Evaluation de la qualité du contenu De la RCP Enquête du réseau ONCOPIC et du Registre du Cancer de la Somme
|
|
- Gilbert Bonin
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Evaluation de la qualité du contenu De la RCP Enquête du réseau ONCOPIC du Registre du Cancer de la Somme
2 Etat des lieux en 2003 Enquête de la CNAM
3 QUALITE DE LA PRISE EN CHARGE RCP «théorique» (Enquête CNAM chiffres Picardie) 65 % des établissements affirment référer tous les patients en RCP 20 % ne réfèrent aucun patient (dont 80 % de privés) 15 % ne réfèrent qu une partie des patients Circuit du médicament : serait respecté dans 75 % des établissements comité du médicament : existe dans 45 % des établissements référentiel de cytotoxiques : existe dans 55 % des établissements
4 QUALITE DE LA PRISE EN CHARGE RCP réelle (enquête CNAM) 56,4 % des patients n'ont en fait pas bénéficié de RCP quand on étudie leur dossier 65 % des établissements ont moins adressé de dossiers en RCP qu'attendu 5 % n'en ont pas adressé du tout (alors qu'ils affirmaient que tous les dossiers passaient en RCP) 10 % des établissements ont en fait adressé plus de dossiers en RCP qu'attendu 10 % des établissements ont passé tous leurs patients en RCP, comme attendu 5 % des établissements ont affirmé qu'il n'avaient pas de RCP, ont été conforme à leur affirmation
5 QUALITE DE LA PRISE EN CHARGE Cancer du sein : RCP certaines mentionnées dans le dossier Zone nord : 24,8 % zone sud : 62,5 % Réunion des informations nécessaires pour la décision : (Score OMS, histologie SBR, status ménopausique, atteinte ganglionnaire, récepteurs hormonaux, compte-rendu de RCP) réalisé pour 17,7 % des dossiers (zone sud 34,4 %, zone nord de 10,3 % )
6 Contexte de l étude Les référentiels essaient de mtre en exergue les facteurs pronostics des cancers Leur présence est donc considérée comme un critère de qualité dans la RCP
7 Cancer du sein invasif non métastatique :Groupes de risque Risque Facteurs pronostiques Récepteurs hormonaux Status HER 2 Status ganglionnaire autres Faible (tous les critères des 4 colonnes) pt<= 2 cm,sbr I Pas de LVI Age>= 35 ans ER+ /ou PR+ HER2- N- Intermédiaire(1) 1critère de la colonne de gauche tous les critères des autres colonnes 1 critère parmi les suivants pt > 2 cm, SBR II ou III, LVI, âge < 35 ans ER+ /ou PR+ HER2- N- Intermédiaire(2) pt<= 2 cm,sbr I Pas de LVI, Age>= 35 ans ER+ / ou PR+ HER2- N+(1 à 3 ganglions) Fort : au moins1 critère de la colonne de gauche Et une quelconque des colonnes associées Fort Au moins 2 critères de la colonne de gauche ou bien tous les critères des colonnes associées (récepteurs hormonaux, status HER2 ganglionnaire) qu on lira sur une même ligne 1 critère parmi les suivants pt > 2 cm, SBR II ou III LVI, âge < 35 ans 2 criteres parmi les suivants: pt > 2 cm SBR II ou III LVI âge < 35 ans ou ER- / ou PR- ER- PR- ER+ /ou PR+ ER+ /ou PR+ Quel que soit ER PR HER2+++ N+ (critère suffisant à lui seul) (quel que soit le nombre de Ou bien Ou bien ganglions) Triple negatif HER2- HER2+++ HER2+++ Quel que soit HER2 N- ou N+ N- N+(1 à 3 ganglions) N+(> 3 ganglions)
8 Chimio adjuvante (Saint GALLEN modifié SPV) Status HER2 Recepteurs hormonaux Groupe de risque Traitement adjuvant HER2 +++ RH + Quel que soit le risque Chimio séquentielle ATR+ Taxanes (accord d experts) Trastuzumab adjuvant hormonotherapie RH - Quel que soit le risque Chimio séquentielle ATR+ Taxanes (accord d experts) Trastuzumab adjuvant Risque faible hormonotherapie HT+ CT RH + Risque intermediaire ATR+ taxane niveau 3 grade C. ATR sans taxane niveau 1 grade A. HER2 - taxane sans ATR niveau 2 grade B HT+ CT ATR+ taxane niveau 1 grade A. Risque fort RH - CT ATR+ taxane = niveau 1 grade A.
