Le nouvel avantage bien-être, Zeneo-Solidaris!

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1 Le nouvel avantage bien-être, Zeneo-Solidaris! Le magazine de la Mutualité Socialiste et Syndicale de la province de Liège - n - avril bureau de Dépôt : Liège x - Editeur responsable : Fondation Solidaris - 36 rue Douffet Liège Rencontre avec Laurence Bibot Gagnez des places pour les cinémas

2 Edito Assurance complémentaire : La santé est votre bien le plus précieux!... p. 3 Zeneo-Solidaris : Le nouvel avantage bien-être... p. 4 Les visages de la mutualité Solidaris : Sophie Hester, assistante sociale... p. 8 Série société : Oreilles en danger!.. p. 10 Solidaris partenaire de l Académie provinciale des Sports... p. 12 Rencontre avec Laurence Bibot... p. 14 CHPLT : Transfert de la revalidation sur le site de Peltzer...p. 16 Espace Santé : La marche 100% antirouille...p. 19 Espace Différence s : Rencontre du 3 ème type...p. 21 Le monde va mal Guerres, attentats, catastrophes climatiques, pertes massives d emplois, il ne se passe pas un jour sans qu un nouveau désastre, au bout du monde ou chez nous, ne fasse la une des média Pas un jour sans drames humains. Des drames qui mettent cruellement en lumière les dérives de la mondialisation. Des drames qui tous, partout, ravivent l essentiel : la force de la solidarité. Parce que c est notre valeur porteuse, à la mutualité Solidaris nous considérons que la solidarité est et reste la meilleure réponse qui soit aux drames sociaux. Notre système de soins de santé, tout comme notre sécurité sociale, repose sur ce principe essentiel de solidarité. Et c est cela qui fait toute leur force. Si la situation sociale chez nous n est pas aussi dramatique que dans de nombreux pays, dont les Etats-Unis, c est bien parce que nous avons su préserver une sécurité sociale forte. Plus que jamais, cette solidarité de tous les instants doit être maintenue. Plus que jamais, cette solidarité de tous les instants doit être maintenue. Parce qu en cette période de crise, la mutualité Solidaris est parmi les premiers témoins des souffrances sociales et parmi les derniers remparts de cette indispensable solidarité, il est de notre devoir d aller plus loin et d agir. Notre mutualité se doit d être le porte-parole des personnes qui lui font confiance. A ce titre, elle a un rôle social essentiel de soutien et de défense à jouer auprès de ses affiliés, particulièrement les plus démunis. Car, comme l a dit Laurent Fabius : «la sécurité sociale c est le meilleur capital pour celui qui n en a pas» C est pour le maintien de cette solidarité, seule garante de la dignité humaine, que nous continuerons à nous battre dans les années à venir! Pierre Annet, Secrétaire Général Agenda du secteur associatif... p. 23 Jeux-concours cinéma... p. 30 Elections mutualistes...p. 31 Quoi de plus juste et de plus équitable, en effet, que de cotiser chacun en fonction de ses revenus pour que tout le monde puisse bénéficier de la sécurité sociale en fonction de ses besoins : en cas de maladie, de perte d emploi, de naissance, d une mise à la pension Le magazine de la Mutualité Solidaris et de ses partenaires du réseau Solidaris - Coordination éditoriale et responsable d édition : Frédéric Fassotte - Journaliste : Bérangère Lhomme - Coordination : Karin Balthazart Comité de rédaction : Alain Blause, Chloé Burton, Christine Chalon, Françoise Devalériola, Begoña Fernandez, Séverine Gohy, Natacha Lange, Dr Pierre Mbuyamba, Nicolas Piette, Marylène Vanhee Mise en page : Héroufosse Communication - Impression : Imprimerie Masset

