LA MASSE SALARIALE ET L EMPLOI DU SECTEUR PRIVÉ AU DEUXIÈME TRIMESTRE 2014

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1 N 197 SEPTEMBRE Les effectifs salariés du secteur privé sont stables au deuxième trimestre (-, %) après une hausse de,1 % aux deux trimestres précédents. Sur un an, l emploi augmente de,1 % (+ 1 postes). Hors intérim, l emploi est stable (+, %) sur le trimestre et sur un an. Le salaire moyen par tête (SMPT) augmente quant à lui de,3 %. Sur un an, il progresse de 1, % tandis que les prix à la consommation augmentent de,3 % sur la même période. Au total, la masse salariale croît de,3 % au deuxième trimestre, après une hausse de, % au premier trimestre. Sur un an, elle progresse de 1, %. Dans l industrie, l emploi salarié continue de reculer (-,3 %, soit - 9 postes). Sur un an, la baisse atteint - 1,1 %, soit - 3 postes. Dans la construction, l emploi diminue de, % au deuxième trimestre (soit - 9 postes) après -, % au premier trimestre et des baisses comprises entre, % et, % en 13. Sur un an, le repli est de - 1, %, soit - 3 postes. Dans le secteur tertiaire hors intérim, l emploi croît de, % (soit + postes) comme au trimestre précédent. Sur un an, l emploi est en hausse de,5 %, soit + 1 postes. L emploi intérimaire est en baisse ce trimestre (- 1,7 % soit - 1 postes) après -,1 % au premier trimestre et des hausses les trois trimestres précédents. Sur un an, l emploi intérimaire augmente de 1,3 %, soit + 7 postes. Sur un an, la plupart des régions du centre et du nord enregistrent une baisse de l emploi alors que les DOM et les régions du sud créent des emplois à des rythmes compris entre +,1 % et + 1,9 %. LA MASSE SALARIALE ET L EMPLOI DU SECTEUR PRIVÉ AU DEUXIÈME TRIMESTRE Graphique 1 : Glissement annuel (GA) et glissement trimestriel (GT) de la masse salariale et de l emploi du secteur privé 1, Masse salariale du secteur privé Emploi du secteur privé , 1,,5, -,5-1, - 1, Tableau 1 : Masse salariale et emploi du secteur privé au deuxième trimestre En niveau 13 Glissement trimestriel (en %) 13 T3 13 T,5, -,5-1, - Glissement annuel au ème trimestre (en %) Masse salariale (en Md ) 13,,,3,,,3 1, Emploi fin de trimestre (en millions) Emploi moyen (en millions) Salaire mensuel moyen par tête (en ) Indice des prix à la consommation hors tabac 17, -,1 -,1,1,1,,1 17, -, -,1,,1,, 73,,3,,7,3 1,,1 -,1,, -,1,3 Sources : Acoss-Urssaf ; Insee Indice des prix Données provisoires pour le dernier trimestre et révisées pour les trimestres précédents (encadré). Acoss - Direction des Statistiques, des Etudes et de la Prévision

2 Tableau : Évolutions de la masse salariale, de l emploi et du SMPT* par grand secteur d activité économique Grands secteurs Masse salariale Emploi SMPT Niveau Evolutions en pourcentage Niveau Evolutions en milliers Evolutions en pourcentage (M ) GT GA (milliers) sur 3 mois sur 1 an GT GA T3 13 T T3 13 T GT (%) GA (%) Niveau moyen ( ) Industrie 7,5, -,1 -,,7,3, ,1-9,3-35,9 -,5 -,5 -,3 -,1 -,3-1,1,9,5 1,9 919 Construction 9, -,1, -,, -,9 -, 1 5 -, -,5-3,1 -,5 -, -,5 -, -, -1,,7 -, 1, 19 Tertiaire 95,,7,3,,9,5, , 1,1,7,,1,,,1,5,7, 1, Tertiaire hors intérim 91,7,,3,,9,, 1 3 5,5 19,9 1,3,,,1,,,5,7, 1, Intérim 3,,1,5 3,,9-3, 577 -,5-9, 7, 1,1,, -,1-1,7 1,3 -, -,7,9 151 Total 13,,,3,,,3 1, ,9 -, 9,9 -,1 -,1,1,1,,1,7,3 1, 73 Total hors intérim 1,,,3,1,, , 3,,5 -,1 -,1,,1,,,7,3 1, SMPT = salaire moyen par tête, GT = glissement trimestriel, GA = glissement annuel L emploi est quasiment stable au deuxième trimestre Au deuxième trimestre, la masse salariale du secteur privé augmente de,3 %, après une hausse de, % au premier trimestre qui provenait pour une partie de la progression du SMIC en janvier (graphique 1 et tableau 1). Le glissement annuel de la masse salariale s établit à + 1, %. Au deuxième trimestre, l emploi est quasiment stable (-, %, soit - postes). Il est en légère augmentation sur un