BONNES PRATIQUES Quelques exemples

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1 BONNES PRATIQUES Quelques exemples Plus de bonnes pratiques sur notre base de données E-Learning - ECEtt, Réseau Européen de formation par le voyage sur le modèle du Compagnonnage

2 Ce mini-catalogue présente un exemple de bonnes pratiques rédigées par des professionnels du métier de l humain qui ont visité leurs pairs dans d autres pays. Les bonnes pratiques d ECEtt ne prouvent pas qu elles sont les meilleures mais sont une expression de respect des professionnels sur l expertise de leurs collègues. Cela inspire et nous donne souvent des modèles transférables à d autres lieux de travail. Pour plus d informations, visitez Contact ECEtt: ecett@trempoline.be Réalisé par Trempoline asbl Editeur Responsable: Georges van der Straten georges.vanderstraten@ecethos.com 2

3 Index Programme WELCOME de Coolmine (groupe de pré-admission) Coolmine TC, Dublin, Irlande Page 04 Post-cure ambulatoire Villa Flora La Villa Flora, Muraz, Canton du Valais, Suisse Page 05 Groupes familiaux, communication et valorisation en thérapie systémique, cognitive-comportementale, Projecte Home, Baléares, Espagne Page 06 «Consentement informé» (WAB), Phénix, Namur, Belgique Page 07 Collaboration entre secteurs pour la (re)mobilisation sanitaire «Lits Halte Soins de Santé», Chapsa, Nanterre et Samu Social, Paris, France Page 08 Résidentes enceintes en programme CT, Phoenix Haga, Mysen, Norvège Page 09 «La parole est aux enfants!», Kirikou, Paris, France Page 10 Formation du personnel des établissements festifs Fêtez clairs, Paris, France Page 11 Pédagogie Pickler-Loczy, L Ermitage, Mulhouse France Page 12 3

4 Programme WELCOME de Coolmine (groupe de pré-admission) Catégorie: Communauté Préparation (CP) Le "welcome programme" a pour objet d'aider les personnes qui sont encore dans la consommation active a faire des choix éclairés quant à leur avenir et de les accompagner dans le choix de l'abstinence (ou pas s'ils décident que ce n'est pas pour eux) Le «welcome programme» s adresse aux usagers de drogue encore actifs désireux de s engager dans une démarche pour arrêter leur usage de drogue et les problèmes qui en découlent. Les clients sont invités a s engager dans un programme de 12 semaines, a raison de 4h par jour, qui se déroule au Centre de jour de Coolmine situé à Dublin. Ils peuvent être 12 a la fois au maximum ; ce nombre limité permet de faciliter une réelle dynamique de groupe, qui ne soit pas diluée par le nombre et le turn over. Les clients ont accès à cet accueil de manière libre, et peuvent venir quand ils le souhaitent afin de s inscrire. La, ils sont invités à un «groupe de pré entrée», après lequel ils rencontreront pour la première fois un counselor qui établira un premier contact, cherchera quel est le désir de la personne, ses motivations, et lui expliquera le programme WELCOME. La personne pourra intégrer le programme, et s y engager, avec un plan de traitement suivi à la semaine. Le programme est constitué de groupes de paroles, d ateliers de réduction des risques, de promotion de la santé, d ateliers sur le changement, de séances de counselling individuel. On peut y préparer un sevrage, y rencontrer un travailleur social, faire de l acupuncture, voir le médecin. A la fin du programme, il peut y avoir une orientation vers la CT Coolmine ou une autre institution, une entrée dans un autre programme, le drug free day programme, plus intensif et destiné aux gens abstinents. A suivre,... Voir notre site web: cliquer sur «E-Learning» Public Cible: Les participants sont des personnes consommant des produits psychotropes, qui ont le désir de mettre fin a leur usage, et qui sont capables de s'engager sur un programme. A mon avis ce sont des personnes qui sont déja dans une démarche (j'en ai rencontré plusieurs substitués a la méthadone) Institution Hôte: Coolmine TC Ville, Pays: Dublin, Irlande Auteur: Rani Duprat de Aurore France 4