3 Les nouveaux avantages de votre assurance complémentaire La santé est votre bien le plus précieux! Si vous l oubliez parfois, à la mutualité Solidaris nous y pensons pour vous tous les jours Nous sommes tous pareils : quand tout va bien, sa santé, on n y pense pas. Du coup on ne comprend pas l utilité de payer sa cotisation à l assurance complémentaire, dont on connaît d ailleurs souvent peu ou mal les nombreux avantages Pourtant personne n est à l abri d un problème. Si vous avez la chance d être en bonne santé, vous connaissez certainement un parent, un ami qui doit recourir à des soins de manière ponctuelle ou régulière. Les factures peuvent parfois être très lourdes, mais grâce à vos cotisations il est possible de les alléger considérablement et de permettre ainsi à chacun d être bien soigné, quels que soient ses revenus. Saviez-vous, par exemple, que grâce à son avantage Ticket Modérateur la mutualité Solidaris prend en charge ce qui vous reste normalement à payer après remboursement de l assurance obligatoire dans les cliniques et polycliniques avec lesquelles elle collabore, vous assurant ainsi des soins de qualité à tout petits prix? Saviez-vous que l assurance complémentaire de la mutualité Solidaris intervient financièrement dans vos frais de contraception (sans limite d âge), (voir page 7) de lunettes et lentilles, de soins d othodontie, d examens de dépistage, de naissance, de stages sportifs et récréatifs pour enfants et bien d autres! Attentive à l évolution de vos besoins, la mutualité Solidaris propose par ailleurs chaque année de nouveaux avantages très intéressants. Ainsi, cette année, parce que nous sommes persuadés que vous permettre de vous sentir bien dans votre corps et dans votre tête c est contribuer à préserver votre santé, nous vous proposons un avantage entièrement consacré à votre bien-être : Zeneo-Solidaris! (voir page 4) Dans un monde individualiste et déshumanisé, l objectif de la mutualité Solidaris n est pas de faire du profit, mais bien de permettre à tous d avoir accès à de soins de qualité. Elle fonctionne suivant le principe de solidarité et c est ce qui fait toute sa force. C est parce que vous êtes affiliés à nous faire confiance, que nous pouvons encore mieux nous occuper de votre santé à chaque moment de votre vie! Astuce Venez découvrir tous les avantages de l assurance complémentaire sur 3

4 Les nouveaux avantages de votre assurance complémentaire Cette année 1 er avril rime avec bien-être grâce à l avantage Zeneo-Solidaris! Nous vous l avons annoncé dans le numéro précédent de votre magazine Solidaris cette fois-ci ça y est : Zeneo-Solidaris, l avantage bien-être de la mutualité est disponible! Pour en bénéficier il suffit d être en ordre de cotisations à l assurance complémentaire et d être en possession de la carte Zeneo-Solidaris (que l assurance complémentaire vous octroie annuellement). Grâce à elle vous profitez d avantages et de réductions auprès d un ensemble de partenaires actifs dans 5 domaines : le bien-être corporel, l alimentation saine, les sport et fitness, les loisirs et nature, et enfin la culture. Pourquoi Zeneo-Solidaris A vos côtés à tous les moments de la vie, la mutualité Solidaris est depuis toujours à l écoute de vos besoins en matière de santé. Sensibles à votre envie logique et de plus en plus répandue de «prendre soin de vous» et de «prendre du temps pour vous» dans une société où le stress règne malheureusement en maître, nous avons créé un avantage exclusif dont l objectif unique est votre bien-être au sens large. En vous offrant de nombreuses réductions auprès d une large gamme de partenaires sélectionnés avec soin, accessible à tous, évolutif, interactif et novateur, Zeneo-Solidaris est tout à fait en phase avec les valeurs de solidarité, d égalité, de proximité, mais aussi d engagement dans la société, d innovation et de leadership qui sous-tendent notre mutualité.

5 Bien-être corporel Sport & fitness Alimentation saine Culture Loisirs & nature Avec Zeneo-Solidaris votre mutualité est aussi à vos côtés dans les bons moments de votre existence! Avec Zeneo-Solidaris, vous avez la possibilité de prendre soin de vous maintenant afi n d améliorer votre capital santé pour plus tard. La prévention de la santé est une de nos préoccupations principales, Zeneo-Solidaris en est une agréable illustration Astuce Vous n avez pas encore votre carte Zeneo-Solidaris? Réservez-la au plus vite grâce au talon d inscription ci-dessous. Cette carte, qui sera délivrée au titulaire, pourra être utilisée par les personnes à sa charge. Vous voulez en savoir plus sur les offres de Zeneo-Solidaris? Rendez-vous sur notre site : Réservez votre carte Zeneo-Solidaris Nom :... Prénom :... Collez ici votre vignette mutuelle Téléphone : Date et signature Bulletin à envoyer à la Mutualité Solidaris - Service assurance complémentaire - rue Douffet Liège 5

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8 Les visages de la mutualité Solidaris Sophie Hester, assistante sociale Jeudi matin. Depuis la première heure l agence mutualiste de Saint-Nicolas ne désemplit pas. Sophie Hester, assistante sociale du Centre de Service Social de la mutualité, y assure sa permanence hebdomadaire à l écart, en toute discrétion dans un petit bureau isolé et accueillant. «J ai commencé comme assistante sociale à la mutualité en A l époque j avais eu le choix de localisation : soit au bureau central, soit en secteur (visites à domicile) J ai préféré le bureau central car je débutais et j avais un peu peur de me retrouver toute seule confrontée aux problèmes des gens. Aujourd hui, toutes les assistantes sociales de Solidaris sont polyvalentes. Je fais aussi bien des permanences que des visites à domicile et, si maintenant on voulait m enlever ces visites, je vous assure que je mordrais» sourit Sophie. Voix douce, écoute attentive et regard rassurant, tout chez Sophie inspire confiance, alors on ose dire avec ses mots, malgré la difficulté que représente parfois la langue française ; on ose raconter ses malheurs, malgré la pudeur ; on ose demander de l aide, même si ce n est pas si facile. Petite suite d entretiens remplis d une essentielle humanité Victime du harcèlement commercial Elle n a pas vraiment d âge, parle beaucoup et vite avec un fort accent espagnol. Ce n est pas la première fois qu elle vient voir Sophie. Elle est un peu énervée pour une histoire de factures qu elle dépose en vrac sur le bureau : il est question d électricité, de téléphone fixe et de gsm. Elle s emmêle dans ses explications qui sont pour le moins confuses : «ils m ont écrit pour me dire que j avais décidé de signer un nouveau contrat avec eux, mais c est faux vous aviez écrit une lettre pour moi, vous vous souvenez Et puis il y a le gsm, j ai demandé d arrêter l abonnement, maintenant ils me

