Etude du comportement en mécanique de la rupture de l acier T91 en milieu sodium liquide
|
|
- Laurent Boisvert
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Etude du comportement en mécanique de la rupture de l acier T91 en milieu sodium liquide Samuel HEMERY (2 e année) Directeur de thèse: Thierry Auger (CNRS) Encadrant CEA: Jean Louis Courouau (DPC/SCCME/LECNA) Page 1
2 Introduction Réacteurs à neutrons rapides àcaloporteur sodium Plage de T en utilisation FML Irradiation Fluage Corrosion Schéma de fonctionnement d un RNR Na 100 C 200 C 300 C 400 C 500 C Différents phénomènes de dégradation des propriétés des matériaux Problématique de fissuration assistée par l environnement liée à l utilisation du sodium: Fragilisation par les métaux liquides (FML) Page 2 T
3 Matériau étudié T91 (9Cr1MoNbV) Acier ferritique/martensitique: Composition: Microstructure en lattes observée aux MEB et MET Elt C Mn Cr Mo P Si S Nb Al V N Ni Wt% 0,08 0,12 0,30 0,60 8,00 9,50 0,85 1,05 0,00 0,02 0,20 0,50 Traitement thermiques standard: 1h austénitisation à 1050 C 1h revenu à 750 C 0,00 0,01 0,06 0,10 0,00 0,04 0,18 0,25 0,03 0,07 0,00 0,40 Page 3
4 Bibliographie Fragilisation par les métaux liquides 1) Principales conséquences: Réduction de l élongation et/ou de la contrainte à rupture Transition ductile/fragile due à l adsorption 2) Exemples: Couple Nickel/Lithium: Rupture fragile intergranulaire Courbes force déplacement dans Ar et Li Aciers ferritiques/martensitiques sensibles àla fragilisation par le mercure et l eutectique plomb bismuth Qu en est il pour le sodium? Page 4
5 Analyse de T91/PbBi Fragilisation par l eutectique PbBi Découpe par FIB d un échantillon sous la surface de rupture: Observation du réseau de fissure au MET Pb Bi L analyse par indexation automatique montre clairement le caractère intergranulaire de la rupture Page 5
6 Bilan expérimental Cahier des charges et mise au point d essais de traction d éprouvettes entaillées mouillés par du sodium 1) Etape de mouillage réalisée au CEA (DPC/SCCME): Nécessité d un bon mouillage des éprouvettes avec un sodium de bonne pureté Immersion des éprouvettes dans CorroNa entre 100 et 300h à 550 C: Dissolution des oxydes et mouillage intégral de l éprouvette (teneur en oxygène <10ppm) CorroNa: Boîte àgant dédiée à l étude de la corrosion en milieu sodium 2) Transfert des éprouvettes Nécessité de transport sous atmosphère inerte pour protéger le sodium de l air extérieur Eprouvettes enfermées dans une boîte en nylon étanche sous une atmosphère d argon Deuxième barrière constituée par une pellicule de paraffine déposée sur la zone mouillée (non réactive) Entaille mouillée Eprouvette Centre Cracked Tensile mouillée Page 6
7 Bilan expérimental 3) Essais de traction en sodium Surveillance de [O 2 ] et [H 2 0] par balayage Mesure de d argon la température par pyromètre Chambre de transfert Chauffage par effet Joule Machine de traction Surveillance de [O 2 ] par recirculation Eprouvette CCT Enceintes de protection Enceinte intérieure et éprouvette mouillée avec du sodium L instrumentation et la machine de traction contenant les enceintes Propagation de la goutte de sodium en pointe de fissure Page 7
8 Conditions d essais Mesure des teneurs en impuretés de l atmosphère: Dans la chambre de transfert [O 2 ] < 500ppm Dans l enceinte intérieure: [O 2 ] < 10ppm [H 2 0] < 150ppm Solubilités des impuretés dans le sodium Solubilité de l O 2 dans le sodium en fonction de T ( C) A T=550 C, solubilité de O et H dans le sodium (lois de Noden et Wittingham): [O] 550 C =1904ppm [H] 550 C =622ppm A basse température, solubilité très faible: [O] 130 C =1,52ppm [H] 130 C =0,09ppm On peut facilement s affranchir de l influence des impuretés à basse température Solubilité de l H 2 dans le sodium en fonction de T ( C) Page 8
9 Essais Conditions expérimentales (T, dε/dt): Balayage des différentes conditions expérimentales pour une même géométrie: Vitesse traverse 400 mm.min 1 20 mm.min 1 0,5 mm.min 1 0,1 mm.min 1 0,02 mm.min 1 0,001 mm.min 1 Température 130 C X X X X X 200 C X X 250 C X 300 C X Page 9
10 Résultats Fractographie (T=130 C et v= 0,001 mm.min 1 ): Faciès de rupture intégralement recouvert de cupules, aucun effet du sodium Nb: Aucune variation du comportement mécanique macroscopique en passant à v=0,01mm.min 1 en cours de rupture Page 10
11 Résultats Courbes force déplacement à 130 C et une vitesse de déplacement de la traverse de 0,1 mm.min 1 F (N) Δl (mm) Pas de détérioration des propriétés mécaniques macroscopiques Page 11
12 Résultats Fractographie (T=130 C et v= 0,1 mm.min 1 ): Faciès en cupules similaire au faciès de rupture sous atmosphère Argon: rupture ductile Quelques zones présentant de la décohésion interlattes: rupture fragile localement Effet du sodium sur le mode de rupture, àpriori influencé par les différents paramètres (microstructure, champ de contraintes, géométrie, etc.) Page 12
