Mars 2014 à St-Laurent, il me semble que ça ne va pas si mal. La Ici cohabitation pacifique semble
|
|
- Ange Bonnet
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Mars 2014 Assemblée Générale Annuelle du CARI St-Laurent Le 11 juin 2014 Un événement à ne pas manquer! Lire à la page 7 Dans ce numéro ÉDITORIAL LE CARI ST-LAURENT 2 Historique La première employée NOTRE 25ème ANNIVERSAIRE 3 Nos idées lumineuses CARICULUMVITAE 4 Vos rendez-vous avec mister emploi Baromètre emploi Le saviez-vous? Au nom de la loi Agenda emploi Objectifs professionnels SMART FOCUS : St-Laurent 8 Profil sociodémographique 9 Profil socioéconomique ÉCHO DE NOS ACTIVITÉS 10 Femmes d ici ou d ailleurs! Atelier de thérorie pratique du LABRRI Rallye identité À SURVEILLER 12 Camps d été familiaux Exposition des Jumeaux du CARI J aime le CARI St-Laurent Pourquoi avons-nous besoin de la semaine d actions contre le racisme? Ici cohabitation pacifique semble à St-Laurent, il me semble que ça ne va pas si mal. La acquise et même plus, nous avons souvent des occasions de rencontres interculturelles franchement amicales. Et puis, scientifiquement, le concept de race ne peut en aucun cas s appliquer aux humains puisqu indifféremment de notre couleur, de notre lieu d origine et de nos croyances, nous sommes tous de la même espèce. Le métissage est non seulement une possibilité, mais, pour le bien de l espèce, une réelle bénédiction. Le racisme, en termes humains, s apparente à la discrimination basée sur l origine, la couleur, l orientation religieuse ou sexuelle, etc. Elle fait croire aux uns qu ils sont meilleurs que les autres. Non seulement meilleurs, mais surtout supérieurs en droit, en intelligence, en civilité, en culture, en odeur de sainteté même. L autre, celui que nous ne connaissons que par ouï-dire et nos préjugés, fait peur et, par mécanisme de protection, nous l infériorisons et nous donnons des droits sur lui : le droit de décider quelle frontière il peut traverser, où il peut vivre, ce qu il peut faire, ce qu il doit ou non porter Qu on le veuille ou non, nous sommes tous porteurs (et en ce sens propagateurs) de ce type de jugement par rapport à d autres groupes. C est justement dans la nature du fonctionnement de notre cerveau et de notre éducation, qui veut nous protéger du monde qui nous entoure, de créer des catégories, de généraliser : les fleurs sentent bon; les loups sont dangereux; un adulte qui donne des bonbons aux enfants est un pédophile, etc. On pourrait parler ici du principe de précaution. Il faut plutôt se rencontrer pour que la confiance s installe, entrer en relation dans un esprit d ouverture à l autre, à sa culture, à ses valeurs. Oups, j ai écrit valeurs, et je sais bien à quoi vous penser. Moi aussi j y pense. Toutes les valeurs sont-elles égales? Est-ce que par votre origine ou par votre religion vous êtes différents, meilleurs, assurés du salut de votre âme alors que «l autre» non? Il n y a pas de recette miracle et instantanée, pas de mouvement unilatéral. Seule la rencontre change les mentalités. Ouvrez donc votre cœur à l humanité, englobez le genre humain dans votre amour. Les valeurs sont évolutives elles peuvent aisément pencher vers la haine, ou vers l amour. C est notre choix individuel qui peut faire la différence. Pierre Wilson Directeur conservateur Musée des maîtres et artisans du Québec Activité gratuite au musée pour la Semaine d actions contre le racisme Samedi le 22 mars à 14h00 : courtepointes engagées : Atelier expérimentiel Pour plus d informations, consultez le site internet au
2 L HISTORIQUE DU CARI ST-LAURENT, 25 ANS D HISTOIRE À SAINT-LAURENT Le CARI St-Laurent, à partir de 1989 Par Sabine EID, Présidente du Conseil d administration du CARI St-Laurent À l occasion du 25e anniversaire du CARI St-Laurent, nous vous proposons un voyage historique à travers l évolution de l organisme. À chaque numéro du Journal des Membres, jusqu à celui de décembre 2014, nous retracerons avec vous les débuts du CARI St-Laurent. * Pour la première partie de l histoire, voir le numéro de décembre C est ainsi qu en 1988, étant habituée à travailler avec les deux ministères de l immigration, je leur posais la question : «Si nous créons un Centre d accueil, un point de service à Saint-Laurent, est-ce que vous nous soutenez financièrement?» J étais toute la journée dans les rues de Saint-Laurent et mon bureau se trouvait à une heure de bus de là, en pleine ville, près d Atwater. Cela n avait aucune allure. Plusieurs personnes à Saint-Laurent me découragèrent de faire cette démarche : «Cela ne marchera pas... C est trop compliqué...la Ville ne vous soutiendra pas car elle n apprécie pas l arrivée de ces familles réfugiées...». autres, dont l une était cambodgienne (Voir ci-bas), vu le nombre de familles de cette nationalité. Le CLSC (Centre local de santé communautaire) nous hébergeait gratuitement vu les nombreux services réciproques. Le CARI St-Laurent est donc un organisme créé par le milieu. Il est le produit de la concertation d organismes qui en ont senti le réel besoin et l ont soutenu. Personne ne créait «son organisme» avec «son emploi assuré». On créait un nouveau point de service avec du nouveau personnel. J avais autour de moi pour la fondation du CARI St-Laurent : La Commission scolaire Sainte-Croix ; La Ville de Saint-Laurent ; Le CLSC Saint-Laurent; Le YMCA ; Le Centre d action bénévole ; Le SIARI (Service d interprète, d aide et de référence aux immigrants); Le Centre Marie Vincent (enfance inadaptée); Le Carrefour multiethnique (regroupement d immigrants); Moi-même (Centre Social d Aide aux Immigrants). Mais ma question aux deux Ministères reçut une réponse immédiate: «Oui! Cela devient un besoin, vous avez fait la preuve du travail en concertation. Cela nous plaît. Faites un projet et présentez-le nous!» C est ainsi qu en 1988, notre Comité immigrant mit sur pied le projet CARI Saint-Laurent (Centre d Accueil et Références pour Immigrants de Saint-Laurent). En 1988, nous étions incorporé et en janvier 1989 CARI St-Laurent ouvrait ses portes avec une employée, rapidement rejointe par deux Ce comité fondateur fut le premier Conseil d administration de l organisme. J étais personnellement présente tous les jours pour former et guider les nouvelles employées, mais je restais une employée du CSAI (Centre social d aide aux immigrants). Ma directrice me prêtait au CARI (St- Laurent), du moins pour ses débuts, jusqu à ce qu il puisse voler de ses propres ailes et prendre complètement en charge la population immigrante de Saint-Laurent. Mme Guek Chou Tea, la première employée du CARI St-Laurent Page 2 - Journal des Membres - Mars 2014 Ayant fui le Cambodge ravagé par une politique d extermination des Khmers Rouges, Madame Guek Chou Tea a posé ses baluchons au Canada depuis déjà une trentaine d années. Arrivée comme réfugiée, elle porte avec fierté son double statut de canadienne et de cambodgienne. Entre Chou (comme on l appelle affectueusement) et Saint-Laurent, c est une longue histoire d amour qui se poursuit encore. Alors que le CARI St-Laurent est à ses balbutiements, Chou est recrutée comme intervenante communautaire le 1er octobre 1989.Elle s occupa, tout spécialement, de la communauté cambodgienne très nombreuse à ville Saint-Laurent à l époque. En plus des services rendus au bureau, elle multiplia ses efforts pour accompagner ses compatriotes au CLSC et leur servit d interprète. Aussi, entièrement dévouée, cette dernière se déplaçait dans les écoles (Enfants Soleil et Émile Legault), au poste de police, dans les cliniques, les hôpitaux ainsi que plusieurs autres institutions. Pour faire connaître son centre, Madame Chou se mettait à sillonner les quartiers Norgate et Chameran, en faisant même du porte à porte afin que les communautés immigrantes puissent bénéficier des services d aide et d accompagnement. Elle a appris vite à maîtriser tous les domaines d interventions : immigration, logement, impôts et autres si bien que des collègues la considéraient comme une mine d informations. Ainsi, au-delà de ses capacités d accompagnatrice et de médiatrice, elle usa d ingéniosité et de détermination en marquant le premier des bons coups du CARI St Laurent : la clinique d impôts. Avec les moyens du bord, de la débrouillardise, son intégrité et sa créativité, Madame Guek Chou Tea a grandement contribué à la visibilité de notre organisme. Authentique, sage et fière de ses origines, notre ancienne collègue a construit deux histoires : la sienne et celle du CARI Saint-Laurent. Ainsi, c est avec enthousiasme que nous lui souhaitons une belle retraite! Par Kheira ARAF, intervenante communautaire au CARI St-Laurent
3 N O S 5 CH A ND EL LES d i d é es lu m i neu se s! Chers lecteurs, chères lectrices, Infographie : Slimane Rechdi Page 3 - Journal des Membres - Mars 2014 Le CARI St-Laurent célèbre cette année ses 25 ans d existence, 25 ans au service de la communauté. À cette occasion, nous vous proposerons à chaque parution du Journal de membres de fêter et de souligner cet anniversaire en vous présentant 25 idées lumineuses réalisées au CARI St-Laurent au cours des années, à travers nos projets et réalisations. Telles les chandelles d un gâteau, elles vous démontreront la vitalité de votre organisme.