9 Groupe de risque faible au bilan préopératoire (critères de d Amico) concerne Critères Diminution du risque Augmentation du risque Bilan Traitement EDV > 10 ans Traitement EDV < 10 ans T1: (non palpable, non visible) T1a: < 5% tissu réséqué : voir tableau spécial T1b: >= 5% tissu réséqué T1c:biopsie systématique pour élévation PSA T2a: (palpable) <=1/2 lobe Tous les critères suivants: PSA <= 10 Gleason <= 6 (pas de grade 4 ou 5) Tout T1 T2a Pour les T> pt1c: < 50 % des biopsies positives < 50% de tumeur dans chaque biopsie positive Pour toutes les T du groupe : Gleason <= 6 (2-4) Vélocité < 2ng /ml/an Autre option PT1a Surveillance active dans certains cas (voir traitement) sur vélocité du PSA Pour les T>à pt1a: > 50 % des biopsies + Pour toutes les T du groupe: Vélocité >= 2ng/ml/an (Aggrave le pronostic de la RT de l association RT + Curie) Pronostic Rien sauf IRM pelvienne si augmentation du risque N importe quel traitement locorégional (PT, RTE, Curie) Pour la PT le curage ganglionnaire est optionnel. Traitement adjuvant si cas particulier ou risque augmenté Surveillance traitement différé quand nécessaire RT ou HT ou RT-HT si risque augmenté HIFU possible (si tous les critères suivants) 70 ans T1T2 N0M0, gleason <= 7 (3+4) PSA <= 15 prostate < 50cc Rechute PSA : 6-20 % Survie à 10 ans : >90% Cas particuliers: PT1a, Marges +, Vésicules séminales +, PT3 post op, pn1 per op PROSTATE 9
10 Groupe de risque Intermédiaire au bilan préopératoire (critères de d Amico) concerne Critères Diminution du risque Augmentation du risque Bilan Traitement EDV > 10 ans Traitement EDV < 10 ans T2b =atteinte prostatique au delà de ½ lobe en restant dans un seul lobe Au moins un des critères suivants: PSA 11 à 20 Gleason7 T2b Risque global: <50 % des biopsies+ PSA < 15 Gleason 3+4 Vélocité < 2ng:ml/an Moins de 50% de tumeur par biopsie envahie Stade < T2b Risque ganglionnaire corrélé au % de biopsies positives: Faible si % < 33% Intermédiaire si % =34 à 50 % Risque global > 50 % des biopsies + PSA >= 15 Gleason 4+3 Vélocité >= 2ng/ml/an Longueur de tumeur plus de 50% de tumeur par biopsie envahie T2b associé à un autre critère Risque ganglionnaire Gleason 4+3 (risque = 19%) % biopsies +> 50% (risque= 45%) Scintigraphie Os (optionnel) IRM prostatique Pelvienne Bilan compl en cas de risque augmenté Si il faut dépister un T3: IRM endorectale Sinon: IRM pelvienne (rendement nul si PSA < 15) PT ou RTE Traitement adjuvant si cas particulier ou risque augmenté. La curie est inférieure n est pas proposée. Pour la PT, curage gg standard recommandé si risque gg fort (Partin insuffisant dans les risques intermédiaires) PT= prostatectomie totale RTE= radiotherapie externe Surveillance traitement différé quand nécessaire pour les cas à risque diminué RT ou HT Ou RT-HT si risque augmenté HT= hormonothérapie EDV= espérance de vie La mortalité spécifique augmente de 0.8% à 12.6% en fonction du nombre des critères présents parmi les suivants: PSA >10, Gleason >7, T2b, T2c Pronostic: Rechute PSA : 34-60% Survie à 10 ans: 80 % quel que soit le traitement RTOG (RT seule) : si T1 T2 NX gleason = 7 : S10 = 80% Cas particuliers: PROSTATE 10 Marges +, VS+, PT3 post op,,si extempo: pn1 per opératoire
11 Groupe de risque élevé au bilan préopératoire (critères de d Amico) Critères Diminution du risque Augmentation du risque Bilan Traitement EDV > 10 ans Traitement EDV < 10 ans Au moins un des critères suivant: PSA >20 Gleason > 7 T > T2c Vélocité <2 ng/ml/an Vélocité PSA >= 2ng/ml/an Temps de doublement de PSA < 6 mois > 50% des biopsies + Longueur de tumeur pourcentage de tissu tumoral sur les biopsies >30 % Présence de grade 5 ou % de grade 4 majoritaire >50% sur une biposie ou présence de grade 4 sur plusieurs biopsies (risque ganglionnaire accru Bilan compl Lymphadenectomie elargie recommandée si traitement loco régional envisagé si un N+ change l indication (doit s étendre de la fosse obturatrice à l axe iliaque primitif homolatéral au minimum) PT (curage ganglionnaire discuté) ou RTE + HT précoce Traitement adjuvant dans tous les traitements loco régionaux RTE + HT concomitante prolongée 3 ans: traitement de référence si les trois critères majeurs sont réunis (voir «criteres») Surveillance puis HT si progression ou HT d emblée PSA DT 6-12 mois: HT d emblée PSA DT>12 mois: HT si PSA>10/ng/ml PSA DT= temps de doublement du PSA Pronostic: Rechute PSA : 50-95% - Survie à 10 ans: 45-65% RTOG (RT seule): S10 = 80% si T3 NX Gleason < 7 ou N+ Gleason < 7 S10 = 65% si T3NX Gleason 7 ou N+ Gleason 7 ou T1T2NX Gleason>7 S10 = 33% si T3NX Gleason>7 ou N+ Gleason>7 Cas particuliers: marges +, VS+, PT3 post op, Si extempo: pn1 per op PROSTATE 11