13 Résultats F (N) Courbes force déplacement à 130 C et une vitesse de déplacement de la traverse de 20 mm.min 1 * * Courbe retraitée pour éliminer les effets parasites Δl (mm) Pas de détérioration des propriétés mécaniques macroscopiques Pas d influence détectable mécaniquement sur l amorçage Page 13
14 Résultats Fractographie (T=130 C et v= 20 mm.min 1 ): Sens de propagation de la fissure Faciès principalement recouvert de cupules, similaire au faciès de rupture sous atmosphère Argon: comportement ductile Quelques zones présentant de la décohésion interlattes: rupture fragile locale Quelques fissures dans le plan de symétrie de l éprouvette, effet d intensité moindre mais similaire àcelui observé pour les autres métaux liquides (Pb, Bi, In, Hg) Page 14
15 Résultats Fractographie (T=250 C et v= 0,1 mm.min 1 ): Faciès en cupules similaire au faciès de rupture sous atmosphère Argon: rupture ductile Quelques zones présentant de la décohésion interlattes: rupture fragile Mêmes observations pour une température plus élevée Page 15
16 Effet près de la surface? Comportement dans l entaille Fond de l entaille Fond de l entaille d une éprouvette rompue sous argon observée au MEB Fond de l entaille d une éprouvette rompue dans le sodium observée au MEB On constate la présence de nombreuses fissures dans la couche qui Page est en 16 contact avec le sodium pendant le prémouillage qui ne sont pas présentes dans l argon.
17 Effet près de la surface? GPa Essais de nano indentation sur les éprouvettes Echantillon extrait de la base de l éprouvette, située au dessous de la zone de préhension des mors exposée au Na pendant 100h à 300h GPa μm Profil de dureté du T91 après 150h immergé dans le sodium liquide à 550 C μm Profil de dureté de référence du T91 conservé dans l argon Dureté moyenne dans le sodium: 3,77374 GPa et 230 HV (micro dureté) Dureté moyenne dans l argon: 3,36292 GPa Nano indents Moyenné sur environ 10 valeurs (courbes) et 100 valeurs (moyennes) Page 17
18 Effet près de la surface? Discussion des essais de nano indentation Augmentation de la dureté à proximité du bord Sensibilité de la FML àla dureté du matériau Décarburisation des aciers ferritiques/martensitiques dans le sodium: Profil de concentration en carbone pour un acier Fe 9Cr 2,5Mo après exposition au sodium (Chopra 1980) Dissolution des carbures caractérisée par une dissolution du chrome dans le sodium et la présence plus importante de carbone en solution solide et carbone dissout dans le sodium. Problème éventuel pour les structures minces (échangeur) et chimie du sodium à contrôler, àpriori dépendant de la concentration en carbone du sodium. Page 18
19 Conclusions Conclusions des premiers essais: Conditions àbasse température et balayage des vitesses de déformation: Modification occasionnelle du mode de rupture, pour les vitesses les plus importantes et comportement mécanique macroscopique inchangé. Balayage en température: Pas d influence notable observée jusqu à 300 C, présence progressive d impuretés avec l augmentation de la température. Effet du carbone près de la surface? Essais en cours. Utilisation de la géométrie CCT: Contraintes planes, faible triaxialité et sollicitation en cisaillement. Perspectives: Utilisation de nouvelles géométries. Etude par MET du mécanisme de la rupture intergranulaire. Modélisation de l effet des impuretés dans les joints de grains. Tests àdes températures plus élevées dans une nouvelle enceinte. Page 19
20 Conclusions Merci de votre attention Page 20
INFLUENCE de la TEMPERATURE. Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage
INFLUENCE de la TEMPERATURE Transition ductile/fragile Choc Thermique Fluage Transition ductile/fragile Henry Bessemer (UK)! 1856 : production d'acier à grande échelle Pont des Trois-Rivières 31 janvier
Plus en détailLes matériels des centrales électronucléaires sont
1La sûreté des réacteurs 1 3 Le vieillissement des centrales électronucléaires F. VOUILLOUX (IRSN) P. RÉGNIER (BASP) O. MORLENT (SAMS) G. CATTIAUX (BAMM) S. BOUSQUET (BASME) Les matériels des centrales
Plus en détailChapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE. par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ
Chapitre XIV BASES PHYSIQUES QUANTITATIVES DES LOIS DE COMPORTEMENT MÉCANIQUE par S. CANTOURNET 1 ELASTICITÉ Les propriétés mécaniques des métaux et alliages sont d un grand intérêt puisqu elles conditionnent
Plus en détailLES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES
CONGRÈS MATÉRIAUX 2014 Colloque 6 «Corrosion, vieillissement, durabilité, endommagement» LES RÉPLIQUES MÉTALLOGRAPHIQUES Une méthode non destructive pour contrôler le vieillissement et l endommagement
Plus en détailOn peut être «lourd» et agile!
