POINT DE VUE DU RESPONSABLE TECHNIQUE DANS LA PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX ENVIRONNEMENTAL. P. DI MAJO, Ingénieur Technique, CHAL 08/12/2016
|
|
- Jean-Sébastien Dubois
- il y a 6 ans
- Total affichages :
Transcription
1 1 POINT DE VUE DU RESPONSABLE TECHNIQUE DANS LA PREVENTION DU RISQUE INFECTIEUX ENVIRONNEMENTAL P. DI MAJO, Ingénieur Technique, CHAL
2 Un partenaire incontournable 2 Une réalité: Le conditionnement de l air et de l eau en vue des différents usages hospitaliers passe par des installations techniques. La conception, les conditions d exploitation/ maintenance, les travaux = facteurs de risques sanitaires L air et l eau contiennent naturellement et peuvent transmettre de nombreux micro-organismes Les installations techniques mal conçues ou mal exploitées peuvent offrir des conditions de prolifération optimisées = majoration du risque de transmission
3 Qu attend-on du responsable technique? 3 Une connaissance: La réglementation Le Guide Technique de l Eau dans les Etablissements de Santé (circulaire DHOS/2005) Les textes spécifiques Arrêté du 01/02/2010 (Légionellose) Norme AFRNOR NFS avril 2013 (qualité d air) Recommandations diverses SF2H, CCLIN, Ecologie microbienne et des modes de transmission Bonnes pratiques de conception et d exploitation/maintenance des installations techniques (ex: DTU) Personnes ou sociétés ressources
4 Qu attend-on du responsable technique? 4 Une démarche volontaire et méthodique: S inscrire dans une démarche vertueuse de la prévention des risques liés aux soins Associer les correspondants de l Unité d Hygiène et les responsables d unités dans: la recherche et la définition de solutions techniques selon les besoins (neuf, réhabilitation) La préparation et le suivi des travaux et de la maintenance en coactivité le suivi de la qualité de l eau et de l air et des actions préventives et curatives La rédaction de modes opératoires et procédures qui traduisent les bonnes pratiques des acteurs techniques Participer à l information et à la formation des acteurs techniques (ambassadeur)
5 d origine hydrique (1/5) 5 Une bonne connaissance des installations, des réseaux, des besoins et des usages réels: Plans, documentations techniques, équipements.. Stagnation : analyse structurelle et conjoncturelle Température (EF < 25 C / 60 C>ECS>50 C avec max 50 C salles Bras demorts bains) Calorifugeage du réseau Équilibrage Suivi des températures Corrosion Entartage Retours d eaux polluée/ équilibrage des pressions EF-ECS aux points d usage Un suivi de la qualité de l eau : plan d échantillonnage et d interprétation des résultats
6 d origine hydrique (2/5) 6 Opérations de maintenance : Plan de maintenance Gammes préventives (comptage d eaux, disconnecteurs, clapets antiretours, détartrage, chasses et purges, filtres, adoucisseurs, remplacement d éléments corrodés ou fuyants, débits, pressions, températures, calorifugeages, électrovannes, pompes, etc..) Protocoles et procédures de maintenance Evaluation Traçabilité: Carnet sanitaire Outil de gestion de la maintenance assistée par ordinateur (GMAO)
7 d origine hydrique (3/5) 7 Les mesures curatives (nettoyage et/ou désinfection): Paramètres à prendre en compte La possibilité ou non de maintenir l usage de l eau La partie du réseau concernée (distribution? Équipements terminaux?) La nature des matériaux constituant le réseau leur niveau d intégrité apparente et leur compatibilité avec les produits de désinfection Le niveau de contamination à traiter.
