REGARDS PLURIPROFESSIONNELS AUTOUR DE L ALIMENTATION DE LA PERSONNE AGEE EN INSTITUTION
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- Daniel Beaudin
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1 REGARDS PLURIPROFESSIONNELS AUTOUR DE L ALIMENTATION DE LA PERSONNE AGEE EN INSTITUTION 7 DECEMBRE 2012
2 Evaluation de l état nutritionnel des résidents EHPAD Les 5 sens à Landouge EHPAD Le Cantou de Condat Réseau LINUT Martine Lachaud Angibaud, directrice Les 5 sens Dr Fabrice Massoulard, médecin coordonateur Les 5 sens Dr Aude Massoulard, médecin coordonateur LINUT
3 Deux établissements entièrement dédiés à l accompagnement des personnes âgées touchées par la maladie d Alzheimer et troubles apparentés EHPAD Les 5 Sens Landouge (87) - 78 HP - 2 HT - 12 Places AJ EHPAD Le Cantou Condat sur Vienne (87) - 18 HP - 1 HT
4 Des établissements marqués par un fort niveau de dépendance et un besoin de Soin élevé Les 5 Sens - GMP : GIR 1/2 : 92,50 % - GIR 3/4 : 6,25 % - GIR 5/6 : 1,25 % - PATHOS : 285 Le Cantou - GMP : GIR 1/2 : 89,47 % - GIR 3/4 : 10,53 % - GIR 5/6 : - - PATHOS : MMS : +/ NPI : DE 30 à 50
5 Nos difficultés d accompagnement Désorientation temporelle : oubli de manger, oubli d avoir mangé Déambulation pendant le temps de repas Refus de manger Troubles cognitifs et psychomoteurs qui nécessitent l initiation et/ou l accompagnement dans la démarche de manger Troubles de la déglutition
6 Pourquoi nous inscrire dans la démarche? L alimentation est un point stratégique dans la prise en soin d une population âgée souffrant de troubles démentiels Améliorer notre accompagnement global
7 Nos objectifs Déceler les situations de dénutrition et de sarcopénie Adapter et améliorer notre accompagnement au repas, prioritairement en direction des résidents dits «à risques» Sensibiliser l équipe à l importance de cet accompagnement pour l ensemble des résidents Présenter des données objectivées et concrètes lors de nos échanges avec les familles /
8 Nos objectifs Optimiser l utilisation des compléments nutritionnels Travailler en lien avec les médecins traitants autour des troubles nutritionnels Disposer de données concrètes pour les négociations PATHOS et GMP Intégrer les recommandations HAS 2007 où les troubles cognitifs étaient identifiés comme situations à risque de dénutrition
9 Le déroulement de l étude Côté EHPAD Présentation du projet au CVS Envoi d un courrier d information : - aux familles - aux médecins traitants Signature des formulaires de consentements par les ayants droits Recueil des données pour le calcul de l IMC - pesée (déjà réalisée tous les mois) - toise ou mesure de la distance talon/genou (fait spécifiquement pour l enquête) Transmission des données à LINUT : - dossier de soin Osiris - dossier médical papier (antécédents médicaux, traitements) - grille AGGIR
10 Le déroulement de l étude Côté LINUT Recueil des données : janvier 2012 (les 5 Sens) septembre 2012 (Cantou) Intervention de 2 médecins et 3 diététiciennes au sein des structures sur 5 jours (3 aux 5 Sens et 2 au Cantou) Méthode : - Calcul de l IMC et de la variation de poids - Mini-Nutritional Assesment (MNA) simplifié ou complet - Eléments cliniques et thérapeutiques interférant avec l état nutritionnel (traitements, oedèmes,.)
