N /G/159/ C NOISIEL, le 09 MAI 2012

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1 B412 / SG Le Président N /G/159/ C NOISIEL, le 09 MAI 2012 N R RECOMMANDE AVEC A.R. Monsieur le Président, Je vous prie de bien vouloir trouver ci-joint le rapport comportant les observations définitives arrêtées par la chambre régionale des comptes d Ile-de-France sur la gestion du groupe ESSEC. Je tiens à vous informer qu à l expiration du délai d un mois prévu par l article L du code des juridictions financières, la chambre n a reçu aucune réponse écrite destinée à être jointe au rapport. Il vous appartient de transmettre ce rapport à l assemblée délibérante. Conformément à la loi, l ensemble doit : 1. faire l objet d une inscription à l ordre du jour de la plus proche réunion de l assemblée ; 2. être joint à la convocation adressée à chacun de ses membres ; 3. donner lieu à débat. P.J. : 1 Monsieur Bruno BOUNIOL Président du directoire du groupe ESSEC Avenue Bernard Hirsch BP CERGY-PONTOISE 6, Cours des Roches - B.P Noisiel Marne la Vallée Cedex 2 Tel Fax /.

2 B412 / SG 2 Dès la plus proche réunion de l assemblée, le document final sera considéré comme un document administratif communicable à toute personne en faisant la demande, dans les conditions fixées par la loi n du 17 juillet Vous voudrez bien informer le greffe de la chambre de la date à laquelle le rapport d observations aura été porté à la connaissance de l assemblée délibérante. Enfin, je vous précise qu en application des dispositions de l article R du code précité, le rapport d observations est transmis au préfet et au directeur départemental des finances publiques des Hauts-de-Seine. Veuillez agréer, Monsieur le Président, l expression de ma considération distinguée. Jean-Yves BERTUCCI

3 S MP 1/40 RAPPORT D OBSERVATIONS DEFINITIVES GROUPE ESSEC -*-*- Exercices 2006 et suivants -*-*- L Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC) a été créée en 1907 par les Pères jésuites sous le nom d Institut économique. Elle a pris son nom actuel en 1913 lors de son passage sous l autorité de l Institut catholique de Paris. Elle a été reconnue par l Etat en Située initialement rue d Assas, à Paris, elle est implantée, depuis 1973, à Cergy-Pontoise. Le groupe ESSEC est une association placée sous le contrôle d un conseil de surveillance, d un directoire. Elle est dirigée par un directeur général. La chambre de commerce et d industrie de Versailles Val-d Oise-Yvelines (CCIV) compte six représentants au conseil de surveillance et deux représentants au directoire. Les frais de scolarité sont forfaitaires, annuels et indépendants du contenu réel de l année académique (cours sur le campus, stage en entreprise, échange à l étranger). Ils ne sont donc pas liés au nombre d unités de valeurs (UV) suivies par l étudiant. Les frais de scolarité pour les étudiants admis sur concours dans le cycle de formation Grande école ont très fortement progressé sur la période contrôlée (+ 54 % pour l ensemble du cursus sur trois années). En 2011, l ESSEC a revu et reconsidéré le nombre de ses objectifs de formation («Learning Goals»). Initialement fixés à sept en 2007, ils sont désormais au nombre de quatre (gérer les processus, savoir-faire face à la complexité, développer son sens du leadership, intégrer les enjeux sociétaux), à la suite des recommandations d un organisme d accréditation, en 2007.

4 S MP 2/40 En ce qui concerne son développement en Asie, l ESSEC a créé plusieurs programmes diplômants généralistes et spécialisés. Selon l école, le plan ESSEC 2015 conforte Singapour en tant que véritable «plateforme asiatique» associée à différents acteurs majeurs dans les grands pays d Asie, qui devraient lui permettre d accueillir 30 professeurs et 100 salariés à l échéance de Ce projet, doté d un budget initial d environ 20 M 1, est actuellement en cours. Le plan de développement, approuvé par le directoire, a été présenté le 29 juin 2011 au conseil de surveillance qui en a arrêté les grands principes. L école effectue chaque année, sous l impulsion de la Conférence des grandes écoles (CGE), une enquête relative à l insertion des jeunes diplômés grâce à l exploitation des réponses des étudiants à un questionnaire de placement. Cependant, le taux de retour, en baisse sensible entre 2009 et 2010 (année pour laquelle il se situe aux alentours de 53 %) est très inférieur au taux constaté dans d autres écoles supérieures de commerce et de gestion d Ile-de-France. L Association des diplômés du groupe ESSEC (ADGE) n exerce pas de rôle pédagogique au sein de l école. Toutefois, de nombreux membres de l association (tous anciens élèves) assurent le tutorat d étudiants en cours de scolarité. Le taux de cotisants de l AGDE n est pas très élevé. Il connaît une baisse significative depuis 2007, même si l association compte aujourd hui près de membres. S agissant des activités de recherche, l ESSEC ne compte pas moins de neuf axes de travail. Contrairement en effet à ses concurrents, qui ne définissent que quelques axes sous forme de champs prioritaires de publication, l école a souhaité répertorier tous les domaines de recherche de ses enseignants-chercheurs, de telle sorte que chaque article publié s insère dans une catégorie prédéfinie. Ces axes sont mentionnés sur le site internet du groupe et sont connus du corps professoral. Il apparaît toutefois que ce grand nombre de domaines de recherche, même justifié par des considérations historiques comme l invoque l école, ne rend pas très lisible la stratégie de recherche suivie par le groupe. A l issue du contrôle effectué, la chambre recommande à l école : - d être attentive au taux de retour des questionnaires de placement des anciens élèves, celui observé à l ESSEC étant sensiblement inférieur aux valeurs constatées dans d autres écoles supérieures de commerce et de gestion d Ile-de-France ; - dans un contexte de grande tension financière, de poursuivre les actions déjà initiées de maîtrise des charges - en particulier de la masse salariale - afin de rétablir l équilibre des comptes de manière durable ; - de développer une vigilance particulière sur les modalités de collecte de la taxe d apprentissage, afin d écarter, à l avenir, tout risque juridique ; - d assurer un suivi annuel rigoureux des créances (formation initiale et continue) et d en entreprendre le recouvrement systématique, afin d éviter de devoir procéder à d importants apurements. 1 M : millions d euros.