9 réclament 150 euros et aussi ces gens de l électricité qui me téléphonent tout le temps pour que je change et que je vienne chez eux» Sophie la laisse parler et l écoute avec beaucoup d attention. Elle prend le temps de «démêler les fils» et récapitule avec elle. «Pour le téléphone fixe, je vais renvoyer une lettre, au nom de la mutualité cette fois, mais pour l abonnement gsm je ne peux pas faire grandchose, vous avez signé un contrat pour 24 mois Pour le reste, il faut faire attention, les commerciaux peuvent se montrer très agressifs, il vaut mieux dire non On va faire comme ça pour le moment et venez me retrouver quand vous aurez une réponse.» La dame remercie chaleureusement Sophie et s excuse de l ennuyer encore avec tout ça. «Je vais finir par vous rendre folle» Sophie sourit et rassure. L entretien a été coupé deux fois par des coups de téléphone : d autres questions, d autres «problèmes» au bout du fil. La même écoute, la même gentillesse, les mêmes conseils attentifs en réponse. «Les permanences comprennent aussi les appels téléphoniques, c est parfois un peu difficile de tout gérer en même temps, mais en général les gens sont très compréhensifs», explique Sophie. Désamorcer les problèmes en douceur Voix douce, écoute attentive et regard rassurant, tout chez Sophie inspire confiance, Pas vraiment le temps de souffler. Les personnes se succèdent dans le bureau de Sophie, et avec elles les petits et gros soucis de la vie. Il y a ce grand monsieur costaud, au teint pâle qui avoue, les larmes aux yeux, être «au bout». Déclaré invalide suite à un accident de travail il y a quatre ans, il ne s en sort plus avec les nombreuses factures de soins de santé liées aux suites de son accident, factures qu il donne à Sophie comme on se soulage d un fardeau désormais trop lourd à porter «Ça m est arrivé en 2006, et le docteur qui a été désigné pour faire l expertise pour mon accident de travail ne m a jamais fait passer certains examens, du coup l assurance n intervient pas, mais moi je ne sais plus me soigner, parce que je ne sais plus payer J ai téléphoné, j ai écrit - il dépose une énorme farde remplie de documents - mais rien ne bouge, il faut faire quelque chose avec tout cela, je n en peux plus!» Sophie prend note des noms, adresses mail et numéros de contact, se propose, dans un premier temps, de téléphoner au docteur chargé de l expertise, mais aussi d écrire à l hôpital pour demander une suspension de payement ou alors un étalement. Puis ce monsieur d âge mûr qui entre sans rien dire. L air sombre et la tête basse, il tend un papier à remplir. Une anamnèse à compléter pour le médecinconseil. Avec beaucoup de douceur Sophie lui explique pourquoi on lui demande de remplir ce document et lui pose les questions inscrites pour le remplir avec lui Les réponses se font à demi-mots. Des études? Des formations «Non, moi j ai jamais été à l école, les enfants oui, mais pas moi» Et puis cette dame, ancienne coiffeuse, qui est en invalidité complète mais qui n en peut plus de rester à la maison et ne sait pas si elle pourrait, juste quelques heures par semaine, reprendre un travail de vendeuse moins douloureux pour son dos. Pour chaque cas, Sophie informe, se renseigne ou encore dirige vers d autres services si cela est nécessaire. «C est un travail très enrichissant à tous les niveaux, conclut Sophie. Bien sûr on apporte beaucoup aux gens, c est le sens de notre métier, mais les personnes que je rencontre m apportent tellement aussi par leur gentillesse, leur reconnaissance, mais également par les leçons de vie qu elles me donnent tous les jours!» Leçon de vie, leçon d humanité aussi, il suffit de passer quelques heures avec Sophie pour s en rendre compte... Le Centre de Service Social de la mutualité Solidaris compte une trentaine d assistantes sociales qui, comme Sophie, sont à votre service pour vous aider à résoudre les problèmes administratifs, financiers ou autres que vous pouvez renconter. Plus d infos : 04/ ou sur

