Table ronde sur les perspectives de développement de la valorisation des déchets plastiques
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- Heloïse Brisson
- il y a 8 ans
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1 ADEME Agence de l Environnement et de la Maîtrise de l Energie Direction Consommation Durable et Déchets Service Filières REP et Recyclage 20, avenue du Grésillé BP Angers Cedex 01 Table ronde sur les perspectives de développement de la valorisation des déchets plastiques SYNTHESE DE LA TABLE RONDE DU 4 FEVRIER 2011 SYNTHESE REALISEE PAR ERNST & YOUNG POUR L ADEME Mai
2 SOMMAIRE Pages 1. ELEMENTS DE CONTEXTE 3 2. ETAT DES LIEUX DE LA FILIERE 6 3. DES SOLUTIONS EXISTANTES A DEVELOPPER 8 4. AXES DE RECHERCHE, DEVELOPPEMENT ET INNOVATION (RDI) QUELLES MODALITES POUR LA MISE EN ŒUVRE DES SOLUTIONS? ANNEXES 13 2
3 1. Eléments de contexte Répondre aux besoins de la filière L ADEME accompagne depuis son origine le développement du recyclage des plastiques tant par des études que par du soutien à la RDI (Recherche, Développement, Innovation) ou à l investissement 1. Le plan déchets mis en place à l issue du Grenelle de l Environnement a de plus élargi les missions et les moyens confiés à l ADEME, notamment en ce qui concerne le développement du recyclage. Ceci est renforcé par l action «économie circulaire» des investissements d avenir. Dans ce contexte, il est essentiel pour l ADEME de disposer d une vision partagée avec les acteurs de la filière afin de soutenir les actions pertinentes qui permettront de lever les verrous technologiques et organisationnels avec pour objectif de soutenir l évolution des procédés et technologies de recyclage permettant à terme d augmenter, de régulariser les flux et d optimiser la qualité des matières recyclées, tout en diminuant la quantité de refus non valorisés. Dans ce cadre, l ADEME a organisé le 04 février 2011 une table ronde regroupant des acteurs nationaux intervenant pour le recyclage des déchets de plastiques. Cette table ronde a permis d identifier des axes prioritaires pour l optimisation de la valorisation des déchets plastiques, notamment en termes de RDI et de coordination au niveau national. Répondre à un engagement national et européen Les axes de RDI identifiés et synthétisés dans la présente note se positionnent également dans le contexte du Grenelle de l Environnement, qui porte en particulier deux engagements significatifs concernant la performance dans la gestion optimisée des déchets au niveau national : «Porter le taux de recyclage matière et organique des déchets ménagers et assimilés à 35% en 2012 et 45% en Ce taux est fixé à 75% dès 2012 pour les déchets des entreprises et pour les emballages ménagers ; Diminuer de 15 % d'ici 2012 les quantités partant à l'incinération ou au stockage. 2» Des objectifs similaires sont fixés dans la Directive Cadre Européenne : Déchets ménagers et assimilés : 50% de réemploi ou recyclage en 2020 ; Déchets de la construction et de la démolition (à l exclusion des matériaux géologiques naturels) : 70% de réemploi, recyclage ou valorisation matière en Ces objectifs s inscrivent en cohérence avec la hiérarchie définie au niveau européen pour le traitement des déchets, par ordre de priorité : 1. Prévention 2. Préparation en vue du réemploi 3. Recyclage 4. Autre valorisation, notamment énergétique 5. Elimination 1 Il convient notamment de mentionner l évaluation de la modernisation des Centres de Tri d emballages ménagers, nécessitant un investissement de 1 Md &cid=96&m=3&catid=
4 Promouvoir la valorisation matière Dans ce contexte d engagements national et européen, l ADEME a décidé de mettre en œuvre une action spécifique, dont elle a fait une priorité, visant à une meilleure intégration des déchets et produits plastiques dans une approche d économie circulaire. Cet axe de travail est depuis de nombreuses années une préoccupation de l ADEME, avec 106 sujets (études, thèses, projets de R&D) financés en 20 ans pour un montant de près de 40 M. L ADEME souhaite, avec les professionnels, mener une réflexion lui permettant d affecter de la manière la plus pertinente ses moyens tout en mobilisant un maximum d acteurs. Plusieurs niveaux d intervention peuvent être envisagés, en particulier : Conception des composants et des assemblages facilitant la séparation et la valorisation des produits usagés Mobilisation des gisements disponibles (maximisation des quantités de produits usagés intégrables dans les processus de valorisation) Amélioration