Conformité des demandes d examens d imagerie CAHIER DES CHARGES
|
|
- Jean-Luc Bélanger
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Conformité des demandes d examens d imagerie CAHIER DES CHARGES Ce cahier des charges présente un des indicateurs retenus pour atteindre l Objectif Prioritaire (OP) numéro 2 du Projet COMPAQH : Assurer la continuité de la prise en charge des patients. Les éléments de justification de la sélection de cet indicateur sont présentés dans le rapport d étape 2003, disponible sur le site Internet du projet COMPAQH : et sur celui du Ministère de la santé, de la Jeunesse et des Sports : Cet indicateur s'applique aux établissements de santé de Médecine-Chirurgie-Obstétrique (MCO) et aux Centres de Lutte Contre le Cancer (CLCC). Ce cahier des charges contient deux types d informations : Les modalités pratiques d échantillonnage, de recueil de données et de construction de l indicateur ; Des informations d ordre général sur l indicateur lui-même et sur l utilisation des résultats. Ces informations n étant pas essentielles au recueil des données, elles sont présentées dans une police plus petite. Cet indicateur a fait l objet de deux campagnes de test suivies chacune d actualisation des outils de recueil en lien avec la Société Française de Radiologie. Ce cahier des charges, accompagné de la grille de recueil et des consignes de remplissage, constituent les outils nécessaires à la généralisation de l indicateur. Toute utilisation des indicateurs COMPAQH en dehors du cadre du projet de recherche doit faire l'objet d'une information préalable auprès de l'équipe de coordination. Date de diffusion de la première version de ce cahier des charges : 01/10/04. Date de diffusion de la deuxième version de ce cahier des charges : 26/01/06. Cahier des charges version généralisable. Date de diffusion : 31/10/07. Projet COMPAQH Cahier des charges
2 1. CARACTERISTIQUES GENERALES Libellé complet Proportion d examens d imagerie (échographie, scanner et IRM (Imagerie par Résonance Magnétique)) dont la demande contient les éléments nécessaires à la réalisation et à l interprétation de l examen. Nature Proportion. Indicateur de procédure permettant d analyser les modalités organisationnelles de coordination et de communication entre les services cliniques demandeurs et les services d imagerie. Justification Dans l édition 2007 du manuel de certification de la Haute Autorité de Santé, la référence 29a précise que «la prescription d examens complémentaires est justifiée par l état du patient et mentionne les renseignements cliniques requis et les objectifs de la demande» [1]. Le décret n du 24 mars 2003 relatif à la protection des personnes exposées à des rayonnements ionisants à des fins médicales et médico-légales rappelle qu «aucun acte exposant aux rayonnements ionisants ne peut être pratiqué sans un échange préalable d information écrit entre le demandeur et le réalisateur de l acte. Le demandeur fournit au réalisateur les informations nécessaires à la justification de l'exposition demandée dont il dispose. Il précise notamment le motif, la finalité, les circonstances particulières de l'exposition envisagée, notamment l'éventuel état de grossesse, les examens ou actes antérieurement réalisés et toute information nécessaire au respect du principe mentionné au 2 de l'article L » [2]. La Société Française de Radiologie et la Société Française de Biophysique et de Médecine Nucléaire ont rédigé, en concertation avec l ANAES et la Direction Générale de la Santé Nucléaire et de la Radioprotection, un guide du bon usage des examens d imagerie médicale [3, 4]. Ce guide est un outil pour la mise en pratique des principes de justification et d optimisation des examens, désormais réglementairement décrits. Il s agit d éviter les examens complémentaires systématiques parfois inutiles et redondants et d en lier la prescription à l évaluation initiale et régulière de l état de santé du patient [1]. Le clinicien demandeur, comme le radiologue, doit également s interroger sur le bénéfice de l examen par rapport au risque d exposition. Les demandes d examens d imagerie illisibles ou avec des renseignements cliniques manquants ou insuffisants peuvent conduire à une mauvaise réalisation ou une mauvaise interprétation des résultats de l examen. Des études publiées sur ce thème ont retrouvé 5 à 25 % de demandes avec des renseignements cliniques manquants ou insuffisants [5]. Le collège des Enseignants de Radiologie en France [6] indique de la même manière : Qu une demande d'imagerie dont le motif clinique n'a pas été notifié sur la demande entraîne un examen mal conduit ; Qu une demande d'examen radiologique doit être rédigée de façon lisible et précise. Il faut clairement indiquer le contexte clinique pour que le radiologue comprenne le problème particulier pour lequel l examen est demandé. Des actions d amélioration portant sur les éléments de justification médicale ont donné la preuve de leur efficacité selon Gunderman et al. et Roussel et al.[5, 7]. Dans le cadre du projet COMPAQH, nous avons choisi de limiter l indicateur aux demandes d échographie, de scanner et d IRM (ces 3 types d examens représentent un périmètre cohérent d analyse dans le domaine de l imagerie médicalisée), afin d exclure les examens réalisés parfois de manière systématique et pour lesquels le besoin d information n est pas identique (abdomen sans préparation, radiographie du poumon, ), et pour que le plus grand nombre possible d établissements soit concerné. Cet indicateur a fait l objet de deux campagnes de recueil et d une analyse de la reproductibilité interévaluateurs. Projet COMPAQH Page 2 sur 9 Cahier des charges
