THERMODYNAMIQUE APPLIQUÉE PARTIE 2 BILAN D ÉNERGIE APPLIQUÉ AUX SYSTÈMES OUVERTS
|
|
- Francis Villeneuve
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 THERMODYNAMIQUE APPLIQUÉE PARTIE 2 BILAN D ÉNERGIE APPLIQUÉ AUX SYSTÈMES OUVERTS I. Différentes formes d énergie L énergie est un concept fondamental en physique Différentes formes d énergie existent. Energie propre au système Les diverses formes d énergie propres au système dépendent de son état et sont donc des fonctions d état. Elles se décomposent en une énergie externe : énergie dépendant de la position et du mouvement du système pris comme un tout, observable à l échelle macroscopique une énergie interne : énergie associée à l état interne du système, "observable" à l échelle microscopique
2 Energies externes Energie cinétique Propre à la mécanique, l énergie cinétique macroscopique résulte de la sommation sur l ensemble du système de l énergie cinétique de chaque élément de volume le constituant. Elle est donc définie par : Z E c = Ω 2 ρ v 2 dv Energie potentielle Lorsqu un système est soumis à des forces extérieures f, on définit, si elle existe, l énergie potentielle E p par : f = E p Son utilisation n est qu une commodité puisque l influence de ces forces peut être prise en compte par leur travail, ce qui est équivalent : de p = E p dl = f dl Energie interne L énergie interne U est liée aux mouvements et interactions entre les particules constitutives du système. Elle est essentiellement liée à l agitation thermique et correspond à l énergie cinétique (désordonnée) des particules en repère relatif (lié au mouvement d ensemble du système) et à l énergie d interaction intermoléculaire. Il s agit donc d une grandeur non observable dont l introduction à l échelle macroscopique est directement liée au premier principe. Elle peut cependant être construite à partir de modèles microscopiques.
3 Energie totale L énergie totale E est par définition : E = U + E p + E c (= U + E m ) Elle rend compte de l ensemble des contributions énumérées au-dessus et est donc caractéristique de l énergie stockée par le système sous quelque forme que ce soit. 2. Energies échangées Travail Le travail rend compte de l énergie macroscopique transférée au système. Le travail W 2 conduisant de l état E à l état E 2 est défini par : W 2 = Z 2 δw = Z a2 a A da où δw est le travail élémentaire, A une variable intensive (force généralisée) et a la variable (déplacement généralisé) associée. Exemple : le travail mécanique d une force f agissant entre les positions M et M 2 s écrit : W 2 = où dl est le déplacement élémentaire. Z M2 M f dl
4 Si l on associe une énergie potentielle à certaines forces, on note W le travail des autres forces. Il est quelquefois souhaitable d exprimer le travail en fonction de variables du système. Ceci n est possible que si l on dispose de relations qui les lient aux grandeurs intervenant dans l expression du travail. En Mécanique par exemple, le principe des actions réciproques égalise la densité surfacique d efforts extérieurs et l état de contraintes à la frontière du système, ce qui les rend interchangeables. Travail des forces de pression uniforme Dans nombre d applications pratiques (évolutions suffisamment lentes de gaz non pesants décrits par les variables P, V et T ), le travail se réduit à l action des efforts d une pression uniforme sur la frontière du système. Celui-ci vaut alors : et le travail élémentaire : W 2 = Z V2 V P dv δw = P dv
5 Chaleur La chaleur rend compte de l énergie microscopique transférée au système. Un transfert de chaleur correspond à une variation du "désordre" microscopique. Il peut résulter soit d un échange d énergie désordonnée, soit d une transformation d énergie ordonnée en énergie désordonnée. Il est directement lié à la température. Exemples Si deux corps sont mis en présence, les particules les plus agitées (thermiquement) excitent les particules les moins agitées. Si les deux corps sont en contact et mobiles l un par rapport à l autre, le mouvement relatif des particules de l un par rapport à l autre excite les particules voisines de la surface de contact (frottement), provoquant un échauffement et transformant une partie de l énergie cinétique macroscopique (ordonnée) en énergie cinétique microscopique (énergie interne). Lors d un changement de phase (température constante), la chaleur apportée accroît l agitation moléculaire, ce qui se traduit par un désordre croissant et un changement d état.