10 Série société La musique trop fort, trop souvent, trop longtemps oreilles en danger! Ces dernières années on constate une augmentation significative du nombre de personnes souffrant de déficiences auditives, notamment chez les jeunes. En cause : une exposition longue et fréquente à de la musique à plein volume lors de soirées, concerts et festivals, ou encore une mauvaise et intensive utilisation de Mp3! C est devenu un véritable phénomène de société entraînant un réel problème de santé publique. La musique à fond dans les oreilles, pour s isoler, déconnecter, planer... La musique à fond, un peu comme une drogue! Trop-plein de bruit C est l histoire d un changement d habitude de «consommation musicale» chez les jeunes. Il y a d abord l arrivée du walkman, qui s est perfectionné pour devenir lecteur Mp3. La possibilité d écouter de la musique partout, tout le temps en augmentant simplement le son pour couvrir les bruits ambiants. Résultat : le peu de distance entre l écouteur et l oreille augmente les risques en cas de volume élevé! Il y ensuite le succès grandissant des festivals en plein air, des concerts et des discothèques avec une musique amplifiée à l effet «décoiffant» garanti pour tous et dangereusement assourdissant pour ceux qui sont proches des baffles surpuissants. Après, ça devient comme une évidence : pour qu il y ait de l ambiance il faut que la musique aille à fond dans les soirées, dans les voitures, dans les cafés, au cinéma ce qui amène presque «tout naturellement» à augmenter le son de sa télé quand on rentre chez soi! Tout cela, en plus du bruit ambiant général qui nous entoure (circulation, avions, machines diverses ), saturent les oreilles d autant plus que nous leur accordons de moins en moins de périodes de repos, de silence, pourtant nécessaires à leur bon fonctionnement. 10

11 Repères sonores La plupart des sons de la vie courante sont compris entre 30 et 90 décibels, mais nous sommes régulièrement en contact avec des sons de niveaux supérieurs aussi bien dans la vie professionnelle que lors de certains loisirs (concerts, discothèques ) Quelques repères sonores : de 55 db : lave-linge 80 db : voiture (seuil de risque pour les oreilles) 90 db : tondeuse à gazon 100 db : marteau-piqueur 105 db : concert ou discothèque 130 db : course automobile (seuil de douleur) db : avion au décollage Quand les oreilles bourdonnent après une soirée c est le signe d un traumatisme qu il ne faut pas prendre à la légère, car, si cela se répète souvent, les lésions peuvent être défi nitives! Lorsque vous savez que vous allez être soumis à un volume sonore important (concert ou soirée) utilisez des bouchons d oreilles (voir encadré) : ils réduisent les risques tout en vous permettant d entendre. Mais pour une bonne protection veillez également à : vous mettre à l endroit le plus éloigné des baffles; faire une pose de 10 minutes au calme tous les trois-quart d heure; faire attention à votre consommation d alcool ou de médicaments, elle diminue votre perception auditive (vous ne percevez, du coup, plus aussi bien la puissance de la musique et vous avez alors tendance à ne pas ressentir le seuil de douleur auditif); éviter de faire plusieurs sorties «bruyantes» sur une courte période. Au-dessous de 20 db on n entend quasiment rien, audessus de 80 db le son peut devenir dangereux pour nos oreilles. On estime en effet que l exposition à un niveau sonore de 90 db durant 3 heures, 100 db durant 20 minutes et 110 db durant 2 minutes (la plupart des concerts ont un niveau sonore de 105dB!) comporte des risques importants pour notre audition. Oreilles blessées, les conséquences Les oreilles ne sont pas faites pour supporter des doses de décibels élevées durant des périodes longues et de façon répétitive. C est donc à la fois la puissance, la durée et la fréquence qui posent problème et peuvent provoquer des lésions définitives responsables d acouphènes (sifflements ou bourdonnements continus et irréversibles En Belgique 1 personne sur 10 souffre d acouphènes!), d hyperacousie (perception amplifiée de sons «normaux»), d hypoacousie (diminution de l audition) ou de surdité (réduction souvent brusque, complète ou partielle, d une oreille, parfois des deux). Enfin, quand on dépasse la dose de bruit, ce ne sont pas que les oreilles qui souffrent! Tout le corps est concerné : trop de bruit augmente le stress, l agressivité, la tension artérielle, il produit des modifications cardiovasculaire et hormonale et induit des problèmes de concentration. Protéger ses oreilles, les bons réflexes Lorsque vous utilisez votre Mp3 diminuez le volume et les périodes d écoute. Comment fonctionne l oreille? Pour en savoir plus sur l oreille et le Astuce fonctionnement du corps en général, surfez sur «Corps-cité», le site santé pédagogique et ludique de la mutualité Solidaris : Solidaris interactif Réactions? Témoignages? Faites-nous en part : berangere.lhomme@mutsoc.be La mutualité Solidaris vous aide à protéger vos oreilles! Pour permettre à chacun de s amuser tout en préservant sa santé, la mutualité est présente dans les grands festivals de la province avec un message préventif. Elle y distribue notamment des bouchons d oreilles bien pratiques! N hésitez pas à venir vous informer au stand Solidaris! 11