8 d origine hydrique (4/5) 8 Stratégie globale: Si l interruption obligatoire de la distribution de l eau est possible: Nettoyage, Désinfection par chocs thermiques : 70 C mini pendant 30 minutes sur chaque point Désinfection choc chimiques (composés chlorés): 100mg/l de chlore libre 1h Ou 50 mg/l de chlore libre 12h Ou 15 mg/l de chlore libre 24h Si la continuité des usages de l eau est nécessaire: filtration terminale Désinfection chimique (ex composés chlorés = chlore libre < 1mg/l)
9 d origine hydrique (5/5) 9 Plan d amélioration de la qualité de l eau: Comité de suivi interdisciplinaire Etat des lieux Diagnostic sanitaire des réseaux d eaux Episodes récurrents de contamination Cas suspects ou avérés d infections nosocomiales d origine hydrique, Plan d actions pluriannuel d amélioration Classement par criticité (gravité x fréquence): priorisation des actions Pilote Chiffrage et planification des actions Démarche valorisable dans le Compte Qualité V2014) (Certification
10 d origine aérienne (1/7) 10 Une bonne connaissance des installations, des réseaux, de la règlementation, des besoins et des usages réels: Performances: Confort thermique des ambiances Exigences spécifiques liées à certains équipements (ex: température et hygrométrie maitrisées pour le bon fonctionnement de certains appareils de radiologie) Exigences sanitaires pour les locaux d usage courant (règlement sanitaire départemental = 20 à 50 m3/h d air neuf) Exigences liées au risque d exposition aux produits toxiques (locaux à pollution spécifique)
11 d origine aérienne (2/7) 11 Performances: Zones à Environnement Maitrisés : Norme AFNOR NF S avril 2013: Classement des locaux en classe de risque 2 à 4 (ISO 8 à ISO 5) selon: La propreté particulaire (particules/m3 d air) La cinétique de décontamination particulaire La propreté microbiologique (UFC/m3) Le taux de brassage et le taux d air neuf Le régime de pression différentiel (15 Pa) Guide de Bonnes pratiques Pharmaceutiques (classes A, B, C ou D) Chambres sassées: la conception permet une aide architecturale et technique dans la mise en place des précautions standards : filtration, taux de brassage, maîtrise d un régime de pression positif (protecteur) / négatif (gouttelettes)
12 d origine aérienne (3/7) 12 Plans, documentations techniques, équipements.. Un plan de surveillance de la qualité de l air et du niveau de maitrise des ambiances classées
13 d origine aérienne(4/7) 13 Mesures préventives: Plan de maintenance Gammes préventives (centrales de traitement d air, perte de charge des filtres, intégrité des filtres absolus, système d humidification, batteries chaudes et froide, variateurs de vitesse, étancheité et propreté des réseaux de ventilation, des diffuseurs,.) Protocoles et procédures de maintenance Evaluation Traçabilité: Carnet sanitaire AIR Outil de gestion de la maintenance assistée par ordinateur (GMAO)
14 d origine aérienne(5/7) 14 Travaux /mesures de confinement: Grille de cotation du risque aspergilaire Analyse de risque Adaptation des travaux, réduction partielle ou complète de l activité, adapter les flux, définir les flux chantier,... Dispositif de réduction des émissions de poussières Confinement, aspirateur à filtre absolu, pulvérisation de DD, tapis antipoussières, surhabillage, Bionnetoyage Mesure d aérobiocontamination avant reprise d activité
15 d origine aérienne(6/7) 15 Les mesures curatives (nettoyage et/ou désinfection): Paramètres à prendre en compte La partie du réseau concernée (CTA? réseau de ventilation? Diffuseurs terminaux?) Nettoyage par aspiration puis application d un détergent/ désinfectant de surface ou spray (idéalement fongicide). Les réseaux correspondant aux extractions sont généralement les plus pollués Remplacement des filtres: Encrassement= perte des débits et de l efficacité antimicrobienne Vérifier intégrité et étanchéité de la pose des filtres HEPA
16 d origine aérienne(7/7) 16 Plan d amélioration de la qualité de l air: Comité de suivi interdisciplinaire Etat des lieux Diagnostic sanitaire des réseaux d air Episodes récurrents de constats visuels de saleté voire chute de poussières Cas suspects ou avérés d infections nosocomiales d origine aérienne Plan d actions pluriannuel d amélioration Classement par criticité (gravité x fréquence): priorisation des actions Pilote Chiffrage et planification des actions Démarche valorisable dans le Compte Qualité V2014) (Certification
17 CONCLUSION 17 Aucun de nous ne sait ce que nous savons tous, ensemble. Euripide, dramaturge
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique
Ouverture d un pavillon médical : Mesures mises en œuvre pour la mise en eau et suivi bactériologique Congrès de la SF2H - 9 Juin 2011 S. Coudrais Biohygiéniste Unité d Hygiène et Epidémiologie - Groupement
Plus en détailHygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD. Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage. Jeudi 28 mai 2009
Hygiène et prévention du risque infectieux en EHPAD Maîtrise de la bio contamination et place du bio nettoyage Jeudi 28 mai 2009 Alain LEFEBVRE - Cadre supérieur de santé Hygiéniste 1 Le bio nettoyage
Plus en détailGénie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité
Génie climatique Production de froid Installation - Réalisation Électricité Préambule Venir chez SE2M, c est vous faire profiter de notre expertise de plus de 10 ans d expérience dans l exercice de notre
Plus en détailSYSTEM O. Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire
SYSTEM O Un système unique pour des réseaux distincts Eau froide sanitaire Eau chaude sanitaire CONCEPTION, CHOIX DES MATÉRIAUX ET MAINTENANCE : La sécurité des réseaux passe par une bonne conception,
Plus en détailThème Techniques : 9. Mécanique et maintenance industrielle. 10. Electricité, électronique, électrotechnique et automatisme
Thème Techniques : 9. Mécanique et maintenance industrielle 10. Electricité, électronique, électrotechnique et automatisme 11. Qualité et gestion de la production 12. Hydraulique 13. Organisation industrielle
Plus en détailBio nettoyage au bloc opératoire
Bio nettoyage au bloc opératoire Béatrice CROZE Infirmière hygiéniste Service d hygiène et d épidémiologie novembre 2012 Le bio nettoyage au bloc L impression omniprésente de travailler dans l urgence
Plus en détailDénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement :
1 Carnet de suivi du système de refroidissement Dénomination de l installation : Adresse du système de refroidissement : 2 Mode d emploi du carnet de suivi Le carnet de suivi du système de refroidissement
Plus en détailCARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU
CARNET SANITAIRE DE VOTRE INSTALLATION D'EAU (Indiquer le nom de l installation) Directions Régionale et Départementales des Affaires Sanitaires et Sociales du Nord-Pas-de-Calais Ministère de l emploi,
Plus en détail4 PROTOCOLES DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION A APPLIQUER 1 - PROCEDURE APPROFONDIE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES VEHICULES
PROTOCOLE DE NETTOYAGE ET DE DESINFECTION DES TRANSPORTS SANITAIRES ET DE LEURS MATERIELS Selon les protocoles du CLIN, du SMUR 54 et du Groupe Synapse (69) Pour assurer une efficacité optimale du nettoyage
Plus en détailConception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments
Conception et maintenance des réseaux d eau à l intérieur des bâtiments Olivier CORREC Mél : olivier.correc@cstb.fr Contexte des réseaux d eau sanitaire Exigences générales : o Sécuriser la consommation
Plus en détailAnnexes jointes Annexe 1 : Fiches d entretien par zone Annexe 2 : Fiche de traçabilité
Référence : PT/HYG/003-C Page :Page 1 sur 15 Objet : - Permettre de dispenser des soins de qualité dans un environnement maîtrisé (garantie de propreté visuelle et bactériologique). - Eviter la propagation
Plus en détailSensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments
Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité
Plus en détailDTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
DTUs & Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau olivier.correc@cstb.fr Nouveaux Documents Techniques Unifiés DTU 60.1 Plomberie sanitaire pour
Plus en détailSYNOPTIQUE GTB Architecture Générale
STATION METEO TERMINAL EXPLOITATION (local technique) POSTE SUPERVISION (local pôle maintenance) AFFICHAGE PEDAGOGIQUE (Accueil) ACCES WEB GESTION CVC LOCAL TECHNIQUE GESTION EAU GESTION SERRE GESTION
Plus en détailEau chaude Eau glacée
Chauffage de Grands Volumes Aérothermes Eau chaude Eau glacée AZN AZN-X Carrosserie Inox AZN Aérotherme EAU CHAUDE AZN AZN-X inox Avantages Caractéristiques Carrosserie laquée ou inox Installation en hauteur
Plus en détailLes piscines à usage collectif Règles sanitaires. à usage collectif
Déclaration d ouverture La déclaration d ouverture d une piscine (accompagnée d un dossier justificatif) est à adresser en 3 exemplaires à la mairie d implantation de l établissement et un exemplaire en
Plus en détailRe-Certification 2012 Programme complet > 8 modules
Re-Certification 2012 Programme complet > 8 modules Amiante : Formation répondant aux critères de compétence obligatoires dans le cadre de la certification (NF EN ISO 17024) D P E : Formation répondant
Plus en détail1.2.1 Enlever et disposer, en tant que déchets de fientes de pigeon, tous les matériaux et les débris des surfaces situées dans la zone des travaux.
TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON TABLE DES MATIÈRES PAGE TRAVAUX DE NETTOYAGE DES FIENTES DE PIGEON... 1 1 GÉNÉRALITÉS... 1 1.1 CONDITIONS GÉNÉRALES ET TRAVAUX CONNEXES... 1 1.2 DESCRIPTION DES
Plus en détailQualité Sécurité Environnement
Qualité Sécurité Environnement FORMATION AUDIT CONSEIL EXPERTISE >> Catalogue 2014 Nos innovations: e-learning, évaluation des compétences personnalisation Formation Hygiène Alimentaire ISO 9001 : 2008...
Plus en détailde faible capacité (inférieure ou égale à 75 litres) doivent être certifiés et porter la marque NF électricité performance.
9.5. PRODUCTION D EAU CHAUDE sanitaire Les équipements doivent être dimensionnés au plus juste en fonction du projet et une étude de faisabilité doit être réalisée pour les bâtiments collectifs d habitation
Plus en détailA LIRE IMPERATIVEMENT AVANT TOUTE UTILISATION A REMETTRE A L UTILISATEUR ET A CONSERVER
4 Le Pas du Château 85670 SAINT PAUL MONT PENIT TEL : 02-51-98-55-64 FAX : 02-51-98-59-07 EMAIL : info@medicatlantic.fr Site Internet : http//: www.winncare.fr MANUEL D UTILISATION Des Systèmes d Aide
Plus en détailde l air pour nos enfants!
