ACUF/ AMGVF Réunion Finances Un document préparé par Finance active pour Paris, 1 juillet 214 Finance active, leader de la gestion financière du secteur public local Des plateformes collaboratives en ligne et un accompagnement personnalisé 1
Finance active en quelques chiffres 15 12 3 5 9 2 21 22 23 24 25 26 27 28 29 21 211 212 213 Pour chaque collectivité locale, des solutions dédiées aux enjeux de la gestion financière Le service de gestion de la dette et des financements Le service de gestion de la dette garantie Le service de la prospective financière Les formations dédiées au secteur public local 4 2
Des services adaptés à vos besoins pour piloter aisément vos risques financiers Accès aux marchés financiers Pricing des opérations Valorisation Mark-to-Market Simulations Tableaux de bord stratégiques & financiers Reporting règlementaire Observatoire Finance active de la dette Suivi des positions Echéanciers, frais, risques Contreparties bancaires Fiches synthétiques Assistance opérationnelle Expertise financière Assistance pricing & valorisation 5 Nos clients, des départements aux grandes régions en Europe 3
Nos clients, des grandes villes aux grands blocs communaux en Europe Bienvenue dans l univers de Finance active Finance active 1 55 87 84 contact@financeactive.com www.financeactive.com Je constate toujours avec plaisir les améliorations permanentes dans le traitement et l actualisation des données de notre plateforme dédiée, Insito. Catherine Carchano, Directrice de la Dette et de l'ingénierie Financière 4
1 Quelles perspectives pour la demande d emprunt? 9 L investissement local, victime de la crise OCDE: différence entre l investissement infranational direct de 212 et de 27 (en USD/ hab.) -1-8 -6-4 -2 2 4 6 Canada Suède Danemark Finlande Luxembourg Pays-Bas Japon Australie Belgique Suisse Israël Allemagne République slovaque Royaume-Uni Mexico République tchèque Norvège Pologne Nouvelle-Zélande Slovénie Autriche Estonie OCDE Grèce Hongrie France Turquie Corée États-Unis Portugal Italie Espagne Islande Irlande Source : OCDE 1 5
La croissance de la dette locale se stabilise en France France : dette des APUL 2 18 16 14 12 1 8 6 4 2-2 Taux de croissance annuel (éch. D, en %) Encours (en Mds ) 1999 21 23 25 27 29 211 213 4 36 32 28 24 2 16 12 8 4-4 Source : INSEE et calculs Finance active 11 Quid de la demande d emprunt en 214? Finance active : nombre de collectivités accompagnées dans le cadre d un AO (base 1: T1-7) 1 4 1 2 1 T4 T3 T2 T1 8 6 4 2 1 27 28 29 21 211 212 213 214 Source : Finance active 12 6
2 Panorama de l offre S1-14 13 Diversification des financements : pour tous? Crédits long terme ayant permis de couvrir les besoins 213 : prêteurs Banques : consolidations de contrats antérieurs à 213 Banques Obligataire (privé et public) CDC BEI intermédié BEI AFD % du nbre de contrats montant moyen 1 2 3 4 5 6 7 Source : Finance active 14 7
Banques : pour un financement «standard» Type de financement Montant Montant Durée Durée financement globalisé de la section d investissement < 5 M dans la limite du «ratio < 5 d emprise M» dans la limite du «ratio d emprise» 15-2 ans en majorité jusqu à 3 ans 15-2 ans de manière standard jusqu à 3 ans Taux Souplesse de gestion Mise en place taux fixe taux variable sauf pour les «petites collectivités» marges > 8 pdb phases de mobilisation/ revolving / multi-index pénalités de RA «classiques» aisée et rapide dans le cadre d une relation partenariale 15 Banques : la détente des conditions de crédit se poursuit Marges 16 pdb en moyenne de 8 à 12 pdb : Crédit Agricole, Crédit Foncier, banques allemandes >12 pdb : La Banque Postale, Caisse d Epargne, Crédit Agricole, SG, Banque Populaire, Crédit Mutuel Phases de mobilisation < 6 mois : toutes les banques de 6 à 12 mois : La Banque Postale, Crédit Agricole, SG, CE et Crédit Foncier > 12 mois : banques allemandes essentiellement Revolving Sur phase de mobilisation : BPCE, SG de manière exceptionnelle Sur phase de mobilisation : Caisse d Epargne Sur et Crédit la durée Foncier, du SG contrat et Banque : CA Postale via CA-CIB (en fonction des caisses régionales) fonction des caisses régionales) Sur la durée du contrat : CA via CA-CIB (en Durée 2 ans : toutes les banques > 2 ans : Caisse d Epargne, Crédit Foncier et Crédit Agricole 16 8
CDC : financer le très long terme Type de financement Montant Montant Durée Durée tous les investissements de long terme y compris les subventions au logement social ou les contrats Etat-Région, etc. < 5 M dans la limite du 1% du besoin d emprunt «ratio d emprise» jusqu à 1 M 75% entre 1 et 2 M 5% au-delà de 2 M 15-2 ans en majorité jusqu à 3 ans >2 ans jusqu à 4 ans Taux Souplesse de gestion Mise en place taux variable : livret A + 1 pdb inflation jusqu à 5 ans de phase de mobilisation pénalités de RA forfaitaires dossier détaillé : PPI, documents administratifs et budgétaires au plus tard 3 mois après le démarrage des travaux 17 BEI : financements éligibles Type de financement Montant Montant Durée Durée investissements éligibles aux objectifs-bei + vérification de la qualité et la rentabilité du projet < 5 M dans Jusqu à la limite 5% du du coût du «ratio projet d emprise» en direct, pour les investissements > 25 M < 25 M : via des banques partenaires 15-2 ans en majorité jusqu à 3 ans > 15 ans jusqu à 3 ans Taux Souplesse de gestion Mise en place taux fixe/ taux variable en fonction des conditions d emprunt de la BEI, notée AAA jusqu à 3 ans de phase de mobilisation pénalités de RA sur emprunts à taux fixe de 3 à 6 mois d instruction de dossier avant la réalisation de l investissement 18 9
