Traduction microscopique des lésions élémentaires primaires vues en sémiologie dermatologique
|
|
- Edgar Lebel
- il y a 7 ans
- Total affichages :
Transcription
1 UE Revêtement Cutané (2015) Traduction microscopique des lésions élémentaires primaires vues en sémiologie dermatologique Pr. Béatrice Vergier (service de pathologie, CHU Bordeaux)
2 Différents types de prélèvements cutanés état frais ou fixé (formol)? Biopsie cutanée Pièce opératoire
3 Sémiologie d anatomie pathologie cut : quelques images pour comprendre les images et lames d histopathologie Plasmocytes: noyau d un côté et grand cytoplasme éosinophile Lymphocyte petit noyau très foncé bleu cytoplasme non visible Histiocyte/macrophage Ici cellule géante plurinucléée
4 Sémiologie d anatomie pathologie cut : quelques images pour comprendre les images et lames d histopathologie lymphocyte Polynucléaire neutrophile noyau bilobée (plus petit que lymphocyte Polynucléaire éosinophile Ressemble PNN Mais cytoplasme éosinophile
5 Sémio anapath : modifications de la couche cornée Couche cornée orthokératosique = hyperkératose mais maturation normale («ortho») donc pas de noyau Parakératosique = hyperkératose mais maturation anormale («para») Présence de noyaux
6 Sémiologie anapath des modifications de l épiderme La Spongiose = œdème dans l épiderme Csq : on voit bien les ponts d union (desmosomes) entre les kératinocytes Si important => vésicule
7 Sémiologie anapath des modifications de l épiderme Hyperplasie psoriasiforme de l épiderme Crêtes épidermiques allongées de façon très régulière avec amincissement de l épiderme en regard des papilles dermiques
8 Sémiologie anapath des modifications de l épiderme Atteinte lichénoïde (ou lésions de l interface entre l épiderme et le derme): altérations des cellules basales (ici vacuolisations) L épiderme devient rectiligne (perte des crêtes épidermiques) du fait de l altérations de cellules basales Normal : crêtes épidermiques
9 Sémiologie anapath des modifications de l épiderme images de nécrose kératinocytaire Se voit dans les toxidermies
10 Lésions élémentaires primaires cutanées Modifications de la couleur de la peau Érythème Télangiectasies Purpura Dyschromies Lésions à contenu liquidien Lésions modifiant le relief de la peau
11 LE modifiant la couleur de la peau érythème Erythème : Rougeur de la peau qui s efface à la pression, localisée ou diffuse, permanent ou paroxystique
12 LE modifiant la couleur de la peau érythème Erythème diffus : morbilliforme / scarlatiniforme etc : diagnostic purement clinique => pas de rôle de l examen anatomopathologique Biopsie peu spécifique : vaisseaux dilatés, infiltrat inflammatoire
13 LE modifiant la couleur de la peau Erythème figuré : examen anatomopathologique peut être utile Exemple : petite fille Lésions arrondies, érythémateuses d évolution centrifuge
14 LE modifiant la couleur de la peau Erythrodermie : érythème généralisé sans réserve de peau saine : grave => rôle important de l examen anatomopathologique
15 LE modifiant la couleur de la peau Erythrodermie : érythème généralisé sans réserve de peau saine : grave => rôle important de l examen anatomopathologique Principales étiologies - Psoriasis - Eczéma - Toxidermies - Lymphomes T (Mycosis Fongoide, Sézary) Causes plus rares 19% Idiopathique 57% dont eczéma 22% et psoriasis 48% 15% 5%
16 LE modifiant la couleur de la peau Erythrodermie : biopsies cutanées multiples (punch) fixées en formol (histo standard + immunohistochimie) et congelées (biologie moléculaire) psoriasis 48% et eczéma 22% des érythrodermies Psoriasis Eczéma
17 LE modifiant la couleur de la peau Erythrodermie : rôle +++ du pathologiste => diagnostic de lymphome T (mycosis fongoïde ou syndrome de sézary) = 5% des érythrodermies
18 Pan T = CD3 Étude moléculaire : Clone T identique sur plusieurs biopsies cutanées T helper = CD4
19 LE modifiant la couleur de la peau télangiectasies Télangiectasies : Visibilité anormale à l œil nu des vaisseaux sanguins au niveau de la peau Effacement à la pression Biopsie peu spécifique dans ces cas : vaisseaux dilatés
