Plan sectoriel en serriculture maraîchère

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Plan sectoriel 2013 2018 en serriculture maraîchère"

Transcription

1 «Les consommateurs achètent à l année des légumes de serre du Québec, aux caractéristiques distinctives, cultivés dans une perspective de développement durable et rentable pour le producteur.» Plan sectoriel en serriculture maraîchère DOCUMENT PRODUIT POUR LE SYNDICAT DES PRODUCTEURS EN SERRE DU QUEBEC LE 1 ER MAI 2013 Jean%LucPoirier,M.Éd.,Consultant Gestionstratégiqueetformation info@jlpoirier.com Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec

2 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 2 CeplansectorielestpubliéparleSyndicatdes producteursenserreduquébecavecle soutienfinancierduprogrammedesoutienaux stratégiessectoriellesdedéveloppementvolet$ 2"!appui%à%la%conception%de%plans%stratégiques% sectoriels LeSPSQremercieégalementlesSerresHarnois pourleurcontributionàceprojet. Réalisation*:* Jean%LucPoirier,M.Éd.Consultant CollaborationdeM.GillesCadotte,Agr.pour lesaspectstechnologiques. Le*comité*de*suivi* Producteurs* Membres*de*l industrie* M.*Germain*Babin,Directeurdesventes, SerresJardins%Natureinc. M.*André*Carrier,Conseillerhorticole, DirectionrégionaleChaudière%Appalaches, MAPAQ M.*Jacques*Demers,Agr,Président%Directeur Général,LesproductionshorticolesDemers M.*Gilles*Cadotte,AGR,Consultant Mme*Marie*Gosselin,Présidente%Directrice Générales,lesSerresduSt%Laurent M.*Louis*Dionne,Directeurgénéral,Syndicat desproducteursenserreduquébec M.*Sylvain*Lefort,Président%DirecteurGénéral, LesserresLefortinc. Mme*Caroline*Forest,Vice%présidente marketing&communication,harnois. (Observatrice Mme*Linda*Levesque,LesserresOvation M.*Claude*Laniel,Directeurgénéral,Conseil Québécoisdel horticulture. M.*Sylvain*Terrault,Président%Directeur Général,HydroserreMirabel. Mme*Julie*Ouellet,secrétairecoordonnatrice, Tablefilièreenserriculturemaraichère, Directiondudéveloppementetdesinitiatives économiques,mapaq M.*Luc*Verrier,LesserresVerrier M.*Jacques*Thériault,Conseiller,Clubde productionsavoir%serre M.*André*Mousseau,PrésidentduSyndicatdes producteursenserreduquébec *

3 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère TABLE*DES*MATIÈRES* 1. DEMARCHE ET SOMMAIRE 5 2. LA VISION 6 3. LE RESULTAT ATTENDU 6 4. EFFETS ATTENDUS DU PLAN DE DEVELOPPEMENT 7 5. LES INDICATEURS RETENUS 8 6. LES OBJECTIFS STRATEGIQUES 9 7. LE PLAN DE DEVELOPPEMENT Orientation no 1 Augmenter les parts de marché des légumes de serre québécois Faire la promotion générique des légumes du Québec en collaboration avec Aliments du Québec Augmenter la part des produits maraîchers dans les chaînes d alimentation Développer les marchés porteurs et le marché d exportation Améliorer la mise en marché des légumes de serre et la collaboration entre les producteurs Orientation no 2 Agir sur la rentabilité et la compétitivité des entreprises Favoriser la modernisation des infrastructures pour accroître l efficacité et réduire les coûts, dont ceux de l énergie Réduire la facture énergétique, notamment via des mesures d appui au niveau de l électricité Améliorer l efficacité énergétique des entreprises Améliorer les performances en gestion des serriculteurs et de leurs ressources Orientation no 3 Favoriser le développement des marchés, du savoir et de l expertise Accroître les activités de recherche et d innovation au profit du plus grand nombre de producteurs en serre Créer un lieu de convergence pour orienter et mettre en œuvre les activités liées au développement de l expertise Favoriser l accès à l innovation dans les produits, les procédés et normes, pour toutes les entreprises Orientation no 4 Dynamiser la filière pour mettre en œuvre la stratégie Surveiller l environnement d affaires et initier/supporter des initiatives structurantes pour le secteur Revoir l approche filière de façon à la rendre plus représentative par la participation des chaînes CONCLUSION LES CONDITIONS DE SUCCES 33 Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 3

4 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère ANNEXE 1 L ANALYSE DES FORCES, FAIBLESSES, OPPORTUNITES ET MENACES 34 ANNEXE 2 LES PERSONNES CONSULTEES 35 ANNEXE 3 PROBLEMATIQUES ET PISTES DE PRIORITES D ACTION AFIN D AMELIORER LA RENTABILITE DES ENTREPRISES 36 ANNEXE 4 LES STATISTIQUES RELATIVES AUX INDICATEURS 44 ANNEXE 5 LE PLAN D ACTION, LISTE*DES*TABLEAUX* * TABLEAU 1 LES ORIENTATIONS STRATEGIQUES 9 TABLEAU 2 CANAUX DE DISTRIBUTION DES LEGUMES DE SERRE AU QUEBEC. 10 TABLEAU 3 LES SOURCES DE DONNEES 44 TABLEAU 4 NOMBRE D EXPLOITATIONS DE LEGUMES DE SERRE, QUEBEC 44 TABLEAU 5 NOMBRE D EXPLOITATIONS DE LEGUMES DE SERRE PRODUISANT PLUS DE $ DE VENTE ANNUELLEMENT, QUEBEC 44 TABLEAU 6 TYPES DE CULTURE OBSERVES EN TABLEAU 7 - SUPERFICIES CULTIVEES (HECTARES EN LEGUMES DE SERRE, QUEBEC 45 TABLEAU 8 - CROISSANCE DE LA SERRICULTURE AU QUEBEC ET EN ONTARIO DE 2009 A TABLEAU 9 - COMMERCE INTERNATIONAL BILAN DES EXPORTATIONS ET DES IMPORTATIONS, LEGUMES DE SERRE (K$ 46 TABLEAU 10 - MAIN D ŒUVRE, QUEBEC, SERRES SPECIALISES EN LEGUMES 46 TABLEAU 11 - MAIN D ŒUVRE, QUEBEC, SERRES SPECIALISEES EN LEGUMES, NOMBRE D EMPLOYES PAR HECTARE 47 TABLEAU 12 - NOMBRE DE MOI EN OPERATION AU QUEBEC, EN ONTARIO ET EN COLOMBIE-BRITANNIQUE 47 Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 4

5 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère 1. Démarche+et+sommaire+ Enjuin2011,leGroupe*AGÉCO,mandatéparleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec (SPSQencollaborationaveclatablefilièreenserriculturemaraîchère,déposaitle«Portrait québécoisetdiagnosticdelaproductiondelégumesdeserreetopportunitédedéveloppement». Lesobjectifsdecetteétudevisaientà: Dresserunportraitéconomiquedusecteurdelaproductiondeslégumesdeserreau Québec.Identifierlesforcesetfaiblessesdusecteur Dégagerdesindicateursdeperformanceséconomiquespermettantdesurveiller l évolutiondusecteur Établirladynamiqueconcurrentielledecesecteurparrapportauxprincipaux compétiteurs,notammentlecanada,lesétats%unisetlemexique Établirlesmarchéslesplusprometteursetdévelopperunestratégiepourpermettreaux producteursd augmenterlapénétrationdecemarché. Ensomme,cedocumentconstituelediagnosticsectorieldelaproductionmaraîchèreenserreau Québec.C estundocumentessentielàlabaseduprésentexerciceetlesorientationsprésentées icisontgrandementinspiréesparcedocument. Parallèlement,leSPSQmandataitégalementen2011leGroupeAGÉCOpourlaréalisationd un portraitdesinfrastructuresetdel adoptiontechnologiquesurlesentreprisesserricolesdu Québec.LemandatconfiéàGroupeAGÉCOétaitdedécrirelesentreprisesdeserreetprésenter desdonnéesàjoursurlesinfrastructuresdeserre,sansanalysedelasituation.cedocumentafait l objetd uneanalyseetderecommandationsaucoursduprésentmandat. Dansleprésentdocument,nousferonssouventréférenceàcesdeuxdocumentsetdansbiendes situations,degrandespartiesyserontcitéesintégralement. Auniveaudeladémarchepourproduireleplandedéveloppementsectorieldelaserriculture maraîchère,uncomitédetravailaétéconstituéàpartirdereprésentantdelatablefilièreetde membresducomitédecommercialisationduspsq.cecomitéaanalysélesdocumentscitésci% hautetprisconnaissancedesdonnéesamasséesparleconsultantviaunerecherche documentaireetd entrevuesauprèsd acteursdumilieu.l analyseducomitéaétéfaiteselonune approcheaxéesurlemarché.lalistedespersonnesconsultéesestprésentéeenannexe.ilfaut égalementsoulignerlefaitquedanslarecherchedocumentaire,leconsultants estinspiréde constatsfaitsdanslecadred uneautreétude,envoiederéalisation,portantsurl agriculture urbaine. Danscedocumentnousvousprésentonslesgrandeslignesretenuesdanslecadredudiagnostic sectoriel,lavisiondusecteur,sesenjeux,lesorientationsetaxesd intervention,lesindicateurs, lesactionsretenuesetlerésultatdel analysedesforces,faiblesses,menacesetopportunités (FFMO.Lesrésultatsattendusduplandedéveloppementautermed unepériodede5anssont égalementidentifiésetunpland actionestproposé. Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 5

6 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère 2. La+vision+ Lavisionproposée: «Les consommateurs achètent à l année des légumes de serre du Québec, aux caractéristiques distinctives, cultivés dans une perspective de développement durable et rentable pour le producteur.» Dansunpremiertemps,onentendpar«légumesdeserre»touslesproduitscomestiblesproduits enserreauquébec,cequiincluedonclespousses,lesfruitsetlesfinesherbes. Lavisiondusecteurs inspired unevolontédesacteursdumilieudeconsoliderlesecteurpar différentesmesuresstructurantes,auniveaudesmoyensetdescoûtsdeproductionnotamment, quipermettrontàtermed augmentersubstantiellementl offredelégumesdeserreàl année.on dénoteégalementunevolontédemieuxfaireconnaîtrel offredelégumesdeserreduquébec,de diversifiercetteoffre,etce,afindefidéliserlesconsommateursetdiminuernotredépendance auximportations. DéjàlesproduitsdeserreduQuébecsontproduitsàpartirdestratégiesdelutteintégrée,donc utilisanttrèspeudeproduitsphytosanitairesdesynthèse.profitantdecettesituationeten adéquationaveclesbesoinsetattentesdesconsommateurs,leseffortsdepositionnementdu produitdevraientmettreenvaleurleseffortsdesproducteursmaraîchersserricolesenmatièrede développementdurable. 3. Le+résultat+attendu+ Autermeduplandedéveloppement,leseffortsdéployésenrelationavecleprésentplande développementdevraientviseràatteindrelerésultatsuivant: «Créer un environnement d affaires pour favoriser le développement de l ensemble des entreprises serricoles maraîchères québécoises.» Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 6

