Togo Profil pays EPT Contexte général. Principaux indicateurs de l EPT 2012 ou année la plus récente.
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- Simone Beauséjour
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1 Togo Profil pays EPT 4 Contexte général Petit état d Afrique de l Ouest d environ 6 5 habitants, le Togo est un pays à revenu faible, avec un PIB par habitant de 564 $US en. Après une longue période de morosité de l environnement macroéconomique, le pays semble renouer progressivement avec la croissance économique. En effet, alors que le taux de croissance réel du PIB était négatif aux alentours de l année, les valeurs observées au cours de ces dernières années se chiffrent à 3,4% en 9, 4,% en, 4,9% en et 5,% en. Ces chiffres sont bien supérieurs au taux d accroissement de la population (estimé à,8% environ par an) et reflètent un contexte macroéconomique qui redevient favorable pour une mobilisation plus importante des ressources au regard de la demande sociale, notamment de la population scolarisable. En, la population en âge de fréquenter le primaire représentait près de 6,% de la population totale, contre 7,4% pour la moyenne d Afrique subsaharienne, ce qui constitue néanmoins une contrainte démographique non négligeable pour la politique éducative du pays. En outre, la prévalence du VIH&SIDA n est pas négligeable (3,4%) même si elle est inférieure à celle de la moyenne des pays d Afrique subsaharienne (5,3). Le pays se classe malgré tout au 59 ème rang sur 87 pour l indice de développement humain (IDH). Contexte macroéconomique et démographique () PIB par habitant ($ E.U.) 564 Population totale () 6,537 % de la population en âge de fréquenter le primaire 6. % des enfants d'âge du primaire non scolarisés 5.7 Prévalence VIH&SIDA (5-49 ans) 3.4% IDH (classement) 59/87 Principaux indicateurs de l EPT ou année la plus récente. Indice africain de développement EPT (IAD/EPT) Togo (59) ASS (57) Max ASS (9) Min ASS (8) Le Togo présentait en un indice africain de développement EPT de 4,3, un chiffre qui n est pas éloigné de la moyenne d Afrique subsaharienne de l époque (39,3). La valeur de cet indice a bien évolué sur la période pour atteindre 58,8 en, notamment du fait des progrès dans la parité filles/garçons et dans l achèvement du primaire. Cependant, cette évolution n apparaît pas singulière, puisque la valeur observée en n est pas très différente de celle de la moyenne africaine pour la même année, estimée à 57,. En considérant les différentes dimensions de l indice, on note que le taux d achèvement du primaire (objectif ) a connu une évolution significative, en passant de
2 63% en à 79% en. Le Togo se place donc aujourd hui au-dessus de la moyenne de l Afrique subsaharienne (estimée à 67%). Il reste qu aujourd hui encore près de % des enfants n achèvent pas le cycle primaire, ce qui ne permet pas au pays d être au rendez-vous de la scolarisation primaire universelle en 5. D importants progrès sont aussi à noter sur le plan de la parité. En effet, l indice de parité de genre (objectif 5) est passé de 77,7% en à 9,% en. La proportion de personnes alphabétisées de 5 ans et plus (objectif 4) a en revanche progressé de façon timide : de 53,% en, elle est passée seulement à 6,4% en, un niveau bien endessous de la moyenne africaine qui se chiffre à 67,6%. Pour les autres dimensions de l EPT, le TBS du préscolaire (objectif ) a été multiplié par plus de 5 entre et, en passant de % en à 7 % en, signe que des efforts ont été faits pour améliorer la couverture dans ce niveau d