B u l l e t i n d e l O Q A I n 1 Crèches et lieux d enseignement : de l air pour nos enfants! Le programme de l OQAI «Lieux de vie fréquentés par les enfants» a débuté en 2006. Une première phase de recueil
Plus en détailCENTRE HOSPITALIER CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MAINTENANCE DES CHAUDIERES ET DES SYSTEMES DE CLIMATISATION
CENTRE HOSPITALIER 1, rue du Docteur Paul Martinais 37600 LOCHES 02 47 91 33 33 02 47 91 32 00 CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES MISE EN CONCURRENCE PORTANT SUR MAINTENANCE DES CHAUDIERES ET
Plus en détailIl est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut
Les micro-organismes de l eau impliqués dans les infections nosocomiales Depuis 2001 chez Pall, en charge de l information scientifique et réglementaire dans les domaines d applications couverts par la
Plus en détailLa réglementation quelques incontournables
Unité d Hygiène et d Épidémiologie 2012 La réglementation quelques incontournables Code du Travail - Article L 231-2 du titre 3 Hygiène, sécurité et conditions de travail Paragraphe 2 : «Les établissements
Plus en détailLE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE
LE PROJET QUALITE-GESTION DES RISQUES- DEVELOPPEMENT DURABLE 1 LA POLITIQUE QUALITE-GESTION DES RISQUES Depuis 2003, la Direction s engage à poursuivre, la démarche qualité et à développer une gestion
Plus en détailRéférences et partenaires :
Eric RIPERT, 49 ans, Formateur - Consultant depuis 1995 dans les domaines HYGIENE SECURITE ENVIRONNEMENT. (H.S.E) Formateur et coordinateur de pôle en 2010 dans un centre de formation de premier plan sur
Plus en détailCAP Serrurier-métallier REFERENTIEL D ACTIVITES PROFESSIONNELLES PRESENTATION DES ACTIVITES ET TACHES
REFERENTIEL D ACTIVITES PROFESSIONNELLES PRESENTATION DES ACTIVITES ET TACHES ACTIVITES : TACHES 1 - Prendre connaissance des documents, des consignes écrites et orales. 2 - Relever des cotes pour l'exécution
Plus en détailPARTIE 2 : MISE EN SERVICE PARTIE 1 : CONCEPTION PARTIE 3 : ENTRETIEN PARTIE 4 : EN SAVOIR PLUS METTRE EN SERVICE L INSTALLATION...
SOMMAIRE PARTIE 1 : REGLER LES TEMPERATURES DE PRODUCTION ET DE DISTRIBUTION... 4 PREVENIR LE RISQUE LEGIONELLE... 5 CHOISIR UNE SOLUTION PRODUCTION D ECS INDIVIDUELLE... 10 CHOISIR UNE SOLUTION DE PRODUCTION
Plus en détailCATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015
CATALOGUE DE FORMATIONS 2014 2015 Professionnels de l alimentation 06.47.75.88.57 HQSA Consulting contact@hqsafrance.fr Numéro de déclaration de prestataire de formation : SIRET SIRET : 804 : 284 284 420
Plus en détailArrêté du XXXX. relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR :
RÉPUBLIQUE FRANÇAISE Ministère de l'écologie, du développement durable, des transports et du logement Arrêté du XXXX relatif au contenu et aux modalités de réalisation d un audit énergétique NOR : La ministre
Plus en détailDocuments d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau
Documents d'aide à la maintenance et à la conception des installations intérieur de distribution d eau Thierry POLATO Agence Régionale de Santé Pays de la Loire Délégation territoriale de Maine-et-Loire
Plus en détailCe qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire
Ce qu il faut savoir en matière d habitat et de santé, de plomberie et d installations de chauffage ou d eau chaude sanitaire Quels sont les risques en matière de santé pour ces rénovations? Avant travaux
Plus en détailCahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde
Le Conseil Général ménage votre santé! Cahier des bonnes pratiques pour un nettoyage écologique des locaux du Conseil Général de la Gironde Sommaire 1. Pourquoi créer ce cahier pratique du nettoyage écologique?
Plus en détailRegistres de fermentation lente. Critères d inspection
Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Registres de fermentation lente 1.15.0.3204 Registres de fermentation lente Registres Un échantillon
Plus en détailBienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1
Bienvenue Helpdesk Chauffage PEB 03/10/2013 1 La réglementation Chauffage PEB en Région de Bruxelles Capitale: aujourd hui et demain Helpdesk Chauffage PEB /EPB Verwarming 03/10/2013 2 Agenda Introduction
Plus en détailJeudi de l ALEC Centrale de traitement d air (CTA) Rénovation du siège de PLURALIS
Jeudi de l ALEC Centrale de traitement d air (CTA) Rénovation du siège de PLURALIS Intervenant : Rémy ROSSILLON Bureau d étude Sixième Sens Ingénierie Sixième sens Ingénierie est membre du GIE ICARE 1/
Plus en détailPOLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE
POLLUTEC LYON 3 Décembre 2004 M. LECA gérard GCEE COMMENT REHABILITER UN CHATEAU D EAU? INTRODUCTION Historique de la construction: Construits entre 1920 et 1980, mais depuis 1950 pour 70% du parc actuel.
