Observatoire National des Déchets de l. Automobile

Observatoire National des Déchets de l Automobile Les premiers chiffres 2004-2005 D O S S I E R D E P R E S S E 7 J u i n 2 0 0 6

SOMMAIRE L Observatoire National des Déchets de l Automobile Définition et objectifs... 1 Les principales filières Le suivi des collectes chez les réparateurs automobiles... 2 Les filtres usagés... 3 Les liquides de refroidissement usagés... 4 Les batteries usagées... 5 Les solides imprégnés... 6 Les pièces métalliques ou «ferrailles» usagées... 7 Les pare-brise usagés... 8 Les pare-chocs usagés... 9 Les huiles usagées... 10 Les pneumatiques usagés... 11 Les acteurs du système... 12 Contacts presse... 14

Un suivi objectif et quantifié des filières de déchets automobiles L Observatoire National des Déchets de l Automobile est né de la volonté de la branche des services de l automobile, représenté par le CNPA, de rendre compte de manière objective et transparente de la gestion des déchets. La première profession à se doter d un outil de suivi L Observatoire National des Déchets de l Automobile permet de : mettre en évidence les efforts de la Profession Automobile en matière de gestion des déchets, développer des axes d amélioration en vue d accélérer le déploiement de la collecte sélective des déchets automobiles sur l ensemble du territoire. L Observatoire National des Déchets de l Automobile permet de répondre aux obligations de traçabilité fixées par l Union Européenne. Un système de traçabilité performant 38 prestataires de collecte communiquent de manière volontaire les informations relatives aux collectes : type de déchets et quantités. Cinq systèmes enregistrent ces informations : GINKGO (pour les professionnels du réseau après-vente d Automobiles Citroën), VERT PEUGEOT (pour les professionnels du réseau après-vente Automobiles Peugeot), AUTOECO (pour les réseaux des importateurs, Renault, Autodistribution, les fédérations de garage et les professionnels indépendants), l Observatoire de la Filière des Pneumatiques Usagés de l ADEME, la Commission des Aides de la Filière des Huiles Usagées de l ADEME. L Observatoire National des Déchets de l Automobile analyse et globalise les informations transmises. Plus de 200 000 données sont traitées par an. Un suivi quantitatif des déchets automobiles par filière de déchet par département par région Pleine croissance du système de traçabilité + 140 % de remontées d informations entre 2004 et 2005. L Observatoire permet d effectuer le suivi des collectes de 27 filières de déchets automobiles. Via un système d information géographique, un bilan cartographié est établi filière par filière, pour 95 départements et 22 régions. Remarque importante L Observatoire National des Déchets de l Automobile ne permet pas encore à ce jour un suivi exhaustif des volumes de déchets triés, collectés et valorisés. Deux raisons : la remontée d informations est une démarche volontaire des prestataires de collecte de déchets automobiles, une partie (non quantifiable) des gisements est prise en charge par des filières collectives locales (déchetteries professionnelles), Par ailleurs, certains déchets sont encore collectés avec les ordures ménagères. Dossier de presse - 7 juin 2006 Le Défi de l Environnement

Le suivi des collectes chez les réparateurs automobiles En 2005, l Observatoire National des Déchets de l Automobile recense 11 526 professionnels de la réparation automobile. Sur la base des 60 000 entreprises concernées, le taux de professionnels enregistrés passe de 7% (2004) à 19% (2005) et progresse de 140% en un an. 60 429 entreprises générent des déchets automobiles, sur 65 045 professionnels du commerce et de la réparation automobile recensés par l INSEE en 2005. Cette progression traduit à la fois : une augmentation des informations transmises par les prestataires de collecte. une augmentation du nombre de professionnels qui font collecter sélectivement les déchets de leur activité. En 2005 le taux de professionnels engagés varie de 5 % à 28 % d une région à l autre. En 2005, 11 des 22 régions enregistrent un taux d engagement supérieur à la moyenne nationale. Les 9 catégories de déchets automobiles issus des garages, détaillées ci-après : les Déchets Industriels Dangereux (DID) les Déchets Industriels Non Dangereux (DIND) les filtres (à huile) usagés, les liquides de refroidisssement usagés, les batteries usagées, les solides imprégnés, les huiles usagées, les ferrailles, les pare-chocs usagés, les pare-brise usagés, les pneumatiques usagés. Dossier de presse - 7 juin 2006 Le Défi de l Environnement 2