4 CARICULUM VITAE VOS RENDEZ-VOUS AVEC MISTER EMPLOI Par El Hadji DIAW, conseiller en emploi au CARI St-Laurent Une nouvelle année, c est l occasion de faire le point sur sa situation personnelle et/ou professionnelle et de définir de nouveaux objectifs qui donneront sens à notre vie. C est tellement vrai que le rappel du philosophe Sénèque garde encore toute sa pertinence et actualité : il n y a pas de vents favorables pour celui qui ne sait pas où il va. Mais, savions-nous toujours où nous voulions aller? Pourquoi et comment devrions-nous s y prendre? Pour un nouveau type de chercheur d emploi, ce questionnement apparaît comme une condition sine qua non pour le succès. La démarche SMART offre un outil efficace pour peaufiner nos projets professionnels. Dans ce numéro, vous découvrirez comment. Bonne lecture. BAROMÈTRE EMPLOI LE SAVIEZ-VOUS? En janvier, le niveau d emploi a augmenté au Québec ( emplois ; + 0,3 %). Cette hausse a touché principalement l emploi à temps partiel ( ; + 1,7 %), alors que le temps plein a peu varié (- 700 ; - 0,0 %) Par rapport à janvier 2013, la hausse est de emplois (+ 0,2 %). Cette hausse a touché principalement l emploi à temps partiel ( ; + 10,3 %), alors que le temps plein a baissé ( ; - 2,0 %). Par rapport au mois dernier, les secteurs qui ont le plus augmenté sont ceux de la finance, assurances, immobilier et location ( ) et les soins de santé et assistance sociale ( ). Le secteur qui a le plus baissé est celui du commerce ( ). Le taux de chômage a baissé de 0,2 point de pourcentage pour atteindre 7,5 %. Il devient égal à celui de l Ontario. Par rapport à janvier 2013, il a augmenté de 0,4 point de pourcentage. Source : Emploi Québec, Bulletin sur le marché du travail au Québec, Vol 30, Numéro 1, Janvier 2014 Le nouveau guichet unique intersectoriel, Qualification Montréal, regroupe l ensemble des services de référence en reconnaissance des acquis et des compétences (RAC) accessibles sur le territoire de l île de Montréal. Pour de plus amples informations : qualificationmontreal.com/ Vous êtes en emploi et cherchez une formation professionnelle et technique à temps partiel? Visitez le montezdeniveau.ca pour une offre de formations en ligne au coût de 2 $ par heure. Offert par Emploi-Québec de l Île-de-Montréal AGENDA EMPLOI À MONTRÉAL Page 4 - Journal des Membres - Mars 2014 Au palais des Congrès de Montréal - www://congresmtl.com/ 159 Rue Saint Antoine Ouest, Montréal, QC H2Z 1H Mardi 15 avril 2014 de 12h à 19h Mercredi 16 avril 2014 de 10h à 18h Mardi 15 avril 2014 de 12h à 19h Mercredi 16 avril 2014 de 10h à 18h avril 2014 Salon Emploi et Formation 42ème édition Mercredi 19 mars 2014 de 10h à 18h Jeudi 20 mars 2014 de 10h à 18h
5 COIN DES CONSEILLERS Pour des objectifs professionnels SMART Par Fadia YOUNAN et Mourad TALEB, conseiller(e)s en emploi au CARI St-Laurent Lorsque vous décidez d aller en vacances, qu est-ce que vous faites en premier lieu? Évidemment, c est de déterminer votre destination. Pareil pour votre avenir professionnel. Votre carrière commence avec des objectifs clairs; il faut savoir où vous allez, comment s y prendre et pourquoi vous y allez. En tant que chercheur d emploi, le souci majeur n est pas uniquement de trouver un emploi, mais encore faut-il que celui-ci vous convienne. Donc, il est essentiel de mettre l emploi convoité en parfaite relation avec vos intérêts, vos connaissances et autres compétences dont vous disposez. Afin de vous aider à formuler des objectifs atteignables et maximiser ainsi vos chances de succès, nous vous proposons ici, une méthode simple appelée SMART (intelligent en anglais), voire SMARTER (plus intelligent). Spécifique : La question à se poser est la suivante : quel résultat précis je veux obtenir? Un objectif général a beaucoup moins de chance d être réalisé qu un objectif spécifique. Exemple : Objectif général serait de travailler en administration. Objectif spécifique serait de travailler comme commis de bureau. Mesurable : Vous devez déterminer un indicateur chiffré pour évaluer le travail accompli. La question à se poser est : Comment savoir si je progresse dans l atteinte de mon objectif? Exemple : combien de candidatures ai-je envoyé? Quel est le taux de réponses reçues? AU NOM DE LA LOI Atteignable : Pour déterminer si votre objectif est atteignable, vous devriez examiner l environnement et les moyens à disposition (profil du poste ciblé, vos compétences, vos contraintes, le marché de l emploi, etc.). La question à se poser dans ce cas précis est : Comment vais-je atteindre mon objectif? Réaliste : Un objectif réaliste boostera certainement votre motivation, raison pour laquelle, il ne faudrait aucunement confondre le rêve avec les objectifs. Ces derniers doivent indiquer un défi, mais pas trop grand pour que vous puissiez le maitriser. Exemple : Suis-je capable d atteindre ce résultat pour lequel je vais déployer les efforts nécessaires? Temporel : Avoir un agenda est quelque chose de très important lorsqu on parle de fixation d objectifs. Lorsque vous ne fixez pas de date, vous céderez la place à des reports. En fixant un délai, vous vous imposez une contrainte qui vous guide à atteindre votre but. La question à se poser dans ce cas est : Quel est le délai prévu pour l atteinte de cet objectif? Exemple : je me donne trois mois pour trouver un emploi comme commis de bureau. Et j y travaillerai à temps plein pour l atteinte de cet objectif, avec la collaboration de mon conseiller en emploi. Vous venez de voir ici qu un objectif bien défini est la seule démarche pour vos succès futurs; et que son élaboration n est pas si compliquée que ça. Votre détermination, votre organisation, la confiance en vous, feront toute la différence. Quant à nous, conseillers en emploi, nous serons toujours là pour vous guider dans vos démarches. La Loi sur les normes du travail comporte des dispositions sur l avis de licenciement collectif qui protègent la majorité des salariés québécois. Certains salariés en sont toutefois exclus. Il y a licenciement collectif quand un employeur met fin à l emploi de 10 salariés ou plus d un même établissement sur une période de 2 mois ou met à pied au moins 10 salariés d un même établissement pour une durée de plus de 6 mois. La Loi sur les normes du travail établit la marche à suivre et les délais à respecter pour émettre un avis de licenciement collectif. Ces délais dépendent du nombre de salariés visés. Avis de licenciement collectif Nombre de salariés Délais 0 à 99 8 semaines 100 à semaines 300 et plus 16 semaines Source: Commission des normes du travail au Québec Page 5 - Journal des Membres - Mars 2014
6 CARI St-Laurent Centre d Accueil et de Référence sociale et L E C économique A pour LImmigrants E N D R I E R D U Accueil Éducation populaire et vie communautaire La Session clinique d impôt d information se poursuit jusqu au 4 avril Achat première maison Information et inscription Cours d anglais Lundi et mercredi de 15h30 à 18h, Jeudi de 16h à 18h Cours d informatique Excel, Word, Power point, Windows et Médias sociaux Du lundi au vendredi de 9h à 12h Initiation à la citoyenneté Les mercredis et jeudis de 17h à 20h Emploi Femmes du monde A V R I L Atelier de recherche d emploi Prochaine session : 10 mars au 11 avril 14 avril au 16 mai du lundi au vendredi durée 5 semaines Inscription requise Halte répit Cuisiner en santé Mardi le 8 de 10h à 16h Cuisine Internationale Mardi le 29 de 10h à 16h 1155, avenue Ste-Croix SVP s inscrire avant Prise de parole Lundi et mercredi de 9h à 12h Un Nouveau Mode d Agir (Eco-création) jeudi de 9h à 12h Pratique du français Les vendredis de 9h à 12h Atelier de couture Les jeudis de 13h à 16h Atelier d artisanat Mercredis de 13h à 16h Salle FDM et le mardi 15 avril de 13h à 16h Chalet du parc Painter, 260 rue Marcotte Francisation Sortie à la bibliothèque Les jeudis de 10h à 11h30 Éveil à la lecture Les lundis de 11h30 à 12h30 Diner santé Le 24 avril de 11h à 13h CARI St-Laurent Centre d Accueil et de Référence sociale et économique pour Immigrants Cours à temps complet Session printemps du 30 avril au 9 juillet Cours à temps partiel Session printemps 7 avril au 21 juin Horaire : Matin Après-midi Soir 9h à 12h 12h30 à 15h30 18h30 à 21h30 9 à 12 heures/semaine Accueil Éducation populaire et vie communautaire Session d information Achat