Table des matières. LIMAIR - Rapport de mesures et d'analyses

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Transcription:

Site : Plate-forme de broyage et stockage de déchets verts - SYDED 87 Localisation : commune de Saint Martin le Vieux Date : du 4 au 22 janvier 2013 Paramètres étudiés : particules en suspension PM 10 ETD/2013/01_vf

Table des matières Glossaire... 5 1. Introduction... 6 2. Conditions de mesure... 7 2.1. Zone d étude... 7 2.2. Paramètre recherché : les particules PM 10... 8 2.3. Conditions météorologiques... 9 2.3.1. Directions et vitesses de vents... 9 2.3.2. Température et humidité relative... 10 3. Résultats de mesure... 11 4. Conclusion... 14 Index des illustrations... 15 Index des tables... 15 Annexes... 16 ETD/2013/01_vf Page 3/20

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Glossaire µg/m 3 microgramme (un millionième de gramme) par mètre cube d'air PM 10 particules fines (particulate matter) de diamètre inférieur à 10 micromètres (10-6 mètres) en suspension dans l air ETD/2013/01_vf Page 5/20

1. Introduction Le SYDED 87, gestionnaire de la plate-forme de broyage et stockage de déchets verts située sur la commune de Saint-Martin-le-Vieux, a sollicité LIMAIR pour la réalisation d une mesure exploratoire des particules en suspension, PM 10, dans l environnement proche du site, afin d apprécier l éventuel impact de son exploitation notamment lors des phases de broyage. Dans ce cadre spécifique, LIMAIR a mis en place une mesure de PM 10 par analyseur automatique, durant une période de 18 jours, du 4 au 22 janvier 2013, dans l enceinte du site en limite de propriété. L ensemble des données temporelles est exprimé en temps universel TU (heure locale hivernale = heure TU +1). ETD/2013/01_vf Page 6/20

2. Conditions de mesure 2.1. Zone d étude La zone d étude est centrée sur le site de la plate-forme de broyage et stockage de déchets verts de Saint Martin le Vieux géré par le SYDED 87. L emplacement d un point de mesure dans l enceinte de la déchèterie en limite de propriété a été défini en accord avec les gestionnaires du site. Les premières habitations se trouvent à moins de 50 m de la zone de stockage / broyage. Le camion laboratoire de LIMAIR, équipé d un analyseur automatique et de capteurs météorologiques fournissant une donnée tous les quarts d heure, a été installé sur ce point durant toute la période d étude. Illustration 2.1 : Zone d étude ETD/2013/01_vf Page 7/20

2.2. Paramètre recherché : les particules PM 10 Selon leur taille, on distingue les particules fines en suspension dans l air, PM 10 et PM 2,5 de diamètre aérodynamique (ou aéraulique) inférieur à 10 et 2,5 µm, et les particules ultrafines PM 1 (diamètre inférieur à 1 µm). Origine Ces particules proviennent essentiellement de rejets (fumées) de certaines industries (sidérurgies, cimenteries, incinérateurs de déchets ménagers, ) et du trafic automobile (fumée d échappement des moteurs thermiques) mais peuvent aussi être émises dans l air lors de broyage et ou de brûlage important de déchets verts. Effets sur la santé Les plus grosses particules sont retenues par les voies aériennes supérieures. Les plus fines, à des concentrations relativement basses, peuvent, notamment chez les populations sensibles, irriter les voies respiratoires inférieures et altérer la fonction respiratoire dans son ensemble. Valeurs réglementaires Décret n 2010-1250 du 21 octobre 2010 Param ètre Objectif de qualité Seuil de la procédure de recomm andations et d inform ation Seuil de la procédure d alerte Valeur lim ite pour la santé hum aine 50 µg/m 3 Particules en suspension (PM 10 ) 30 µg/m 3 en moyenne annuelle 50 µg/m 3 en moyenne journalière 80 µg/m 3 en moyenne journalière Centile 90,4 des moyennes journalières (soit 35 jours de dépassements autorisés par année civile) 4 0 µg/m 3 en moyenne annuelle Tableau 2.1 : Valeurs fixées par la réglementation française pour les particules PM 10 ETD/2013/01_vf Page 8/20

