitution du dossier de demande d agrément Les pièces à communiquer à la confirmation de la demande : u Le formulaire «ADOPTION-Demande

Plus en détail

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,

Plus en détail

DOSSIER DE PRÉSENTATION

DOSSIER DE PRÉSENTATION DOSSIER DE PRÉSENTATION K I W A N I S M A U S UNE INITIATIVE DU KIWANIS CLUB LUXEMBOURG REV. 1.6 OCT 2014 1. LA KIWANIS MAUS EN QUELQUES MOTS Le projet Kiwanis Maus 1 a comme objectif d aider le personnel

Plus en détail

A propos de la médiation

A propos de la médiation A propos de la médiation La médiation, une démarche volontaire mais spécifique Si toute personne peut, en principe, être médiateur, il faut avoir suivi avec un succès une formation d'un minimum de 90 heures

Plus en détail

Réponse des autorités françaises à la consultation de la Commission européenne sur l accès à un compte de paiement de base

Réponse des autorités françaises à la consultation de la Commission européenne sur l accès à un compte de paiement de base Novembre 2010 Réponse des autorités françaises à la consultation de la Commission européenne sur l accès à un compte de paiement de base La France partage pleinement le souci de la Commission européenne

Plus en détail

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc

Expert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société

Plus en détail

Charte d audit du groupe Dexia

Charte d audit du groupe Dexia Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans

Plus en détail

RÈGLEMENT RÉGISSANT LE COMPTE CLIENT

RÈGLEMENT RÉGISSANT LE COMPTE CLIENT RÈGLEMENT RÉGISSANT LE COMPTE CLIENT 2015 www.iccrc-crcic.ca Version : 2015-002 Dernière modification : 3 juillet 2015 Page 2 de 13 Table des matières MODIFICATIONS DE SECTIONS... 4 Section 1 INTRODUCTION...

Plus en détail

RE : Changement proposé au processus de vérification du casier judiciaire à la dactyloscopie

RE : Changement proposé au processus de vérification du casier judiciaire à la dactyloscopie RE : Changement proposé au processus de vérification du casier judiciaire à la dactyloscopie De : National Association of Professional Background Screeners (NAPBS) - Chapitre Canadien À titre d'intervenant

Plus en détail

Charte éthique et qualité

Charte éthique et qualité Charte éthique et qualité Par la présente charte, Laclim s engage à garantir la qualité des biens et services fournis et se dote d une ligne de conduite responsable envers ses clients et collaborateurs.

Plus en détail

Les Assurances au Luxembourg

Les Assurances au Luxembourg Les au Luxembourg QUALIFICATION PROFESSIONNELLE Face à un environnement législatif et à une gamme de produits en mutation constante, les assureurs de la place ont souhaité se doter d une offre commune,

Plus en détail

Justine Ludi. HEAD Genève

Justine Ludi. HEAD Genève Justine Ludi HEAD Genève Laura Wohlgehaben HEAD Genève Karine Laurence EAVM Montréal Projet Évolution chronologique du projet. Nos projets étaient quasi identiques lors de la formation des groupes. Dans

Plus en détail

X X. Demandeurs. Entreprise DÉCISION DEMANDE D EXAMEN DE MÉSENTENTE EN MATIÈRE D ACCÈS.

X X. Demandeurs. Entreprise DÉCISION DEMANDE D EXAMEN DE MÉSENTENTE EN MATIÈRE D ACCÈS. Commission d accès à l information du Québec Dossier : 05 10 23 Date : 31 juillet 2006 Commissaire : M e Hélène Grenier X X Demandeurs c. MELOCHE MONNEX INC. (SÉCURITÉ NATIONALE CIE D ASSURANCE) Entreprise

Plus en détail

Sage CRM. Customer Relationship Management (CRM) pour petites et moyennes entreprises

Sage CRM. Customer Relationship Management (CRM) pour petites et moyennes entreprises Sage CRM Customer Relationship Management (CRM) pour petites et moyennes entreprises La clé de votre succès. Sage CRM, en tant que solution CRM primée, livre aux petites et moyennes entreprises dans le

Plus en détail

Comme cet outil est un des outils majeurs professionnels, Facebook vous propose également une Aide.

Comme cet outil est un des outils majeurs professionnels, Facebook vous propose également une Aide. Gérer les publicités Il est possible de réaliser des campagnes de publicité sur Facebook. Que ce soit pour un groupe, une page ou un site internet, vous pouvez faire une publicité très ciblée qui paraîtra

Plus en détail

7 octobre 2014 Entretiens Jacques Cartier

7 octobre 2014 Entretiens Jacques Cartier Le projet de formation «Partenaires, jusqu à la fin» Déterminer avec le patient et ses proches les objectifs de ses soins en contexte de maladie grave et de fin de vie 7 octobre 2014 Entretiens Jacques

Plus en détail

L Ag ence esanté en route...