an (+,1 %, soit postes). Hors intérim, l emploi est également stable (+ 3 postes supplémentaires) après une hausse de,1 % au premier trimestre. Au deuxième trimestre, l emploi continue de diminuer dans l industrie avec un repli de,3 % (- 9 3 postes), après -,1 % au premier trimestre (graphique et tableau ). La masse salariale de l industrie augmente de,3 % au deuxième trimestre et de,7 % sur un an. Dans le secteur de la construction (graphique et tableau ), la baisse de l emploi se poursuit au deuxième trimestre : -, %, soit - 5 postes, après -, % au premier trimestre. La masse salariale est en baisse de,9 % au deuxième trimestre et de -, % sur un an. Dans le tertiaire hors intérim (graphique 5 et tableau ), l emploi reste en hausse : +, % (soit 19 9 postes), comme au trimestre précédent. Sur un an, l emploi augmente de,5 %. La masse salariale progresse de, % au deuxième trimestre. L emploi intérimaire enregistre quant à lui une forte baisse de 1,7 % (- 9 postes), après une légère baisse de,1 % au premier trimestre. Sur un an, il augmente de 1,3 %. La masse salariale de l intérim enregistre un recul de % au deuxième trimestre 1. Le salaire moyen par tête (SMPT) progresse de,3 % au deuxième trimestre. Sur un an, la hausse du SMPT est de 1, %, tandis que les prix à la consommation progressent de,3 % sur la même période. Un emploi toujours en baisse dans l industrie Dans l industrie, la masse salariale augmente de,3 % ce trimestre, après une hausse de,7 % au trimestre précédent et un recul de, % au quatrième trimestre 13. Sur un an, elle progresse de,7 %. L emploi industriel reste en baisse : il diminue de,3 % (- 9 3 postes), après -,1 % au premier trimestre et -,3 % au quatrième trimestre 13. Sur un an, les effectifs salariés de l industrie sont en repli de 1,1 %, soit postes. Les baisses les plus marquées sont observées dans l industrie du bois et papier (-,9 %, soit - 1 postes), la fabrication de produits informatiques, électroniques et optiques (-, %, soit postes), la fabrication de matériels Graphique : Evolutions de la masse salariale et de l emploi de l industrie Masse salariale de l'industrie, Emploi dans l'industrie 1, 1,,5,, - -,5 - -1, , , , 1 La notion d emploi intérimaire présentée par l Acoss et les Urssaf est adaptée au suivi des masses salariales et des cotisations. Elle peut ainsi être décalée par rapport aux effectifs issus des relevés mensuels de mission. 115 DECEMBRE 1 N 197 SEPTEMBRE

3 3 Graphique 3 : Evolutions de la masse salariale et de l emploi dans quelques secteurs industriels GA, en % Industrie agro-alimentaire GA, en % Industrie agro-alimentaire 1, 1,,5,5,, - -,5 - -, , , GA, en % Métallurgie , 1,, -1, -, -3, -, Métallurgie 1,,5, - -,5 - -1, , - 1 -,5-1 -3, de transport (-,7 %, soit - 7 postes) ainsi que la fabrication d équipements électriques (-, % soit - 7 postes) et l industrie chimique (-, % soit - postes). L emploi se contracte aussi dans les secteurs de la métallurgie (-,5 % soit -1 postes), de la fabrication de machines et équipements (-, % soit - postes) et l industrie des plastiques (-, % soit postes). L emploi dans la fabrication de matériels de transport est tiré à la baisse par l industrie automobile qui enregistre un repli de % (soit postes) alors que l emploi dans la fabrication d autres matériels de transport est toujours en hausse. La baisse est modérée dans l industrie pharmaceutique (-, %) et l habillementtextile (-, %). L emploi est stable dans la production et distribution d eau. Quelques secteurs industriels créent des emplois ce trimestre : les industries agroalimentaires (+, %, soit + 1 postes), les autres industries manufacturières (+, %, soit + 5 postes), la production et distribution d électricité et gaz (+, %, soit + postes). Au deuxième trimestre, le salaire moyen par tête progresse de,5 % dans l industrie (+ 1,9 % sur un an). L emploi poursuit sa baisse dans la