7 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère Parmilesmesuresstructurantesidentifiéespouratteindrecerésultat,notonsleséléments suivants: L obtentiondepolitiquespermettantd assurerlacompétitivitéetlacroissancedusecteur, notammentpardesmesuresdesoutienpourdiminuerlescoûtsdel énergieetfavoriser l éclairageartificielàmeilleurcoûtetlamiseàniveau/remplacementdesinfrastructures L améliorationdel efficacitédelamain%d œuvre L améliorationdelamiseenmarchédeslégumesdeserreetlacollaborationentreles producteurs o Poursuivrelesdiscussionsaveclesgrandeschaînesd alimentationpouraméliorer lesrelationsd affaires o Favoriserdespartenariatsaveclesproducteurs(regroupementetleschaînes pourlapromotiongénériqueenmagasin o Regrouperlesproduitsdeserredesproducteurspouroffrirdesvolumes supérieursauxacheteurs o Financercollectivementlapromotiongénériqueetlarecherche o TravaillerenétroitecollaborationavecAlimentsduQuébecpourlapromotion générique o Favoriserdespartenariatsd affairesaveclesépiceriesindépendantesetles fruiteries Enagissantsurlespratiquescommercialespours assurerqu ellessoientconformesaux règlesdel OMC L instaurationd unréseaud innovationouvertpourfairedesprojetsderecherche, d innovationetd adaptationtechnologiqueetunmeilleurappuitechniqueet informationnelauniveauretd. 4. Effets+attendus+du+plan+de+développement+ En2018,lamiseenœuvreduplandedéveloppementdoitviserl atteintedesrésultatssuivants: Doublerlessuperficiesactuellesavecdesserresdehautetechnologie;lemarchédu Québecetdel exportationpeutsoutenirplusde150hadelégumesdeserre o o Ledéveloppementdelaproductiondetomatesdeserredeplus50ha Unecroissancede50hadessuperficiesdeserreproduisantd autreslégumesde serre,notamment,lespoivrons,lesconcombresprincipalementainsiquelalaitue (diversificationetlesfinesherbes. Uneconsolidationdetouteslesentreprisesviaundéveloppementdestroiscréneauxde miseenmarché,soitlaventedirecte,laventeensemi%grosetlaventeaugros Notreplacesurlesmarchésavecunjusteprixetunereconnaissanceparles consommateursdelaqualitédistinctivedesproduitsdeserrequébécois Augmenterl offredesproduitsbiologiquesafindecomblerlademandedumarché,dont l offrebiologiqueenpériodehivernale Régulariserlemarchéenseprotégeantdespossibilitésdedumping Uneplusgrandecollaborationentrelesproducteurs,tantpourlesactivitésderecherche etdepromotiongénérique,quepourleregroupementvolontairedel offreetd achat d intrants. Diminuerde50%lesimportationsenvolumedetomatesdeserreduMexiqueetde l Ontario ÊtreundesélémentsimportantsdelastratégiedelasouverainetéalimentaireauQuébec. Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 7

8 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère 5. Les+indicateurs+retenus+ Dansunpremiertemps,ilfautrappelerqueplusieursorientationscontenuesdansleprésent documentprennentoriginesdanslesrecommandationsdudocumentdugroupeagéco,légumes deserre:portrait,diagnosticetopportunitésdedéveloppement.six(6indicateursmacro% économiquesidentifiés 1 parlegroupeagécos appliquentauprésentplandedéveloppement: Superficies*:taillemoyennedesentreprises,delatailletotaledel industrieoulataille relativeparrapportàl ensembleducanada.àcetteproposition,nousajoutons égalementlessuperficiesconsacréesàchacunedesproductions; Importation*(parts*de*marchés:pourmesurerl évolutionetl appropriationdespartsde marché.enparallèlel évolutiondespartsdemarchésintérieursdelaprovincenous sembleimportanteégalement; Nombre*d emplois*:lenombred employésparhectarepourmesurerlaproductivité,et ce,d uneannéeàl autre.eneffet,commelesoulignelerapportdugroupeageco,il seraithasardeuxdefairedescomparaisonsentrelesprovinces,carlesstructuresde fonctionnementdiffèrent(impartition.toutefois,noussuggéronségalementcomme moyendemesuredeprogressionlaproductivitédanslesentreprises.soitlenombre d emploi/mois/m 2; Nombre*de*mois*en*opération*:Lamesuredunombredemoisenopérationnousdonnera unemesuredelacapacitédusecteurquébécoisàêtreprésentsurlesmarchéspourune pluslonguepériode; Aliments*du*Québec*:Lenombred entreprisesquiadhèrentauconcept. Enfin,noussuggéronsderetenirdeuxautresindicateurs,soitceluidesexportations*et*les*circuits* de*distribution,*afindevérifierlacapacitédusecteuràdiversifiersaclientèleetrégulariserle marchéintérieur. Lessourcesdedonnéespourcesindicateurssontdocumentéesàl annexe4.nousyprésentons aussilesprincipalesstatistiquesissuesdedonnéessecondaires.toutefois,danslepland actionau chapitre5,nousprésentonségalementplusieursindicateursfinsenfonctiondesobjectifs stratégiquesretenus. 1 Portraitquébécoisetdiagnosticdelaproductiondelégumesdeserreetopportunitésdedéveloppement,RapportFinal,juin2011, GroupeAGÉCO,pages85à88. Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 8

9 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère 6. Les+objectifs+stratégiques+ Tenantcomptedelavision,durésultatetdeseffetsattendusduplandedéveloppementetdes conditionsdesuccèsidentifiées,lesquatreorientationsstratégiquessuivantessontproposéesau secteurdelaproductionmaraîchèreenserre. Tableau*1* *Les*orientations*stratégiques* 1. Augmenter*les* parts*de*marché* des*légumes*de* serre*québécois* 2. Agir*sur*la* rentabilité*et*la* compétitivité*des* entreprises* 3. Favoriser*le* développement* des*marchés,*du* savoir*et*de* l expertise* 1. Faire la promotion générique des légumes de serre du Québec en collaborationavecalimentsduquébec 2. Augmenterlapartdesproduitsmaraîchersenserredansleschaînes d alimentation 3. Développerlesmarchésporteursetlemarchédel exportation 4. Améliorerlamiseenmarchédeslégumesdeserreetlacollaboration entrelesproducteurs 1. Favoriser la modernisation des infrastructures pour accroître l efficacitéetréduirelescoûts,dontceuxdel énergie 2. Réduirelescoûtsdel énergie,notammentviadesmesuresd appui auniveauducoûtdel électricité 3. Améliorerl efficacitéénergétiquedesentreprises 4. Améliorer la performance en gestion des serriculteurs et de leurs ressources 1. Accroîtrelesactivitésderechercheetd innovationauprofitduplus grandnombredeproducteursenserre 2. Créerunlieudeconvergencepourorienteretmettreenœuvreles activitésliéesaudéveloppementdel expertise 3. Favoriser l accès à l innovation dans les produits, les procédés et normes,pourtouteslesentreprises 4. Dynamiser*la* 1. Surveiller l environnement d affaires et initier/supporter des filière*pour* initiativesstructurantespourlesecteur mettre*en*œuvre* 2. Favoriser un lieu d échanges et d action en serriculture maraichère la*stratégie* dynamiqueetplusreprésentatifdumarché Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 9

10 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère 7. Le+plan+de+développement+ Dansleslignessuivantes,nousprésentonslesorientationsretenues.Pourcefaire,nousdécrivons lecontexte,lesdéfis,lesrésultatsattendusetlesmoyensprivilégiéspourlamiseenœuvrede chacunedesorientations Orientation+no+1+ +Augmenter+les+parts+de+marché+des+légumes+de+serre+ québécois++ Augmenter*les*parts* de*marché*des* légumes*de*serre* québécois* 1. Faire la promotion générique des légumes de serre du Québec en collaborationavecalimentsduquébec 2. Augmenterlapartdesproduitsmaraîchersenserredansleschaînes d alimentation 3. Développerlesmarchésporteursetlemarchédel exportation 4. Améliorerlamiseenmarchédeslégumesdeserreetlacollaboration entrelesproducteurs Selonl enquête2011dugroupeageco,91%desproducteursécoulentleursproduitsentotalité surlemarchéquébécois.ilya76%desproducteursquivendentleursproduitsdirectementau publicetpour37%d entreeux,c estleseulcanaldedistribution.pour48%desentreprises,c est laventedansleschaînesd alimentationetpour6%d entreelles,c estleseulcanalde distribution.aussi,25%vendentàdesgrossistesetpour20%d entreelles,c estleseulcanalde distribution.enfin,22%fontaffaireavecdesfruiterieset12%approvisionnentleshri. Tableau*2* *Canaux*de*distribution*des*légumes*de*serre*au*Québec.* * Nombre* % 1 * Directement*au*public* 99 76% Chaîne*d alimentation* 62 48% Grossistes* 34 26% Fruiteries* 28 22% Réseau*des*HRI* 15 12% Autres*producteurs* 12 9% Autres* 1 1% 1 Uneentreprisepouvantutiliserplusd uncanal,letotalestsupérieurautotaldesentreprisessondées Source:GroupeAGECO,Enquêteauprèsdesproducteursdelégumesdeserre,2011 AuQuébec,durantlesmoisderécoltesdeslégumesdechamps,ceux%cioccupentplusde90%du marché 2.LeslégumesdecourteconservationdechampsduQuébecsontdoncabsentsdes tablettesd épicerielerestedel année,lademandeétantalorscombléeparl importation. Parallèlement,leplusgrosduvolumedelégumesdeserreduQuébecestécoulésurlesmarchés surunepériodede9à12mois.latomateduquébecoccupe30%dumarchéduquébecetesten compétitionconstanteavecleproduitimporté.lapartdelalaitue,dupoivronetduconcombre deserreduquébecestencoreplusfaible.ainsi,sil onaugmentelaproductionenserreau Québec,nousdiminuonslebesoind importationdanslamesureoùleprixauconsommateur demeurecompétitif.eneffet,àprixégaloulégèrementsupérieur,leconsommateurquébécois 2 Plante,André,AJMQ,entrevuetéléphoniquedanslecadred uneétudesurl agricultureurbaine,encoursderéalisationparlespsq Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 10

