Propriétés du Document EMA. Résumé

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Propriétés du Document Source du Document FSN OpenPaaS Titre du Document Définition et exploitation d un référentiel de processus collaboratifs : Rapport de synthèse quant aux référentiels existants Module(s) Responsable Auteur(s) / contributeur(s) Statut du Document EMA Version 1.0 Validé par Date de la validation Aurélie Montarnal, Frédérick Bénaben Résumé Suite à la caractérisation des collaborations et des partenaires (tâche 3.2.1), afin de déduire ce processus, le système doit se baser sur une connaissance structurée des différentes collaborations : il s agit d être capable de savoir quelles sont les activités à mettre en place pour réaliser les objectifs de la collaboration. Les ontologies sont des bases de connaissances structurées sur lesquelles ont peut typiquement se baser dans ce cas-là. La possibilité de créer des règles entre les différents individus (relations sémantiques) et en font un atout. Le méta modèle collaboratif établi en tâche 3.2 permet de connaître la structure de l ontologie de collaboration. Il faut donc ensuite la peupler d individus, en cohérence avec l utilisation que le système en aura. Mots Clefs Ontologie, sémantique, inférences, connaissance des collaborations. 1

Table des matières 1 Structure des connaissances pour la déduction de processus collaboratif... 3 1.1 Un outil pour peupler l ontologie collaborative... 3 1.2 OWL MIT Process Handbook... 5 1.3 Upper ontologies... 6 1.4 Standard Upper Merged Ontology (SUMO)... 6 1.5 Business-Ontology (BOWL)... 7 1.6 EO (Enterprise Ontology) pour le projet SEMCO... 9 1.7 RosettaNet... 9 1.8 ebxml (E-business XML)... 10 2 Références... 11 2

1 Structure des connaissances pour la déduction de processus collaboratif Dans la Tâche 3.2.1, le méta modèle collaboratif (cf. (Ramete et al., 2012)) pose les deux questions suivantes (résumées dans la Figure 1) : - Quels sont les activités pour atteindre un objectif particulier? - Quels partenaires sont capables de donner des ressources pour mettre en œuvre les capacités correspondantes? FIGURE 1 : DONNEES NECESSAIRES DANS LE CHOIX DES ACTEURS. Une ontologie de collaboration permet de rassembler l ensemble des connaissances que le système possède sur les collaborations. Ce sont des connaissances générales intégrées dans le système sur lesquelles le service de déduction de sélection des partenaires va s appuyer pour comprendre le contexte de la collaboration. L ontologie va donc correspondre à la partie gauche de la Figure 1 afin de savoir pour un objectif, quelles sont les activités à mettre en place. La partie droite, quant à elle, est basée sur des données entrées par les utilisateurs. Cela correspond à une base de donnée dans laquelle il faut pouvoir faire des requêtes efficaces afin de trouver toutes les correspondances entre les activités indiquées par l ontologie et les capacités disponibles pour toutes les organisations de la plateforme. L utilisation que l on souhaite faire de l ontologie de collaboration amène à une décomposition des objectifs sous forme de tâches ayant la granularité la plus fine possible. 1.1 Un outil pour peupler l ontologie collaborative Au sein du laboratoire de Génie Industriel de l EMAC, un outil a été créé par T. Wang, au cours de sa thèse de master. Cet outil permet de peupler facilement une ontologie en précisant le méta modèle de l ontologie à respecter. Le principe est de pouvoir utiliser plusieurs ontologies, quels que soient leur méta modèle, afin d en extraire la connaissance et de l adapter au méta modèle de collaboratif d OpenPaaS. 3

FIGURE 2 : VUE D'ENSEMBLE DE L'OUTIL DE PEUPLAGE DE L'ONTOLOGIE DE COLLABORATION,(MU, 2012). Les ontologies que nous cherchons ici ont donc pour principal but de nous amener matière à peupler l ontologie d OpenPaaS. Le domaine de connaissance doit être assez large, puisqu OpenPaaS est amené à supporter une grande diversité de collaborations. C est pourquoi nous nous intéressons spécifiquement au domaine de connaissance des ontologies et au nombre d instances. Il est finalement important de connaître le méta modèle sur lequel est basée chaque ontologie de telle sorte qu on puisse utiliser cet outil. Plusieurs ontologies ont déjà été établies, recoupant notre sujet sur la collaboration inter organisations et sur les procédés industriels. 4