construction Dans le secteur de la construction, la masse salariale se contracte de,9 %, après +, % au trimestre précédent et -, % au quatrième trimestre 13. Dans le même temps, les versements d indemnité par les caisses de congés payés progressent ce trimestre après une contraction au premier trimestre. Sur un an, la masse salariale du secteur de la construction baisse de, %. Au deuxième trimestre, l emploi est en baisse de, % (- 5 postes) après -, % au trimestre précédent. Sur un an, il diminue de 1, %, soit postes. Dans la construction de bâtiments, l emploi est en repli de, % (- postes) après des baisses plus marquées depuis un an et demi. Dans ce secteur, les pertes dans la construction de maisons individuelles (-,7 %) sont partiellement compensées par la progression de l emploi dans la construction d autres bâtiments et la promotion immobilière d autres bâtiments. Dans le génie civil, l emploi se contracte (-,5 %, soit - postes). La construction de routes et autoroutes ainsi que la Graphique : Evolutions de la masse salariale et de l emploi du secteur de la construction Masse salariale du BTP 1. GA, en % Emploi du BTP DECEMBRE 1 N 197 SEPTEMBRE

4 construction de réseaux pour fluides perdent respectivement,3 % et, % de leurs effectifs salariés. L emploi de la construction d autres ouvrages de génie civil se contracte (- 1, %) ce trimestre ; son évolution annuelle reste positive. A l inverse, l emploi augmente dans la construction de réseaux électriques et de télécommunications (+, %) et dans la construction de voies ferrées de surface et souterraines (+ 1,7 %). L emploi tertiaire hors intérim est en hausse La masse salariale du secteur tertiaire hors intérim est en hausse de, % au deuxième trimestre après +,9 % au trimestre précédent. Sur un an, elle progresse de, %. Celle de l intérim diminue de % au deuxième trimestre et augmente de 3, % sur un an. Au total, la masse salariale du secteur tertiaire est en hausse de,5 % au deuxième trimestre et de,1 % sur un an. Dans le tertiaire hors intérim, l emploi augmente de, %, soit postes. Sur un an, il progresse de,5 %, soit postes. L emploi intérimaire est, quant à lui, en baisse ce trimestre : - 1,7 %, soit - 9 postes. Sur un an, il augmente de 1,3 %, soit 7 postes supplémentaires. Au total, l emploi tertiaire est en hausse de,1 % au deuxième trimestre. Dans les travaux de construction spécialisés, l emploi décroît de, % ce trimestre, soit postes. Des baisses sont notamment enregistrées dans les autres travaux de finition (- 1,9 %), ceux de maçonnerie générale (- 1, %), ceux de revêtement des sols et murs (- 1, %) ainsi que la peinture et vitrerie (-,9 %), la menuiserie bois et pvc et les travaux d installation d eau et gaz (-,7 %), les travaux de terrassement courants et préparatoires (-, %). L emploi est en Sur un an, les effectifs du tertiaire sont en hausse de,5 %, soit + 7 postes. Les secteurs les plus dynamiques au deuxième trimestre sont les activités informatiques, dont les effectifs salariés progressent de,9 % (3 1 postes) et l hébergement - restauration où l emploi augmente de, % (7 9 postes) après une hausse de, % au trimestre précédent. Dans les activités juridiques, de conseil et d ingénierie, l emploi progresse au même rythme qu au trimestre précédent : +, %, soit 3 postes. Dans l éducation, il croît à un rythme plus soutenu : +,3 % (1 1 postes), après +,1 %. L emploi du commerce progresse de,1 % ( postes) comme au légère baisse dans les travaux d installation électrique (-,3 %). Certains secteurs restent dynamiques, comme les travaux d isolation (+ 1, %) et d étanchéification (+ 1, %). Le salaire moyen par tête se contracte de, % ce trimestre dans le secteur de la construction mais reste en progression de 1, % sur un an. trimestre précédent, porté par la hausse du commerce de détail (+, % soit 3 5 postes). Dans l action sociale et l hébergement médico-social