5 Post-cure ambulatoire Villa Flora Catégorie: Communauté Action (CA) Renforcer l abstinence ; parler de «re-consommation» ; faire le lien avec le réseau (médecins, familles, amis, personnes ressources intra et extra muros ). Viser la pérennisation du rétablissement complet prôné par le modèle trans-théorique en 12 étapes de Prochaska et Di Clemente & Norcross La postcure ambulatoire de 11 mois fait suite au traitement intensif en résidentiel post- sevrage à court terme (de 5 à 8 semaines) et/ou pour les situations les plus complexes (désinsertion sociale et/ou professionnelle). Elle prend cours après une phase de traitement (moyen terme) de 3 à 9 mois maximum en résidentiel. La postcure de 11 mois fait partie intégrante du programme thérapeutique et de l offre de soins proposés par la Villa Flora. C est un programme thérapeutique continué adapté et/ou en parallèle au travail de réinsertion voire du maintien de l insertion socioprofessionnelle de l usager. Ce suivi thérapeutique continué semble contribuer à la prévention contre la rechute post-résidentielle. Cette postcure est individualisée en fonction des besoins et des impératifs inhérents au concret et au réel de la vie socioprofessionnelle de l usager (horaires professionnels, situation familiale, distance entre le domicile et le centre, impératif familiaux, ) Elle peut prendre différentes formes : participation à la thérapie de groupe de façon hebdomadaire, bimensuelle, mensuelle ou résidentielle. La postcure permet de poursuivre le travail d introspection commencé en résidentiel par le biais des groupes à visée thérapeutique (composés des résidents en première, deuxième phase et des personnes en postcure). L objectif ici, est de créer une dynamique de groupe positive orientée vers le maintien de l abstinence voire même le rétablissement complet, par le biais de l apprivoisement, la gestion et la stabilisation au niveau émotionnel et psychique ; la gestion du quotidien (intra et extra-muros) et des relations humaines au sens large. A suivre,... Voir notre site web: cliquer sur «E-Learning» Public Cible: Toute personne majeure qui a une problématique d assuétudes au sens large ; mono ou poly-consommateur (alcool, médicaments, héroïne, cocaïne, cannabis,.), qui a pour projet une vie «sans drogue» et ayant suivi le programme résidentiel complet de la Villa Flora. Institution Hôte: La Villa Flora Ville, Pays: Muraz - Canton du Valais à Sierre Suisse Auteur: Stéphanie Esmieux de l hôpital Saint Martin Dave Belgique 5

6 Groupes familiaux, communication et valorisation en thérapie systémique, cognitive-comportementale Catégorie: Travailler en réseau avec les Familles (NF) Retrouver un projet de vie structuré sans produit Proyecto Hombre offre un grand intérêt au développement des interventions impliquant les membres de l entourage dans le processus de réadaptation des personnes alcooliques et toxicomanes. Il travaille avec cette conviction de la nécessité de tenir compte du rôle de ces personnes significatives auprès des personnes dépendantes aux produits. En effet, l ampleur des problèmes familiaux vécus par les personnes qui entreprennent une démarche de soin est une réalité bien connue auprès des services ambulatoires, des centres de jour, de cure, de post-cure Souvent, ils expriment le besoin d obtenir de l aide pour les difficultés interpersonnelles avec leurs proches. En Espagne et plus précisément dans les îles Baléares, la culture familiale et la crise économique font partie du paysage, c est pourquoi beaucoup de personnes vivent encore avec leur famille (conjoint/ enfants ; parents ; famille élargie) au moment d entreprendre un traitement. Ceci vaut également pour les personnes consommatrices de cocaïne et d alcool, la plupart, ont pu préserver une certaine structure. Les usagers soulignent la présence de conflits dans leur famille, avec des grandes difficultés à communiquer, ressentis de rupture du lien de confiance dans les deux parties. et pour l entourage un sentiment de désespoir face aux échecs répétitifs et au non-respect de la vie en communauté, avec absences de règles intérieures pour le bon fonctionnement du système familial. Ces éléments justifient la pertinence d un questionnement sur le rôle que chacun peut jouer dans le système pour le rétablissement d une vie sans consommation. A suivre,... Voir notre site web: cliquer sur «E-Learning» Public Cible: Groupe consommateur, entourage Institution Hôte: Projecte Home Ville, Pays: Baléares, Espagne Auteur: Pascale Hennaux de Zone T Belgique 6