Les filtres usagés Le marché On estime en 2004 le marché des filtres à 28 millions de filtres à huiles et 12 millions de filtres à carburants, soit 40 millions d unités. En 2005, 5 430 000 filtres usagés ont été triés et collectés chez les professionnels de la réparation automobile recensés dans l Observatoire National des Déchets de l Automobile. C est 15% de plus qu en 2004. Les volumes collectés sont répartis de manière homogène sur l ensemble du territoire. Chaque région représente entre 1 % et 12 % de la collecte nationale. Moins de vidanges, moins de filtres La moyenne nationale de filtres usagés collectés par entreprise passe de 1 346 à 880 unités en 2005. Cette tendance à la baisse est générale, tant au niveau régional que départemental. Cette variation (-35% ) est due : à l espacement des vidanges, conséquence des performances du filtre et de nouveaux systèmes de motorisation, de plus en plus présents compte tenu du renouvellement du parc de véhicules. au nombre plus important dans l Observatoire d entreprises de petite taille. Les prestataires poursuivent l effort de service et offrent des prestatations adaptées aux besoins des entreprises générant de petites quantités de déchets. La valorisation Un exemple de filière pour la collecte et le traitement des filtres En 2005, 3 800 tonnes de filtres usagés ont été transformées en : 1 925 tonnes de ferraille valorisées en fonderie, 1 155 tonnes d huile valorisées, 7 70 tonnes d éléments filtrants valorisées. groupe CHIMIREC Dossier de presse - 7 juin 2006 Le Défi de l Environnement

Les liquides de refroidissement usagés Le marché Il est difficile d obtenir le gisement potentiel de liquides de refroidissement usagés. Les progrés réalisés sur ces produits ces dernières années ont rallongé de manière significative leur durée de vie. La consommation enregistre donc une tendance à la baisse. En 2005, plus de 1 500 000 litres de liquides de refroidissement usagés ont été collectés chez les professionnels de l automobile recensés. Ce qui représente une augmentation de 22% entre 2004 et 2005. En moyenne, un professionnel fait collecter 458 litres de liquides de refroidissement usagés par an. La valorisation Un exemple de filière de régénération des liquides de refroidissement usagés Un prestataire vient de développer une solution de régénération par nanofiltration pour ce déchet. Cette solution permet de remettre sur le marché un mélange eau glycol pouvant être ré-utilisé dans différentes activités. Cela permet d éviter l incinération coûteuse de ce déchet. En 2005, c est plus de 1,5 million de litres de liquides de refroidissement collectés et traités : soit en valorisation énergétique soit en valorisation matière par régénération groupe CHIMIREC Dossier de presse - 7 juin 2006 Le Défi de l Environnement

Les batteries usagées Le marché En 2004, 5 millions de batteries ont été mis sur le marché, soit 75 504 tonnes de batteries (source : Observatoire National des Piles et Accumulateurs de l ADEME) : 88 % en première monte, 12 % en rechange. En 2005, plus de 520 000 batteries usagées ont été collectées chez les réparateurs automobiles recensés dans l Observatoire National des Déchets de l Automobile. Entre 2004 et 2005, la quantité moyenne collectée par entreprise est en baisse de 12 %. Ce phénomène s explique : par l augmentation du nombre de collectes, au nombre plus important dans l Observatoire d entreprises de petite taille. Les prestataires poursuivent l effort de service et offrent des prestatations adaptées aux besoins des entreprises générant de petites quantités de déchets. La valorisation La méthode de valorisation matière la plus fréquemment utilisée consiste en une neutralisation de l acide sulfurique, un démentèlement et une séparation des déchets solides (polypropylène, plomb). Avec un taux de valorisation matière de plus de 75%, 3 535 tonnes de matières sont issues de la valorisation. Le plomb est fondu, affiné et entre dans la composition de nouvelles batteries. Le plastique est extrudé pour entrer dans la fabrication de nouvelles pièces automobiles. COVED Dossier de presse - 7 juin 2006 Le Défi de l Environnement

