LA REVUE DE PRESSE ÉGALITÉ
Services Publics 27 février 2015 REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 2 sur 19
Le Quotidien jurassien 28 février 2015 REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 3 sur 19
Le Matin Dimanche 1 er mars 2015 REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 4 sur 19
Le Point.fr 2 mars 2015 Les métiers ont-ils un sexe? Si les hommes sont moins machos, ils sont encore nombreux à considérer que les métiers d'infirmière, de sage-femme ou de secrétaire restent réservés aux femmes. Eric Audras / AFP PHOTO Confier sa voiture à une femme garagiste? 95 % des hommes assurent être prêts à le faire et 94 % éliraient une présidente de la République, mais ces messieurs estiment que certains métiers restent "sexués", comme infirmière ou secrétaire, selon un sondage. Si les hommes semblent moins machos en 2015, les stéréotypes ont quand même la vie dure d'après cette enquête Harris Interactive réalisée en février auprès de 500 hommes de 18 ans et plus pour le site Sarenza, à quelques jours de la Journée internationale de la femme. Pour les sondés, des métiers restent réservés aux femmes et difficiles à conjuguer au masculin. En tête, ceux de puéricultrice, assistante maternelle (pour 27 %), sage-femme (26 %), infirmière, aide à la personne (22 %), secrétaire, assistante de direction (22 %). Homme au foyer? Par ailleurs, 23 % des hommes interrogés n'envisageraient pas de quitter leur poste pour suivre leur compagne si celle-ci était mutée. Mais 77 % en considéreraient la possibilité. Quant à choisir d'être homme au foyer? 65 % disent qu'ils y seraient prêts, mais ils ne sont en réalité que 1,5 % dans cette situation d'après l'insee, rappelle l'enquête. Les 35 % qui s'y refuseraient invoquent le besoin d'avoir une activité et disent aimer leur travail - pour 45 % d'entre eux. Ils ont peur de s'ennuyer à la maison ou ne se sentent pas capables d'être inactifs (40 %). Bons élèves de l'égalité hommes-femmes tout de même, 88 % des sondés estiment que l'école devrait inciter à plus de mixité dans le choix des filières scolaires. Ils ont également quelques idées fausses. Selon eux, 18 % de femmes seraient présentes dans les comités exécutifs des 40 plus grandes entreprises françaises. En réalité, elles ne sont que 10 %. REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 5 sur 19
Le Quotidien jurassien 3 mars 2015 REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 6 sur 19
Le Quotidien jurassien 3 mars 2015 REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 7 sur 19
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Le Quotidien jurassien 3 mars 2015 REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 9 sur 19
Liberation.fr 3 mars 2015 Familles monoparentales : les femmes séparées sont les plus concernées Virginie BALLET Selon l'étude de l'insee, en 2011, 85% des parents de familles monoparentales sont des femmes. (Photo Johanna Leguerre. AFP) AU RAPPORT L'Insee publie ce mardi une étude sur les familles monoparentales en 2011, qui sont de plus en plus nombreuses. La famille monoparentale gagne du terrain. Alors qu il y a quinze ans, elle ne représentait que 17% des ménages avec enfants, ce taux s élève désormais à 22%, en 2014. Pas étonnant, dès lors, que l Insee s intéresse à cette composante inévitable de la société. Ce mardi, l institut publie une radioscopie de la famille monoparentale, basée sur 360 000 questionnaires collectés en 2011. Il en ressort que cette année-là, 1,5 million de personnes vivaient sans conjoint avec au moins un enfant mineur. L Insee s est également penché sur l'«ancienneté» de ces familles : en moyenne, elles étaient constituées depuis cinq ans et demi. Cette moyenne recouvre toutefois des réalités bien différentes : une sur cinq l était depuis moins d un an, et presque autant depuis dix ans ou plus. 85% des parents en famille monoparentale sont des femmes, et elles sont dans cette situation depuis en moyenne 5,6 ans, soit plus que les hommes (4,2 ans), relève l Insee. Deux mères de familles monoparentales sur dix le sont depuis dix ans ou plus, contre un père sur dix. La séparation, principal déclencheur de la monoparentalité L Insee s est aussi penché de plus près sur les causes de cette monoparentalité, qui, là encore, diffèrent selon les sexes. Trois principaux éléments déclencheurs ont été distingués : la séparation, le décès du conjoint, ou le fait d avoir eu un enfant sans être en couple. Hommes et femmes confondus, une séparation en est l explication dans 79% des cas. Mais, dans le détail, les hommes sont davantage concernés par la rupture (86% contre 78%) et par le décès du conjoint (9% contre 6%). A l inverse, peu d hommes ont un enfant sans être en couple (5% contre 16% de femmes). REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 10 sur 19