6 3. Puissance La puissance est l énergie échangée (travail ou chaleur) ramenée à l unité de temps. On notera respectivement P mec = δw /δt et P cal = δq/δt les puissances mécanique et calorifique reçues par le système (par ex. conduction, rayonnement, effet Joule...) II. Premier principe de la thermodynamique appliqué aux systèmes fermés. Expression générale du premier principe de la thermodynamique Le premier principe exprime la conservation de l énergie de l ensemble {Système + milieu extérieur} pour un système fermé limité par une surface au travers de laquelle peuvent s effectuer des échanges énergétiques. Il s écrit sous forme de bilan où, dans un repère galiléen, la variation d énergie totale du système entre deux états E et E 2 est égale à la somme des travaux et chaleurs reçus par le système pendant son évolution entre ces deux états : ou E 2 E = W 2 + Q 2 Premier principe de la thermodynamique E = W + Q
7 Soit encore : ou U + E c = W + Q U + E c + E p = W + Q Le premier principe est aussi connu sous le nom de principe d équivalence : il exprime l équivalence entre les diverses formes d énergie. Bilan d énergie d un système fermé La variation d énergie entre les instants t et t + est : de = P mec + P cal III. Premier principe de la thermodynamique appliqué aux systèmes ouverts On considère le système ouvert S 3 représenté sur la figure ci-dessous. W e Q e ρ P T ρ 2 P 2 T 2 On souhaite déterminer les bilans de masse et d énergie pour ce système. 3
8 . Bilan de masse appliqué à un système ouvert A l instant t, on considère la quantité de fluide représentée sur la figure ci-dessous ρ P T v ρ 2 v 2 P 2 T 2 On suit cette quantité de fluide au cours de son mouvement jusqu à l instant t + t ρ P T v ρ 2 v 2 P 2 T 2 t + Le système ouvert S 3 est l intersection du système fermé considéré aux instants t et t + ρ P T dv dv 2 ρ 2 v v 2 P 2 T Le fluide que l on suit dans son mouvement est un système fermé dont la masse est donc conservée M(t) = dm + M 3 (t) M(t + ) = M 3 (t + ) + dm 2 dm = ρ dv dv = A dx = A ( n v ) dv dv 2 n 2 dm = ρ A ( n v ) n v A v 2 A 2 dm 2 = ρ 2 A 2 (+n 2 v 2 ) dx dx 2
9 Les relations précédentes permettent facilement d établir [M(t + ) M(t)] = [M 3 (t + ) M 3 (t)] + dm 2 dm dm = dm 3 + [ρ n v A + ρ 2 n 2 v 2 A 2 ] Application du principe de conservation de la masse du système matériel : M(t + ) = M(t) dm = 0 dm 3 = [ρ n v A + ρ 2 n 2 v 2 A 2 ] Débit de masse entrant : = ρ n v A Débit de masse sortant : 2 = ρ 2 n 2 v 2 A 2 Bilan de masse du système ouvert S 3 dm 3 = 2 La variation de la masse du système ouvert est égale à la différence entre le débit de masse entrant et le débit de masse sortant. Bilan de masse d un système ouvert dm = X s e
10 Ecoulement stationnaire dm 3 = 0 2 = ˆ= Le débit de masse sortant est égal au débit de masse sortant. Il n y a donc pas d accumulation de masse dans le système ouvert S Bilan d énergie appliqué à un système ouvert On considère le même système fermé que l on suit dans son mouvement entre les instants t et t + On détermine sa variation d énergie entre t et t + ρ P T W e Q e dv dv 2 ρ 2 v v 2 P 2 T 2 E(t) = de + E 3 (t) 3 2 E(t + ) = E 3 (t + ) + de 2 de = (ρ e ) dv dv = A dx = A ( n v ) dv dv 2 n 2 de = (ρ e ) A ( n v ) n v A v 2 A 2 de 2 = (ρ 2 e 2 ) A 2 (+n 2 v 2 ) dx dx 2
11 Les relations précédentes permettent facilement de montrer [E(t + ) E(t)] = [E 3 (t + ) E 3 (t)] + de 2 de de = de 3 + [(ρ e ) n v A + (ρ 2 e 2 ) n 2 v 2 A 2 ] Application du premier principe de la thermodynamique au système matériel : E(t + ) E(t) = δw + δq Chaleur fournie au fluide δq = δq e Travail fourni au fluide δw = δw e + [+P dv P 2 dv 2 ] (dv et dv 2 > 0) δw = δw e [P v n A + P 2 v 2 n 2 A 2 ] On obtient alors : de 3 = δw e + δq e»ρ e + P «n v A + ρ 2 e 2 + P «2 n 2 v 2 A 2 ρ ρ 2 L énergie massique est : Par conséquent : Or, l enthalpie massique est : e = u + e c + e p e + P ρ = u + P «+ e c + e p ρ h = u + P ρ (= u + P v) On définit alors l enthalpie massique totale : h t = e + P ρ
12 En utilisant l enthalpie totale et les débits de masse entrant et sortant et 2, on obtient le Bilan d énergie du système ouvert S 3 de 3 = δw e + δq e + h t 2 h t 2 La variation d énergie totale du système ouvert est égale au flux d énergie totale rentrante dans le système ouvert complété par la somme des travail et chaleur reçus par le système ouvert ainsi que du travail de transvasement responsable du flux de matière à travers la frontière du système ouvert. Sa forme est similaire à celle d un système fermé à condition de prendre en compte tous les termes de flux liés aux échanges de matière à la frontière du domaine. Bilan d énergie d un système ouvert d (U + E c + E p ) = X s e (h + e c + e p ) + Ẇ + Q Ecoulement stationnaire de 3 = 0 En utilisant le bilan de masse stationnaire, on obtient : h2 t h t = Ẇ + Q Remarques importantes. Pour les systèmes ouverts, le bilan d énergie fait intervenir la différence d enthalpie totale et non pas d énergie interne totale 2. Bien que le bilan d énergie fasse apparaître la différence d enthalpie entre la sortie et l entrée, il n est pas obtenu en appliquant le premier principe à une portion de fluide que l on aurait suivi entre l entrée et la sortie
13 3. Interpréation physique de l enthalpie V V ext M T ext P ext V M 0 0 E E 2 Une enceinte initialement vide de volume intérieur V et dont les parois sont indéformables et adiabatiques est entourée d un grand volume de gaz à l équilibre à la pression P ext et à la température T ext. Un orifice dans la paroi permet de remplir l enceinte. Quelle est l énergie interne du gaz dans l enceinte une fois ce dernier à l équilibre? V V ext M T ext P ext V M E E 2 Le système considéré comprend l intérieur de l enceinte et la masse M du gaz qui, dans l état final, se situera à l intérieur de l enceinte. Ce système est fermé. On applique le premier principe à ce système : U 2 U = W + Q L enceinte est adiabatique et on peut négliger les échanges de chaleur avec l extérieur (thermostat) : Q 0
14 Les parois de l enceinte étant immobiles, aucun travail des forces appliquées par la paroi n existe. Le seul travail reçu par le système est dû aux forces de pression appliquées par l extérieur. On a donc : W = P ext (V 2 V ) = P ext (V (V ext + V)) = P ext V ext On a donc : Soit : U 2 = U + P ext V ext U 2 = U ext + P ext V ext U 2 = H ext Cette relation montre que l énergie qui reste disponible au système pour être échangée une fois le transvasement effectué est l enthalpie initiale du gaz. 4. Généralisation de la forme des bilans V On considère un volume immobile V traversé par un écoulement de fluide. Soit R une grandeur extensive quelconque. On souhaite déterminer la variation temporelle de cette grandeur du volume V.