20 LE modifiant la couleur de la peau télangiectasies Biopsie peut être utile dans ce type de cas Télangiectasies : Visibilité anormale à l œil nu des vaisseaux sanguins au niveau de la peau Effacement à la pression (vx se vide à la vitropression) Angiome (Hamartome) S efface peu à la vitropression Mettre histo : angiomes
21 LE modifiant la couleur de la peau purpura Purpura : extravasation de sang dans la peau : hémorragie intra-cutanée ne s efface pas à la pression Biopsie utile +++ dans ce type de cas P. Hématologique (non inflammatoire : sang dans la peau ex : thrombopénies, thrombus intracapillaire, fragilité capillaire etc ) P. Vasculaire (inflammatoire : atteinte des parois vasculaires)
22 LE modifiant la couleur de la peau purpura vasculaire Purpura vasculaire (inflammatoire) : Dépôts d immun complexes circulants au niveau des parois des vaisseaux dermiques Réaction inflammatoire +++ : Afflux de Polynucléaires Neutrophiles leucocytoclasiques et nécrose fibrinoïde de la paroi des vaisseaux Causes infectieuses ou immunologiques Aspect clinique évocateur mais biopsie utile pour : - Confirmer le diagnostic de vascularite - Orienter le diagnostic étiologique et la conduite thérapeutique
23 Purpura vasculaire : démarche diagnostique anatomopathologique Diagnostic positif : confirmer la vascularite Infiltration de la paroi du vaisseau +/- leucocytoclasie +/- nécrose fibrinoïde Orienter le diagnostic étiologique
24 Purpura vasculaire : démarche diagnostique anatomopathologique Diagnostic positif : confirmer la vascularite Infiltration de la paroi du vaisseau +/- leucocytoclasie +/- nécrose fibrinoïde Orienter le diagnostic étiologique
25 Purpura vasculaire : démarche diagnostique anatomopathologique Diagnostic positif : confirmer la vascularite Infiltration de la paroi du vaisseau +/- leucocytoclasie +/- nécrose fibrinoïde Orienter le diagnostic étiologique
26 Purpura vasculaire : démarche diagnostique anatomopathologique Diagnostic positif : confirmer la vascularite Orienter le diagnostic étiologique Type d infiltrat? Nécrose fibrinoïde? Nature, calibre, localisation des vaisseaux atteints?
27 Purpura vasculaire : démarche diagnostique anatomopathologique Diagnostic positif : confirmer la vascularite Orienter le diagnostic étiologique Type d infiltrat? Nécrose fibrinoïde? Nature, calibre, localisation des vaisseaux atteints?
28 Orientation étiologique : exemple de la vascularite leucocytoclasique Vx superficiels petit Ø - Vascularite allergique - Vx petit ou moyen Ø à paroi musculaire (arcade profonde) - Périartérite Noueuse (PAN)
29 Lésions élémentaires primaires cutanées Modifications de la couleur de la peau Érythème Télangiectasies Purpura Dyschromies Lésions à contenu liquidien Lésions modifiant le relief de la peau
30 LE modifiant la couleur de la peau Dyschromies Hyperpigmentation Hypopigmentation
31 LE modifiant la couleur de la peau Dyschromies / Hyperpigmentations Nature du pigment? Mélanique ou non mélanique? Non mélanique Pigmentation par les sels d argent teinte grisâtre Argyrie (ex:collutoires) Tatouage
32 LE modifiant la couleur de la peau Dyschromies / Hyperpigmentations Nature du pigment? Mélanique ou non mélanique? Dermite ocre = 2 stase veineuse Non mélanique : ferrique +++ PERLS
33 LE modifiant la couleur de la peau Dyschromies / Hyperpigmentations Nature du pigment = Mélanique Du à une augmentation des mélanocytes ou uniquement à la présence de pigment mélanique? Naevus jonctionnel (tumeur mélanique bénigne)
34 LE modifiant la couleur de la peau Dyschromies / Hyperpigmentations Nature du pigment = Mélanique Du ou non à une augmentation des mélanocytes? Naevus (tumeur mélanique bénigne)
35 NON pas toujours! Ici tumeur bénigne «kératose séborhéique» avec pigment mélanique mais sans prolifération de mélanocytes LE modifiant la couleur de la peau Dyschromies / Hyperpigmentations Nature du pigment? : Mélanique Augmentation des mélanocytes?