3 Après la première campagne, il est apparu indispensable de définir la conformité de la prescription à partir des critères «motif», «finalité», «circonstances particulières» et «examens réalisés antérieurement» tels que précisés par les textes réglementaires. Cependant les critères «circonstances particulières» et «examens réalisés antérieurement» n ont pas été retenus suite à la deuxième campagne parce qu ils ne sont pas systématiquement attendus. D autre part, les résultats de la reproductibilité ont mis en évidence des différences de compréhension concernant les items «motif» et «finalité» de l examen d imagerie. Des précisions ont donc été apportées par la Société Française de Radiologie et sont reprises dans le paragraphe «Définition du motif et de la finalité». Les résultats 2006 mis en ligne par COMPAQH montrent que la proportion de demandes d examens d imagerie comportant une justification médicale (motif et finalité) est en moyenne de 62,7%. Ils montrent également une variabilité inter-établissements, notamment sur la conformité de la justification médicale (motif et finalité) qui varie entre 17 et 96%, et un potentiel d amélioration qui confirment la pertinence de l indicateur. Pour les experts interrogés, outre les renseignements cliniques, la qualité de la demande passe par la présence d autres éléments indispensables à la programmation et à la réalisation de l'examen : L identité du patient, son âge ou année de naissance, et le nom du médecin demandeur, qui sont également des éléments issus des recommandations de l ANAES [8] ; Le service demandeur et le type de l'examen. Ces éléments sont intégrés dans la version généralisable de l indicateur. Partenariat avec les institutions et les professionnels de santé Ce cahier des charges a été construit en collaboration avec la Société Française de Radiologie. Les personnes qui ont participé à l élaboration et à l actualisation de cet indicateur sont : Pr. Philippe GRENIER, SFR ; Pr. Elisabeth SCHOUMAN-CLAEYS, SFR ; Dr Etienne MINVIELLE, Projet COMPAQH, INSERM - CNRS ; Dr Christine GARDEL, Projet COMPAQH, HAS ; Mélanie COURALET, Projet COMPAQH, HAS ; Sandrine MORIN-PLANCHE, Projet COMPAQH, INSERM. 2. CONSTRUCTION Numérateur Nombre de demandes d examens d imagerie (échographie, scanner et IRM) lisibles sur lesquelles on retrouve l origine de la demande (unité ou service demandeur, nom du médecin demandeur), le type de l examen (technique d imagerie, région anatomique), l identité du patient et son âge ou son année de naissance, le motif (symptôme, désignation de la pathologie) et la finalité de l examen (diagnostic suspecté, raison de l examen, signe recherché). Dénominateur Nombre d examens d imagerie (échographie, scanner et IRM) étudiés. Définition du motif et de la finalité Motif : il s agit d une description de la situation clinique d un patient, soit en terme de symptômes cliniques si le diagnostic n a pas été posé, soit en terme de pathologie existante accompagnée le cas échéant d information sur une évolution de cette pathologie motivant l examen d imagerie. Projet COMPAQH Page 3 sur 9 Cahier des charges
4 Finalité : il s agit de décrire ce qui est attendu de l examen, c est la question posée par le clinicien au radiologue : «Quel est le diagnostic suspecté?», «Recherche-t-on des complications?», «Quel est le degré d extension?», «S agit-il d un suivi systématique?». Deux types de situation peuvent être pris pour exemple : chez un patient dont on ne connait pas la pathologie, le motif peut s'exprimer par les symptômes cliniques présentés par le patient et la finalité est définie par le (ou les) diagnostic(s) recherché(s) potentiellement responsable(s) de ces symptômes (ou les signes radiologiques évocateurs de ces diagnostics) ; la deuxième situation est celle d'un patient dont on a déjà identifié la pathologie pour laquelle il est pris en charge. Le motif se résume à la désignation de cette pathologie. La finalité est d'exprimer la raison de l'examen : s'agit-il d'un bilan d'extension préthérapeutique, d'un suivi sous traitement, d'une simple surveillance ou recherche-t-on des complications (ou les signes radiologiques évocateurs d une extension, d une évolution)? 3. ECHANTILLON Définition de la population La population correspond à l ensemble des examens d imagerie échographiques, de scanners et d IRM réalisés dans le (ou les) service(s) d imagerie pour des patients de l établissement, pendant une période donnée jusqu à l obtention du nombre de cas nécessaire. Critères d inclusion des examens et services d imagerie Services d imagerie où sont pratiqués les échographies, les scanners ou les examens d IRM ; Examens d imagerie demandés pour des patients de l établissement, à savoir provenant des services d hospitalisation (y compris en hospitalisation de jour) ou du service d accueil des urgences ou des consultations externes de l établissement ; Examens d imagerie réalisés en urgence pour des patients provenant des services d hospitalisation ou des consultations. Critères d exclusion des examens d imagerie Examens d imagerie autres que d échographie, de scanner ou d IRM ; Examens d imagerie demandés par un médecin extérieur à l établissement. Nombre de demandes / Puissance statistique L expérimentation COMPAQH (en 2004 et 2006) a permis de montrer une variabilité interétablissements qui confirme que l analyse de 130 examens d imagerie est pertinente pour la mesure de l indicateur et la comparaison inter-établissements. Le responsable du recueil doit, dans la mesure du possible, exclure les demandes d examens rencontrant un critère d exclusion au moment de la création de sa liste d examens à récupérer. Si toutefois cela n est pas possible, majorer de 10% le nombre d examens à inclure pour pallier aux examens qui seront exclus. Projet COMPAQH Page 4 sur 9 Cahier des charges
