Mars 2014 à St-Laurent, il me semble que ça ne va pas si mal. La Ici cohabitation pacifique semble

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1 Mars 2014 Assemblée Générale Annuelle du CARI St-Laurent Le 11 juin 2014 Un événement à ne pas manquer! Lire à la page 7 Dans ce numéro ÉDITORIAL LE CARI ST-LAURENT 2 Historique La première employée NOTRE 25ème ANNIVERSAIRE 3 Nos idées lumineuses CARICULUMVITAE 4 Vos rendez-vous avec mister emploi Baromètre emploi Le saviez-vous? Au nom de la loi Agenda emploi Objectifs professionnels SMART FOCUS : St-Laurent 8 Profil sociodémographique 9 Profil socioéconomique ÉCHO DE NOS ACTIVITÉS 10 Femmes d ici ou d ailleurs! Atelier de thérorie pratique du LABRRI Rallye identité À SURVEILLER 12 Camps d été familiaux Exposition des Jumeaux du CARI J aime le CARI St-Laurent Pourquoi avons-nous besoin de la semaine d actions contre le racisme? Ici cohabitation pacifique semble à St-Laurent, il me semble que ça ne va pas si mal. La acquise et même plus, nous avons souvent des occasions de rencontres interculturelles franchement amicales. Et puis, scientifiquement, le concept de race ne peut en aucun cas s appliquer aux humains puisqu indifféremment de notre couleur, de notre lieu d origine et de nos croyances, nous sommes tous de la même espèce. Le métissage est non seulement une possibilité, mais, pour le bien de l espèce, une réelle bénédiction. Le racisme, en termes humains, s apparente à la discrimination basée sur l origine, la couleur, l orientation religieuse ou sexuelle, etc. Elle fait croire aux uns qu ils sont meilleurs que les autres. Non seulement meilleurs, mais surtout supérieurs en droit, en intelligence, en civilité, en culture, en odeur de sainteté même. L autre, celui que nous ne connaissons que par ouï-dire et nos préjugés, fait peur et, par mécanisme de protection, nous l infériorisons et nous donnons des droits sur lui : le droit de décider quelle frontière il peut traverser, où il peut vivre, ce qu il peut faire, ce qu il doit ou non porter Qu on le veuille ou non, nous sommes tous porteurs (et en ce sens propagateurs) de ce type de jugement par rapport à d autres groupes. C est justement dans la nature du fonctionnement de notre cerveau et de notre éducation, qui veut nous protéger du monde qui nous entoure, de créer des catégories, de généraliser : les fleurs sentent bon; les loups sont dangereux; un adulte qui donne des bonbons aux enfants est un pédophile, etc. On pourrait parler ici du principe de précaution. Il faut plutôt se rencontrer pour que la confiance s installe, entrer en relation dans un esprit d ouverture à l autre, à sa culture, à ses valeurs. Oups, j ai écrit valeurs, et je sais bien à quoi vous penser. Moi aussi j y pense. Toutes les valeurs sont-elles égales? Est-ce que par votre origine ou par votre religion vous êtes différents, meilleurs, assurés du salut de votre âme alors que «l autre» non? Il n y a pas de recette miracle et instantanée, pas de mouvement unilatéral. Seule la rencontre change les mentalités. Ouvrez donc votre cœur à l humanité, englobez le genre humain dans votre amour. Les valeurs sont évolutives elles peuvent aisément pencher vers la haine, ou vers l amour. C est notre choix individuel qui peut faire la différence. Pierre Wilson Directeur conservateur Musée des maîtres et artisans du Québec Activité gratuite au musée pour la Semaine d actions contre le racisme Samedi le 22 mars à 14h00 : courtepointes engagées : Atelier expérimentiel Pour plus d informations, consultez le site internet au

2 L HISTORIQUE DU CARI ST-LAURENT, 25 ANS D HISTOIRE À SAINT-LAURENT Le CARI St-Laurent, à partir de 1989 Par Sabine EID, Présidente du Conseil d administration du CARI St-Laurent À l occasion du 25e anniversaire du CARI St-Laurent, nous vous proposons un voyage historique à travers l évolution de l organisme. À chaque numéro du Journal des Membres, jusqu à celui de décembre 2014, nous retracerons avec vous les débuts du CARI St-Laurent. * Pour la première partie de l histoire, voir le numéro de décembre C est ainsi qu en 1988, étant habituée à travailler avec les deux ministères de l immigration, je leur posais la question : «Si nous créons un Centre d accueil, un point de service à Saint-Laurent, est-ce que vous nous soutenez financièrement?» J étais toute la journée dans les rues de Saint-Laurent et mon bureau se trouvait à une heure de bus de là, en pleine ville, près d Atwater. Cela n avait aucune allure. Plusieurs personnes à Saint-Laurent me découragèrent de faire cette démarche : «Cela ne marchera pas... C est trop compliqué...la Ville ne vous soutiendra