11 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère auraittendanceàpréférerleproduitlocal,c.%à%d.,leproduitquébécois. 3 Lesserriculteurs québécoisdisposentd unecertainemargedemanœuvreauniveaudesprixprovenantplutôtdes caractéristiquesetdeladiversitédeleursproduits,dansunmarchéquidemeuretrèscompétitif Faire la promotion générique des légumes du Québec en collaboration avec Aliments du Québec CONTEXTE* Alorsqu en2002,lemexiquereprésentait21%desserresdetomatesenamériquedunord,en 2012,cechiffreestde48%.Lessuperficiescanadiennesontaugmentédeplusde200hapendant lamêmepériodecomparativementàplusde1600haaumexique.àmoindreéchelle,lamême évolutionestconstatéedanslaproductiondepoivronsetdeconcombres.nonseulementces phénomènesentrainentdespressionsàlabaissesurlesprix,maisilsdemandentégalementune présencetabletteplusconstanteauxproduitslocauxafindepréserverlafidélitédes consommateurs.ildevientprimordialdedévelopperdescampagnesdepromotiongénérique valorisantlesproduitsdeserreduquébecetvantantleurscaractèresdistinctifs. Le17avrildernier,noustenionsdesgroupesdediscussionavecdesconsommateursdeMontréal danslecadred uneétudesurl agricultureurbaine.cefutl occasiondevérifierquelquesconcepts ausujetdel achatlocaletlaplacedesproduitsduquébecdanslepanierhebdomadaire d épicerie. Auniveaudel achatlocal,nousavonsremarquéquegénéralementunproduitduquébecest considérécommeunproduitlocalmêmesicelui%ciestproduitdanslebas%st%laurent.ladistance importepeuenfait,caràqualitéégaleetàprixégalleproduitduquébecestprivilégiépar rapportàdeprochesconcurrentscommel Ontario.Commenousl avonsmentionné précédemment,cettefidélitéselimiteàunprixcompétitif.bienquelabannièrealimentsdu Québecsoitconnue,cen estcependantpaslemoyenutilisépouridentifierlaprovenancedu produit,maisbienl étiquetageenmagasinoudirectementsurleproduit.àceteffet,les consommateursrencontrésnousontsoulignéqu ilyadegrandeslacunesdanslapromotiondes produitsduquébecdanslessupermarchés;lesproduitsquébécoisnesedistinguentpasdulot. Choseàchanger,nousdit%on. Parallèlement,enOntario,lelabelFoodlandOntario,quiviseàmainteniràunhauttauxles intentionsd achatdeproduitsontariens,esttrèsdynamiqueetplusieurscampagnesde promotionsontaxéessurlapromotiongénériqueduproduitontarienenmagasin.àladifférence d AlimentsduQuébec,lebudgetdeFoodlandestbiengarni,atteignantprèsde13Mparannées. CertainespromotionsdeFoodlandsontsuffisammentagressivespourdélogerlesproducteurs maraîchersenserreduquébecdecesmarchés.àcelas ajoutentlesinitiativesdesproducteursde l Ontariocommelesoulignelerapportd AGECO.«Touslesproducteursdetomates,de concombresetdepoivronsdeserredel Ontariosontliés,parobligation,àl OntarioGreenhouse VegetableProducers MarketingBoard(OGVG.( Cetteorganisationconsacreprincipalementà lapromotiongénérique,notammentaumoyendefichesd informationàafficherenmagasinpar lesdétaillants.ellea,enplus,missurpiedunecampagned informationafinderappeleraux consommateurslaprésencedesproduitsdeserreontarienssurlestablettesauprintempsetà l automne.lacampagne,appelée«oh%so%local»,afficheunvisuelattirantnotammentdansle 3 Selondeuxgroupesdediscussionavecdesconsommateursdanslecadred uneétudesurl agricultureurbaine. Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 11

12 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère transportencommun.» 4.Enfin,lesproducteursontarienspeuventégalementcomptersur OntarioFresh 5 pourdévelopperleursmarchéslocaux.encolombie%britannique,c estlabritish ColumbiaVegetableMarketingCommission(BCVMCquiest,entresautres,chargéedela promotiongénériquedesecteuraveclaparticipationdetouslesproducteurs. Auniveaudupositionnementduproduit,leportraitquébécoissouligneque«plusdelamoitiédes producteursenserreinterrogés(55%n utilisentaucunpesticidedesynthèse.unepart importantedesrépondants(42%ditutiliserdespesticidesdesynthèseseulementendernier recours,alorsque3%desproducteursenutilisentsystématiquement. Mentionnonsquecertains desacheteursinterrogésontlaperceptionqueleslégumesdeserresontproduitsavecmoinsde pesticidesqueleslégumesdechamp.ilpourraitêtreavantageuxdeconsoliderlapartdes entreprisesquin utilisentaucunpesticidedesynthèseafindepouvoirbâtirsurcetavantage perçu.» 6 Cependant,lesgroupesdediscussionenagricultureurbainenousportentàcroireque lesnotionsdelutteintégréeetd agriculturedurablenesontpasconnues.alorsdansunéventuel positionnementdesproduitsdeserrequébécois,lechoixdesmotsseratrèsimportantpourquele consommateurconstatequeleproduitaétécultivésanspesticidesetceciconsidérantégalement lesdispositionsportantsurlesappellationsréservéesetlestermesvalorisants. 7 DÉFIS*À*RELEVER* Dansunpremiertemps,lesproducteursdevronttravaillercollectivementpourlivrerlesmêmes messagesauprèsdesconsommateursetdesacheteursquantauxcaractéristiquesdistinctivesdes produitsenserremaraîchers.ilfautsoulignerquelesactionsprévuesdanslecadredecetobjectif stratégiquenevisentpasàremplacerlesmarquesprivéesexistantes,maisbiendetravailleren complémentaritéaveccelles%cietpourlesactivitésencommunaveclamarquegénérique AlimentsduQuébec.Enfait,lesproducteursdésirentqu ilyaituneconvergenceauniveaudes messagesetdesaxesdecommunicationdont,notamment,lefaibleusagedespesticidesen production,lafraicheuretlaprovenance.cecisansoubliercequelesconsommateursnousontdit lorsdesgroupesdediscussion 8 ausujetdugoûtetduplaisirdeconsommerlesproduits québécois. Ensuite,silemilieudésireaugmentersespartsdemarchésetavoirunimpactauprèsdes consommateurs,ilfaudracommenceràréfléchiraufinancementcollectiflapromotiongénérique etdescommunicationsetcommentarrimerletoutaveclesinitiativesd AlimentsduQuébec.Ilest importantdesoulignerqu ennovembre2012,l AGAduSPSQadonnélemandatàl organisation deproposerunscénarioenvuedefinancerlapromotiongénériqueetdeconstituerunfondsde recherche.bienentendu,cescénarioconcerneautantlaproductionornementalequela productionmaraîchèreenserre. RÉSULTATS*ATTENDUS* Unpositionnementdesproduitsquébécoisestdisponible,etce,tenantcomptedesexigences sociétales,dontl agriculturedeproximité,etdesbesoinsdeschaînesd alimentation; 4 Portraitquébécoisetdiagnosticdelaproductiondelégumesdeserreetopportunitésdedéveloppement,RapportFinal,juin2011, GroupeAGÉCO,page Portraitquébécoisetdiagnosticdelaproductiondelégumesdeserreetopportunitésdedéveloppement,RapportFinal,juin2011, GroupeAGÉCO,page Selondeuxgroupesdediscussionavecdesconsommateursdanslecadred uneétudesurl agricultureurbaine. Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 12

13 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère Lesproducteursfinancentcollectivementdelapartdesproducteursdesactivitésde promotion; DescampagnesdepromotionsontmisesenplaceencollaborationavecAlimentsduQuébec; AugmentationdubudgetduMAPAQpourAlimentsduQuébec; Lenombredeproducteursmembresd AlimentsduQuébecaugmente; Unconcept«AchatQuébec»estvéhiculéàl intentiondeshri; LapartdesproduitsquébécoisdanslesHRIestenaugmentation. MOYENS** * 1. RéaliserdesétudesdepositionnementdesproduitsduQuébecparrapportauxstratégiesde développementdesmarchésdescompétiteursetdesexigencessociétales: a. Analyserlepotentieldedéveloppementpourlesproduitsdeserre(ex.marché ethnique; b. PositionnerleslégumesdeserreduQuébec,tenantcomptedescaractéristiquesdes légumesdeserrequébécois,dontnotammentlefaibleusagedespesticidesen production,lafraicheuretdesproduitsissusd uneagriculturedeproximité; c. Établirdeslignesdirectricespourfavoriserl adoptiondescritèresretenusdansle positionnementdusecteur 2. Développerunestratégiedecommunicationetdepromotiongénériquepourleslégumesde serre,favorisantl achatlocalparlesconsommateursencollaborationavecalimentsdu Québec: a. TravaillerencollaborationavecAlimentsduQuébecpourfairereconnaîtreles caractéristiquesdéfiniesdansl étudedepositionnement; b. S assurerqu unnombregrandissantdeproducteursdeserresoitmembresd Aliments duquébecafindedévelopperdesstratégiescommunesaveccetteorganisation: i. Développerunestratégieportantsurleproduitmaraîcherenserre; ii. Agirsurleconsommateuretl acheteurens inspirantduconceptfoodland Ontario; iii. AugmenterlapartfinancièreduMAPAQdanslefinancementd Alimentsdu Québec. c. Favoriserdespartenariatsaveclesproducteurs(regroupementetleschaînespourla promotiongénériqueenmagasin; d. Encourager les initiatives telles que les regroupements volontaires de producteurs valorisanttouteimagedemarqueenlienaveclavisiondusecteur(caractéristiques distinctives,produitscultivésdansuneperspectivededéveloppementdurable; e. ParticiperauxtravauxducomitéHRIdelaTablefilièredesproductionsmaraîchères: i. Véhiculerleconcept«AchatQuébec»enpartenariatavecl AQDFL. 3. Explorer et proposer aux producteurs différents scénarios possibles pour financer collectivementlapromotiongénérique,etce,selonlavolontédesproducteursdemettreen placeunteloutil. * Augmenter la part des produits maraîchers dans les chaînes d alimentation CONTEXTE* AucoursdumandatduGroupeAGECO,«lesentreprisesétaientquestionnéessurleurperception quantàlafacilitéd accèsauxdifférentscanauxdedistribution.prèsdelamoitié(47%des entreprisesquidistribuentleursproduitsparl intermédiairedegrossistesconsidèrentqu ilest Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 13

14 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère plusdifficilequ avantd yvendrequoiquecesoit.lasituationestsemblable(48%pourceuxqui vendentleursproduitsauxsupermarchés.etpourl avenir,plusde60%anticipentquelasituation sedétérioreraauprèsdecesdeuxcanauxdevente.» 9 Pourlesautresmarchés,lesproducteurs interrogésobserventpeudechangement.malgrélesdifficultésanticipées,68%desproducteurs interrogésnepensaientpaschangerleursstratégiesdevente.l enjeuestdetaille,maisilest impératifdetisserdesliensplusétroitsafindefidéliserleschaînesd alimentationfaceaux produitsdeserresduquébec. Àcesujet,laChaireBombardierdegestiondelamarquedel UniversitédeSherbrookeaété mandatéeparlatablefilièreenserriculturemaraîchèreen2011afinderéaliseruneétudevisant àdévelopperuneapprochepositivedereconnaissancedesépiceriesduquébecquifavorisent l achatdesproduitshorticolesduquébec.commenousl avonsindiquéprécédemment,les consommateurssontsensiblesàlaprovenancedeslégumesqu ilsachètentenépicerie. «Parailleurs,lesproducteursdefruitsetlégumesduQuébecdésirentobtenirunmeilleuraccès auxtablettesetuneplusgrandevisibilitéenmagasinpourleursproduits.pourrépondreaux demandesdesconsommateursetdesproducteurs,certainesépiceriesontdéveloppédes approchesdemiseenvaleurdesproduitsquébécois.parcontre,d autresépiceriesaffichentune moinsgrandeouverturefaceauxproduitsduquébec.» 10 Danslesprochainesannées,ilserait intéressantdetablersurceconceptet,sansnécessairementmettredel ensembledesactivités proposées,initierdesactionsvisantàreconnaîtreleseffortsdesépiceriesquimettentenvaleur leslégumesduquébec.unpartenariatpourraitêtredéveloppéavecunebannièreetlemilieu pourraitreconnaîtreleseffortsdecelle%ciet,decefait,encouragerlesautresbannièresàmodifier leurspratiquesenfaveurdesproduitsduquébec.ilestimportantdesoulignerquedes distributeursindépendants(iga,métro,provigoontparticipéàalimentercetteétude,viaun projetpilote,etdoncqu ellesconnaissentleprojet.deplus,lachaînemétroadéfinisapolitique d achatlocallaquelleviseàoffrir: «Unevitrinedechoixpourlesproduitsrégionaux:accroîtrelaprésenceetlavisibilitédes produitsrégionauxdansnosmagasins; Unpartenaireprivilégiéd AlimentsduQuébec:jouerunrôledechefdefilepour promouvoirlesproduitsagroalimentairesquébécoisens appuyantsurlesdeux certificationsquigarantissentleuroriginequébécoise:alimentsduquébecetaliments préparésauquébec; LeprincipalalliédesfournisseursinnovantsduQuébec: optimiserlesrelationsdemetro aveclesfournisseursquébécoisinnovants.» 11 D autrepart,lorsquel onparled augmenterlespartsdesproduitsduquébecdansleschaines d alimentation,ondoittoujoursgarderàl espritquelesimportationssontimportantesetqu elles affectentdurementlesproducteursd icienraisondespolitiquesdebasprix.selonleconseil Québécoisdel horticulture,«ledébutdesaison2012aétél undesplusdifficilesdepuisplusieurs annéesentermesdeprixdevente.eneffet,enavril,leprixdelatomatedechampsdesétats%unis etdumexiquesesituaitauxalentoursde5,00$laboîtede25lbcomparativementauprix habituelde20,00$laboîte.latomatedeserredumexiqueétaitalorsà4,50$le15lb.cette situationaeuuneincidencemajeuresurlemarchéquébécois.ilfautdirequ enavril,les expéditionsenprovenancedumexiqueontétéenmoyenne38%à91%supérieuresàl an 9 Portraitquébécoisetdiagnosticdelaproductiondelégumesdeserreetopportunitésdedéveloppement,RapportFinal,juin2011, GroupeAGÉCO,page ÉtudedefaisabilitévisantàdévelopperuneapprochepositivedereconnaissancedesépiceriesduQuébecquifavorisentl achatdes produitshorticolesduquébec,lachairebombardierdegestiondelamarquedel UniversitédeSherbrooke,janvier Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 14