5 S MP 3/ Présentation générale, compétence et procédure Présentation générale L Ecole supérieure des sciences économiques et commerciales (ESSEC) a été créée en 1907 par les Pères jésuites sous le nom d Institut économique. Elle a pris son nom actuel en 1913 lors de son passage sous l autorité de l Institut catholique de Paris. Elle a été reconnue par l Etat en Située initialement rue d Assas, à Paris, elle est implantée, depuis 1973, à Cergy-Pontoise. Le groupe ESSEC est une association placée sous le contrôle d un conseil de surveillance, d un directoire et d un directeur général. La chambre de commerce et d industrie de Versailles Val-d Oise-Yvelines (CCIV) compte six représentants au conseil de surveillance et deux représentants au directoire. L école est dirigée par M. Pierre Tapie depuis M. Bruno Bouniol, vice-président de la CCIV, est le président du directoire. L ESSEC a fait le choix de dissocier son calendrier budgétaire de l année civile pour le rapprocher de l année universitaire : en pratique, l exercice comptable commence donc le 1 er septembre pour s achever le 31 août de l année suivante Compétence de la chambre régionale des comptes d Ile-de-France Le contrôle des chambres de commerce et d industrie (CCI) a été délégué aux chambres régionales des comptes (CRC) par un arrêté du Premier président de la Cour des comptes du 17 janvier 2003, pour les exercices 2001 à 2005 (limité aux exercices 2003 à 2005 pour la chambre régionale des comptes d Ile-de-France), reconduit pour les exercices 2006 à 2009 par arrêté du 13 octobre C est l arrêté du 8 novembre 2010 qui fonde aujourd hui la compétence des CRC sur ces établissements nationaux. En application des dispositions de l article L du code des juridictions financières (CJF) «la chambre régionale des comptes peut assurer la vérification des comptes des établissements, sociétés, groupements et organismes, quel que soit leur statut juridique, auxquels les collectivités territoriales, leurs établissements publics ou les établissements publics nationaux dont le contrôle leur a été délégué en application de l article L , apportent un concours financier supérieur à ou dans lesquelles ils détiennent, séparément ou ensemble, plus de la moitié du capital ou des voix dans les organes délibérants, ou exercent un pouvoir prépondérant de décision ou de gestion». Les montants de subventions versés par la CCIV, reçus par l école sur les exercices considérés et pris en considération pour fonder l ouverture de la procédure d examen de gestion de l ESSEC sur la période , s établissent comme suit : Tableau 1 : Parts de subventions versées (dont CCIV) - source : ESSEC Montants en Total des subventions reçues (1) dont subvention CCIV (2) Part CCIV (2)/(1) 75 % 78 % 76 %

6 S MP 4/ Procédure Ce contrôle est le premier du groupe ESSEC. Inscrit au programme de l année 2011, il a été ouvert par la chambre régionale des comptes d Ile-de-France auprès de l ESSEC, le 18 février L examen de gestion a porté sur les exercices 2006 et suivants et a été plus particulièrement centré sur l organisation et le fonctionnement de la formation Grande école, dans le cadre d une enquête inter-juridictions Cour-chambres régionales des comptes sur les écoles de commerce et de gestion. Conformément aux dispositions de l article L du code des juridictions financières, l entretien préalable s est déroulé le 27 septembre 2011 avec M. Pierre Tapie, directeur général de l école et le 3 octobre 2011 avec M. Bruno Bouniol, président du directoire. Dans sa séance du 1 er décembre 2011, la chambre régionale des comptes d Ile-de-France a arrêté des observations provisoires qui ont été adressées le 19 décembre 2011 à MM. Bruno Bouniol et Pierre Tapie. Des extraits du rapport d observations provisoires concernant les subventions versées au titre de l apprentissage ont également été adressés, le même jour, au président du conseil régional d Ile-de-France. Par lettre en date du 16 février 2012, M. Bruno Bouniol a souhaité apporter, au nom du groupe ESSEC, des commentaires en réponse au rapport d observations provisoires. La région n a pas répondu. Dans sa séance du 15 mars 2012, la chambre régionale des comptes d Ile-de-France a arrêté les observations définitives suivantes. 2 - La formation La formation initiale Formalisation de la stratégie La stratégie de formation de l ESSEC est actuellement développée sur la base du plan ESSEC 2015, issu d une réflexion engagée en 2008, qui a connu plusieurs étapes. Sur ce point et au vu des pièces qui lui ont été transmises, la chambre relève que ce document stratégique, pourtant déterminant pour la mise en œuvre par l ESSEC de différentes politiques, n a jamais été formalisé sous forme de dossier, bien qu il ait fait l objet de présentations, de débats et exposés devant les structures concernées. Selon l école, dans le cadre de ce plan stratégique, les ambitions de l ESSEC peuvent être résumées par trois éléments : faire de l ESSEC une des cinq meilleures écoles de management européennes, devenir une des 10 meilleures Business Schools en Asie et faire partie des 20 meilleures Business Schools mondiales. Pour y parvenir, l école a donc développé plusieurs axes d intervention. En ce qui concerne son développement en Asie, l ESSEC a créé plusieurs programmes diplômants généralistes et spécialisés. Selon le directeur général du groupe, le plan ESSEC 2015 conforte ainsi Singapour, en tant que véritable «plateforme asiatique» associée à des acteurs majeurs dans les grands pays d Asie qui devraient lui permettre d accueillir 30 professeurs et 100 salariés à l échéance de Ce projet, doté d un budget initial d environ 20 M, est actuellement en cours. Son plan de développement, approuvé par le directoire, a été présenté, le 29 juin 2011, au conseil de surveillance qui en a approuvé les grands principes.