première maison Information et inscription Cours d anglais Lundi et mercredi de 15h30 à 18h, Jeudi de 16h à 18h Cours d informatique Excel, Word, Power point, Windows et Médias sociaux Du lundi au vendredi de 9h à 12h Initiation à la citoyenneté Les mercredis et jeudis de 17h à 20h Emploi Femmes du monde Page 6 - Journal des Membres - Mars 2014 M A I Atelier de recherche d emploi du 19 mai au 20 juin du lundi au vendredi durée 5 semaines C A V A Séances de perfectionnement du 26 au 30 mai Bilan de compétences, expérience québécoise, recherche d emploi, communication verbale et non verbale, gestion du temps et des priorités, le réseau de contacts. Sortie à la bibliothèque Les jeudis de 10h à 11h30 Halte répit Éveil à la lecture Les lundis de 11h30 à 12h30 Diner santé Le 29 mai de 11h à 13h Cuisiner en santé Mardi le 13 de 10h à 16h Cuisine Internationale Mardi le 27 de 10h à 16h Cours à temps complet Session printemps du 30 avril au 9 juillet 1155, ave Ste-Croix SVP s inscrire avant Prise de parole Lundi et mercredi de 9h à 12h Un Nouveau Mode d Agir (Eco-création) jeudi de 9h à 12h Francisation Pratique du français Les vendredis de 9h à 12h Atelier de couture Les jeudis de 13h à 16h Atelier d artisanat Mercredis de 13h à 16h Salle FDM et le mardi 20 mai de 13h à 16h Chalet du parc Painter, 260 rue Marcotte Cours à temps partiel Session printemps 7 avril au 21 juin Horaire : Matin Après-midi Soir 9h à 12h 12h30 à 15h30 18h30 à 21h30 9 à 12 heures/semaine
7 CARI St-Laurent C ACentre d Accueil R et de I Référence sociale Set T - L A U R E N T économique pour Immigrants Accueil Éducation populaire et vie communautaire AGA 2014 Assemblée Générale Annuelle 11 juin à 17h Centre des Loisirs de St-Laurent Emploi Atelier de recherche d emploi du 19 mai au 20 juin du lundi au vendredi durée 5 semaines Sortie à la bibliothèque Les jeudis de 10h à 11h30 Halte répit Éveil à la lecture Les lundis de 11h30 à 12h30 Cours d anglais Lundi et mercredi de 15h30 à 18h, Jeudi de 16h à 18h Cuisiner en santé Mardi le 13 de 10h à 16h Cuisine Internationale Mardi le 27 de 10h à 16h Cours d informatique Excel, Word, Power point, Windows et Médias sociaux Du lundi au vendredi de 9h à 12h Femmes du monde 1155, ave Ste-Croix SVP s inscrire avant Prise de parole Lundi et mercredi de 9h à 12h Un Nouveau Mode d Agir (Eco-création) jeudi de 9h à 12h Diner santé Le 19 juin de 11h à 13h Cours à temps complet Session printemps du 30 avril au 9 juillet ASSEMBLÉE GÉNÉRALE ANNUELLE DU CARI ST-LAURENT Mercredi 11 juin 2014 au Centre des Loisirs de Saint-Laurent De 15h à 20h Initiation à la citoyenneté Les mercredis et jeudis de 17h à 20h Pratique du français Les vendredis de 9h à 12h Atelier de couture Les jeudis de 13h à 16h Atelier d artisanat Mercredis de 13h à 16h Salle FDM et le mardi 20 mai de 13h à 16h Chalet du parc Painter, 260 rue Marcotte Francisation Cours à temps partiel Session printemps 7 avril au 21 juin Horaire : Matin Après-midi Soir 9h à 12h 12h30 à 15h30 18h30 à 21h30 9 à 12 heures/semaine J U I N COURS GRATUIT de conversation anglaise Offert au CARI St-Laurent Tous les lundi et mercredi De 14h à 16h INSCRIPTIONS AU COURS D INFORMATIQUE Réservez votre date Pour profiter de toutes les activités réservées aux membres Séance d information sur la gouvernance Réjouissances Participation active des membres Le CARI St-Laurent remercie tous ses bénévoles ! OUI, le printemps arrive ; OUI Pâques s approche; Alors le CARI St-Laurent organise une fête pour ses précieux Bénévoles le mercredi le 16 avril 2014! Une invitation sera envoyée prochainement par courriel ou par la poste Votes, Informations Retrouvailles Page 7 - Journal des Membres - Mars 2014
8 FOCUS L ARRONDISSEMENT de Profil sociodémographique de Saint-Laurent Par Kheira ARAF, intervenante communautaire au CARI St-Laurent Le CARI St-Laurent, comme son nom l indique, est bien enraciné dans l arrondissement de Saint-Laurent depuis ses débuts, en L organisme, tout comme le milieu qui l accueille, ont bien évolué au fil des années. Dans cette édition du Journal des membres, nous vous offrons un portrait actuel de Saint-Laurent. Comme vous le verrez à la lecture des caractéristiques qui définissent cette partie de Montréal, les actions et interventions du CARI St-Laurent s inscrivent dans un environnement diversifié, animé d opportunités et de défis. Page 8 - Journal des Membres - Mars 2014 Avec une population de habitants, l arrondissement de Saint-Laurent s impose comme le 8ème arrondissement le plus peuplé de l île de Montréal selon la lecture des recensements des années 2006 et La disparition de l agriculture et le développement de l industrie aéronautique pendant la Seconde Guerre mondiale ont façonné le nouveau visage de l arrondissement. En effet, les «booms» économique et démographique ont permis son classement au deuxième rang en tant que parc industriel au Québec. Des chiffres viennent corroborer ces informations, soit une croissance de 10,6% de la population de 2006 à Parmi cette population, 52% sont des femmes et 48% sont représentés par les hommes. Aussi, l on constate que le groupe d âge le plus élevé est celui des individus âgés de 35 à 64 ans, ce qui représente 39% de la population laurentienne. Parallèlement à cela, la tendance de cette croissance s exprime chez les jeunes âgés de moins de 15 ans. Ces derniers représentent 19% de la population comparativement à une proportion de 15% pour l ensemble de la ville de Montréal. Une population issue de l immigration Plus de la moitié de la population de notre arrondissement provient de l immigration (52%) ; et à ce propos, la lecture des détails sur la structure des familles nous éclaire sur le portrait démographique en question : le pays d origine, le statut d immigration, les langues maternelle et parlées qui sont le reflet d une diversité et d une multiethnicité enrichissantes. En effet, force est de constater qu une personne sur deux, âgée de plus de 15 ans est née à l extérieur du Canada. Cette réalité est mise en relief par le rapport annuel du mois d avril 2013 de la Commission scolaire Marguerite Bourgeoys (CSMB) qui témoigne d une hausse fulgurante du taux d inscription sur le territoire de Saint-Laurent. Aussi, De 80% à 90% des élèves inscrits sont d origine étrangère. À titre d exemple, l école secondaire Saint-Laurent représente à elle seule plus de 100 pays différents. Alors, on se pose la question suivante : qui sont ces Laurentiens et Laurentiennes? Outre les natifs de Saint-Laurent, ce sont des citoyens qui proviennent de près de 160 pays, les plus nombreux étant originaires du : Liban, soit personnes pour 11,4% de la population laurentienne ; Maroc, soit personnes pour 8,4%; Chine, soit personnes pour 7,5%. Le bilinguisme est assez dominant. En effet, 59% de la population connaissent l anglais et le français. Par ailleurs Statistique Canada nous informe que pour les années 2006 et 2011, les langues maternelles et parlées à la maison sont par ordre de classement l arabe, le chinois et l espagnol. De plus, pour l ensemble de la population de l arrondissement Saint-Laurent, on compte 5 % de personnes allophones ne parlant ni l anglais ni le français. Parallèlement à la force économique que connaît Saint-Laurent, nous constatons que 18,5% des familles vivent sous le seuil de faible revenu et 42% des ménages locataires consacrent 30% ou plus de leur revenu au loyer. Les propriétaires sont cependant nombreux par rapport aux locataires puisqu ils représentent 44% de la population face à 56% de cette dernière. En conclusion, ce qui est à retenir est cette évidence : il s agit d une communauté riche en diversité qui connait une croissance démographique importante mais qui se débat dans un malaise qui s accentue au rythme du chômage et de l augmentation annuelle du loyer. Sources : Statistique Canada 2006 et 2011