et dans les activités pour la santé humaine, l emploi reste en hausse : il progresse respectivement de, % (+ postes) et de,1 % (+ postes) ce trimestre. Il augmente de,1 % dans les activités financières et d assurance (+ 5 postes). Au deuxième trimestre, plusieurs secteurs du tertiaire connaissent une baisse de leur effectif salarié. Dans l administration publique, l emploi baisse de, %, soit - 1 postes, après -,7 % au trimestre précédent. Il baisse de, % dans les télécommunications (- 3 postes) et la recherche et développement (- 3 postes). Graphique 5 : Evolutions de la masse salariale et de l emploi du secteur tertiaire GA, en % Masse salariale du tertiaire hors intérim 1.5 GA, en % Emploi dans le tertaire hors intérim Intérim GA, en % Intérim DECEMBRE 1 N 197 SEPTEMBRE

5 5 Graphique : Evolutions de la masse salariale et de l emploi dans plusieurs secteurs tertiaires 1 Commerce,5 Commerce 1,, 3, 1,,5, 1-1 -,5,3, -,3 -,5 - -,5-3 -, , , GA, en % Hébergement-restauration, GA, en % Hébergement-restauration, 3, -, 1,, -1, 1,,5, - -, - -, , , Activités informatiques 5, GA, en % Activités informatiques 1, 1, 1 3, 1 3,, 1,,, 1,, - -1, - -1, , , Dans le secteur de l édition et l audiovisuel et celui des arts, spectacles et activités récréatives, l emploi baisse légèrement ce trimestre (-,1 %). Il en est de même dans les activités immobilières (-,1 %). Les autres activités scientifiques et techniques enregistrent également une baisse de,1 %. Dans le secteur des transports et entreposage, l emploi est stable ce trimestre. L emploi du secteur associatif est en léger repli ce trimestre (-,1 %). Sur un an, il croît de, %, soit postes. Le salaire moyen par tête du tertiaire progresse de, % ce trimestre et de + 1, % en glissement annuel. Encadré 1 : Révision des évolutions trimestrielles de la masse salariale et de l emploi sur les deux derniers trimestres par rapport à la précédente publication Masse salariale Emploi en points de pourcentage en milliers en points de pourcentage 13 T 13 T 13 T Industrie,,, 1,,, Construction,,, -,1,, Tertiaire,, 1, -,, Tertiaire hors intérim,, 1,1-1,,, Intérim,, -,1 1, -,1, Total,, 1,7 -,5,1, Total hors intérim,, 1, -,7,, Lecture : Par rapport à la publication du 13 juin, l évolution de l emploi total au premier trimestre a été révisée à la baisse de 5 postes (+ 1 9 contre ). Cette révision n a pas d effet sur les glissements trimestriels exprimés en pourcentage avec une précision d une décimale. 115 DECEMBRE 1 N 197 SEPTEMBRE

6 Tableau 3 : Évolutions de la masse salariale, de l emploi et du SMPT* par secteur détaillé d activité Masse salariale Emploi SMPT Niveau Evolutions en pourcentage Niveau Evolutions en milliers Evolutions en pourcentage Secteurs d activité (M ) GT GA (milliers) sur 3 mois sur 1 an GT GA (NACE3 enrichie) T3 T T3 T GT (%) GA Niveau (%) moyen ( ) BZ Industries extractives, -1,,5 -,9,3 -, -, 3,5,1 -, -,5 -, -, -,5,3 -,9-1,9, -,1 1, CA Industries agro-alimentaires 3,3,5,1,5,,, 95, 1, 1,,3 -,3 -,1,,3,,5,7,5,1 39 CB Habillement, textile et cuir, -, -,5 -,,5,, 1, -, -, -,1-1, -,9 -, -, -, -1,9,9,5, 31 CC Bois et papier 1,, -, -, -,1, -1,3 15, - -1, -5, -,9 -,7 -,7 -, -,9-3,,,9 1, 55 CD Cokéfaction et raffinage,1,7, - -,,3 -, 1, -13,7, -, -3, - -,7 -,1,3 -, -,, -5,1 CE Industrie chimique -,,, 1,3-1,1, 13,5 -, -, -1, -, -,5 -,1 -,1 -, -1,3 1, -,7 1, CF Industrie pharmaceutique,9 -, 1, -, 3, -1,,, -, -,1 -, -, -,, -,3 -, -, 3,3-1, 3 9 CG Industrie des plastiques,3, -,1 -, 1,3,,7 79,5 -, -1,1 -, -,7 -, -, -, -, -1,7 1,7,7,7 75 CH Métallurgie et fab. de produits métal. 