5 4. RECUEIL Schéma d étude Recueil rétrospectif à partir de l analyse d une série consécutive d examens d imagerie. La période de la série à analyser est à déterminer par l établissement. Responsable du recueil Le médecin, responsable du recueil, est à déterminer par l établissement. Il est souhaitable qu il appartienne au (à l un des) service(s) d imagerie concerné(s). Il a la responsabilité de l évaluation des demandes. Il peut déléguer le recueil mais doit s assurer de sa qualité et, en particulier, trancher en cas d ambiguïté. Modalités de recueil Le recueil est réalisé en continu et en rétrospectif dans le (les) service(s) d imagerie concerné(s) jusqu à l obtention de 130 examens répondant aux critères d inclusion pour l ensemble de l établissement. Avant de récupérer les demandes, l établissement doit évaluer la proportion de réalisation de chaque type d examen dans son activité générale d imagerie. Si l établissement possède plusieurs services il doit également voir la part de chaque service dans la réalisation des types d examens demandés (cf. annexe 1). Le responsable du recueil doit, dans la mesure du possible, exclure les examens rencontrant un critère d exclusion au moment de la création de sa liste d examens à récupérer, sinon majorer le recueil de 10%. Le recueil étant rétrospectif, l établissement doit fixer une date de référence antérieure à la date d analyse : les demandes d examens d imagerie émises à partir de cette date seront récupérées dans le ou les services d imagerie réalisant des échographies, IRM ou scanners jusqu à atteinte du nombre requis. L ensemble des services d imagerie sont à intégrer à l étude et sur la même période. Une fois le nombre de demandes d examens calculé pour chaque service et la liste des demandes à analyser établie, les demandes existantes sont récupérées, photocopiées et le recueil peut commencer (si une demande est manquante par rapport à la liste d examens créée plus tôt, la noter comme telle dans la grille de saisie : elle ne doit pas être remplacée). Le médecin référent aura la responsabilité de l analyse des renseignements cliniques (motif et finalité de l examen) et jugera de la lisibilité de la demande s il y avait ambiguïté. Il peut déléguer le recueil mais doit s assurer de sa qualité et, en particulier, trancher en cas d ambiguïté. Les modalités de saisie sont détaillées dans les consignes de remplissage. Remarques Si différents examens d imagerie (exemple : une échographie et un scanner) sont réalisés chez un patient, ils seront considérés comme autant d examens différents. Si une demande d'examen concerne plusieurs territoires pour un même type d examen d imagerie, elle comptera pour une seule demande. Les examens réalisés sans demande écrite seront considérés comme non conformes. Les examens réalisés avec demande écrite en partie ou totalement illisible seront considérés comme non conformes. Projet COMPAQH Page 5 sur 9 Cahier des charges
6 Une demande est considérée comme illisible quand un médecin est dans l impossibilité de déchiffrer son contenu, et en particulier : L origine de la demande (unité ou service demandeur, nom du médecin demandeur) ; Le type de l examen (technique d imagerie, région anatomique) ; L identité du patient et son âge ou son année de naissance ; Le motif de l examen ; La finalité de l examen. Fréquence Le recueil doit être renouvelé tous les ans. Variables Les variables nécessaires à la mesure de l indicateur sont recueillies après analyse des demandes d examens d imagerie (nécessité de conserver cette demande ou une photocopie au cours du recueil). Pour chaque examen d imagerie réalisé, les variables sont les suivantes : Demande d'échographie, de scanner ou d'irm ; Examen demandé par un médecin de l établissement ; Présence d une demande écrite ; Informatisation de la demande ; Origine de la demande tracée ; Type de l examen présent ; Identification du patient tracée ; Renseignements cliniques présents (motif, finalité). Support de collecte Un support informatique ou papier (cf. grille de recueil jointe) permettant le recueil de l'ensemble des variables nécessaires sera utilisé. Saisie 5. CONTRÔLE DE QUALITÉ DES DONNÉES L Assistant de Recherche Qualité (ARQ) s assurera de l exhaustivité du recueil et de la complétude des données. Il s assurera également de la qualité de la saisie à l aide de contrôles logiques. L ARQ peut, dans un souci de validité ou de cohérence des données, demander à retourner à la demande. Preuve de données déclarées Tout élément de preuve fourni par l établissement sera recueilli par l ARQ. 6. ANALYSE Analyse principale Les résultats seront analysés au niveau de l établissement. Projet COMPAQH Page 6 sur 9 Cahier des charges
7 Comparaison inter-établissements Oui. 7. RESTITUTION Diffusion interne La diffusion interne des résultats se fera sous la responsabilité du correspondant projet auprès des praticiens ayant participé au recueil. En accord avec ces derniers, une diffusion plus large est souhaitable, notamment : au directeur de l établissement et au président de la CME. Fréquence Après chaque enquête annuelle. Présentation des résultats L établissement recevra : Ses résultats individuels ; Sa proportion et son écart-type ainsi que la proportion moyenne observée dans l échantillon des établissements du panel COMPAQH ; Une représentation graphique des résultats anonymisés de l ensemble des établissements participant au projet COMPAQH, mentionnant uniquement son code trois lettres. 8. CONFIDENTIALITE Conformément à la loi N du 6 janvier 1978 relative à l'informatique, aux fichiers et aux libertés, les données recueillies seront rendues anonymes avant toute informatisation. Chaque personne incluse dans la population sera identifiée par un numéro et la table de correspondance entre la personne et les numéros sera conservée par l'établissement. Chaque membre de l équipe de coordination est tenu à la confidentialité, selon une clause de son contrat. Projet COMPAQH Page 7 sur 9 Cahier des charges