9 Profil socioéconomique de Saint-Laurent Par Philippe D. PICARD, conseiller en emploi au CARI St-Laurent Quel est le portrait économique de Saint-Laurent? Selon le détail des plus récentes données statistiques de la ville de Montréal, le taux de chômage de l arrondissement de Saint-Laurent était de 10,7 % en Pendant que Montréal enregistrait au même moment un taux de chômage de 9,7 %, il se situait à 7,8 % à l échelle de la province de Québec. Le premier trait observable est la relative faiblesse de l emploi à Saint-Laurent. Ceci peut s expliquer par la présence récente de nouveaux arrivants sur le marché de l emploi, et ce, d une façon continue. Environ 90% des immigrants choisissent Montréal comme premier lieu d établissement, et en particulier, Saint-Laure nt. En 2005, le salaire moyen obtenu par un individu de 15 ans et plus vivant sur le territoire de Saint-Laurent se situe à $. La moyenne de revenu est de $ sur le territoire de Montréal, et pour l ensemble de l agglomération de Montréal, les gains moyens s élèvent à $. Le revenu étant intimement lié au taux de chômage, le nombre de chômeurs, plus élevé à Saint-Laurent, influence directement sur la moyenne des revenus disponibles. Une légère nuance cependant peut être notée : bien qu il y ait effectivement un plus grand nombre de chômeurs à Saint-Laurent par rapport à Montréal et ses agglomérations, les revenus gagnés à Saint-Laurent y sont malgré tout légèrement plus élevés qu à Montréal. Peut-être la qualité des emplois des laurentiens est-elle supérieure à ceux de leurs concitoyens montréalais? Du moins, des revenus accrus y sont obtenus. L examen du taux de faibles revenus semble confirmer ce constat. En 2005, 24,5% des individus à Montréal vivaient avec un montant inférieur au salaire minimum. À Saint- Laurent, ce taux baisse à 22,7%. Cet élément semble indiquer que, bien qu il y ait en valeur absolue moins d emplois occupés par les gens de l arrondissement, les résidents de Saint-Laurent détiennent en revanche des emplois un peu plus rémunérateurs. Il est possible aussi que des sources de revenus différentes viennent compléter leur budget, puisque les études officielles de Montréal ne tiennent compte que des salaires. Un autre paradoxe observé à Saint-Laurent est le nombre important des citoyens propriétaires de leur logement. Même si dans l arrondissement le taux de chômage demeure plus élevé, la vie en condo ou en maison individuelle a la cote; en 2006, 39% des habitants de Saint-Laurent étaient propriétaires de leur résidence. À Montréal, cette proportion atteint seulement 34,3%. Selon Statistiques Canada, les ménages canadiens consacrent en moyenne 18,1% de leurs revenus pour se loger ; les laurentiens y investissent quant à eux 19% de leur budget. Saint-Laurent, lieu d établissement de grandes industries comme Canadair ou Bombardier, constitue certainement un pôle d attraction pour les chercheurs d emploi. Les traits économiques originaux de la population traduisent un certain esprit d investisseur. Les immigrants, avec les défis d intégration qu ils surmontent quotidiennement lors de leurs premières années d installation, seraient-ils plus soucieux de leur prospérité? Une chose est sûre, les citoyens de l arrondissement de Saint-Laurent obtiennent une note positive au bulletin de la débrouillardise. Page 9 - Journal des Membres - Mars 2014
10 Page 10 - Journal des Membres - Mars 2014 ç a bouge au CARI St-Laurent «Femmes d ici ou d ailleurs! Ça change JOURNEE INTERNATIONALE DES FEMMES Par Ariane VINET-BONIN, intervenante à Femmes du monde Le 6 mars dernier, le CARI St-Laurent a célébré la Journée internationale des femmes sous le thème «Femmes d ici ou d ailleurs! Ça change quoi?». Comme à chaque année, l activité a été organisée par le service Femmes du monde. Plus de 100 familles ont participé à l évènement, de même que 20 invitées d honneur et une trentaine de bénévoles et employées du CARI St-Laurent. On comptait en tout environ 250 personnes! Ce rassemblement a été l occasion de retrouvailles, de nouvelles rencontres et de rapprochement intraculturel et interculturel entre des femmes et des hommes d ici et d ailleurs. La journée a permis de souligner l irréfutable importance des femmes dans la société, la reconnaissance de leur contribution à l humanité, leurs aspirations et leurs droits. Cet évènement a aussi permis la prise de conscience du chemin parcouru par les femmes dans leur lutte pour l amélioration de leurs conditions de vie et du travail qu il reste encore à accomplir pour la construction d un monde égalitaire entre les femmes et les hommes! Le thème de cette édition de la Journée internationale des femmes a inspiré, en premier lieu, une riche discussion sur les perceptions des conditions des femmes d ici et d ailleurs dans une perspective de rapprochement interculturel. Les participantes ont été invitées à réfléchir et débattre de questions sur l éducation différenciée des filles et garçons de même que sur l autonomie et la liberté des femmes. Les grandes différences et points communs que partagent les femmes dans le monde ont été soulevés. Des invitées d honneur, parmi lesquels la conteuse Henriette Nzuji Ntumba de l organisation Mamies Immigrantes pour le Développement et l Intégration, Marie Barrette de l Association des Retraitées et retraités de l Enseignement du Québec et Mirna Saadé du CSSS de St-Léonard et St-Michel, ont participé aux groupes de discussion. Elles ont pris la parole tour à tour pour dénoncer les inégalités sociales que vivent les femmes et livrer un message d espoir sur la solidarité entre les femmes au-delà des différences culturelles. La deuxième partie de l activité a été consacrée à une exposition des talents artistiques de femmes. Dessins, peintures, bijoux et gâteaux artisanaux étaient à l honneur. Cet espace de partage a facilité le tissage de liens entre les femmes d ici et les femmes d ailleurs. La journée a d ailleurs été l occasion d un jumelage entre les femmes. Les participantes étaient invitées à échanger leurs coordonnées pour que les discussions, le partage et la solidarité perdurent au-delà de la journée! L activité s est terminée par un tirage. Grâce à la générosité de nos commanditaires, une quinzaine de personnes ont pu repartir avec un prix de présence. L équipe de Femmes du monde tient à remercier chaleureusement toutes les participantes, participants, bénévoles et employées du CARI St-Laurent qui ont fait de l évènement un succès.
11 ç a bouge au CARI St-Laurent Le CARI St-Laurent fait danser pour la cause Par Yannick FOUDA, Chargé de projets jeunesse au CARI St-Laurent Six écoles primaires, pas moins de 36 danseurs, et des jeunes en feu pour témoigner de leur désir d un monde sans racisme et discrimination. Voilà le défi que le CARI St- Laurent s est donné avec l appui de la Commission scolaire Marguerite-Bourgeoys. En effet, le 27 mars 2014, dans le cadre de la Semaine d actions contre le racisme et la discrimination, une grande action sous forme de Flash-Mob aura lieu dans un lieu significatif de la communauté laurentienne. Qu est-ce qu un Flash-Mob? Imaginez! Vous vous promenez tranquillement dans un centre commercial où vous êtes venu faire vos courses à la sortie du travail. Vous vous apprêtez à traverser le grand hall du Centre commercial pour aller de l autre côté, lorsque soudain, vous voyez un «fou» apparemment sorti de nulle part se mettre à danser au rythme de la musique diffusée à travers le centre commercial. Vous êtes à peine revenu de votre surprise lorsque 2, 3, 4, 5 autres «fous» le rejoignent et comme par hasard, exécutent le même pas de danse alors que rien ne semblait indiquer qu ils se connaissent. Vous êtes encore en train de vous demander ce qui arrive lorsque vous vous rendez compte que vous êtes au milieu d une foule qui exécute la même chorégraphie. Alors trois réactions possibles vous guettent : soit vous déposez votre sac pour vous joindre à cette belle folie, soit vous sortez votre téléphone portable pour capturer cet instant magique ou alors un peu intimidé, vous vous réfugiez discrètement dans un coin pour profiter du spectacle. Si cela vous arrive, c est que vous venez d assister ou de participer à un Flash-Mob. L organisation du Flash-Mob fait partie du projet Rallye Identité qui en est à sa deuxième édition. La première année, les écoles ont participé à un concours d affiches dont les trois gagnantes ont été exposées au Musée des Maîtres et Artisans du Québec. Ce projet, financé par la ville de Montréal, s inscrit dans le cadre des deux objectifs du Programme de soutien aux initiatives communautaires liées à la diversité ethnoculturelle de la ville de Montréal. Trente-six jeunes issus des écoles primaires de l arrondissement de Saint-Laurent suivent donc actuellement des ateliers en vue de relever le défi du 27 