12 Méthodologie de l enquête (1) cancers analysés : cancer du sein de la prostate non métastatiques 3 établissements : 2 publics 1 privé tirage au sort 1/5 des dossiers année dossiers cancers de la prostate 147 dossiers cancer du sein Toutes les RCP analysées avaient pour motif une décision therapeutique ou une adaptation du traitement
13 Méthodologie de l enquête (2) Extraction DCC de la RCP correspondante rour au Dossier médical Items analysés : - socio-démographiques : nom, prénom, sexe, âge - contexte clinique : comorbidités, OMS, antécédents, - bilan de la maladie : Prostate : T, N, PSA, Gleason, pourcentage de biopsies positives, vélocité du PSA, temps de doublement du PSA, marges positives, vésicules séminales envahies Sein : T, SBR, invasion lympho-vasculaire, RO RP, statut HER ganglionnaire, - examens complémentaires radiologiques scintigraphiques, dont la date est antérieure à la RCP - décision thérapeutique Items présents dans le Dossier médical si accord ou non avec le DCC
14 Attention aux biais d interpration L absence d une information lors de la RCP ne signifie pas qu elle ne figure pas dans le dossier ulterieurement La proposition therapeutique de la RCP peut subir des modifications ultérieures Les manques concernent souvent les mêmes dossiers
15 Degré de renseignement du DCC Comparaison DCC/dossier-papier médical
16 PROSTATE(chiffres absolus) comorb OMS ATCD T N total DM accord des-absc Total = toutes les fiches DM = dossier médical accord= concordance DM DCC Des-absc= DM OK mais DCC insuffisant
17 PROSTATE(chiffres absolus) PSA Gleason % biopsie % biopsie = pourcentage de carottes positives PSA dt = temps de doublement du PSA velocite psa dt total DM accord des-absc Total = toutes les fiches DM = dossier médical accord= concordance DM DCC Des-absc= DM OK mais DCC insuffisant
18 SEIN(chiffres absolus) comorb OMS ATCD taille T SBR total DM accord des-absc Total = toutes les fiches DM = dossier médical accord= concordance DM DCC Des-absc= DM OK mais DCC insuffisant
19 SEIN(chiffres absolus) LVI RO RP HER2 N LVI : invasion lympho-vasculaire RO = recepteurs oestrogéniques RP =recepteurs progestéroniques HER2= recepteur HER2 neu total DM accord des-absc Total = toutes les fiches DM = dossier médical accord= concordance DM DCC Des-absc= DM OK mais DCC insuffisant
20 Degré de renseignement du DCC Comparaison DCC/dossier-papier médical
21 PROSTATE(%) comorb OMS ATCD T N total DM accord des-absc Total = toutes les fiches DM = dossier médical accord= concordance DM DCC Dossier pertinent= présence de T Gleason PSA, % de biopsies positives comorbidites = 85% Des-absc= DM OK mais DCC insuffisant
22 PROSTATE(%) PSA Gleason % biopsie Dossier pertinent= T Gleason PSA, velocite % de biopsies positives, comorbidites = 85% psa dt total DM accord des-absc Total = toutes les fiches DM = dossier médical accord= concordance DM DCC Des-absc= DM OK mais DCC insuffisant
23 SEIN(%) comorb OMS ATCD taille T SBR total DM accord des-absc Total = toutes les fiches DM = dossier médical accord= concordance DM DCC Dossier pertinent= presence de T SBR RO RP HER2, Et N, LVI = 85% Des-absc= DM OK mais DCC insuffisant
24 SEIN(%) LVI RO RP HER2 N total DM accord des-absc Total = toutes les fiches DM = dossier médical Dossier pertinent= presence de T SBR RO RP HER2, Et N, LVI = 85%
25 Comparaison des dossiers pertinents (85%) des dossiers considérés comme non pertinents au moment de la RCP
26 Cancer du sein : examens (%) TDM echo foie scinti os R pulm dossiers pertinents autres % dans chacune des categories Dossier pertinent= presence de T, SBR, RO, RP, HER2, N, LVI
27 Cancer du sein : traitements(%) dossiers pertinents autres CHIR RT hormonott ciblé gg CT sentinelle % dans chacune des categories Dossier pertinent= presence de T, SBR, RO, RP, HER2, N, LVI
28 Cancer de la prostate : examens (%) dossiers pertinents autres 10 0 scanner IRM TR echo foie scinti os % dans chacune des categories Dossier pertinent= T, Gleason, PSA, % de biopsies positives, comorbidites S
29 Cancer de la prostate : traitements(%) Un seul cas, métastatique dossiers pertinents autres 10 0 CHIR RT hormono CT % dans chacune des categories Dossier pertinent= T, Gleason, PSA, % de biopsies positives, comorbidites