Ces causes de monoparentalité influent sur l ancienneté de celle-ci, indique l étude : «Ce sont les parents de famille monoparentale n ayant jamais été en couple qui sont dans cette configuration depuis le plus longtemps : 9,9 ans en moyenne.» Viennent ensuite ceux qui ont été en couple seulement avant la naissance de leur enfant (sept ans en moyenne), puis ceux dont le conjoint est décédé (cinq ans et demi en moyenne). Enfin, les parents séparés sont, eux, en situation de monoparentalité depuis 4,7 ans en moyenne. «De façon logique, l ancienneté est plus élevée lorsque les parents se sont séparés l année de la naissance de leur plus jeune enfant, ce qui est le cas d un parent séparé sur sept», écrivent les chercheurs. Dernier point : l impact des diplômes. Les femmes qui n en ont pas sont depuis plus longtemps seule parent de leur foyer, note l Insee. Ainsi, 24% des femmes non diplômées sont en situation monoparentale depuis dix ans ou plus, contre 15% des bachelières ou diplômées du supérieur. Il en va de même chez les hommes : 14% des sans diplôme élèvent seuls leur enfant depuis plus de dix ans, contre 7% des titulaires du bac ou plus. REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 11 sur 19
Arc Hebdo 4 mars 2015 REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 12 sur 19
Le Quotidien jurassien 4 mars 2015 REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 13 sur 19
L Express.fr 4 mars 2015 Salaires: la longue marche vers l'égalité homme-femme Par Laurence Estival En dépit des avancées, les inégalités de salaires entre les hommes et les femmes demeurent, y compris chez les moins de 30 ans. Explications. Les employeurs anticipent une plus faible mobilité des jeunes diplômées et... les sous-paient. A.Popov Nommée directrice de la communication France et Benelux de Shell, Domitille Fafin, 30 ans, alors responsable des achats de Butagaz, se souvient encore de son étonnement quand, en 2012, la DRH lui a proposé ce poste. "Je n'avais rien demandé et voulais m'assurer qu'il n'y avait pas d'erreur! Comme nombre de femmes, je ne savais pas me mettre en avant." Heureusement pour elle, son employeur l'avait repérée et, quand est venue l'heure de négocier son nouveau salaire, la discussion n'a duré que cinq minutes. L'existence de grilles en fonction du niveau de responsabilité limite certes les marges de manœuvre, mais permet d'atteindre l'égalité salariale entre les sexes. Connaître sa valeur et oser réclamer Malheureusement, toutes les entreprises ne sont pas si bienveillantes. Selon une étude (1) que vient de publier l'association pour l'emploi des cadres (Apec), le salaire médian des hommes cadres est de 15,7% supérieur à celui des femmes. A profil et fonction identiques, les premiers gagnent 8,5% de plus que les secondes. Les écarts varient toutefois avec l'âge: de 12,5% chez les plus de 50 ans à 4% chez les moins de 30 ans. "La génération Y, que l'on pensait plus prompte à s'affirmer pour réduire ces inégalités, n'a finalement pas modifié profondément la donne", regrette Viviane de Beaufort, professeur à l'essec. Les enquêtes réalisées par cette grande école de commerce sur les salaires à la sortie des diplômés des trois dernières années enregistrent une différence de 15% entre filles et garçons. Les étudiantes de la promotion qui se lancera cet été sur le marché du travail bénéficieront pour la première fois de séances de coaching destinées à rétablir un traitement plus équitable. REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 14 sur 19