éditorial Traitements & Matériaux 412 Octobre - Novembre 2011 3 On peut être «lourd» et agile! La métallurgie est considérée comme une industrie «lourde», les traitements thermiques comme de «vieux» procédés,
Plus en détailQu est-ce que l acier inoxydable? Fe Cr > 10,5% C < 1,2%
Cr > 10,5% C < 1,2% Qu est-ce que l acier inoxydable? Alliage de fer comportant 10,5 % de chrome et 1,2 % de carbone nécessaires pour garantir la formation d une couche de surface auto-régénérante (couche
Plus en détailLe comportement des combustibles nucléaires dans les
Un outil pour les études sur le combustible : Le comportement des combustibles nucléaires dans les réacteurs de puissance est un domaine de R&D très important, nécessitant des expériences instrumentées
Plus en détailProjet ANR. Bruno Capra - OXAND. 04/06/2015 CEOS.fr - Journée de restitution (Paris) B. CAPRA
Projet ANR Bruno Capra - OXAND MEFISTO : Maîtrise durable de la fissuration des infrastructures en bétons Contexte Problématique des Maîtres d Ouvrages Evaluation et prédiction de la performance des ouvrages
Plus en détailChapitre 02. La lumière des étoiles. Exercices :
Chapitre 02 La lumière des étoiles. I- Lumière monochromatique et lumière polychromatique. )- Expérience de Newton (642 727). 2)- Expérience avec la lumière émise par un Laser. 3)- Radiation et longueur
Plus en détailP M L R O G W. sylomer. Gamme de Sylomer Standard. Propriétés Méthode de test Commentaires. Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte
Matière : Couleur : Polyuréthane (PUR) Cellulaire mixte Gris Recommandations d usage : Pression (dépend du facteur de forme) Déflexion Pression statique maximum :. N/mm ~ % Pression dyn. maximum :. N/mm
Plus en détailColle époxydique multi usages, à 2 composants
Notice Produit Edition 20 01 2014 Numéro 9.11 Version n 2013-310 01 04 02 03 001 0 000144 Colle époxydique multi usages, à 2 composants Description est une colle structurale thixotrope à 2 composants,
Plus en détailMicrostructure des soudures de titane. Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon
Microstructure des soudures de titane Paul Danielson, Rick Wilson, et David Alman U. S. Department of Energy, Albany Research Center Albany, Orégon Revue de Matérialographie Struers 3 / 2004 Structure
Plus en détailAuscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers
Journée «Thermographie infrarouge pour le bâtiment et les travaux publics» Auscultation par thermographie infrarouge des ouvrages routiers Jean Dumoulin (LCPC) Mario Marchetti (LRPC Nancy) Frédéric Taillade
Plus en détailPROTECTION DEs MAINs ET DEs BRAs INfORMATIONs TEChNIquEs
Les accidents qui touchent les mains sont la première cause d accidents avec arrêt de tra- tuer tous les gestes de notre quotidien et sont également un outil essentiel dans notre travail. Préservons-les,
Plus en détailSOMMAIRE Thématique : Matériaux
SOMMAIRE Thématique : Matériaux Rubrique : Connaissances - Conception... 2 Rubrique : Essais... 7 Rubrique : Matériaux...11 1 SOMMAIRE Rubrique : Connaissances - Conception Connaître les matières plastiques...
Plus en détailConsolidation des argiles. CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER
Consolidation des argiles CUI Yu-Jun ENPC-CERMES, INSTITUT NAVIER Plan Introduction Argiles Phénomène de consolidation Essais de consolidation Equation de la consolidation Degré de consolidation et facteur
Plus en détailClassement selon la Directive EU 1999/45/EC Pour plus d information, voir nos fiches de données de sécurité (MSDS)
UDDEHOLM VANADIS 30 Ces informations sont basées sur l état actuel de nos connaissances et sont destinées à donner des indications générales sur nos produits et leurs utilisations. Elles ne peuvent en
Plus en détailSociété Française de Métallurgie et de Matériaux 28 rue Saint-Dominique 75007 Paris Tel: 01 43 33 08 00 Mail: secretariat@sfmm.
Société Française de Métallurgie et de Matériaux 28 rue Saint-Dominique 75007 Paris Tel: 01 43 33 08 00 Mail: secretariat@sfmm.fr Site: www.sf2m.asso.fr 8h45-9h40 Programme de la journée Accueil et enregistrement
Plus en détailMario Geiger octobre 08 ÉVAPORATION SOUS VIDE
ÉVAPORATION SOUS VIDE 1 I SOMMAIRE I Sommaire... 2 II Évaporation sous vide... 3 III Description de l installation... 5 IV Travail pratique... 6 But du travail... 6 Principe... 6 Matériel... 6 Méthodes...