Les solides imprégnés Le marché Le gisement des solides imprégnés est difficilement quantifiable, car composé de produits hétérogènes : absorbants, chiffons, gants, papiers de marouflage, cartons souillés, films plastiques souillés. Ces solides sont imprégnés de substances dangereuses telles qu hydrocarbures, diluants, solvants, peintures, colles, mastics... 970 tonnes en 2004 et plus de 1 000 tonnes en 2005 ont été collectées chez les réparateurs automobiles recensés dans l Observatoire National des Déchets de l Automobile, soit une progression de 18 %. 57 % proviennent de collectes effectuées en Ile de France. Les autres régions représentent des parts plus modestes : entre 1 % et 5 %. Les volumes collectés par entreprise ont baissé de 9 %, avec une moyenne de 675 kg par entreprise en 2005. Cette baisse concerne 13 régions. Par contre, l Ile de France enregistre une forte hausse. Cette baisse est due au nombre plus important dans l Observatoire d entreprises de petite taille. Les prestataires poursuivent l effort de service et offrent des prestatations adaptées aux besoins des entreprises générant de petites quantités de déchets. En 2005, plus de 1 000 tonnes de solides imprégnés ont été collectés et valorisés énergétiquement. La valorisation Un exemple de valorisation énergétique VEOLIA Propreté Dossier de presse - 7 juin 2006 Le Défi de l Environnement 6

Les pièces métalliques ou «ferrailles» usagées Le marché Les métaux ferreux et non ferreux représentent entre 70 % et 75 % du poids total d un véhicule. Ces matériaux représentent une part importante des déchets d un garage. Un véhicule particulier compte aujourd hui 65 % d acier (matériau recyclable et recyclé), soit l équivalent de 19 000 boîtes de conserves. En 2005, plus de 5 100 tonnes de pièces métalliques hors d usage ont été collectées chez les réparateurs automobiles recensés dans l Observatoire National des Déchets de l Automobile. Les quantités collectées ont progressé de 7 % en un an. En moyenne 4 tonnes de ferrailles usagées sont collectées par an et par garage recensé dans l Observatoire National des Déchets de l Automobile. L acier et l aluminium sont les principaux métaux collectés et recyclés. La valorisation Le recyclage d une tonne d acier permet l économie d une tonne de minerai de fer. GEODIS Valenda Dossier de presse - 7 juin 2006 Le Défi de l Environnement 7

Les pare-brise usagés Le marché Le marché de la rechange des pare-brise s élève à 2 400 000 pare-brise. Les carrossiers en détiennent 11 %, les spécialistes 59 % et les constructeurs 30 %. Le vitrage automobile représente 3 à 4 % du poids moyen d un véhicule (15 kg pour un véhicule léger). Plus de 190 000 pare-brise usagés ont été collectés en 2005, en légère progression (2 %) par rapport à 2004. Entre 2004 et 2005, on enregistre une baisse de 15% du nombre moyen de pare-brise collectés par entreprise recensée dans l Observatoire. En revanche certaines régions enregistrent une progression importante ( 38 % en Ile-de France). La baisse d activité réduit le gisement L amélioration de la sécurité routière a fait baisser la sinistralité, et donc la quantité de déchets (-4 % en 2004 et -9,9 % en 2005, selon l Observatoire interministériel de la sécurité routière). Cette baisse s explique par un nombre plus important dans l Observatoire d entreprises de petite taille. Les prestataires poursuivent l effort de service et offrent des prestatations adaptées aux besoins des entreprises générant de petites quantités de déchets. La valorisation des pare-brise Collecté de manière sélective et séparé de sa feuille de polyvinyle butyral (PVB), le parebrise peut intégrer la chaine de production des industries verrières (sous forme de calcin). Le calcin trouve une seconde vie dans la céramique, le vert moussé ou les produits d isolation (laine de verre). Réseau PRAXY Dossier de presse - 7 juin 2006 Le Défi de l Environnement