36 LE modifiant la couleur de la peau Dyschromies / Hyperpigmentations Nature du pigment? : Mélanique oui mais. augmentation des mélanocytes? A103-melanA
37 LE modifiant la couleur de la peau Dyschromies / Hyperpigmentations Nature du pigment = Mélanique oui mais la pigmentation clinique peut être due à une incontinence pigmentaire Mécanisme des pigmentations post-inflammatoires? Agression des assises cellulaires basales (cell basales et mélanocytes) par les lymphocytes Vacuolisation et nécrose Lichen Plan Incontinence pigment dans le derme
38 LE modifiant la couleur de la peau Hyperpigmentations Nature du pigment? Non mélanique - sang (hématome) - fer - tatouage - sels d argent - etc Mélanique Augmentation de la quantité de pigment mélanique mais sans augmentation du nbre de mélanocytes -dans l épiderme (kératinocytes) (ex : kératose séborrhéique) -dans de derme (ex: pigmentations postinflammatoires) OU Augmentation du nombre de mélanocytes Tumeurs mélaniques bénignes (naevus) et malignes (mélanomes)
39 LE modifiant la couleur de la peau Dyschromies / Hypopigmentations Vitiligo Mécanisme de l hypopigmentation du vitiligo? Puis diminution du nombre de mélanocytes
40 LE modifiant la couleur de la peau Dyschromies / Hypopigmentations Certains naevus ont halo de dépigmentation autour
41 LE modifiant la couleur de la peau Dyschromies / Hypopigmentations Pityriasis versicolor
42 Lésions élémentaires primaires cutanées Modifications de la couleur de la peau Érythème Télangiectasies Purpura Dyschromies Lésions à contenu liquidien vésicules bulles pustules Lésions modifiant le relief de la peau
43 LE à contenu liquidien vésicules VESICULE : soulèvement épidermique contenant un liquide clair (1 à 3 mm)
44 LE à contenu liquidien vésicules : mécanismes / causes Virus Varicelle, Zona, Herpès Autres causes eczéma atopique eczéma dyshydrosique
45 LE à contenu liquidien vésicules : cause virale Vésicules et Virus -Varicelle, Zona, Herpès -lésions cellulaires directes -détournement de la machinerie de la cellule hôte
46 LE à contenu liquidien vésicules : eczéma Vésicules et eczéma - eczéma «atopique» - eczéma de contact - eczéma dyshydrosique : vésicules paumes et plantes mécanisme
47 LE à contenu liquidien vésicules de l eczéma : mécanisme Eczéma : N. m. Du grec ekzein, bouillonner, bouillant - eczéma «atopique» - eczéma de «contact» - eczéma dyshydrosique : vésicules paumes et plantes etc Nombreuses causes mais dans eczéma de contact = réaction d hypersensibilité retardée à médiation cellulaire 1 phase : sensibilisation => Allergène pris en charge par cellules de Langerhans => Migration vers zone paracorticale gg lymphatiques => Activation lymphocytes T naifs en lymphocytes T mémoire 2 Phase : déclenchement => Allergène (re)présenté par cellules de Langerhans est reconnu par lymphocytes T mémoire =>Lymphocytes T secrétent cytokines pro-inflammatoires =>eczéma
48 Histologie de l eczéma (aigü)
49 LE à contenu liquidien vésicules : attention autres causes Gale
50 Lésions élémentaires primaires cutanées Modifications de la couleur de la peau Lésions à contenu liquidien vésicules bulles pustules Lésions modifiant le relief de la peau
51 LE à contenu liquidien Bulles BULLE : soulèvement épidermique contenant un liquide clair (> 3 mm, souvent > 1 cm) (coalescence de vésicules) 2 types de décollement Intra-épidermique Sous-épidermique
52 LE à contenu liquidien Bulles 2 types de décollement Intra-épidermique - superficiel sous-corné (1) - profond: corps muqueux (2) - supra-basal (3) Sous-épidermique Jonction entre épiderme et derme (5)
53 LE à contenu liquidien Bulles : étiologies Nombreuses causes : Traumatique (exemple brulure) Infectieuse (ex bactérienne: staphylocoque) Toxique : intolérance médicamenteuse Anomalies génétiques Maladies auto-immunes
54 Bulles : cause infectieuse (choc staphylococique) staphylocoque Nécrose partielle épiderme => décollements localisés ou disséminés
55 Bulles : causes toxiques Syndrome de Lyell Grave +++ : bulles hémorragiques de la muqueuse bucale Bulles en «cocarde»: érythème polymorphe mécanisme immunologique - Intolérance médicamenteuse - infections