2.3. Conditions météorologiques Les résultats ci-dessous ont été élaborés à partir des mesures fournies par les capteurs météorologiques du camion laboratoire pour la période du 4 au 22 janvier 2013. 2.3.1. Directions et vitesses de vents Attention particulière : une rose des vents montre d'où vient le vent et fait intervenir dans sa construction les directions et les vitesses de vent. Son rendu est étroitement dépendant du nombre de secteurs de direction ainsi que du nombre de classes de vitesse de vent choisi. Nous prendrons en considération 16 secteurs : 8 secteurs primaires (Nord, Est,... Nord-Est,...) et 8 secteurs secondaires (Nord-Nord-Ouest, Est-Sud-Est,...), soit 22.5 par secteur (360 /16), et des classes de vent par pas de 1 m/s. Histogramme des directions de vents Rose des vents Histogramme des vitesses de vents Illustration 2.2 : Directions et vitesses de vents durant la période de mesure Durant la période d étude dans sa globalité, les vents ont majoritairement été enregistrés en provenance des secteurs sud-ouest et nord. Avec plus de 80% des vitesses de vents inférieures à 2 m/s, on peut dire que les vents ont été calmes voire faibles. ETD/2013/01_vf Page 9/20

2.3.2. Température et humidité relative Illustration 2.3 : Température et humidité relative durant la période de mesure Les conditions météorologiques enregistrées lors de cette campagne montrent que le temps était froid, avec seulement 1 C de température en moyenne, et humide avec la majorité des valeurs d humidité relative supérieures à 70%. ETD/2013/01_vf Page 10/20

3. Résultats de mesure Les résultats des mesures de particules en suspension PM 10 sont présentés ci-après sous la forme d un tableau de statistiques suivi de plusieurs représentations graphiques de l évolution des concentrations au cours de la période d étude. Concentrations horaires (µg/m 3 ) PM 10 - Plate-forme de St-Martin-le-Vieux Maximum 35,8 Minim um 2,0 Moyenne 12,2 Tableau 3.1 : Statistiques des concentrations horaires en PM 10 Illustration 3.1 : Evolution des concentrations horaires en particules PM 10 On constate que les concentrations relevées restent inférieures aux seuils des différentes procédures relatives aux pics de pollution en air extérieur. La courbe d évolution est classique et comparable à ce que l on peut retrouver en centre-ville de Limoges par exemple. ETD/2013/01_vf Page 11/20

D après les informations fournies par les gestionnaires du site, deux phases de broyage ont été réalisées durant la période d étude : le 7 janvier et le 21 janvier entre 9h et 10h du matin (heures locales soit entre 8h et 9h en temps universel). Afin d avoir une vision plus fine de l évolution des concentrations lors de ces périodes, nous utilisons les données quart-horaires fournies par nos matériels de mesures : Illustration 3.2 : Détail des concentrations quart-horaires les jours de broyage ETD/2013/01_vf Page 12/20

Une légère augmentation des concentrations est, en effet, visible au moment où le broyage est effectué, cependant ces pointes se fondent dans la concentration de fond ambiant et ne se distinguent plus dans l évolution des concentrations sur la période d étude globale. D ailleurs le maximum horaire de 35,8 µg/m 3 a été observé le 20 janvier donc en dehors des périodes de broyage. A titre d indication et à sa charge, LIMAIR a également réalisé une mesure des teneurs en poussières totales solubles et insolubles dans les retombées atmosphériques par exposition d une jauge de prélèvement de type Owen sur le site de mesure durant la période d étude. La jauge Owen utilisée a une surface de collectage de 707 cm², et a été exposée durant 435 heures. Les concentrations nettes en poussières sont calculées suivant la formule : C nette = m éch 24 h S Avec : C nette : concentration nette en g/m 2 /jour m éch : masse relevée après analyse du prélèvement en g/échantillon h : nombre d'heures de collectage S : surface de collectage en m 2 L analyse en laboratoire du contenu de la jauge donne les résultats suivants : Résultats Poussières totales solubles Poussières totales insolubles Masse brute dans l échantillon (g/échantillon) Concentrations nettes calculées (g/m 2 /jour) 0,364 0,002 0,284 0,002 Tableau 3.2 : Résultats d analyse des poussières dans les retombées atmosphériques On constate que la teneur en poussières solubles dans les retombées atmosphériques est plus importante que la part de poussières insolubles. Cependant, à l heure actuelle et en l absence d une réglementation à laquelle se reporter, ces résultats ne permettent pas d apporter d éléments supplémentaires à ceux déjà exposés. Une comparaison avec des mesures ultérieures pourra être intéressante. ETD/2013/01_vf Page 13/20