15 v t t + n n v Cette variation est due à trois sources : une source volumique σ R de R (par ex. une source d énergie externe) ; l apport par convection ; l apport par un flux autre que convectif. Forme générale de l équation de bilan de R pour un système ouvert dr = d Z Z Z R dv = σ R ρ r v n da q R n da V V V Application au bilan de masse en une dimension Pas de source de masse volumique ni de flux autre que convectif σ M = 0 et q M = 0 dm Z Z = σ M ρ v n da q M n da V V Flux de masse uniquement en entrée et sortie Z Z Z = V A e + A s v e v s Champ de vitesse uniforme sur une section droite en entrée et en sortie Z A i ρ v n da = ρ i v i n i A i dm = ρ e v e n e A e ρ s v s n s A s dm = e s
16 IV. Application à quelques machines élémentaires. Tuyère A s A e Bilan de masse : Caractéristiques : D Stationnaire Variation d énergie potentielle négligeable Adiabatique Pas d apport de travail extérieur = ρ e v e A e = ρ s v s A s Bilan d énergie : 0 = (h s + e cs ) + (h e + e ce ) h i : enthalpie d arrêt h s + e cs = h e + e ce = h i On suppose la transformation isentropique h P e P s h i h e e ce e cs h s s s = s e s Pour un gaz parfait à Cp constant : Ts «γ = «γ Ps T e P e
17 2. Turbine P e Bilan d énergie : Caractéristiques : P s < P e D Stationnaire W t < 0 Variation d énergies cinétique et potentielle négligeables Adiabatique 0 = (h s h e ) + Ẇ t + 0 h s h e = Ẇ t Si transformation isentropique pour gaz parfait à Cp constant Ts «γ = «γ Ps h h e h s Ẇ t P e P s T e P e s s = s e s 3. Compresseur P s > P e P e Ẇ c > 0 Caractéristiques : D Stationnaire Variation d énergies cinétique et potentielle négligeables Adiabatique Bilan d énergie : P s h s h e = Ẇ c h P e Si transformation isentropique pour gaz parfait à Cp constant Ts «γ = «γ Ps h s h e Ẇ c T e P e s s = s e s
18 4. Echangeurs thermiques Echangeur à co-courant chaud froid 2 c f Système : ensemble des deux fluides contenu à l intérieur de l échangeur Ecoulement stationnaire : débits de masse des fluides chaud c et froid f égaux en entrée et sortie Pas de travail externe Pas de source de chaleur externe : échangeur globalement adiabatique Variations d énergies cinétique et potentielle négligeables Bilan d énergie pour un écoulement stationnaire chaud froid 2 c f 0 = [ c h c2 + f h f 2 ] + [ c h c + f h f ] f [h f 2 h f ] = c [h c h c2 ] h h h c h c2 h f 2 h c h c2 h f 2 h f h f s x
19 Echangeur à contre-courant c chaud froid 2 f Bilan d énergie pour un écoulement stationnaire f [h f 2 h f ] = c [h c2 h c ] h h h c2 h f 2 h c2 h f 2 h c h f h c h f s x Cas particulier Fluides chaud et froid de même nature Débits massiques égaux Bilan d énergie entre x et x + dx [ h c (x) + h f (x + dx)] [ h c (x + dx) + h f (x)] = 0 x x + dx dh c dx = dh f dx Cp dt c dx = Cp dt f dx T c T f = cte
20 On suppose que le flux d énergie thermique entre les fluides chaud et froid est proportionnel à l écart de température : ϕ = α (T c T f ) x ϕ L dx x + dx Bilan d énergie du fluide froid entre x et x + dx : 0 = h f (x + dx) + h f (x) + α (T c T f ) L dx dt f dx = α (T c T f ) L Cp = cte 5. Générateur de vapeur vapeur Q > 0 Caractéristiques : D Stationnaire Variation d énergies cinétique et potentielle négligeables Pas de travail échangé Pression quasiment constante liquide Bilan d énergie appliqué au fluide compris dans le générateur de vapeur : 0 = h s + h e + Q Cp v T s T sat + L v + Cp l T sat T e = Q T T s T sat T e L V P = cte s
21 6. Condenseur liquide Q < 0 Caractéristiques : D Stationnaire Variation d énergies cinétique et potentielle négligeables Pas de travail échangé Pression quasiment constante vapeur humide Bilan d énergie appliqué au fluide compris dans le condenseur : T h s h e = Q Cp l T s T sat x L v = Q T sat T s L V x = cte s
Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie
Chapitre 5 Premier principe de la thermodynamique - conservation de l énergie 5.1 Bilan d énergie 5.1.1 Énergie totale d un système fermé L énergie totale E T d un système thermodynamique fermé de masse
Plus en détailPremier principe : bilans d énergie
MPSI - Thermodynamique - Premier principe : bilans d énergie page 1/5 Premier principe : bilans d énergie Table des matières 1 De la mécanique à la thermodynamique : formes d énergie et échanges d énergie
Plus en détailChapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique
Chapitre 4 Le deuxième principe de la thermodynamique 43 4.1. Evolutions réversibles et irréversibles 4.1.1. Exemples 4.1.1.1. Exemple 1 Reprenons l exemple 1 du chapitre précédent. Une masse est placée
Plus en détailChapitre 11 Bilans thermiques
DERNIÈRE IMPRESSION LE 30 août 2013 à 15:40 Chapitre 11 Bilans thermiques Table des matières 1 L état macroscopique et microcospique de la matière 2 2 Énergie interne d un système 2 2.1 Définition.................................