Plus en détailDécrire l'ensemble des mesures de maîtrise et des mesures de surveillance dans des procédures ou modes opératoires portés à la connaissance de tous.
DEMARCHE HACCP EN CUISINE CENTRALE Alimentation GROSJEAN L, Vénissieux Juin 2010 Objectif La démarche HACCP (de l'américain Hazard Analysis Critical Control Point) est une méthode préventive visant à maîtriser
Plus en détailAssises Européennes du Bâtiment Basse Consommations. Frédéric ric FRUSTA. Président Directeur Général. ENERGIVIE 25 Juin 2010
c1 Assises Européennes du Bâtiment Basse Consommations Frédéric ric FRUSTA Président Directeur Général ENERGIVIE 25 Juin 2010 Diapositive 1 c1 Merci de me fournir le texte complet de la page de titre cql;
Plus en détailL efficacité énergétique dans les bâtiments
https://intranet.swe.siemens.com/fr/intra/infrastructure-cities/bt/offre/ssp/buildingautomation/energie/pages/notre-offre.aspx L efficacité énergétique dans les bâtiments siemens.com/answers Kurt Detavernier
Plus en détailRésumé des modifications intervenues : simplification et clarification des actions descriptives
Référence : PT/RES/006-B Page :Page 1 sur 5 Objet : Maîtriser les dangers microbiologiques, biologiques, chimiques et physiques lors des opérations d épluchage, lavage et désinfection des légumes terreux,
Plus en détailGUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF
Actualisé 22/02/2008 - FL GUIDE D ENTRETIEN DE VOTRE SPA A L OXYGENE ACTIF Un bon entretien de votre spa comporte 2 étapes indissociables : le traitement mécanique et le traitement chimique. TRAITEMENT
Plus en détailTITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES
TITRE PROFESSIONNEL DU MINISTERE CHARGE DE L EMPLOI INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES Le titre professionnel de : INSTALLATEUR D EQUIPEMENTS SANITAIRES1 niveau V (code NSF : 233 s) se compose de deux
Plus en détailAIDE FINANCIERE SIMPLIFIEE
La Carsat Auvergne vous aide financièrement! AIDE FINANCIERE SIMPLIFIEE CONDITIONS PARTICULIERES D ATTRIBUTION Vous envisagez d investir dans des équipements de travail, de la formation et des études pour
Plus en détailGUIDE TECHNIQUE. Maîtrise du risque de développement des légionelles dans les réseaux d eau chaude sanitaire. Maîtrise du risque de développement
Maîtrise du risque de développement des légionelles dans les réseaux d eau chaude sanitaire Ce document vise à apporter au chef d établissement ou au responsable gestionnaire, une meilleure lisibilité
Plus en détailL entretien en radiologie conventionnelle. Comment procède t on? Radiologie conventionnelle. Quel mobilier et matériel?
L entretien en radiologie conventionnelle Il existe plusieurs sortes d entretiens à l hôpital Selon le service, le risque infectieux, la zone à entretenir et les actes effectués, l entretien sera différent.
Plus en détailTours de refroidissement Technologie environnementale
Tours de refroidissement Technologie environnementale Nos points forts Technologie et environnement Surfaces d échange adaptées à chaque besoin : applications industrielles ou tertiaires Propreté et résistance
Plus en détailCOMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE
COMPTE RENDU CONTRÔLE HYGIENOSCOPIE Client : JEAN CUISTOT TRAITEUR 31 RUE DE L 'OCEAN 17510 CHIVES jeancuistot.traiteur@club-internet.fr Tél. 05 46 33 64 21 Date de l'examen : 28-oct-2013 Technicien :
Plus en détailDPGF - LOT 3 - CVC / PLOMBERIE
4, rue Dolorès Ibarruri DPGF - LOT 3 - CVC / PLOMBERIE L entreprise a la responsabilité de prévoir les bonnes quantités de fourniture pour la réalisation des travaux : - faire les métrés et renseigner
Plus en détailLe premier dispositif 4 en 1.
TETHYS H10 Le premier dispositif 4 en 1. Décontamination, nettoyage, désinfection et séchage en un seul passage pour un flux de travail plus simple, plus rapide et plus efficace. Tethys H10 est le premier
Plus en détailQU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE?