15 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère dernierpourlamêmepériode.( et,dudébutavrilàlafinnovembre(34semaines,leprixsera restésousles1,00$lalivredurant19semaines.dujamaisvudepuislestroisdernières années.» 12 LasituationenOntarioétaitlamême,carselonl OntarioGreenhouseVegetable Growers(OGVGleprixdestomatescanadiennesabaisséde40%enraisond'unesurabondance detomatesmexicainesbonmarchéauxétats%unis. En1996,ledépartementaméricainducommerceaétabliunprixdeventeminimumdestomates importéesdumexique.cetteannée,àlademandedesproducteursdefloride,voyantqueleprix n'apasétéchangé,l ententeaétérouverteetelleprévoitmaintenantdesprixminimumsselon quatrecatégoriesdeproduitsetdeuxpériodesdeproduction.l ententepeutêtreconsultéeici: suspension%of%antidumping%investigation.quoiqu ilensoit,pouréviterunesituationcomme cellede2012,ilfautpoursuivrelesdémarchesdeconcertationaveclesautresassociationsde producteursenserreducanadapourdiscuteraveclegouvernementfédéraldelaprotectiondu marchécanadien. DÉFIS*À*RELEVER* Unélémentdelaproblématiqueidentifiéeparlegroupedetravailseradetrouverlefinancement nécessairepourmettreenplaceunprogrammedevalorisationdesépiceriesvalorisantles légumesduquébec.alimentsduquébecpourraitêtreunpartenairedechoixsisonenveloppe annuelleétaitmajorée.ainsidesinitiativesàl imagedecellesinitiéesparfoodlandontario pourraientêtremisesdel avantaveclesproducteursmaraîchersenserrequébécois.toutceci pourraits inscriredanslapolitiquequébécoisedelasouverainetéalimentairepourmettreen valeurnosproduits Auniveauducommerceinternational,ilseraimportantdeconvaincrelegouvernementcanadien desurveillerdeprèslesimportationsdumexiqueetdedéposer,lecaséchéant,uneplainte antidumpingpouréventuellemententamerdesnégociationsaveclegouvernementdumexique pourl établissementdeprixplancher. RÉSULTATS*ATTTENDUS* Lesconsommateursdemandentlesproduitsd icibasésetreconnaissentleurscaractéristiques distinctives; Uneplusgrandefidélitédesépiceriesfaceauxlégumesdeserre; Unechaîned alimentations engagedansunprogrammedevalorisationdeslégumesdeserre; Lesproduitsquébécoissontprésentsrégulièrementsurlestablettesdesépiceries; Le nombre de producteurs présents et la quantité vendue dans les chaînes sont en augmentation; UnprixplancherestmisenplacepourlestomatesenprovenanceduMexique. MOYENS** 1. Développer un programme de reconnaissance pour valoriser les épiceries qui favorisent davantagedeslégumesdeserreduquébec: 12 Bilandelasaison2012 Latomatedeserre,Observatoirehorticole,ConseilQuébécoisdel horticulture,12février Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 15

16 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère a. Entreprendredesdiscussionsavecundistributeur,partageantdesvaleurscommunes aveclesecteurpourqu ils engagedansceprogramme. 2. Favoriserdespartenariatsd affairesaveclesépiceriesindépendantesetlesfruiteries; 3. Réaliseruneanalysedesactionsetstratégiesencirculairedesbannièresd alimentation; 4. Poursuivrelesdiscussionsaveclesgrandeschaînesd alimentationpouraméliorerlesrelations d affaires; 5. AgirauniveauducommerceinternationalendemandantaugouvernementduCanadade surveillerdeprèslesimportationsenprovenancedumexique;dedéposer,lecaséchéant,une plainteantidumpingetéventuellementdedévelopperuneententepourl instaurationd un prixplancherpourlesdifférentescatégoriesdetomatecommecelasefaitactuellemententre lesétats%unisetlemexique: a. Travaillerenpartenariataveclesreprésentantsdesassociationsdesautresprovinces. 6. Poursuivreletravailpourlareconnaissancel inclusiondanslesrèglesdecommerce internationaldeladéfinitiondelatomatedeserreauxfinsd étiquetageetdeprix Développer les marchés porteurs et le marché d exportation CONTEXTE* SelonlasociétéNielson,citéedanslerapportduGroupeAGECO,«lademandepourlesproduits biologiquesestenhausse.selonlesdernièresdonnéesdisponibles,lavaleurdesventesaudétail deproduitsbiologiquesaucanadaatteignaitles2milliardsdedollarsen2008,soitunehaussede plusde65%depuis2006.parailleurs,onestimeàenviron1,2milliarddedollarslesventesquise feraientdirectementauxconsommateursoupardescircuitsdedistributionautresqueles détaillantstraditionnels».lesentrevuesauprèsdesexpertsdumilieu,ausujetdumarchédes légumesbiologiques,nousconfirmentqu ilybeaucoupd opportunités,etce,tantducôtédes marchésconventionnelsquepourlesmarchésdeniches,commelespaniersbiologiques.en périodehivernale,ilyapénurieetlesacteursdeladistributionalimentairesetournent invariablementversl importation,mêmepourlepanierbiologique.danslesdiscussionsdegroupe portantsurl agricultureurbaine,nousavonségalementconstatéquelesproduitsbiologiquessont endemandedanslessupermarchésdanslamesureoùleprixn excèdepascertaineslimites(+/% 20%. AuQuébec,laculturedupoivronenserrecouvraitmoinsde1haen2010,alorsqu aucanada (255ha,laprogressionsepoursuit.Pourtant,lademandesurlemarchéesttrèsprésenteetc est principalementlesproducteursdumexique,d Europe(Hollande,BelgiqueetEspagneetde l Ontarioquicomblentcettedemande.Aucoursdesderniersmois,cesontplusdetroishectares quisesontajoutésauquébecafind alimenterlesgrandeschaînesd alimentation.pourles producteurs,c estàlafoisunestratégiedediversificationafinderéduirelescontrecoupsdesbas prixoccasionnésparlesimportationsdetomatesetaussiuneopportunitédedévelopperde nouveauxmarchés.lesexpertsrencontréssontunanimesàproposdufaitqu ilyatoutunmarché àdévelopperpourlepoivron. Parallèlement,auniveaududéveloppementdesnouveauxmarchés,lesexpertsinterrogés suggèrentdemettrel accentsurlarecherchetechnicoéconomiqueafindedocumenterle potentieldesnouveauxmarchésetlestendancesdeconsommation Dansledernierplanstratégiquesectoriel,produitparZinsBeauchesneetAssociésen2002,undes objectifsstratégiquesvisaitunemeilleurepénétrationdesmarchésd exportation.àcemoment, Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 16

17 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère onvisaitlesmarchésdeniches,telsceluidelatomatebiologique,etleslégumessansogmet sanspesticides.or,depuis,lesexportationsquébécoisesconnaissentbeaucoupdefluctuations. Outrel année2010,ellestendentàdécroîtred annéeenannéecommeentémoigneletableau6à l annexe4. Etpourtant,selonleGroupeAGECO,«alorsquelaproductionquébécoisedelégumesdeserreest encorelargementtournéeversl approvisionnementdesmarchésintérieurs,laproduction canadiennedessertdavantagelesmarchésd exportation.surlaproductiontotalecanadienne,à peuprèslamoitiéestexportéeen2009.» 13 Cesontlespimentsetlesconcombresquiontétéles plusexportésparlescanadiens.peut%êtrequelaconjoncturedestauxdechangen estpas favorableactuellement.toutefois,laproductionenserren estpastrèsdéveloppéeauxétats%unis. Ilyacertainementdesmarchésàconquériret,indubitablement,lepositionnementdeproduits sanspesticidespourraitfaireladifférence. DÉFIS*À*RELEVER* Undesgrandsdéfisserad augmenterlessuperficiesenproductionbiologique,enproductionde poivrons(conventionnelsetbiologiquesetautresproduitsdespécialités.unsoutienauniveaude l expertiseseraplusquenécessairepourquelesproducteursassumentdenouvellesrégiesde productionintroduitesparcesnouveauxproduits(ex.poivronsoucesnouveauxmodesde production.aussi,ilseraopportundefairedesétudespourbiencirconscrirelesraisonsdes problèmeslimitantnosactivitésd exportation,soitdéfinirlesenjeuxetlesconditionspermettant deconquérircesmarchés.unregardsurcequisefaitcollectivementencolombie%britannique pourraitnouséclaireràceniveau. RÉSULTATS*ATTENDUS* Le marché du secteur biologique est en progression et celui des paniers biologiques est combléenbonnepartiepardesproduitsquébécois,etce,àl année; Laproductiondel ensembledeslégumesdeserreaugmentepourcomblerlesbesoinsdu marchéquébécois; Lesentreprisesayantlacapacitéd exporterdisposentdestratégiespourpénétrerces marchés. MOYENS* 1. Encouragerlaproductionbiologiqueenfonctiondelademandeafindecomblerlespénuries demarchés,notammentenpériodehivernale; 2. Encourager la diversification de la production notamment de poivrons (conventionnels et biologiquesetdeconcombresnotammentenlienaveclademandedumarché 3. Documenterlesfreinsàl exportationdesproduitsmaraîchersquébécois: a. Mettreenplace,danslamesuredupossible,lesmesurespermettantdecontrerles freinsàl exportation 13 Portraitquébécoisetdiagnosticdelaproductiondelégumesdeserreetopportunitésdedéveloppement,RapportFinal,juin2011, GroupeAGÉCO,page48. Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 17