pas car elle n apprécie pas l arrivée de ces familles réfugiées...». autres, dont l une était cambodgienne (Voir ci-bas), vu le nombre de familles de cette nationalité. Le CLSC (Centre local de santé communautaire) nous hébergeait gratuitement vu les nombreux services réciproques. Le CARI St-Laurent est donc un organisme créé par le milieu. Il est le produit de la concertation d organismes qui en ont senti le réel besoin et l ont soutenu. Personne ne créait «son organisme» avec «son emploi assuré». On créait un nouveau point de service avec du nouveau personnel. J avais autour de moi pour la fondation du CARI St-Laurent : La Commission scolaire Sainte-Croix ; La Ville de Saint-Laurent ; Le CLSC Saint-Laurent; Le YMCA ; Le Centre d action bénévole ; Le SIARI (Service d interprète, d aide et de référence aux immigrants); Le Centre Marie Vincent (enfance inadaptée); Le Carrefour multiethnique (regroupement d immigrants); Moi-même (Centre Social d Aide aux Immigrants). Mais ma question aux deux Ministères reçut une réponse immédiate: «Oui! Cela devient un besoin, vous avez fait la preuve du travail en concertation. Cela nous plaît. Faites un projet et présentez-le nous!» C est ainsi qu en 1988, notre Comité immigrant mit sur pied le projet CARI Saint-Laurent (Centre d Accueil et Références pour Immigrants de Saint-Laurent). En 1988, nous étions incorporé et en janvier 1989 CARI St-Laurent ouvrait ses portes avec une employée, rapidement rejointe par deux Ce comité fondateur fut le premier Conseil d administration de l organisme. J étais personnellement présente tous les jours pour former et guider les nouvelles employées, mais je restais une employée du CSAI (Centre social d aide aux immigrants). Ma directrice me prêtait au CARI (St- Laurent), du moins pour ses débuts, jusqu à ce qu il puisse voler de ses propres ailes et prendre complètement en charge la population immigrante de Saint-Laurent. Mme Guek Chou Tea, la première employée du CARI St-Laurent Page 2 - Journal des Membres - Mars 2014 Ayant fui le Cambodge ravagé par une politique d extermination des Khmers Rouges, Madame Guek Chou Tea a posé ses baluchons au Canada depuis déjà une trentaine d années. Arrivée comme réfugiée, elle porte avec fierté son double statut de canadienne et de cambodgienne. Entre Chou (comme on l appelle affectueusement) et Saint-Laurent, c est une longue histoire d amour qui se poursuit encore. Alors que le CARI St-Laurent est à ses balbutiements, Chou est recrutée comme intervenante communautaire le 1er octobre 1989.Elle s occupa, tout spécialement, de la communauté cambodgienne très nombreuse à ville Saint-Laurent à l époque. En plus des services rendus au bureau, elle multiplia ses efforts pour accompagner ses compatriotes au CLSC et leur servit d interprète. Aussi, entièrement dévouée, cette dernière se déplaçait dans les écoles (Enfants Soleil et Émile Legault), au poste de police, dans les cliniques, les hôpitaux ainsi que plusieurs autres institutions. Pour faire connaître son centre, Madame Chou se mettait à sillonner les quartiers Norgate et Chameran, en faisant même du porte à porte afin que les communautés immigrantes puissent bénéficier des services d aide et d accompagnement. Elle a appris vite à maîtriser tous les domaines d interventions : immigration, logement, impôts et autres si bien que des collègues la considéraient comme une mine d informations. Ainsi, au-delà de ses capacités d accompagnatrice et de médiatrice, elle usa d ingéniosité et de détermination en marquant le premier des bons coups du CARI St Laurent : la clinique d impôts. Avec les moyens du bord, de la débrouillardise, son intégrité et sa créativité, Madame Guek Chou Tea a grandement contribué à la visibilité de notre organisme. Authentique, sage et fière de ses origines, notre ancienne collègue a construit deux histoires : la sienne et celle du CARI Saint-Laurent. Ainsi, c est avec enthousiasme que nous lui souhaitons une belle retraite! Par Kheira ARAF, intervenante communautaire au CARI St-Laurent

3 N O S 5 CH A ND EL LES d i d é es lu m i neu se s! Chers lecteurs, chères lectrices, Infographie : Slimane Rechdi Page 3 - Journal des Membres - Mars 2014 Le CARI St-Laurent célèbre cette année ses 25 ans d existence, 25 ans au service de la communauté. À cette occasion, nous vous proposerons à chaque parution du Journal de membres de fêter et de souligner cet anniversaire en vous présentant 25 idées lumineuses réalisées au CARI St-Laurent au cours des années, à travers nos projets et réalisations. Telles les chandelles d un gâteau, elles vous démontreront la vitalité de votre organisme.