Au programme: connaître sa valeur et oser réclamer. "Les employeurs anticipent une plus faible mobilité des jeunes diplômées dans les cinq à huit ans suivant leur embauche, au moment où ils repèrent les hauts potentiels. Ils ont alors tendance à les sous-payer. Il faut qu'elles apprennent à répondre à leurs arguments au lieu de les subir! Aujourd'hui, avoir des enfants n'est plus un problème et ne signifie pas que les femmes vont mettre leur carrière en sommeil", ajoute l'enseignante. Majoritaires dans des fonctions moins rémunératrices Si ces critères culturels expliquent partiellement les inégalités de rémunérations, ils ne sont pas les seuls. "Les femmes ne parviennent pas toujours à rattraper les écarts du début de carrière. Quand elles changent d'entreprise, le nouveau salaire proposé est toujours en relation avec l'ancien", mentionne Chantal Berard, chasseuse de têtes au cabinet Boyden. "Certaines fonctions où les femmes sont majoritaires (communication, marketing, RH) sont aussi moins rémunératrices que d'autres, comme la finance, où les hommes prédominent. Si bien que, à niveau de responsabilité équivalent, les femmes perçoivent encore des salaires inférieurs à ceux des hommes", ajoute Olivier de Conihout, directeur général du cabinet d'outplacement l'espace dirigeants. L'étude de l'apec confirme: les inégalités salariales varient en effet de 5,5 % pour les postes dans l'informatique à 14,1% pour les fonctions de direction générale. "Il y a surtout l'effet plafond de verre, renchérit Philippe Burger, associé capital humain de Deloitte. Les grandes entreprises ont fait de gros efforts pour remettre à plat leurs grilles salariales, lisser les différences entre les fonctions et établir des règles identiques pour tous. Mais la surreprésentation des hommes parmi les cadres supérieurs, et encore plus au niveau du top management, explique les inégalités persistantes, les femmes étant encore trop peu nombreuses à ces niveaux de responsabilité." Le combat continue REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 15 sur 19
L Obs 4 mars 2015 A poste égal, les femmes cadres gagnent 8,5% de moins que les hommes Par Laura Thouny INFOGRAPHIE. Les écarts de salaires entre les femmes et les hommes augmentent avec l âge et avec l ancienneté, et ce toujours au détriment des femmes A poste égal, chez les cadres, les hommes gagnent 8,5% de plus que les femmes. (L'Obs) A travail égal, salaire égal? Cela ne se vérifie toujours pas entre les femmes et les hommes, pointe une étude de l'association pour l'emploi des cadres (Apec) mercredi 4 mars. A caractéristiques communes (fonction, âge, ancienneté, lieu de l emploi occupé, nombre de cadres encadrés et niveau de diplôme identiques), les femmes cadres gagnaient ainsi 8,5% de moins que leurs collègues masculins en 2013. Toujours à profil identique, "les écarts de salaires des cadres entre les femmes et les hommes augmentent avec l âge et avec l ancienneté, et ce toujours au détriment des femmes. Ainsi, l écart est inférieur à 5% avant l âge de 30 ans, pour approcher les 10% vers 40 ans, voire davantage à partir de 50 ans." De façon générale, les hommes cadres ont un salaire brut annuel fixe moyen supérieur de 18,6% aux femmes cadres. Si l'on considère les salaires médians, l'écart est de 15,7%. Seuls les diplômes jouent un rôle protecteur «Ces écarts s expliquent en partie par le fait que les femmes cadres sont en moyenne plus jeunes que leurs homologues masculins et occupent moins souvent des postes à responsabilité ou des postes mieux valorisés financièrement» L'écart de salaire varie selon la fonction occupée, allant de 14,1% en direction d'entreprise (toujours au détriment des femmes) à 5,5% en informatique. Et le taux de féminisation des services concernés n'y change rien : une proportion élevée de femmes n'induit pas un faible écart de salaires. Le différentiel est aussi lié à l'effectif supervisé. "Plus le nombre de cadres encadrés augmente, plus l écart de salaire se creuse. Ainsi, les hommes qui encadrent une équipe de 7 cadres et plus sont payés 10,8% de plus que les femmes dans la même situation. Sans responsabilité hiérarchique, les hommes gagnent encore 7,4 % de plus que les femmes." En revanche, plus les cadres ont un niveau de diplôme élevé, plus l'écart de salaires tend à diminuer : "il se situe au-dessus de 10% pour les individus titulaires de diplômes inférieurs ou égaux à Bac+2. En revanche, chez les diplômés Bac+5 et plus, l écart est de 7,5%". Seuls les diplômes pourraient ainsi jouer un rôle "relativement" protecteur. Mais l'égalité salariale n'est pas pour tout de suite. REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 16 sur 19
Le Matin 5 mars 2015 REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 17 sur 19
Le Quotidien Jurassien 6 mars 2015 REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 18 sur 19
Tribune de Genève 6 mars 2015 REVUE DE PRESSE EGA 06/03/2015 Page 19 sur 19