56 Bulles : causes toxiques Nécrose des kératinocytes et décollement bulleux
57 Bulles : anomalies génétiques = épidermolyses bulleuses (fragilité anormale de la peau) Le plus souvent fragilité au niveau de la jonction entre épiderme et derme
58 Bulles : maladies auto-immunes 2 types de décollement Intra-épidermique - superficiel sous-corné (1) - profond: corps muqueux (2) - supra-basal (3) Sous-épidermique Jonction entre épiderme et derme (5) A RAJOUTER : façon de faire les biopsies pour IF
59 Bulles : maladies auto-immunes le pemphigus Pemphigus vulgaire
60 Bulles : maladies auto-immunes le pemphigus
61 Bulles : maladies auto-immunes le pemphigus Examen en Immunofluorescence : dépôts d IgG en «mailles» entre les kératinocytes Anticorps IgG dirigé contre desmogléine (située au niveau des desmosomes)
62 Bulles : maladies auto-immunes pemphigoïde bulleuse
63
64 Pemphigoïde Bulleuse Dépôts IgG et C3 le long de la membrane basale
65 Lésions élémentaires primaires cutanées Modifications de la couleur de la peau Lésions à contenu liquidien vésicules bulles pustules Lésions modifiant le relief de la peau
66 LE à contenu liquidien pustules PUSTULES Soulèvement épidermique contenant un liquide trouble (quelque soit la taille)
67 LE à contenu liquidien pustules : situation? PUSTULES au niveau des follicules pileux ou non Acné juvénile
68 LE à contenu liquidien pustules microbiennes ou non? PUSTULES non folliculaires : ex le psoriasis pustuleux = pustules amicrobiennes sur un fond érythémateux
69 Lésions élémentaires primaires cutanées Modifications de la couleur de la peau Lésions à contenu liquidien vésicules bulles pustules Lésions modifiant le relief de la peau
DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES
DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies
Plus en détailUnité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané
Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.
Plus en détailMoyens d étude de la peau
Moyens d étude de la peau Dr. Yannick Le Corre yalecorre@chu-angers.fr Service de Dermatologie Vénéréologie Pr. L. Martin 2011-2012 CHU Angers UE Revêtement cutané Dermoscopie ou Dermatoscopie Examen de
Plus en détailMécanisme des réactions inflammatoires
01/04/2014 THOMASSIN Guillaume L2 Revêtement Cutané Dr. Sophie Deplat-Jégo Relecteur 4 8 pages Revêtement cutané Mécanisme des réactions inflammatoires cutanés Mécanisme des réactions inflammatoires Plan
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailLe psoriasis (123) Professeur Jean-Claude BEANI Octobre 2003
Le psoriasis (123) Professeur Jean-Claude BEANI Octobre 2003 Pré-requis : QCM (bonne réponse) Le psoriasis est : A - une dermatose érythémato-squameuse B - Fréquente C - Pouvant être traité par les bêta-bloquants
Plus en détailLe psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se
Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées
Plus en détailItem 288 : Troubles des phanères : Onyxis
Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification
Plus en détailActualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris
Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Des journées scientifiques pour accompagner l arrivée des nouvelles molécules qui vont modifier
Plus en détailEpaisseur cutanée. Et selon le sexe : femme < homme
Plan Épaisseur cutanée Absorption transcutanée Protection contre la pénétration d allergènes Protection contre la pénétration d agents infectieux JPSA Thermorégulation Nettoyage de la peau Hydratation
Plus en détailUNIVERSITE PARIS VAL-DE-MARNE FACULTE DE MEDECINE DE CRETEIL ANNEE 2009 N THESE POUR LE DIPLOME D ETAT DOCTEUR EN MEDECINE. Discipline : Dermatologie
UNIVERSITE PARIS VAL-DE-MARNE FACULTE DE MEDECINE DE CRETEIL ANNEE 2009 N THESE POUR LE DIPLOME D ETAT DE DOCTEUR EN MEDECINE Discipline : Dermatologie Présentée et soutenue publiquement le 23 septembre
Plus en détailTumeurs cutanées épithéliales et mélaniques
Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.