4 CARICULUM VITAE VOS RENDEZ-VOUS AVEC MISTER EMPLOI Par El Hadji DIAW, conseiller en emploi au CARI St-Laurent Une nouvelle année, c est l occasion de faire le point sur sa situation personnelle et/ou professionnelle et de définir de nouveaux objectifs qui donneront sens à notre vie. C est tellement vrai que le rappel du philosophe Sénèque garde encore toute sa pertinence et actualité : il n y a pas de vents favorables pour celui qui ne sait pas où il va. Mais, savions-nous toujours où nous voulions aller? Pourquoi et comment devrions-nous s y prendre? Pour un nouveau type de chercheur d emploi, ce questionnement apparaît comme une condition sine qua non pour le succès. La démarche SMART offre un outil efficace pour peaufiner nos projets professionnels. Dans ce numéro, vous découvrirez comment. Bonne lecture. BAROMÈTRE EMPLOI LE SAVIEZ-VOUS? En janvier, le niveau d emploi a augmenté au Québec ( emplois ; + 0,3 %). Cette hausse a touché principalement l emploi à temps partiel ( ; + 1,7 %), alors que le temps plein a peu varié (- 700 ; - 0,0 %) Par rapport à janvier 2013, la hausse est de emplois (+ 0,2 %). Cette hausse a touché principalement l emploi à temps partiel ( ; + 10,3 %), alors que le temps plein a baissé ( ; - 2,0 %). Par rapport au mois dernier, les secteurs qui ont le plus augmenté sont ceux de la finance, assurances, immobilier et location ( ) et les soins de santé et assistance sociale ( ). Le secteur qui a le plus baissé est celui du commerce ( ). Le taux de chômage a baissé de 0,2 point de pourcentage pour atteindre 7,5 %. Il devient égal à celui de l Ontario. Par rapport à janvier 2013, il a augmenté de 0,4 point de pourcentage. Source : Emploi Québec, Bulletin sur le marché du travail au Québec, Vol 30, Numéro 1, Janvier 2014 Le nouveau guichet unique intersectoriel, Qualification Montréal, regroupe l ensemble des services de référence en reconnaissance des acquis et des compétences (RAC) accessibles sur le territoire de l île de Montréal. Pour de plus amples informations : qualificationmontreal.com/ Vous êtes en emploi et cherchez une formation professionnelle et technique à temps partiel? Visitez le montezdeniveau.ca pour une offre de formations en ligne au coût de 2 $ par heure. Offert par Emploi-Québec de l Île-de-Montréal AGENDA EMPLOI À MONTRÉAL Page 4 - Journal des Membres - Mars 2014 Au palais des Congrès de Montréal - www://congresmtl.com/ 159 Rue Saint Antoine Ouest, Montréal, QC H2Z 1H Mardi 15 avril 2014 de 12h à 19h Mercredi 16 avril 2014 de 10h à 18h Mardi 15 avril 2014 de 12h à 19h Mercredi 16 avril 2014 de 10h à 18h avril 2014 Salon Emploi et Formation 42ème édition Mercredi 19 mars 2014 de 10h à 18h Jeudi 20 mars 2014 de 10h à 18h

5 COIN DES CONSEILLERS Pour des objectifs professionnels SMART Par Fadia YOUNAN et Mourad TALEB, conseiller(e)s en emploi au CARI St-Laurent Lorsque vous décidez d aller en vacances, qu est-ce que vous faites en premier lieu? Évidemment, c est de déterminer votre destination. Pareil pour votre avenir professionnel. Votre carrière commence avec des objectifs clairs; il faut savoir où vous allez, comment s y prendre et pourquoi vous y allez. En tant que chercheur d emploi, le souci majeur n est pas uniquement de trouver un emploi, mais encore faut-il que celui-ci vous convienne. Donc, il est essentiel de mettre l emploi convoité en parfaite relation avec vos intérêts, vos connaissances et autres compétences dont vous disposez. Afin de vous aider à formuler des objectifs atteignables et maximiser ainsi vos chances de succès, nous vous proposons ici, une méthode simple appelée SMART (intelligent en anglais), voire SMARTER (plus intelligent). Spécifique : La question à se poser est la suivante : quel résultat précis je veux obtenir? Un objectif général a beaucoup moins de chance d être réalisé qu un objectif spécifique. Exemple : Objectif général serait de travailler en administration. Objectif spécifique serait de travailler comme commis de bureau. Mesurable : Vous devez déterminer un indicateur chiffré pour évaluer le travail accompli. La question à se poser est : Comment savoir si je progresse dans l atteinte de mon objectif? Exemple : combien de candidatures ai-je envoyé? Quel est le taux de réponses reçues? AU NOM DE LA LOI Atteignable : Pour déterminer si votre objectif est atteignable, vous devriez examiner l environnement et les moyens à disposition (profil du poste ciblé, vos compétences, vos contraintes, le marché de l emploi, etc.). La question à se poser dans ce cas précis est : Comment vais-je atteindre mon objectif? Réaliste : Un objectif réaliste boostera certainement votre motivation, raison pour laquelle, il ne faudrait aucunement confondre le rêve avec les objectifs. Ces derniers doivent indiquer un défi, mais pas trop grand pour que vous puissiez le maitriser. Exemple : Suis-je capable d atteindre ce résultat pour lequel je vais déployer