L Ag ence esanté en route... L Ag ence esanté en route... Le Luxembourg souhaite se doter d un dossier électronique national d échange et de partage de données de santé, entre et pour les professionnels de santé intervenant auprès

Plus en détail

étude Le marché de la Gestion de Fortune à Luxembourg en 2009

étude Le marché de la Gestion de Fortune à Luxembourg en 2009 étude Le marché de la Gestion de Fortune à Luxembourg en 2009 Janvier 2010 Début 2009, Edouard Franklin avait réalisé une première étude sur la banque privée et sa population à Luxembourg. Initiative complémentaire

Plus en détail

Commentaires formulés lors de la période de consultation officielle, du 15 mai au 1 ier juin 2015

Commentaires formulés lors de la période de consultation officielle, du 15 mai au 1 ier juin 2015 Avis écrits, lignes directrices et notes d interprétation Ligne directrice n o 2015-07 Élection partielle remplacée par une élection générale Commentaires formulés lors de la période de consultation officielle,

Plus en détail

Charte des valeurs NIEDAX GROUP - Code de Conduite -

Charte des valeurs NIEDAX GROUP - Code de Conduite - Charte des valeurs NIEDAX GROUP - Code de Conduite - Version 1.0 Principes et lignes directrices des entreprises de NIEDAX GROUP pour un management socialement responsable Page 1 sur 7 Charte des valeurs

Plus en détail

VERIFICATION MAINTENANCE ET RENOUVELLEMENT DES SYSTEMES DE DETECTION INTRUSION ET TELESURVEILLANCE DES BATIMENTS COMMUNAUX

VERIFICATION MAINTENANCE ET RENOUVELLEMENT DES SYSTEMES DE DETECTION INTRUSION ET TELESURVEILLANCE DES BATIMENTS COMMUNAUX MAIRIE DE REPUBLIQUE FRANCAISE BP 9 33611 CESTAS CEDEX www.mairie-cestas.fr Tel : 05 56 78 13 00 Fax : 05 57 83 59 64 VERIFICATION MAINTENANCE ET RENOUVELLEMENT DES SYSTEMES DE DETECTION INTRUSION ET TELESURVEILLANCE

Plus en détail

accueil Ecole Supérieure du Numérique de Normandie Animateur Webmarketing

accueil Ecole Supérieure du Numérique de Normandie Animateur Webmarketing accueil Ecole Supérieure du Numérique de Normandie CATALOGUE DES FORMATIONS Animateur Webmarketing Ecole supérieure du Numérique de Normandie Août 2014 Animateur Webmarketing. Cliquez sur le thème qui

Plus en détail

Robert Half Technologie : Le partenaire de vos recrutements

Robert Half Technologie : Le partenaire de vos recrutements Robert Half Technologie : Le partenaire de vos recrutements Fondé en 1948, Robert Half International est le leader mondial du recrutement spécialisé. Nous possédons l expérience et les contacts nécessaires

Plus en détail

Quelques éléments de cadrage

Quelques éléments de cadrage La prise en compte du développement durable passe par la prise en compte de l achat vert qui vise au respect de l environnement mais également de l achat éthique qui veille au respect des droits sociaux

Plus en détail

Qui sommes nous? Nos prestations Recrutement CDI/CDD Intérim Evaluation Sourcing Payrolling. Nos références. www.sofitex-experts.

Qui sommes nous? Nos prestations Recrutement CDI/CDD Intérim Evaluation Sourcing Payrolling. Nos références. www.sofitex-experts. Qui sommes nous? Réseau d agences emploi spécialisé dans les domaines : «Scientifique (pharmaceutique, chimie, biotechnologies), Ingénierie et Industrie, Nouvelles technologies» Recrutement et intérim

Plus en détail

TABLE DES MATIÈRES 7 QUILVEST WEALTH MANAGEMENT 9 LE GROUPE QUILVEST WEALTH MANAGEMENT 13 LES VALEURS 19 LES SERVICES 23 LE GROUPE QUILVEST

TABLE DES MATIÈRES 7 QUILVEST WEALTH MANAGEMENT 9 LE GROUPE QUILVEST WEALTH MANAGEMENT 13 LES VALEURS 19 LES SERVICES 23 LE GROUPE QUILVEST 1 2 TABLE DES MATIÈRES 7 QUILVEST WEALTH MANAGEMENT 9 LE GROUPE QUILVEST WEALTH MANAGEMENT 13 LES VALEURS 19 LES SERVICES 23 LE GROUPE QUILVEST 6 Quilvest Wealth Management QUILVEST WEALTH MANAGEMENT