mars prochain. Outre ce projet, le CARI St-Laurent est aussi actif dans la formation des jeunes à travers le projet Jeunes Leaders qui offre une formation sur le leadership dans les écoles primaires de Saint-Laurent. Dans ce cadre, les jeunes leaders de l école Henri-Beaulieu ont organisé une journée d activités dans le cadre de la semaine de relâche le 7 mars dernier. Joignez-vous à nous le 27 mars 2014 à La Place Vertu à partir de 15h00 Autres infos : Atelier de théorie pratique au CARI St-Laurent en collaboration avec le Laboratoire de Recherche en Relations Interculturelles de l Université de Montréal (LABRRI). Par Philippe T. DESMARAIS, Membre du LABRRI Le 7 mars 2014 s est tenu un atelier de théorie pratique au CARI St-Laurent en collaboration avec le Laboratoire de Recherche en Relations Interculturelles de l Université de Montréal (LABRRI). Plusieurs acteurs communautaires locaux et du ministère de l Immigration et des Communautés culturelles, étaient présents afin d apporter des commentaires aux résultats de recherche jusqu à présent menés par un comité ad hoc composé de Pierre Anctil du LABRRI et par certains employés du CARI St-Laurent (Aicha Guendafa, Jocelyn Chouinard, Fadia Younan et El Hadji Diaw) La recherche se questionne sur les réseaux d entraide communautaire pour l insertion en emploi des nouveaux arrivants, à savoir s il s agit d un enjeu de cultures ou de fibre entrepreneuriale? Cette thématique s est développée à partir de plusieurs constats, dont le fait qu à compétences et diplômes similaires, les primo arrivants ne seraient pas tous égaux face aux difficultés. De ce fait, au-delà des obstacles systémiques et structurels, la question est à savoir si la présence d une communauté de même origine ethnoculturelle et/ou religieuse suffit à garantir au primo arrivant l accès à l emploi. Ce questionnement a fait émerger une deuxième série de constats, que certaines personnes bénéficient dans leur quête d insertion professionnelle des avantages d un réseau communautaire très étendu (juifs, chinois, libanais, etc.), tandis que d autres n en ont pas (jamaïcains, haïtiens, ouest africains, etc.). À partir de là, le groupe de recherche s est concentré à développer des outils théoriques et conceptuels, avant de rencontrer certains acteurs et représentants spécifiques de la communauté juive, chinoise et libanaise de la ville de Montréal. Ces rencontres ont permis de mettre plusieurs constats à l épreuve et de recueillir des données qui n auraient pu être compilées autrement (d où l idée de la rencontre entre la théorie et la pratique). Les résultats obtenus laissent une grande ouverture à une éventuelle recherche qui pourrait s étendre à un niveau beaucoup plus large. L idée était de créer des ponts entre le savoir pratique et universitaire; et d avancer certains résultats préliminaires quant à une problématique réellement présente et indicative de certaines dynamiques particulières aux nouveaux arrivants sur l île de Montréal. Page 11 - Journal des Membres - Mars 2014
12 INFOS, CULTURE ET LOISIRS Editeur CARI St-Laurent 774, Boul. Décarie / Montréal, Qc. H4L 3L5, Tél : (514) / Fax : (514) Courriel : carist@cari.qc.ca / Web : Métro : Du Collège Comité de rédaction - Aïcha GUENDAFA, El Hadji DIAW, Jean ZENGA, Jocelyn CHOUINARD, Kheira ARAF et Sophie LETENDRE Graphisme et mise en page - Jean ZENGA, Sophie LETENDRE Nous tenons à remercier tous ceux et toutes celles qui ont contribué à la réalisation de ce numéro. Notre prochain numéro paraîtra en juin 2014 Page 12 - Journal des Membres - Mars 2014 Coupon d adhésion (membership ) au CARI St-Laurent ou Changement d adresse L Assemblée Générale du 11 juin 1996 a établi qu : «est membre en règle du CARI St-Laurent toute personne qui partage les buts et les objectifs et qui consent à être membre de la corporation en acquittant sa cotisation annuelle*, au moins 15 jours juridiques avant l assemblée générale». La cotisation annuelle couvre la période du 1er février 2014 au 30 janvier Nom : Prénom : Adresse : Ville : Province: Code postale : Téléphone (domicile) : Téléphone ( bureau ): Ext: Courriel : Occupation (facultatif): Date : / / Signature : *Le coût de la carte de membre pour les individus est de 5, 00$ Donation (facultatif) 25 $ 50$ 200$ autre :
le Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs
LIVRET D ACCUEIL le Service d Accompagnement à la Vie Sociale Fondation Maison des Champs 23, rue du docteur potain 75019 Paris 01 53 38 62 50 Portraits des membres du groupe d expression du SAVS par Catel
Plus en détailTableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES
Tableau de bord des communautés de l Estrie DEUXIÈME ÉDITION INDICATEURS DÉMOGRAPHIQUES ET SOCIOÉCONOMIQUES Communauté locale de la Vallée de la Missisquoi Nord MRC de Memphrémagog Ce que les chiffres
Plus en détailNOM:.. PRENOM:... CLASSE:.. STAGE EN ENTREPRISE. des élèves de...ème Du../../.. au./../.. Collège...
NOM:.. PRENOM:... CLASSE:.. STAGE EN ENTREPRISE des élèves de...ème Du../../.. au./../.. Collège......... SOMMAIRE Avant le stage Le cahier de stage. 2 Conseil au stagiaire. 3 Fiche d identité de l élève
Plus en détailConseil Municipal des Enfants à Thionville. Livret de l électeur et du candidat
Conseil Municipal des Enfants à Thionville Livret de l électeur et du candidat Elections du vendredi 18 novembre 2011 Mot du Maire Le Conseil Municipal des Enfants fait sa rentrée. Il joue un rôle essentiel
Plus en détailDemande d examen du parcours d intégration au Québec en vue de l obtention du Certificat de sélection du Québec. Renseignements généraux
mande d examen du parcours d intégration au en vue de l obtention du Certificat de sélection du A-0523-IF (2015-02) Renseignements généraux titre de requérant principal ou de requérante principale, vous
Plus en détail3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212)
3 SOUTIEN À L ÉDUCATION INTERCULTURELLE (allocation supplémentaire 30212) Le Ministère apporte un soutien financier aux commissions scolaires pour favoriser le développement de l éducation interculturelle.
Plus en détailDÉJEUNER-CROISSANT SUR LE MENTORAT
Bulletin N o 13 mars 2014 DÉJEUNER-CROISSANT SUR LE MENTORAT Lors du Déjeuner-Croissant qui a eu lieu le 14 mars à Montréal, nos conférenciers ont su nous entretenir sur les différents aspects liés au
Plus en détailBilan de la concertation sur le PEDT
les périscolaires Bilan de la concertation sur le PEDT J www.ville-cergy.fr Sommaire 1. Préambule 4 2. Le cadre de la démarche 5 2.1. Les objectifs 6 2.2. Les sujets du débat 6 2.3. Le déroulé de la démarche
Plus en détailFaites du Théâtre! 8 ème édition Une journée de pratique du théâtre. - - Lycées et Collèges - -
Faites du Théâtre! 8 ème édition Une journée de pratique du théâtre - - Lycées et Collèges - - Réunion d information pour les enseignants et les enseignantes Jeudi 18 juin 2015 à 18h Mardi 15 Septembre
Plus en détailSaguenay - Lac-Saint-Jean ANNÉE SCOLAIRE 2011-2012
Saguenay - Lac-Saint-Jean ANNÉE SCOLAIRE 2011-2012 Préparé par le comité régional du développement de Jeunes Entreprises - Jean-Michel Gobeil, agent de sensibilisation à l entrepreneuriat jeunesse - Chrystelle
Plus en détailB U L L E T I N D I N F O R M A T I O N
L Actif VOLUME 8, NUMÉRO 3 B U L L E T I N D I N F O R M A T I O N AOÛT 2014 Dans ce numéro : Nouvelles nutrition 1 Retour sur l assemblée générale annuelle 2014 Bénévoles recherchés 4 Jeu cognitif du
Plus en détailQuestionnaire aux Associations Culturelles et Sportives
Aménagement des Rythmes Scolaires Concertation Locale Venez nous rencontrer le : Lundi 20 Janvier 2014 à 18H30 CDC Aune et Loir Questionnaire aux Associations Culturelles et Sportives Mot du Président
Plus en détailLe M.B.A. professionnel
Le M.B.A. professionnel Un M.B.A. à temps partiel pour les professionnels qui travaillent un programme unique Le nouveau M.B.A. professionnel de la Faculté de gestion Desautels de l Université McGill est
Plus en détailPour la prospérité : investissons dans le développement social du Québec
Pour la prospérité : investissons dans le développement social du Québec Présentation à la ministre des Finances du Québec, Mme Monique Jérôme-Forget lors des consultations prébudgétaires le 14 février
Plus en détailBonjour et bienvenue à l assemblée publique du conseil d administration du RTL, en ce jeudi 12 mars 2015.