des processus de tri (extraction de la matière valorisable d un flux de déchets) Amélioration des processus de recyclage (transformation en une matière facilement intégrable par les industries utilisatrices) Diversification des débouchés (optimisation du potentiel de marché pour les matières recyclées) Ces points ne sont pas limitatifs et tous les niveaux d action peuvent être envisagés dans la mesure où ils participent aux objectifs suivants : Développer des procédés de mise en œuvre des plastiques issus des déchets pour élargir les domaines d application et augmenter leur intégration dans de nouvelles substances, matières ou produits Diminuer les émissions de gaz à effet de serre et plus généralement les impacts environnementaux. Ainsi, dans le respect de la hiérarchie des déchets, l optimisation de la valorisation énergétique des déchets plastiques non recyclables pourrait également être soutenue. Les investissements d avenir : soutenir la recherche collaborative et l activité économique Les axes de RDI identifiés en collaboration avec les acteurs de la filière se placent en cohérence avec la feuille de route de l ADEME «Collecte, tri, recyclage et valorisation des déchets» en cours de rédaction par un groupe d experts dans le cadre de la mise en œuvre de l action «économie circulaire» (tri recyclage et valorisation des déchets, éco conception, dépollution des sols) dont l ADEME est l opérateur au sein du Programme d Investissements d Avenir intitulé «Démonstrateurs et plates formes technologiques en énergies renouvelables et décarbonées et chimie verte». Il s agit d un outil financier, doté d une enveloppe de 250 Millions d Euros, dédié à la démonstration et à l expérimentation pré industrielle. Les objectifs des feuilles de route pour les différents champs d action de l ADEME sont : «D éclairer les enjeux industriels, technologiques, environnementaux et sociétaux ; D élaborer des visions cohérentes et partagées de l objet technologique ou du système sociotechnique objet de la feuille de route ; De mettre en avant les verrous technologiques, organisationnels et socio économiques à dépasser pour atteindre les visions préalablement identifiées ; 4
5 D associer aux thématiques de recherche prioritaires, des objectifs temporels en terme de disponibilité technologique et de déploiement compatible avec les enjeux préalablement définis ; De prioriser des besoins de recherche, de démonstrateurs de recherche, de plateformes technologiques, et d expérimentations» Ces feuilles de route stratégiques serviront ensuite de base à : La rédaction des appels à manifestation d intérêt (AMI) dans le cadre des Investissements d Avenir ; L alimentation du processus de programmation de la recherche au sein de l ADEME et au delà (ex : ANR, Comité stratégique national sur la recherche énergie ou encore les Alliances de recherche telles que l ANCRE). Les principaux objectifs du premier AMI «Collecte, tri, recyclage et valorisation des déchets» sont les suivants : «Développer et expérimenter des services, technologies ou équipements visant à augmenter la réutilisation, le recyclage ou la valorisation, y compris énergétique, de matières issues de déchets, Développer des innovations qui présentent des opportunités d activités économiques durables dans un contexte concurrentiel, Lever les verrous technologiques scientifiques ou organisationnels empêchant ou limitant l industrialisation de solutions performantes, Assurer à l Etat un retour financier permettant de pérenniser ce type d intervention.» 3 3 Extrait des versions de travail de la feuille de route et de l AMI «Collecte, tri, recyclage et valorisation des déchets». 5
6 2. Etat des lieux de la filière 4 Données de marché La production mondiale de plastiques était de 230 millions de tonnes (Mt) en 2009, dont un quart réalisée en Europe et 3% en France (soit 7 Mt/an). Cette production, hormis en du fait de la crise, n a cessé d augmenter depuis des années, à un rythme annuel moyen de +8,7%. Aujourd hui, le marché européen des plastiques (production et transformation) représente 1,5 million d employés et 87 Mds de chiffre d affaires. Le marché des matières plastiques est un marché mondial marqué par de forts mouvements d import/export, y compris sur le plastique de récupération. La majeure partie de la demande sur le marché européen est représentée par les polyoléfines (polypropylène PP et polyéthylène PEHD, PEBD, PEBDL), notamment dans le secteur de l emballage où elles représentent près de 90% de la demande. Les