12 Solidaris partenaire de l Académie provinciale des Sports Permettre aux enfants d être à l écoute de leur corps et de «bouger», c est préserver leur santé à l âge adulte Créée par la Province de Liège et unique en Belgique, l Académie des Sports entend développer l activité physique chez les enfants de 4 à 11 ans, en leur donnant la possibilité de s initier à différents sports de manière ludique et sans esprit de compétition. Un projet novateur accessible à tous, soutenu par la mutualité Solidaris. Tout part d un double constat : d une part la sédentarité est aujourd hui la cause majeure de l augmentation de nombreuses maladies (diabète, obésité, hypertension, maladies cardiovasculaires ) d autre part, c est en pratiquant une activité physique dès l enfance qu on a le plus de chance de continuer à faire du sport régulièrement une fois adulte et donc de préserver sa santé. 12 Seulement voilà, d un côté l enseignement ne donne plus aux cours de gymnastique l importance qu ils devraient avoir et, d un autre côté, les clubs sportifs, souvent pris dans une spirale compétitive, ne font jouer que les meilleurs et découragent ceux qui voudraient juste faire un sport pour s amuser. Résultat : un décrochage sportif de plus en plus dramatique en terme de santé publique. Enquête et expérience française Consciente de son rôle essentiel de service public, le Service des Sports de la Province de Liège à réfléchi à la meilleure manière de favoriser la pratique du sport chez les jeunes enfants.

13 Une enquête menée auprès de 8000 enfants de 6 à 11 ans et de leurs parents, a révélé que 57% des enfants interrogés n ont jamais pratiqué de sport dans un club et que 100% des parents sont intéressés par la participation de leurs enfants à des sessions de découverte/initiation à différents sports après l école. Restait à mettre un projet «d Académie des Sports» sur pieds. Pour ce faire la Province s est inspirée d une initiative française pratiquée depuis plus de 20 ans dans la ville de Istres (située dans le département des Bouches-du-Rhône). Cinq zones d activités Aujourd hui, «l Académie provinciale des Sports» est une réalité. Ce projet pilote propose aux enfants des activités sportives dans 5 zones géographiques classées en fonction de leur densité de population et de la proximité d infrastructures sportives de qualité : Waremme, Wanze, Herstal, Fléron et Verviers. L objectif étant de toucher le plus grand nombre d enfants, le droit d inscription aux modules sportifs proposés par l Académie provinciale des Sports se veut démocratique (en 2010 : 1,25 euros par séance, soit 20 euros pour 2 modules de 8 séances). Approche didactique pour disciplines multiples Pas de compétition, mais une approche individuelle pour permettre à chaque enfant d apprendre à découvrir son corps et ses capacités physiques réservées à une certaine élite. Elle propose donc des initiations à l équitation, l escrime, l escalade ou l uni hockey mais aussi à l athlétisme, le mini tennis, la natation, le judo, le karaté, le vélo, le badminton, le tennis de table, la gymnastique. L éveil «sports ballons», ainsi que la psychomotricité terrestre et aquatique pour les plus petits (4-5 ans) complètent cette offre sportive. Cette première sélection de sports est amenée à évoluer en fonction de la fréquentation et des demandes et l Académie pense déjà, pour les années à venir, à des disciplines comme la danse, le hockey sur gazon, le golf, ou encore la capoeira. Suivant leur tranche d âge et la discipline choisie les enfants sont réunis par groupe de 10 maximum pour permettre aux animateurs spécialisés de suivre le rythme de chacun. Car c est bien l enfant et son évolution personnelle qui sont au centre du programme pédagogique que propose l académie et qui a été établi avec les spécialistes des fédérations sportives de la Province de Liège. Ici, pas de compétition, pas de comparaison, mais bien une approche individuelle et adaptée pour permettre à chaque enfant d apprendre à découvrir son corps, ses capacités physiques, ses préférences et ses motivations. Aborder l activité physique avec envie et plaisir et se constituer un capital santé pour l avenir! Outre le prix modique d inscription, l Académie provinciale des Sports veut également permettre aux jeunes enfants de découvrir des disciplines encore parfois Plus d infos? Tél : 04/ Un partenariat en lien avec les valeurs de Solidaris Pour Pierre Annet, le nouveau secrétaire général de la mutualité Solidaris, soutenir une initiative comme l Académie provinciale des Sports fait partie intégrante des missions de la mutualité : parce que la pratique d un sport chez les jeunes revêt un aspect évident de prévention de la santé, un des objectifs fondamentaux de la mutualité ; parce que l Académie provinciale des Sports couvre la même zone géographique que Solidaris et s adresse donc également à ses affiliés ; parce que ce projet novateur, par son caractère social et la qualité des séances d initiations sportives qu il propose, est en lien direct avec les valeurs de la mutualité Solidaris. 13