les efforts nécessaires? Temporel : Avoir un agenda est quelque chose de très important lorsqu on parle de fixation d objectifs. Lorsque vous ne fixez pas de date, vous céderez la place à des reports. En fixant un délai, vous vous imposez une contrainte qui vous guide à atteindre votre but. La question à se poser dans ce cas est : Quel est le délai prévu pour l atteinte de cet objectif? Exemple : je me donne trois mois pour trouver un emploi comme commis de bureau. Et j y travaillerai à temps plein pour l atteinte de cet objectif, avec la collaboration de mon conseiller en emploi. Vous venez de voir ici qu un objectif bien défini est la seule démarche pour vos succès futurs; et que son élaboration n est pas si compliquée que ça. Votre détermination, votre organisation, la confiance en vous, feront toute la différence. Quant à nous, conseillers en emploi, nous serons toujours là pour vous guider dans vos démarches. La Loi sur les normes du travail comporte des dispositions sur l avis de licenciement collectif qui protègent la majorité des salariés québécois. Certains salariés en sont toutefois exclus. Il y a licenciement collectif quand un employeur met fin à l emploi de 10 salariés ou plus d un même établissement sur une période de 2 mois ou met à pied au moins 10 salariés d un même établissement pour une durée de plus de 6 mois. La Loi sur les normes du travail établit la marche à suivre et les délais à respecter pour émettre un avis de licenciement collectif. Ces délais dépendent du nombre de salariés visés. Avis de licenciement collectif Nombre de salariés Délais 0 à 99 8 semaines 100 à semaines 300 et plus 16 semaines Source: Commission des normes du travail au Québec Page 5 - Journal des Membres - Mars 2014

6 CARI St-Laurent Centre d Accueil et de Référence sociale et L E C économique A pour LImmigrants E N D R I E R D U Accueil Éducation populaire et vie communautaire La Session clinique d impôt d information se poursuit jusqu au 4 avril Achat première maison Information et inscription Cours d anglais Lundi et mercredi de 15h30 à 18h, Jeudi de 16h à 18h Cours d informatique Excel, Word, Power point, Windows et Médias sociaux Du lundi au vendredi de 9h à 12h Initiation à la citoyenneté Les mercredis et jeudis de 17h à 20h Emploi Femmes du monde A V R I L Atelier de recherche d emploi Prochaine session : 10 mars au 11 avril 14 avril au 16 mai du lundi au vendredi durée 5 semaines Inscription requise Halte répit Cuisiner en santé Mardi le 8 de 10h à 16h Cuisine Internationale Mardi le 29 de 10h à 16h 1155, avenue Ste-Croix SVP s inscrire avant Prise de parole Lundi et mercredi de 9h à 12h Un Nouveau Mode d Agir (Eco-création) jeudi de 9h à 12h Pratique du français Les vendredis de 9h à 12h Atelier de couture Les jeudis de 13h à 16h Atelier d artisanat Mercredis de 13h à 16h Salle FDM et le mardi 15 avril de 13h à 16h Chalet du parc Painter, 260 rue Marcotte Francisation Sortie à la bibliothèque Les jeudis de 10h à 11h30 Éveil à la lecture Les lundis de 11h30 à 12h30 Diner santé Le 24 avril de 11h à 13h CARI St-Laurent Centre d Accueil et de Référence sociale et économique pour Immigrants Cours à temps complet Session printemps du 30 avril au 9 juillet Cours à temps partiel Session printemps 7 avril au 21 juin Horaire : Matin Après-midi Soir 9h à 12h 12h30 à 15h30 18h30 à 21h30 9 à 12 heures/semaine Accueil Éducation populaire et vie communautaire Session d information Achat première maison Information et inscription Cours d anglais Lundi et mercredi de 15h30 à 18h, Jeudi de 16h à 18h Cours d informatique Excel, Word, Power point, Windows et Médias sociaux Du lundi au vendredi de 9h à 12h Initiation à la citoyenneté Les mercredis et jeudis de 17h à 20h Emploi Femmes du monde Page 6 - Journal des Membres - Mars 2014 M A I Atelier de recherche d emploi du 19 mai au 20 juin du lundi au vendredi durée 5 semaines C A V A Séances de perfectionnement du 26 au 30 mai Bilan de compétences, expérience québécoise, recherche d emploi, communication verbale et non verbale, gestion du temps et des priorités, le réseau de contacts. Sortie à la bibliothèque Les jeudis de 10h à 11h30 Halte répit Éveil à la lecture Les lundis de 11h30 à 12h30 Diner santé Le 29 mai de 11h à 13h Cuisiner en santé Mardi le 13 de 10h à 16h Cuisine Internationale Mardi le 27 de 10h à 16h Cours à temps complet Session printemps du 30 avril au 9 juillet 1155, ave Ste-Croix SVP s inscrire avant Prise de parole Lundi et mercredi de 9h à 12h Un Nouveau Mode d Agir (Eco-création) jeudi de 9h à 12h Francisation Pratique du français Les vendredis de 9h à 12h Atelier de couture Les jeudis de 13h à 16h Atelier d artisanat Mercredis de 13h à 16h Salle FDM et le mardi 20 mai de 13h à 16h Chalet du parc Painter, 260 rue Marcotte Cours à temps partiel Session printemps 7 avril au 21 juin Horaire : Matin Après-midi Soir 9h à 12h 12h30 à 15h30 18h30 à 21h30 9 à 12 heures/semaine