18 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère Améliorer la mise en marché des légumes de serre et la collaboration entre les producteurs CONTEXTE* Toujoursselonl enquêted AGECO,«Letiersdesentreprisesdelégumesdeserreontexpriméun intérêtàregrouperleuroffrepourfaciliterlamiseenmarchédeleursproduits.ils agitd un élémentmentionnépartouslesacheteursinterrogés:regrouperl offreafindefournirunvolume plusimportant.outrelescritèresdequalitéetdeprix,ilestnécessairequelesfournisseursqui approvisionnentcescanauxsoientadaptésàlastructuredesgrandeschaînesd alimentationet desautresacheteurs(courtiers,grossistes:volumeadéquat,centralisationdesopérationsetdes intervenants.ainsi,lesrelationscommercialesserontsimplifiées.» 14 Aussi,ilfautmentionnerqu à partirde2014,leschaînesexigerontdetousleursfournisseursunecertificationdesalubritéetde traçabilité. NoussavonsquelesproducteursdelaColombie%Britanniquetravaillentensembleetregroupent desvolumes.est%cepourcelaqu ilsobtiennentdesrésultatssurlesmarchésdel exportation? Quoiqu ilensoit,plusieursproducteursquébécois,déjàprésentsdanslemarchédusemi%gros travaillentdéjàensemblepourregroupervolontairementdesvolumes. Enfin,undesmoyensidentifiésparlesclubsdeproductionetlesproducteursconsultéspour réduirelescoûtsdeproductionestdefairedesachatsencommun.noussavonsquedansle secteurornemental,ilsefaitdesachatsencommunsurunebaseinformelleàl initiativede quelquesproducteurs.ilseraitintéressantqu uneorganisationsepréoccupedecettequestionet offrecetypedeservicesauxproducteursmaraîchersenserre. DÉFIS*À*RELEVER* Leprincipaldéfiidentifiéserad encourageretdeconscientiserlesproducteursauxavantagesde seréseautertantpourlamiseenmarchéquepourlesachatsd intrants.aucuneorganisationn a lesfondspourinitierdetellesinitiativesafindelesaideràstructurerdesententesentreeux. Aussi,ilseraimportantquelesproducteursquidésirentcollaborerseconformentauxrèglesde salubritéetdetraçabilitéàlafermeetsedotentd uneaccréditation. RÉSULTATS*ATTENDUS* 1. Desvolumessontregroupéspourdonneraccèsauxmarchés; 2. Desachatsencommunsontréalisésafinderéduirelescoûtsdeproduction(intrants,dontles transplants; 3. Unplusgrandnombredeproducteurssontaccréditéspourlasalubritéetlatraçabilité. MOYENS* 1. Examiner,làoùilyaunbesoin,lafaisabilitéderegrouperlesproduitsdeserredes producteurspouroffrirdesvolumessupérieursauxacheteursetlamiseenplaced achats regroupésetdeprêtsd équipement: 14 Portraitquébécoisetdiagnosticdelaproductiondelégumesdeserreetopportunitésdedéveloppement,RapportFinal,juin2011, GroupeAGÉCO,page30. Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 18

19 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère a. Explorerlesmécanismesdegestiondessurplusetdesententescontractuelles (volumes,qualités,prix,etc..pouvantêtremisenplaceentrelesproducteurs participants; b. Examinercommentmieuxcoordonnerl offredestomatesdeserreauprèsdela grandedistribution: i. Mettreenœuvredessolutionsinnovantesetsouples. c. Explorerdesmécanismesd achatsd intrantsencommun. 2. Sensibiliserlesproducteurspourqu ilss engagentdansdesprocessusd accréditationpour assurerlasalubritéetlatraçabilité 3. Analyserlesbesoinsdeschaînesetidentifierlesenjeuxgagnantsàleursyeux Orientation+no+2+ +Agir+sur+la+rentabilité+et+la+compétitivité+des+entreprises+ Agir*sur*la*rentabilité* et*la*compétitivité* des*entreprises* 1. Favoriser la modernisation des infrastructures pour accroître l efficacitéetréduirelescoûts,dontceuxdel énergie 2. Réduirelafactureénergétique,notammentviadesmesuresd appui auniveauducoûtdel électricité 3. Améliorerl efficacitéénergétiquedesentreprises 4. Améliorer la performance en gestion des serriculteurs et de leurs ressources Ladeuxièmeorientations attaqueauxcoûtsdeproductionetàlaproductivitéprincipalementau niveaudesmoyensdeproduction,del énergieetdel efficacitéquantàl organisationdutravail. Auniveaudescoûtsdeproduction,noussavonsquelescoûtsdel énergieetceuxdelamain% d œuvresontlesplusimportantsetconstituentdeséléments%cléspourlarentabilité.troisétudes récentesontétémisesàcontributionpourorienterlesdiscussionsducomité. Dansunpremiertemps,leGroupeAGECOaproduitpourlecompteduSPSQunportraitdes infrastructuresdeproductionauquébec.cerapportdescriptifaétéanalyséetsoumisaucomité desuividuprésentplandedéveloppementpourrecommandations.depuislaréalisationde l étudedugroupeagecoen2011,ilyaeuaumoinsquatreajoutsdeserresdegrandesuperficie. Cequiaunimpactsignificatifsurlepoidsrelatifdesserresdegrandesuperficiedanscesecteuret surl améliorationdesinfrastructuresmoyennes. Ensuite,l expérienceacquiseavecleprojetdesuivisurlesauditsénergétiques(rapportremispar lespsqaubeieetleprojetd outildediagnosticetdebudgétisationenmain%d'œuvredeserres maraîchères(rapportremisparlespsqaucegaenfévrier2013aégalementétémisà contributionpourl établissementdesprioritésd actionenvued améliorerlarentabilitédes entreprisesdecesecteur Favoriser la modernisation des infrastructures pour accroître l efficacité et réduire les coûts, dont ceux de l énergie CONTEXTE* L analysedurapportdugroupeageconousdémontreque50%desentreprisesauquébecsont âgéesdeplusde25ans.lesserresdoiventêtre,dansbiendescas,remplacées,carlamiseà Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 19

20 Plansectoriel2013%2016enserriculturemaraîchère niveaudel isolation,delaventilation,delaluminositéneseraitpasuninvestissementoptimal pourlarentabilité. Auniveaudel énergie,laplupartdespetitesinstallationsn ontpasdesystèmecentral. L installationd unsystèmeàlabiomasse,alternativepossibleauxproduitspétroliers,risque d accroitrelescoûtstotauxpourlachauffeétantdonnélecoûtd entréeélevédesinvestissements parm²pourlespetitessuperficies.auniveaudel efficacitéénergétique,leslacuneslesplus importantesnotéessontlesécransthermiques,l isolation,lecontrôleclimatiqueordiné,la hauteurdesserresetlaprotectioncontrelevent. Quantàl efficacitédelamain%d œuvre,leslacunessuivantessontlesplussouventobservéssoit: laqualitédelagestiondelamain%d œuvre,lesinfrastructuresetl absenced équipementstelsque lescharriotsdetravailpourletravailenhauteur,lescharriotspourlarécolte,lesrailspourles charriots(absenced alléesenciment,lespulvérisateursadéquatspourlestraitementset finalement,detranspalettesetautreséquipementsdetransportdelarécolte. Quantauconditionnement,lemilieuaffichedeslacunesimportantesauniveaudel utilisation d équipementssemi%automatiques,del aménagementdulieudetravailetdel utilisationde convoyeurs. Lesélémentsprécédentsconstituentleslacuneslesplussouventobservées.Toutefois,chacune desentreprisesvitsespropresréalitésetlesbesoinsenmatièredemiseàniveaudes infrastructuresvarientd uneentrepriseàl autre.ilconvientdoncdesoulignerquetout investissementdoitsefaireaprèsuneétudeapprofondiedelasituationdechacunedes entreprises.desdiagnosticsd efficacitéénergétiqueetdemaind œuvre,assortisdebudgets partiels,doiventpréalablementêtreréaliséspourbienévaluerlasituation. Enfin,auniveaudesintentionsdesproducteursd augmenterleurssuperficies: «En2010,prèsde70%del ensembledesproducteursdelégumesdeserrecultiventla mêmesuperficiequ ilyacinqans; Moinsde10%ontdiminuéleursuperficieenproduction,alorsqu unpeuplusde20% l ontaugmentée; Encequiconcernelesdécisionsàvenird icitroisans,plusdelamoitié(56%des entreprisesprévoientgarderlamêmetaille,8%prévoientréduireleursuperficie,unpeu moinsdutiers(31%envisagentd augmenterleurtaille: Plusdesdeuxtiers(69%desproducteursquiontaugmentéleursuperficieparles annéespasséesprévoientpoursuivreleurcroissancedanslesannéesàvenir; Parmilesproducteursdetrèsgrandetaille(10000mètrescarrésouplus,86% prévoientaugmenterleursuperficied icitroisans» 15 ; «Danslestroisprochainesannées,61%desrépondantsenvisagentd apporterdes améliorationsàleursinfrastructuresdeserre.unefortemajoritédeceux%ci(86% prévoientalorstenircomptedel améliorationdel efficacitéénergétiquedeleurs installations» Portraitquébécoisetdiagnosticdelaproductiondelégumesdeserreetopportunitésdedéveloppement,RapportFinal,juin2011, GroupeAGÉCO,page13 16 Portraitquébécoisetdiagnosticdelaproductiondelégumesdeserreetopportunitésdedéveloppement,RapportFinal,juin2011, GroupeAGÉCO,page32 Jean%LucPoirier,M.Éd.,consultant,pourleSyndicatdesproducteursenserreduQuébec 20

Geoffroy Ménard, agr.

Geoffroy Ménard, agr. Geoffroy Ménard, agr. Photo: IGA Projet réalisé dans le cadre du Programme d appui à la mise en marché des produits biologiques (volet 1) du Ministère de l'agriculture, des Pêcheries et de l'alimentation

Plus en détail

Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts

Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts Rapport sur l intérêt des producteurs maraîchers de la région de Montréal quant aux modèles associatifs de mise en marché en circuits courts par Équiterre 30 novembre 2011 Objet de l étude Cette étude

Plus en détail

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC)

Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) GUIDE À L INTENTION DES ORGANISATIONS Devenez point de chute d une ferme du réseau québécois d agriculture soutenue par la communauté (ASC) Pour des paniers de légumes locaux et sains, directement livrés

Plus en détail

Élaboration de la planification stratégique 2010-2015 du secteur agroalimentaire de la Gaspésie

Élaboration de la planification stratégique 2010-2015 du secteur agroalimentaire de la Gaspésie Titre du rapport (PRÉLIMINAIRE) Élaboration de la planification stratégique 2010-2015 du secteur agroalimentaire de la Gaspésie Rapport final Table de concertation agrobioalimentaire de la Gaspésie Janvier

Plus en détail

Évaluation et analyse des parts de marché de la production horticole ornementale québécoise en serre et en pépinière Rapport final

Évaluation et analyse des parts de marché de la production horticole ornementale québécoise en serre et en pépinière Rapport final Évaluation et analyse des parts de marché de la production horticole ornementale québécoise en serre et en pépinière Rapport final Mai 2010 Table des matières 1. Introduction...3 2. La méthodologie...4

Plus en détail

FRUITS ET LEGUMES FRAIS DONNEES REGLEMENTAIRES UE

FRUITS ET LEGUMES FRAIS DONNEES REGLEMENTAIRES UE FRUITS ET LEGUMES FRAIS DONNEES REGLEMENTAIRES UE I. AGRUMES 1. Oranges - Du 1 er décembre au 31 mai Les oranges bénéficient d un contingent en exonération des droits de douane advalorem et à prix d entrée

Plus en détail

Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir?

Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir? Produire en grand tunnel multichapelle ou en serre froide individuelle Quelle structure choisir? Christine Villeneuve, agr. MAPAQ, Ste-Martine 25 janvier 2012 Impact des changements climatiques sur l'agroclimat

Plus en détail

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable

Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Agricultures paysannes, mondialisation et développement agricole durable Marcel MAZOYER professeur à La Paz juillet 2 007 Contenu 1. Une situation agricole et alimentaire mondiale inacceptable 2. Développement

Plus en détail

Annexe A : Tableau des exigences

Annexe A : Tableau des exigences E1 E1.1 E1.2 E1.3 E1.4 E1.5 E1.6 Exigences générales production Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent être cultivés au Québec. Les végétaux destinés à la consommation humaine doivent

Plus en détail

SERRICULTURE MARAÎCHÈRE BIOLOGIQUE QUE SE PASSE-T-IL DANS LE SOL? Par : ANDRÉ CARRIER, agronome LE SOL IDÉAL?! Les livres de pédologie parlent souvent en ces termes : 45% de matières minérales; 5% de matière

Plus en détail

ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC

ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Ministère Chargé du Commerce Extérieur ATELIER DE RESTITUTION DU 27 NOVEMBRE 2014 ETUDE SECTEUR AGROALIMENTAIRE PROGRAMME EDEC Présentation du secteur agroalimentaire (IAA) Le secteur des industries agroalimentaires

Plus en détail

Table des matières. Sommaire exécutif... I 1.0 Introduction... 1 2.0 Constats et faits saillants... 2

Table des matières. Sommaire exécutif... I 1.0 Introduction... 1 2.0 Constats et faits saillants... 2 Table des matières Sommaire exécutif... I 1.0 Introduction... 1 2.0 Constats et faits saillants... 2 2.1 Quantités et caractéristiques des produits à valoriser... 2 2.2 Apprentissages des expériences de

Plus en détail

LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015

LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 LA FINANCIÈRE AGRICOLE DU QUÉBEC PLAN D ACTION DE DÉVELOPPEMENT DURABLE 2013-2015 Table des matières Message du président-directeur général 3 Orientation gouvernementale 1 : Informer, sensibiliser, éduquer,

Plus en détail

LES JARDINIERS DU CHEF

LES JARDINIERS DU CHEF Propriétaires : Pierre-André Daignault et Nathalie Roy Les Jardiniers du Chef est une ferme maraîchère et serricole familiale établie depuis 1994. L acquisition d une haute réputation auprès des meilleures

Plus en détail

ANCRÉ PAR NOS RESSOURCES

ANCRÉ PAR NOS RESSOURCES ANCRÉ PAR NOS RESSOURCES VOUS VOULEZ DIVERSIFIER VOS ACTIVITÉS? VOUS DÉSIREZ UN APPROVISIONNEMENT GARANTI POUR VOTRE ENTREPRISE? DÉVELOPPER DE PLUS GRANDS MARCHÉS ET DISCUSTER DIRECTEMENT AVEC LES CONSOMMATEURS?

Plus en détail

VISION DU DÉVELOPPEMENT DES ACTIVITÉS AGROALIMENTAIRES DANS L AGGLOMÉRATION DE QUÉBEC 2015-2025

VISION DU DÉVELOPPEMENT DES ACTIVITÉS AGROALIMENTAIRES DANS L AGGLOMÉRATION DE QUÉBEC 2015-2025 VISION DU DÉVELOPPEMENT DES ACTIVITÉS AGROALIMENTAIRES DANS L AGGLOMÉRATION DE QUÉBEC 2015-2025 1 TABLE DES MATIÈRES MOT DU CONSEILLER, RESPONSABLE DES ACTIVITÉS AGROALIMENTAIRES... 3 NOTRE MISSION...

Plus en détail

Approvisionnement responsable de fruits et légumes au Québec :

Approvisionnement responsable de fruits et légumes au Québec : Approvisionnement responsable de fruits et légumes au Québec : Quelles sont les exigences et les attentes en développement durable des grands acheteurs? Rapport de recherche réalisé pour le Version finale

Plus en détail

Rapport final. Présenté à : Par :

Rapport final. Présenté à : Par : Légumes offerts sur les marchés publics : détermination des attentes des consommateurs (salubrité, provenance, qualité, etc.) et de la volonté de la production à répondre à ces attentes Rapport final Présenté

Plus en détail

Étude sur la caractérisation des marchés publics du Québec. Sommaire exécutif

Étude sur la caractérisation des marchés publics du Québec. Sommaire exécutif Sommaire exécutif 1. Introduction Fondée en 2005, l Association des marchés publics du Québec a pour objectif de faire la promotion des marchés publics du Québec comme moyen alternatif de mise en marché

Plus en détail

Michel Fortin 1 er Vice-président FTPF 26 janvier 2011

Michel Fortin 1 er Vice-président FTPF 26 janvier 2011 Présentation par Michel Fortin 1 er Vice-président FTPF 26 janvier 2011 STANDARD DE GESTION FORESTIÈRE FSC FOREST STANDARD SHIP COUNCIL Historique du FSC Créé en 1993 suite au Sommet de la terre de Rio

Plus en détail

L influence des politiques agroalimentaires à caractère économique sur l alimentation et le poids : synthèse. Contexte.

L influence des politiques agroalimentaires à caractère économique sur l alimentation et le poids : synthèse. Contexte. L influence des politiques agroalimentaires à caractère économique sur l alimentation et le poids : synthèse Contexte Ce document est la synthèse d un avis réalisé par Catherine Gervais de l Institut national

Plus en détail

PROTECTION DE PRODUITS EN IG

PROTECTION DE PRODUITS EN IG PROTECTION DE PRODUITS EN IG Ousman ABDOU Ingénieur Agrométéorologue Expert de l Agriculture en IG Point focal IG/OAPI Direction Générale de l Agriculture Tel: (00227) 90 34 09 28 Email: ous_ab@yahoo.fr

Plus en détail

Stratégie nationale d innovation et de recherche sur la pomme de terre. Conseil canadien de la pomme de terre Le 7 novembre 2012

Stratégie nationale d innovation et de recherche sur la pomme de terre. Conseil canadien de la pomme de terre Le 7 novembre 2012 Stratégie nationale d innovation et de recherche sur la pomme de terre Conseil canadien de la pomme de terre Le 7 novembre 2012 Le Programme canadien d adaptation agricole, financé par Agriculture et Agroalimentaire

Plus en détail

Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT

Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT Contrat d application 2014-2020 pour l amélioration de la compétitivité logistique IMPORT-EXPORT CONTEXTE GÉNÉRAL L amélioration de la compétitivité logistique des flux import-export, en termes de développement

Plus en détail

PLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE

PLAN R E V A RETOUR VERS L AGRICULTURE REPUBLIQUE DU SENEGAL Un Peuple Un But Une Foi ------------ MINISTERE DE L AGRICULTURE, DE L HYDRAULIQUE RURALE ET DE LA SECURITE ALIMENTAIRE ------------ NOUVELLE ORIENTATION DE LA POLITIQUE AGRICOLE

Plus en détail

1 Le chauffage des serres agricoles

1 Le chauffage des serres agricoles 1 Le chauffage des serres agricoles 1.1 Introduction Les serres offrent aux maraîchers et aux horticulteurs la possibilité de maîtriser le climat (température, humidité et lumière) et de produire, au moment

Plus en détail

Indice de Confiance agricole Crelan 2015

Indice de Confiance agricole Crelan 2015 Indice de Confiance agricole Crelan 2015 Résultats marquants La confiance des agriculteurs est à la baisse en Belgique et surtout dans le secteur laitier L appréciation du résultat financier recule en

Plus en détail

Stratégie du Développement du Gouvernorat de Béja

Stratégie du Développement du Gouvernorat de Béja et de la Planification Stratégie du Développement du Gouvernorat de Béja Entrer 1 Sommaire I - Ressources II - Opportunités III - Filières Economiques 2 I - Ressources oressources naturelles: Des terres

Plus en détail

Universita Degli Studi di Milano. Facoltà di Agraria. Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale

Universita Degli Studi di Milano. Facoltà di Agraria. Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale Universita Degli Studi di Milano Facoltà di Agraria Dipartimento di Economia e Politica Agraria Agro-alimentare e Ambientale Seminari del CICSAA Centro Interuniversitario per la Cooperazione allo Sviluppo

Plus en détail

LES 10 INVESTISSEMENTS LES PLUS RENTABLES EN PRODUCTION EN SERRE Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc., conseiller en serriculture, IQDHO

LES 10 INVESTISSEMENTS LES PLUS RENTABLES EN PRODUCTION EN SERRE Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc., conseiller en serriculture, IQDHO LES 10 INVESTISSEMENTS LES PLUS RENTABLES EN PRODUCTION EN SERRE Gilbert Bilodeau, agr., M.Sc., conseiller en serriculture, IQDHO Peu importe le domaine d activité, les entreprises les plus florissantes

Plus en détail

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL

JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL JEUNE CONSEIL DE MONTRÉAL XXVII e Édition Règlement n o 2014-02 : Règlement sur le développement des toits verts et l agriculture urbaine PRÉSENTATION Présenté par M. Charles Marois, membre du comité exécutif,

Plus en détail

R y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009

R y o aume aume du du Maroc Mar Mai 2009 Royaume du Maroc PLAN MAROC VERT Mai 2009 ENJEUX Enjeux économiques Contribue pour 19 % du PIB national 15% production 4% Agro industrie Rôle capital dans la stabilité macro économique Enjeux sociaux Emploie

Plus en détail

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO-

CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- CONFIANCE DANS L INDUSTRIE AGRO- ALIMENTAIRE AU QUÉBEC RÉSULTATS D UNE CONSULTATION DES ACTEURS DU SECTEUR AGROALIMENTAIRE AU SUJET DE LEUR CONFIANCE ENVERS LEURS PERSPECTIVES FUTURES Préparé pour l Union

Plus en détail

PLIE d Asnières/Villeneuve la Garenne PLIE de Clichy la Garenne PLIE de Colombes PLIE de Gennevilliers PLIE de Nanterre/Rueil Malmaison

PLIE d Asnières/Villeneuve la Garenne PLIE de Clichy la Garenne PLIE de Colombes PLIE de Gennevilliers PLIE de Nanterre/Rueil Malmaison ASSOCIATIONPOURLAGESTION MUTUALISEEDESFONDSEUROPEENSDES HAUTS DE SEINE POFSE2007 2013«COMPETITIVITEREGIONALE ETEMPLOI» : APPELAPROJETS2014 AXE3 Renforcerlacohésionsociale,favoriserl inclusion socialeetluttercontrelesdiscriminations

Plus en détail

Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC

Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 LE POINT SUR LA SITUATION ÉCONOMIQUE ET FINANCIÈRE DU QUÉBEC Automne 2014 Le point sur la situation économique et financière du québec NOTE La forme masculine utilisée dans le texte désigne

Plus en détail

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES

CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MINISTERE DE L INTERIEUR, DE L OUTRE-MER ET DES COLLECTIVITES TERRITORIALES ET DE L'IMMIGRATION MINISTERE CHARGE DE L OUTRE-MER Représenté par son Délégué en exercice CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES

Plus en détail

DOSSIER DE PRESENTATION

DOSSIER DE PRESENTATION N DOSSIER. 19 rue de Metz BP 50006 54150 BRIEY DOSSIER DE PRESENTATION (Nom de la personne ou de la structure et intitulé du projet) SOMMAIRE 1. PRESENTATION DU OU DES PORTEURS DE PROJET... 2 2. PRESENTATION

Plus en détail

Conseil Spécialisé fruits et légumes

Conseil Spécialisé fruits et légumes Conseil Spécialisé fruits et légumes Proposition d axes pour l expérimentation pour 2013/2015 dans la filière fruits et légumes frais (hors pomme de terre) 18 décembre 2012 FranceAgriMer Préparation de

Plus en détail

LA SERRICULTURE SUR LES TOITS EN MILIEU URBAIN PERSPECTIVES DE DÉVELOPPEMENT DANS LE CONTEXTE QUÉBÉCOIS.