Plus en détailModule transdisciplinaire 8 : Immunopathologie. Réactions inflammatoires
Enseignement National Classant Module transdisciplinaire 8 : Immunopathologie. Réactions inflammatoires Psoriasis J.-J. GUILHOU (Montpellier), L. DUBERTRET (Paris, St Louis), B. CRICKX (Paris, Bichat),
Plus en détailLe vitiligo touche 1 personne sur 50 à 100 de la population mondiale avec 10 à 30 % de formes familiales. Ce n est donc pas une maladie rare.
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le vitiligo. Elle
Plus en détailLES DERMATOSES LINÉAIRES
L. THIRION (1), A. F. NIKKELS (2, 3), G.E. PIÉRARD (4) RÉSUMÉ : En sémiologie dermatologique, le type de groupement des lésions élémentaires cutanées peut fournir une aide précieuse à l établissement du
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailEPU95 Montmorency Médecine Interne Mise à jour du 13 Mai 2007*
EPU95 Montmorency Médecine Interne Mise à jour du 13 Mai 2007* PSORIASIS Dr M. Sigal Chef de service de Dermatologie (Hôpital d'argenteuil) Séance du 8 juin 2000 1. INTRODUCTION 1.1. La physiopathologie
Plus en détailCANCERS DE LA PEAU. Les cancers de la peau se divisent en deux catégories principales : les mélanomes malins et les non mélanomes.
CANCERS DE LA PEAU Définition Les cancers de la peau se divisent en deux catégories principales : les mélanomes malins et les non mélanomes. Les mélanomes Ces tumeurs se développent dans les mélanocytes,
Plus en détailLES LASERS EN DERMATOLOGIE
1 LES LASERS EN DERMATOLOGIE Dr Hervé VAN LANDUYT Dermatologue - Attaché au CHU St Jacques Adresse personnelle : 36 grande rue - 25000 Besançon Si la conception physique du laser est ancienne (Einstein),
Plus en détailLES ONYCHOPATHIES. Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE
LES ONYCHOPATHIES Mohamed Denguezli Service de Dermatologie C.H.U SOUSSE Ä Examen clinique des ongles : DIAGNOSTIC POSITIF Ä analyse par le dermatologue des lésions élémentaires unguéales ; Ä iconographie
Plus en détailLa plateforme laser intelligente pour le traitement des lésions cutanées et l épilation
La plateforme laser intelligente pour le traitement des lésions cutanées et l épilation Découvrez la plate-forme Xlase Plus La technologie laser est aujourd hui de plus en plus utilisée dans les traitements
Plus en détailPrescription et surveillance d un traitement dermocorticoïde
Examen National Classant Module transdisciplinaire 11 : Synthèse clinique et thérapeutique Prescription et surveillance d un traitement dermocorticoïde Item n o 174 : Prescription et surveillance des anti-inflammatoires
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailDr E. CHEVRET UE2.1 2013-2014. Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires
Aperçu général sur l architecture et les fonctions cellulaires I. Introduction II. Les microscopes 1. Le microscope optique 2. Le microscope à fluorescence 3. Le microscope confocal 4. Le microscope électronique
Plus en détailLe reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003
Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique
Plus en détailSERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE RAPPORT GLOBAL
SERVICE PUBLIC FEDERAL, SANTE PUBLIQUE, SECURITE DE LA CHAINE ALIMENTAIRE ET ENVIRONNEMENT COMMISSION DE BIOLOGIE CLINIQUE SERVICE DES LABORATOIRES DE BIOLOGIE CLINIQUE COMITE DES EXPERTS RAPPORT GLOBAL
Plus en détailMinistère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de la Technologie Université Virtuelle de Tunis
Ministère de l Enseignement Supérieur, de la Recherche Scientifique et de la Technologie Université Virtuelle de Tunis! " Ce produit pédagogique numérisé est la propriété exclusive de l'uvt. Il est strictement
Plus en détailDermatologie courante du sujet âgé. Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard
Dermatologie courante du sujet âgé Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard Mécanismes du vieillissement cutané En vieillissant, la peau se ride, s
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailTumeurs cutanées bénignes
Chapitre 13: Tumeurs cutanées bénignes page: 368 Tumeurs cutanées bénignes Tumeurs épidermiques page: 369 13.1 Tumeurs épidermiques Verrucosités; Kératoses Verrues séborrhéiques (kératoses séborrhéiques)
Plus en détailSont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) :
Sont considérées comme prestations qui requièrent la qualification de médecin spécialiste en dermato-vénéréologie (E) : a) b) a) b) DERMATO-VENEREOLOGIE Art. 21 pag. 1 SECTION 9. Dermato-vénéréologie.
