noël dolla 15 janvier - 20 mars 2010



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rouge toujours noël dolla 15 janvier - 20 mars 2010 LE CABINET 62, rue Saint-Sabin - 75011 PARIS - FRANCE le-cabinet.com / contact@le-cabinet.com +33(0)6 10 24 67 74 - +33(0)9 53 47 41 62 Ouvert de 14h à 19h du mardi au samedi

ROUGE TOUJOURS noël dolla 15 -janvier - 20 mars 2010 ROUGE TOUJOURS, un titre en forme de manifeste pour annoncer la nouvelle exposition personnelle de Noël Dolla, peintre de renom, dont l évocation génère des souvenirs d un des mouvement artistique incontournable du siècle dernier (Supports-Surfaces), mais aussi et surtout d un grand artiste de notre temps radical toujours dans ses pratiques, et plus que jamais engagé dans son époque : ROUGE TOUJOURS NOEL DOLLA, Galerie Le CABINET 62, Rue Saint-Sabin 75011 PARIS du 15 janvier au 20 mars 2010. François Fernandez. Noël Dolla, «Chauds les marrons aux Buttes Chaumont», Nuit Blanche 2009, Ville de Paris. Cette exposition fait suite à sa rétrospective «Léger vent de travers» réalisée au MAC/VAL de mars à août 2009 et à son intervention dans l espace public, «Chauds les marrons aux Buttes Chaumont» dans le cadre de Nuit Blanche Paris le 3 octobre 2009. Pour paraphraser le texte écrit par Elodie Antoine à son sujet: «LE VOLCAN EST TOUJOURS EN VIE». PROCHAINE ERUPTION PRéVUE dans notre espace parisien Le CABINET le vendredi 15 JANVIER 2009. Vernissage le vendredi 15 janvier 2010 à partir de 18h LE CABINET - 62, rue Saint-Sabin - 75011 Paris contact@le-cabinet.com - le-cabinet.com Ouvert du mardi au samedi de 14h à 19h et sur rdv

Ne pleure pas pour moi, Jeannette, 2008 - Série «Pleure pas Jeannette» - cadre inox, plastique et mouchoirs - 130x 270 cm - Collection Guerlain

Ne pleure pas pour moi, Jeannette, 2008 Série "Pleure pas Jeannette" cadre inox, plastique et mouchoirs 270 x 130 cm