Plus en détailPlate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs
Plate forme de modélisation en vue de la prédiction de la durée de vie des bétons vis-à-vis de la pénétration d agents agressifs Phase d'initiation de la corrosion vis-à-vis de la - pénétration d'agents
Plus en détailPrésentations GTF. Point de vue d un utilisateur final. Durée de vie des ouvrages : Approche Prédictive, PerformantielLE et probabiliste
Présentations GTF Présenté par : Georges NAHAS Organismes : Institut de Radioprotection et de Sûreté Nucléaire (IRSN) Paris 26 mai 2009 Introduction Le vieillissement des ouvrages de génie civil et plus
Plus en détailLe partenaire de votre innovation technologique
w w w.. s y n e r r v v i a i a. f. r f r Quelques chiffres Création en 2002 Association loi 1901 20 salariés 17 Ingénieurs et techniciens experts dans leurs domaines et présents dans les centres de compétences
Plus en détailApplication à l astrophysique ACTIVITE
Application à l astrophysique Seconde ACTIVITE I ) But : Le but de l activité est de donner quelques exemples d'utilisations pratiques de l analyse spectrale permettant de connaître un peu mieux les étoiles.
Plus en détailTechnologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage. M. Prévost
Technologie des contacteurs gaz liquide : cas des colonnes à plateaux et à garnissage M. Prévost Version V2/ nov 2006 Structure du cours Partie 1 : Introduction Partie 2 : Mise en contact de Gaz et de
Plus en détailPotentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique
Potentiel de valorisation d un déchet en filière métallurgique CRM: Centre de Recherches Métallurgiques ASBL établie en Belgique Créée en 1948 par l industrie sidérurgique belge Certifiée ISO 17025 et
Plus en détailRELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS. On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007.
RELEVE D ETAT DU PONT DES GRANDS-CRÊTS On a procédé une auscultation visuelle entre le 23 et le 29 mars 2007. Pour mieux comprendre les résultats ici une petit plan où il y a signalées les différentes
Plus en détailAVANT-PROPOS. Toutes nos accréditations, certifications et agréments sont consultables sur notre site internet : www.critt-mdts.
AVANT-PROPOS Le CRITT-MDTS, Centre Régional d Innovation et de Transfert de Technologie spécialisé dans les Matériaux, Dépôts et Traitements de Surface, est un centre de recherche appliquée ainsi qu un
Plus en détailLe polissage par laser
B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 B U L L E T I N T E C H N I Q U E N 4 1 Le polissage par laser Contexte Un traitement de surface est généralement réalisé dans le but d améliorer les caractéristiques
Plus en détailLa fabrication des objets techniques
CHAPITRE 812 STE Questions 1 à 7, 9, 11, 14, A, B, D. Verdict 1 LES MATÉRIAUX DANS LES OBJETS TECHNIQUES (p. 386-390) 1. En fonction de leur utilisation, les objets techniques sont susceptibles de subir
Plus en détail10ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 2010
1ème Congrès Français d'acoustique Lyon, 12-16 Avril 21 Identification du dommage par EA de stratifiés composites chargés en statique et cyclique M. Kharoubi 1, L. Fatmi 1, A. El Mahi 2, R. EL Guerjouma
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L - 72 FOURNITURE DE SEMELLES ELASTIQUES POUR LA FIXATION DE VOIE "TYPE BOTZELAER" EDITION: 04/2001 Index 1. INTRODUCTION... 3 1.1. DOMAINE
Plus en détailRupture et plasticité
Rupture et plasticité Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 Département de Mécanique, Ecole Polytechnique, 2009 2010 25 novembre 2009 1 / 44 Rupture et plasticité : plan du cours Comportements
Plus en détailConseils en Ingénierie mécanique
Conseils en Ingénierie mécanique contact@solsi-cad.fr +33 (0)3 87 60 34 49 CONCEVOIR OPTIMISER Metz INNOVER VALIDER Historique 1985 1992 1996 2003 2013 2014 Solsi : Calculs des Structures - FEA Création
Plus en détailFICHE TECHNIQUE POSTE METALLIQUE
CEL FRANCE Sarl au capital de 40 000E RC Alès 97RM 300 SIRET 410 748 875 00011 TVA CEE FR56410748875 NAF 316D Tableaux HTA Transformateur HTA Postes de transformation TGBT Disjoncteur BT www.cel france.com