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailAssociation lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose
Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)
Plus en détailA Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger
Apport de la cytoponction ganglionnaire dans le diagnostic des lymphomes A Belarbi, ZC Amir, MG Mokhtech, F Asselah Service d Anatomie et de Cytologie Pathologique CHU Mustapha Alger Introduction Large
Plus en détaild anatomo-pathologiste
Le métierm d anatomo-pathologiste Paul P. de SAINT-MAUR Université Paris 6 -Hôpital Saint-Antoine Le 19 Novembre 2002 Le métier m d anatomopathologisted Qu est est-ce qu un un anatomo-pathologiste? Comment
Plus en détailDermatologie buccale
Dermatologie buccale Sophie-Myriam DRIDI - Anne-Laure EJEIL Sophie KOSINSKI, Attachée, hôpital Albert Chenevier/Créteil, Paris. Anne-Laure EJEIL, MCU/PH, hôpital Bretonneau, Paris. François LEPELLETIER,
Plus en détailRéférentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :
Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : DERMATOLOGIE ET VENEROLOGIE ADC - Acte de chirurgie BAFA005 1 (I, O) BAFA006 1 0 Exérèse non transfixiante de lésions multiples
Plus en détailOrientation diagnostique devant une éosinophilie 1
Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur
Plus en détailLes eczémas: l approche au cabinet
Les eczémas: l approche au cabinet Dr H. Brandstätter Dr J. Sommer-Bülher Prof. V. Piguet Plan Comment analyser une lésion? Différentes formes d eczémas Traitement Quand référer chez le dermatologue? 1
Plus en détailSOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat
SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,
Plus en détailPsoriasis. EPU Bats CARMI Esther
Psoriasis EPU Bats CARMI Esther Idées clefs Co morbidité Biothérapies Intérêt Risque Psoriasis «Exclusion sociale pour impureté» 1805 : individualisation Importance de la microcirculation du derme superficiel
Plus en détailDÉFINITION OBJECTIFS. Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom :
Version 2 mise à jour nov 2011 Information délivrée le : Cachet du Médecin : Au bénéfice de : Nom : Prénom : Cette fiche d information a été conçue sous l égide de la Société Française de Chirurgie Plastique
Plus en détailPSORIASIS. Dr Le Duff 2010 Service de Dermatologie Hôpital Archet 2 Nice -
PSORIASIS Dr Le Duff 2010 Service de Dermatologie Hôpital Archet 2 Nice - Qu est ce que le psoriasis? Maladie de la peau inflammatoire chronique Physiopathologie mal connue Non contagieux! Facteurs génétiques
Plus en détailItem 116 : Maladies autoimmunes
Item 116 : Maladies autoimmunes COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Définition du concept d'auto-immunité...3
Plus en détailRECUEIL DE LEGISLATION SOMMAIRE
MEMORIAL Journal Officiel du Grand-Duché de Luxembourg 89 MEMORIAL Amtsblatt des Großherzogtums Luxemburg RECUEIL DE LEGISLATION A N 10 12 mars 1969 SOMMAIRE Règlement ministériel du 24 février 1969 modifiant
Plus en détailLa lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002.