Plus en détail

Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de surveillance. Approuvé par le CCRRA en juin 2015

Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de surveillance. Approuvé par le CCRRA en juin 2015 Services de conciliation en assurance Cadre de collaboration et de Approuvé par le CCRRA en juin 2015 Mise à jour du Forum conjoint des autorités de réglementation du marché financier Réseau de conciliation

Plus en détail

Réforme du crédit à la consommation Position de la CCIP

Réforme du crédit à la consommation Position de la CCIP Rapports et études Les prises de position de la Chambre de commerce et d industrie de Paris Réforme du crédit à la consommation Position de la CCIP Rapport de Monsieur Philippe HOUZÉ avec la collaboration

Plus en détail

CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM

CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM CANDIDATURE AUX FONCTIONS DE DIRECTEUR GENERAL DE L ENSAM 1 ère partie Déclaration d intention JEAN-PAUL HAUTIER ADMINISTRATEUR PROVISOIRE ET DIRECTEUR DE LA RECHERCHE DE L ENSAM DIRECTEUR ES QUALITE DE

Plus en détail

DOSSIER DE PRESSE -2014

DOSSIER DE PRESSE -2014 RESEAU DE CONSEILLERS EN IMMOBILIER INDEPENDANTS Compétences des conseillers - Sécurité absolue des transactions DOSSIER DE PRESSE -2014 Pour en savoir plus : www.optimhome.com Contact presse Agence Shan

Plus en détail

Legis. Votre protection juridique

Legis. Votre protection juridique Legis Votre protection juridique Legis, gamme d assurances de protection juridique mobilité, privée et médicale du Groupe Mutuel Assurances GMA SA, vous aide à défendre vos intérêts lorsque vous êtes confronté

Plus en détail

PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015

PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015 1. Contexte PLAN DE FORMATION Formation : Le rôle du superviseur au quotidien 2014-2015 Dans le passé, on recherchait des superviseurs compétents au plan technique. Ce genre d expertise demeurera toujours

Plus en détail

Propositions de Transparency International France sur la transparence de la vie économique

Propositions de Transparency International France sur la transparence de la vie économique Propositions de Transparency International France sur la transparence de la vie économique Lors de ses vœux aux corps constitués le 20 janvier dernier, le Président de la République a annoncé l élaboration

Plus en détail

Guide manager pour l entretien professionnel

Guide manager pour l entretien professionnel - 1/14 - Guide manager pour l entretien professionnel Le présent guide a pour objet de faciliter la mise en œuvre de l entretien professionnel et, pour cela, de rappeler pour chacune des étapes les activités

Plus en détail

Les critères d approbation, Niveau 3. Introduction

Les critères d approbation, Niveau 3. Introduction Critères d approbation Niveau 3.odt Page 1 de 17 Les critères d approbation, Niveau 3 Introduction Ce document énonce les standards minima qu un niveau 3 approuvé par le Bach Centre doit proposer. Les

Plus en détail

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6 Lignes directrices Pour l expertise en matière de garde d enfants et des droits d accès février 2oo6 INTRODUCTION................. 3 PRÉAMBULE.................. 3 I. AMORCE DU PROCESSUS........... 4 A.

Plus en détail

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT)

CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) CHARLES DAN Candidat du Bénin pour le poste de Directeur général du Bureau international du Travail (BIT) FACONNER ENSEMBLE L OIT DU FUTUR «Pour tout ce qui a été, merci. Pour tout ce qui sera, oui.» (Dag

Plus en détail

JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Compte-rendu de l atelier 5 : Souveraineté numérique

JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE. Compte-rendu de l atelier 5 : Souveraineté numérique JUNIOR ESSEC CONSEIL NATIONAL DU NUMÉRIQUE CONCERTATION NATIONALE SUR LE NUMÉRIQUE 3ème journée Compte-rendu de l atelier 5 : Souveraineté numérique Thème de la journée contributive : Transformation numérique

Plus en détail

CONSEILS ORGANISATION GARDIENNAGE TELE SURVEILLANCE SURVEILLANCE

CONSEILS ORGANISATION GARDIENNAGE TELE SURVEILLANCE SURVEILLANCE CONSEILS ORGANISATION GARDIENNAGE TELE SURVEILLANCE SURVEILLANCE Web : http://www.brassesecurite.com LE PARTENAIRE DE VOTRE SECURITE PRESENTATION La société BRASSE PROTECTION ET SECURITE PRIVEE met à votre