30 CONCLUSION Amelioration+++ des conditions de la décision depuis % des dossiers ont l information pertinente pour prendre la décision Les 15% de dossiers où l information manque montrent la prudence des thérapeutes en matière de décision.cte information manquante est souvent rrouvée dans le dossier après la RCP. Pas de congruence suffisante entre le DCC étudié la réalité du dossier médical
31 MERCI DE VOTRE ATTENTION
Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailTraitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse
Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt
Plus en détailQu est-ce que le cancer du sein?
Cancer du sein Qu est-ce que le cancer du sein? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique de ESMO
Plus en détailRecommandations 2005. Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO
Recommandations 2005 Prise en charge des patients adultes atteints d un mélanome cutané MO Recommandations pour la Pratique Clinique : Standards, Options et Recommandations 2005 pour la prise en charge
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailTUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE
1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS
Plus en détailLes soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio
Les soins infirmiers en oncologie : une carrière faite pour vous! Nom de la Présentatrice et section de l'acio Grandes lignes Pourquoi les soins en cancérologie sont-ils un enjeu de santé important? Les
Plus en détailCORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE
CORRELATION RADIO-ANATOMIQUE DANS LE CARCINOME HEPATOCELLULAIRE TRAITE PAR TRANSPLANTATION HEPATIQUE : IMPACT SUR LA RECIDIVE L. Lecoq, J. Gendre, N. Sturm, C. Letoublon, MN. Hilleret, JP. Zarski, V. Leroy
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailGUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE. Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique. Cancer du sein
GUIDE - AFFECTION LONGUE DURÉE Tumeur maligne, affection maligne du tissu lymphatique ou hématopoïétique Cancer du sein Janvier 2010 Ce document s inscrit dans un double dispositif : La mise en œuvre de
Plus en détailCoordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA. Doctorant: Camelia MICU (DEMETRIAN)
UNIVERSITÉ DE MÉDECINE ET PHARMACIE DE CRAIOVA FACULTÉ DE MÉDECINE CONTRIBUTIONS A L'ÉTUDE CLINIQUE ET MORPHOLOGIQUE DES CANCERS DU POUMON Coordinateur scientifique: Prof. Univ. Dr. Emil PLEŞEA Doctorant:
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailPeut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant
Peut-on ne pas reprendre des marges «insuffisantes» en cas de Carcinome canalaire infiltrant Institut Cancérologie de l Ouest CHIRURGIE Dr. Isabelle Jaffré CAS CLINIQUE 1 36 ans 90B sans CI radiothérapie
Plus en détailEvaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés
Evaluation de critères res de substitution de la survie globale dans les cancers bronchiques localement avancés Evaluations de la survie sans progression et du contrôle locoregional comme critère de substitution
Plus en détailF JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010
F JABNOUN, H BERMENT, R KHAYAT, M MOHALLEM, Y BARUKH, P CHEREL Institut Curie Hôpital René Huguenin, Saint Cloud JFR 2010 Une anomalie ACR5 n est pas synonyme de malignité (VPP>95%) Quelle CAT après un
Plus en détailRecherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches. Les cancers du sein
Recherche Information - prévention - dépistage Actions pour les malades et leurs proches Les cancers du sein G R A N D P U B L I C Les cancers du sein Aujourd'hui, en France, comme dans de nombreux pays
Plus en détailEssai Inter-groupe : FFCD UNICANCER FRENCH - GERCOR
CLIMAT - PRODIGE 30 Etude de phase III randomisée évaluant l Intérêt de la colectomie première chez les patients porteurs d un cancer colique asymptomatique avec métastases hépatiques synchrones non résécables
Plus en détailLes différents types de cancers et leurs stades. Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07
Les différents types de cancers et leurs stades Dr Richard V Oncologie MédicaleM RHMS Baudour et Erasme La Hulpe 1/12/07 CARCINOGENESE multiple steps, accumulation d altd altérations continuum lésionnel
Plus en détailLe dépistage du cancer de la prostate. une décision qui VOUS appartient!