Le diagnostic de la tuberculose bovine La lutte contre la tuberculose est régie par l arrêté royal du 17 octobre 2002. 1. Tuberculination Dans la première phase d une infection de tuberculose bovine (Mycobacterium
Plus en détailNOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Version 3.0, 04/2013
NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Version 3.0, 04/2013 1 NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR ALEVE 220 mg, comprimés pelliculés Naproxène sodique Veuillez lire attentivement cette notice avant de
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détaildes banques pour la recherche
ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs
Plus en détailANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER
ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie
Plus en détailSein inflammatoire. Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc
Sein inflammatoire Isabelle Leconte Cliniques universitaires St Luc Sein inflammatoire 3 types Mastites infectieuses Mastites non infectieuses Cancer inflammatoire 2 situations cliniques Allaitement Hors
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailSensibilisation à la Sécurité LASER. Aspet, le 26/06/2013
Sensibilisation à la Sécurité LASER Aspet, le 26/06/2013 Modes d émission LASER P c P 0 P moy 0 Emission pulsée Salve ou train de N impulsions Emission continue Q i t i t Longueur d onde λ Emission continue
Plus en détailLaser CO2 fractionné. Dr Jean De Wan - Chirurgie et médecine esthétique. www.drjeandewan.be 1
Laser CO2 fractionné Les lasers à dioxyde de carbone (CO2) sont des appareils à gaz, émis en infrarouge, ayant pour principe de détruire les lésions dermatologiques. Les lasers CO2 sont ulisés depuis plus
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailLASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.
LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailMécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes
Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient
Plus en détailCompte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie
Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur
Plus en détailLes cancers de la peau non-mélanome
Les cancers de la peau non-mélanome Carcinome basocellulaire Carcinome spinocellulaire Lésions précancéreuses Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailActualisation de la prescription en biologie rhumatologie
Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux
Plus en détailPROFIL DE POSTE PRATICIEN ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES
ETABLISSEMENT CENTRE HOSPITALIER PUBLIC DU COTENTIN (CHPC) CHERBOURG (50) Deuxième établissement hospitalier de Basse-Normandie. SPECIALITE RECHERCHEE Anatomie et cytologie pathologiques (ACP). COMPETENCES
Plus en détailObjectifs pédagogiques. Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.
17 Item 123 Psoriasis Objectifs pédagogiques Diagnostiquer un psoriasis. Argumenter l attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Points clés Le psoriasis est une dermatose érythémato-squameuse
Plus en détailCompte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique
Compte-rendu d examen anatomo-pathologique - hépatite chronique À partir de la Vème année Médecine Générale et notamment pour les médecins anatomopathologues ANATOMIE PATHOLOGIQUE Hôpital du Bon Secours
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailLa maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes
Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailLa Nouvelle Solution. Pour les Lésions Pigmentaires & les Tatouages. Science. Results. Trust.
La Nouvelle Solution Pour les Lésions Pigmentaires & les Tatouages Science. Results. Trust. La technologie de PicoWay TM aux pulses ultra-courts nécessite des énergies plus faibles et génère des résultats
Plus en détailLes nouveaux traitements du psoriasis
Les nouveaux traitements du psoriasis Ci-après, vous trouverez 3 articles, parus récemment, parmi d'autres tout aussi intéressants, dans notre bulletin trimestriel Pso Magazine: - un extrait de l'exposé
Plus en détailF.Benabadji Alger 22.11.13
F.Benabadji Alger 22.11.13 ALLERGIE DANS LE MONDE 4ÉME RANG MONDIAL (OMS) PROBLÈME DE SANTÉ PUBLIQUE LES CAUSES Notre environnement (industriel, technologique, scientifique et climatique) * Allergènes
Plus en détailBIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie
Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPrépration cutanée de l opéré
Prépration cutanée de l opéré Xème Journée d Hygiène Hospitalière de Bizerte. Bizerte le 3 décembre 2005 Conférence de Consensus de la Société Française d Hygiène Hospitalière 1 Définition: Ensemble de
Plus en détailL anémie hémolytique auto-immune
L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailPROPRIÉTÉS D'UN LASER
PROPRIÉTÉS D'UN LASER Compétences mises en jeu durant l'activité : Compétences générales : S'impliquer, être autonome. Elaborer et réaliser un protocole expérimental en toute sécurité. Compétence(s) spécifique(s)
Plus en détailLaserthérapie de la peau et des muqueuses orificielles (FMS)
Laserthérapie de la peau et des muqueuses orificielles (FMS) Programme de certificat d'aptitude technique du 1 er janvier 2001 2 Texte d'accompagnement concernant le programme de formation pour le certificat
Plus en détailNouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette forme rare et sévère d arthrite
Communiqué de presse Bâle, 18 avril 2011 La FDA homologue Actemra dans le traitement de l arthrite juvénile idiopathique systémique (AJIS) Nouvelle option thérapeutique pour les enfants présentant cette
Plus en détailHEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas
HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination
Plus en détailDes déficiences présentes
Des déficiences présentes Comment se fait-il que dans certains cas, le système immunitaire ne fonctionne pas convenablement? Problèmes : 1. Pourquoi certains enfants sont-ils mis sous bulle plastique?