3,,1, -,,9,1, 39,3 -, -1, -,7 -, -, -, -,1 -,5-1, 1,,,1 9 CI Fab. de produits informatiques, électroniques et optiques 1,,3,,1,, 13, -,5-1,1 -,3 -, -, -, -, -, -1,7 1, 1,3 3, 3 1 CJ Fabrication d'équipements élec. 1,1 -,1 -, -,,,5 -,1 1 -,1 -,7 -,3-1, -, -, -,1 -, -1,9,9,9, CK Fabrication machines et équip. n.c.a. 1,7,9 -,1,1,,7,9 1,,1 -, -,1 -, -,9,1,1 -, -1,1,1,9,1 3 1 CL Fabrication de matériels de transport 3,7 1,,1,3 -,1 -,5 -, 357, -, -,7-9, -, -, -,5 -,7 -,7 -,7,5,, Industrie automobile 1,9, -, -1,1, -,3-3,3 7,7-3,5-3,1-1, -1,1-1, -1, -1, - -5, 1,9 -,, Fab. autres matériels de transport 1,,7 1, 1, -,3, 3,1 19,3,9,3,,,3,5,, 1,7 -,, 1, CM Autres industries manufacturières...,, -,3,,5,7,9 9,,,5 -,1 -,5 -, -,5,, -,,7,5, 71 DZ Produc. et distribution d'électricité, gaz,1, -1,9,, 3,,1 179,,3,,5,1,3,,,,, 1, EZ Production et distribution d'eau 1,3,7,3 -,7,,,3 175,9 -,,1 -, -,1 -,1 -,1 -,1, -,,5,3,5 39 FZ Construction 9, -,1, -,, -,9 -, 1 5, -, -,5-3,1 -,5 -, -,5 -, -, -1,,7 -, 1, Construction de bâtiments 1, -,,, -,1 -,7 -,7 15, -, -, -,9-1, -, -,5 -,5 -, -1,, -, 5 - Génie civil 1, -,7,,5,3-17,1,1 -, -1,3 -, -, -,,1 -,5 -,, -1,3, 7 3- Travaux de construction spécialisés,,1, -,, -1, -, 1 1,3-1,9-7,1-1, -, -,3 -,5 -, -, -1,7 1, -, 1, 1 9 GZ Commerce, réparation auto moto,,,1,1,7,9 1, 3 1,3 3,, 7, -, -,1,,1,1,3,, 1, Commerce et réparation auto moto,5,,1 -, 1, -,3,5 3, -,7-1,1-5, -,5 -, -,5 -, -,3-1,,, Commerce de gros, hors auto moto,,,1 -, 1,3,1 1,3 91, -1,7,7-5,7 -,3 -,3 -, -,,1 -,,1, Commerce de détail, hors auto moto 9,,7 -,1,,7 1,, ,, 3,5 1, -,,1,5,, 1,1,3 1,1 1, HZ Transports et entreposage 1,,,,,1,, ,1 -, -,1 -,1 -,1, -,1, -,,1, 1,1 7 IZ Hébergement et restauration 5,,9, -, 1, 1,,7 1, 3,9 7,9 7,7,1 -, -,,,,,9,, Hébergement,,3 -,, 1, 1,7 57,1, -, -,1 -, -,,1, -,3,,, Restauration 3,7 1,1, -,1 1, 1,3 3,1 79,,,,,1 -,1 -,1,5, 1,1 1,,,3 1 JA Edition et audiovisuel, -, 1, -, 1,,3,9,5 -, -,,3 -,7,7 -,3 -,1 -,1,1 1,, 3, JB Télécommunications 1,3,,3 -,5 -,7 -,5-13, -,7 -,3 -, -1,1-1, -,9 -,5 -, -3,3, -,1, JC Activités informatiques,, 1,1,7,1 1, 3,7 3,7 1,9 3,1 7,,5,5,,5,9,1 -,3 1,1 1, 3 7 KZ Activités financières et d'assurance,9 1,, -,, 1,7 75, 1,,5,3 -,1 -,1 -,1,,1, -,1 1, LZ Activités immobilières 1,7,1 -,,,5,3, 3,9-1,1 -,3 -,1 -, -,9 -, -, -,1-1,7,,, 9 MA Activités juridiques, de conseil 1,,9,, 1, 1,1 3, 935, 3, 3, 9,,1,1,1,, 1,,9,7,1 3 5 MB Recherche et développement 1,,,7 -,3,7, 1, 15,9,5 -,3,3,,1,,3 -,,,,, MC Autres activités scientifiques et tech. 1,,, -,,1,3,5,5,3 -,,1 -, -,3,3,1 -,1, 1,9,3,5 15 NZ Activités de services administratifs 1,1 -,,1, -,1, 1 777,, - 1,,3,,,3 -,,9,, 1, 1 9 OZ Administration publique, 1, 1,9-1,3 -,,, 19,5-1,3-1, -,9 -,3 -,5,1 -,7 -, -1,7 -,1,7 1,7 3 1 PZ Enseignement 1,7,,7, -,1 1,1 1,7 311,, 1,1 1,3,3,3 -,3,1,3,,,9 1, QA Activités pour la santé humaine 3,,5,,,,, 5, 1,,,5,,,,3,1,,, 1, 1 QB Action sociale et héberg. médico-social 5,5 1,,, 1,,7 3, 1 15,,1,,9,,,7,5, 1,9,, 1, RZ Arts, spectacles et activités récréatives 1, 1,7 -, 1,7 -,5 1,, 3 -,9 -,,3 1,3,, -,3 -,1, -,, 1,3 SZ Autres activités de services 3,1 -,3-1,3,1,3,1 1,1 59,3,1,5 3,,1,1,1,,1,7,1 -,, Activités diverses et non classées,,,3,3,9 1,,7,, -,1, -,3,,, -,, -,3,5, 5 Total 13,,,3,,,3 1, 17 7,1 1,9 -, 9,9 -,1 -,1,1,1,,1,7,3 1, 73 Total hors intérim 1,,,3,1,, 17 5,1 19, 3,,5 -,1 -,1,,1,,,7,3 1, Associations 9,,7,,5,7,5, 1 7, 1, -1,9 13,1,1,5,3,1 -,1,,5,5 1,3 1 7 SMPT = salaire moyen par tête, GT = glissement trimestriel, GA=glissement annuel 115 DECEMBRE 1 N 197 SEPTEMBRE

7 7 Carte 1 : Glissement annuel de la masse salariale du Carte : Glissement annuel de l emploi du secteur secteur privé au deuxième trimestre privé au deuxième trimestre Evolution nationale : + 1, % Evolution nationale : +,1 % Nord- Pas-de-Calais 1 Nord- Pas-de-Calais -,7 Bretagne Pays de la Loire Poitou- Charentes, Picardie,9 Ile-de-France 1, Centre,9 Lorraine,3 1, Limousin Auvergne Rhône-, 1,9 Alpes 1, Franche- Bourgogne Comté,,5 Champagne- Ardenne 11 Basse- Normandie 1 Haute- Normandie Alsace 1, Guyane 3,9 Guadeloupe 3,3 Martinique 3,5 Réunion Bretagne, -, Pays de la Loire,3 Poitou- Charentes -, Picardie -, Ile-de-France, Centre -, Lorraine -1, -,1 Limousin Auvergne Rhône- -1,1 