Le dépistage du cancer de la prostate une décision qui VOUS appartient! Il existe un test de dépistage du cancer de la prostate depuis plusieurs années. Ce test, appelé dosage de l antigène prostatique
Plus en détailMétastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési
Métastase unique d un NPC: Une question singulière? Jean Louis Pujol - Xavier Quantin Mohammad Chakra Fabrice Barlési Deux grandes questions Cette modalité de présentation, requiert elle une prise en charge
Plus en détailProgramme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention
Programme «maladie» - Partie II «Objectifs / Résultats» Objectif n 2 : développer la prévention Indicateur n 2-3 : Indicateurs sur le dépistage du cancer 1 er sous-indicateur : taux de participation au
Plus en détailActualités s cancérologiques : pneumologie
Actualités s cancérologiques : pneumologie PLAN Incidence / facteurs de risque Anatomie Symptômes Types de tumeurs Diagnostic / extension Classification Traitement Pronostic Pneumologie : incidence Belgique
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailCOMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007
COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)
Plus en détailIRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate. Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière
IRM APRES TRAITEMENT RADICAL OU FOCAL du cancer de prostate Raphaële Renard Penna Emmanuel Banayan Hôpital Pitié Salpétrière Prise en charge du cancer de prostate 120000 patients 7% active surveillance
Plus en détailQuel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques?
Quel apport de l imagerie dans les traitements anti-angiogéniques? L Fournier, D Balvay, CA Cuénod Service de radiologie, Hôpital Européen Georges Pompidou Laboratoire de Recherche en Imagerie, Equipe
Plus en détailApport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum
Apport de l IRM dans le bilan préthérapeutique du cancer du rectum Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction Matériel
Plus en détailINTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive. Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper
INTERFERON Traitement adjuvant du mélanome à haut risque de récidive Dr Ingrid KUPFER-BESSAGUET Dermatologue CH de quimper Pourquoi proposer un TTT adjuvant? Probabilité de survie à 10 ans en fonction
Plus en détailUE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire
UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP
Plus en détailLes cancers de la prostate
Vous cherchez de l aide ou d autres informations? Vous avez besoin de parler? Vous cherchez des informations sur un type de cancer ou ses possibilités de traitement? Vous voulez savoir comment faire appel
Plus en détailGUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE. La prise en charge du cancer du rein
GUIDE PATIENT - AFFECTION DE LONGUE DURÉE La prise en charge du cancer du rein Novembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le cancer du rein, son
Plus en détailEssais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire
Essais précoces non comparatifs : principes et calcul du nombre de sujets nécessaire Sylvie CHABAUD Direction de la Recherche Clinique et de l Innovation : Centre Léon Bérard - Lyon Unité de Biostatistique
Plus en détailTumeurs cutanées épithéliales et mélaniques
Examen National Classant Module transdisciplinaire 10 : Cancérologie, onco-hématologie Tumeurs cutanées épithéliales et mélaniques Mélanomes NOUVEAU P. SAIAG (Ambroise Paré, Boulogne Billancourt), J.-J.