7 S MP 5/40 Par ailleurs, en termes de visibilité internationale des programmes, l école a multiplié ses diplômes (Bachelor in Business Administration, Master 2 of Science in Management (Grande école), programmes «Advanced Master», «Global MBA 3» en un an à haute intensité, Ph.D ), tout en intensifiant ses programmes de formation permanente (Executive mastères spécialisés, Executive MBA, Advanced Management Programs ). Dans le prolongement de ces initiatives, l ESSEC a conclu des alliances avec des partenaires complémentaires en France (Ecole Centrale de Paris, Ecole du Louvre, université Paris V ), ainsi qu avec d autres Business Schools leaders dans leurs pays (plus d une centaine d institutions universitaires dans le monde). Dans le cadre de son plan de développement jusqu en 2015, l ESSEC a formalisé plusieurs «intentions stratégiques» : faire partie des 20 meilleures Business Schools mondiales ; intégrer le club des 10 meilleures Business Schools en Asie ; mettre en place une stratégie de la marque ESSEC ; développer les ressources académiques et la recherche ; adapter les portefeuilles des programmes et des partenariats aux différents axes stratégiques du groupe ; optimiser et développer les ressources allouées. Chacun de ces axes est budgété dans un plan quinquennal glissant qui fait l objet de recadrages lors de l élaboration annuelle du budget. A cet égard, il convient de noter que l ESSEC a fait le choix de caler l exercice financier sur l année universitaire (du 1 er septembre au 31 août de l année). Toutefois, elle mène actuellement une réflexion relative au passage de son cycle comptable sur l année civile. D une manière générale, les initiatives de lancement de nouvelles formations sont nombreuses : elles peuvent émaner des professeurs, de la direction académique, de la formation continue, voire de l école elle-même. En formation continue, l identification des nouveaux besoins se fonde sur les évaluations des participants et les demandes de programmes intra-entreprise qui conduisent à des ajustements ponctuels. En formation initiale, la décision de créer un nouveau programme prend toujours en compte l analyse du marché et de la concurrence. Les évolutions des programmes sont réalisées par les comités ad hoc des différents programmes (comité d enseignement, comité pédagogique), en fonction de plusieurs paramètres (appréciations des élèves, observations pédagogiques ) La formalisation de la pédagogie de l école En 2011, l ESSEC a clarifié et recomposé le nombre de ses objectifs de formation («Learning Goals»). Initialement fixés à sept en 2007, ils ne sont désormais plus que quatre (gérer les processus, savoir-faire face à la complexité, développer son sens du leadership, intégrer les enjeux sociétaux). En réalité, la chambre a noté que cette réduction avait été effectuée à la suite du passage de l AACSB en 2007, cet organisme ayant recommandé leur reformulation pour en faciliter le suivi. 2 Le master est à la fois un diplôme délivré au nom de l Etat et un grade attestant d une formation de niveau bac+5. Le mastère (souvent qualifié de «spécialisé») est une formation dont les tarifs sont fixés librement par les écoles. Diplôme relevant de la responsabilité des établissements qui le délivrent, il constitue une formation professionnalisante équivalant à bac Master of Business Administration.

8 S MP 6/ Les relations avec d autres structures L ESSEC est membre du pôle de compétitivité SYSTEM@TIC depuis octobre A ce titre, elle a présenté plusieurs projets (dont un labellisé en novembre 2007). Par ailleurs, l ESSEC est membre fondateur du PRES 4 Cergy-University qui est en relation avec plusieurs pôles de compétitivité dont ASTECH et MOVEO, à travers la plateforme d intelligence embarquée Cerise et les deux composantes Promise (mécatronique) et Trévise (tests vibratoires). Par ailleurs, l école entretient, par conventions, des relations étroites avec de nombreux établissements. C est notamment le cas de plusieurs universités (Paris I, Paris II, Paris V, Paris VI, Paris IX, Paris X, Paris XII, Cergy-Pontoise), d écoles d ingénieurs (Agro ParisTech, Ecole des Mines de Paris, Ecole Centrale de Paris, Ponts ParisTech ) ou d autres entités (Ecole nationale vétérinaire de Maisons-Alfort, ESM 5 de Saint-Cyr, Ecole du Louvre) L accès à la formation Grande école Les frais de scolarité de la formation Grande école Les frais de scolarité sont forfaitaires, annuels et indépendants du contenu réel de l année académique (cours sur le campus, stage en entreprise, échange à l étranger). Ils ne sont pas liés au nombre d unités de valeur suivies par l étudiant. Les frais de scolarité pour les étudiants admis sur concours dans le cycle de formation Grande école, d une durée de quatre ans 6, en incluant les droits annuels de gestion et d inscription, ont très fortement progressé sur la période contrôlée (+ 54 % pour l ensemble du cursus sur trois années). Tableau 2 : Evolution des frais de scolarité de la formation Grande école pour les étudiants admis sur concours entre 2005 et 2012 (source : ESSEC) Montants (en ) Période initiale Deuxième année Troisième année Cursus complet Evolution % % % % La totalité des aides accordées a connu une progression sensible en volume sur la période contrôlée (+ 64 % entre 2006 et 2011). 4 Pôle de recherche et d enseignement supérieur. 5 Ecole spéciale militaire. 6 Dont trois payants. 18 mois de stage doivent être par ailleurs effectués au cours des quatre années.