QU EST-CE QU UN CHAUFFE-EAU THERMODYNAMIQUE? > Le chauffe-eau thermodynamique est un appareil de production d eau chaude sanitaire. Il se compose d une pompe à chaleur et d une cuve disposant d une isolation
Plus en détailDÉMARCHE HACCP RESTAURATION. Guide pour l analyse des dangers. Restauration commerciale Restauration collective à caractère social
DÉMARCHE HACCP EN RESTAURATION Guide pour l analyse des dangers Restauration commerciale Restauration collective à caractère social Ce livre a obtenu un prix dans la catégorie ouvrages professionnels -
Plus en détailLe guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration
FORMATION : THEORIQUE C.H.R. / INTRA-ENTREPRISE MODULE Le guide des bonnes pratiques d hygiène et la qualité alimentaire en restauration TYPE DE FORMATION : Hygiène et sécurité, qualité normalisation,
Plus en détailDISTRIBUTION DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR VOIE ORALE PAR L INFIRMIERE : RISQUE DE NON PRISE DU TRAITEMENT MEDICAMENTEUX PAR LE PATIENT
INSTITUT DE FORMATION DES CADRES DE SANTE ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS ACTIVITE PROFESSIONNELLE N 8 : LE CADRE GERE LES RISQUES CONCERNANT LES PRESTATIONS, LES CONDITIONS DE TRAVAIL DES PERSONNELS,
Plus en détailFICHE METIER et PASSERELLES AGENT POLYVALENT DE RESTAURATION
FICHE METIER et PASSERELLES AGENT POLYVALENT DE RESTAURATION Domaines : Services à la population Sous domaine : Restauration collective Code fiche du répertoire des métiers territoriaux : 11/D/24 AGENT
Plus en détailHygiène alimentaire. Introduction
Direction des études Mission Santé-sécurité au travail dans les fonctions publiques (MSSTFP) Hygiène alimentaire Introduction Le temps de travail ne permet pas souvent aux salariés de déjeuner chez eux
Plus en détailManuel d entretien. Présentation de votre chauffe-eau. Poignées de préhension (haut et bas) Protection intérieure par émaillage. Isolation thermique
Présentation de votre chauffe-eau Poignées de préhension (haut et bas) Isolation thermique Protection intérieure par émaillage Canne de prise d eau chaude Doigt de gant du thermostat Anode magnésium Résistance
Plus en détailVERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN
VERRE DECORATIF AGC POUR APPLICATIONS INTERIEURES GUIDE DE NETTOYAGE ET D ENTRETIEN VERSION 2.0 MAI 2015 Cette version du guide annule et remplace toutes les versions précédentes. Consultez régulièrement
Plus en détailTechnicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants
PARCOURS COMPLET DE PROFESSIONNALISATION Technicien - Expert en performance thermique de bâtiments neufs ou existants proposer un ensemble de prestations liées à l amélioration de la performance thermique
Plus en détailENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX
ENTRETIEN DES DIFFERENTS LOCAUX Bionettoyage REGARD A., LYON Juillet 2010 Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des
Plus en détailMilieu, matières, matériels, méthodes : audits menés en industrie
38 dossier Retours d expérience Milieu, matières, matériels, méthodes : audits menés en industrie Par Sylvie Vandriessche, Aspec Les différents «M» du diagramme d Ishikawa correspondent à des domaines
Plus en détailL organisation de chantier
L organisation de chantier POSOW is a project co-financed by EU under the Civil Protection Financial Instrument developed in cooperation with ISPRA, Cedre, Sea Alarm and CPMR and coordinated By REMPEC
Plus en détailLindab Poutres climatiques. Terminaux à eau. Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT
lindab poutres Avantages Larges gammes de poutres certifiées EUROVENT Eco-énergétique Applications Tertiaires (bureaux, hôpitaux, hôtels...) Modularité et design Neuf et rénovation Simplicité de montage
Plus en détailTravaux sur les systèmes de chauffage et d'eau chaude sanitaire
Réhabilitation énergétique des copropriétés normandes construites entre 1948 et 1974 Travaux sur les systèmes de chauffage et d'eau chaude sanitaire Situation existante et enjeux Les différents diagnostics
Plus en détailTraitement de l eau par flux dynamique
GmbH Traitement de l eau par flux dynamique afin de réduire les impuretés microbiologiques afin d empêcher l apparition de nouveaux germes dans les eaux de consommation et de process et Nouveau avec certificat
Plus en détailEntretien des différents locaux
Fiche Pratique Entretien des différents locau Il n'eiste pas " la technique", mais plusieurs techniques qui seront élaborées sous forme de mode opératoire en tenant compte des contraintes du contete. Cependant,
Plus en détailL ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE
LUTTE CONTRE L INFECTION EN PERIODE PERI-OPERATOIRE mars 2010 L ENTRETIEN DES LOCAUX ET DES EQUIPEMENTS AU BLOC OPERATOIRE F. DUBOURDIEU Unité d Hygiène Hospitalière Hôpitaux Civils de Colmar Sommaire
Plus en détail«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité»
«Bonnes pratiques de retraitement des dispositifs médicaux et audits des cabinets dentaires : des peurs à la réalité» SSO-Fribourg, jeudi 12 février 2015 Dr Christine Cunier Adjointe du médecin-dentiste
Plus en détailLa principale cause du développement
LES AUTRES thèmes LA MAÎTRISE DU RISQUE LEGIONELLES Gestion de la problématique Legionella dans les réseaux d eau chaude sanitaire : conception, maintenance et surveillance biologique Jacques Naitychia,
Plus en détailConstruire un plan de nettoyage et de désinfection
Construire un plan de nettoyage et de désinfection Docteur Régine POTIÉ-RIGO Médecin du Travail Mlle Laetitia DAVEZAT IPRP Ingénieur Hygiène/Sécurité Mme Laetitia MARCHE Technicienne des services généraux
Plus en détailLOT N 05 PLOMBERIE VENTILATION CHAUFFAGE
ETABLISSEMENT THERMAL DE LUZ SAINT SAUVEUR CCTP LOT N 05 PLOMBERIE VENTILATION CHAUFFAGE PAGE N 1/12 LOT N 05 PLOMBERIE VENTILATION CHAUFFAGE ETABLISSEMENT THERMAL DE LUZ SAINT SAUVEUR CCTP LOT N 05 PLOMBERIE
Plus en détailLa Filtration et le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire.