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLes renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic de cancer
Information importante pour les personnes atteintes d un cancer du poumon non à petites cellules de stade avancé Les renseignements suivants sont destinés uniquement aux personnes qui ont reçu un diagnostic
Plus en détailL axe 5 du Cancéropole Nord Ouest
L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu id & Société L état des lieux d un pari Le Rapport Cordier 1 Biomarqueurs prédictifs 2 L axe 5 du Cancéropole Nord Ouest Cancers, Individu & Société
Plus en détailQu est-ce que le cancer de l œsophage?
Cancer de l œsophage Qu est-ce que le cancer de l œsophage? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailÉtude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon
Delais-Cancer Sein Poumon:32 pages 6/06/12 12:39 Page 1 Mesure 19 SOINS ET VIE DES MALADES Étude sur les délais de prise en charge des cancers du sein et du poumon DANS PLUSIEURS RÉGIONS DE FRANCE EN 2011
Plus en détailPour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir.
Dépistage Pour l'instant, les connaissances actuelles ne permettent pas d'empêcher un cancer du sein de survenir. Par contre, nous pouvons tenter de le dépister plus tôt afin d'avoir plus de chances de
Plus en détailCréation de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy
Création de procédures inter-services pour la gestion des essais de phase I à l Institut Gustave Roussy A.A. MOUSSA D. SCHWOB Institut de cancérologie Gustave-Roussy 94805 Villejuif cedex - FRANCE Plan
Plus en détailLes sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du
Les sciences de l ingénieur appliquées à la prise en charge du cancer : enjeux et opportunités Début de cartographie des enjeux cliniques et technologiques gq Jean-François MENUDET, Cluster I-Care Cartographie
Plus en détailMise en œuvre d un contrat de liquidité Fin de la période de stabilisation
Mise en œuvre d un contrat de liquidité Fin de la période de stabilisation Paris, 23 avril 2015, 20h00 OSE Pharma SA (ISIN : FR0012127173 ; Mnémo : OSE), société biopharmaceutique qui développe des produits
Plus en détailQu est-ce que le cancer du pancréas?
Cancer du pancréas Qu est-ce que le cancer du pancréas? Laissez-nous vous expliquer. www.fondsanticancer.org www.esmo.org ESMO/FAC Patient Guide Series basés sur les recommandations de pratique clinique
Plus en détailLa recherche en urologie à l hôpital Foch... p.2-4 ACTUALITÉ
DOSSIER La recherche en urologie à l hôpital Foch............. p.2-4 ACTUALITÉ Inauguration du service d oncologie..........................p.5 Actualités de l hôpital Foch...................................p.6
Plus en détailEssais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009
17 èmes Journées des Statisticiens des Centres de Lutte contre le Cancer 4 ème Conférence Francophone d Epidémiologie Clinique Essais cliniques de phase 0 : état de la littérature 2006-2009 Q Picat, N
Plus en détailCharte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco
Réseau Régional de Cancérologie ONCOPACA-Corse Charte régionale des Réunions de Concertation Pluridisciplinaire de PACA, Corse et Monaco 1. CONTEXTE ET OBJECTIF Contexte : Cette présente charte a été définie
Plus en détailCas clinique 2. Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier
Cas clinique 2 Florence JOLY, Caen François IBORRA, Montpellier Cas clinique Patient de 60 ans, ATCD: HTA, IDM en 2007, hypercholestérolémie Juin 2008: Toux, dyspnée (sous 02) et anorexie progressive Bilan
Plus en détailSession plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: Poster présentations: 87/1438
CANCERS DIGESTIFS Session plénière: 1 / 4 Sessions scientifiques et poster discussions: 38/435 Poster présentations: 87/1438 The TME Trial after a Median Follow-up of 11 Years C. A. Marijnen et Al, Leiden,
Plus en détailF-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France
18F-fluorodéoxyglucose en oncologie. Expérience en Ile de France. 18 F-FLUORODÉOXYGLUCOSE EN ONCOLOGIE Expérience en Ile de France H. FOEHRENBACH 1, J. LUMBROSO 2 1 Service Médecine Nucléaire, Hôpital
Plus en détailLa nouvelle classification TNM en pratique
La nouvelle classification TNM en pratique Thierry Berghmans Département des Soins Intensifs et Oncologie Thoracique Institut Jules Bordet Bruxelles, Belgique Bases historiques 1946 : Denoix invente le
Plus en détailBiomarqueurs en Cancérologie
Biomarqueurs en Cancérologie Définition, détermination, usage Biomarqueurs et Cancer: définition Anomalie(s) quantitative(s) ou qualitative(s) Indicative(s) ou caractéristique(s) d un cancer ou de certaines
Plus en détailCancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005)
Cancers du larynx : diagnostic, principes de traitement (145a) Professeur Emile REYT Novembre 2003 (Mise à jour Mars 2005) Pré-Requis : Anatomie du larynx Physiologie de la phonation et de la déglutition
Plus en détailCancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons.