7 CARI St-Laurent C ACentre d Accueil R et de I Référence sociale Set T - L A U R E N T économique pour Immigrants Accueil Éducation populaire et vie communautaire AGA 2014 Assemblée Générale Annuelle 11 juin à 17h Centre des Loisirs de St-Laurent Emploi Atelier de recherche d emploi du 19 mai au 20 juin du lundi au vendredi durée 5 semaines Sortie à la bibliothèque Les jeudis de 10h à 11h30 Halte répit Éveil à la lecture Les lundis de 11h30 à 12h30 Cours d anglais Lundi et mercredi de 15h30 à 18h, Jeudi de 16h à 18h Cuisiner en santé Mardi le 13 de 10h à 16h Cuisine Internationale Mardi le 27 de 10h à 16h Cours d informatique Excel, Word, Power point, Windows et Médias sociaux Du lundi au vendredi de 9h à 12h Femmes du monde 1155, ave Ste-Croix SVP s inscrire avant Prise de parole Lundi et mercredi de 9h à 12h Un Nouveau Mode d Agir (Eco-création) jeudi de 9h à 12h Diner santé Le 19 juin de 11h à 13h Cours à temps complet Session printemps du 30 avril au 9 juillet ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE DU CARI ST-LAURENT Mercredi 11 juin 2014 au Centre des Loisirs de Saint-Laurent De 15h à 20h Initiation à la citoyenneté Les mercredis et jeudis de 17h à 20h Pratique du français Les vendredis de 9h à 12h Atelier de couture Les jeudis de 13h à 16h Atelier d artisanat Mercredis de 13h à 16h Salle FDM et le mardi 20 mai de 13h à 16h Chalet du parc Painter, 260 rue Marcotte Francisation Cours à temps partiel Session printemps 7 avril au 21 juin Horaire : Matin Après-midi Soir 9h à 12h 12h30 à 15h30 18h30 à 21h30 9 à 12 heures/semaine J U I N COURS GRATUIT de conversation anglaise Offert au CARI St-Laurent Tous les lundi et mercredi De 14h à 16h INSCRIPTIONS AU COURS D INFORMATIQUE Réservez votre date Pour profiter de toutes les activités réservées aux membres Séance d information sur la gouvernance Réjouissances Participation active des membres Le CARI St-Laurent remercie tous ses bénévoles ! OUI, le printemps arrive ; OUI Pâques s approche; Alors le CARI St-Laurent organise une fête pour ses précieux Bénévoles le mercredi le 16 avril 2014! Une invitation sera envoyée prochainement par courriel ou par la poste Votes, Informations Retrouvailles Page 7 - Journal des Membres - Mars 2014

8 FOCUS L ARRONDISSEMENT de Profil sociodémographique de Saint-Laurent Par Kheira ARAF, intervenante communautaire au CARI St-Laurent Le CARI St-Laurent, comme son nom l indique, est bien enraciné dans l arrondissement de Saint-Laurent depuis ses débuts, en L organisme, tout comme le milieu qui l accueille, ont bien évolué au fil des années. Dans cette édition du Journal des membres, nous vous offrons un portrait actuel de Saint-Laurent. Comme vous le verrez à la lecture des caractéristiques qui définissent cette partie de Montréal, les actions et interventions du CARI St-Laurent s inscrivent dans un environnement diversifié, animé d opportunités et de défis. Page 8 - Journal des Membres - Mars 2014 Avec une population de habitants, l arrondissement de Saint-Laurent s impose comme le 8ème arrondissement le plus peuplé de l île de Montréal selon la lecture des recensements des années 2006 et La disparition de l agriculture et le développement de l industrie aéronautique pendant la Seconde Guerre mondiale ont façonné le nouveau visage de l arrondissement. En effet, les «booms» économique et démographique ont permis son classement au deuxième rang en tant que parc industriel au Québec. Des chiffres viennent corroborer ces informations, soit une croissance de 10,6% de la population de 2006 à Parmi cette population, 52% sont des femmes et 48% sont représentés par les hommes. Aussi, l on constate que le groupe d âge le plus élevé est celui des individus âgés de 35 à 64 ans, ce qui représente 39% de la population laurentienne. Parallèlement à cela, la tendance de cette croissance s exprime chez les jeunes âgés de moins de 15 ans. Ces derniers représentent 19% de la population comparativement à une proportion de 15% pour l ensemble de la ville de Montréal. Une population issue de l immigration Plus de la moitié de la population de notre arrondissement provient de l immigration (52%) ; et à ce propos, la lecture des détails sur la structure des familles nous éclaire sur le portrait démographique en question : le pays d origine, le statut d immigration, les langues maternelle et parlées qui sont le reflet d une diversité et d une multiethnicité enrichissantes. En effet, force est de constater qu une personne sur deux, âgée de plus de 15 ans est née à l extérieur du Canada. Cette réalité est mise en relief par le rapport annuel du mois d avril 2013 de la Commission scolaire Marguerite Bourgeoys (CSMB) qui témoigne d une hausse fulgurante du taux d inscription sur le territoire de Saint-Laurent. Aussi, De 80% à 90% des élèves inscrits sont d origine étrangère. À titre d exemple, l école secondaire Saint-Laurent