MOT DE LA PRÉSIDENTE Séance du conseil d administration du RTL, le 12 mars 2015 Le texte lu fait foi. Bonjour et bienvenue à l assemblée publique du conseil d administration du RTL, en ce jeudi 12 mars
Plus en détailOn a changé de. de l Association des MBA du Québec RÈGLEMENTS DE SÉLECTION DES LAURÉATS ET D OCTROI DU PRIX. Édition 2015
On a changé de Programme de Bourse Émérite de l Association des MBA du Québec RÈGLEMENTS DE SÉLECTION DES LAURÉATS ET D OCTROI DU PRIX Édition 2015 Ces informations sont également disponibles sur le site
Plus en détailPROVOQUEZ DES ÉTINCELLES AIDEZ LES FILLES À ÊTRE AUDACIEUSES, FORTES, BRILLANTES ET LIBRES.
PROVOQUEZ DES ÉTINCELLES AIDEZ LES FILLES À ÊTRE AUDACIEUSES, FORTES, BRILLANTES ET LIBRES. La Fondation filles d action est un organisme sans but lucratif qui appuie les démarches des filles et des jeunes
Plus en détailIssoudun, Ensemble avec Fierté Bureau Municipal 314, rue Principale Tél. : 418-728-2006
Issoudun, Ensemble avec Fierté Bureau Municipal 314, rue Principale Tél. : 418-728-2006 Volume 8, Numéro 6 Mai 2015 PROGRAMME ALLOCATION-LOGEMENT Le gouvernement du Québec a instauré un nouveau programme
Plus en détailbaby-sitting le service
le service baby-sitting Destiné aux Saint-Bricien(nes), le service baby-sitting a été mis en place afin de mettre en contact parents et lycéen(ne)s / étudiant(e)s recherchant un job de baby-sitter. CLes
Plus en détailPasseport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi
Passeport pour ma réussite : Mentorat Vivez comme si vous mourrez demain. Apprenez comme si vous vivrez éternellement Gandhi Éléments principaux de Passeport pour ma réussite Passeport pour ma réussite
Plus en détailDiscours à la communauté d affaires française Montréal, 6 février 2014 Résidence du Consul général
Discours à la communauté d affaires française Montréal, 6 février 2014 Résidence du Consul général Version du 30-01 08h30 Monsieur l Ambassadeur, Monsieur le Consul général, Madame la Conseillère, Chers
Plus en détailÀ retenir... 1. Ce qu en disent les acteurs communautaires
1 Volet 4 : Ainé-e-s Table des matières À retenir... 1 Ce qu en disent les acteurs communautaires... 1 1. Un portrait des aîné e s du quartier... 2 1.1 Répartition des personnes âgées de 65 ans et plus...
Plus en détailMémoire de la Corporation de développement communautaire de Côte-des-Neiges portant sur le projet de Schéma d aménagement et de développement de l
Mémoire de la Corporation de développement communautaire de Côte-des-Neiges portant sur le projet de Schéma d aménagement et de développement de l agglomération de Montréal Novembre 2014 Mémoire sur le
Plus en détailAnnée 10. Numéro 36. Octobre 2014. Message du président
Année 10 Numéro 36 Octobre 2014 Message du président Fernand Gaudet, président La semaine de la coopération (3 e semaine d octobre) fut une belle occasion pour le mouvement coopératif de démontrer à l
Plus en détailRÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS. Faculté des lettres et sciences humaines
RÈGLEMENT FACULTAIRE SUR LA RECONNAISSANCE DES ACQUIS Faculté des lettres et sciences humaines PRÉAMBULE Ce règlement facultaire sur la reconnaissance des acquis s inscrit dans le cadre de la Politique
Plus en détailPOLITIQUE INTERCULTURELLE
POLITIQUE INTERCULTURELLE Adoptée à la 269 e réunion du conseil d administration du 21 septembre 2009 Politique interculturelle Préambule Le Collège de Maisonneuve évolue dans un contexte interculturel
Plus en détailInternet et bien d autres choses encore!
Informatique Internet et bien d autres choses encore! Programme des Ateliers Septembre 2014 à Mars 2015 ATELIERS D INITIATION Nouvelle formule Initiation à l ordinateur, à Internet et à la messagerie électronique
Plus en détailFaire parvenir les documents suivants à l agent de soutien du programme
Reconnaissances des acquis Crédits d équivalence et exemptions Prendre note : Il n y a aucun frais associés au processus d évaluation du dossier Tous les participants au programme doivent obtenir des crédits
Plus en détailOffrez un avenir international à vos enfants
E I B : UNE ECOLE INTERNATIONALE BILINGUE MATERNELLE PRIMAIRE u COLLÈGE Dans la lignée de l Ecole Internationale Bilingue d Angers, le Collège accueille vos enfants dès la 6ème dans un environnement sain
Plus en détailContact Personnel. Personal Contact. Chers partenaires,
Édition du printemps 2012 Bulletin d information pour les partenaires de La Personnelle Chers partenaires, Comme annoncé en novembre dernier, notre équipe de la commercialisation a travaillé, au cours
Plus en détailPRÉSENTATION DU PROGRAMME 2014
PRÉSENTATION DU PROGRAMME 2014 10 ANS DE CULTURE CÉLÉBRÉ AVEC LA NATURE! Grâce à votre fidèle participation et celle de plus de 100 institutions culturelles, le programme Cultivez le Jour de la Terre célébrera
Plus en détailARCHITECTURE ET DECORATION RAPPORT DE STAGE - CLASSE DE 3E DU 14 AU 18 DECEMBRE 2009 THOMAS MASSONNEAU
DU 14 AU 18 DECEMBRE 2009 THOMAS MASSONNEAU RAPPORT DE STAGE - CLASSE DE 3E ARCHITECTURE ET DECORATION Collège Sainte-Marie des Ursulines 34, avenue de la Colonne 31500 TOULOUSE Tél. 05 34 25 28 61 Fax.
Plus en détailTÂCHE 1 - INTERACTION FICHE Nº 1
TÂCHE 1 - INTERACTION FICHE Nº 1 Temps de préparation : 1 minute Intervention par couple : 4-5 minutes CANDIDAT A CADEAU D ANNIVERSAIRE Votre collègue et vous allez acheter un CADEAU D ANNIVERSAIRE pour
Plus en détailPROGRAMME. Les 28, 29 et 30 mars 2012. Hôtel PUR - Québec
PROGRAMME Les 28, 29 et 30 mars 2012 Hôtel PUR - Québec MOT DE BIENVENUE Chères collègues, Chers collègues, Les membres du conseil de la Commission professionnelle des technologies de l information sont
Plus en détailProcédures d admission par équivalence
Procédures d admission par équivalence Conformément à ses règlements et aux exigences prescrites par le Code des professions du Québec, l Ordre des conseillers et conseillères d orientation du Québec (OCCOQ)
Plus en détailVolume 1 Numéro 2 Février 2009
Volume 1 Numéro 2 Février 2009 Sommaire Lancement du concours Je prends ma place...1 Lancement du concours Je prends ma place Entrevue avec Annie Patenaude, lauréate 2008...2 En collaboration avec le Secrétariat
Plus en détailLA JEUNESSE. l es sen LA VILLE QUI NOUS RESSEMBLE, LA VILLE QUI NOUS RASSEMBLE
LA JEUNESSE l es sen tiel LA VILLE QUI NOUS RESSEMBLE, LA VILLE QUI NOUS RASSEMBLE sommaire LA JEUNESSE PAGES 4 À6 PAGES 7 À9 PAGE 10 PAGE 11 Le BIJ, lieu ressources Pour s informer et se documenter -
Plus en détailPrésentation du Programme Excellence CSJV Boursier
Présentation du Programme Excellence CSJV Boursier Collège St-Jean-Vianney 12630, boul. Gouin Est Montréal H1C 1B9 Tél. 514-648-3821 www.st-jean-vianney.qc.ca Mise en contexte Depuis plusieurs années,
Plus en détailRéalisez vos rêves de carrière
Réalisez vos rêves de carrière UN EMPLOYEUR DE CHOIX Premier employeur en TI au Canada, entreprise internationale en pleine croissance, CGI est constamment à la recherche de personnes compétentes, créatives
Plus en détailLE COMPLICE BULLETIN DE LIAISON L AUTRE AVENUE, ORGANISME DE JUSTICE ALTERNATIVE. Johanne Gagnon pour l équipe de L Autre Avenue.
BULLETIN DE LIAISON L AUTRE AVENUE, ORGANISME DE JUSTICE ALTERNATIVE Décembre 2012 Dans ce numéro Nos vœux de Noël 1 Des nouvelles... de 2 nous Fermeture des 2 bureaux pendant le temps des Fêtes Le déploiement
Plus en détailNos clients une réussite!
BULLETIN SARCA Commission scolaire des Premières-Seigneuries Volume 4, n o 3 Juin 2014 CONTENU Au babillard... 1 Nos clients une réussite!... 1 Retourner en classe Moi?.. 2 Démystifier la formation professionnelle...