Le fond de l air est Rouge? Par Elodie Antoine (...)les peintures présentées au Cabinet sont radicalisées par le cadre en inox qui flirte avec les matériaux constitutifs du tableau, proposant ainsi une réflexion sur la pratique actuelle de l abstraction, chère à l artiste. LE CABINET - 62, rue Saint-Sabin - 75011 Paris contact@le-cabinet.com - le-cabinet.com Ouvert du mardi au samedi de 14h à 19h et sur rdv Le titre volontairement provocateur «Rouge Toujours» revient en quelque sorte sur la réception critique de l exposition Léger vent de travers présentée au Mac/Val à l hiver 2009 et s inscrit dans le prolongement de l intervention de Noël Dolla à la Nuit Blanche le 3 octobre dernier. Là où l on pourrait voir un certain formalisme abstrait se cache une pratique idéologique de la peinture. Idéologique dans sa forme, Noël Dolla le dit : «la pratique de la peinture est toujours idéologique», remise en question en permanence. Idéologique aussi dans son énoncé, les titres des œuvres ont une importance majeure. Titres auxquels, il est parfois peut-être malaisé de s affronter : Fumer n empêche pas de mourir (à Guantanamo), Gerni-Gaza, Sans dieux je vis mieux, Ma Famille ou encore Anonymes (Test ADN en cours). Au Cabinet, les titres semblent moins éloquents : Jeunes filles aux œillets, Silences gris de la fumée, Rhum arrangé, Ne pleure pas pour moi, Jeannette. Et pourtant, la pièce Rouge Toujours (2010) nous indique qu il se cache autre chose derrière ces énoncés poético-anecdotiques. Jeunes Filles aux œillets, portraits abstraits d hommes et de femmes, reprennent par exemple la présentation de celles du Mac/Val intitulées justement Anonymes (Test ADN en cours. Celles-ci faisaient écho au très discutable projet de Loi Hortefeux (novembre 2007), qui consistait à entreprendre la vérification des filiations et le fichage des immigrés par des tests génétiques. La présentation de ces œuvres à la surface rosée de peaux bien occidentales n ayant pas suscité de réactions lors de l exposition au Mac/Val, Noël Dolla y revient : les œuvres revêtent des teintes plus «colorées» et sont parées du symbole économique d au moins trois continents, métaphore de l opposition Nord/Sud. Noël Dolla a eu l ingénieuse idée d utiliser la surface des vitrines de la galerie comme support de ses œuvres. Côté rue, deux Pleure pas pour moi, Jeannette (2009) sont fixées aux vitres de telle sorte que le spectateur en observe d abord de l extérieur la face cachée, le verso. Cette mise en scène a autant à voir avec l histoire de la pratique picturale de Noël Dolla, la déconstruction/reconstruction de la peinture qu avec le travail photographique de Philippe Gronon sur le verso des tableaux, qui dévoile l histoire de leur monstration. Ce dernier n aura pas à les retourner afin de les photographier. Ces peintures constituées d un cadre métallique, qui se substitue au châssis, sur lequel est fixée une surface plastique renouvelant la traditionnelle toile de lin, sont animées par des mouchoirs subtilement pliés en forme de cravate et noués à la surface de l œuvre. Dans la continuité des premiers Pleure pas Jeannette (2001), les peintures présentées au Cabinet sont radicalisées par le cadre en inox qui flirte avec les matériaux constitutifs du tableau, proposant ainsi une réflexion sur la pratique actuelle de l abstraction, chère à l artiste. Qui pleurer? Quoi pleurer? Le regard

Le fond de l air est Rouge? Au sous-sol, la vidéo Rhum arrangé (2009), laisse découvrir, au gré du mouvement ascendant d une trompe métallique, Electric Chair (1967) d Andy Warhol. LE CABINET - 62, rue Saint-Sabin - 75011 Paris contact@le-cabinet.com - le-cabinet.com Ouvert du mardi au samedi de 14h à 19h et sur rdv du spectateur est piégé par la surface transparente et réfléchissante de l œuvre, et laissé là, face à son propre jugement et à ses questionnements. Sur le mur d en face, une multitude de mouchoirs blancs, chargés ou non de larmes, font écho aux premiers. Ceux-ci, fixés à l aide d une cheville rouge et d une allumette dessinent au mur une étoile, rouge? Pas tout à fait vierges, chaque mouchoir porte un nom brodé, en vert ou en fuchsia. L ensemble des noms brodés constitue comme un Panthéon dollesque, hommage rendu à des acteurs de l histoire, souvent grands révolutionnaires (Marx, Lénine, Engels, R. Luxemburg, Mao, L. Michel ), des intellectuels (Lacan, Foucault, Gramsci, Guattari ) et des artistes (Titien, Goya, Picasso, Man Ray, Duchamp ). A ce Panthéon sont associés des penseurs actuels de la société et du politique (Rancière, Badiou, Nancy, Négri, C. Guillon...), ainsi que des artistes d aujourd hui (C. Lévêque, Orlan, Burgin, Flexner, J.-L. Verna ). Chez Noël Dolla la révolution est liée autant au politique qu à l artistique. Avec «Rouge Toujours», la question de la révolution aujourd hui est posée dans ces deux champs. Si le titre et certains noms propres peuvent paraître quelque peu caricaturaux, voire datés et emprunts d une certaine mélancolie, cet appel au peuple n est pas, dans sa forme plastique, dénué de poésie et d ironie, affirmant un message d espoir. «Travailler plus» pourrait faire oublier Le droit à la paresse (1883) de Lafargue. Au sous-sol, la vidéo Rhum arrangé (2009), laisse découvrir, au gré du mouvement ascendant d une trompe métallique, Electric Chair (1967) d Andy Warhol. L image laisse ensuite place à un fond rouge et à une bande sonore. Le titre entre alors en résonance avec le son, la Marseillaise arrangée et chantée par un musicien malgache, évocation d un pays où le rhum s arrange encore et où le mora-mora aurait sans doute plu à Paul Lafargue. Lorsque le fond de l écran devient rouge, alors seuls les clignotements d un star light rouge semblent battre au rythme du «jour de gloire est arrivé». L ensemble des Silences de la fumée inauguré au début des années 1990, nous avait habitués à de monumentales surfaces jaune acidulé rappelant le format des abstraits américains. Réutilisé dans les Jalousie (1992), comme élément d une composition tripartite, le dessin des fumées marquait de façon régulière voire systématique une surface laquée sur panneaux de bois, rose, rouge ou bleu vif. Les cinq Silences gris de la fumée (2009) constituent une déclinaison de gris argentés composés parfois de quatorze couleurs. Là où le dessin relevait auparavant du systématisme, il est ici plus aléatoire et plus léger à la surface de la toile. Si ces Silences de la fumée peuvent par leur douceur et leur subtilité apparaître comme un temps de pose au milieu d œuvres chargées d histoire et des affaires du temps présent, et apporter une certaine respiration, ils peuvent, au contraire, aussi rappeler, que la grisaille du moment ne saurait annoncer de bons présages, à moins que le fond de l air