représente à elle seule plus de 100 pays différents. Alors, on se pose la question suivante : qui sont ces Laurentiens et Laurentiennes? Outre les natifs de Saint-Laurent, ce sont des citoyens qui proviennent de près de 160 pays, les plus nombreux étant originaires du : Liban, soit personnes pour 11,4% de la population laurentienne ; Maroc, soit personnes pour 8,4%; Chine, soit personnes pour 7,5%. Le bilinguisme est assez dominant. En effet, 59% de la population connaissent l anglais et le français. Par ailleurs Statistique Canada nous informe que pour les années 2006 et 2011, les langues maternelles et parlées à la maison sont par ordre de classement l arabe, le chinois et l espagnol. De plus, pour l ensemble de la population de l arrondissement Saint-Laurent, on compte 5 % de personnes allophones ne parlant ni l anglais ni le français. Parallèlement à la force économique que connaît Saint-Laurent, nous constatons que 18,5% des familles vivent sous le seuil de faible revenu et 42% des ménages locataires consacrent 30% ou plus de leur revenu au loyer. Les propriétaires sont cependant nombreux par rapport aux locataires puisqu ils représentent 44% de la population face à 56% de cette dernière. En conclusion, ce qui est à retenir est cette évidence : il s agit d une communauté riche en diversité qui connait une croissance démographique importante mais qui se débat dans un malaise qui s accentue au rythme du chômage et de l augmentation annuelle du loyer. Sources : Statistique Canada 2006 et 2011

9 Profil socioéconomique de Saint-Laurent Par Philippe D. PICARD, conseiller en emploi au CARI St-Laurent Quel est le portrait économique de Saint-Laurent? Selon le détail des plus récentes données statistiques de la ville de Montréal, le taux de chômage de l arrondissement de Saint-Laurent était de 10,7 % en Pendant que Montréal enregistrait au même moment un taux de chômage de 9,7 %, il se situait à 7,8 % à l échelle de la province de Québec. Le premier trait observable est la relative faiblesse de l emploi à Saint-Laurent. Ceci peut s expliquer par la présence récente de nouveaux arrivants sur le marché de l emploi, et ce, d une façon continue. Environ 90% des immigrants choisissent Montréal comme premier lieu d établissement, et en particulier, Saint-Laure nt. En 2005, le salaire moyen obtenu par un individu de 15 ans et plus vivant sur le territoire de Saint-Laurent se situe à $. La moyenne de revenu est de $ sur le territoire de Montréal, et pour l ensemble de l agglomération de Montréal, les gains moyens s élèvent à $. Le revenu étant intimement lié au taux de chômage, le nombre de chômeurs, plus élevé à Saint-Laurent, influence directement sur la moyenne des revenus disponibles. Une légère nuance cependant peut être notée : bien qu il y ait effectivement un plus grand nombre de chômeurs à Saint-Laurent par rapport à Montréal et ses agglomérations, les revenus gagnés à Saint-Laurent y sont malgré tout légèrement plus élevés qu à Montréal. Peut-être la qualité des emplois des laurentiens est-elle supérieure à ceux de leurs concitoyens montréalais? Du moins, des revenus accrus y sont obtenus. L examen du taux de faibles revenus semble confirmer ce constat. En 2005, 24,5% des individus à Montréal vivaient avec un montant inférieur au salaire minimum. À Saint- Laurent, ce taux baisse à 22,7%. Cet élément semble indiquer que, bien qu il y ait en valeur absolue moins d emplois occupés par les gens de l arrondissement, les résidents de Saint-Laurent détiennent en revanche des emplois un peu plus rémunérateurs. Il est possible aussi que des sources de revenus différentes viennent compléter leur budget, puisque les études officielles de Montréal ne tiennent compte que des salaires. Un autre paradoxe observé à Saint-Laurent est le nombre important des citoyens propriétaires de leur logement. Même si dans l arrondissement le taux de chômage demeure plus élevé, la vie en condo ou en maison individuelle a la cote; en 2006, 39% des habitants de Saint-Laurent étaient propriétaires de leur résidence. À Montréal, cette proportion atteint seulement 34,3%. Selon Statistiques Canada, les ménages canadiens consacrent en moyenne 18,1% de leurs revenus pour se loger ; les laurentiens y investissent quant à eux 19% de leur budget. Saint-Laurent, lieu d établissement de grandes industries comme Canadair ou Bombardier, constitue certainement un pôle d attraction pour les chercheurs d emploi. Les traits économiques originaux de la population traduisent un certain esprit d investisseur. Les immigrants, avec les défis d intégration qu ils surmontent quotidiennement lors de leurs premières années d installation, seraient-ils plus soucieux de leur prospérité? Une chose est sûre, les citoyens de l arrondissement de Saint-Laurent obtiennent une note positive au bulletin de la débrouillardise. Page 9 - Journal des Membres - Mars 2014