Les pare-chocs usagés Le marché Les pare-chocs représentent près de 40% du marché de la carrosserie. Deux types de pare-chocs existent : ceux en polypropylène (PP) (la majorité), et ceux en polyuréthanes (PU). 228 506 pare-chocs ont été collectés chez les réparateurs automobiles recensés dans l Observatoire en 2005. En moyenne, 156 pare-chocs sont collectés par garage. Soit une baisse de 15 % par rapport à 2004. Cette tendance est notable dans 17 des 22 régions. Baisse des pare-chocs usagés Tout comme pour la filière des pare-brise, la baisse de la sinistralité induit une baisse de la quantité de pare-chocs usagés. Cette baisse s explique aussi par le recensement plus important d entreprises de petite taille dans l Observatoire. Les prestataires poursuivent l effort de service et offrent des prestatations de plus en plus tournées vers les entreprises générant des petits gisements. La valorisation matière Un exemple de filière de valorisation matière Deux types de valorisation : la valorisation matière, par les industries automobiles et les plasturgistes, la valorisation énergétique par les incinérateurs et les cimenteries. Chaque tonne de plastique recyclée permet d économiser 700 kg de pétrole brut. DERICHEBOURG EcoPHU Dossier de presse - 7 juin 2006 Le Défi de l Environnement

Les huiles usagées Source : Commission nationale des Aides de l ADEME - Filière des Huiles Usagées Le marché En 2004, les ventes d huiles s élèvent à 161 698 tonnes d huiles pour les moteurs essence et 48 690 tonnes d huiles pour les moteurs diesel. 45 % des huiles usagées collectées en France proviennent des réparateurs automobiles. 116 millions de litres ont été collectés dans les garages en 2005, soit 104 306 tonnes. En moyenne 2 570 litres d huiles usagées sont collectés par an et par entreprise (source l Observatoire National des Déchets de l Automobile). Une baisse de 5 % de la quantité moyenne par entreprise a été enregistrée entre 2004 et 2005. Deux causes principales expliquent la baisse du gisemement d un garage l espacement entre 2 vidanges, la diminution des ajouts entre 2 vidanges grâce à l amélioration des performances des moteurs et des lubrifiants. On notera que le marché des lubrifiants pour le secteur automobile a baissé en 2005 de 5,76 % pour les huiles moteur diesel, de 0,63 % pour les huiles moteur essence. La valorisation En 2005, la totalité des huiles usagées collectées sont valorisées : 51 % en combustible de substitution, 49 % en recyclage matière. 100% 90% 80% 70% 60% 50% 40% 30% 20% 10% Autres Cimenteries Régénération 0% 1998 2004 Source ADEME / CNPA Dossier de presse - 7 juin 2006 Le Défi de l Environnement 10

Le marché 281 424 tonnes de pneumatiques neufs ont été mis sur le marché en 2003, composé pour 75% de pneumatiques Véhicules Légers (VL) et 25% de pneumatiques Poids Lourds (PL). L Observatoire National des Déchets de l Automobile Les pneumatiques usagés Source : Observatoire de la Filière Pneumatiques Usagés de l ADEME 235 062 tonnes de pneumatiques usagés VL et PL collectées dans les garages et autres détenteurs en 2004 (collecte sur 10 mois). En moyenne, 552 pneumatiques usagés ont été collectés par entreprise (source AUTOECO). Des filières de collecte qui fonctionnent bien Depuis la mise en application du décret relatif aux pneumatiques usagés, les filières de collecte et de traitement sont financées dès la mise sur le marché du produit neuf. Ce dispositif a permis d obtenir rapidement un excellent taux de collecte. La valorisation 97 % des tonnages de pneumatiques VL mis sur le marché et 90 % des tonnages de pneumatiques PL mis sur le marché en 2003 ont été valorisés. Dossier de presse - 7 juin 2006 Le Défi de l Environnement 11