Cancer du sein. Du CA15-3 à la tomographie à émission de positons. Un taux de récidive de 30% dans les dix premières années chez des patientes en rémission complète après un traitement curatif, requiert
Plus en détailStatistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon
Statistiques Canadiennes sur le Cancer, et HMR sur le poumon Bernard Fortin Mars 2014 Source: Comité consultatif de la Société canadienne du cancer : Statistiques canadiennes sur le cancer 2013. Toronto
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailLe cancer dans le canton de Fribourg
Le cancer dans le canton de Fribourg Le cancer du poumon dans le canton de Fribourg, analyses statistiques réalisées sur la base des données récoltées par le Registre fribourgeois des tumeurs depuis début
Plus en détailAssurance maladie grave
ASSURANCE COLLECTIVE Le complément idéal à votre assurance collective Assurance maladie grave Votre partenaire de confiance. Assurance maladie grave La tranquillité d esprit à votre portée Les progrès
Plus en détailVolume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques
2 V o l u m e Volume 1 : Epidémiologie - Etudes des facteurs de risques Volume 2 : Epidémiologie - Situation et actions Recherche des données d incidence estimée des cancers au Maroc Recherche des données
Plus en détailQuels sont les facteurs qui font augmenter les risques de cancer du rein?
Qu est-ce que le cancer du rein? L adénocarcinome rénal est le type le plus fréquent de cancer du rein 1. Le rôle des reins consiste à filtrer le sang et à évacuer les déchets de l organisme dans l urine.
Plus en détailGrossesse après cancer du sein
Pregnancy after breast cancer Mots clés : Grossesse, Cancer du sein, Femmes jeunes, Facteurs pronostiques, Survie Keywords : Pregnancy, Breast carcinoma, Young women, Prognostic factors, Survival F. Abel-Decollogne
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailLymphome non hodgkinien
Lymphome non hodgkinien Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca LYMPHOME NON HODGKINIEN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du cancer presque
Plus en détailIntérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire
Intérêt de la TEP-FDG dans les cancers de l ovaire T. Mognetti et F. Giammarile Introduction La TEP-FDG (Tomographie par Émission de Positons après injection de 18 F- Fluoro-2-Déoxy-Glucose) est un des
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements, soins et innovation OCTOBRE 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein in situ COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détail1 of 5 02/11/2012 14:03
1 of 5 02/11/2012 14:03 Le cancer du chat par Sandrine Cayet, docteur-vétérinaire Le cancer chez le chat n est pas une fatalité. Un cancer chez le chat, c est comme chez l homme, ça se diagnostique, ça
Plus en détailLes grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY
Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailPascal Thomas, pour la Société Française de Chirurgie Thoracique et Cardio-Vasculaire.
e-mémoires de l'académie Nationale de Chirurgie, 2009, 8 (1) : 36-40 36 Recommandations de la Société Française de Chirurgie Thoracique et Cardio-Vasculaire de pratiques chirurgicales dans le traitement
Plus en détailDon d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper
Don d organes et mort cérébrale Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper La mort cérébrale Cessation irréversible de toute fonction cérébrale
Plus en détailMontréal, 24 mars 2015. David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting. DL Consulting Strategies in Healthcare
Montréal, 24 mars 2015 David Levine Président et chef de la direction DL Strategic Consulting 1 RSSPQ, 2013 2 MÉDECINE INDIVIDUALISÉE Médecine personnalisée Médecine de précision Biomarqueurs Génomique
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailItem 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve
Item 169 : Évaluation thérapeutique et niveau de preuve COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Différentes
Plus en détailCancer de l ovaire. traitements, soins et innovation. traitements adjuvants et de consolidation. www.e-cancer.fr. juin 2009
traitements, soins et innovation juin 2009 recommandations professionnelles Cancer de l ovaire traitements adjuvants et de consolidation COLLECTION recommandations & référentiels RECOMMANDATIONS DE PRISE
Plus en détailEtat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire
12 juin 2014 Etat des lieux de l accès aux plateformes de génétique moléculaire CONTEXTE ET OBJECTIFS DE l ETUDE : L action 6.2 du plan cancer 3 «conforter l accès aux tests moléculaires» stipule en particulier