résines venant ensuite sont le PVC avec 11% des tonnages et le polyuréthane (PUR) avec 6%. Il existe 4 principaux secteurs d utilisation de plastiques : l emballage (40% des tonnages), le BTP (20%), l industrie du transport (7%) et les Equipements Electriques et Electroniques (EEE 6%). Les autres secteurs utilisateurs (27%) sont particulièrement dispersés. Utilisation de plastique et production de déchets En termes de production des 24 Mt annuelles de déchets de plastiques au niveau européen, la répartition des secteurs est significativement différente : 62% pour l emballage, 6% pour le BTP, 5% pour l industrie du transport, 5% pour les EEE et 22% de sources «autres». Cet écart entre secteurs utilisateurs actuels et secteurs producteurs de déchets est lié à la durée d usage plus ou moins longue des produits. Enfin, sur un tonnage total européen de déchets plastiques recyclés de 5,4 Mt, le taux de recyclage est très variable selon le secteur producteur : 31% (soit 4,6 Mt) pour les emballages, 16% (soit 0,2 Mt) pour le BTP, 11% (soit 0,1 Mt) pour l industrie du transport, 10% (soit 0,1 Mt) pour les EEE et 7% (soit 0,4 Mt) pour les autres secteurs. Une forte marge de progression du recyclage Le taux de recyclage moyen en Europe est aujourd hui de 22,4%, mais de seulement 16% en France, contre 33% en Allemagne ou en Suède. Les facteurs explicatifs de ces faibles performances sont, notamment en comparaison avec les filières papiers et métaux, liés à : la complexité de la matière et sa dispersion : même si certains types de résines sont prédominants, les effets de masse sont difficiles à mettre en œuvre du fait de la variété des résines et des produits plastiques, rendant plus difficile que pour d autres matières l atteinte du seuil de viabilité économique. la jeunesse relative de cette matière née dans un contexte de forte croissance de la consommation, l absence actuelle des fabricants de résines dans le processus de recyclage, 4 Les données présentées dans ce chapitre sont fournies par PlasticsEurope et issues de différentes sources. Un tableau de synthèse est fourni en annexe. 6
7 la structure de la filière du recyclage des plastiques qui regroupe un grand nombre de petits acteurs (régénérateurs, notamment). La mise en application en Allemagne de la Directive Européenne qui interdit la mise en décharge des matières organiques ou valorisables a soutenu de manière considérable le recyclage et la valorisation énergétique des déchets plastiques, notamment sous forme de CSR. Par comparaison, le coût de mise en décharge en France est encore trop faible, dans un contexte de facilité de son accès. 7
8 3. Des solutions existantes à développer Pour le recyclage Au delà des aspects amont (conception des produits visant à augmenter la recyclabilité des produits, collecte sélective et massification des flux) et aval (intégration de matières recyclées dans les produits neufs), les principales solutions existantes pour le recyclage des plastiques et leurs limites actuelles sont présentées de manière synthétique dans le tableau suivant : Processus Description Difficultés identifiées Tri mécanique et affinage Tri optique Recyclage chimique / régénération Extraction d un flux valorisable à partir d un flux de déchets bruts en mélange (pré tri manuel, broyage, tri automatique par criblage et séparation morphologique) Extraction manuelle du plastique / de différents types de plastiques (couleurs, résines) à partir d un flux de déchets en mélange Séparation de différentes matières valorisables (dont le plastique / différents types de plastique) dans les flux issus du broyage Extraction des plastiques d un flux de déchets en mélange, avec ou non extraction différenciée de différents types de plastiques Décomposition des macromolécules en matières premières réutilisables (dépolymérisation) Adjonction de compatibilisant permettant d améliorer les propriétés du plastique récupéré avant réutilisation en process industriel Automatisation à développer 5 Automatisation à développer 5 Coûts élevés Capacités limitées Automatisation à développer Coûts élevés Difficultés de séparation (par résine, par couleur, tri des plastiques noirs, des plastiques halogénés ) Peu développé actuellement en France et plus généralement dans le monde (capacités et performances) Manque de visibilité sur les débouchés Difficulté à retrouver les propriétés de la matière vierge Insuffisamment développé en France (capacités et performances) Manque de visibilité sur les débouchés Les axes de développement