Plus en détailDYNAMIQUE DE FORMATION DES ÉTOILES
A 99 PHYS. II ÉCOLE NATIONALE DES PONTS ET CHAUSSÉES, ÉCOLES NATIONALES SUPÉRIEURES DE L'AÉRONAUTIQUE ET DE L'ESPACE, DE TECHNIQUES AVANCÉES, DES TÉLÉCOMMUNICATIONS, DES MINES DE PARIS, DES MINES DE SAINT-ÉTIENNE,
Plus en détailPhysique : Thermodynamique
Correction du Devoir urveillé n o 8 Physique : hermodynamique I Cycle moteur [Véto 200] Cf Cours : C P m C V m R relation de Mayer, pour un GP. C P m γr γ 29, 0 J.K.mol et C V m R γ 20, 78 J.K.mol. 2 Une
Plus en détailChapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES
Chapitre 3 LES GAZ PARFAITS : EXEMPLES DE CALCULS DE GRANDEURS THERMODYNAMIQUES Entropie de mélange. - Evolution adiabatique. - Autres évolutions réversibles et irréversibles. L ensemble de ce chapitre
Plus en détailLes calculatrices sont autorisées
Les calculatrices sont autorisées Le sujet comporte quatre parties indépendantes. Les parties 1 et portent sur la mécanique (de la page à la page 7). Les parties 3 et 4 portent sur la thermodnamique (de
Plus en détailCOURS DE THERMODYNAMIQUE
I.U.T. de Saint-Omer Dunkerque Département Génie Thermique et énergie COURS DE THERMODYNAMIQUE eme Semestre Olivier PERROT 010-011 1 Avertissement : Ce cours de thermodynamique présente quelques applications
Plus en détailSystème formé de deux points
MPSI - 2005/2006 - Mécanique II - Système formé de deux points matériels page /5 Système formé de deux points matériels Table des matières Éléments cinétiques. Éléments cinétiques dans R.......................2
Plus en détailOptimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique
Optimisation des systèmes énergétiques Master 1 : GSI Génie Energétique et Thermique Année 2009-2010 2008-09 Stéphane LE PERSON Maître de Conférences Université Joseph Fourier Jean-Paul THIBAULT LEGI UMR
Plus en détailL énergie sous toutes ses formes : définitions
L énergie sous toutes ses formes : définitions primaire, énergie secondaire, utile ou finale. Quelles sont les formes et les déclinaisons de l énergie? D après le dictionnaire de l Académie française,
Plus en détailErratum de MÉCANIQUE, 6ème édition. Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 10 11 m 3 kg 1 s 2
Introduction Page xxi (milieu de page) G = 6, 672 59 1 11 m 3 kg 1 s 2 Erratum de MÉCANIQUE, 6ème édition Page xxv (dernier tiers de page) le terme de Coriolis est supérieur à 1% du poids) Chapitre 1 Page
Plus en détailThermodynamique (Échange thermique)
Thermodynamique (Échange thermique) Introduction : Cette activité est mise en ligne sur le site du CNRMAO avec l autorisation de la société ERM Automatismes Industriels, détentrice des droits de publication
Plus en détailCours de turbomachine à fluide compressible
Cours de turbomachine à fluide compressible Xavier OAVY CNRS UMR 5509 Laboratoire de Mécanique des Fluides et d Acoustique à l École Centrale de Lyon Plan du cours Cours de turbomachine Xavier Ottavy (CNRS
Plus en détailCONCOURS COMMUN 2010 PHYSIQUE
CONCOUS COMMUN SUJET A DES ÉCOLES DES MINES D ALBI, ALÈS, DOUAI, NANTES Épreuve de Physique-Chimie (toutes filières) Corrigé Barème total points : Physique points - Chimie 68 points PHYSIQUE Partie A :
Plus en détailVariantes du cycle à compression de vapeur
Variantes du cycle à compression de vapeur Froid indirect : circuit à frigoporteur Cycle mono étagé et alimentation par regorgement Cycle bi-étagé en cascade Froid direct et froid indirect Froid direct
Plus en détailQuantité de mouvement et moment cinétique
6 Quantité de mouvement et moment cinétique v7 p = mv L = r p 1 Impulsion et quantité de mouvement Une force F agit sur un corps de masse m, pendant un temps Δt. La vitesse du corps varie de Δv = v f -
Plus en détailOM 1 Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables
Outils mathématiques : fonction de plusieurs variables PCSI 2013 2014 Certaines partie de ce chapitre ne seront utiles qu à partir de l année prochaine, mais une grande partie nous servira dès cette année.