Plus en détailESMO 14. L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie
ESMO 14 L oncogériatrie d un coup d éventail! Dr Elisabeth Carola UCOG Picardie Cancer du SEIN Taxotere hebdo pas mieux et plus toxique Perrone F et al Ann Oncol 2014 Phase III : CMF vs Taxotere hebdo
Plus en détailLe contexte. Définition : la greffe. Les besoins en greffons en constante augmentation
Présentation Le contexte Quels donneurs, quels organes? Le don Pour quels malades? Les étapes d une greffe d organes Faites connaître votre choix! 01/04/2014 Union Nationale des associations de donneurs
Plus en détailUTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS
UTILISATION DU FICHIER DES PAIEMENTS À L ACTE DE LA RAMQ POUR IDENTIFIER LES CAS DE CANCER NON DÉCLARÉS AU FICHIER DES TUMEURS DU QUÉBEC ÉTUDE DE FAISABILITÉ VOLET : CANCER DE LA PROSTATE DIRECTION PLANIFICATION,
Plus en détailCHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES
CHIMIOTHERAPIE DES CANCERS DU POUMON DES SUJETS AGES 1 EPIDEMIOLOGIE 28 000 nouveaux cas/an 4ème rang des cancers Sex ratio 6,1 Mortalité > 27 000/an Âge médian H 67 ans, F 68 ans 2 1 Taux annuel ajusté
Plus en détailChimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules. Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015
Chimiothérapie des cancers bronchiques non à petites cellules Dr Aloulou Samir Médenine le 13 Juin 2015 Cas clinique Mr A.S agé de 55 ans grand tabagique consulte aux urgences pour céphalées évoluant depuis
Plus en détailLE CANCER DE LA PROSTATE l avenir
LE CANCER DE LA PROSTATE l avenir Dr Emmanuel ACHILLE HÔPITAL CLINIQUE CLAUDE BERNARD - METZ Réunion ONCOLOR - METZ le 02/10/07 Données chiffrées de l incidence l des cancers en France, 2000 Sein Prostate
Plus en détailFormat de l avis d efficience
AVIS D EFFICIENCE Format de l avis d efficience Juillet 2013 Commission évaluation économique et de santé publique Ce document est téléchargeable sur www.has-sante.fr Haute Autorité de santé Service documentation
Plus en détailFocus. Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes. Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés.
Unité de Recherche et Développement pour les Risques Aggravés Focus Juillet 2007 Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Assurances et tumeurs génitales des hommes jeunes Conception et réalisation
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailProstate Une petite glande de grande importance
Prostate Une petite glande de grande importance Informations sur les maladies les plus fréquentes, à l intention des patients et des personnes intéressées Société Suisse d Urologie (SSU) Votre partenaire
Plus en détailCancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes
Cancer bronchique primitif: données épidémiologiques récentes Pr Jean Trédaniel Service de pneumologie et oncologie thoracique Groupe Hospitalier Paris Saint Joseph Université Paris Descartes Sources Données
Plus en détailDécouvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE
Découvrez L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE 2014 L INSTITUT UNIVERSITAIRE DU CANCER DE TOULOUSE L Institut universitaire du cancer de Toulouse (IUCT) est un nouveau modèle français d organisation
Plus en détailLa survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation
La survie nette actuelle à long terme Qualités de sept méthodes d estimation PAR Alireza MOGHADDAM TUTEUR : Guy HÉDELIN Laboratoire d Épidémiologie et de Santé publique, EA 80 Faculté de Médecine de Strasbourg
Plus en détailComprendre. le Cancer du sein. Mise à jour. Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches
Comprendre le Cancer du sein Mise à jour Guide d information et de dialogue à l usage des personnes malades et de leurs proches Ce guide s inscrit dans le cadre d un programme réalisé en partenariat avec
Plus en détailELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE
Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque
Plus en détailLe dépistage des cancers
Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailPREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES
PREVENTION DES TRAUMATISMES DENTAIRES LORS DE L ACCES AUX VOIES AERIENNES SUPERIEURES Patrick-Georges Yavordios Clinique Convert 01000 Bourg en Bresse Introduction L es traumatismes dentaires représentent
Plus en détailTransgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010
Parc d Innovation d Illkirch, France, le 10 mars 2010 Transgene accorde une option de licence exclusive pour le développement et la commercialisation de son produit d immunothérapie TG4010 Transgene (Euronext
Plus en détail