4. Conclusion Cette étude avait pour but de quantifier les éventuels impacts de l exploitation d une plateforme de stockage et broyage de déchets verts située sur la commune de Saint-Martin-le-Vieux et gérée par le SYDED 87. Les concentrations en particules en suspension PM 10 relevées lors de la période d étude dans sa globalité sont relativement classiques pour la période considérée (hivernale) et ne présentent aucune augmentation significative pouvant correspondre à l activité du site. Toutefois, les conditions météorologiques observées lors de cette campagne (temps froid et humide avec des vitesses de vents faibles) ont pu favoriser la retombée rapide des particules au sol à proximité du point d émission. ETD/2013/01_vf Page 14/20

Index des illustrations Illustration 2.1 : Zone d étude... 7 Illustration 2.2 : Directions et vitesses de vents durant la période de mesure... 9 Illustration 2.3 : Température et humidité relative durant la période de mesure... 10 Illustration 3.1 : Evolution des concentrations horaires en particules PM 10... 11 Illustration 3.2 : Détail des concentrations quart-horaires les jours de broyage... 12 Index des tables Tableau 2.1 : Valeurs fixées par la réglementation française pour les particules PM 10... 8 Tableau 3.1 : Statistiques des concentrations horaires en PM 10... 11 Tableau 3.2 : Résultats d analyse des poussières dans les retombées atmosphériques... 13 ETD/2013/01_vf Page 15/20

Annexes Annexe 1 Agrément de LIMAIR... 17 ETD/2013/01_vf Page 16/20

Annexe 1 Agrément de LIMAIR JORF n 0302 du 30 décembre 2010 Le 5 janvier 2011 Texte n 21 ARRETE Arrêté du 21 décem bre 2010 portant agrém ent d associations de surveillance de la qualité de l air au titre du code de l environnem ent (livre II, titre II) NOR: DEVR1031932A La ministre de l écologie, du développement durable, des transports et du logement, Vu le code de l environnement, et notamment ses articles L. 221-3 et R. 221-9 à R. 221-14 ; Vu le code des douanes, et notamment son article 266 decies relatif à la taxe générale sur les activités polluantes, Arrête : Article 1 Les associations suivantes sont agréées au titre de l article L. 221-3 du code de l environnement, pour une durée de trois ans à compter de la date du présent arrêté : l association de surveillance de la qualité de l air «ATMO Champagne Ardenne». Cette association exerce sa compétence dans la région Champagne-Ardenne ; l association pour la surveillance de l air «LIMAIR». Cette association exerce sa compétence dans la région Limousin ; l association pour la mesure de la qualité de l air «ATMO Poitou-Charentes». Cette association exerce sa compétence dans la région Poitou-Charentes. Article 2 Le directeur général de l énergie et du climat est chargé de l exécution du présent arrêté, qui sera publié au Journal officiel de la République française. Fait à Paris, le 21 décembre 2010. Pour la ministre et par délégation : Le directeur général de l énergie et du climat, P.-F. Chevet ETD/2013/01_vf Page 17/20

Bâtiment OXO 4, rue Atlantis Parc ESTER Technopole B.P. 6845 87068 Limoges Cedex Tèl. : 05.55.33.19.69 Fax : 05.55.33.37.11 Internet : http://www.limair.asso.fr Rédaction Fanette Moutrille Vérification/Approbation Rémi Feuillade Directeur de LIMAIR