8 9. ANNEXE Schéma explicatif des modalités de récupération des demandes d examens en Imagerie Dans le souci toujours de refléter au mieux la situation de l établissement concernant l évaluation de cet indicateur, il est nécessaire de prendre en compte l activité de l établissement, type d examen par type d examen, et même service par service. Le schéma explicatif suivant a pour but d aider à la récupération des demandes. Exemple : un seul service d imagerie 130 demandes à récupérer ; Annuellement, l établissement réalise par exemple 10% d échographies, 40% de scanners et 50% d IRM par rapport au nombre total d examens d imagerie concernés par l étude ; Cela revient à récupérer 13 demandes d échographies, 52 demandes de scanners et 65 demandes d IRM. Il convient donc d établir une liste des 13 premières échographies à partir d une date de référence définie par l établissement, des 52 premiers scanners et des 65 premières IRM, et de récupérer les demandes correspondantes. Exemple : plusieurs services d imagerie Reprenons l exemple avec 10% d échographies (N = 13), 40% de scanners (N = 52) et 50% d IRM (N = 65). Si l établissement compte par exemple 3 services d imagerie, il est nécessaire de connaître la répartition annuelle des examens par service : Service A Service B Service C TOTAL Echographies 10% soit n = 1 60% soit n = 8 30% soit n = 4 N = 13 Scanners 80% soit n = 42 0% soit n = 0 20% soit n = 10 N = 52 IRM 30% soit n = 20 0% soit n = 0 70% soit n = 45 N = 65 On obtient ainsi le nombre d examens par type et par service à analyser. N = 130 Projet COMPAQH Page 8 sur 9 Cahier des charges
9 10. REFERENCES BIBLIOGRAPHIQUES 1 Haute Autorité de Santé. Manuel de certification des établissements de santé Edition Décret n du 24 mars 2003 relatif à la protection des personnes exposées à des rayonnements ionisants à des fins médicales et médico-légales et modifiant le code de la santé publique. 3 Société Française de Radiologie. Guide du bon usage des examens d imagerie médicale Edité par la Société Française de Radiologie. 4 Haute Autorité de la Santé. Guide du bon usage des examens d imagerie médicale Service des recommandations professionnelles. 5 Roussel P, Lelievre N. Améliorer la qualité des prescriptions d'examen d'imagerie médicale. J Radiol 2002;83: Collège des Enseignants de Radiologie en France. Indications des examens d imagerie Gunderman RB, Phillips MD, Cohen MD. Improving clinical histories on radiology requisitions. Acad Radiol 2001;8: ANAES. Evaluation des pratiques professionnelles dans les établissements de santé. Dossier du patient, amélioration de la tenue et du contenu. Réglementation et recommandations. Service évaluation des pratiques, Juin Projet COMPAQH Page 9 sur 9 Cahier des charges
Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys
Dr L Verzaux Pr Elisabeth Schouman-Claeys Dépasser une approche normative Se mettre à la place du patient Bonne pratique, bientraitance Démarches qualité structurées Thématiques clés (dont exigences réglementaires)
Plus en détailLe GRAND CONSEIL de la République et canton de Genève décrète ce qui suit :
Secrétariat du Grand Conseil PL 10267 Projet présenté par le Conseil d Etat Date de dépôt: 22 mai 2008 Projet de loi ouvrant un crédit au titre d'indemnité cantonale d'investissement de 3 000 000 F, pour
Plus en détailExposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de diagnostic médical en 2012
R A P P O R T Exposition de la population française aux rayonnements ionisants liée aux actes de Pôle Radioprotection, Environnement, Déchets et Crise RESUME Ce rapport met à jour, pour l année 2012, les
Plus en détailadmission aux urgences
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailREFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE
REFERENTIEL D AUTO-EVALUATION DES PRATIQUES EN ODONTOLOGIE Janvier 2006 I. PROMOTEURS Association dentaire française (ADF). Haute Autorité de santé (HAS). II. SOURCE Agence nationale d accréditation et
Plus en détailMODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE. Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2)
MODULE D EXERCICE PROFESSIONNEL NOTION MÉDICO-ÉCONOMIQUE DES DE RADIOLOGIE ET IMAGERIE MÉDICALE Dr F Lefèvre (1-2), Pr M Claudon (2) 1 - SCP Radiolor 2 - CHU de Nancy MODE D EXERCICE DU PRATICIEN Choix
Plus en détailPROCEDURE ENREGISTREMENT
Page 1 sur 7 ANNULE ET REMPLACE LES DOCUMENTS SUIVANTS référence 04/PR/001/02/V01 04/PR/001/02/V02 04/PR/001/02/V03 04/PR/001/02/V04 04/PR/001/02/V05 04/PR/001/02/V06 04/PR/001/02/V07 04/PR/001/02/V08
Plus en détailGROUPE CLINIQUE DU MAIL
DOSSIER DE PRESSE GROUPE CLINIQUE DU MAIL Le centre d imagerie médicale conforte son implantation sur le site du Mail avenue Marie-Reynoard à Grenoble & présente son nouveau scanner spiralé, issu de la
Plus en détailLa Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique
+ La Télémédecine dans le cadre de la Plateforme Régionale Santé de Martinique 15 ème Conférence des Fédérations Hospitalières des Antilles et de la Guyane Y. MARIE-SAINTE Directeur 28/04/2011 V1.0 + #
Plus en détailQuestionnaire / Demande d adhésion
RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE & EXPLOITATION Questionnaire / Demande d adhésion Contrat d Assurance AXA n 4803593504 ASSURE : Nom Prénom Adresse Professionnelle Téléphone Fax Date de Naissance
Plus en détailPRÉSENTATION DES PRINCIPALES DISPOSITIONS RÉGLEMENTAIRES DE RADIOPROTECTION APPLICABLES EN RADIOLOGIE MÉDICALE ET DENTAIRE
PRÉSENTATION DES PRINCIPALES DISPOSITIONS RÉGLEMENTAIRES DE RADIOPROTECTION APPLICABLES EN RADIOLOGIE MÉDICALE ET DENTAIRE mise à jour octobre 2014 Sommaire Introduction... 4 1. Procédures de déclaration
Plus en détail2. Personnes intervenant pour assurer la radioprotection des patients ou des travailleurs.10
mise à jour octobre 2014 Sommaire Introduction...... 4 1. Procédures de déclaration et d autorisation de détention et d utilisation de générateurs électriques...... 5 1.1. Régime administratif des installations
Plus en détailTélémédecine, télésanté, esanté. Pr. François KOHLER kohler@medecine.uhp-nancy.fr
Télémédecine, télésanté, esanté Pr. François KOHLER kohler@medecine.uhp-nancy.fr Télémédecine : Définition et domaines «Exercice de la médecine à distance» => Implique un médecin En France : Décret n 2010-1229
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailDOSSIER DE PRESSE. Voyage au cœur des réseaux d imagerie médicale
DOSSIER DE PRESSE Voyage au cœur des réseaux d imagerie médicale Service de presse et de communication : MHC Communication Marie-Hélène Coste / Véronique Simon 38 avenue Jean Jaurès - 94110 Arcueil Tél.