14 Rencontre avec Laurence Bibot «Le rire est le meilleur moyen de mettre les événements douloureux de la vie à distance...» Midi, dans un restaurant bien connu de la rue Vinâve d Ile à Liège. Laurence Bibot a très gentiment accepté de nous y rencontrer, après et avant d autres interviews. Une journée de promo avant sa reprise des «Monologues du vagin» au Forum de Liège. tais entourée, que j ai eu ce besoin de créer un monde à moi. Aimer se déguiser et jouer seule quand on est enfant, c est normal, mais moi ça a continué plus tard. Après, l idée de faire du théâtre s est un peu imposée à moi. Je me suis très vite sentie attirée par la scène et j ai fait des études secondaires dans une section «arts d expression». J ai eu la chance d avoir des parents soutenants pour qui tout ce que je faisais était bien, ils n avaient pas spécialement de projet d études pour moi. Vers 18, 19 ans je me suis orientée vers le spectacle et j ai eu la chance de participer à la ligue d impro. C était vraiment une bonne école, je crois que ça m a structurée et en tout cas, ça a confirmé mon choix. 14 «Miss Bricola» assistante maladroite des Snuls, «Suzette» déjantée de la Semaine Infernale, «one woman show» à l humour décalé, Laurence Bibot porte grand une petite quarantaine épanouie. Regard attentif et voix douce, moment confidence sans masque ni nez rouge Comment devient-on humoriste? Est-ce qu il y a un déclic à un moment donné? Ça doit remonter à mon enfance j ai toujours bien aimé me déguiser et, bien que je vienne d une famille nombreuse, j ai aussi toujours bien aimé jouer toute seule. C est peut-être d ailleurs parce que je me sen- Vous avez très vite choisi de faire rire, pourquoi? C est difficile à dire, parfois j ai un peu peur de trop comprendre comment je fonctionne, d analyser le processus, de peur de perdre la spontanéité, l élan. Je suis comme tout le monde, j absorbe des situations heureuses et moins heureuses et je crois que, pour moi, le rire est le meilleur moyen de mettre les événements douloureux de la vie à distance, cela permet de les exorciser. Oui, ce sont généralement les choses les plus douloureuses que je traite avec l humour C est pour cela qu après le décès de votre maman vous avez écrit et joué «Capitaine Chantal», un spectacle drôle sur un sujet difficile puisque vous y jouiez le rôle de votre mère qui redescend sur terre pour rendre une dernière visite à sa fille? Oui, je pense que j avais un compte à rendre à ma maman. Je lui dois énormément, elle m a toujours beaucoup encouragée. Pouvoir faire rire en jouant son rôle,