9 S MP 7/40 Tableau 3 : Montant total des aides accordées et part relative dans les droits de scolarité acquittés (source : ESSEC) Montant total (k 7 ) Part dans les droits de scolarité 2006/ % 2007/ % 2008/ % 2009/ % 2010/ % D une manière générale, le paiement des frais annexes (associations, sécurité sociale, frais administratifs) s effectue en octobre et celui de la scolarité (en six prélèvements sans frais) entre octobre et mars. Il faut également noter que depuis 1996, les apprentis de la Grande école (185 places ouvertes en 2011) sont remboursés des frais de scolarité pour une durée maximale de deux ans. Des mesures ont été mises en œuvre pour tous les étudiants défavorisés de l ESSEC et des possibilités d aménagement de l échéancier sont accordées après accord de la direction des opérations. Ces accords spécifiques de rééchelonnement sont de plus en plus fréquents (+ 89 % entre 2006 et 2011). Tableau 4 : Nombre de bénéficiaires d accord de rééchelonnement (source : ESSEC) Nombre d élèves bénéficiaires 2006/ / / / / Des bourses dites «Groupe» peuvent également être attribuées en fonction du revenu des familles. Elles couvrent 10 à 90 % des droits de scolarité et peuvent se cumuler avec les bourses d enseignement qui ont pour objet la prise en charge des frais de vie de l étudiant (logement, déplacements, ). Ces bourses peuvent aussi être complétées par d autres dispositifs comme des bourses de recherche. Enfin, un prêt d honneur à taux zéro permet aux étudiants ne s étant pas acquittés de l ensemble des frais de scolarité au moment de l obtention du diplôme, de convenir d un échéancier de remboursement pour solder leur compte (de quelques mois à deux ans). Sur la période contrôlée, l ensemble des aides accordées uniquement aux élèves de la Grande école a aussi connu une progression sensible (+ 72 % entre 2006 et 2011). 7 k : milliers d euros.

10 S MP 8/40 Tableau 5 : Montant des aides accordées aux élèves de la Grande école et part relative dans les droits de scolarité acquittés (source : ESSEC) Montant des aides (Grande école) Part des aides dans les droits de scolarité Nombre d élèves bénéficiaires 2006/ k 35 % étudiants 2007/ k 36 % 927 étudiants 2008/ k 31 % étudiants 2009/ k 31 % étudiants 2010/ k 33 % étudiants Les relations avec les organismes de préparation Chaque année au mois de janvier, l ESSEC organise des visites de classes préparatoires et met en place une journée sur le campus, à destination des proviseurs et des professeurs des lycées concernés (200 participants en 2010, 229 en 2011). Elle publie, par ailleurs, tous les ans, un rapport de concours envoyé à chaque classe préparatoire, qui comprend les observations des rédacteurs des épreuves. Enfin, elle rend visite à un certain nombre de lycées à classes préparatoires pour répondre aux questions les plus fréquentes sur les modalités d accès à la Grande école. L augmentation du nombre de candidats entre 2006 et 2011 (+ 32 %), conjuguée au nombre constant d élèves intégrés, engendre une sélectivité de plus en plus forte (passage d un taux de 9,65 % à 7,3 %), avec pour conséquence l augmentation de la barre d admissibilité. Année concours Tableau 6 : Quelques chiffres relatifs aux concours d entrée (source : ESSEC) Candidats (1) Admissibles Barre d admissibilité Intégrés (2) Rang du dernier intégré Sélectivité du concours (1)/(2) , ,65 % , ,25 % , ,25 % , ,73 % , ,71 % , ,3 % L accès offert aux étudiants défavorisés Les programmes d égalité des chances de l ESSEC ciblent deux publics : les jeunes de la diversité sociale (programme «Une grande école : pourquoi pas moi?» - PQPM) et les jeunes porteurs d un handicap, scolarisés en milieu ordinaire (programme PHARES). Le programme PQPM a été créé en 2002 ; il est fondé sur un tutorat de la part d étudiants de l ESSEC et sur un accompagnement par des enseignants référents au sein de collèges et de lycées. Son objectif est de permettre à des élèves, issus de milieu modeste ou de quartiers défavorisés, d accroître leurs chances de poursuivre des études supérieures. Ce dispositif, qui

11 S MP 9/40 s étend de la classe de quatrième jusqu à un niveau bac + 5, permet de suivre les élèves jusqu à leur entrée dans la vie active (sans faire la Grande école). 420 jeunes, dont 68 % de filles, issus de six lycées et deux collèges partenaires, ont bénéficié de ce programme. 225 d entre eux ont aujourd hui intégré des établissements d enseignement supérieur. 77 nouveaux élèves sont accueillis pour l année sont collégiens et 53 lycéens. Ce dispositif est à l origine du programme développé nationalement sous l intitulé de «Cordées de la réussite». Le programme PHARES offre un accompagnement adapté aux élèves de la troisième à la terminale, scolarisés en milieu ordinaire et porteurs d un handicap moteur ou sensoriel (y compris les maladies invalidantes). PHARES s appuie sur le modèle pédagogique de PQPM et a été conçu avec une compagnie d assurances. Il a connu en 2011 un développement national auprès d une quinzaine d autres écoles. En 2011 (comme en 2010), les programmes d égalité des chances de l ESSEC correspondent à un budget de l ordre de 600 k. Le programme PQPM représente environ 50 % de ce budget, (deux tiers pour les collégiens et lycéens et un tiers pour les étudiants de l enseignement supérieur) La politique de formation de la Grande école La conception de la formation Grande école La formation Grande école fait régulièrement l objet d évaluations de la part des élèves : le cursus de la première année a ainsi été refondu en , en faisant intervenir le comité pédagogique et le comité d enseignement. Le comité pédagogique et le comité d enseignement sont deux structures spécialisées en charge du développement de la formation Grande école. Créés en 1973, ils se réunissent six à sept fois par an 9. Le comité pédagogique rassemble la direction du programme et les professeurs. Il examine les évolutions du programme de la Grande école, tant dans sa structure générale que sur les cours et leurs contenus puisque les nouveaux enseignements doivent être approuvés par cette instance. Le comité d enseignement est paritaire et regroupe les étudiants, les professeurs et les dirigeants de la Grande école ; il étudie toute proposition concernant l organisation et la structure des différents programmes. Le directeur général désigne les directeurs de programmes pour la Grande école, les mastères spécialisés et le programme EPSCI 10. La structure académique générale d enseignement est divisée en départements et c est au niveau de ces derniers qu est organisé, avec l aide du décanat, le processus de recrutement des professeurs qui interviennent dans chaque programme (dont la Grande école). 8 Au-delà de la formation Grande école, les nouveaux programmes font aussi l objet d études préalables à leur lancement à partir d une analyse des offres proposées par les concurrents (cas du Global MBA 8 notamment). 9 Par exemple, en , il y a eu six comités d enseignement et sept comités pédagogiques. 10 L EPSCI est un programme Bachelor in Business Administration (BBA) destiné aux bacheliers à haut potentiel, désireux de poursuivre une carrière internationale.