enseignement. En lien avec l objectif 3, on constate que le taux d achèvement du premier cycle du secondaire a presque doublé sur la période, pour se placer au dessus de la moyenne africaine, à 4 % (contre 35 % pour l ASS). Objectif Développement de la petite enfance. Taux Brut de Scolarisation du préscolaire Objectif Enseignement primaire universelle. Taux d achèvement du primaire Objectif 3 Compétences nécessaires dans la vie courante chez les jeunes et les adultes. Taux d achèvement du secondaire premier cycle Objectif 4 Alphabétisation des adultes. Taux d alphabétisation des adultes 94 Objectif 5 Équité entre les genres dans l enseignement primaire Indice de parité de sexe au primaire () (63) 8 () (53) (78) Objectif 6 Qualité de l éducation Légende Qualité éducative Objectif à 5 Togo (Valeur de ou proche entre parenthèses) Moyenne Afrique Subsaharienne Fourchette de valeurs ASS (min/max) Scolarisation : pyramide éducative ou année la plus récente. Les données présentées dans la fiche-pays, notamment celles tirées du profil de scolarisation et des pyramides éducatives, permettent de détailler davantage l évolution des indicateurs de scolarisation (accès, rétention, transition) et d équité. On note tout d abord une progression significative du taux brut d accès au primaire, de 9% en à 38% en. Le taux d achèvement a évolué de 63%
3 en à 79% en ce qui, compte tenu de la hausse de l accès, semble le signe d une baisse de la rétention au sein du primaire. On note en revanche une amélioration de la transition entre le primaire et le er cycle du secondaire (84% en contre 8% en ), mais surtout de la transition entre les er et nd cycles du secondaire (63% en contre 44% en ). Ces progrès accomplis dans l accès aux deux sous-cycles du secondaire se sont en outre accompagnés d une amélioration de la rétention, de 43% à 64% pour le er cycle et de 5% à 73% pour le nd cycle. Cette forte dynamique n est évidemment pas sans conséquence sur l enseignement supérieur. La couverture pour ce niveau d enseignement est en effet passée de 8 étudiants pour habitants en à 5 étudiants pour habitants en, un chiffre qui, aujourd hui, dépasse largement la moyenne d Afrique subsaharienne (63 étudiants pour habitants) et pose nettement la question de l adéquation quantitative et qualitative de la production du système éducatif par rapport aux besoins de l économie nationale. Finalement, la part de l enseignement technique et professionnel dans les effectifs du secondaire est restée quasiment stable autour de 6% sur la période, alors que la moyenne observée pour l Afrique subsaharienne s élève à % en. Équité dans l accès à la scolarisation et dans le parcours scolaire ou année la plus récente. En ce qui concerne l équité, les données les plus récentes provenant d enquêtes auprès des ménages montrent qu en les filles n ont pas les mêmes chances d accès aux différents segments du système éducatif que les garçons. En effet, si les filles accèdent presque autant que les garçons au primaire, l écart entre filles et garçons se creuse au fur et à mesure qu on monte dans la pyramide éducative, et à la fin, les filles ne sont plus que % à achever le nd cycle du secondaire, contre 8
4 % des garçons. Il en est pratiquement de même pour l équité selon le niveau de vie. Les % les plus pauvres partent déjà avec des chances plus faibles d accéder au primaire (87% contre 98% pour le quintile le plus riche) et cette situation se dégrade tout au long de la scolarité. A terme, ils ne sont plus que 4% à achever le second cycle contre % des plus riches.