Plus en détail*EP001039352A1* EP 1 039 352 A1 (19) (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN. (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39
(19) Europäisches Patentamt European Patent Office Office européen des brevets *EP001039352A1* (11) EP 1 039 352 A1 (12) DEMANDE DE BREVET EUROPEEN (43) Date de publication: 27.09.2000 Bulletin 2000/39
Plus en détailLe turbo met les gaz. Les turbines en équation
Le turbo met les gaz Les turbines en équation KWOK-KAI SO, BENT PHILLIPSEN, MAGNUS FISCHER La mécanique des fluides numérique CFD (Computational Fluid Dynamics) est aujourd hui un outil abouti de conception
Plus en détailANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE
562 ANNEXE J POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS SELON UN CHARGEMENT CYCLIQUE ET STATIQUE 563 TABLE DES MATIÈRES ANNEXE J... 562 POTEAUX TESTÉS SELON UN CHARGEMENT STATIQUE ET TESTÉS
Plus en détailInfluence du vieillissement statique sur la transition ductile-fragile des aciers au C-Mn
Influence du vieillissement statique sur la transition ductile-fragile des aciers au C-Mn Anthony Marais To cite this version: Anthony Marais. Influence du vieillissement statique sur la transition ductile-fragile
Plus en détailProjet SETHER Appel à projets 2008. Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com
Projet SETHER Appel à projets 2008 Adrien Patenôtre, POWEO Adrien.patenotre@poweo.com SETHER STOCKAGE D ELECTRICITÉ SOUS FORME THERMIQUE À HAUTE TEMPÉRATURE Partenaires : POWEO, SAIPEM, CEA, CNAM, GEMH,
Plus en détailAvis et communications
Avis et communications AVIS DIVERS COMMISSION GÉNÉRALE DE TERMINOLOGIE ET DE NÉOLOGIE Vocabulaire de l ingénierie nucléaire (liste de termes, expressions et définitions adoptés) NOR : CTNX1329843K I. Termes
Plus en détailClassement selon la Directive EU 1999/45/EC Pour plus d information, voir nos fiches de données de sécurité (MSDS)
UDDEHOLM VANADIS 10 Ces informations sont basées sur l état actuel de nos connaissances et sont destinées à donner des indications générales sur nos produits et leurs utilisations. Elles ne peuvent en
Plus en détailTous les produits de la gamme SAF offrent des résistances :
Fiche Technique Strengths Are Flex La gamme SAF est basée sur une technologie et des polymères méthacrylates brevetés. Ces adhésifs de nouvelle génération permettent d adhérer sur de nombreux supports
Plus en détailPrincipe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive.
Principe et élaboration de poudre par atomisation gazeuse, granulométrie et traçabilité pour la fabrication additive. Lucas DEMBINSKI Christian CODDET, Cécile LANGLADE Université de Technologie de Belfort-Montbéliard
Plus en détailNotions physiques Niveau 2
14 novembre 2011 Contenu 1. Les pressions Les différentes pressions 2. La loi de Mariotte (Autonomie en air) 2.1. Principes 2.2. Applications à la plongée 3. Le théorème d Archimède (Flottabilité) 3.1.
Plus en détailNORMES PATENTED L EXPERTISE AU SERVICE DE LA SÉCURITÉ ET DES PERFORMANCES. Catalogue Général A N D OT H E R P E N DI N G
RACCORDS RAPIDES DE SÉCURITÉ L EXPERTISE AU SERVICE DE LA SÉCURITÉ ET DES PERFORMANCES Le raccord PREVO S1 représente la dernière génération des procédés de connexion pneumatique. Un outil qui répond,
Plus en détailCONCEPTION MÉCANIQUE ET DIMENSIONNEMENT ASSISTÉ PAR ORDINATEUR
M01 CONCEPTION MÉCANIQUE ET DIMENSIONNEMENT ASSISTÉ PAR ORDINATEUR 30 Heures Techniciens ou ingénieurs confrontés aux problèmes de conception et de dimensionnement des pièces mécaniques en bureau d études.
Plus en détailCalcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier? Les solutions techniques Principes et critères de choix Par Sébastien LIBOZ - Hydrogéologue Calcaire ou eau agressive en AEP : comment y remédier?
Plus en détailAPPLICATIONS DE L'IMPLANTATION IONIQUE POUR LE BIOMEDICAL
Ion Beam Services ZI Peynier / Rousset Rue G. Imbert Prolongée 13790 Peynier, France Tel. : +33 4 42 53 89 53 Fax : + 33 4 42 53 89 59 Email : frank.torregrosa@ion-beam-services.fr APPLICATIONS DE L'IMPLANTATION
Plus en détailChap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?