15 c était pour moi une manière de lui rendre hommage, de lui rendre justice C était une femme très drôle mais bon, d un autre côté ce n était pas toujours facile non plus. Je n aurais pas pu tourner longtemps avec ce spectacle, c était un peu trop personnel, assez égoïste aussi finalement, un peu comme un spectacle thérapeutique pour moi. Vous reprenez les monologues du vagin, pas un spectacle franchement drôle? Non, c est vrai, le texte est souvent grave, mais ce qui me plaît bien c est la manière dont Nathalie Uffner a réalisé la mise en scène. Nous avons le même âge, nous ne faisons pas partie de la génération de femmes qui se sont battues pour que les choses changent, mais bien de celles qui profitent des acquis. En lisant la pièce il y a même des passages qui nous ont parus vieillots, un peu dépassés... La force de la mise en scène de Nathalie c est de ne pas présenter les femmes comme des victimes, mais bien comme des femmes qui ont aussi le sens de l humour et de la dérision. Il y a donc des moments très émouvants et puis des moments plus légers. Ce texte est une belle découverte pour moi, j ai appris beaucoup de choses très fortes sur la féminité. Vous êtes humoriste, comédienne, chanteuse, actrice, vous écrivez, vous mettez en scène, vous réalisez, vous êtes femme, épouse et maman est-ce qu il y a quelque chose que vous ne savez pas faire? Oh, plein de choses! Personnellement j ai plutôt l impression de ne pas être assez «active»! Et puis je ne fais pas tout, tout le temps, avec la même intensité. Il faut aussi dire qu en Belgique les frontières entre les différentes disciplines ne sont pas «étanches», ça donne la possibilité de toucher à tout sans problème. Moi ça m arrange bien, je suis d un tempérament assez autonome, j ai toujours fonctionné comme ça et j ai d ailleurs un peu du mal à me plier à un metteur en scène ou un réalisateur que je ne connais pas bien. Cette autonomie, je suis bien consciente que c est à la fois ma force et ma limite. Peut-être qu en vieillissant ça changera D un autre côté il y a des personnes avec lesquelles je n ai aucun problème à travailler, des gens comme les Snuls, Sébastien Ministru, Bouli Lanners Justement, dans votre parcours, ce sont toujours les mêmes personnes qui vous entourent. Comme une seconde famille? Oui, c est vrai, je travaille beaucoup avec Nathalie Uffner, Sébastien, Fred Jannin C est le paradoxe : en fait, je ne Je ne peux fonctionner de manière autonome que si je suis entourée peux fonctionner de manière autonome que si je suis entourée par cette «seconde famille». Je suis un peu trouillarde finalement et sans doute plus dépendante que je ne crois de ces personnes qui sont mes vrais amis. Avec Marka, vous avez aussi réalisé deux spectacles où vous chantez. C est important de créer ensemble, en couple? «A nous deux», le premier spectacle est vraiment né d une envie partagée. Pour notre deuxième duo «Monsieur Madame», il y a aussi eu, à la base, ce désir de retourner au Japon. C est un pays qui nous fascine, on était en vacances là-bas avec les enfants et Marka m a dit, on va refaire un spectacle ensemble pour revenir en tournée ici Il est plutôt fonceur, lui aussi! Vous avez également réalisé ensemble «Travestis», un documentaire sur le mélange des genres, c est important de faire passer des messages? Oui. «Travestis» parle de tolérance, de mélange, de recherche d identité Je veux croire qu il y a de la place pour tout le monde. Parfois les gens les plus extrêmes sont aussi les mieux dans leur peau et ce ne sont pas ceux qui se maquillent le plus qui ont le plus à cacher A la question de savoir comment elle envisage son avenir, Laurence sourit : «Comme je vais devenir vieille et que je n aurai peut-être plus le même besoin de monter sur scène, ça me rassure de me dire qu un jour j écrirais pour le cinéma, c est quelque chose qui me plairait beaucoup» 15

16 Centre Hospitalier Peltzer-La Tourelle Transfert de la revalidation du site de Borgoumont vers celui de Peltzer En préparation depuis des mois, le transfert des lits de revalidation du Centre Princesse Astrid de Borgoumont La Gleize vers le site de Peltzer totalement rénové aura lieu dans les semaines qui viennent. Après la construction d un nouveau bloc médicotechnique en 2008, le CHPLT termine une deuxième phase de travaux avec la rénovation complète du site Peltzer qui accueillera, dans le courant de ce mois d avril, les 60 lits de revalidation locomotrice et neurologique du Centre Princesse Astrid. «Ce rapatriement sur le site Peltzer des lits de revalidation du Centre Princesse Astrid complète l offre de soins de notre Centre de Réadaptation Fonctionnelle (CRF) par une nouvelle infrastructure d hospitalisation, explique le Dr Claude Degauque, Directeur médical du CHPLT. Ancienne «clinique de la mutualité», le site Peltzer est resté très cher à la population verviétoise, c est pourquoi il était important pour nous de pouvoir lui donner une deuxième vie. Ancien sanatorium, le bâtiment du Centre Princesse Astrid à Borgoumont devenant assez vieillot, nous avons très vite imaginé transférer les lits de revalidation vers Peltzer. Entièrement rénové, ce site présente aujourd hui 3 niveaux consacrés à la revalidation et 2 niveaux qui seront, eux, consacrés aux consultations en général (sauf pédiatrie et gynécologie) dans un environnement permettant un accueil personnalisé.» 16 Des lits de revalidation pour qui? Les lits de revalidation permettent d accueillir pendant une période plus ou moins longue, selon les cas, des patients souffrant de pathologies locomotrices ou neurologiques lourdes (polytraumatisés accidentés de la route, accidents vasculaires cérébraux, amputations, prothèses totales de hanche et de genou ) pour une