12 S MP 10/ Le placement des étudiants L école effectue chaque année, sous l impulsion de la CGE, une enquête relative à l insertion des jeunes diplômés grâce à l exploitation des réponses des étudiants à un questionnaire de placement. Il convient de noter que le taux de retour, en baisse sensible entre 2009 et 2010, est sensiblement inférieur au taux constaté dans d autres écoles supérieures de commerce et de gestion d Ile-de-France. Tableau 7 : Taux de retour du questionnaire de placement (source : ESSEC) Diplômés Répondants Taux de retour 56 % 56,1 % 50,1 % 57,9 % 57,9 % 53 % Sur la base des questionnaires effectivement retournés par les anciens élèves, la réduction constante, depuis 2006, du nombre de contrats signés avant la sortie de l école, peut s expliquer par la volonté des diplômés de choisir leur emploi au dernier moment, à partir d un choix de postes susceptible d évoluer et en fonction d offres de rémunération hétérogènes. On constate donc désormais que les étudiants réfléchissent plus longuement au contenu de leur premier poste, face à un engagement professionnel de moins en moins facile à prendre. Ce constat est d ailleurs paradoxal dans un contexte de crise économique. Tableau 8 : Durée de recherche du premier emploi (source : ESSEC) Période de signature du contrat Avant la sortie de l école 56,6 % 67,1 % 64,8 % 60 % 57,5 % 54,8 % Moins de 2 mois après la sortie 18 % 19,2 % 18,1 % 15 % 16,6 % 20,6 % De 2 à moins de 4 mois 14,9 % 7,7 % 11,1 % 18,6 % 16,6 % 13,7 % De 4 à moins de 6 mois 8,3 % 4,7 % 2,5 % 4,1 % 5,8 % 8,2 % Plus de 6 mois après la sortie 2,2 % 1,3 % 3,5 % 2,3 % 3,5 % 2,7 % Le pourcentage des jeunes diplômés d une promotion occupant un emploi, quel que soit le contrat de travail, six mois après la sortie de l école, a accusé une baisse sensible en Il se maintient quasiment au même niveau en 2009 et en Situation des diplômés Activité professionnelle (dont VIE) Tableau 9 : Situation des diplômés (source : ESSEC) % 82,7 % 92 % 84 % 85,3 % 84 % Recherche d emploi 8,8 % 7,3 % 3,1 % 7 % 8 % 7 % Poursuite d études 5,6 % 5,3 % 3 % 7,5 % 6 % 7 % Projets personnels 1,6 % 0,7 % 1,9 % 1,5 % 0,7 % 2 %

13 S MP 11/40 En complément, une analyse des causes du non-emploi d anciens élèves de la Grande école a été menée en 2009 et 2010 ; les résultats n en sont pas facilement exploitables et présentent de rares cas d anciens diplômés non placés. Tableau 10 : Analyse causale du non-emploi des anciens élèves (source : ESSEC) Nombre total de répondants en situation de recherche d emploi Refus d une offre d emploi 8 7 Difficulté liée à une mobilité géographique 2 3 Difficultés techniques de recherche emploi 1 2 Autres difficultés (non précisées) 13 8 Les diplômés du programme Grande école rejoignent majoritairement le secteur privé. Par ailleurs, depuis 2007, la fonction de conseil est la première activité des jeunes diplômés. Enfin, les contrats de travail des anciens élèves sont essentiellement des CDI 11. Tableau 11 : Les principaux employeurs (source : ESSEC) Secteurs d emploi Secteur public et associatif 3,6 % 3,6 % 3,6 % 5 % 6,6 % 2,1 % Secteur privé 93,1 % 91,9 % 91 % 90,5 % 90,1 % 95 % Travailleur indépendant / chef d entreprise 3,2 % 4,5 % 5,4 % 4,5 % 3,3 % 3 % Tableau 12 : Principaux secteurs d activité (source : ESSEC) Secteurs d activité Société de conseil 24,8 % 25,6 % 20,6 % 27,8 % Institution financière 18,9 % 19,3 % 19,3 % 17 % Cabinet d audit 7,2 % 6,3 % 9,1 % 7,1 % Média, édition, culture 5,4 % 4,5 % 3,3 % 4,7 % Commerce, distribution 1,8 % 5,9 % 2,9 % 4,7 % Technologie de l information 3,2 % 3,6 % 3,7 % 4,2 % 11 Contrat à durée indéterminée.