10 Page 10 - Journal des Membres - Mars 2014 ç a bouge au CARI St-Laurent «Femmes d ici ou d ailleurs! Ça change JOURNEE INTERNATIONALE DES FEMMES Par Ariane VINET-BONIN, intervenante à Femmes du monde Le 6 mars dernier, le CARI St-Laurent a célébré la Journée internationale des femmes sous le thème «Femmes d ici ou d ailleurs! Ça change quoi?». Comme à chaque année, l activité a été organisée par le service Femmes du monde. Plus de 100 familles ont participé à l évènement, de même que 20 invitées d honneur et une trentaine de bénévoles et employées du CARI St-Laurent. On comptait en tout environ 250 personnes! Ce rassemblement a été l occasion de retrouvailles, de nouvelles rencontres et de rapprochement intraculturel et interculturel entre des femmes et des hommes d ici et d ailleurs. La journée a permis de souligner l irréfutable importance des femmes dans la société, la reconnaissance de leur contribution à l humanité, leurs aspirations et leurs droits. Cet évènement a aussi permis la prise de conscience du chemin parcouru par les femmes dans leur lutte pour l amélioration de leurs conditions de vie et du travail qu il reste encore à accomplir pour la construction d un monde égalitaire entre les femmes et les hommes! Le thème de cette édition de la Journée internationale des femmes a inspiré, en premier lieu, une riche discussion sur les perceptions des conditions des femmes d ici et d ailleurs dans une perspective de rapprochement interculturel. Les participantes ont été invitées à réfléchir et débattre de questions sur l éducation différenciée des filles et garçons de même que sur l autonomie et la liberté des femmes. Les grandes différences et points communs que partagent les femmes dans le monde ont été soulevés. Des invitées d honneur, parmi lesquels la conteuse Henriette Nzuji Ntumba de l organisation Mamies Immigrantes pour le Développement et l Intégration, Marie Barrette de l Association des Retraitées et retraités de l Enseignement du Québec et Mirna Saadé du CSSS de St-Léonard et St-Michel, ont participé aux groupes de discussion. Elles ont pris la parole tour à tour pour dénoncer les inégalités sociales que vivent les femmes et livrer un message d espoir sur la solidarité entre les femmes au-delà des différences culturelles. La deuxième partie de l activité a été consacrée à une exposition des talents artistiques de femmes. Dessins, peintures, bijoux et gâteaux artisanaux étaient à l honneur. Cet espace de partage a facilité le tissage de liens entre les femmes d ici et les femmes d ailleurs. La journée a d ailleurs été l occasion d un jumelage entre les femmes. Les participantes étaient invitées à échanger leurs coordonnées pour que les discussions, le partage et la solidarité perdurent au-delà de la journée! L activité s est terminée par un tirage. Grâce à la générosité de nos commanditaires, une quinzaine de personnes ont pu repartir avec un prix de présence. L équipe de Femmes du monde tient à remercier chaleureusement toutes les participantes, participants, bénévoles et employées du CARI St-Laurent qui ont fait de l évènement un succès.

11 ç a bouge au CARI St-Laurent Le CARI St-Laurent fait danser pour la cause Par Yannick FOUDA, Chargé de projets jeunesse au CARI St-Laurent Six écoles primaires, pas moins de 36 danseurs, et des jeunes en feu pour témoigner de leur désir d un monde sans racisme et discrimination. Voilà le défi que le CARI St- Laurent s est donné avec l appui de la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys. En effet, le 27 mars 2014, dans le cadre de la Semaine d actions contre le racisme et la discrimination, une grande action sous forme de Flash-Mob aura lieu dans un lieu significatif de la communauté laurentienne. Qu est-ce qu un Flash-Mob? Imaginez! Vous vous promenez tranquillement dans un centre commercial où vous êtes venu faire vos courses à la sortie du travail. Vous vous apprêtez à traverser le grand hall du Centre commercial pour aller de l autre côté, lorsque soudain, vous voyez un «fou» apparemment sorti de nulle part se mettre à danser au rythme de la musique diffusée à travers le centre commercial. Vous êtes à peine revenu de votre surprise lorsque 2, 3, 4, 5 autres «fous» le rejoignent et comme par hasard, exécutent le même pas de danse alors que rien ne semblait indiquer qu ils se connaissent. Vous êtes encore en train de vous demander ce qui arrive lorsque vous vous rendez compte que vous êtes au milieu d une foule qui exécute la même chorégraphie. Alors trois réactions possibles vous guettent : soit vous déposez votre sac pour vous joindre à cette belle folie, soit vous sortez votre téléphone portable pour capturer cet instant magique ou alors un peu intimidé, vous vous réfugiez discrètement dans un coin pour profiter du spectacle. Si cela vous arrive, c est que vous venez d assister ou de participer à un Flash-Mob. L organisation du Flash-Mob fait partie du projet