Plus en détailGHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu. Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND
GHUPC Projet de transformation du site Hôtel Dieu Pr S CHAUSSADE, Dr I. FERRAND PREAMBULE - Déçisions du directoire de l APHP : 1) le site de l HTD ne serait pas fermé 2) le site de l HTD ne serait pas
Plus en détailADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS
ADDITIF AU RAPPORT DE CERTIFICATION V2010 CLINIQUE CHIRURGICALE DU LIBOURNAIS 119 rue de la marne - 33500 - Libourne NOVEMBRE 2014 SOMMAIRE PREAMBULE 1. Présentation du document 2. Les niveaux de certification
Plus en détailENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE
CS 9300 ENFIN, UN SYSTÈME POLYVALENT D'IMAGERIE ORL ET DENTAIRE Conçu pour de multiples applications cliniques, le système CS 9300 fournit des images panoramiques de très grande qualité, ainsi que des
Plus en détailadmission directe du patient en UNV ou en USINV
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission
Plus en détailPrincipes généraux de gestion d un cabinet libéral. Dr J.Ph. Masson 8 avril 2014 1
Principes généraux de gestion d un cabinet libéral Dr J.Ph. Masson 8 avril 2014 1 Le radiologue libéral Aspects médico-économiques, juridiques, responsabilité, assurances,. Structures coopératives : GIE,
Plus en détail',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ
',5(&7,9((85$720'8&216(,/ GXMXLQ UHODWLYHjODSURWHFWLRQVDQLWDLUHGHVSHUVRQQHVFRQWUHOHVGDQJHUVGHVUD\RQQHPHQWVLRQLVDQWVORUV GH[SRVLWLRQVjGHVILQVPpGLFDOHVUHPSODoDQWODGLUHFWLYH(XUDWRP LE CONSEIL DE L'UNION EUROPÉENNE,
Plus en détailEn 2011, le service Ameli-direct, anciennement appelé «Infosoins» puis «Adresses et Tarifs» connaît les modifications suivantes :
@ AMELI-DIRECT VERSION 3.3 2006-2011 : INFOSOINS DEVIENT AMELI-DIRECT Dès la COG 2006-2009, l Assurance Maladie s engage à développer à l intention de ses assurés un système d information tant sur le fonctionnement
Plus en détailCHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES
CHARTE POUR L ACCUEIL DES INTERNES Formalisation des engagements réciproques entre l EPS Ville-Evrard et les internes Ressources humaines médicales Delphine LEBIGRE AAH NOVEMBRE 2012 Objectifs L établissement
Plus en détailVisite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015
Visite test de certification V2014 Retour du CHU de Rennes GCS CAPPS Vendredi 12 juin 2015 CENTRE HOSPITALIER UNIVERSITAIRE DE RENNES Le CHU de Rennes Etablissement MCO, SSR, SLD de 1860 lits et places
Plus en détailNouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Position adoptée par Conseil national de l Ordre des infirmiers le 14 septembre 2010 Nouveaux rôles infirmiers : une nécessité pour la santé publique et la sécurité des soins, un avenir pour la profession
Plus en détailLE DACS RADIATION DOSE MONITOR. Le bon réflexe pour une optimisation de la dose
LE DACS RADIATION DOSE MONITOR Le bon réflexe pour une optimisation de la dose Radiation Dose Monitor / QU EST-CE QU UN DACS? / Le DACS (Dose Archiving and Communication System) est à la dose ce que le
Plus en détailQui sont les infirmières et infirmiers cliniciens spécialisés?
Série de Webinaires de l AIIC : Progrès de la pratique Qui sont les infirmières et infirmiers cliniciens spécialisés? Donna Cousineau Infirmière en pratique avancée Hôpital Carleton Queensway Le 12 décembre
Plus en détailDROITS A L ASSURANCE MATERNITE
I. Ouverture des droits DROITS A L ASSURANCE MATERNITE Les conditions d ouverture des droits tant aux prestations en nature qu aux prestations en espèce de l assurance maternité s apprécient soit au début
Plus en détailprise en charge paramédicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE QUESTIONNAIRE GENERAL
ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE MEDICALE QUESTIONNAIRE GENERAL A compléter du questionnaire spécifique correspondant à votre spécialité, joint en annexe Contrat en cours : / - date de fin du contrat :
Plus en détailLivret d accueil des stagiaires
Livret d accueil des stagiaires SOMMAIRE : I/ Présentation du service II/Le métier de manipulateur III/ Modalités d encadrement IV/ Votre stage V/ Bilan global de votre stage I/ Présentation du service
Plus en détailCAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION. Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile
CAHIER DES CHARGES DE LA FORMATION OUVERTURE D ACTION Certificat de Qualification Professionnelle des Services de l Automobile A.N.F.A. Département Ingénierie et Compétences Mars 2013 SOMMAIRE INFORMATIONS
Plus en détailFiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN)
Définition Score individuel Score global Echantillon Critère d inclusion Fiche descriptive de l indicateur : Tenue du dossier anesthésique (DAN) Cet indicateur évalue la tenue du dossier anesthésique.