14 S MP 12/40 Types de contrat Tableau 13 : Nature des contrats de travail (source : ESSEC) CDI 92,5 % 88,8 % 90 % 84,8 % 79,7 % 86,3 % CDD 12 5 % 7,1 % 5,7 % 8,5 % 12,1 % 9,3 % Contrats locaux à l étranger 0 % 0 % 4,3 % 4,7 % 5,6 % 2 % NC : non communiqué CNE 13 0,8 % 0,8 % NC NC NC NC Autres 1,7 % 3,3 % 0 % 2 % 2,6 % 2,4 % La chute importante de la part des CDI signés par les diplômés de la Grande école entre 2007 et 2009 s explique par l impact de la crise financière. La tendance s inverse en 2010 (86,3 %), mais la part des CDI revient à un niveau inférieur à celui observé en 2006 (88,8 %) et en 2005 (92,5 %). Quant à la localisation géographique des emplois, elle est très majoritairement centrée sur Paris et la région parisienne. Tableau 14 : Localisation géographique des emplois (source : ESSEC) Choix géographiques Paris et région parisienne 78,6 % 75,1 % 80,3 % 73,6 % 75,2 % 74,7 % Etranger 13,7 % 19,7 % 17 % 20,9 % 19,8 % 21 % Province 7,7 % 5,2 % 2,7 % 5,5 % 5 % 4,3 % Les relations avec les entreprises Les stages Pour la Grande école, les étudiants doivent effectuer au minimum 18 mois de stage pour obtenir leur diplôme. Ces stages peuvent être à temps plein ou partiel, en France ou à l étranger. Une obligation d expérience internationale minimale de neuf mois est requise pour l obtention du diplôme. La répartition des stages au cours de la scolarité est laissée à l initiative de l étudiant qui construit son parcours avec l aide d un tuteur, à l exception du stage de fin de première année qui se déroule à partir du mois de juillet pour une durée minimale de six mois. A partir de la deuxième année, l étudiant choisit le moment et la durée de ses expériences professionnelles. Il peut partir en entreprise à chaque début de trimestre civil pour une durée de trois, six, neuf ou 12 mois. Le contenu du stage, validé par le tuteur avant le départ, doit être en cohérence avec les enseignements de l école et le projet professionnel de l étudiant. Il s agit pour une très grande majorité des élèves de stages de gestion. 12 Contrat à durée déterminée. 13 Contrat nouvelle embauche.

15 S MP 13/40 A l issue de chaque stage, l étudiant rédige une synthèse de l expérience professionnelle qu il a acquise. Il fournit, par ailleurs, une grille d évaluation sur 10 aptitudes managériales, renseignée par le maître de stage ou d apprentissage ; il s auto-évalue également sur ces mêmes aptitudes. Cette synthèse, ainsi que l analyse des grilles (analyse des écarts élèvetuteur pour chaque aptitude, progression par rapport à l expérience précédente, fixation d objectifs pour la prochaine expérience), font l objet d un entretien avec le tuteur. A l issue de ce débriefing, le tuteur décide de valider ou non l expérience professionnelle réalisée, ce qui permet le cas échéant à l étudiant d acquérir les unités de valeurs nécessaires à l obtention de son diplôme Les chaires A l ESSEC, la création de chaires provient d un mécanisme particulier qui distingue deux modes de création. Le premier concerne un besoin émanant d une entreprise souhaitant se rapprocher du monde académique, en général pour se faire connaître ou faire connaître ses métiers, tout en développant une recherche spécifique ; le second se rapporte au besoin d un enseignant souhaitant mettre à profit son réseau de connaissances dans le monde de l entreprise pour faire financer des travaux de recherche. Dans les deux cas, la cellule dédiée aux chaires au sein de la direction «partenariat, entreprises et développement» est chargée de suivre le rapprochement entre les entreprises et le corps professoral. C est cette structure qui finalise également la rédaction de conventions de mécénat, généralement d une durée de quatre ans. En fonction du nombre de mécènes, le financement de la chaire varie entre 300 k et 350 k par an. 80 % du financement des chaires se fait au titre de la loi Aillagon sur le mécénat. Le reliquat provient de la taxe d apprentissage et finance exclusivement la partie pédagogique. En 2011, il existait à l ESSEC 18 chaires financées par des entreprises. Il s agissait très majoritairement de chaires d enseignement ou d enseignement et de recherche, les chaires uniquement centrées sur la recherche étant tout à fait minoritaires. Cinq chaires sur 18 faisaient l objet d un enseignement en anglais (LVMH, Sanofi Aventis, Diversity and Leadership, Financial Reporting, Private Equity). Les chaires sont d ancienneté très variable, entre trois à 24 ans. Globalement, elles ont concerné près de diplômés depuis leur création. En fin de cursus, la part d étudiants qui rejoint l entreprise à l origine de la création de la chaire est difficile à déterminer car les élèves doivent encore poursuivre leur parcours de formation après leur passage dans la chaire. Il apparaît néanmoins que le recrutement d étudiants au sein des chaires n est pas nécessairement une priorité pour les entreprises qui, le plus souvent, agissent dans le cadre d opérations de mécénat. L ESSEC indique que l évaluation du partenariat se fait de manière régulière lors des comités de pilotage de chaires (un à deux par an) qui réunissent le titulaire (représentants des entreprises) et l ESSEC. Plusieurs critères d évaluation sont pris en compte pour apprécier la valeur ajoutée de ces partenariats : il s agit, par exemple, de la qualité des travaux des étudiants, du niveau des publications issues de la chaire et de la pertinence de l expertise créée. Dans les cas les plus fréquents, le succès du partenariat débouche sur un renouvellement des contrats de chaires pour quatre années supplémentaires.