Plus en détailIntroduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles
Introduction à l évaluation des besoins en compétences essentielles Cet outil offre aux conseillers en orientation professionnelle : un processus étape par étape pour réaliser une évaluation informelle
Plus en détail#JEF2014. 03 au 28 novembre 2014. Journees De L ENTREPRENEURIAT. www. journees-entrepreneuriat-feminin.com
#JEF2014 03 au 28 novembre 2014 2014 Journees De L ENTREPRENEURIAT Feminin 4 ème Edition www. journees-entrepreneuriat-feminin.com COMMUNIQUé de presse Journées de l Entrepreneuriat Féminin 2014-4ème édition
Plus en détailLA CAISSE DESJARDINS DE QUÉBEC
GUIDE À L USAGE DE L EMPLOYEUR LA CAISSE DESJARDINS DE QUÉBEC un partenaire incontournable dans l intégration réussie de votre main-d œuvre immigrante Visitez-nous au desjardins.com/caissedequebec Être
Plus en détailProfil statistique drummondvillois ----- démographie et économie
-- Profil statistique drummondvillois ----- démographie et économie 0 Le contenu de ce rapport a été rédigé et produit pour une utilisation par tous les services municipaux. Le Commissariat au commerce
Plus en détailENTRE-NOUS Janvier 2015 École des Sept-sommets Rossland, C.-B.
ENTRE-NOUS Janvier 2015 École des Sept-sommets Rossland, C.-B. Dates importantes 13 janvier: Réunion de l APÉ (19h, bibliothèque de l école) 14, 21, 28 janvier: Dîners chauds 14, 28 janvier: Bouts de choux
Plus en détailPROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET
PROJET EDUCATIF 1/ INTRODUCTION AU PROJET EDUCATIF : BUT, PUBLIC VISE ET DUREE DU PROJET 2/LES INTENTIONS EDUCATIVES 3/ LES VALEURS PRINCIPALES 4/ LES ACTEURS EDUCATIFS, LEUR CHAMPS D INTERVENTION ET LES
Plus en détailTrousse de commandite
Trousse de commandite The John Molson MBA International Case Competition, established in 1981, is the world s first, largest and most recognized MBA Case Competition. 5-10 Janvier 2014 Faites partie de
Plus en détailCandidature des participants. PEJ-France Caen
Candidature des participants PEJ-France Caen Du 29 mai au 8 juin 2014 2 Le mot du président Malo MOFAKHAMI Président du PEJ-France Chers participants, En 2014, le Parlement Européen des Jeunes - France
Plus en détailLES ATELIERS LES RESSOURCES LES PROJETS
13-25 ans Pôle Ressources Jeunesse PROGRAMMATION JANVIER - SEPTEMBRE 2013 LES ATELIERS LES RESSOURCES LES PROJETS www.ville-roubaix.fr Fiche D ADHéSION SAISON 2012 /2013 RENSEIGNEMENTS PERSONNELS : NOM
Plus en détailLundi. Mardi Mercredi. Jeudi. Vendredi. LeS nouveaux rythmes à l école primaire. Exemples d emplois du temps
Lundi Mardi Mercredi Jeudi Vendredi LeS nouveaux rythmes à l école primaire Exemples d emplois du temps Mars 2014 n exemple d organisation des temps scolaire et périscolaire Commune de 21 000 habitants
Plus en détailPolitique de la famille et des aînés pour être Austinois à tout âge Questionnaire d évaluation des besoins
Politique de la famille et des aînés pour être Austinois à tout âge Questionnaire d évaluation des besoins Dans la foulée de la planification stratégique, la municipalité a entrepris de se doter d une
Plus en détailGUIDE D ACCUEIL DESTINE AUX ETUDIANTS ETRANGERS ACCUEILLIS EN PROGRAMME D ECHANGE ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013
GUIDE D ACCUEIL DESTINE AUX ETUDIANTS ETRANGERS ACCUEILLIS EN PROGRAMME D ECHANGE ANNEE UNIVERSITAIRE 2012-2013 LOGEMENT Une fois accepté en échange par notre université pour venir étudier dans le cadre
Plus en détailPROFIL STATISTIQUE DRUMMONDVILLOIS DÉMOGRAPHIE ET ÉCONOMIE DRUMMONDVILLE
DRUMMONDVILLE Le contenu de ce rapport a été rédigé et produit pour une utilisation par tous les services municipaux. Le Commissariat au commerce a colligé les données relatives au développement économique
Plus en détailUNE ÉTAPE À LA FOIS GUIDE D AHÉSION
Votre rôle Votre bien-être Notre Société Votre croissance Votre acquis UNE ÉTAPE À LA FOIS GUIDE D AHÉSION épargne CT CTYourWealth.ca/Savings GUIDE D ADHÉSION UNE ÉTAPE À LA FOIS En tant qu employés de
Plus en détailCoup d œil sur les inégalités de revenus au
Coup d œil sur les inégalités de revenus au Québec L expression «nous les 99 %», qui avait servi de cri de ralliement des mouvements Occupy, résume les préoccupations que soulève la tendance mondiale à
Plus en détailACCRÉDITATION DES CENTRES PRIVÉS ET DES PROGRAMMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN HAÏTI. Formulaire de demande d une autorisation de fonctionnement
ACCRÉDITATION DES CENTRES PRIVÉS ET DES PROGRAMMES DE FORMATION PROFESSIONNELLE EN HAÏTI Formulaire de demande d une autorisation de fonctionnement Juin 2011 Projet d accompagnement de l INFP dans la révision,
Plus en détailédito sommaire Le Conseil des étrangers Edito 1 Accès aux droits 2 Apprendre le français 5 Accès aux soins 6 Citoyenneté 9
avec le soutien de édito sommaire Edito 1 Accès aux droits 2 Apprendre le français 5 Accès aux soins 6 Citoyenneté 9 N Retrouvez au dos les lieux sur le plan Notre ville est riche de sa diversité, qui
Plus en détail1- Présentation de la structure
1- Présentation de la structure Cadre L école Paul Langevin se situe sur la commune de Pontivy, les locaux des classes de maternelle et d élémentaire se rejoignent par la cantine. L école maternelle compte
Plus en détailPIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS
2012 Indice BDC de la nouvelle activité entrepreneuriale PIERRE MARTELL PRéSIDENT MARTELL HOME BUILDERS Résumé --------------------------------------------------------------------------------------------------
Plus en détailSAINT JULIEN EN GENEVOIS
SAINT JULIEN EN GENEVOIS PROJET EDUCATIF ENFANCE-JEUNESSE Préambule Le service enfant jeunesse a une mission éducative et de prévention sociale auprès des enfants et des jeunes. (3-18 et jeunes adultes).
Plus en détailDemande de permis Candidats du cheminement CPA, CA
5, Place Ville Marie, bureau 800, Montréal (Québec) H3B 2G2 T. 514 288.3256 1 800 363.4688 www.cpaquebec.ca Demande de permis Candidats du cheminement CPA, CA N.B. Il est inutile de présenter une demande
Plus en détailRapport de fin de séjour à Bruxelles
Rapport de fin de séjour à Bruxelles Introduction Durant l année de mon master 2 Histoire-Histoire de l art à l Université Pierre Mendes France de Grenoble je devais réaliser un stage de 2 mois minimum.
Plus en détailI N F O I N F O C D C. Votre CDC en action. Sommaire
Co rpo rati on d e d év el opp emen t c o mmun autai re R o n d P oi nt I N F O C D C I N F O Bulletin mensuel de la CDC Rond Point Novembr e 2013, volum e 15 Sommaire Formations à venir Invitation à la
Plus en détailEn 6 Choisis ton thème
E. S. P. C. ST-JOSEPH Collèges - L.E.G.T.P. Lycée Professionnel - Enseignement Supérieur IFCA En 6 Choisis ton thème Choisis ton thème Choisis ton thème 23, avenue Georges Pompidou 24000 PERIGUEUX Tél
Plus en détailNouveauté - Nouvelles modalités d inscription
Nouveauté - Nouvelles modalités d inscription A compter de la rentrée 2015, la commune a décidé de se doter d un nouveau système de réservation par Internet. Conformément au règlement, chaque famille qui
Plus en détailPour réduire sa consommation Ouvrons le dialogue
Alcool Pour réduire sa consommation Ouvrons le dialogue Pour réduire sa consommation Alcool Vous envisagez de réduire votre consommation de boissons alcoolisées, mais vous vous posez des questions : vous
Plus en détailL'EXERCICE DU LEADERSHIP
L'EXERCICE DU LEADERSHIP Enjeu 9 Édition Chargée de projet : Line Blackburn Rédaction : Line Blackburn et Stéphanie Bonaventure Édition : Guylaine Boucher Mise en page : Patricia Gaury Révision linguistique
Plus en détailPROCÈS-VERBAL DE LA RÉUNION DU CONSEIL D ÉCOLE DU 11 JANVIER, 2011
PROCÈS-VERBAL DE LA RÉUNION DU CONSEIL D ÉCOLE DU 11 JANVIER, 2011 PRÉSENCES : Michelle Baril Maggie Cournoyer Steve Daigle Carmen Hunting Mélanie Lambert Geneviève Lehoux Lisa Magera Danielle Tardif-Cyr
Plus en détailSEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION...