Thème 2 La sécurité Chap 1: Toujours plus vite... Introduction: Comment déterminer la vitesse d une voiture?! Il faut deux informations Le temps écoulé La distance parcourue Vitesse= distance temps > Activité
Plus en détailN09 Viaduc de Chillon
Département fédéral de l'environnement, des transports, de l'énergie et de la communication DETEC Office fédéral des routes N09 Viaduc de Chillon Solution innovante en relation avec la RAG Conférence JERI
Plus en détailde suprises en surprises
Les supraconducteurs s de suprises en surprises titute, Japan hnical Research Inst Railway Tech Julien Bobroff Laboratoire de Physique des Solides, Université Paris-Sud 11 & CNRS Bobroff 2011 Supra2011
Plus en détail4. Conditionnement et conservation de l échantillon
1. Objet S-II-3V1 DOSAGE DU MERCURE DANS LES EXTRAITS D EAU RÉGALE Description du dosage du mercure par spectrométrie d absorption atomique de vapeur froide ou par spectrométrie de fluorescence atomique
Plus en détailLes techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales. Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel
Les techniques alternatives dans la gestion des eaux pluviales Jean Yves VIAU Directeur Opérationnel Plan de présentation Présentation Saint Dizier environnement Les techniques alternatives La maîtrise
Plus en détailSOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L-70
SOCIETE NATIONALE DES CHEMINS DE FER BELGES SPECIFICATION TECHNIQUE L-70 PIECES EN CAOUTCHOUC POUR ORGANES DE SUSPENSION, DE TRANSMISSION ET D ENTRAINEMENT EDITION: 2005 Version 12/07/2005 ST L70 -Version
Plus en détailSIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE
SIMULATION DU PROCÉDÉ DE FABRICATION DIRECTE DE PIÈCES THERMOPLASTIQUES PAR FUSION LASER DE POUDRE Denis DEFAUCHY Gilles REGNIER Patrice PEYRE Amine AMMAR Pièces FALCON - Dassault Aviation 1 Présentation
Plus en détailCapteur à CO2 en solution
Capteur à CO2 en solution Référence PS-2147CI Boîtier adaptateur Sonde ph Sonde température Sonde CO2 Page 1 sur 9 Introduction Cette sonde est conçue pour mesurer la concentration de CO 2 dans les solutions
Plus en détail27 e JOURNÉES D'ÉTUDE DES MATÉRIAUX EN RAFFINERIE TEXTES. DUNKERQUE 27 et 28 juin 2012
VINGT SEPTIÈME JOURNÉES D'ÉTUDE DES MATÉRIAUX EN RAFFINERIE - Textes 27 e JOURNÉES D'ÉTUDE DES MATÉRIAUX EN RAFFINERIE TEXTES DUNKERQUE 27 et 28 juin 2012 UNION FRANÇAISE DES INDUSTRIES PÉTROLIÈRES 27
Plus en détailLes métaux pour construction métallique
Extrait d'un document interne du Sétra rédigé en 2002 par Daniel Poineau et actualisé en 2010. Voir également - l'article de JP Gourmelon dans le n 20 du bulletin Ponts métalliques de 2000 "Matériaux pour
Plus en détailPrédiction des effets des explosions et de réponse des structures pyrotechniques
Prédiction des effets des explosions et de réponse des structures pyrotechniques Jean-Pierre Languy, TECHNIP 1. INTRODUCTION La prédiction des effets des explosifs intéresse en premier lieu le chimiste
Plus en détail1 ère partie : tous CAP sauf hôtellerie et alimentation CHIMIE ETRE CAPABLE DE. PROGRAMME - Atomes : structure, étude de quelques exemples.
Référentiel CAP Sciences Physiques Page 1/9 SCIENCES PHYSIQUES CERTIFICATS D APTITUDES PROFESSIONNELLES Le référentiel de sciences donne pour les différentes parties du programme de formation la liste
Plus en détailMonitoring et suivi du comportement des chaussées
Monitoring et suivi du comportement des chaussées Pierre Hornych Juliette Blanc IFSTTAR - LAMES 1/xx MONITORING ET SUIVI DU COMPORTEMENT DES CHAUSSÉES DÉVELOPPEMENTS RÉCENTS ET PERSPECTIVES Introduction
Plus en détailQuel avenir pour l énergie énergie nucléaire?
Quel avenir pour lénergie l énergie nucléaire? Origine de l énergie nucléaire État critique du réacteur Utilité des neutrons retardés Quel avenir pour le nucléiare? 2 Composant des centrales nucléaires
Plus en détailSéquence 9. Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière
Séquence 9 Consignes de travail Étudiez le chapitre 11 de physique des «Notions fondamentales» : Physique : Dispersion de la lumière Travaillez les cours d application de physique. Travaillez les exercices
Plus en détailFigure 1 : représentation des différents écarts
ulletin officiel spécial n 9 du 30 septembre 2010 Annexe SIENES DE L INGÉNIEUR YLE TERMINAL DE LA SÉRIE SIENTIFIQUE I - Objectifs généraux Notre société devra relever de nombreux défis dans les prochaines
Plus en détailTECHNIQUES: Principes de la chromatographie
TECHNIQUES: Principes de la chromatographie 1 Définition La chromatographie est une méthode physique de séparation basée sur les différentes affinités d un ou plusieurs composés à l égard de deux phases
Plus en détailChapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure?
Chapitre 1 : Qu est ce que l air qui nous entoure? Plan : 1. Qu est ce que l atmosphère terrestre? 2. De quoi est constitué l air qui nous entoure? 3. Qu est ce que le dioxygène? a. Le dioxygène dans la
Plus en détailNormes CE Equipements de Protection Individuelle
E. P. I D O C U M E N T D I N F O R M A T I O N Normes CE Equipements de Protection Individuelle Normes CE EQUIPEMENTS DE PROTECTION INDIVIDUELLE Définitions : E.P.I : Tout dispositif ou moyen destiné
Plus en détailPROCÉDÉS DE SOUDAGE (MANUELS ET SEMI- AUTOMATIQUES)
Procédés de soudage (manuels et semi-automatiques) Chapitre 2 2 PROCÉDÉS DE SOUDAGE (MANUELS ET SEMI- AUTOMATIQUES) Les procédés de soudage présentés dans ce chapitre sont des procédés de soudage à l arc
Plus en détailCORAC : Appels à partenariat Propulsion
1 CORAC : Appels à partenariat Propulsion Appel à partenariat AIRBUS pour le projet P12 EPICE Contexte du projet P12 Périmètre: Système Propulsif en général, moteur, nacelle, mât réacteur (configuration
Plus en détailChauffage par induction
Guide Power Quality Section 7: Efficacité Energétique www.leonardo-energy.org/france Edition Août 2007 Chauffage par induction Jean Callebaut, Laborelec Décembre 2006 1 Introduction... 3 2 Principes physiques...