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13 La population étudiée Les 5 Sens Le Cantou - 36 résidents soit 46,2 % des résidents - 9 résidents soit 50 % des résidents 95,5% de ces résidents avaient une démence établie
14 Age moyen : 85,11 ans De 67 à 97 ans - Aucun résident avait moins de 65 ans
15 Groupes GIR
16 Les différentes textures On note globalement peu de textures modifiées par rapport à la population étudiée, les pathologies démentielles étant souvent associées à des troubles de la déglutition. Réévaluation hebdomadaire des aptitudes du résident Adaptation de la texture au menu du jour Volonté importante et pluridisciplinaire de maintenir des textures normales
17 Etat nutritionnel -Dénutrition sévère - Dénutrition modérée - Normaux - Surpoids -Obésité modérée
18 Résidents consommant une texture entière 57,8 % de la population étudiée : - Dénutrition 15,4 % - Bon état nutritionnel 46,15 % - Surpoids 15,38 % - Obésité 23 %
19 Résidents consommant une texture hachée 22,2 % de la population étudiée : - Dénutrition 40 % - Bon état nutritionnel 30 % - Surpoids 10 % - Obésité 20 %
20 Résidents consommant une texture mixée 20 % de la population étudiée : - Dénutrition 66,7 % - Bon état nutritionnel 22,2 % - Surpoids - - Obésité 11,1 %
21 Statistiques de consommation alimentaire 14 enquêtes alimentaires sur 2 jours pour des résidents dénutris : Consommation calorique moyenne : kcal/j soit 31,76 kcal/kg/j Consommation protidique moyenne : - 72,54 g/j soit 1,49 g/kg/j Conformes aux recommandations
22 Statistiques de consommation alimentaire MAIS: - 57,14 % des résidents sont en dessous des apports énergétiques conseillés, - 28,57 % des résidents sont en dessous des apports protidiques conseillés : ils consommaient tous une texture hachée ou mixée et présentaient tous une perte de poids - Pour 64% d entre eux une anorexie était déclarée et 57% perdaient du poids.
23 Statistiques de consommation alimentaire selon la texture Nombre Kcal/j g de prot/j Kcal/kg/j g/kg/j Moyenne des enquêtes Texture entière 4 Texture hachée 4 Texture mixée
24 Détail des résidents Dénutrition Etat nutritionnel normal Surcharge pondérale Nombre 31 % (14 sur 38 % (17 sur 45) 31 % (14 sur 45) 45) Age moyen Risque de % 64.2% dénutrition Sort du 0% 5.88% 7.14% domicile Autonome à l intérieur 42.85% 76.4% 71.4% Lit fauteuil 57.14% 17.6% 21.4%
25 Conclusion La prévalence de la dénutrition correspond à celle habituellement retrouvée en EHPAD Les risques de dénutrition concernent 70,9 % des résidents non dénutris Parmi les résidents dénutris, 57,14 % avaient une perte de poids ce qui aggrave le phénomène L obésité touche 20 % des résidents ce qui est supérieur aux 12 % de prévalence habituelle chez les 75 ans et plus
26 Nos difficultés Expliquer le sens et l intérêt de la démarche aux familles, ce qui a pris beaucoup de temps et d énergie pour une adhésion d à peine une famille sur deux Les relevés alimentaires ont été difficiles à mettre en place - difficultés liées à notre organisation : (2 lieux de service pour les petits déjeuners, 2 salles à manger et goûter itinérant) - difficultés à mobiliser les soignants pour rajouter de la traçabilité alors que le moment du repas leur demande déjà beaucoup de disponibilité et de temps, notamment en salle à manger thérapeutique Sensibiliser l équipe cuisine et les accompagner dans le changement pour faire évoluer leurs pratiques
27 L Evolution de nos pratiques Formalisation du suivi du poids : mensuel ou hebdomadaire en fonction des Résidents et de leur risque de dénutrition Renforcement de notre évaluation hebdomadaire de l adaptation des textures, des goûts pour ajuster ou favoriser la prise alimentaire Proposition systématique du manger-main sur la base du menu du jour comme alternative pour les résidents réticents à une prise alimentaire «traditionnelle», en lien avec notre accompagnement des troubles du comportement
28 L Evolution de nos pratiques Elaboration des procédures d enrichissement des préparations alimentaires pour une mise en œuvre tout début 2013 Travail auprès des médecins traitants pour la prescription de compléments alimentaires, leur distribution étant protocolarisée Partenariat avec LINUT à compter de janvier prochain pour une adaptation de nos menus en vue d un meilleur équilibre alimentaire Sensibilisation des familles à la problématique de l alimentation lors de la prochaine réunion des familles
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