7 «Consentement informé de WAB» Catégorie: Travailler en réseau avec les Services (NS) Garantir la bonne gestion du secret professionnel partagé entre institutions du réseau et garantir une bonne information du patient concernant l impact du secret partagé Le document «consentement informé» identifie les partenaires du réseau, ainsi que le type d informations qui seront échangées. Il précise l objectif et les règles de bonne conduite auxquelles s engagent les professionnels du réseau. Ce document est signé par le patient, un professionnel et la coordinatrice du réseau. Le patient peut y mettre fin à tout moment et ce document est annulé d office en l'absence de nouvelles du patient pendant au moins 6 mois. Le professionnel doit estimer si le recours au réseau est indiqué, il doit bien informer le patient concernant une proposition d inclusion de son cas dans le réseau, vérifier la bonne compréhension par le patient et lui donner un temps de réflexion d une heure minimum avant de signer. Ce document accompagnera une «fiche d inclusion» (7 pages) où apparaitront les données anamnétiques qui pourront être partagé lorsque c est utile et nécessaire. Après signature, le professionnel proposera l inclusion de ce cas dans le réseau WaB ou, en cas d urgence, prendra directement contact avec un partenaire du Public Cible: Patients souffrants d assuétudes et pour lesquels l offre de services au niveau local ne comporte pas de solution. Bien souvent, il s agit de personnes ayant un lourd passé de consommation et un parcours institutionnel très difficile, ils sont souvent renvoyés de porte à porte. Institution Hôte: Phénix Ville, Pays: Namur, Belgique Auteur: Georges van der Straten de Trempoline Belgique 7

8 Collaboration entre secteurs pour la (re)mobilisation sanitaire «Lits Halte Soins de Santé» Catégorie: Travailler en réseau avec les Services (NS) Sensibilisation de la personne sur l importance de prendre soin de soi-même (santé physique et/ou mentale) et mise en place d un accompagnement visant à la construction d un projet individuel, de manière à éviter un retour à la rue engendrant une dégradation de la situation vécue par la personne. Le travail commun des travailleurs sociaux et médicaux permettra une vision plus globale de la situation et une intervention plus adaptée La prise en charge d une personne sans-abri, souffrant de problèmes de santé physique et/ ou mentale souvent multiples nécessitant un temps de repos, de convalescence, et dont la situation administrative doit être régularisée (carte d identité, couverture soins de santé, ressources financières, ),, demande l intervention d une équipe pluridisciplinaire. L analyse de la situation et de la demande de la personne peut être interprétée de manière différente selon que l on est travailleur social, infirmier ou encore médecin. Il est nécessaire de pouvoir s accorder sur un projet commun tout en respectant le souhait de la personne. Les projets «lits halte soins de santé» au SAMU Social de Paris ou sur le site du CHAPSA de Nanterre, vont dans le sens d une prise en charge pluridisciplinaire. La personne, dont l état de santé nécessite un temps de repos et non une hospitalisation, peut y être hébergée pour une période de 2 mois renouvelables, et y bénéficier de soins médicaux, infirmiers et d un accompagnement social. La possibilité de pouvoir se poser dans un lieu, d être «en dehors de la rue», permettra à la personne de faire le point et d envisager peutêtre un projet dans le futur. Ceci avec le soutien d une équipe pluridisciplinaire. A suivre,... Voir notre site web: cliquer sur «E-Learning» Public Cible: Personnes sans-abri, désocialisées, ayant des problèmes de santé physique et/ou psychique, nécessitant une mise à l abri et une prise en charge psychomédico-sociale Institution Hôte: Chapsa à Nanterre et Samu Social Ville, Pays: Paris, France Auteur: Géraldine Van Langenhove du Relais Santé Belgique 8