Plus en détailAssurance Crédit-Invalidité Trousse «Demande De Règlement»
Assurance Crédit-Invalidité Trousse «Demande De Règlement» La trousse «Demande de règlement» comprend : un feuillet d instructions, les formulaires à remplir pour demander des indemnités d invalidité et
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailprise en charge médicale dans une unité de soins
Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en
Plus en détailI OBJECTIF PROFESSIONNEL DU CQPM
COMMISSION PARITAIRE NATIONALE DE L'EMPLOI DE LA METALLURGIE Qualification : 1997 03 42 69 0156 Catégorie : C* Dernière modification : 10/09/2009 REFERENTIEL DU CQPM TITRE DU CQPM : Chargé (e) de travaux
Plus en détailMonsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté 9, rue des Serruriers 21800 CHEVIGNY SAINT SAUVEUR
DIRECTION RÉGIONALE DE L INDUSTRIE, DE LA RECHERCHE ET DE L ENVIRONNEMENT DE BOURGOGNE www.bourgogne.drire.gouv.fr Division de Dijon Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté
Plus en détailJ ai l honneur de vous communiquer ci-dessous la synthèse de l inspection ainsi que les principales demandes et observations qui en résultent.
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE LILLE Lille, le 5 juillet 2013 CODEP-LIL-2013-037759 AD/EL Monsieur le Dr W SCM des Docteurs V W X Y 23, Boulevard Victor Hugo 62100 CALAIS Objet : Inspection de la radioprotection
Plus en détailBUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale
Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..
Plus en détailCahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier
DGOS/PF3/CdC MSP PF3 R2 DSS RB 21 07 10 Cahier des charges des maisons de santé pluri-professionnelles pouvant bénéficier d un soutien financier L article L. 6323-3 du code de la santé publique prévoit
Plus en détailBUREAU CENTRAL DE TARIFICATION - 1 rue Jules Lefebvre 75431 Paris Cedex 09 Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale
Statuant en matière d'assurance de responsabilité civile médicale QUESTIONNAIRE PROPOSITION PROFESSIONNELS DE SANTE Document général CONTRAT EN COURS : DATE DE FIN DES GARANTIES :.. NOM DE L'ASSUREUR :..
Plus en détailBilan de la démarche. de certification V 2010. Haute-Normandie
Bilan de la démarche de certification V 2010 Haute-Normandie Juin 2013 La certification V 2010 en Haute Normandie Bilan au 1 er juin 2013 Etat d avancement de la démarche Au 1 er juin 2013, 69 établissements
Plus en détailAchats de prestations logistiques : les bonnes pratiques
Salon Logistics 360 2011 Parc Exposition La Beaujoire Nantes Achats de prestations logistiques : les bonnes pratiques par Philippe de COUESBOUC, cabinet conseil Creach Partenaire, administrateur CDAF (Compagnie
Plus en détailDirection générale de l offre de soin
Apport de la télémédecine en matière de coopération territoriale 1. Une nouvelle organisation de l offre sanitaire pour mieux répondre aux besoins des populations 2. Comment organiser des activités de
Plus en détailDEMANDE DE BOURSE Note : Ce formulaire ne peut pas être utilisé pour une demande de stage ou de voyage d étude.
AGENCE INTERNATIONALE DE L ÉNERGIE ATOMIQUE (AIEA) WAGRAMER STRASSE 5, P.O. Box 100, A-1400 VIENNA (AUSTRIA) TELEPHONE (+43 1) 2600, FACSIMILE: (+43 1) 26007 E-MAIL: Official.Mail@iaea.org, TC WEB SITE:
Plus en détailFondation PremUp. Mieux naître pour mieux vivre
Fondation PremUp Mieux naître pour mieux vivre Une fondation de coopération scientifique initiée par les pouvoirs publics en 2007 6 membres fondateurs : L Assistance Publique des Hôpitaux de Paris, l Inserm,
Plus en détailAnnexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient
Annexe 2 Les expressions du HCAAM sur la coordination des interventions des professionnels autour du patient Dans son avis de 2012 «L assurance maladie : les options du HCAAM» qui synthétise l ensemble
Plus en détailModalités de candidature et de certification. Niveau 1. Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA
Modalités de candidature et de certification Niveau 1 Certification de personnes Expert méthode HACCP/SMSDA La certification d'expert méthode HACCP/SMSDA s adresse à des professionnels confirmés qui veulent
Plus en détailCOMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE. AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 CONCLUSIONS
COMMISSION NATIONALE D EVALUATION DES DISPOSITIFS MEDICAUX ET DES TECHNOLOGIES DE SANTE AVIS DE LA COMMISSION 08 février 2011 Nom : Modèles et références retenus : Fabricant : Demandeur : Données disponibles
Plus en détailBERTHIER E, CHRISTIANO M, PHILIPPE M O, IEHL J, TATARU N, DECAVEL P, VUILLIER F, ELISEEF A, MOULIN T. Introduction (1). Contexte de l étude
REPRODUCTIBILITE INTEROBSERVATEUR DU TEST «NIHSS» (National Institutes of Heath Stroke Scale) RÉALISÉ PAR VIDÉOCONFÉRENCE : EXPÉRIENCE DU RÉSEAU DES URGENCES NEUROLOGIQUES (RUN) BERTHIER E, CHRISTIANO
Plus en détailHôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle
Hôpital performant et soins de qualité. La rencontre des extrêmes estelle possible? 18 octobre 2012 Professeur Philippe KOLH CIO, Directeur du Service des Informations Médico-Economiques CHU de LIEGE Plan
Plus en détailCOMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE. Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc
COMPTE-RENDU D ACCREDITATION DE LA CLINIQUE LA LIRONDE Saint-Clément-de-Rivière 34980 Saint-Gély-du-Fesc Avril 2003 SOMMAIRE COMMENT LIRE LE «COMPTE-RENDU D ACCREDITATION»... p.3 PARTIE 1 PRESENTATION
Plus en détailJournées de formation DMP
Journées de formation DMP Le DMP dans l écosystème Chantal Coru, Bureau Etudes, ASIP Santé Mardi 26 juin 2012 Processus de coordination au centre des prises en charge Quelques exemples Maisons de santé
Plus en détailRévision des descriptions génériques Comment monter un dossier?
DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP
Plus en détailDepuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services
Depuis l'an 2000, le Ministère de la Santé Publique (MSP) a mis en place une procédure d accréditation pour améliorer la qualité des services hospitaliers. Ce projet d amélioration de la qualité porte
Plus en détailCompte Qualité. Maquette V1 commentée
Compte Qualité Maquette V1 commentée Élaborée suite à l expérimentation conduite par la Haute Autorité de santé au second semestre 2013 auprès de 60 établissements testeurs. Direction de l Amélioration
Plus en détailCircuit du médicament informatisé
Circuit du médicament informatisé Points de vigilance axe technique SOMMAIRE... 1 FICHE N 1- DISPONIBILITE ET PERFORMANCE... 2 FICHE N 2- ENVIRONNEMENT DE TEST... 4 FICHE N 3- VERSIONNING... 5 FICHE N
Plus en détailOrganisation de la téléradiologie. Guide pour le bon usage professionnel et déontologique de la téléradiologie
Organisation de la téléradiologie Guide pour le bon usage professionnel et déontologique de la téléradiologie élaboré par le Conseil Professionnel de la Radiologie (G4) et par le Conseil national de l
Plus en détailI partie : diagnostic et proposition de solutions
Session 2011 BTS assistant de manager Cas Arméria: barème et corrigé Remarque: la 1 ère partie doit être cohérente avec les éléments déterminants du contexte décrit dans cet encadré, qui n est pas attendu
Plus en détailCliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier
CliniPACS : distribution sécurisée d'images DICOM en réseau local hospitalier P. PUECH, JF. LAHAYE, JC. FANTONI [2], L. LEMAITRE CHRU de Lille [1] Plateau commun d Imagerie médicale - Hôpital Claude Huriez
Plus en détailD O S S I E R D E P R E S S E
La Fondation Lenval présente le bilan des réalisations financées grâce aux dons et lance sa campagne d information 2013 Mon ISF pour nos enfants Sommaire D O S S I E R D E P R E S S E 18 avril 2013 P 2/5
Plus en détailASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL. Proposition d assurance Professionnels libéraux
ASSURANCES ET MANAGEMENT DES RISQUES / SANTE, SOCIAL ET MEDICO-SOCIAL Proposition d assurance Professionnels libéraux Questionnaire de déclaration d activité professionnelle Tous les proposants, quelle
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailLa prise en charge. de votre affection de longue durée
La prise en charge de votre affection de longue durée Comment fonctionne la prise en charge à 100 %? Quels sont les avantages pour vous? À quoi vous engagez-vous? Comment êtes-vous remboursé? Votre médecin
Plus en détailTélé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale :
Télé-expertise et surveillance médicale à domicile au service de la médecine générale : Docteur DARY Patrick, Cardiologue, Praticien Hospitalier Centre Hospitalier de St YRIEIX - Haute Vienne 87500 Situé
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailCharte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon
Sommaire 1. PREAMBULE... 2 2. DEFINITIONS... 2 3. CADRE LEGAL... 3 4. ORGANISATION DE LA BACG... 4 5. PRESTATIONS DE LA BACG... 5 6. MODALITES DE CONTRIBUTION ET D UTILISATION DES SERVICES... 5 7. REGLES
Plus en détailRèglement concernant l obtention du «CERTIFICAT SSO DE FORMATION POSTGRADE (CFP SSO) EN IMPLANTOLOGIE ORALE»
Règlement concernant l obtention du «CERTIFICAT SSO DE FORMATION POSTGRADE (CFP SSO) EN IMPLANTOLOGIE ORALE» INDEX: 1. Bases 2. Objectifs de formation postgrade 3. Candidature en vue de l obtention du
Plus en détailÉvaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie
Évaluation (HTA) de l'imagerie 3D à faisceau conique (CBCT) pour l'imagerie dentomaxillofaciale. Emmanuel Charpentier, Anne-Florence Fay, Natalie Vongmany, Antoinette Césari, Laurence Rolland-Burger, Catherine
Plus en détailGUIDE D UTILISATION DU LOGICIEL DE TELE-EXPERTISE BOGOU
GUIDE D UTILISATION DU LOGICIEL DE TELE-EXPERTISE BOGOU Document mis à jour le 22 février 2013 Dr. Yannick Kamga Dr. Rafael Ruiz-De-Castaneda Dr. Georges Bediang Dr. Alexandre Sawadogo Jean-Marc Naef Prof.
Plus en détailBaccalauréat technologique
Baccalauréat technologique Épreuve relative aux enseignements technologiques transversaux, épreuve de projet en enseignement spécifique à la spécialité et épreuve d'enseignement technologique en langue
Plus en détail1. ANTÉCÉDENTS ET JUSTIFICATION
REPUBLIQUE DU NIGER MINISTERE DE LA SANTE PUBLIQUE SECRETARIAT GENERAL DIRECTION DES ARCHIVES INFORMATION DOCUMENTATION ET RELATIONS PUBLIQUES TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN ASSISTANT TECHNIQUE
Plus en détailLa communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe
La communication engageante dans la campagne de vaccination contre la grippe L expérience du Centre Hospitalier de DIEPPE Chantal DELESTRE, infirmière de Santé au Travail Dr Stéphanie ROCHON EDOUARD, Praticien
Plus en détailCERTIFICATION CERTIPHYTO
CONDITIONS GENERALES DE CERTIFICATION MONOSITE Indice 2 Page 1/12 «Distribution de produits phytopharmaceutiques, Application en prestation de service de produits phytopharmaceutiques, Conseil à l utilisation
Plus en détailSatisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013
Satisfaction des stagiaires de BRUXELLES FORMATION Résultats 2013 Cahier méthodologique, tableau récapitulatif 2009-2013 et Matrices importance/performance Mars 2014 Service Études et Statistiques Table
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailTransports sanitaires
Observatoire régional de la santé des Pays de la Loire Juillet 2015 www.santepaysdelaloire.com La santé observée dans les Pays de la Loire Transports sanitaires L'essentiel En 2014, 5,6 millions de patients
Plus en détailNotice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical)
IND/RN/001/NT03 Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) Renouvellement, modification ou annulation de l autorisation I DEMANDE DE RENOUVELLEMENT D UNE AUTORISATION...3 I.1 Rappels...3
Plus en détailRVG 6100/5100. Un standard. Deux solutions.