Plus en détailCe qu il faut savoir sur la chute des cheveux.
01/ 2014 Sandoz Pharmaceuticals SA Suurstoffi 14 Case postale 6343 Rotkreuz Tél. 0800 858 885 Fax 0800 858 888 www.generiques.ch Ce qu il faut savoir sur la chute des cheveux. Architecture du cheveu 4
Plus en détailDON DE SANG. Label Don de Soi
DON DE SANG Label Don de Soi 2015 SOMMAIRE Les différents types de dons p.3 Le don de sang total Le don de plasma Le don de plaquettes Le don de moelle osseuse Que soigne-t-on avec un don de sang? p.7
Plus en détailPARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME. Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement
PARTIE II : RISQUE INFECTIEUX ET PROTECTION DE L ORGANISME Chapitre 1 : L Homme confronté aux microbes de son environnement I- Les microbes dans notre environnement Qu est-ce qu un microbe? Où se trouvent-ils?
Plus en détailCellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek
Cellules procaryotes Service histologie Pr.k.mebarek I) Les cellules procaryotes II) Les cellules eucaryotes o 1) Caractéristiques générales des cellules eucaryotes o 2) Organisation des cellules eucaryotes
Plus en détailCytokines & Chimiokines
Cytokines & Chimiokines I. (D après Förster, R. et al. (1999) Cell 99:23) Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l organisme, des souris déficientes pour le récepteur
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailProfil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple
Profil médico-économique de plerixafor en remobilisation dans le myélome multiple Aline Voidey Soirée de la Société de Médecine de Franche-Comté Jeudi 27 novembre 2014 L hématopoièse Une seule et unique
Plus en détailCarte de soins et d urgence
Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase
Plus en détailConsidérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil
Annexe I Considérations médicales issues de la Norme EN 60825-1 (C 43-805) de juillet 1994, concernant les effets du rayonnement laser sur l'œil NORME EN 60825-1 (C 43-805) DE JUILLET 1994 - CONSIDERATIONS
Plus en détailTRAITEMENT DE L ACNÉ DERMOCORTICOIDES. Enseignement optionnel «Prescription et usage rationnel des médicaments» Dr Antoine FAUCONNEAU 10 Avril 2013
TRAITEMENT DE L ACNÉ DERMOCORTICOIDES Enseignement optionnel «Prescription et usage rationnel des médicaments» Dr Antoine FAUCONNEAU 10 Avril 2013 INTRODUCTION Particularités des traitements en Dermatologie
Plus en détailDossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang
Dossier «Maladies du sang» Mieux les connaître pour mieux comprendre les enjeux liés au don de sang Maladies du sang Objectif de ce dossier Les demandes des médias portent régulièrement sur les usages
Plus en détailTuberculose bovine. Situation actuelle
Tuberculose bovine Situation actuelle 21 mai 2013 Dr G. Peduto Vétérinaire cantonal Service de la consommation et des affaires vétérinaires 1 Tuberculose bovine La Suisse est indemne depuis 1959 Dernier
Plus en détailCytokines ; Chimiokines
Cytokines ; Chimiokines I. Dans le but d étudier la régulation de la circulation des leucocytes dans l'organisme, des souris déficientes pour le récepteur CCR7 de chimiokine ont été générées par recombinaison
Plus en détailLe psoriasis est une affection chronique fréquente atteignant
images Retrouvez toutes les images illustrant ce texte, et bien d autres encore, en haute définition dans la photothèque «Psoriasis» sur www.larevuedupraticien.fr Item 114 PSORIASIS Pr Marie Beylot-Barry
Plus en détailNOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT. Keforal 500 mg comprimés pelliculés. Céfalexine monohydratée
NOTICE : INFORMATIONS DU PATIENT Keforal 500 mg comprimés pelliculés Céfalexine monohydratée Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament car elle contient des informations importantes
Plus en détailLA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD
LA TUBERCULOSE Docteur ALAIN BERAUD Service de Pneumologie Hôpital Beauregard - THIONVILLE 1 Bilan initial Objectifs Bilan de base Traitement pharmacologique Autres traitements pharmacologiques Autres
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détail