BEI : des capacités d intervention élargies en 214 Accord de coopération entre la BEI et la CDC signé en juin 213 pour «développer les synergies pour une meilleure efficacité d action au sein des territoires français» et permettre à la BEI de, potentiellement, financer tout projet d investissement, sans contrainte de montant En pratique La CDC, «facilitateur» Vers l harmonisation des instructions de dossier Couverture des besoins < 2 M dès 214 relais par le réseau de la CDC de l offre BEI expertise CDC, comme label d éligibilité dans le domaine du numérique «Plan collèges» de la BEI + sujets expérimentaux 19 De la concurrence entre les différents prêteurs Courbes des taux indicatives en fonction des maturités de prêt des différents acteurs sur le S1-14 (en %) 5, 4, Bancaire CDC 3, BEI 2, 1, IRS (moy. 214), 5 1 15 2 25 3 35 4 Source : Finance active 2 1
3 Pourquoi emprunter à taux variable? 21 Contexte de taux d intérêt Zone euro : taux d intérêt (en %) 4, 3,5 3, 2,5 Euribor 3M BCE: Taux refi Bund 1 ans Taux de swap 1 ans OAT 1 ans 2, 1,5 1,,5, 21 211 212 213 214 Sources : Reuters et Finance active 22 11
Emprunter à taux variable Risque de taux après swaps et contributions aux frais financiers (en % de l encours) au 31 déc. 213 Structurés 18,4% Variable 12,8% 33,1% 11,9% Part dans l encours 55,% Part des frais financiers Fixe 68,8% Zone euro : taux d intérêt (en %) 4, Pente (éch. D, en pdb) 3,5 Euribor 3M Bund 1 ans 3, 2,5 2, 1,5 1,,5, 21 211 212 213 214 215 1 875 75 625 5 375 25 125 Source : Finance active Sources : Finance active et consensus Reuters 23 Capper la dette à taux variable Cotations produit de couverture (Euribor 12M, 15 ans, linéaire, annuel, départ au 1 er août) Cap Cap à barrière désactivante 5% Tunnel à prime nulle Prime lissée Prime lissée Niveau du floor 1,55%,68%,37% - 2,5%,41%,15% 1,12% 3,%,32%,9%,95% 4,%,2%,2%,7% Taux fixe 15 ans : 1,55 (ex/36) Source : Finance active 24 12
4 Quel financement de l économie, demain? 25 Les financements de marché progressent (1) France : dette des sociétés non financières (en M ) 1 4 1 2 Financement de marché Crédits bancaires Encours de dette 1 8 6 4 2 1999 24 29 214 Source : Banque de France 26 13
Les financements de marché progressent (2) France : encours de titres de dette (en M ) France : focus titres de dette des APUL 4 3 5 3 Ensemble Entreprises Entreprises financières APU 14 12 1 Sur un an (éch. D, en %) Encours (en M ) 175 15 125 2 5 8 1 2 6 75 1 5 4 5 1 2 25 5 1999 24 29 214-2 -25 1999 24 29 214 Source : BCE Source : BCE 27 Quid de l «intermédiation de la désintermédiation»? La «désintermédiation» du financement de l économie est souvent assimilée à l essor du financement par les marchés financiers Il convient cependant de distinguer l intermédiation financière de l intermédiation monétaire Dans ce cadre, les agences de financement mais aussi les fonds «investissement collectivités» constituent bien de nouveaux intermédiaires financiers 28 14
Intervenants & Contact Matthieu COLLETTE Responsable Finance active Campus mcollette@financeactive.com 1 55 87 418 6 86 188 28 Oulimata Ndiaye Consultante Manager Collectivités locales ondiaye@financeactive.com 1 55 87 416 6 58 57 37 Finance active 46 rue Notre Dame des Victoires 752 Paris 1 55 87 84 contact@financeactive.com www.financeactive.com 29 Disclaimer Conformément à nos conditions générales, cette présentation est réservée à votre seul usage interne. Elle est indissociable des éléments de contexte qui ont permis de l établir et des commentaires oraux qui l accompagnent. Les informations fournies dans le cadre de cette présentation n ont aucun caractère exhaustif et sont communiquées à titre purement informatif. Cette présentation ne peut en aucun cas être considérée comme constituant un démarchage, une sollicitation ou une offre de produits ou de services de la part de Finance active. Finance active ne pourra en aucun cas être tenu responsable de tout dommage direct ou indirect résultant de l utilisation des informations fournies dans le cadre de cette présentation. L ensemble des éléments présentés ou communiqués dans le cadre de cette présentation, et notamment les textes, articles, plans, images, illustrations, photographies, bases de données et logiciels, sont protégés par le droit de la propriété intellectuelle et peuvent être confidentiels. Sauf autorisation expresse et préalable des représentants habilités de Finance active, la reproduction totale ou partielle de ces éléments, ainsi que toute communication à des tiers, sont interdites. Finance active ne fournit aucune prestation en matière juridique. Il vous appartient d avoir recours à un conseiller juridique avant de conclure une transaction financière. 3 15