1.2 OWL MIT Process Handbook 1 Le MIT Process Handbook (Malone et al., 2003) recense plus de 5000 activités dans le domaine industriel. L ontologie correspondante OWL MIT Process Handbook contient environ 8000 process, et est structurée suivant le méta modèle présenté en Figure 3. FIGURE 3 : META MODELE DE L ONTOLOGIE DU MIT PROCESS HANDBOOK. 2 Pour ce qui est des activités qui peuplent l ontologie, celles-ci se veulent générales à toute industrie et ne sont donc pas toujours applicables telles quelles dans les situations de collaborations car les activités ne sont pas d une granularité toujours assez fine ou appliquées à un domaine particulier. Par exemple la différence n est pas faite pour une activité d achat, entre l achat de farine pour une boulangerie industrielle, et l achat de mécanismes voiture. 1 https://files.ifi.uzh.ch/ddis/oldweb/ddis/research/completedprojects/semweb/ph-owl/ 2 https://files.ifi.uzh.ch/ddis/oldweb/ddis/fileadmin/ph/processhandbook- Schema-16-10-06.pdf 5

1.3 Upper ontologies Les ontologies «upper» ont pour but de permettre d intégrer des connaissances hétérogènes provenant de différentes sources, selon (Mascardi et al., 2008). Les concepts y sont généraux et touchant le plus grand nombre de domaines possible. (Semy et al., 2004) définit 3 niveaux d ontologie (cf. Figure 4) : Les ontologies «upper» sont celles qui restent les plus générales, et structurent des connaissances de base communes aux domaines. Les ontologies «mid-level» incluent des connaissances plus concrètes et font le lien entre des ontologies «upper» et des ontologies domaines (donc le lien entre les connaissances de différents domaines). Les ontologies domaine proposent une structure des connaissances appliquée au domaine métier en question. FIGURE 4 : TROIS NIVEAUX D'ONTOLOGIES, (SEMY ET AL., 2004). 1.4 Standard Upper Merged Ontology (SUMO) 3 La SUMO (Niles and Pease, 2001) est une combinaison d ontologies sur les 3 niveaux, concernant de nombreux domaines très variés. La Figure 5 montre les 3 niveaux de l ontologie SUMO que l on appellera élargie : elle englobe la base de SUMO, la Mid-Level Ontology (MILO) ainsi qu un ensemble d ontologies de domaine. Toutes les ontologies sont accessibles et libre en SourceForge. On dénombre en tout 25000 termes explicités et 80000 axiomes. 3 http://www.ontologyportal.org/ 6

FIGURE 5 : L'ONTOLOGIE SUMO ELARGIE. 3 1.5 Business-Ontology (BOWL) Dans (Ko et al., 2012), les auteurs expliquent comment ils ont créé une ontologie destinée à supporter les collaborations de type B2B, à travers 5 phases caractéristiques de ce genre de collaboration: découverte des partenaires potentiels, établissement du contact, négociation, réalisation du contrat. Les auteurs expliquent entre autre avoir été confrontés aux mêmes problèmes que ceux rencontrés pour OpenPaaS : The current inability to bridge high- level business goals with low- level operational tasks. Afin d atteindre la granularité manquante à leur ontologie, les auteurs utilisent un algorithme de HTN Planning (Hierarchical Task Network Planning), qui permet de décomposer un objectif en tâches composées, elles-mêmes décomposables jusqu à des tâches primitives. L utilisation d un tel algorithme permet d autre part de trouver les différentes séquences de tâches menant aux objectifs. FIGURE 6 : DECOMPOSITION ET SEQUENÇAGE DES TACHES SELON LE HTN PLNNING,DANS L ONTOLOGIE BOWL(KO ET AL., 2012). 7

Ces séquences répondent directement à différents critères. La Figure 7 explique la décomposition automatique en tâches primitives, dont la séquence répond aux critères. FIGURE 7 : ALGORITHME DE DECOMPOSITION EN TACHES PRIMITIVES, EN RESPECTANT DES CONTRAINTES, (KO ET AL., 2012). L ontologie est constituée des classes de la Figure 8. FIGURE 8 : SCHEMA REPRESENTANT LES DIFFERENTES CLASSES DE L'ONTOLOGIE BOWL, (KO ET AL., 2012). 8