Le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire La Filtration et le Traitement de l Air dans l Industrie Nucléaire. Protéger l environnement des hommes et des lieux, Contribuer à la sécurité des interventions
Plus en détailOffre de formation. itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux. https://inscription.cnfpt.
2015 Offre de formation itinéraire Agent polyvalent-e d entretien en charge des activités de nettoyage des locaux Inscription en ligne aux stages https://inscription.cnfpt.fr/ Délégation régionale Basse-Normandie
Plus en détailPréambule. Précisions supplémentaires
Préambule Les prescriptions de sécurité préconisées dans ces fiches ne concernent que les risques liés à la présence d amiante non friable. Elles visent uniquement les matériaux non dégradés dans lesquels
Plus en détailPOLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST)
POLITIQUE EN MATIERE DE SANTE SECURITE AU TRAVAIL (SST) Etapes Actions Pilote de l action Description et type de documents 1 Définition d une politique Santé Sécurité au Travail Top Management + externe
Plus en détailLe chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020
Chauffe-eau thermodynamique Le chauffe-eau thermodynamique à l horizon 2015-2020 Ballon de stockage ( 300 l) chaude M o d e c h a u f f a g e Q k T k Pompe à chaleur Effet utile Pompe à chaleur pour chauffer
Plus en détailConsommation de diesel pour les véhicules à moteurs
Consommation de diesel pour les véhicules à moteurs VD 4-601 f 09.2008 Ayez un meilleur contrôle sur votre consommation de diesel et économisez de l argent! Le DFM-System est un appareil de mesure de très
Plus en détailFormation Bâtiment Durable : Suivi et monitoring des bâtiments durables
Formation Bâtiment Durable : Suivi et monitoring des bâtiments durables Bruxelles Environnement INTRODUCTION : FACTEURS DETERMINANTS POUR LA GESTION DES BATIMENTS DURABLES Thomas DEVILLE Cenergie cvba
Plus en détailSTAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE
FACULTÉ DE MÉDECINE FACULTÉ DE CHIRURGIE DENTAIRE Université de Strasbourg STAGE D'INITIATION AUX SOINS INFIRMIERS D'ACCES EN PCEM2 ou en 2ème ANNEE DE CHIRURGIE DENTAIRE JUILLET ou AOUT ou SEPTEMBRE 2012
Plus en détailCOMMUNAUTE DE COMMUNE DU GRAND CHAMBORD
COMMUNAUTE DE COMMUNE DU GRAND CHAMBORD CONSTRUCTION D UNE PLATEFORME BOIS ENERGIE 41 250 BRACIEUX Lot n 08 Sanitaires, MAITRE D ŒUVRE : SOCIETE D ARCHITECTURE BOITTE Siège social Agence de Romorantin
Plus en détailC. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) > NOTE D APPLICATION N 2
C. Magdo, Altis Semiconductor (Corbeil-Essonne) - JANVIER 2008 INTRODUCTION La fabrication de semi-conducteurs nécessite un environnement de production extrêmement stable en température et hygrométrie.