9 Résidentes enceintes en programme CT Catégorie: Groupe Cible «Femmes» (TGF) assurer la sécurité et l efficacité de la CT pour les résidentes enceintes. Toute résidente enceinte reçoit le même support médical que toute autre femme enceinte et en particulier l assistance d une gynécologue (femme) et d une assistante sanitaire ou d une infirmière. Si la résidente est dans la première phase de son traitement, elle aura une fonction peu fatigante, elle ne participera pas aux groupes de rencontre ou à d autres groupes émotionnels. A la place, elle aura des possibilités supplémentaires de relaxation, de visites familiales, etc., y compris des weekends en famille, etc. Quand une résidente est enceinte, le staff favorisera, par un plan de traitement individualisé, son accès anticipé à la phase de réinsertion sociale afin de lui donner de l intimité, du calme et du confort dans un environnement féminin. S il y a d autres résidentes en phase de réinsertion ou qui sont graduées et qui ont des enfants, on encourage un soutien féminin par des rencontres régulières dans le cadre du programme thérapeutique ou par des visites à domicile, des accompagnements pour les courses, etc. Le bien-être de la mère et de l enfant sont considérés comme plus importants que les normes ordinaires et traditionnelles des CT. Il arrive que les services de protection de l enfance sont amenés à s impliquer dans le suivi de la grossesse, en particulier si la résidente enceinte a d autres enfants. Si le père n est pas un usager de drogues, ses visites font partie du plan de traitement individuel. S il est usager de drogues, les contacts et visites seront autorisées sous supervision. Si la résidente choisit l interruption de grossesse, le même type d accompagnement est mis en place, dans le cadre de son plan de traitement individuel. Le staff lui apportera des conseils mais en veillant à rester non jugeant concernant la décision de la femme, quelle qu elle soit. Public Cible: femmes enceintes en CT: des femmes toxicomanes en traitement ou candidates pour la CT. Comme d autres patients toxicomanes, quand elles sont confrontées au stress (solitude, frustration, tentations, etc.), elles ont tendance à se comporter de manière peu responsables vis à vis d elles-mêmes et d autrui Institution Hôte: Phoenix Haga Ville, Pays: Mysen Norway Auteur: Georges van der Straten de Trempoline Belgique 9

10 «La parole est aux enfants!» Catégorie: Prévention Universelle (PU) Travailler le thème amené par chaque enfant ou jeune preneur, l exploiter et l écrire avec lui pour l amener à le lire en public lors d un colloque. La proposition de réfléchir sur un thème qui l interpelle est faite à chaque jeune fréquentant ce centre. Certains ont de suite des idées qu ils soumettent à des travailleurs. Ensemble, ils cherchent des sources de documentation et de lectures pour approfondir le sujet. Le jeune en prend connaissance, lit, discute du sujet avec ses proches et avec le centre. Il transmet oralement toutes ses découvertes par rapport au thème choisi au centre. Ensuite, commence le travail d écriture en compagnie d un travailleur, à chaque fois différent pour éviter tout biais d appropriation du discours du jeune par un travailleur. Une fois dactylographié, le texte est vérifié par son auteur. Un travail de lecture distincte à haute voix est alors exécuté à diverses reprises. Chaque jeune prévoit un poste à responsabilité pour le colloque (accueil, apport culinaire, décoration, ) Enfin, c est le jour du colloque où chaque auteur lit ce qu il a écrit, sur la tribune, le titre ayant été créé par les travailleurs. Tout un travail de gestion du stress et de confiance est à confirmer avec ces jeunes. Chacun exécute la tâche qu il s était déterminé. Public Cible: Des jeunes de 8 à 21 ans pour la plupart issus de l immigration et fréquentant l institution Institution Hôte: Kirikou Ville, Pays: Paris, France Auteur: Claire Baland de l AJMO Belgique 10