identifiés pour surmonter ces difficultés reprennent les trois grandeurs caractéristiques utilisées pour caractériser ces processus 6, qui sont autant de critères d évaluation potentiels dans le cadre des soutiens financiers portés par l ADEME : Amélioration des rendements de tri Amélioration de la pureté des plastiques issus des déchets Augmentation des capacités de tri et de production à partir de plastiques issus des déchets 5 Pour les emballages ménagers, sur 270 centres de tri en France, 100 (représentant 15% des tonnages traités) sont encore manuels (source : Eco Emballages) 6 Cf. «Enquête sur l état de l art et les perspectives des techniques de tri automatique des déchets», ADEME, août 2003, 8
9 L augmentation des capacités et des rendements est rendue nécessaire par l économie générale de la filière, qui requiert des investissements significatifs (chaînes de tri, séparation, broyage, autres traitements mécaniques et chimiques, etc.) qu il faut rentabiliser en traitant des tonnages importants. Cette nécessité s inscrit dans un contexte concurrentiel international. Concernant l amélioration de la pureté des matières récupérées, outre les difficultés à écarter les matières non plastiques après broyage, l un des défis est celui posé par les déchets issus de produits dont la durée d usage est longue (secteur du bâtiment, notamment) contaminés par des substances aujourd hui régulées plus fortement ou interdites (plomb, cadmium, brome, halogénés ). Ces contaminants doivent aujourd hui être extraits avant recyclage afin de se conformer à la réglementation européenne RoHS 7 et à d autres réglementations internationales 8. Cet enjeu est également à prendre en compte sur le long terme pour anticiper les évolutions réglementaires à venir. L amélioration de la pureté concerne également le tri par couleur dont l amélioration doit permettre de faciliter la valorisation des matières plastiques ainsi séparées et la valeur ajoutée des matières générées. Afin de répondre aux enjeux de marché, il convient d ajouter à la liste ci avant les deux critères suivants, essentiels pour atteindre l amélioration effective des performances globales de recyclage et la rentabilité et la pérennité des solutions développées : Diversification des applications intégrant des plastiques issus de déchets Augmentation des quantités de déchets de plastiques ainsi valorisés Pour la valorisation énergétique Concernant la valorisation énergétique, le seul exutoire actuellement significatif en France est l incinération dans un flux de déchets ménagers en mélange. La filière des Combustibles Solides de Récupération (CSR) est en effet peu développée (150 kt de capacité annuelle en France, contre 7 Mt/an en Allemagne). Si l on considère qu il n est pas possible, à court terme au moins, de tout recycler, il convient d exploiter au mieux le PCI élevé des déchets plastiques pour assurer leur valorisation énergétique, dans le respect de la hiérarchie européenne. Aujourd hui, les principaux obstacles mentionnés par les acteurs de la filière sont les faibles capacités de traitement et les contraintes règlementaires applicables, identiques à celles des incinérateurs. Pour la RDI en général La RDI dans le domaine des déchets de plastiques existe de longue date mais est aujourd hui faible et en baisse régulière sur les 20 dernières années. Ses moyens sont par ailleurs disséminés, malgré certaines coordinations régionales notamment par l intermédiaire des pôles de compétitivité (Axelera, TEAM², Plastipolis, Alsace Energivie, Plastipolis, Fibres Grand Est ). 7 Restriction of the use of certain Hazardous Substances in electrical and electronic equipment, ciblant 6 substances dont le plomb et le cadmium. Cf. lex.europa.eu/lexuriserv/lexuriserv.do?uri=oj:l:2003:037:0019:0023:fr:pdf 8 Par exemple en Chine : Administration on the Control of Pollution Caused by Electronic Information Products, ciblant également, entre autres, le plomb et le cadmium. Voir par exemple : 9