Plus en détailLa présente fiche technique décrit les exigences auxquelles doit répondre le Système Barofor Round.
1 Objet La présente fiche technique décrit les exigences auxquelles doit répondre le Système Barofor Round. Le système complet comprend les éléments suivants: Panneaux Poteaux Accessoires tels que fixations
Plus en détailFiche technique Mai, 2011 Dernière version : Oct 2010. Produits transparents : SJ 3460 : non adhésif SJ 3560 : Muni d un adhésif acrylique VHB
Dual Lock 250 Système de fixation ouvrable et refermable Fiche technique Mai, 2011 Dernière version : Oct 2010 Description du produit Produits transparents : SJ 3460 : non adhésif SJ 3560 : Muni d un adhésif
Plus en détailLICENCE PROFESSIONNELLE TRAITEMENT ET CONTRÔLE DES MATERIAUX
UNIVERSITE PAUL SABATIER Année Universitaire 2015 2016 Licence Professionnelle Traitement et Contrôle des Matériaux Bat. CIRIMAT 118, Route de Narbonne 31062 Toulouse cedex 04 Tél : 05 61 55 77 51 05 61
Plus en détailJOURNEE TECHNIQUE AFIAP du 15 Mai 2014
JOURNEE TECHNIQUE AFIAP du 15 Mai 2014 Introduction des méthodes CND innovantes au service de la Catherine HERVE; Henri WALASZEK; Mohammed CHERFAOUI CETIM Page 1 Plan de la présentation Les méthodes CND
Plus en détailRappels sur les couples oxydantsréducteurs
CHAPITRE 1 TRANSFORMATIONS LENTES ET RAPIDES 1 Rappels sur les couples oxydantsréducteurs 1. Oxydants et réducteurs Un réducteur est une espèce chimique capable de céder au moins un électron Demi-équation
Plus en détailDéfauts dan les sachets souples état date stérilisables en autoclave nouveau 31/05/2002 Caractérisation et classification
chapitre page 7 Index CHAPITRE 7 CATÉGORIES DES DÉFAUTS 7.1 Abrasion 7.2 Cloque 7.3 Canal de fuite 7.4 Joint comprimé (ou séparation des couches dans la zone de scellage) 7.5 Joint contaminé 7.6 Joint
Plus en détailAdhésif structural pour le collage de renforts
Notice Produit Edition 18/07/2014 Numéro 3022 Version N 2014-253 N identification : 020206040010000001 Adhésif structural pour le collage de renforts Description est une colle structurale thixotrope à
Plus en détailINFO SOUDAGE LE SOUDAGE PAR FRICTION, UN PROCEDE DE SOUDAGE MULTIPLE ET INNOVATEUR
LE SOUDAGE PAR FRICTION, UN PROCEDE DE SOUDAGE MULTIPLE ET INNOVATEUR PRINCIPE DE FONCTIONNEMENT, CLASSEMENT, APPLICATIONS & AVANTAGES Cet article passe en revue le principe de fonctionnement du soudage
Plus en détailLes composites thermoplastiques
Les composites thermoplastiques Définition Par définition, un thermoplastique (anglais :thermoplast) est un matériau à base de polymère (composé de macromolécules) qui peut être mis en forme, à l état
Plus en détailBanc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques
Banc d études des structures Etude de résistances de matériaux (RDM) et structures mécaniques Descriptif du support pédagogique Le banc d essais des structures permet de réaliser des essais et des études
Plus en détailLes Rencontres Scientifiques Colas
Les Rencontres Scientifiques Colas «L avenir du véhicule électrique» 2 juin 2009 avec Yves CHABRE Docteur ès-sciences Consultant pour véhicules électriques et Pierre MIDROUILLET Directeur Général de PVI
Plus en détailUtilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements
Utilisation historique de nanomatériaux en pneus et possibilités de nouveaux développements 7 juin 2012 Francis Peters Bien qu il n y ait pas de nano particules dans les usines qui produisent les mélanges
Plus en détailGénéralités. Aperçu. Introduction. Précision. Instruction de montage. Lubrification. Conception. Produits. Guides à brides FNS. Guides standards GNS
Généralités Aperçu Introduction Précision Instruction de montage Lubrification Conception page............................. 4............................. 5............................. 6.............................