Alpes, Bourgogne Franche- Comté -,7-1,1 Champagne- Ardenne -, Basse- Normandie Haute- Normandie Alsace -,3 Guyane 1,9 Guadeloupe 1,1 Martinique 1, Réunion Aqutaine, Midi-Pyrénées,3 Languedoc- Roussillon 1,9 Languedoc- Roussillon Provence-Alpes- Côte d'azur 1,7,5 Corse Aqutaine, Midi-Pyrénées,,3 Provence-Alpes- Côte d'azur, 1,9 Corse,,3 Des évolutions régionales contrastées Au deuxième trimestre, en glissement annuel, dix régions métropolitaines et les quatre Dom créent des emplois (carte ). En revanche, la plupart des régions du nord et du centre enregistrent des baisses d emploi. Ce trimestre, les régions du sud, l Ile-de- France, les Pays de la Loire et la Bretagne enregistrent des hausses d emploi comprises entre +,1 % et +, %). Dans ces régions, le secteur des «autres services» progresse à des rythmes annuels soutenus (+, % en moyenne), notamment en Languedoc- Roussillon (+ 1,1 %), en Bretagne (+,9 %), en Pays de la Loire (+,9 %) et en Rhône-Alpes (+, %). Les secteurs de l hébergement-restauration, du commerce et de l intérim sont également créateurs d emploi dans ces régions. L emploi du secteur de la construction est en repli dans ces régions à l exception de l Ile-de-France où il poursuit sa progression (+ 1, %). Il en est de même pour l'emploi industriel qui ne progresse qu'en Midi-Pyrénées (+ %). En Corse, l emploi augmente de,3 % sur un an après une diminution de, % au premier trimestre. Cette progression est portée par le commerce, l hébergement - restauration et l industrie. A l inverse, la construction et les «autres services» enregistrent des baisses. L emploi se contracte dans la plupart des régions du centre et du nord hormis l Ile-de-France, les Pays de la Loire et la Bretagne. La baisse annuelle est comprise entre -,1 % et - 1, %. Ces régions subissent principalement des pertes dans la construction et l industrie, respectivement - 3, % et -, % en moyenne. En revanche, ces régions profitent de la croissance de l emploi intérimaire (+ 3,7 % en moyenne). Parmi les Dom, la Guyane, la Réunion, la Martinique et la Guadeloupe restent toujours bien orientées comme au trimestre précédent (respectivement + 1,9 %, + 1,9 %, + 1, % et + 1,1 % sur un an), grâce notamment aux créations d emploi dans les secteurs des «autres services». Sur un an, l évolution de la masse salariale est positive dans toutes les régions. La hausse est particulière forte dans les Dom : Réunion (+,5 %), Guyane (+ 3,9 %), Martinique (+ 3,5 %) et Guadeloupe (+ 3,3 %). Dans les régions de la métropole, elle croît à des rythmes compris entre +, % (Bourgogne et Haute-Normandie) et +,3 % (Midi-Pyrénées). La progression dépasse % dans les régions du sud, l Ile-de-France, les Pays de la Loire et la Bretagne. Arnaud Boulliung Urssaf d Alsace Mihaela Mosu-Nasr Elodie Sévin Yi Zhang Département des études statistiques et de l animation du réseau (DESAR) tertiaire hors intérim, commerce et hébergement-restauration. 115 DECEMBRE 1 N 197 SEPTEMBRE

8 Encadré : Sources et méthodologie Les Bordereaux Récapitulatifs de Cotisations la santé non marchande et l emploi par les (BRC) sont remplis par les établissements ménages de salariés à domicile. Il est très employeurs du régime général exerçant leur 13 Juin proche 1 de ceux de l Unedic - Pôle Emploi (hors activité en France (Métropole et Dom) qui grandes entreprises nationales) et de l Insee déclarent aux Urssaf leurs cotisations (qui inclut l emploi à domicile). Pour le secteur sociales, les différentes assiettes de l agriculture, la branche du recouvrement salariales (plafonnée, déplafonnée, CSG) n a qu une couverture marginale par rapport à donnant lieu à cotisations ou à allégements, la Mutualité Sociale Agricole (MSA). Cette ainsi que leurs effectifs salariés. Cette dernière est présente également dans le déclaration est mensuelle si l effectif de domaine des industries agroalimentaires l entreprise est