10 4. Axes de Recherche, Développement et Innovation (RDI) Suite aux échanges dans le cadre de la table ronde du 04 février, les axes RDI technologique identifiés 9 ont été regroupés en 3 axes prioritaires. Axes de recherche 1 Amélioration des technologies de tri / séparation 2 Mise en œuvre des plastiques issus de déchets Enjeux et objectifs L adjonction de traceurs dans les produits plastiques : faciliter l identification et la séparation par typologie des différents déchets de plastiques. Tri mécanique et optique : permettre d agir sur les 3 grandeurs caractéristiques : capacité, rendement, pureté en développant des solutions de traitement à plus haut débit, avec un plus grand pouvoir discriminant (reconnaissance des couleurs, des résines et des additifs) et une capacité à prendre en compte des éléments de plus en plus fins. Adaptation aux flux entrants : accélérer le passage des technologies de tri statique à des technologies de tri dynamique en les adaptant à des flux dont les dimensions sont de plus en plus fines Combinaison des technologies : par la combinaison des technologies de tri mécanique, de tri optique et de traitement chimique, optimiser les performances des process de tri recyclage pour permettre l extraction des contaminants, la séparation des matières plastiques et le tri des résines plastiques avec une mise en cohérence des capacités et process de tri et avec ceux de recyclage Décontamination : permettre d extraire des déchets plastiques potentiellement valorisables les contaminants et indésirables rendant difficile ou moins rentable le recyclage : contaminant des déchets de produits à vie longue (Pb, Cd, Br ), noir de carbone des plastiques noirs Compatibilisants : développer des compatibilisants et autres additifs permettant de compenser la présence de plusieurs résines plastiques et de retrouver les propriétés de la matière plastique vierge, notamment concernant la résistance au choc Amélioration de certaines propriétés: pour les PEHD et PEBD prioritairement, développer des solutions permettant de générer des plastiques recyclés répondant aux spécifications de contact alimentaire, d aspect, d odeur, par des solutions de préparation à coût réduit, en particulier en phase de lavage Actions ciblées : pour certains flux de déchets plastiques représentant des tonnages significatifs et/ou une valeur particulière (films, plastiques agricoles, fenêtres PVC, thermoplastiques, plastiques biosourcés ), développer les technologies permettant un recyclage à haute valeur ajoutée (voire en boucle fermée). Développement des débouchés : transformer la matière recyclée pour créer de nouvelles substances et nouveaux produits et, parallèlement, approfondir la connaissance des relations «performance/propriétés» de ces substances et produits 3 CSR et carburants Valorisation énergétique : Développer des technologies permettant d incorporer des plastiques (principalement non recyclables) pour la valorisation énergétique sous forme de CSR ou de carburants 9 N incluent pas, en particulier, la démarche d élargissement des consignes de tri des emballages ménagers, en collaboration avec Eco Emballages, représentant un besoin de financement de 100 M par an pour passer d un taux de recyclage des plastiques de 21% à 37% (source : Eco Emballages, cf. lien ci dessous). Etude_technique_PWC_finale_emballages_plastiques.pdf 10
11 5. Quelles modalités pour la mise en œuvre des solutions? Au delà des objectifs techniques fournis dans la section précédente, certains aspects transverses permettront de maximiser les impacts des projets et programmes mis en œuvre. Ces aspects transverses doivent servir de base à l identification des meilleurs leviers pour favoriser la R&D collaborative, l innovation et, in fine, la performance du recyclage des déchets de plastiques en France. Coordination et collaboration La coordination entre les différents programmes de RDI et la collaboration entre les acteurs de l ensemble de la chaîne de valeur (production, collecte, tri, recyclage, utilisation) sont essentielles et constituent une demande importante de la part des acteurs de la filière. Elles doivent permettre de mettre en cohérence les solutions développées, les capacités de traitement et les besoins 10 des différents acteurs. En particulier, les objectifs de performance de recyclage ne pourront être atteints que si les flux issus du traitement des déchets de plastiques répondent aux cahiers des charges des utilisateurs de ces flux (il est également recommandé que la définition de ces cahiers des charges se fasse dans une approche concertée entre les différents acteurs concernés). La collaboration entre les acteurs, ainsi qu avec les décideurs publics et les instances normatives dans le cadre des plateformes d échange existantes, participeront également au développement d une réglementation favorable à l incorporation de matières issues du recyclage dans la production de bien manufacturés et à une évolution des normes produits permettant cette incorporation. Connaissance et dissémination Le besoin