Plus en détailGENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE
Distributeur exclusif de GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE INTRODUCTION...2 GENERALITES SUR LA MESURE DE TEMPERATURE...2 La température...2 Unités de mesure de température...3 Echelle de température...3
Plus en détailSystème multicouche raccords à sertir et tubes
Système multicouche raccords à sertir et tubes 4BONNES RAISONS DE CHOISIR LES SOLUTIONS 4GAMMES COMPLÉMENTAIRES 1 L EFFICACITÉ : pour répondre à toutes les configurations Avec les solutions multiconnect,
Plus en détailUltrasons diffus pour la caractérisation d une fissure dans le béton
Thèse de Doctorat UNIVERSITÉ AIX-MARSEILLE École Doctorale : Sciences pour l Ingénieur : Mécanique, Physique, Micro et Nanoélectronique Spécialité : Mécanique des solides Audrey QUIVIGER Ultrasons diffus
Plus en détailStratégie de développement des gaines et des TH des assemblages du cœur (projet MACNA)
Stratégie de développement des gaines et des TH des assemblages du cœur (projet MACNA) J. L. Séran (CEA) -Introduction. Augmenter les performances des structures de cœur c est développer des matériaux
Plus en détailLe monde nano et ses perspectives très prometteuses.
Le monde nano et ses perspectives très prometteuses. I/ Présentation du monde nano. Vidéo «Science Suisse : Christian Schönenberger, nano-physicien», 12 min. «Christian Schönenberger conduit le Swiss Nanoscience
Plus en détailDISQUE DUR. Figure 1 Disque dur ouvert
DISQUE DUR Le sujet est composé de 8 pages et d une feuille format A3 de dessins de détails, la réponse à toutes les questions sera rédigée sur les feuilles de réponses jointes au sujet. Toutes les questions
Plus en détailEmmanuel.rousseau@institutoptique.fr
E. Rousseau, J-J Greffet Institut d optique Graduate School S. Volz LIMMS, UMI CNRS University of Tokyo, EM2C A. Siria, J. Chevrier Institut Néel-CNRS Grenoble F. Comin ESRF Grenoble Emmanuel.rousseau@institutoptique.fr
Plus en détailPOUR MACHINES ÉLECTRO-PORTATIVES
1.1 DISQUES ABRASIFS AGGLOMÉRÉS POUR MACHINES ÉLECTRO-PORTATIVES SIDAMO propose une gamme complète de disques abrasifs agglomérés pour le tronçonnage sur machines électro-portatives des aciers, des inox,
Plus en détailUTILISATION DE GT-Suite EN THERMIQUE MOTEUR Exemple d utilisation
UTLSATON DE GT-Suite EN THERMQUE MOTEUR Exemple d utilisation ODLLARD Laurent & LEVASSEUR Aurélien Version 00 UTLSATON EN THERMQUE MOTEUR Rencontre Utilisateurs GT-POWER 2013 1. Utilisation de GT-Suite
Plus en détailUtilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique
Utilisation des matériaux magnétostrictifs filaires comme capteurs de mesure de champ magnétique Eric CRESCENZO 1 Evagelos HRISTOFOROU 2 1) IXTREM 9 rue Edouard Denis Baldus, F-711 CHALON SUR SAONE Tél
Plus en détailMESURE DE LA TEMPERATURE
145 T2 MESURE DE LA TEMPERATURE I. INTRODUCTION Dans la majorité des phénomènes physiques, la température joue un rôle prépondérant. Pour la mesurer, les moyens les plus couramment utilisés sont : les
Plus en détailRésonance Magnétique Nucléaire : RMN
21 Résonance Magnétique Nucléaire : RMN Salle de TP de Génie Analytique Ce document résume les principaux aspects de la RMN nécessaires à la réalisation des TP de Génie Analytique de 2ème année d IUT de
Plus en détailPrix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement
Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l environnement A l initiative de François Loos Ministre délégué à l Industrie Page 1 Prix Pierre Potier L innovation en chimie au bénéfice de l
Plus en détailSophie Guézo Alexandra Junay
Sophie Guézo Alexandra Junay sophie.guezo@univ-rennes1.fr alexandra.junay@univ-rennes1.fr Unité Mixte de Recherche (UMR) Université Rennes I et CNRS Physique moléculaire Matière molle Matériaux Nanosciences
Plus en détailApport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal
Apport des méthodes géophysiques pour la caractérisation de zones fuyardes d une digue de canal DL Lyon : G. Bièvre DL Autun : A. Brach, D. Goutaland, M. Massardi, G. Monnot David GOUTALAND CETE de Lyon
Plus en détailProduction mondiale d énergie
Chapitre 14: Autres sources d énergie Énergie nucléaire Énergie solaire Énergie géothermale Hydro-électricité Énergie éolienne Production mondiale d énergie 23% 39% 27% Coal Nuclear Hydro Geothermal Petroleum
Plus en détailNormes au feu des applications électrotechniques et électroniques :
Normes au feu des applications électrotechniques et électroniques : Conséquences sur les mécanismes d ignifugation retenus Innov Days : Les plastiques ignifugés 7 Novembre 2013, Lyon Jean-Marie MALDJIAN
Plus en détail