Plus en détailDatacentre : concilier faisabilité, performance et éco-responsabilité
Datacentre : concilier faisabilité, performance et éco-responsabilité La climatisation des salles informatiques: compréhension et état des lieux Charles Vion, Responsable Service Projet Sylvain Ferrier,
Plus en détailInitiation à la Mécanique des Fluides. Mr. Zoubir HAMIDI
Initiation à la Mécanique des Fluides Mr. Zoubir HAMIDI Chapitre I : Introduction à la mécanique des fluides 1 Introduction La mécanique des fluides(mdf) a pour objet l étude du comportement des fluides
Plus en détailU-31 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES
Session 200 BREVET de TECHNICIEN SUPÉRIEUR CONTRÔLE INDUSTRIEL et RÉGULATION AUTOMATIQUE E-3 SCIENCES PHYSIQUES U-3 CHIMIE-PHYSIQUE INDUSTRIELLES Durée : 2 heures Coefficient : 2,5 Durée conseillée Chimie
Plus en détail2.0. Ballon de stockage : Marque : Modèle : Capacité : L. Lien vers la documentation technique : http://
2.0. Ballon de stockage : Capacité : L Lien vers la documentation technique : http:// Retrouver les caractéristiques techniques complètes (performances énergétiques et niveau d isolation, recommandation
Plus en détailPrincipes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique
Principes généraux de la modélisation de la dispersion atmosphérique Rémy BOUET- DRA/PHDS/EDIS remy.bouet@ineris.fr //--12-05-2009 1 La modélisation : Les principes Modélisation en trois étapes : Caractériser
Plus en détailCalcul intégral élémentaire en plusieurs variables
Calcul intégral élémentaire en plusieurs variables PC*2 2 septembre 2009 Avant-propos À part le théorème de Fubini qui sera démontré dans le cours sur les intégrales à paramètres et qui ne semble pas explicitement
Plus en détailCours de mécanique des fluides. Olivier LOUISNARD
Cours de mécanique des fluides Olivier LOUISNARD 25 septembre 2012 Cette création est mise à disposition selon le Contrat Paternité-Pas d Utilisation Commerciale-Pas de Modification 2.0 France disponible
Plus en détailContenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière
Contenu pédagogique des unités d enseignement Semestre 1(1 ère année) Domaine : Sciences et techniques et Sciences de la matière Algèbre 1 : (Volume horaire total : 63 heures) UE1 : Analyse et algèbre
Plus en détailExercice 1. Exercice n 1 : Déséquilibre mécanique
Exercice 1 1. a) Un mobile peut-il avoir une accélération non nulle à un instant où sa vitesse est nulle? donner un exemple illustrant la réponse. b) Un mobile peut-il avoir une accélération de direction
Plus en détailÀ propos d ITER. 1- Principe de la fusion thermonucléaire
À propos d ITER Le projet ITER est un projet international destiné à montrer la faisabilité scientifique et technique de la fusion thermonucléaire contrôlée. Le 8 juin 005, les pays engagés dans le projet
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailProjet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com
Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,
Plus en détail1 Thermodynamique: première loi
1 hermodynamique: première loi 1.1 Énoncé L énergie d un système isolé est constante, L énergie de l univers est constante, de univers = de syst + de env. = 0 1 L énergie d un système est une fonction
Plus en détailSTI2D : Enseignements Technologiques Transversaux
STI2D : Enseignements Technologiques Transversaux Activité : Etude des transfert énergétiques dans la cafetière Nespresso Problématique : On calcule la puissance électrique consommée, on détermine l énergie
Plus en détailTSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité 1
TSTI 2D CH X : Exemples de lois à densité I Loi uniforme sur ab ; ) Introduction Dans cette activité, on s intéresse à la modélisation du tirage au hasard d un nombre réel de l intervalle [0 ;], chacun
Plus en détailPhysique, chapitre 8 : La tension alternative
Physique, chapitre 8 : La tension alternative 1. La tension alternative 1.1 Différence entre une tension continue et une tension alternative Une tension est dite continue quand sa valeur ne change pas.
Plus en détailDM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique
DM n o 8 TS1 2012 Physique 10 (satellites) + Chimie 12 (catalyse) Exercice 1 Lancement d un satellite météorologique Le centre spatial de Kourou a lancé le 21 décembre 200, avec une fusée Ariane, un satellite
Plus en détailÉJECTEURS. CanmetÉNERGIE Juillet 2009
ÉJECTEURS CanmetÉNERGIE Juillet 2009 ÉJECTEURS 1 ÉJECTEURS INTRODUCTION Les éjecteurs sont activés par la chaleur perdue ou la chaleur provenant de sources renouvelables. Ils sont actionnés directement
Plus en détailContinuité et dérivabilité d une fonction
DERNIÈRE IMPRESSIN LE 7 novembre 014 à 10:3 Continuité et dérivabilité d une fonction Table des matières 1 Continuité d une fonction 1.1 Limite finie en un point.......................... 1. Continuité
Plus en détailALFÉA HYBRID DUO FIOUL BAS NOX
ALFÉA HYBRID BAS NOX POMPE À CHALEUR HYBRIDE AVEC APPOINT FIOUL INTÉGRÉ HAUTE TEMPÉRATURE 80 C DÉPART D EAU JUSQU À 60 C EN THERMODYNAMIQUE SOLUTION RÉNOVATION EN REMPLACEMENT DE CHAUDIÈRE FAITES CONNAISSANCE
Plus en détailNOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES
CHAPITRE 1 NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1 suite Chapitre 1 : NOTIONS FONDAMENTALES SUR LES ENERGIES 1.1 Généralités 1.2 L'énergie dans le monde 1.2.1 Qu'est-ce que l'énergie? 1.2.2 Aperçu sur
Plus en détailLE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation:
1 www.cetime.ind.tn LE CETIME votre partenaire pour le progrès et l innovation: met à votre disposition des compétences et des moyens techniques pour vous assister dans vos démarches d innovation et d
Plus en détailSUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION)
Terminale S CHIMIE TP n 2b (correction) 1 SUIVI CINETIQUE PAR SPECTROPHOTOMETRIE (CORRECTION) Objectifs : Déterminer l évolution de la vitesse de réaction par une méthode physique. Relier l absorbance
Plus en détailÉconomie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante
Économie d énergie dans les centrales frigorifiques : La haute pression flottante Juillet 2011/White paper par Christophe Borlein membre de l AFF et de l IIF-IIR Make the most of your energy Sommaire Avant-propos
Plus en détailEnergie nucléaire. Quelques éléments de physique
Energie nucléaire Quelques éléments de physique Comment produire 1 GW électrique Nucléaire (rendement 33%) Thermique (38%) Hydraulique (85%) Solaire (10%) Vent : 27t d uranium par an : 170 t de fuel par
Plus en détailPhysique 1 TEMPÉRATURE, CHALEUR
hysique EMÉRAURE, CHALEUR rof. André errenoud Edition mai 8 Andre.errenoud (at) heig-vd.ch HEIG-D / AD A B L E D E S M A I E R E S AGE. INRODUCION.... NOIONS DE EMÉRAURE E DE CHALEUR.... LES ÉCHANGES
Plus en détailYutampo La solution 100 % énergie renouvelable
Chauffe-eau thermodynamique pour le résidentiel Yutampo La solution 100 % énergie renouvelable MAISONS INDIVIDUELLES NEUVES OU À RÉNOVER YUTAMPO u Idéal pour l eau chaude sanitaire Meilleur chauffe-eau
Plus en détailL efficience énergétique...
......Une technique intelligente de régulation au service Edgar Mayer Product Manager CentraLine c/o Honeywell GmbH 02 I 2009 Grâce aux techniques de régulation intelligentes d aujourd hui, il est possible
Plus en détailPHYSIQUE Discipline fondamentale
Examen suisse de maturité Directives 2003-2006 DS.11 Physique DF PHYSIQUE Discipline fondamentale Par l'étude de la physique en discipline fondamentale, le candidat comprend des phénomènes naturels et
Plus en détailTP 7 : oscillateur de torsion
TP 7 : oscillateur de torsion Objectif : étude des oscillations libres et forcées d un pendule de torsion 1 Principe général 1.1 Définition Un pendule de torsion est constitué par un fil large (métallique)
Plus en détailDifférents types de matériaux magnétiques
Différents types de matériaux magnétiques Lien entre propriétés microscopiques et macroscopiques Dans un matériau magnétique, chaque atome porte un moment magnétique µ (équivalent microscopique de l aiguille
Plus en détailDROUHIN Bernard. Le chauffe-eau solaire
DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire DROUHIN Bernard Le chauffe-eau solaire Principe de fonctionnement Les Capteurs Les ballons Les organes de sécurité Les besoins L ensoleillement dimensionnement Comment
Plus en détailVENTILATION POUR LE CONFORT D ETE
le climat et l'environnement du bâtiment Pourquoi ventiler? VENTILATION POUR LE CONFORT D ETE La ventilation consiste à renouveler l air d une pièce ou d un bâtiment. Elle agit directement sur la température
Plus en détailProduction d eau chaude sanitaire thermodynamique, que dois-je savoir?
COURS-RESSOURCES Production d eau chaude sanitaire thermodynamique, que Objectifs : / 1 A. Les besoins en eau chaude sanitaire La production d'eau chaude est consommatrice en énergie. Dans les pays occidentaux,
Plus en détailLycée Galilée Gennevilliers. chap. 6. JALLU Laurent. I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2
Lycée Galilée Gennevilliers L'énergie nucléaire : fusion et fission chap. 6 JALLU Laurent I. Introduction... 2 La source d énergie nucléaire... 2 II. Équivalence masse-énergie... 3 Bilan de masse de la
Plus en détail3ème séance de Mécanique des fluides. Rappels sur les premières séances Aujourd hui : le modèle du fluide parfait. 2 Écoulements potentiels
3ème séance de Mécanique des fluides Rappels sur les premières séances Aujourd hui : le modèle du fluide parfait 1 Généralités 1.1 Introduction 1.2 Équation d Euler 1.3 Premier théorème de Bernoulli 1.4
Plus en détailPlan du chapitre «Milieux diélectriques»
Plan du chapitre «Milieux diélectriques» 1. Sources microscopiques de la polarisation en régime statique 2. Etude macroscopique de la polarisation en régime statique 3. Susceptibilité diélectrique 4. Polarisation
Plus en détailEau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE
FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER
Plus en détailCHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE
CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES I CHAÎNES ÉNERGÉTIQUES. II PUISSANCE ET ÉNERGIE I Chaine énergétique a- Les différentes formes d énergie L énergie se mesure en Joules, elle peut prendre différentes formes : chimique,
Plus en détailFRnOG, 25/01/2013. Marilyn, un datacenter vertical
FRnOG, 25/01/2013 Marilyn, un datacenter vertical www.celeste.fr Marilyn, un datacenter vertical Pourquoi un datacenter? Pourquoi l air? Pourquoi vertical? Qui est CELESTE? CELESTE est fournisseur d accès