16 S MP 14/40 La chambre a, sur ce point, noté qu une actualisation de la procédure d évaluation des chaires était en cours. Il s agirait notamment de parvenir, en cours d année 2012, à homogénéiser les pratiques de levée de fonds qui sont actuellement disparates et d inégal succès Le cas de l apprentissage Depuis 1996, la Grande école propose une filière apprentissage sur deux ans avec différentes possibilités de rythme d alternance : hebdomadaire (une semaine à l école, une semaine en entreprise), trimestrielle (idem) ou semestrielle (idem). Cette formule permet donc d intéresser les entreprises qui y trouvent une réponse spécifique à leurs besoins. Par ailleurs, ce mode d organisation permet de s adapter aux logiques métiers : par exemple, une présence à temps plein dans une entreprise de consultant permet plus facilement aux étudiants de se former aux activités de conseil. Aujourd hui, environ 25 % des étudiants de la Grande école poursuivent leurs études sous le régime de l apprentissage. Tableau 15 : Evolution du nombre d apprentis (source : ESSEC) Nombre de diplômés de la Grande école Nombre d apprentis de la Grande école Part d apprentis de la Grande école par promotion ,1 % 22,5 % 20,5 % 23,3 % 22,5 % 26 % 25,7 % Toutefois, le succès de l apprentissage ne doit pas occulter de sérieuses difficultés de financement global de ce dispositif et le déficit d exploitation du CFA 14 constaté en En effet, la taxe versée, bien qu en forte croissance en 2010, n a pas progressé aussi vite que le nombre d apprentis. En pratique, le report excédentaire de taxe des années antérieures a donc dû être intégralement utilisé en 2009 et Ces difficultés financières s expliquent, notamment, par un revirement de la politique suivie par la région Ile-de-France dans ce domaine. Cette dernière a, en effet, décidé de favoriser les formations de niveau IV et V au détriment des formations supérieures de niveau I comme l ESSEC. Elle a également souhaité contraindre les CFA à s inscrire dans une logique de coûts «médians» (environ pour une formation de niveau I «services»). Or, selon le directeur général de l ESSEC, cette approche ne peut pas être transposée au sein d établissements comme le CFA du groupe : celui-ci reste soumis à une forte concurrence internationale qui engendre des surcoûts significatifs (recrutement d enseignants reconnus, moyens matériels et pédagogiques de haut niveau ). Dans ce contexte économique particulièrement délicat et même si la situation s est améliorée en 2011 (résultat d environ 400 k ), du fait de transferts des financements de taxe d apprentissage du groupe ESSEC vers le CFA, la chambre note que le groupe s est engagé à réduire progressivement le nombre d apprentis pour revenir à l équilibre et à le limiter, à l horizon 2014, à un maximum de 600 étudiants (passage à 630 dès 2012). Elle souligne également que ces difficultés devront continuer à faire l objet d une vigilance soutenue. Elle note enfin, à cet égard, que le groupe ESSEC n est pas opposé au fait qu une partie limitée 14 Centre de formation d apprentis.

17 S MP 15/40 des coûts de formation (20 %) soit prise en charge par l étudiant, compte tenu des rémunérations qu il perçoit au titre de son statut d apprenti. Tableau 16 : Situation financière de l apprentissage (source : ESSEC) k Nombre total d apprentis de l ESSEC Variation + 12 % + 17,4 % - 12,7 % Taxe collectée au titre du groupe ESSEC Variation + 8,3 % - 18 % + 6,9 % Taxe collectée au titre du CFA Variation - 0,3 % + 11,4 % + 7,1 % Report excédentaire de taxe Résultat du CFA La formation continue Présentation générale de la formation continue La formation professionnelle est un département spécifique de l école (EEE - ESSEC Executive Education) qui agit en cohérence avec les actions de formation initiale, mais également de manière autonome. Tableau 17 : Chiffre d affaires de la formation continue (source : ESSEC) Chiffre d affaires (M ) Variation (en M ) Variation (en %) 14,4 15,8 17,7 20,3 20,9 22,5 8,1 56,3 % Tableau 18 : Effectifs de la formation continue (source : ESSEC) Effectif (ETP 15 ) au 31 décembre de chaque année Nombre de collaborateurs La part de la formation continue dans le chiffre d affaires du groupe reste globalement constante sur la période contrôlée, malgré une légère baisse en 2010/2011. Par ailleurs, il convient de noter que l ESSEC a conclu des accords avec plusieurs entités et leur délègue une partie des actions de formation dispensées (université Paris V, IAE 16 de Poitiers, Telecom Paris, ISCAE 17 ). 15 Equivalent temps plein. 16 Institut d administration des entreprises. 17 Institut supérieur de comptabilité et d administration des entreprises.

18 S MP 16/40 Tableau 19 : Part de la formation continue dans le chiffre d affaires (source : ESSEC) Part relative dans le chiffre d affaires Part de la formation continue 33,88 % 34,57 % 34,98 % 35,8 % 33,98 % 33,68 % Le recensement des besoins de formation continue ESSEC Executive Education a développé une offre de programmes qui peut s analyser selon deux axes : le type de programme et le profil de la cible des populations formées. La longueur des programmes de formation est très variable entre des modules de spécialité (trois, six ou neuf jours), des Advanced Management Programs (de huit à 25 jours), des General Management Programs (de 40 à 70 jours) et des Executive Advanced Masters (70 jours). Par ailleurs, ils ne sont pas tous diplômants et peuvent donner lieu à délivrance de certificats, de titres homologués par le RNCP 18 ou de labels «mastères spécialisés» par la CGE. Enfin, l ESSEC s est particulièrement investie dans la conception de programmes inter-entreprises et de programmes sur mesure L évaluation des actions de formation continue Il existe plusieurs dispositifs de mesure de la satisfaction des participants aux différents programmes de formation Les enquêtes de satisfaction Elles sont menées tout au long de la formation (réunions entre le chargé d affaires, le responsable pédagogique et le client), après chaque thème d intervention (sous forme de questionnaire adapté), ainsi qu à l issue de la session (questionnaire d évaluation globale). Dans certains cas, une évaluation à froid peut également être réalisée. Les participants, par l intermédiaire du responsable formation client, ont ainsi la possibilité d évaluer l impact pratique de la formation qu ils ont suivie Les classements internationaux L ESSEC figure dans de nombreux classements nationaux et internationaux. Ces derniers permettent en effet de révéler les principaux atouts des différentes écoles, tout en soulignant la qualité des programmes et les perspectives professionnelles des diplômés. Le dernier classement disponible du Financial Times (2011) place l ESSEC au 8 ème rang mondial des Business Schools en formation continue Les enquêtes en entreprise Des entretiens sont également régulièrement réalisés auprès des entreprises clientes de l ESSEC Executive Education. En 2010, une enquête a ainsi été réalisée avec l aide d un cabinet de consultants. La chambre prend acte qu une quinzaine de clients a été interviewée sur cinq grands axes (pédagogie, compréhension des besoins, offre et positionnement, 18 Répertoire national des certifications professionnelles.