Les acteurs du système Le Conseil National des Professions de l Automobile Le CNPA est la seule organisation professionnelle à représenter les 20 métiers de la distribution et des services de l automobile, des cycles et motocycles. Depuis plus d un siècle, le CNPA est l interlocuteur incontournable des professionnels de l automobile auprès des pouvoirs publics et des différents acteurs de la vie économique et sociale. Le CNPA a trois missions principales : Défense du secteur de la distribution et des services de l automobile auprès des pouvoirs publics ; Services à ses adhérents dans tous les domaines de la gestion de l entreprise ; Prospective sur les évolutions structurelles des métiers de l automobile et de leur environnement. En 2002, le CNPA lance une opération d envergure nationale : le Défi de l Environnement. Cette opération, dediée aux 60 000 professionnels de l entretien et de la réparation automobile, offre un accompagnement pragmatique pour la gestion environnementale des entreprises. Maître d ouvrage de l Observatoire et maitre d oeuvre pour la globalisation et l analyse cartographique des résultats de l Observatoire, le CNPA reçoit le soutien et les compétences de nombreux partenaires. www.cnpa.fr Etablissement public, placé sous la tutelle conjointe des ministères en charge de l Ecologie et du Développement Durable, de l Industrie et de la Recherche, l ADEME a pour missions de susciter, animer, coordonner, faciliter ou réaliser des opérations ayant pour objet la protection de l environnement et la maîtrise de l énergie. L Agence de l Environnement et de la Maîtrise de l Energie Encourageant la prévention et la bonne gestion des déchets, l ADEME soutient méthodologiquement et financièrement le CNPA pour le développement de l Observatoire National des Déchets de l Automobile. En effet, à mesure de son développement, cet outil permettra d accélerer le déploiement de la collecte sélective des déchets sur l ensemble du territoire. www.ademe.fr L Agence de l eau Seine-Normandie Etablissement public de l Etat, l Agence de l eau Seine-Normandie a depuis 30 ans facilité la collecte et le traitement des produits polluants dans des centres spécialisés. Dans le cadre de la mise en place de «Contrats-métiers», l Agence de l eau Seine-Normandie offre, aux côtés du CNPA, un accompagnement financier et technique aux professionnels de l automobile pour des actions entreprises en faveur de la protection de l eau et la gestion des déchets. L Observatoire National des Déchets de l Automobile constitue l un des outils nécessaire pour permettre le développement de stratégies d accompagnement de la Profession Automobile, suite au constat objectif des besoins. C est pour cette raison que l Agence de l eau soutient son développement. www.eau-seine-normandie.fr Dossier de presse - 7 juin 2006 Le Défi de l Environnement 12

Le CNPA a choisi le savoir-faire de deux prestataires pour collecter et globaliser les données statistiques d une part et les retranscrire sous forme de cartographies, d autre part. Prestataire informatique ayant mis en place en 1996 le premier site internet de traçabilité en ligne à l usage du secteur automobile, AUTOECO SAS crée et exploite la base de données de l Observatoire National des Déchets de l Automobile relatant des informations relatives aux déchets collectés par entreprise. Après une remontée d information totalement sécurisée, les données sont traitées sous forme de statistiques globales. GEOBS, société spécialisée dans le service, les études et l intégration informatique dans le domaine du géomarketing, a fourni une base de données géographiques pour l analyse géomarkéting des données de collecte à l échelle du département et de la région. Les prestataires informatiques Une volonté commune des constructeurs et importateurs Les constructeurs, importateurs et réseaux automobiles Les construteurs, importateurs et réseaux de marque automobiles animent pour leur réseau de professionnels une véritable politique de sensibilisation à la protection de l Environnement. Certains d entre eux, ont par ailleurs développer des outils informatiques pour centraliser et faciliter la gestion des déchets. Ces mêmes constructeurs, importateurs et réseaux de marque ont donc répondu présents à l appel du CNPA et facilitent l obtention de statistiques nationales de la Profession, en transmettant à l Observatoire National des Déchets de l Automobile les données dont ils disposent. Les prestataires de collecte de déchets automobiles Au coeur de la remontée d informations Les prestataires de collecte de déchets jouent un rôle prépondérant dans l Observatoire National des Déchets de l Automobile. Pour chaque collecte dans une entreprise du secteur de la réparation automobile, le collecteur communique de manière volontaire les informations relatives aux collectes : type de déchets et quantités. Sur la base du volontariat ce sont 2006 46 prestataires donc des milliers de données qu ils transmettent tous les mois à l Observatoire National des Déchets de l Atuomobile. 2004 38 prestataires Dossier de presse - 7 juin 2006 Le Défi de l Environnement 13

CONTACTS PRESSE Conseil National des Professions de l Automobile Christian LHORTE 01 40 99 55 00 clhorte@cnpa.fr Agence de l Environnement et de la Maîtrise d Energie Nadège CHAPELIN 01 58 18 32 45 nchapelin@hbcommunication.fr Autoeco SAS / o2game Olivier FORT 03 44 86 18 58 autoeco@autoeco.com Dossier de presse - 7 juin 2006 Le Défi de l Environnement 14