d une plateforme d échange, de mise en relation et de fédération des acteurs du plastique a été clairement exprimé par les participants, notamment pour leur permettre de s informer et de promouvoir la RDI à l occasion de journées thématiques. Le développement de la connaissance, et la dissémination de cette connaissance, constituent en effet un aspect corollaire important de la RDI qui doit faciliter le développement industriel et la démonstration des solutions développées. Les axes de travail identifiés à cet égard sont les suivants : Evaluation des gisements des plastiques post consommation : quantité et qualité des gisements disponibles pour le recyclage (fonctions notamment de la durée d usage du produit). Ce point concerne en particulier les gisements des déchets plastiques du secteur du BTP et des déchets plastiques d emballages industriels et commerciaux. Il nécessite de prendre en compte que les flux de plastiques sont de plus en plus mondialisés. Travaux de modélisation économique pour identifier notamment les prix de vente acceptables par l utilisateur final de la matière de recyclage, et les coûts globaux de tri, lavage, régénération Evaluation des seuils de volume et de valeur économique qui permettront l essor du plastique en fonction du cours du pétrole / prix du carbone (enjeux de rentabilité). Evaluation des impacts des nanoparticules dans les processus de recyclage. 10 En particulier, la pureté des produits doit rester un moyen et non un objectif. Son augmentation n est pertinente que dans la mesure où elle répond à un besoin effectif de l utilisateur industriel. 11
12 Evolutivité La réussite des démarches d innovation requiert également que soient pris en compte les enjeux liés aux évolutions du marché (évolutions des types de déchets, des besoins des industriels, des cours des matières premières ) et de la réglementation. Capacités et pérennité Les solutions développées devront permettre de pérenniser et de développer les capacités de traitement existantes sur le territoire. Leur efficacité sera renforcée par leur capacité à s intégrer dans les outils existants. Pertinence économique La pertinence des démarches de RDI d un point de vue économique pourra être assurée par un positionnement sur des couples résines/marchés représentant des opportunités réelles pour le développement et le renforcement des acteurs nationaux, sur le marché français et à l export. De plus, il semble essentiel de viser une «montée en gamme», c est à dire de maximiser la valeur ajoutée du recyclage (compétition par rapport à la matière vierge, développement de débouchés où l usage du plastique présente un intérêt spécifique ). Fiabilité L amélioration de la connaissance est un aspect connexe des programmes de RDI qui participera à la diversification des débouchés en permettant notamment de caractériser avec fiabilité les matériaux obtenus, voire de modéliser leur performance en amont. Les démarches de normalisation et de standardisation participeront également à cette plus grande fiabilité pour les marchés utilisateurs. 12
13 6. Annexes Tableau de synthèse des données de marché au niveau européen 11 Production de plastiques (Mt) Demande (Mt) Monde Europe* France Europe* % 55 3,0% 6,9 45 Répartition de la demande par résine (Europe*) Répartition par filière économique (Europe*) Données en Mt Demande pour la filière Données en Demande Résine emballages Filière Demande Production de déchets Total 45,0 100,0% 18,1 100% Total 45,0 100,0% 24,3 100% Polypropylène (PP) 8,2 18,2% 3,4 19% Emballages 18,0 40,1% 15,1 62,3% Polyéthylène BD 1 (PEBD, PEBDL) 7,8 17,3% 5,6 31% BTP 9,2 20,4% 1,4 5,6% Polyéthylène HD 1 (PEHD) 5,4 12,0% 3,3 18% Transport 3,2 7,0% 1,2 5,1% Polychlorure de vinyle (PVC) 5,1 11,3% - - EEE 2,5 5,6% 1,2 4,8% Polyéthylène téréphtalate (PET) 3,5 7,8% 3,4 19% Autres 12,1 26,9% 5,4 22,2% Polyuréthane (PUR) 2,9 6,4% - - Polystyrène (PS) 2,1 4,7% Polystyrène expansé (PSE) 1,2 2,7% 1,3 7,0% Autres (parts < 1 Mt) 8,8 19,6% 1,1 6,0% 1 BD : Basse Densité ; HD : Haute Densité Gisement de déchets plastiques et répartition par type de traitement (Europe*) Données en k t Gisement Part recyclée Part valorisée énergétiquement Part éliminée Marge de progrès Total ,4% ,5% ,1% ,6% Emballages ,6% ,7% ,7% ,4% BTP ,6% ,2% ,2% ,4% Transport ,5% ,7% ,8% ,5% EEE ,5% ,5% ,0% ,5% Autres ,8% ,3% ,9% ,2% * Union Européenne, Suisse et Norvège 11 Données fournies par PlasticsEurope, issues de différentes sources 13
14 14
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