RVG 6100/5100 Un standard. Deux solutions. Doublement innovants À la recherche de l excellence Les systèmes de radiologie numérique RVG 5100 et 6100 vous apportent une technologie d'imagerie de pointe.
Plus en détailBIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie
Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.
Plus en détailTélémédecine. F. Brunet 28 octobre 2010
Télémédecine F. Brunet 28 octobre 2010 Définition Idée générale : Faire voyager les informations plutôt que les patients Selon le CNOM (Conseil National de l Ordre des Médecins) : La télémédecine est une
Plus en détailAdmission de stagiaires internationaux
Admission de stagiaires internationaux Dossier de candidature à l Institut national du patrimoine Département des restaurateurs Nom Prénom Spécialité demandée Dates souhaitées du stage Université d origine
Plus en détailFORMULAIRE DE DECLARATION RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE DES EXPERTS IMMOBILIERS
FORMULAIRE DE DECLARATION RESPONSABILITE CIVILE PROFESSIONNELLE DES EXPERTS IMMOBILIERS Avis important : 1. Le présent Formulaire est un questionnaire relatif à la souscription ou à la reconduction éventuelle
Plus en détailLe droit à l image???
Le droit à l image??? Dans ma propre philosophie, je peux parler de DROIT sans évoquer les DEVOIRS.. Vous me permettrez donc de vous en entretenir de prime abord avec cependant les nuances suivantes: Le
Plus en détailCertification des Etablissements de Santé en France
Certification des Etablissements de Santé en France Pouvait-on faire sans elle en France? Peut-elle faire mieux? Les enjeux et les perspectives de la procédure 2014 Plan de l intervention 1. Partie 1 :
Plus en détailGuide méthodologique pour les EVALUATIONS Demandées au Contrat de Bon usage 2009-2011 PACA Corse
OMIT PACA CORSE Agence Régionale de l Hospitalisation de Provence Alpes Côte d Azur Guide méthodologique pour les EVALUATIONS Demandées au Contrat de Bon usage 2009-2011 PACA Corse OMIT ARH PACA CORSE
Plus en détailGUIDE DE L ASSURE. I/ Quelles pièces fournir pour le remboursement de vos frais médicaux?
GUIDE DE L ASSURE I/ Quelles pièces fournir pour le remboursement de vos frais médicaux? a/ Pour un traitement inférieur à 3 mois : Feuille de mutuelle (verte), dûment remplie, signée par l assuré et cachetée
Plus en détailMODALITES de CANDIDATURE CERTIFICATION de PERSONNES en HACCP
p. 1/7 MODALITES de CANDIDATURE CERTIFICATION de PERSONNES en HACCP 1. Préalable L examen de certification de personnes en HACCP s adresse à des professionnels confirmés qui maîtrisent l HACCP dans un
Plus en détailCependant, les étapes de préparation des budgets et leur analyse sont maintenues et continueront à être réalisées par le niveau régional.
Annexe 4 : Règles de financement des structures de gestion en charge des programmes de dépistage organisé des cancers du sein et du colorectal pour l année 2007 A partir des remontées des budgets 2006,
Plus en détailChapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse. José LABARERE
UE4 : Biostatistiques Chapitre 3 : Principe des tests statistiques d hypothèse José LABARERE Année universitaire 2010/2011 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. Plan I. Introduction
Plus en détailmédicale canadienne, l Institut canadien d information sur la santé, Santé Canada et le Collège royal des médecins et chirurgiens du Canada.
DEPUIS PLUSIEURS ANNÉES, la Fédération des médecins omnipraticiens du Québec (FMOQ) interroge ses membres sur plusieurs aspects touchant leur pratique professionnelle à l aide de sondages, de groupes de
Plus en détailLE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE. Prof. G. DURANT
LE FINANCEMENT DES HOPITAUX EN BELGIQUE Prof. G. DURANT La Belgique (11 millions d habitants) est un pays fédéral. Le financement est organisé au niveau national sauf le financement des infrastructures
Plus en détailAteliers Santé Ville de Marseille
Ateliers Santé Ville de Marseille QUESTIONS-REPONSES SUR LES DROITS A LA COUVERTURE MALADIE Dernière mise à jour : 07 mars 2011 Préambule Ce document est destiné aux professionnels concernés par les questions
Plus en détailConsignes de remplissage - Grille de recueil - Thème DAN2
Généralisation 2014 d un recueil d indicateurs pour l amélioration de la qualité et de la sécurité des soins dans les établissements de santé de soins de courte durée Consignes de remplissage - Grille
Plus en détailLe Centre Léon Bérard Equité, globalité, qualité, innovation. Juin 2011
Le Centre Léon Bérard Equité, globalité, qualité, innovation Juin 2011 1 Sommaire Présentation institutionnelle... 3 Un projet stratégique : le projet d établissement... 5 Un hôpital certifié par la Haute
Plus en détailFormulaires médicaux et assurances
Rapport adopté lors de la session du Conseil national de l Ordre des médecins de septembre 2007 Docteur François STEFANI Formulaires médicaux et assurances Les médecins sont très souvent sollicités en
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détail