La classe Task comprend les tâches primitives ou non et possèdent des méthodes (classe Method) (une classe primitive se distingue par le fait qu elle ne possède aucune méthode). Les méthodes permettent de décomposer les tâches composées en des tâches enfants et leurs séquences possibles selon les buts (Business goals) et critères (Business criteria : Supervised ou Unsupervised, selon qu ils sont fixés ou non par l utilisateur). Les Control Flow Patterns permettent de définir plusieurs déroulement des tâches dans les processus : deux tâches peuvent par exemple être exécutées l une après l autre ou bien simultanément. Finalement, l ontologie BOWL a été peuplée et comprend, en 2012, 341 tâches. 1.6 EO (Enterprise Ontology) pour le projet SEMCO Dans (Soussi and Aufaure, 2012), les auteurs décident de combiner deux ontologies : l une produite manuellement et l autre automatiquement. La première ontologie est basée sur une approche taxonomique hiérarchique : les concepts de base sont d abord pris en compte puis ils sont éventuellement généralisés ou détaillés. La deuxième ontologie est basée sur le travail de (Blomqvist, 2005) qui propose la création automatique d une ontologie résultant de 25 patterns : chaque pattern amène de nouveaux concepts, selon le déroulement décrit dans la Figure 9. FIGURE 9 : PROCESSUS D'AJOUT AUTOMATIQUE A UNE ONTOLOGIE DE CONCEPTS PROVENANT DE PATTERNS, (BLOMQVIST, 2005). L intérêt de l EO repose essentiellement sur la technique d agrégation des deux ontologies, qui peut s avérer extrêmement utile afin d élargir les connaissances de l ontologie de collaboration. Pour aller plus loin on peut imaginer une façon d utiliser plusieurs ontologies ayant chacune leur propre cycle de vie et leur propre structure. La recherche de connaissances sur une collaboration se ferait alors en appelant un service qui réunirait toutes les ontologies, adapterait dynamiquement leur structure au méta modèle collaboratif. Cela permettrait de travailler sur un nombre important d ontologies, en utilisant toujours les versions les plus récentes. 1.7 RosettaNet RosettaNet est un standard fait par et pour les industriels, dans le but d améliorer les collaborations entre entreprises, en décrivant de manière précise les processus dans divers domaines. Les PIPs (RosettaNet Partner Interface Processes) décrivent les processus mis en œuvre entre des partenaires, et sont départagés entre 7 clusters allant de «Product Information» à «Inventory Management», par exemple. RosettaNet s intéresse plus particulièrement aux transactions de type B2B 9

et aux problématique d approvisionnement, dans les domaines des 500 entreprises membres (Intel, Microsoft ). Initialement créé par les constructeurs de composants électroniques, son utilisation s est étendue aux domaines de la logistique ou encore des télécommunications. D un côté technique, RosettaNet s appuie sur le langage XML. Cependant l utilisation du standard RosettaNet a un coût extrêmement élevé, prohibitif. 1.8 ebxml (E-business XML) ebxml est une suite de spécifications éditée par OASIS et UN/CEFACT sous le nom ISO 15000. Le but est de fournir une technologie permettant d assurer la collaboration de type B2B. FIGURE 10 : VUE D'ENSEMBLE DE LA TECHNOLOGIE EBXML. 4 La spécification ebxml est d autant plus intéressante que différents organismes de normalisation l ont adaptée aux besoins de diverses branches d activité (commerce, agriculture, construction.) 4 http://www.ebxml.eu.org/french/technologie%20ebxml.htm 10

2 Références Blomqvist, E., 2005. Fully automatic construction of enterprise ontologies using design patterns: Initial method and first experiences, in: On the Move to Meaningful Internet Systems 2005: CoopIS, DOA, and ODBASE. Springer, pp. 1314 1329. Ko, R.K.L., Lee, E.W., Lee, S.G., 2012. Business- OWL (BOWL)- A Hierarchical Task Network Ontology for Dynamic Business Process Decomposition and Formulation. Ieee Trans. Serv. Comput. 5, 246 259. Malone, T.W., Crowston, K., Herman, G.A., 2003. Tools for organizing business knowledge: the MIT process handbook. MIT Press, Cambridge, Mass. Mascardi, V., Cordì, V., Rosso, P., 2008. A Comparison of Upper Ontologies (Technical Report DISI- TR- 06-21). Dipartimento Inform. E Sci. Dellinformazione Disi Univ. Degli Studi Genova Dodecaneso 35, 16146. Mu, W., 2012. Caractérisation métier et logique d une situation collaborative. INP Toulouse - Ecole des Mines d Albi- Carmaux. Niles, I., Pease, A., 2001. Towards a standard upper ontology, in: Proceedings of the International Conference on Formal Ontology in Information Systems- Volume 2001. pp. 2 9. Ramete, G.M., Lamothe, J., Lauras, M., Benaben, F., 2012. A road crisis management metamodel for an information decision support system, in: Digital Ecosystems Technologies (DEST), 2012 6th IEEE International Conference On. pp. 1 5. Semy, S.K., Pulvermacher, M.K., Obrst, L.J., Pulvermacher, M.K., 2004. Toward the use of an upper ontology for U.S. government and U.S. military domains: An evaluation. Submission to Workshop on Information Integration on the Web (IIWeb- 04), in conjunction with VLDB- 2004. Soussi, R., Aufaure, M.- A., 2012. Enterprise Ontology Learning for Heterogeneous Graphs Extraction, in: Abelló, A., Bellatreche, L., Benatallah, B. (Eds.), Model and Data Engineering, Lecture Notes in Computer Science. Springer Berlin Heidelberg, pp. 170 177. 11