Sandy d Antanimora, Série "Jeune Fille aux oeillets", 2008, peinture sur toile et oeillet, 50 x 50 cm Suzanna d Analalava, Série "Jeune Fille aux oeillets",2008, peinture sur toile et oeillet, 50 x 50 cm

BIOGRAPHIE Noël Dolla par Noël Dolla 5 mai 1945 Papa a 16 ans, maman aussi. Trois frères suivront : Claude 1947, Patrick 1957, Serge 1960. Le père de ma mère, Omère, est peintre (fresque, faux bois, faux marbre). Pépé est modeste, il peint des marines et des roses pour son plaisir. Il va souvent à la pêche au mulet. Pépé disparaît à l aube le matin de Noël 1966. Ce jour-là, j ai fait vœu de peindre ou de pêcher tous les 25 décembre de ma vie. Dis grand-père, ça sert à quoi tous ces dieux? À rien mon enfant, ou plutôt si, à faire trembler et rêver les pauvres et à enrichir plus encore ceux qui déjà sont très riches et qui veulent prendre ou garder le pouvoir. Dis grand-père, il était grand comment le plus gros poisson que tu as pris à la ligne? Dis grand-père, le peintre en bâtiment est-il vraiment le roi du monochrome? Papa boit du pastis (beaucoup). Il est imprimeur et parfois il bricole seul, la nuit à la maison, dans le secret de son petit atelier. Disparitions 1966 Pépé, 1976 Mémé, 1980 Papa, 1991 Patrick, 1997 Serge, 2007 Maman. 1964 Étudiant à Nice, je rencontre Claude Viallat. 1966 Je suis mis à la porte de l école. 1967 Le 14 décembre, première œuvre, Étendoir, au Hall des remises en question (chez Ben à Nice). 1968 Je participe à la création du groupe Supports-Surfaces. 1969-2003 Trois mariages, Michèle, Élisabeth, Sandra. 1970 Amitié avec Roland Flexner. 1972 «72 douze ans d art contemporain en France». Rencontre et amitié avec Bernard Lamarche-Vadel. Premiers Leurres et images de Love Song (1972-1976). 1973 J obtiens mon DNSEP (diplôme national supérieur d expression plastique). 1974 J enseigne à la Villa Arson, à Nice. 1986 Durant leurs deux mois de détention pour usage de drogue, mes frères Patrick et Serge contractent le sida. Je peins la série «Tchernobyl» (peintures de borgne manchot). 1995 Série des «Véritables faux bons du Trésor». Lorand Hegyi organise «L abstraction humiliée», ma première rétrospective, au Stiftung Ludwig à Vienne (Autriche). Parution de La Parole dite par un œil (éditions L Harmattan). 1999 Xavier Girard me propose une rétrospective au Mamac à Nice. Naissance de mon fils Loupio. 2000 Premier voyage en Afrique. 2003 Christian Bernard réalise et installe ma rétrospective «NON» au Mamco à Genève. 2005 Aujourd hui je vis seul. 2009 MAC/VAL Nuit Blanche, Parc de Buttes Chaumont LE CABINET - 62, rue Saint-Sabin - 75011 Paris contact@le-cabinet.com - le-cabinet.com Ouvert du mardi au samedi de 14h à 19h et sur rdv