Plus en détailLA QUALITE DE LA PRODUCTION
LA QUALITE DE LA PRODUCTION ET DES SERVICES Leçon 1 : Présenter le concept qualité Leçon 2 : Présenter le système HACCP Leçon 3 : Caractériser les autocontrôles C.M.P Chapitre : 1/17 Objectif 1 : Identifier
Plus en détailCAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P)
CAHIER DES CLAUSES TECHNIQUES PARTICULIERES (C.C.T.P) Marché privé de travaux - pièce n 3 Maître de l ouvrage : Fonds Calédonien de l Habitat Objet du marché : RESTRUCTURATION DE 103 LOGEMENTS «Rivière
Plus en détailSECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL
SECURITE SANITAIRE ET RESTAURATION COLLECTIVE A CARACTERE SOCIAL Références réglementaires : Règlement N 178/2002 établissant les principes généraux et les prescriptions générales de la législation alimentaire
Plus en détailVI Basse consommation inverter
[ VERSION SURBAISSÉE ] CV CH CH 7 W pour 1 kw diffusé Applications Chauffage et/ou climatisation en résidentiel ou tertiaire NC Avantages Une offre compétitive en ventilo-convecteurs pour systèmes à eau
Plus en détailSolutionS packs Bi-tEMpÉRatuRE une gestion unique de différents circuits de chauffage
SolutionS packs Bi-tEMpÉRatuRE une gestion unique de différents circuits de chauffage *Des solutions polymères à l infi ni www.rehau.fr Bâtiment Automobile Industrie Solution pack BI-TEMPÉRATURE chauffage
Plus en détailEau chaude sanitaire FICHE TECHNIQUE
FICHE TECHNIQUE Eau chaude sanitaire 2 5 6 6 CONNAÎTRE > Les besoins d eau chaude sanitaire > Les modes de production > La qualité de l eau > Les réseaux de distribution > La température de l eau REGARDER
Plus en détailGESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ
GESTION DES RISQUES Cartographie COVIRISQ PLAN Préambule Historique de la démarche Cartographie Organigramme Situation actuelle Constat Préambule OVE comprend : Un secteur social Un secteur médico-social
Plus en détailEt après mes travaux?
10 Et après mes travaux? Voilà, les travaux sont terminés! Vous vous (ré)installez confortablement dans votre logement. Comment profiter le plus longtemps possible des améliorations que vous venez d apporter
Plus en détailD'une demande d'amélioration aux
D'une demande d'amélioration aux indicateurs de l'action Auteurs : Philippe Meslage, Philippe Di Driat, Gérard Maigné, Jean-François Bergamini, Dominique Dubois Picard, Dominique Leuxe 31 ème journées
Plus en détailRÉGLEMENTATION CHAUFFAGE PEB POUR LES IMMEUBLES À APPARTEMENTS.
RÉGLEMENTATION CHAUFFAGE PEB POUR LES IMMEUBLES À APPARTEMENTS. Problèmes régulièrement rencontrés sur le terrain, quelles sont les soluhons? 07 10-2014 BASES RÉGLEMENTAIRES RELATIVES AUX INSTALLATIONS
Plus en détailappliquée aux emballages alimentaires
La méthode HACCP La méthode HACCP appliquée aux emballages alimentaires 1- La réglementation des matériaux au contact des aliments Quels contaminants issus des emballages dans les aliments? Des contaminants
Plus en détailHygiène alimentaire. Réglementation. Restaurants et commerces alimentaires
Hygiène alimentaire Réglementation Restaurants et commerces alimentaires Hygiène alimentaire Sommaire Avant de s installer, les démarches à suivre p.3/4 Concevoir la cuisine p.5 Hygiène - Les bonnes pratiques
Plus en détailAvec SAMSE et ses partenaires. Cetii. Les valeurs à connaitre
Coordination du lot transversal d étanchéité à l air : l ingénierie concourante Quelques astuces chantier : Chaque interface entre les lots ou interruption de la continuité d étanchéité, doivent être recueillis
Plus en détailFILTERS. SYSTEM CARE - Filtres en derivation INFORMATIONS TECHNIQUES CODIFICATION POUR COMMANDE INDICATEUR DE COLMATAGE
ILTERS HYDRAULIC DIVISION - iltres en derivation O INORMATIONS TECHNIQUES CODIICATION POUR COMMANDE COURBES DE PERTE DE CHARGE ( p) SCHEMA ONCTIONNEL INORMATIONS POUR LA COMMANDE DE PIECES DETACHEES DINSIONS
Plus en détailDescription du système. Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle.
Description du système Pompe 1 : Pompe de régulation du retour sur le poêle. La vitesse de la pompe varie de façon à ce que la température de l eau qui reparte vers le poêle soit toujours de 60 C. Le débit
Plus en détailBACTÉRIE PARTICULE D ARGENT
Tissu High-tech BACTÉRIE FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE PARTICULE D ARGENT FIBRE MEDICAL STYLE FIBRE NORMALE La partie interne des tissus Medical Style contient des particules d argent à l action biocide
Plus en détailÊtre Anticiper Innover. Une technologie dont on ne peut se passer
Être Anticiper Innover Une technologie dont on ne peut se passer Soyez assuré de la qualité et de la performance de nos produits Grâce à l ALPHA2, vous pouvez compter sur la qualité et la fiabilité reconnues
Plus en détailTECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR. confort = équilibre entre l'homme et l'ambiance
TECHNIQUE DU FROID ET DU CONDITIONNEMENT DE L AIR Tâche T4.2 : Mise en service des installations Compétence C1.2 : Classer, interpréter, analyser Thème : S5 : Technologie des installations frigorifiques
Plus en détail