19 S MP 17/40 organisation et logistique, relationnel et communication) et souligne tout l intérêt de poursuivre la démarche. 4 - La recherche Stratégie de recherche Les axes de recherche L ESSEC ne compte pas moins de neuf axes de recherche, mais cette notion revêt une forme un peu particulière. En effet, contrairement à ses concurrents qui n établissent que quelques axes sous forme de champs prioritaires de publication, l école a souhaité répertorier tous les domaines de recherche de ses enseignants-chercheurs, de telle sorte que chacun de leurs articles puisse s insérer dans une catégorie prédéfinie. Ces axes, mentionnés sur le site internet du groupe, sont connus du corps professoral. Il apparaît toutefois que ce grand nombre de domaines de recherche, même justifié par des considérations historiques comme l invoque l école 19, ne rend pas très lisible la stratégie suivie. Depuis 2003, plusieurs mesures ont donné un nouvel élan à la stratégie de recherche de l ESSEC. Il s agit d une part de l instauration de critères d évaluation du corps professoral permanent (CPP), afin de mettre l accent sur les publications dans les revues internationales les mieux classées. Cela concerne ensuite le recrutement des enseignants qui s est progressivement orienté vers des chercheurs à fort potentiel en matière de contribution internationale. Enfin, la recherche appliquée est encouragée, en particulier du fait de la création de multiples chaires. La stratégie de recherche est mise en œuvre par le directeur du centre de recherche de l ESSEC (CERESSEC). Elu par le corps professoral permanent et rattaché au directeur général du groupe, il est membre du comité de direction de l ESSEC, la plus importante structure de direction opérationnelle de l école. Il est également invité au conseil de surveillance. Il a bénéficié d un budget d environ 1,1 M en Tableau 20 : Moyens financiers du service de la recherche (CERESSEC) /2010 (source : ESSEC) Montants (k ) Masse salariale 320 Participation à des conférences 229 Financement direct de projets de recherche 502 Autres dépenses 40 Total Mutualisation et partenariats en matière de recherche L ESSEC a créé, en 2009, une entité expérimentale placée sous la responsabilité du directeur de la recherche. Un ingénieur de recherche et un laboratoire sont à la disposition de différents départements, afin de mener à bien leurs projets. Le budget consacré à ce centre est de 40 k en 2010 et Une évaluation de son fonctionnement est réalisée annuellement. 19 Existence d un ensemble de personnalités «fortes» impliquant que la recherche soit fondamentalement portée au niveau individuel.

20 S MP 18/40 Par ailleurs, l ESSEC est membre de l EIASM (European Institute of Advanced Management Studies) et son département d économie a signé, en 2010, une convention avec le THEMA 20 ; elle est enfin intégrée à l école doctorale du PRES Cergy University, avec laquelle elle partage une base de données (Datastream 21 ). Dans l immédiat, la direction générale du groupe indique ne pas avoir de projet de mutualisation de la recherche avec d autres écoles de commerce La politique de recherche Le corps professoral permanent (CPP) Selon la direction générale de l ESSEC, les publications antérieures sont un critère essentiel dans le recrutement du corps professoral. Elles jouent également un rôle dans le positionnement de grade et d échelon des enseignants, en particulier lors de leur recrutement ou pour leur avancement. Tableau 21 : Effectifs des enseignants (source : ESSEC) Professeurs permanents 2006/ / / / /2011 Professeurs chercheurs Professeurs chercheurs associés Professeurs chercheurs assistants Professeurs affiliés Professeurs enseignants Total L ESSEC fait également appel à des enseignants extérieurs (professeurs visitants) qui n appartiennent pas au CPP. Tableau 22 : Effectifs des professeurs non permanents (source : ESSEC) Professeurs visitants 2006/ / / / /2011 Nombre La notoriété de l école s accroît, comme en témoigne le nombre de candidatures examinées au cours des dernières années (+ 115 % entre 2008 et 2011). Le nombre de départs d enseignants se stabilise. 20 «Théorie économique, modélisation et applications», laboratoire de l université de Cergy-Pontoise. 21 Datastream est une base de données qui propose de l information sur les indices boursiers, le volume total des transactions, les indicateurs économiques, les actions et obligations, les taux de change et taux d intérêt pour plus de titres dans plus de 175 pays et 60 marchés. 22 Les professeurs enseignants comprennent également trois niveaux : professeur enseignant assistant, professeur enseignant associé et professeur enseignant. Ils sont ici globalisés et les chiffres montrent qu ils sont minoritaires au sein du corps professoral. Contrairement aux professeurs-chercheurs, les professeurs enseignants n ont pas à conduire des recherches et ne sont pas astreints à publication.

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