P9703-F1/2 291 SEQUENCE 06 THEME 1 : LES REPONSES DU DROIT DU TRAVAIL AU PROBLEME DE L EMPLOI... 292 I. EMPLOI : PERCEPTION DE LA SITUATION... 292 II. L URGENCE : LEGIFERER PAR ORDONNANCES... 295 III.
Plus en détailCours d été des établissements privés de la région de Québec. Document d information et formulaire d inscription aux parents
Été 2015 Été 2015 Cours d été des établissements privés de la région de Québec Document d information et formulaire d inscription aux parents Cours d été des établissements privés de la région de Québec
Plus en détailL art de la reconnaissance en gestion
L art de la reconnaissance en gestion Sophie Tremblay Coach & Stratège Dans votre parcours professionnel, quelle est la personne qui vous a offert la reconnaissance qui vous a le plus marqué? Quelles sont
Plus en détailLe Programme virtuel MentorVirtuel contribue à créer de précieux liens!
Le Programme virtuel MentorVirtuel contribue à créer de précieux liens! Daniel est un étudiant de quatrième année en génie minier à l Université de la Colombie-Britannique. Il aimerait travailler pour
Plus en détailDevenir un gestionnaire de personnes
Devenir un gestionnaire de personnes SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Déterminer vos besoins Trouver les bonnes personnes Conserver les bons employés SÉRIE PARTENAIRES EN AFFAIRES Le passage de personne d
Plus en détailen Bref Pédibus : Aller Pédibus c est : Pédibus en toute assurance :
en Bref Une nouvelle façon d aller à l école : un ramassage organisé, à pied, d une caravane d enfants : C'est un groupe d'écoliers conduit à pied par des adultes (souvent des parents) bénévoles, qui suit
Plus en détailMa vie Mon plan. Cette brochure appartient à :
Ma vie Mon plan Cette brochure est pour les adolescents(es). Elle t aidera à penser à la façon dont tes décisions actuelles peuvent t aider à mener une vie saine et heureuse, aujourd hui et demain. Cette
Plus en détailRapport de fin de séjour Mobilité en formation :
Rapport de fin de séjour Mobilité en formation : A. Vie pratique : J ai effectué mon Master 1 de droit public en Erasmus à Copenhague d août 2009 à fin mai 2010. Logement : Accès au logement : J ai pu
Plus en détailLocation de tracteur avec chargeur :
HORAIRE ESTIVAL BIBLIOTHÈQUE Lundi soir de 18h30 à 20h00 Prochaine séance du conseil 8 septembre 2015 Dernière séance du Conseil À la dernière séance du conseil municipal, tenue le 11 août 2015, le conseil
Plus en détailLes instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions
Chapitre 9 Les instruments d une bonne gestion financière: budget et prévisions Savoir utiliser son argent est un art et un art qui paie. Comme toutes les ressources, l argent peut être utilisé à bon ou
Plus en détailATTENTION LA RESERVATION EST INDISPENSABLE POUR TOUTE PERIODE
ACCUEILS DE LOISIRS DE LA MJC INTERCOMMUNALE D AY : «Notice d utilisation» Chers parents, Ce courrier a pour but de vous donner les informations principales concernant les Accueils Collectifs de Mineurs
Plus en détailUne grande équipe. Le conseil d administration. Un travail précieux et sérieux. Le personnel. Les 3 axes d intervention. Rapport annuel 2008-2009
Rapport annuel 2008-2009 2009 Une grande équipe Le personnel : www.servicesjuridiques.org Présenté le 2 juin 2009 Le Conseil d administration - 10 citoyen(ne)s - 2 groupes communautaires - 1 représentante
Plus en détailDémarche & ses étapes (information) III. Présentation des orientations et des actions du schéma de développement culturel d Alsace Bossue 2014-2016
SCHÉMA DE DÉVELOPPEMENT CULTUREL D ALSACE BOSSUE 2014-2016 RESTITUTION AUX ACTEURS MARDI 26 NOVEMBRE 2013 à LORENTZEN DÉROULÉ DE LA SOIRÉE I. Introduction II. Démarche & ses étapes (information) III. Présentation
Plus en détailVos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents?
> pour un meilleur rendement des organisations et des personnes Vos stratégies d attraction et de rétention vous permettent-elles d attirer et de fidéliser les meilleurs talents? L optimisation du capital
Plus en détailREGLEMENT INTERIEUR ESPACE JEUNES DIVONNE-LES-BAINS
Avenue des Thermes - BP 71 01220 Divonne-les-Bains Tel/Fax : 04 50 20 29 15 Courriel : divonne.espacejeunes@alfa3a.org REGLEMENT INTERIEUR ESPACE JEUNES DIVONNE-LES-BAINS A compter du 1 er septembre 2014
Plus en détailAppel de mises en candidature et d inscriptions
www.csae.com Prix Leadership 2013 Appel de mises en candidature et d inscriptions Prix Pinnacle Prix Griner Prix de membre honoraire à vie Prix Donna Mary Shaw Prix «Les associations, sources d un Canada
Plus en détailSurvie de fin de session
Services-conseils il Survie de fin de session Conceptrice : France Landry, PhD Conseillère au soutien à l'apprentissage Adaptation : Annélie Anestin Psy.D, Sara Savoie, orthopédagogue & Cynthia Guillemette,
Plus en détailFondation JAE Une expertise reconnue
Fondation JAE Une expertise reconnue Créée à Lyon en 1991, la fondation JAE est devenue en 15 ans un éditeur et concepteur d outils reconnu par l ensemble des professionnels de l orientation, de la formation
Plus en détailL e m o t d u p r é s i d e n t
Hi ver 2015 L e m o t d u p r é s i d e n t Au nom de mes collègues du Conseil d administration de l ACGL, je vous souhaite une belle et heureuse année 2015. C est avec enthousiasme que notre association
Plus en détailmain-d oeuvr mploi Profil économique opulation active construction résidentielle logement
Profil économique VILLE DE MONTRÉAL Arrondissement de Rivière-des-Prairies Pointe-aux-Trembles chômage mploi logement établissements d affaires localisation de l emploi revenus d emploi professions main-d
Plus en détailLes ordinateurs pour apprendre à lire et écrire à l âge adulte : L opinion de ceux qui apprennent à lire et écrire en Ontario
Les ordinateurs pour apprendre à lire et écrire à l âge adulte : L opinion de ceux qui apprennent à lire et écrire en Ontario Par Jean Lock Kunz et Spyridoula Tsoukalas Conseil canadien de développement
Plus en détailRejoignez-nous, trouvez la bonne formule, abonnez-vous! dès le jeudi 3 juin
Rejoignez-nous, trouvez la bonne formule, abonnez-vous! dès le jeudi 3 juin PAGES PRATIQUES BULLETINS D INSCRIPTION DES THÉÂTRES DU GYMNASE ET DU JEU DE PAUME Abonnement Acte individuel/groupe/jeune (3
Plus en détailplanifier organiser gerer votre Festival du Livre
Listes A faire pratiques qui vous aideront A : planifier organiser gerer votre Festival du Livre ET AVOIR beaucoup de succes! soutien outils Visibilité Activités recrutement Buts Liste à faire 2 Liste
Plus en détailLes stratégies. et les étapes de développement d entreprises. Une stratégie... COMPLICES POUR RÉUSSIR L ENTREPRISE
APPRENDRE COMPRENDRE ENTREPRENDRE Le processus 2 de développement d entreprise Les stratégies M O D U L E 5 et les étapes de développement d entreprises Un processus complexe, un plan à suivre Les listes
Plus en détailAllocution. de monsieur Louis Vachon. président et chef de la direction. de la Banque Nationale du Canada. Centre Mont-Royal
Allocution de monsieur Louis Vachon président et chef de la direction de la Banque Nationale du Canada Centre Mont-Royal Montréal, le 29 février 2008 (Seul le texte prononcé fait foi) Mesdames et messieurs,
Plus en détailL équipe d ISF Qu est-ce qui nous rend uniques?
Gestionnaire de l implication et du recrutement de talent pour le portefeuille africain : Nous cherchons un leader stratégique, passionné par la découverte et le développement d individus talentueux et
Plus en détailMigration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas
Migration: un plus pour la Suisse Relations entre État social et migration: la position de Caritas Prise de position de Caritas_mars 2011 Migration: un plus pour la Suisse En bref: Quel est l effet de
Plus en détailREGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA
REGARDS SUR L ÉDUCATION 2013 : POINTS SAILLANTS POUR LE CANADA Regards sur l éducation est un rapport annuel publié par l Organisation de coopération et de développement économiques (OCDE) et portant sur
Plus en détailPROJET D ETABLISSEMENT
PROJET D ETABLISSEMENT «Amener chacun à une autonomie responsable» INTRODUCTION Dans l esprit du Projet Educatif défini par le Pouvoir Organisateur du Collège Notre-Dame et dans la volonté de respecter
Plus en détail