17 revalidation dont l objectif principal est de permettre à chacun de retrouver un maximum d autonomie. «La prise en charge des patients est pluridisciplinaire, précise Emma Tournoy, responsable kinés. Nous sommes une équipe de 40 personnes : infirmier(e)s spécialisé(e)s, (il y a, en effet, certaines spécificités liées au nursing des personnes para ou tétraplégiques, ainsi qu aux personnes amputées), kinés, ergothérapeutes, logopèdes, psychologue, assistante sociale et diététicienne, sous la direction de deux médecins.» Un environnement adéquat «Nos patients bénéficient d une prise en charge personnalisée dans le but de leur rendre le maximum d autonomie qui leur permettra de revivre chez eux en toute sécurité, précise le Dr Philippe Angenot, Médecin chef du CRF. Le déménagement du site de Borgoumont vers le site Peltzer présente de nombreux avantages : l aménagement, pensé par tous les membres du service, est parfaitement adapté au bien-être des patients et des soignants; tous pourront bénéficier d une nouvelle infrastructure de pointe (matériel de manutention des patients, etc.), nous avons de plus obtenu l accord pour acquérir un «laboratoire de marche» qui, en reconstituant la marche en 3 dimensions et en mettant en évidence les forces d appuis au sol et les contractions de muscles, permet d envisager les traitements les mieux appropriés; la proximité avec l hôpital et ses médecins spécialistes favorise la prise en charge de certains patients, notamment dialysés; la situation géographique sur les hauteurs de Verviers (bien desservie par les transports en commun) rend la visite des familles plus aisée». Une «réalisation maison» «Il est important de signaler que la rénovation du site Peltzer est une réalisation maison» souligne le Dr Degauque qui précise que les plans ont été réalisés par Benjamin Jacob, l architecte du CHPLT, ainsi que par Luc Schroeder, précédent collaborateur de l institution, en étroite collaboration avec tous les acteurs concernés (médecins, infirmier(e)s, équipe paramédicale, services techniques) qui ont ainsi chacun pu faire part de leurs besoins. «Le résultat est le très bel outil que nous avons maintenant sur le site Peltzer, et pour rassurer toutes celles et ceux qui pourraient regretter l environnement naturel qui entourait le Centre Princesse Astrid à Borgoumont, l aménagement d un jardin est d ores et déjà prévu autour de nos nouveaux locaux», conclut le Dr Degauque. Déménagement : rien n a été laissé au hasard! Inutile de dire qu on ne transfère pas 58 patients, ainsi qu une grosse partie de l infrastructure de 2 unités de soins sans une préparation longue et minutieuse. «Nous réfléchissons à la logistique de ce transfert, qui se fera en 2 temps (une unité et puis l autre), depuis plusieurs mois, confirme Marc Bruylants, infirmier chef de service. Outre le déménagement des patients, pour lesquels il faut prévoir des transports adaptés à chaque cas, il a également fallu planifier, en parallèle, le déplacement du matériel de même que les ajustements et les formations en termes d informatique. Tout est prévu pour que cela se passe le mieux possible et avec le moins d inconfort possible pour nos patients.» 17

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19 Espace Santé La marche, 100% antirouille! De plus en plus de personnes pratiquent la marche comme activité physique. C est un antidote naturel et pas cher contre les effets de l inactivité. Un corps c est fait pour bouger! En pratiquant une activité physique on est gagnant sur toute la ligne! La marche muscle le cœur Marcher d un pas vif pousse le cœur à mieux travailler pour apporter de l oxygène aux muscles. L effort continu augmente la force des contractions et permet au cœur de mieux battre. L activité physique favorise l augmentation du taux de «bon cholestérol», celui qui ne s accumule pas sur les parois des artères. Elle diminue la tension artérielle Avec l activité physique, le cœur et les vaisseaux sont en meilleur état et la tension artérielle est améliorée. Grâce à elle, on a une santé cardiovasculaire plus favorable que les personnes du même âge qui ne pratiquent pas d activité physique. Elle libère le stress Les difficultés de la vie quotidienne accélèrent le rythme cardiaque et font monter notre tension artérielle, parfois des tensions musculaires viennent s y ajouter. L activité physique peut aider à mieux se sentir dans sa peau. Elle est excellente pour la silhouette Après 30 ans, la masse musculaire diminue naturellement. En marchant d un bon pas, on renforce les muscles de tout le corps, on stimule la circulation tout en faisant travailler les fibres musculaires. Elle aide à maintenir le poids en équilibre Vers l âge de ans, le rythme avec lequel le corps brûle les calories (métabolisme) commence à ralentir. C est plus difficile de maintenir son poids en équilibre. L idéal est d avoir une alimentation variée, équilibrée, riche en fruits et légumes et de pratiquer une activité physique telle que la marche pour conserver son poids et rester en bonne santé. Profitez aussi du nouvel avantage complémentaire Zeneo-Solidaris pour pratiquer une activité physique modérée qui apporte une foule de bénéfices santé... Elle renforce les os La densité des os dépend surtout de l alimentation. Plus les os sont denses à 35 ans, moins on risque de souffrir d ostéoporose. La marche aide à préserver notre capital osseux. Elle libère des hormones de bien-être Quand on pratique une activité physique, notre corps libère des hormones qui nous font nous sentir bien. Demandez-nous les outils «100% antirouille», «bilan de la marche» et «fruits et légumes». Service Espace Santé Carrefour Info santé 1 rue de l université 4000 Liège Tél. : 04/ Fax : 04/ espace.sante@espacesante.be 19

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