11 Formation du personnel des établissements festifs Catégorie: Prévention Sélective (PS) Former le personnel des boites de nuit afin de prévenir la consommation des drogues dans les espaces festifs et réduire les risques qui y sont associé. Il s agit de former le personnel des discothèques (et ce aussi bien les personnes au bar, que le gérant et les sorteurs) 2 à 3 heures avant l ouverture de la boîte de nuit. Cette formation est interactive et s appuie sur les expériences et les besoins exprimés par les participants. Elle est ouverte à l ensemble du personnel afin de créer une véritable dynamique d équipe. Une session de 2 à 3 heures aborde : - les produits psycho actifs, leurs effets et les risques associés ; - la conduite à tenir en cas d accident ; - les moyens de limiter les accidents (stratégie de réduction des risques) - le cadre légal sur la consommation des stupéfiants, usages et trafics ; Public Cible: L ensemble du personnel d une discothèque : sorteurs, serveurs, gérant, Institution Hôte: Fêtez clairs Ville, Pays: Paris, France Auteur: Céline Puissant de La Teignouse Belgique 11

12 Pédagogie Pickler-Loczy Catégorie: Prévention Sélective (PS) Lutter contre l hospitalisme et les soucis de développement chez l enfant placé en bas âge. Amener une professionnalisation de l approche des travailleurs sociaux auprès des jeunes enfants. La pédagogie Pickler-Loczy (docteur Emmy Pickler, hongroise)part du principe que "si un jeune enfant ne peut être élevé par sa mère, la relation maternelle ne peut pas être reproduite, mais il est possible de lui offrir dans le cadre d'une collectivité une expérience de nature tout à fait différente qui favorise son plein développement". Quatre valeurs sont à l origine de la pédagogie: 1) La valeur de l'activité autonome : développer le goût de l'activité autonome est essentielle pour que les enfants deviennent des adultes "créatifs et responsables", et ce par l'expérimentation des situations. Il est nécessaire que l'activité naisse de l'enfant lui-même pour qu'il l'investisse. Les enfants sont donc totalement libres de leurs mouvements -tout en étant protégés des dangers. L'adulte ne fait que placer l'enfant dans des situations qui correspondent à son âge, met du matériel à sa portée, respecte le rythme de ses acquisitions motrices et l'aide à prendre conscience de ses accomplissements. 2) La valeur d'une relation affective privilégiée et l importance de la forme particulière qu'il convient de lui donner dans un cadre institutionnel : La nécessité d'une relation affective privilégiée et continue avec un adulte permanent nécessite une grande constance dans les attitudes éducatives et un engagement du personnel dans une "relation réelle mais consciemment contrôlée, dans laquelle l'adulte ne fait pas peser sur l'enfant sa propre affectivité et ses attentes personnelles". Les soins sont donc individualisés au possible, et l'enfant n'est jamais seul: il y a toujours un adulte à portée de vue ou de voix. L'équipe tout entière n'a de cesse d'évaluer, de connaître et de contrôler le degré et la forme d'attention offerts aux enfants. La réponse de l'adulte ne doit pas dépasser la demande de l'enfant, elle doit rester plutôt un peu en de ça et le renvoyer toujours à sa propre maîtrise de la situation qui, elle, est organisée à la mesure de ses possibilités." A suivre,... Voir notre site web: cliquer sur «E-Learning» Public Cible: Les enfants de moins de 6 ans et leurs parents. Institution Hôte: L Ermitage Ville, Pays: Mulhouse France Auteur: Tiffany Candeloro de l AJMO Belgique 12

