Réponse à la saisine

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1 Réponse à la saisine «adaptation de la stratégie de LAV mise en place en Martinique et en Guadeloupe pour faire face à une éventuelle extension de l épidémie de chikungunya» 2 octobre 2014 Assemblée générale du CNEV

2 Contexte Emergence du virus chikungunya à Saint Martin fin 2013 Extension de la circulation : à l ensemble des Antilles françaises : Guadeloupe ( hab), Martinique ( hab), collectivités de Saint Martin ( hab) et de Saint Barthélemy (9 000 hab), À d autres territoires des Amériques

3 Contexte a b Nombre hebdomadaire de cas cliniquement évocateurs de chikungunya à (a) Saint Martin et (b) Saint Barthélémy source CIRE AG

4 Contexte Mission GT CNEV Alerte de la DGS par le CNEV Nombre hebdomadaire de cas cliniquement évocateurs de chikungunya en Guadeloupe source CIRE AG

5 Contexte Nombre hebdomadaire de cas cliniquement évocateurs de chikungunya en Guyane source CIRE AG

6 Contexte Une forte résistance des populations d Aedes aegypti aux pyréthrinoïdes Une stratégie de réponse intégrée : PSAGE CHIK (surveillance épidémiologique, prise en charge médicale, LAV, communication, hygiène de l environnement)

7 Contexte Structuration du PSAGE phase 1: absence de transmission autochtone Phase 1a : absence d épidémie de chikungunya dans les régions d échanges avec Antilles Guyane Phase 1b : épidémie avérée dans une zone d échanges avec les Antilles Guyane (renforcement des actions) Phase 1c : épidémie avérée dans un des autres territoires français d Amérique (renforcement des actions) phase 2: circulation virale autochtone modérée phase 3 : situation épidémique (circulation avérée) phase 4 : fin de l épidémie

8 Saisine DGS 1. En date du 23 juin Adaptation des stratégies de LAV dans le cadre de l épidémie de CHIKV 3. Périmètre géographique : Guadeloupe, Martinique 4. «Dead line» : 30/07/2014

9 Termes de la saisine 1. Quelle surveillance épidémiologique pour l orientation des actions de LAV? 2. Quel est l impact opérationnel de la résistance à la deltaméthrine? Quelles alternatives? 3. Comment graduer la réponse en fonction de l évolution de la situation et quels renforts? 4. Comment améliorer la communication et l implication des collectivités?

10 Constitution du GT Jean Sébastien DEHECQ (ARS Océan Indien), James DEVILLERS (CTIS), Isabelle DUSFOUR (Institut Pasteur de Guyane), Didier FONTENILLE (IRD), Remi FOUSSADIER (EID Rhône Alpes), Martine LEDRANS (InVS Cire Antilles Guyane), Yvon PERRIN (CNEV). Relecture et/ou contribution : Fabrice CHANDRE (IRD), Frédéric JOURDAIN (CNEV), Nicolas POCQUET (CNEV), Paul REITER (Institut Pasteur)

11 Recommandations (1) 1. Stratégies de LAV o Au vu : o o o o des niveaux de résistance observés, de l importance des zones touchées par l épidémie, des moyens disponibles Malgré l existence d une demande de la population pour des actions de LAV par les autorités : Suspension des traitements à la deltaméthrine, intradomiciliaires ou autoportés, dans les zones en phase 3 Poursuite de ces traitements dans les zones en phase 1 et 2 pour limiter l émergence de nouveaux foyers

12 Recommandations (2) 2. Restructuration des services, organisation et moyens o o o o Recrutement de cadres intermédiaires Publication d un arrêté préfectoral pour élargir le périmètre d intervention des équipes et intervenir sur les terrains privés Elaborer des Contrats locaux de Santé et des Plans Communaux de Sauvegarde concernant les épidémies d arbovirus, Faciliter la gestion opérationnelle de la LAV par la définition et la création de «Zones de circulation virale» (ZCV),

13

14 Recommandations (3) 3. Impact de la résistance d Aedes aegypti Suspendre l utilisation de la deltaméthrine en phase 3, nécessité absolue d obtenir de nouvelles molécules biocides utilisables, Intégrer dans les stratégies de lutte : La protection personnelle Les impacts potentiels des traitements sur l environnement,

15 Recommandations (4) 4. Lutte communautaire Lu e communautaire et en plus de IEC Importance des relais de mobilisation, notamment les référents communaux : renforcer leur rôle, fédérer en réseau Renforcer l implication de tous les acteurs concernés (collectivités, EN, secteur touristique ) et multiplier les autres relais sur le terrain (représentants des différents cultes, personnalités publiques ) S inscrire dans un cadre coordonné et cohérent

16 Recommandations (5) 5. A plus long terme : Accompagner les agents dans l évolution de leur métier (renforcement des services et formation), Rechercher de nouveaux adulticides pour la LAV ; démarche Anses doit non seulement être poursuivie, mais doit aboutir Poursuite de la réflexion sur la gouvernance de la LAV (cohérence de la gouvernance et donc de la politique de SP sur les différents territoires français).

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