supérieur à 1 salariés et en (IAA), du commerce de gros et des services principe trimestrielle en deçà de ce seuil. financiers, pour lesquels la couverture des Urssaf n est donc pas totale (Acoss Stat n 17, éclairage 1). La base Séquoia centralise depuis janvier 1997 ces déclarations et comporte environ comptes mensuels et 1 3 comptes trimestriels actifs (plus du double en comptabilisant les comptes actifs au moins une fois depuis 1997). Elle est alimentée par des extractions mensuelles. L extraction qui a lieu deux mois après la fin d un trimestre comprend la quasi-totalité (99,9%) des déclarations. Les bordereaux arrivant postérieurement à ces mois sont estimés dans un premier temps par l Acoss à partir des informations des périodes précédentes, puis cette estimation est affinée ultérieurement au regard de l ensemble de la chronique des déclarations. Les données présentées ici sont donc provisoires pour le dernier trimestre et comprennent de légères révisions sur l historique, essentiellement sur le trimestre précédent. En outre, une série de retraitements est opérée afin de fiabiliser les données. Les données sont également corrigées des variations saisonnières (CVS) pour corriger notamment l impact des versements de primes et les fluctuations saisonnières de l emploi. Chaque série est désaisonnalisée indépendamment des autres. Toutefois, dans cette publication, la série CVS du total correspond à la somme des séries CVS du total hors intérim et de l intérim, et la série CVS du tertiaire est égale à la somme des séries CVS du tertiaire hors intérim et de l intérim. Il y a ainsi cohérence entre les évolutions des agrégats et celles de leurs composantes. Pour les séries de masse salariale, comme les revalorisations du SMIC sont intervenues à des dates variables et avec des niveaux variables, la CVS peut introduire des évolutions venant contrebalancer les variations des séries du SMIC. Cet effet concerne surtout les secteurs où beaucoup de salariés sont au SMIC ou à des niveaux de salaire proches. Les coefficients saisonniers sont revus une fois par an avec la publication des données sur le quatrième trimestre. Le champ de la publication couvre l ensemble des cotisants du secteur concurrentiel qui comprend tous les secteurs d activité économique sauf les administrations publiques, l éducation non marchande (établissements d enseignement relevant de l Etat ou des collectivités locales), La dernière nomenclature d activité NAF (articulée sur la nomenclature européenne NACE et la nomenclature internationale) est en vigueur depuis le 1er janvier. Cette publication suit dorénavant le secteur «associations». Celui-ci regroupe près de 1 % des effectifs salariés du secteur privé. Il comprend la plupart des personnes morales associatives ou assimilées identifiées par leur catégorie juridique Insee : les associations non déclarées (91), les associations déclarées (9), les associations déclarées «entreprises d insertion par l économique» (91), les associations intermédiaires (9), les associations d utilité publique (93), les associations de droit local (9). Ne sont en revanche pas retenus : les congrégations (9), les groupements d employeurs (93) et les comités d entreprise ; ces catégories recouvrent des secteurs d activités spécifiques (services aux entreprises ou activités cultuelles). La quasi-totalité des établissements associatifs exerce dans le tertiaire, notamment dans les secteurs de l action sociale et hébergement médico-social (qui représente 5 % de l emploi associatif), des autres activités de services (1 %), de l éducation (1 %), de la santé ( %), des arts, spectacles et activités récréatives et de loisirs ( %). L assiette salariale totale, ou assiette déplafonnée, désigne l ensemble des rémunérations sur lesquelles repose le calcul des cotisations des assurances sociales, des accidents du travail et des allocations