LA SERRICULTURE SUR LES TOITS EN MILIEU URBAIN PERSPECTIVES DE DÉVELOPPEMENT DANS LE CONTEXTE QUÉBÉCOIS. LA SERRICULTURE SUR LES TOITS EN MILIEU URBAIN PERSPECTIVES DE DÉVELOPPEMENT DANS LE CONTEXTE QUÉBÉCOIS. DOCUMENT PRODUIT POUR LE SYNDICAT DES PRODUCTEURS EN SERRE DU QUÉBEC, LE 31 MAI 2013 Le Syndicat

Plus en détail

ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET

ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET I CONTEXTE DE LA REFORME BUDGETAIRE II OBJECTIFS ET AXES DE LA REFORME BUDGETAIRE III CARACTERISTIQUES DE LA REFORME BUDGETAIRE IV FACTEURS CLES DE SUCCES 2 Modernisation

Plus en détail

2015 RDÉE Canada ENTRE LES PROVINCES, LES TERRITOIRES ET LES RÉGIONS POUR LES ENTREPRISES FRANCOPHONES ET ACADIENNES

2015 RDÉE Canada ENTRE LES PROVINCES, LES TERRITOIRES ET LES RÉGIONS POUR LES ENTREPRISES FRANCOPHONES ET ACADIENNES 2015 RDÉE Canada ENTRE LES PROVINCES, LES TERRITOIRES ET LES RÉGIONS POUR LES ENTREPRISES FRANCOPHONES ET ACADIENNES ISBN : 9780994044488 Remerciements Le RDÉE Canada tient à remercier chaleureusement

Plus en détail

L Assurance agricole au Sénégal

L Assurance agricole au Sénégal COLLOQUE FARM - Pluriagri : Assurer la production agricole Comment faire des systèmes assurantiels des outils de développement? 1 Paris, le 18 décembre 2012 Thème L Assurance agricole au Sénégal Un système

Plus en détail

COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE

COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE COMMISSARIAT GÉNÉRAL AU DÉVELOPPEMENT DURABLE n 125 Mai 2012 ECONOMIE ET EVALUATION DÉVELOPPEMENT DURABLE Expérimentation de l affichage environnemental sur les produits agro-alimentaires Premier retour

Plus en détail

Mémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario

Mémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario Mémoire de l ACP pour le budget 2013 de l Ontario Le propane comme solution énergétique pour l Ontario L Association canadienne du propane Février 2013 Association canadienne du propane Mémoire pour le

Plus en détail

Version définitive 01/08/2003 DES PRODUITS AGRICOLES DE QUALITÉ DANS LES ZONES DE MONTAGNE EUROPÉENNES

Version définitive 01/08/2003 DES PRODUITS AGRICOLES DE QUALITÉ DANS LES ZONES DE MONTAGNE EUROPÉENNES QLK5-CT-2002-30276 Projet financé par la Commission européenne dans le cadre du Vème PCRD Version définitive 01/08/2003 INFORMATIONS STRATÉGIQUES POUR LE DÉVELOPPEMENT DES PRODUITS AGRICOLES DE QUALITÉ

Plus en détail

L agroalimentaire et la saine alimentation

L agroalimentaire et la saine alimentation Le point sur L agroalimentaire et la saine alimentation Information nécessaire pour aider les partenaires locaux, régionaux et nationaux à passer à l action. L ensemble des fiches thématiques constituera

Plus en détail

THEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE

THEME 5: CONDITIONS DE VIABILITE FINANCIERE DE LA MICROFINANCE AGRICOLE RESEAU DES CAISSES POPULAIRES DU BURKINA ********************************* Fédération des Caisses Populaires du Burkina (F.C.P.B.) Tél.: 50.30.48.41, Fax : 50.30.49.10 ; E-mail : fcpb@fasonet.bf ; Adresse

Plus en détail

PROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES

PROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES 29 septembre 2006 PROJET DE REFERENTIEL D ACTIVITES ET DE COMPETENCES CADRE DIRIGEANT D ENTREPRISE AGRICOLE FRUITS ET LEGUMES DOCUMENT DE TRAVAIL REMARQUES PREALABLES SUR LES MODALITES D ELABORATION DU

Plus en détail

ATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012

ATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012 ATELIER 3 Les nouvelles formes de consommation et de pratiques d achats et leur impact sur l aménagement du territoire 22 MAI 2012 Intervenants : Charlène MARLIAC, conseil commerce TIC - CCI de Lyon Yann

Plus en détail

FMB Forum 2012 sur le financement de l agriculture (Du 28 au 30 mars 2012) Kampala - Ouganda

FMB Forum 2012 sur le financement de l agriculture (Du 28 au 30 mars 2012) Kampala - Ouganda FMB Forum 2012 sur le financement de l agriculture (Du 28 au 30 mars 2012) Kampala - Ouganda Plan 1. À propos de la FMB 2. Évolution de la FMB 3. Présentation et caractéristiques des produits 4. Facteurs

Plus en détail

La Caisse d éd. économie solidaire Desjardins

La Caisse d éd. économie solidaire Desjardins La Caisse d éd économie solidaire Desjardins Le Mouvement Desjardins 1 er groupe financier au Québec. Au 18 e rang des institutions financières les plus sécuritaires au monde. Actif de 190,1 milliards

Plus en détail

Experts en économie de l'environnement et des ressources naturelles

Experts en économie de l'environnement et des ressources naturelles Titre du rapport RAPPORT FINAL (PRÉLIMINAIRE) Les retombées économiques de l industrie acéricole au Québec et au Canada Rapport final Fédération des producteurs acéricoles du Québec (FPAQ) Novembre 2010

Plus en détail

Choc de simplification

Choc de simplification Choc de simplification Le choc de simplification souhaité par le Président de la République rejoint les besoins identifiés par le Syndicat des énergies renouvelables qui a défini six grands axes de modernisation

Plus en détail

Plate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière

Plate-forme énergie. Filière de la biomasse forestière Plate-forme énergie Filière de la biomasse forestière Mars 2013 Table des matières 1. Principes généraux... 0 2. Ce qu on entend par économie d énergie... 1 3. Réflexion sur les sources d énergie à privilégier...

Plus en détail

Journées de la Consultation sur la Copropriété Comité consultatif sur la Copropriété. Montréal, le 3 avril 2012. Madame, Monsieur,

Journées de la Consultation sur la Copropriété Comité consultatif sur la Copropriété. Montréal, le 3 avril 2012. Madame, Monsieur, Title Insurance Industry Association of Canada Association canadienne des compagnies d assurance titres JournéesdelaConsultationsurlaCopropriété ComitéconsultatifsurlaCopropriété Montréal,le3avril2012

Plus en détail

GRAP. dans l émergence d entreprises d économie sociale en Estrie

GRAP. dans l émergence d entreprises d économie sociale en Estrie dans l émergence d entreprises d économie sociale en Estrie Illustration de deux cas d entreprises tirés de la recherche du Groupe régional d activités partenariales en économie sociale de l Estrie (GRAP-Estrie)

Plus en détail

reprise à 2 est elle risquée? LaActualité Edito

reprise à 2 est elle risquée? LaActualité Edito N 12 NOV 05 LaActualité reprise à 2 est elle risquée? Il s agit là d un des sujets sur lequel les avis divergent. A l actif de ce type de projet nous pouvons évoquer la mutualisation de certains facteurs-clés

Plus en détail

Cadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces

Cadre légal des CLD. Au Canada le développement socioéconomique relève de la juridiction des provinces Banque de terres Simon Ouellet Agent de développement rural Un outil pour le développement territorial CLD des Collines-de-l Outaouais Emmanuel Roy Agent de développement écologique Cadre légal des CLD

Plus en détail

Ensemble vers de saines habitudes de vie!

Ensemble vers de saines habitudes de vie! Ensemble vers de saines habitudes de vie! Du plan d action gouvernemental «Investir«pour l avenir» et du Fonds pour la promotion des saines habitudes de vie aux balises de déploiement du soutien de Québec

Plus en détail

Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale

Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale Agriculture and Agri-Food Canada Agriculture et Agroalimentaire Canada Cadre stratégique pour l agriculture du Canada Programmes d intendance environnementale Les initiatives environnementales Eau Nutriments,

Plus en détail

Créer une AMAP. Les autres "paniers" S informer et agir! www.defipourlaterre.org. Qu'est-ce que c'est? Le principe est simple :

Créer une AMAP. Les autres paniers S informer et agir! www.defipourlaterre.org. Qu'est-ce que c'est? Le principe est simple : S informer et agir! Créer une AMAP Qu'est-ce que c'est? L'AMAP est une Association pour le Maintien d'une Agriculture Paysanne (marque déposée), dont l'objet principal est de "mettre en lien paysans et

Plus en détail

Appel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste

Appel à projets 5,2. Se déplacer Se nourrir Se loger Le reste Appel à projets " Plan Climat Régional» Soutien de l investissement participatif dans les énergies renouvelables et la maîtrise de l énergie au bénéfice des territoires 1 Contexte : Les grands objectifs

Plus en détail

Toits-jardins : de nouvelles possibilités à exploiter! Marie Eisenmann, cofondatrice des Urbainculteurs! BOMA Québec 28 septembre 2011!

Toits-jardins : de nouvelles possibilités à exploiter! Marie Eisenmann, cofondatrice des Urbainculteurs! BOMA Québec 28 septembre 2011! Toits-jardins : de nouvelles possibilités à exploiter! Marie Eisenmann, cofondatrice des Urbainculteurs! BOMA Québec 28 septembre 2011! Introduction! Repenser les toits! Des surfaces à exploiter! Très

Plus en détail

L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement

L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement L évaluation du transfert des apprentissages suite à un programme de perfectionnement Johann Jacob, M.A.P. et Richard Marceau, Ph. D. Centre de recherche et d expertise en évaluation (CREXE) Colloque annuel

Plus en détail

Plan d action de l ISO pour les pays en développement 2011-2015

Plan d action de l ISO pour les pays en développement 2011-2015 Plan d action de l ISO pour les pays en développement 2011-2015 ISO l Organisation internationale de normalisation L ISO comprend 163* membres qui sont les instituts nationaux de normalisation de pays

Plus en détail

LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020

LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020 LES FONDS EUROPÉENS EN PAYS DE LA LOIRE 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie

Plus en détail

Plan de commercialisation

Plan de commercialisation Plan de commercialisation Plan de commercialisation Organigramme VAliDATiON Du POSiTiONNEMENT ET DE la MiSSiON STrATÉGiES MArKETiNG MESSAGE PuBliciTÉ relations PuBliQuES PrOMOTiONS radio AcTiViTÉS SOciAlES

Plus en détail

Anne Patault Conseillère Régionale de Bretagne en charge des OGM

Anne Patault Conseillère Régionale de Bretagne en charge des OGM Pour une agriculture «sans OGM» - la stratégie de la Bretagne au sein du réseau des Régions Libres d OGM (European GM-Free Regions Network), - les actions en direction de ses filières Anne Patault Conseillère

Plus en détail

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture

Plan d action de développement durable 2009-2015. Le développement durable, une question de culture Plan d action de développement durable 2009-2015 Le développement durable, une question de culture Révisé en mars 2013 Note importante Le gouvernement du Québec a autorisé le 29 février 2013 par décret

Plus en détail

Accès au crédit et foncier

Accès au crédit et foncier Réseau National des Chambres d'agriculture du Niger Note d information Accès au crédit et foncier RECA Réseau National des Chambres N d Agriculture du Niger iger 22 mai 2015 / Rédaction : Florence Bron-Saïdatou

Plus en détail

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité

Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité Plateforme d informations climatiques au Niger Présentation de l opportunité 23 Novembre 2012 Pour diffusion publique Résumé Exécutif Une opportunité Pour un opérateur privé, la plateforme d'informations

Plus en détail

La campagne 2004/05 a vu des livraisons globalement stables:

La campagne 2004/05 a vu des livraisons globalement stables: Conférence de presse UNIFA - 23 septembre 2005 Sommaire Le marché des engrais : campagne 2004-2005 La hausse des prix de l énergie pèse sur la nouvelle campagne Le contexte réglementaire : la nouvelle

Plus en détail

Le ministre wallon de l Energie travaille sur la manière dont le vert doit trouver sa place en Wallonie. Entretien (Le Soir mis en ligne 5 mars 2015).