Plus en détailLe chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs
Le chauffe-eau à pompe à chaleur: fiche technique à l intention des installateurs 1. Bases 1.1. Fonctionnement du chauffe-eau à pompe à chaleur (CEPAC) Comme son nom l indique, un chauffe-eau pompe à chaleur
Plus en détail8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles. f : R 2 R (x, y) 1 x 2 y 2
Chapitre 8 Fonctions de plusieurs variables 8.1 Généralités sur les fonctions de plusieurs variables réelles Définition. Une fonction réelle de n variables réelles est une application d une partie de R
Plus en détailIntroduction aux plasmas. Magneto-hydrodynamique
Master 1 de Physique 2ème année de Magistère de Physique Université Joseph Fourier Introduction aux plasmas magnétisés Magneto-hydrodynamique Jonathan Ferreira IPAG- Institut de Planétologie et d Astrophysique
Plus en détailFICHE INFORMATION. Le Comptage comptage individuel. Votre partenaire en économie d énergie
FICHE INFORMATION Le Comptage comptage individuel de du l eau chauffage Votre partenaire en économie d énergie Le répartiteur de frais de chauffage Le répartiteur est un appareil de mesure du chauffage
Plus en détailTechnologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost
Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage M. Prévost Version V2/ nov 2006 Structure du cours Partie 1 : Introduction Partie 2 : Mise en contact de Gaz et de
Plus en détailSystèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage
Systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage Les objectifs d'apprentissage: Cet exposé vous informera au sujet des systèmes de récupération de chaleur des eaux de drainage (SRCED) et: Comment
Plus en détailde l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur
de l eau chaude pour toute l a famille, disponible à tout moment. Pompe à chaleur pour la production d Eau Chaude Sanitaire pompes á chaleur Eau chaude et confort à votre portée! La meilleure façon de
Plus en détail8 Ensemble grand-canonique
Physique Statistique I, 007-008 8 Ensemble grand-canonique 8.1 Calcul de la densité de probabilité On adopte la même approche par laquelle on a établi la densité de probabilité de l ensemble canonique,
Plus en détailFiche de lecture du projet de fin d étude
GENIE CLIMATIQUE ET ENERGETIQUE Fiche de lecture du projet de fin d étude Analyse du phénomène de condensation sur l aluminium Par Marine SIRE Tuteurs : J.C. SICK Manager du Kawneer Innovation Center &
Plus en détailManuel de validation Fascicule v4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques
Titre : TTLV100 - Choc thermique dans un tuyau avec condit[...] Date : 02/03/2010 Page : 1/10 Manuel de Validation Fascicule V4.25 : Thermique transitoire des structures volumiques Document : V4.25.100
Plus en détailTravaux sur les systèmes de chauffage et d'eau chaude sanitaire
Réhabilitation énergétique des copropriétés normandes construites entre 1948 et 1974 Travaux sur les systèmes de chauffage et d'eau chaude sanitaire Situation existante et enjeux Les différents diagnostics
Plus en détailSaisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique
Fiche d application : Saisie des chauffe-eau thermodynamiques à compression électrique Date Modification Version 01 décembre 2013 Précisions sur les CET grand volume et sur les CET sur air extrait 2.0
Plus en détailT.P. FLUENT. Cours Mécanique des Fluides. 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY
T.P. FLUENT Cours Mécanique des Fluides 24 février 2006 NAZIH MARZOUQY 2 Table des matières 1 Choc stationnaire dans un tube à choc 7 1.1 Introduction....................................... 7 1.2 Description.......................................
Plus en détailLE CHAUFFAGE. Peu d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien. Pas d entretien. Pas d entretien. Entretien. fréquent. Peu d entretien.
LE CHAUFFAGE 1. LE CHAUFFAGE ELECTRIQUE Le chauffage électrique direct ne devrait être utilisé que dans les locaux dont l isolation thermique est particulièrement efficace. En effet il faut savoir que
Plus en détailF411 - Courbes Paramétrées, Polaires
1/43 Courbes Paramétrées Courbes polaires Longueur d un arc, Courbure F411 - Courbes Paramétrées, Polaires Michel Fournié michel.fournie@iut-tlse3.fr http://www.math.univ-toulouse.fr/ fournie/ Année 2012/2013
Plus en détailUNITÉ DE PROGRAMME : S9UP1 Modélisation de la turbulence
UNITÉ DE PROGRAMME : S9UP1 Modélisation de la turbulence Modélisation de la turbulence Auteur : Yann MARCHESSE Département : Mécanique et Énergétique Édition : Année universitaire 2009-2010 ÉCOLE CATHOLIQUE
Plus en détailInteractions des rayonnements avec la matière
UE3-1 : Biophysique Chapitre 2 : Interactions des rayonnements avec la matière Professeur Jean-Philippe VUILLEZ Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés.
Plus en détailRetour d expérience, portage de code Promes dans le cadre de l appel à projets CAPS-GENCI
, portage de code Promes dans le cadre de l appel à projets CAPS-GENCI PROMES (UPR 8521 CNRS) Université de Perpignan France 29 juin 2011 1 Contexte 2 3 4 Sommaire Contexte 1 Contexte 2 3 4 Laboratoire
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détail2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D, E, F (voir pages suivantes).