13 Communication directe Catégorie: Emploi (EV) Faire passer des messages difficiles d une manière claire, simple et directe Lors de notre visite à la communauté thérapeutique nous avons constaté qu il y avait une manière de communiquer très directe et aussi très confrontante. En fait, tout le monde est tout le temps évalué par tout le monde. Aussi bien les choses positives que les choses négatives sont communiquées. Pour nous, venant de l extérieur et qui avons l habitude de tenir une communication «diplomatique», cette manière de faire était assez confrontante. Lors des discussions avec le directeur, il nous répliquait que le centre n avait qu un an pour rééduquer la personne. En discutant avec les usagers, ils nous ont fait part de l importance de cette manière de faire : ce n est pas toujours agréable d entendre ce qui ne va pas, mais au moins c est clair tout de suite. En plus, beaucoup de personnes qui y étaient, avaient connu une vie très déstructurée avant (vivre dans la rue) et elles disaient qu un cadre clair avec une communication claire était le seul moyen pour elles de se reconstruire. Dans notre travail, beaucoup de personnes que nous rencontrons se trouvent dans des situations difficiles et très souvent, ces personnes ont perdu toute structuration dans la vie. Nous rencontrons de plus en plus de personnes qui sont tellement décomposées que nous devons faire tout un travail de rééducation avant de pouvoir travailler une insertion professionnelle. Ce travail est lent et notre temps est limité. Nous pourrions certainement atteindre plus de résultats en travaillant d une manière plus directe dès le début. Public Cible: Personnes avec des problèmes d assuétudes, demandeurs d emploi très éloignés du marché de l emploi. Institution Hôte: Projecte Home Ville, Pays: Catalogne, Espagne Auteur: Claudine Bril de l ASBL «Carrefour Emploi» Belgique 13

14 Tableau des Catégories C Communauté en tant que Méthode CP Préparation (niveaux 1,2,3 de cycle de changement) CA Action (niveau 4 de cycle de changement) CR Réinsertion ou nouveau traitement (niveau 5,6 de cycle de changement) CO Autres services CM Médication N Travailler en réseau NF Avec les Familles NS Avec les Services NO Autres T Groupes Cibles TS Drogues douces et synthèse TA Alcooliques TC Cocaïnomanes TH Héroïnomanes TP Parents (consommateurs) et enfants TY Jeunes, mineurs & adolescents TD Double diagnostique TG Joueurs TGE Genre TM Maladies Mentales TI Immigrants TJ Justice & prison TR Rétrovirus HIV & AIDS TO Autre P Prévention PU Prévention Universelle PS Prévention sélective/groupes à risque PI Indiquée E Emploi EV Formation professionnelle EW Lieux de travail pour la réinsertion EO Autre R Recherche RQ Processus de qualité RS Etudes d impact RO Autre S Gestion du Personnel SV Bénévoles SS Formation spécifique ST Outils et organisation d équipes SO Autre SW Travail Social SWH Sans-abri SWO Autre 14

15 Helpdesks - Contacts Helpdesk en espagnol: Helpdesk en polonais: PROYECTO HOMBRE, Espagne MONAR, Pologne (0) europa@proyectohombre.es masza@monar.org charoa@telefonica.net Helpdesk en grec: Helpdesk en italien: KETHEA, Grèce CEIS Formazione, Italie mgidarakou@kethea.gr a.ascari@gruppoceis.org ARGO, Grèce Helpdesk en français: TREMPOLINE, Belgique admin2@argothes.gr ecett@trempoline.be Helpdesk en bulgare: SOLIDARNOST, Bulgarie CEID, Bordeaux, France elena@solidarnost-bg.org krassi-totcheva@voila.fr Helpdesk en anglais: AURORE, Paris, France PHOENIX-FUTURES, Londres, RU (11) mc.carrat@aurore.asso.fr bob.campbell@phoenix-futures.org.uk Helpdesk en tchèque: Helpdesk en néerlandais: MAGDALENA, République Tchèque PALIER, Pays-Bas +420 (3185) haukova@magdalena-ops.cz brigitte.jansen@palier.nl Bureau Central ECEtt: Trempoline Grand Rue, Châtelet (Belgium) Tel ecett@trempoline.be - Website: 15

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