Noël Dolla, un abstrait baroque. Par Elodie Antoine Noël Dolla naît au port de Nice, le 5 mai 1945, où il passe son enfance, son adolescence et où il vit encore aujourd hui. En 1962, Noël Dolla entre à l École des Arts Décoratifs de Nice où Claude Viallat enseigne. Il en est exclu en juin 1966 pour activités politiques, ainsi que deux de ses amis, Martin Miguel et Serge Maccaferri. Il devient finalement peintre en bâtiments et découvre la tarlatane qu on utilise pour masquer les fissures des plafonds, et qui prendra une place importante dans son œuvre à partir des années 1970. À l époque, Noël Dolla fréquente Marcel Alocco et Patrick Saytour qu il a rencontrés par l intermédiaire de Claude Viallat, son professeur de dessin. Il fait également la connaissance de Ben, personnage très actif du milieu culturel niçois. En décembre 1967, ce dernier organise dans sa galerie de la rue Tondutti de l Escarène une exposition intitulée le «Hall des remises en question». Noël Dolla y figure aux côtés d Alocco, Viallat, Saytour et Cane ses aînés. Il présente alors son premier Étendoir constitué de deux morceaux d un châssis de bois, entre lesquels sont tendues des cordes qui supportent quelques tissus colorés fixés par des pinces à linge. Cette pièce inaugure une série d œuvres qui pose déjà la question du support (le châssis) et de la surface (la toile) propres au groupe Supports- Surfaces auquel appartiendra Noël Dolla. Les Étendoirs suivants seront constitués d une structure métallique portant draps, mouchoirs ou serpillières teints par l artiste. À cette même période, Noël Dolla prend connaissance des écrits du groupe BMPT qui revendique la remise en question du système de l art et affirme sa volonté de faire table rase de la peinture. Interpellé par ces déclarations, Noël Dolla réfléchit aux potentialités qu elles offrent en matière picturale. C est en réduisant le geste minimum en peinture (la ligne) à son origine (le point) que l artiste élabore les bases de son langage pictural. Le point sera ensuite multiplié sur différentes surfaces (draps, torchons, bâches plastiques) de manière aléatoire et réalisé par évidement (trous) ou par ajout (empreintes de peinture à l aide de petits cercles de feutre ). Ces surfaces, aussi diverses que draps, torchons, mouchoirs et serpillières, témoignent du lien étroit que l artiste entretient avec les objets ménagers, objets du quotidien. Ainsi, bien que cette tentative de «sortie du tableau» conduise souvent à des gestes radicaux, demeure pourtant un lien avec la vie. Il faut sans doute déceler ici l influence de l esprit Fluxus très présent dès le début des années soixante à Nice à travers l oeuvre de Ben, Brecht et Filliou - ou encore ce que Noël Dolla appelle son «côté baroque». Les travaux qui se développeront par la suite comporteront toujours cette dialectique entre d un côté la radicalité de la peinture abstraite et de l autre la prise en compte du quotidien et/ou de l intime, autrement dit entre le sujet peintre et le sujet social.