SUJET DE CONCOURS Sujet Exploitation d une documentation scientifique sur le thème de l énergie 2 e partie de la composante majeure (8 points) Les questions prennent appui sur six documents A, B, C, D,
Plus en détailSIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE
SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation
Plus en détailPhénomènes dangereux et modélisation des effets
Phénomènes dangereux et modélisation des effets B. TRUCHOT Responsable de l unité Dispersion Incendie Expérimentations et Modélisations Phénomènes dangereux Description et modélisation des phénomènes BLEVE
Plus en détailProgramme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle
Profil des compétences professionnelles Programme-cadre et détail du programme des examens relatifs aux modules des cours de technologie, théorie professionnelle Organisation pratique Détail du programme
Plus en détailCentre de Développement des Energies Renouvelables Caractéristiques techniques des Chauffe-eau eau solaires M. Mohamed El Haouari Directeur du Développement et de la Planification Rappels de thermique
Plus en détailFormation à la C F D Computational Fluid Dynamics. Formation à la CFD, Ph Parnaudeau
Formation à la C F D Computational Fluid Dynamics Formation à la CFD, Ph Parnaudeau 1 Qu est-ce que la CFD? La simulation numérique d un écoulement fluide Considérer à présent comme une alternative «raisonnable»
Plus en détailTHEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE
THEME 2. LE SPORT CHAP 1. MESURER LA MATIERE: LA MOLE 1. RAPPEL: L ATOME CONSTITUANT DE LA MATIERE Toute la matière de l univers, toute substance, vivante ou inerte, est constituée à partir de particules
Plus en détailRepérage d un point - Vitesse et
PSI - écanique I - Repérage d un point - Vitesse et accélération page 1/6 Repérage d un point - Vitesse et accélération Table des matières 1 Espace et temps - Référentiel d observation 1 2 Coordonnées
Plus en détailWhitepaper. La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur. Système de régulation. Réacteur. de température
Whitepaper Mettre en température économiquement La solution parfaite pour la mise en température d un réacteur La mise en température de réacteur dans les laboratoires et les unités pilotes de l industrie
Plus en détailChangements proposés au Règlement de l Office national de l énergie sur les rapports relatifs aux exportations et importations 1
Changements proposés au Règlement de l Office national de l énergie sur les rapports relatifs aux exportations et importations 1 TITRE ABRÉGÉ 1. Règlement de l Office national de l énergie sur les rapports
Plus en détailSOLAIRE BALLERUP LA VILLE CONTEXTE. (Danemark) Ballerup
SOLAIRE BALLERUP (Danemark) Utiliser l énergie solaire thermique avec un système de stockage de chaleur classique à accumulation et à régulation sur une longue période est une des alternatives les plus
Plus en détailNouvelle réglementation
Nouvelle réglementation [ ecodesign ] Directive 2009/125/EC à compter du 01/01/2013, les importations de produits à faible efficacité énergétique SEER et SCOP seront interdites en Europe La nouvelle réglementation
Plus en détailAnnexe 3 Captation d énergie
1. DISPOSITIONS GENERALES 1.a. Captation d'énergie. Annexe 3 Captation Dans tous les cas, si l exploitation de la ressource naturelle est soumise à l octroi d un permis d urbanisme et/ou d environnement,
Plus en détailConférence Enjeux énergétiques et Développement durable (3.12.14)
Conférence Enjeux énergétiques et Développement durable (3.12.14) La conférence Enjeux énergétiques et Développement durable est organisée et réalisée par Junium Diffusion. Elle s articule en 3 parties
Plus en détailSciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE ENERGIE THERMIQUE
Sciences et Technologies de l Industrie et du Développement Durable ENERGIE THERMIQUE 1 ère STI2D CI5 : Efficacité énergétique active TP1 EE ENERGIE THERMIQUE INSTRUCTIONS PERMANENTES DE SÉCURITÉ 1. Avant
Plus en détail>> Une solution pour chaque projet
Dossier spécial eau chaude sanitaire JUIN 2013 L eau chaude sanitaire par De Dietrich >> Une solution pour chaque projet solaire bois pompes à chaleur Condensation fioul/gaz Le Confort Durable L eau chaude
Plus en détailSujet proposé par Yves M. LEROY. Cet examen se compose d un exercice et de deux problèmes. Ces trois parties sont indépendantes.
Promotion X 004 COURS D ANALYSE DES STRUCTURES MÉCANIQUES PAR LA MÉTHODE DES ELEMENTS FINIS (MEC 568) contrôle non classant (7 mars 007, heures) Documents autorisés : polycopié ; documents et notes de
Plus en détailDIAGNOSTIC DE PERFORMANCE ENERGETIQUE TERTIAIRE
DATE : 14/02/2011 N AFFAIRE : 003387/2255629/1/1 ANNEE DE CONSTRUCTION : NON COMMUNIQUE SURFACE UTILE : 489.44 TYPE DE BATIMENT : IMMEUBLE D HABITATION + BUREAUX TYPE D ACTIVITES : ADMINISTRATION - BUREAUX
Plus en détailQuelques chiffres clés de l énergie et de l environnement
Quelques chiffres clés de l énergie et de l environnement GSE 2011-2012 I.1 Que représente : - 1 kcal en kj? : 1 kcal = 4,187 kj - 1 frigorie (fg) en kcal? : 1 fg = 1 kcal - 1 thermie (th) en kcal? : 1
Plus en détailDalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton
Dalle Activ Kerkstoel Activation du noyau de béton Basé sur l expérience, piloté par l innovation L activation du noyau de béton : un système bien conçu, économe et durable. Construire selon ce principe,
Plus en détailProfitez au mieux de votre logement économe en énergie. Bâtiment basse consommation. Ce qu il faut savoir et comment vous adapter
CONSEILS AUX PARTICULIERS Bâtiment basse consommation Profitez au mieux de votre logement économe en énergie Ce qu il faut savoir et comment vous adapter Que vous apporte un bâtiment économe en énergie?
Plus en détail