Plus en détail

L AUDIT CREDIT. Financez vos projets immobiliers grâce à votre courtier

L AUDIT CREDIT. Financez vos projets immobiliers grâce à votre courtier L AUDIT CREDIT Financez vos projets immobiliers grâce à votre courtier Finshop est un organisme indépendant qui sélectionne des courtiers pour leurs compétences et leur sérieux et les réunit dans un réseau

Plus en détail

Stratégies gagnantes pour les prestataires de services : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants

Stratégies gagnantes pour les prestataires de services : le cloud computing vu par les dirigeants Dossier à l attention des dirigeants Dossier à l attention des dirigeants Centres d évaluation de la technologie inc. Le cloud computing : vue d ensemble Les sociétés de services du monde entier travaillent dans un environnement en pleine

Plus en détail

L Agilité à votre service. Rapport d activité 2014

L Agilité à votre service. Rapport d activité 2014 L Agilité à votre service Rapport d activité 2014 00 Sommaire Mot des Présidents 02 Chiffres clés 03 Notre actionnariat 03 Le Conseil d Administration 04 Le Comité de Direction 05 Notre mission & nos services

Plus en détail

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ

ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ INSTITUT DE MANAGEMENT PUBLIC ET GOUVERNANCE TERRITORIALE 21 RUE GASTON DE SAPORTA 13100 AIX EN PROVENCE DIPLOME UNIVERSITAIRE (DU) ACTEURS DE LA DÉFENSE ET FACTEURS DE SÉCURITÉ OBJECTIFS Faire comprendre

Plus en détail

CLUB DE TENNIS CORTÉBERT

CLUB DE TENNIS CORTÉBERT CLUB DE TENNIS CORTÉBERT 27 avril 2007 C L U B D E T E N N I S C O R T É B E R T S T A T U T S Ce document utilise le masculin pour désigner les personnes de l un ou l autre sexe, uniquement dans le but

Plus en détail

DEVENIR UNE ONG PARTENAIRE OFFICIEL DE L UNESCO

DEVENIR UNE ONG PARTENAIRE OFFICIEL DE L UNESCO DEVENIR UNE ONG PARTENAIRE OFFICIEL DE L UNESCO L'UNESCO s'appuie sur un éventail aussi large que diversifié de relations de collaboration et de partenariats dans toutes les régions du monde pour s acquitter

Plus en détail

Règlement de la consultation

Règlement de la consultation Communauté de communes du Pays de Saint-Aubin-du-Cormier 3 rue de la Libération, BP11, 35140 Saint-Aubin-du-Cormier Tel : 02.99.39.22.94 Fax : 02.99.45.18.03 Marché public de prestation de services Règlement

Plus en détail

Les contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial

Les contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial Note conceptuelle Forum Social Mondial 2015 - Tables rondes Les contributions des acteurs territoriaux à la promotion de la cohésion sociale et du développement durable aux niveaux local, national et mondial

Plus en détail

Considérations sur la crise et le marché intérieur 1

Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Considérations sur la crise et le marché intérieur 1 Auteurs : Jacques Potdevin : Président de la Fédération des Experts comptables Européens (FEE - Federation of European Accountants 2 ) de 2007 à 2008.

Plus en détail

ELECTRICIEN (H/F) A CHACUN SON LOGIS COURCELLES

ELECTRICIEN (H/F) A CHACUN SON LOGIS COURCELLES ELECTRICIEN (H/F) A CHACUN SON LOGIS COURCELLES Informations générales Nombre de postes demandés 1 Catégorie de métier Secteur d'activité Lieu(x) de travail Votre fonction Profil du candidat Installateur

Plus en détail

Préavis n 10/14 au Conseil communal

Préavis n 10/14 au Conseil communal COMMUNE D AUBONNE Municipalité Préavis n 10/14 au Conseil communal Règlement communal relatif à l'utilisation de caméras de vidéosurveillance Délégué municipal : - M. Jean-Christophe de Mestral, municipal

Plus en détail

RAPPORT MUNICIPAL N 99 AU CONSEIL COMMUNAL

RAPPORT MUNICIPAL N 99 AU CONSEIL COMMUNAL RAPPORT MUNICIPAL N 99 AU CONSEIL COMMUNAL Réponse à la motion de M. le Conseiller communal Tefik Rashiti "Nyon zone hors AGCS" Délégué municipal : Monsieur Daniel Rossellat Nyon, le 4 mai 2009 Monsieur

Plus en détail