familiales, c est-à-dire le salaire de base auquel s ajoutent des compléments légaux, conventionnels ou attribués à l initiative de l employeur, sous forme de commissions, de primes, de rémunération des heures supplémentaires, de gratifications et d avantages en nature. Les indemnités de rupture ne sont incluses dans l'assiette déplafonnée qu'à partir d'un seuil pouvant atteindre deux fois le plafond annuel de la Sécurité sociale. L assiette déplafonnée se distingue de l assiette «Contribution Sociale Généralisée» (CSG) qui comprend également des éléments de rémunération non soumis à cotisations sociales. Elle est notamment constituée des éléments assujettis au «forfait social», en particulier l intéressement, la participation, une partie des indemnités de rupture conventionnelle, l abondement de l employeur aux plans d épargne salariale et le financement de certains éléments de retraite supplémentaire. Hors forfait social, l assiette CSG comprend également des indemnités versées lors de la rupture du contrat de travail ou à l occasion de la cessation forcée des fonctions de mandataire social ou bien encore en cas de chômage partiel. Le financement de la prévoyance complémentaire figure également dans ce segment. Une révision des éléments composant l assiette déplafonnée a été réalisée au cours du quatrième trimestre 1. L assiette déplafonnée inclut dorénavant les rémunérations des apprentis et les assiettes de salariés bénéficiant de diverses exonérations dont les principales sont celles des centres communaux d action sociale (CCAS) et celle des contrats de professionnalisation. L effectif salarié est un effectif en fin de trimestre ; chaque salarié compte pour un, indépendamment de sa durée de travail. Cet effectif réel en fin de mois diffère d autres notions d emploi faites en ETP ou qui excluent certaines catégories de salariés dont les emplois aidés. Cet effectif donne lieu à de nombreuses vérifications par les Urssaf et l Acoss. L effectif moyen est égal à la demisomme des effectifs de fin de trimestre. Le salaire moyen par tête (SMPT) est calculé en rapportant la masse salariale du trimestre à l effectif moyen observé sur le trimestre ; il est divisé par trois pour obtenir une grandeur mensuelle. Le glissement trimestriel (GT) compare les données du trimestre avec celles du trimestre précédent. Le glissement annuel (GA) compare les données du trimestre avec celles du trimestre correspondant de l année précédente. Les séries trimestrielles nationales de l emploi et de la masse salariale produites par l Acoss sont labellisées par l Autorité de la statistique publique. Par cette labellisation, l Autorité de la statistique publique reconnaît la conformité de la production des statistiques d emploi trimestrielles de l Acoss aux principes fondamentaux régis par le Code de bonnes pratiques de la statistique européenne que sont, entre autres, l impartialité, l objectivité, la pertinence et la qualité des données. Retrouvez sur acoss.fr les publications de l Acoss et des Urssaf, des données à télécharger, ainsi que des précisions sur les sources et les méthodologies. Pour approfondir - «L emploi dans le secteur privé diminue en 13 mais se stabilise en fin d année», Acoss Stat n 195, juillet. - «L emploi du secteur privé dans les régions en 13», Acoss Stat n 19, juillet. - «Principaux indicateurs mensuels Acoss-Urssaf à fin juillet», Le baromètre économique n 7, Acoss, août. ISSN 13-1 Acoss 3, rue de Valmy Montreuil Cedex Tél. : Directeur de la publication : Jean-Louis Rey Rédacteur en chef : Alain Gubian Responsable éditorial : Cyrille Hagneré Réalisation : Direction des Statistiques, des Etudes et de la Prévision La collection Acoss Stat est consultable en ligne sur dans la rubrique Observatoire économique Pour toute demande : contact@acoss.fr Impression Hélio Service

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