Rallye Identité qui en est à sa deuxième édition. La première année, les écoles ont participé à un concours d affiches dont les trois gagnantes ont été exposées au Musée des Maîtres et Artisans du Québec. Ce projet, financé par la ville de Montréal, s inscrit dans le cadre des deux objectifs du Programme de soutien aux initiatives communautaires liées à la diversité ethnoculturelle de la ville de Montréal. Trente-six jeunes issus des écoles primaires de l arrondissement de Saint-Laurent suivent donc actuellement des ateliers en vue de relever le défi du 27 mars prochain. Outre ce projet, le CARI St-Laurent est aussi actif dans la formation des jeunes à travers le projet Jeunes Leaders qui offre une formation sur le leadership dans les écoles primaires de Saint-Laurent. Dans ce cadre, les jeunes leaders de l école Henri-Beaulieu ont organisé une journée d activités dans le cadre de la semaine de relâche le 7 mars dernier. Joignez-vous à nous le 27 mars 2014 à La Place Vertu à partir de 15h00 Autres infos : Atelier de théorie pratique au CARI St-Laurent en collaboration avec le Laboratoire de Recherche en Relations Interculturelles de l Université de Montréal (LABRRI). Par Philippe T. DESMARAIS, Membre du LABRRI Le 7 mars 2014 s est tenu un atelier de théorie pratique au CARI St-Laurent en collaboration avec le Laboratoire de Recherche en Relations Interculturelles de l Université de Montréal (LABRRI). Plusieurs acteurs communautaires locaux et du ministère de l Immigration et des Communautés culturelles, étaient présents afin d apporter des commentaires aux résultats de recherche jusqu à présent menés par un comité ad hoc composé de Pierre Anctil du LABRRI et par certains employés du CARI St-Laurent (Aicha Guendafa, Jocelyn Chouinard, Fadia Younan et El Hadji Diaw) La recherche se questionne sur les réseaux d entraide communautaire pour l insertion en emploi des nouveaux arrivants, à savoir s il s agit d un enjeu de cultures ou de fibre entrepreneuriale? Cette thématique s est développée à partir de plusieurs constats, dont le fait qu à compétences et diplômes similaires, les primo arrivants ne seraient pas tous égaux face aux difficultés. De ce fait, au-delà des obstacles systémiques et structurels, la question est à savoir si la présence d une communauté de même origine ethnoculturelle et/ou religieuse suffit à garantir au primo arrivant l accès à l emploi. Ce questionnement a fait émerger une deuxième série de constats, que certaines personnes bénéficient dans leur quête d insertion professionnelle des avantages d un réseau communautaire très étendu (juifs, chinois, libanais, etc.), tandis que d autres n en ont pas (jamaïcains, haïtiens, ouest africains, etc.). À partir de là, le groupe de recherche s est concentré à développer des outils théoriques et conceptuels, avant de rencontrer certains acteurs et représentants spécifiques de la communauté juive, chinoise et libanaise de la ville de Montréal. Ces rencontres ont permis de mettre plusieurs constats à l épreuve et de recueillir des données qui n auraient pu être compilées autrement (d où l idée de la rencontre entre la théorie et la pratique). Les résultats obtenus laissent une grande ouverture à une éventuelle recherche qui pourrait s étendre à un niveau beaucoup plus large. L idée était de créer des ponts entre le savoir pratique et universitaire; et d avancer certains résultats préliminaires quant à une problématique réellement présente et indicative de certaines dynamiques particulières aux nouveaux arrivants sur l île de Montréal. Page 11 - Journal des Membres - Mars 2014

12 INFOS, CULTURE ET LOISIRS Editeur CARI St-Laurent 774, Boul. Décarie / Montréal, Qc. H4L 3L5, Tél : (514) / Fax : (514) Courriel : carist@cari.qc.ca / Web : Métro : Du Collège Comité de rédaction - Aïcha GUENDAFA, El Hadji DIAW, Jean ZENGA, Jocelyn CHOUINARD, Kheira ARAF et Sophie LETENDRE Graphisme et mise en page - Jean ZENGA, Sophie LETENDRE Nous tenons à remercier tous ceux et toutes celles qui ont contribué à la réalisation de ce numéro. Notre prochain numéro paraîtra en juin 2014 Page 12 - Journal des Membres - Mars 2014 Coupon d adhésion (membership ) au CARI St-Laurent ou Changement d adresse L Assemblée Générale du 11 juin 1996 a établi qu : «est membre en règle du CARI St-Laurent toute personne qui partage les buts et les objectifs et qui consent à être membre de la corporation en acquittant sa cotisation annuelle*, au moins 15 jours juridiques avant l assemblée générale». La cotisation annuelle couvre la période du 1er février 2014 au 30 janvier Nom : Prénom : Adresse : Ville : Province: Code postale : Téléphone (domicile) : Téléphone ( bureau ): Ext: Courriel : Occupation (facultatif): Date : / / Signature : *Le coût de la carte de membre pour les individus est de 5, 00$ Donation (facultatif) 25 $ 50$ 200$ autre :

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