Le ministre wallon de l Energie travaille sur la manière dont le vert doit trouver sa place en Wallonie. Entretien (Le Soir mis en ligne 5 mars 2015). ! Le ministre wallon de l Energie travaille sur la manière dont le vert doit trouver sa place en Wallonie. Entretien (Le Soir mis en ligne 5 mars 2015). «L éolien offshore est un non-sens» Dans son tour

Plus en détail

Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue?

Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? 28 avril 2015 Investissements des entreprises au Québec et en Ontario : amélioration en vue? Beaucoup d espoir repose sur les entreprises du centre du pays pour permettre à la croissance économique de

Plus en détail

LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020

LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020 LES FONDS EUROPÉENS EN NORD-PAS DE CALAIS 2014-2020 CONNAÎTRE les programmes européens Pour faire face à la crise et aux grands défis de l Union européenne, ses Etats membres ont adopté en 2010 la Stratégie

Plus en détail

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2.

3 ème année. Cet appel à proposition s inscrit dans la continuité du travail engagé en année 1 et 2. Appel à proposition Projet Alimen terre Un système d'alimentation local sur le Pays de Vannes 3 ème année Avec près de 60 % de surfaces agricoles, l agriculture demeure prépondérante sur notre territoire.

Plus en détail

Investissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)»

Investissements d avenir. Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Investissements d avenir Action : «Projets agricoles et agroalimentaires d avenir (P3A)» Appel à projets «Innovation et compétitivité des filières agricoles et agroalimentaires» Volet compétitif «Initiatives

Plus en détail

Coralie Cuillerier, Zahir Ibelaidene, Steve Latour, Martin Pearson, Ahmadou Sarr, Karine Tremblay

Coralie Cuillerier, Zahir Ibelaidene, Steve Latour, Martin Pearson, Ahmadou Sarr, Karine Tremblay IDENTIFICATION DE L ÉQUIPE PLAN DE POSITIONNEMENT D AFFAIRES Coralie Cuillerier, Zahir Ibelaidene, Steve Latour, Martin Pearson, Ahmadou Sarr, Karine Tremblay DESCRIPTION DU PROJETTECHNOLOGIQUE Création

Plus en détail

Standard du Commerce Equitable Fairtrade. les organisations de petits producteurs

Standard du Commerce Equitable Fairtrade. les organisations de petits producteurs Standard du Commerce Equitable Fairtrade pour le cacao pour les organisations de petits producteurs Valable également pour la production contractuelle en Océanie Version actuelle: 01.05.2011_v1.2 Prochaine

Plus en détail

Service-conseil et programmes d aide financière pour la transformation alimentaire

Service-conseil et programmes d aide financière pour la transformation alimentaire Service-conseil et programmes d aide financière pour la transformation alimentaire Par : Annie Proulx Date : 15 avril 2014 Rôle des conseillers régionaux en transformation alimentaire - Soutenir les dirigeants

Plus en détail

Information aux médias

Information aux médias Information aux médias Le défi Après une décennie de Stephen Harper, les fermes familiales sont au bord du gouffre. / Sous les conservateurs, la dette des fermes a battu de nouveaux records chaque année,

Plus en détail

INSTITUT DE TECHNOLOGIE AGROALIMENTAIRE RÉPERTOIRE DES PROGRAMMES 2015-2016

INSTITUT DE TECHNOLOGIE AGROALIMENTAIRE RÉPERTOIRE DES PROGRAMMES 2015-2016 INSTITUT DE TECHNOLOGIE AGROALIMENTAIRE RÉPERTOIRE DES PROGRAMMES 2015-2016 L Institut de technologie agroalimentaire (ITA), un établissement complètement AGRO! À l ITA, l agroalimentaire est beaucoup

Plus en détail

Les marchés à terme, plus d une raison de s y intéresser

Les marchés à terme, plus d une raison de s y intéresser Les marchés à terme, plus d une raison de s y intéresser MICHEL MORIN, AGR. AGROÉCONOMISTE (CDPQ) COLLABORATEURS: STÉPHANE D AMATO, AGR., AXIS AGRICULTURE JEAN-DENIS LABRECQUE, CTA 2003 RÉJEAN LEBLANC,

Plus en détail

TRANSFORMATION ALIMENTAIRE QUÉBEC

TRANSFORMATION ALIMENTAIRE QUÉBEC PROFIL SECTORIEL Fabrication du café et du thé TRANSFORMATION ALIMENTAIRE QUÉBEC un réseau à la portée des entreprises Mars 2009 PROFIL SECTORIEL Fabrication du café et du thé Faits saillants En 2006,

Plus en détail

VEGEPOLYS pôle de compétitivité à vocation mondiale

VEGEPOLYS pôle de compétitivité à vocation mondiale VEGEPOLYS pôle de compétitivité à vocation mondiale VEGEPOLYS, pour qui? 4000 entreprises en région appartenant à 8 filières et représentant 25 000 emplois 420 Chercheurs et techniciens 250 Adhérents 2500

Plus en détail

PLAN D'ACTION NOUS JOINDRE SOCIÉTÉ DE DÉVELOPPEMENT DU TÉMISCAMINGUE

PLAN D'ACTION NOUS JOINDRE SOCIÉTÉ DE DÉVELOPPEMENT DU TÉMISCAMINGUE SOCIÉTÉ DE DÉVELOPPEMENT DU TÉMISCAMINGUE PLAN 2015 D'ACTION Le présent document propose des priorités d aux membres du conseil d administration de la SDT (SADCT CLDT) pour 2015 uniquement. Ces s ont été

Plus en détail

LE CHAUFFAGE À LA BIOMASSE:

LE CHAUFFAGE À LA BIOMASSE: LE CHAUFFAGE À LA BIOMASSE: État de situation et opportunités Michel Lachance CQVB 7 décembre 2012 East Angus PLAN Contexte la biomasse : une source d énergie pour le Québec Systèmes de chauffage Chauffage

Plus en détail

Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020

Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 Brief: Les perspectives de la politique agricole N 5 / Décembre 2013 Présentation de la réforme de la PAC 2014-2020 SOMMAIRE 1. INTRODUCTION 2. DÉFIS ET OBJECTIFS 3. BUDGET DE LA PAC 4. ÉVOLUTION DE LA

Plus en détail

12. À chacun son point de vue

12. À chacun son point de vue 12. À chacun son point de vue Secondaire, cycle 1 Durée : 60 min. L agriculture est en crise partout sur la planète. Alors que certains louent les bénéfices de l agriculture conventionnelle moderne, d

Plus en détail

Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie

Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie Conférence de presse Arvalis, Cetiom, InVivo AgroSolutions Paris, le 25 octobre 2013 Pour la mise en place d une licence de conseil stratégique au service de l agroécologie 1- Pourquoi un partenariat?

Plus en détail

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020

Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 Annexe 1 b : Description des actions de l opération 0412 Maîtrise de l énergie Programmation 2014 2020 CADRE REGLEMENTAIRE : FEADER, PROGRAMME DE DEVELOPPEMENT RURAL 2014 2020, REGION LIMOUSIN Cette annexe

Plus en détail

Qui sommes nous? Tertio Conseil et stratégie. Coaching Stratégie affaires Formation. Nous sommes

Qui sommes nous? Tertio Conseil et stratégie. Coaching Stratégie affaires Formation. Nous sommes Qui sommes nous? Nous sommes Tertio Conseil et stratégie Nos domaines d activité Tertio Conseil et stratégie est active dans les domaines : des études et de la stratégie ; du coaching et de la formation

Plus en détail

Club Etablissements Financiers & Assurances

Club Etablissements Financiers & Assurances Club Etablissements Financiers & Assurances Enquête sur le thème «PME banque : vers une recomposition de l équilibre relationnel liée aux évolutions réglementaires Bâle III» Présentation des résultats,

Plus en détail

Carbone Des occasions d'affaires pour les entreprises québécoises

Carbone Des occasions d'affaires pour les entreprises québécoises PLAN DE COURS FORMATION SUR LE MARCHÉ DU CARBONE POSSIBILITES DE CRÉATION DE CRÉDITS DE GAZ À EFFET DE SERRE Mise en contexte Depuis quelques années, les activités de réduction de gaz à effet de serre

Plus en détail

ARTICULATION STRATEGIQUE CNOPS ET MUTUELLES : «Pour une destinée commune» -Cas de la MODEP- Présenté par : M. Mohammed Faidi

ARTICULATION STRATEGIQUE CNOPS ET MUTUELLES : «Pour une destinée commune» -Cas de la MODEP- Présenté par : M. Mohammed Faidi ARTICULATION STRATEGIQUE CNOPS ET MUTUELLES : «Pour une destinée commune» Présenté par : -Cas de la MODEP- M. Mohammed Faidi Transformation du paysage de la couverture médicale au Maroc grâce à: Une meilleure

Plus en détail

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009

ISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009 REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.

Plus en détail

TABLE DES MATIèRES. Présentation du secteur de la production agricole 6. Productions végétales 9. Acériculture sirop d érable 10.

TABLE DES MATIèRES. Présentation du secteur de la production agricole 6. Productions végétales 9. Acériculture sirop d érable 10. ANNUAIRE DES MÉTIERS Que l on oeuvre comme ouvrier, manoeuvre, superviseur, gérant ou encore que l on exerce ses talents d entrepreneurship en exploitant une entreprise agricole, l agriculture a quelque

Plus en détail

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis

NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis TITRE NOP: Organic System Plan (OSP) / EOS: Description de l Unité Information et documents requis Selon le règlement NOP de l USDA 205.406(a), un opérateur certifié doit transmettre chaque année à son

Plus en détail

Questionnaire. Groupe de travail Biens de consommation UNIFA. Président : Jean-Claude RICOMARD. Rapporteurs : Clarisse REILLE Caroline LEBOUCHER

Questionnaire. Groupe de travail Biens de consommation UNIFA. Président : Jean-Claude RICOMARD. Rapporteurs : Clarisse REILLE Caroline LEBOUCHER Questionnaire Groupe de travail Biens de consommation UNIFA Président : Jean-Claude RICOMARD Rapporteurs : Clarisse REILLE Caroline LEBOUCHER 1 DIAGNOSTIC DE LA SITUATION ACTUELLE ET IDENTIFICATION DES

Plus en détail

Étude&de&faisabilité&

Étude&de&faisabilité& Eco-Energy/ Éco-énergie Inc. Étude&de&faisabilité& Document)rédigé)par): Mars2013 EOS)Eco5Energy)Inc. Auteure):)Meggie)MacMichael) Correctrices):)Joni)Fleck)Andrews,)Joanna)Brown)et)Scott)MacAfee) Tabledesmatières

Plus en détail