5 Qualité des apprentissages ou année la plus récente. En ce qui concerne la qualité (objectif 6), le niveau d acquisition des élèves togolais apparait globalement faible, notamment dans le primaire. Les élèves togolais en fin de primaire totalisent un score de 3,9 sur en français et de 36,4 sur en maths aux tests PASEC, des valeurs bien en dessous de la moyenne des pays d Afrique francophone ayant bénéficié des évaluations similaires et qui classent le Togo parmi les derniers de la liste des pays considérés. Par ailleurs, les niveaux d acquisitions se sont visiblement dégradés dans le temps : entre et, les scores moyens du Togo sont passés de 43,6 à 3,9 sur en français et de 44, à 36,4 sur en mathématiques (le taux de réussite à l examen n est pas disponible). En outre, après six ans de scolarité primaire, une proportion élevée d adultes togolais de à 44 ans (8%) ne sait pas lire convenablement. Financement de l éducation ou année la plus récente. Minimum Afrique Subsaharienne Togo Moyenne Afrique Subsaharienne Maximum Afrique subsaharienne Mobilisation des ressources, Répartition du budget courant de l éducation, Ressources propres en % du PIB 8 66 % % (yc EFTP) % Dep. Courantes de l'ed. dans les dep. Courantes de l'etat % Supérieur % Autres niveaux Les performances du Togo au regard des objectifs de l EPT ont été obtenues dans un contexte de mobilisation de nouvelles ressources pour le secteur de l éducation. En effet, le pays a progressivement amélioré sa performance en matière de recouvrement des recettes publiques (les ressources domestiques sont passées de 3% du PIB en à 8% du PIB en ). Mais, il a surtout accru au cours de ces dernières années la part des dépenses courantes affectées à l éducation de 4% en 7 à 8% en. Ces deux derniers chiffres se situent au-dessus de la moyenne en Afrique subsaharienne (estimée à %) et attestent d une priorité budgétaire de plus en plus forte pour l éducation. Sur le plan de l allocation intra-sectorielle, le primaire continue toujours de bénéficier de la plus grande part des dépenses courantes d éducation (de 45% en à 48% en ). C est un niveau d allocation qui se situe légèrement au-dessus de la moyenne africaine (44 %) et qui est caractéristique des pays encore éloigné de la scolarisation primaire universelle. Le secondaire compte pour 33% des dépenses courantes du secteur en, une valeur qui est restée presque stable sur la période et qui se situe un peu au-dessus de la moyenne africaine estimée à 3 %. Le supérieur connait en revanche une dotation relative en baisse, puisqu elle est passée de 9% en à 8% en (contre une moyenne africaine de %), alors même que le nombre d étudiants pour habitants a pratiquement été multiplié par 4 sur la période.
6 Paramètres de la politique éducative ou année la plus récente. Minimum Afrique Subsaharienne Togo Moyenne Afrique Subsaharienne Maximum Afrique subsaharienne Ratio élève maître dans le public, Salaire moyen enseignant du public en PIB/hab, Part des dépenses hors salaire enseignants (%), Pourcentage de redoublants, Pourcentage du privé dans les effectifs, Coût public par élève en % du PIB par habitant (Dép. courantes), (yc EFTP) EFTP Supérieur
7 Ces dépenses rapportées au nombre d individus scolarisés font apparaître des coûts unitaires relativement faibles à tous les niveaux d enseignement sauf au primaire. En effet, ils sont de 3% du PIB/habitant au primaire (contre % pour la moyenne africaine), de % du PIB/habitant au secondaire (contre une moyenne africaine de 4 %) et de 83% du PIB/habitant au supérieur (contre une moyenne africaine de 79 %). En ce qui concerne l enseignement supérieur, le niveau spécialement faible du coût unitaire correspond sans doute à un choix implicite de la part des autorités de privilégier la quantité (sans maîtrise des flux d élèves) au détriment de la qualité. Il est globalement identifié que les niveaux de rémunération des personnels figurent parmi les principaux facteurs rendant compte du niveau observé des coûts unitaires. Au Togo les salaires moyens des enseignants correspondent respectivement à 4,5 fois le PIB/habitant au primaire, à 8, fois le PIB/habitant dans le er cycle du secondaire et à 8,6 fois le PIB/habitant dans le nd cycle, des niveaux relatifs un peu plus élevés que les moyennes africaines. Surtout, le pays se caractérise par des niveaux de redoublement très élevés. Les pourcentages de redoublants observés en sont similaires à ceux des années précédentes et s élèvent à,% pour le primaire,,6% pour le er cycle du secondaire et à 9,7% pour le nd cycle. Ces chiffres classent le Togo parmi les pays où les redoublements sont les plus fréquents. Or, directement et indirectement, par leur effet sur les abandons notamment, ces redoublements conduisent à un gaspillage important de ressources. Des gains d efficience importants sont donc à rechercher en reconsidérant ces différents paramètres.
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