Noël Dolla, un abstrait baroque. (...) un membre du jury le soupçonne de «copier l artiste Noël Dolla présenté l année précédente à l exposition 72-12 ans d art contemporain»! Noël Dolla est très tôt associé aux activités de ses aînés. Ainsi, en 1968, il participe aux côtés de Viallat, Saytour et Alocco à l exposition Nouvelles tendances de l École de Nice dans une galerie lyonnaise ; puis en 1969 à La peinture en question, à l École Spéciale d Architecture de Paris. En 1971, il est invité à participer aux expositions du groupe Supports-Surfaces, à la Cité Universitaire de Paris et au Théâtre de Nice. Il est alors le plus jeune membre du groupe. 1972 est l année de la consécration nationale : il expose aux côtés de Claude Viallat à l exposition 72-12 ans d art contemporain en France au Grand Palais à Paris. C est également l année de sa première exposition personnelle, qui a lieu à la galerie Alexandre de La Salle à Saint-Paul de Vence où il tapisse d un papier peint monochrome bleu et orange percé de trous une partie de la galerie. Fort de ses expériences récentes, il se présente en 1973 à l École des Beaux Arts de Marseille afin de passer son diplôme. Anecdote savoureuse, un membre du jury le soupçonne de «copier l artiste Noël Dolla présenté l année précédente à l exposition 72-12 ans d art contemporain»! Noël Dolla obtient son diplôme et commence à enseigner dès la rentrée 1974 à la Villa Arson où il exerce encore aujourd hui. Parmi ses étudiants, on compte Philippe Mayaux, Pascal Pinaud, Ghada Amer, Dominique Figarella, Philippe Ramette, Natacha Lesueur, Jean-Luc Verna ou encore Tatiana Trouvé et plus récemment Karim Ghelloussi, Pierre Descamps et Julien Bouillon. L expérience de déconstruction de la peinture menée aux côtés des membres de Supports- Surfaces le conduit finalement à une réflexion sur les moyens de la reconstruire. La couleur, jusqu à présent mise de côté par l artiste, lui apparaît comme une voie d accès à cette reconstruction. Ainsi, le travail sur les Croix (1973-1975) qu il inaugure en 1973 lui permet de réintroduire la couleur dans sa peinture. Celles-ci sont constituées de quatre pièces de tissus peintes, assemblées par des coutures qui dessinent le motif d une croix. Au cours des trois années suivantes (1973-1976), Noël Dolla réalise une série de photographies de tombes, s intéressant aux couleurs des objets qui les ornent. Celles-ci donneront lieu au film Love Song, succession d images de tombes auxquelles sont associées des photographies plus personnelles de l artiste, notamment un autoportrait. À partir de 1977 et jusqu au début des années quatre-vingts l œuvre de Noël Dolla se fragmente en un kaléidoscope de propositions où coexistent le développement de ses travaux antérieurs sur de nouveaux supports picturaux et diverses expérimentations. Dans la série Tarlatane (1978-1980), la couleur est également le révélateur d une surface initialement translucide. Les bandes de tarlatane

Noël Dolla, un abstrait baroque. La série Tchernobyl (1986-90) est peinte de la main droite (Noël Dolla est gaucher), l œil gauche caché. préalablement teintes par l artiste viennent ensuite, par un système de pliage, dessiner sur les murs des formes géométriques. Entre 1978 et 1981, Noël Dolla expérimente, sur des échantillons de tissus d ameublement, une technique de marquage de la surface au moyen de rouleaux à décor de papier peint utilisés dans la peinture en bâtiments, réalisant ainsi de manière mécanique des motifs géométriques ou floraux qui viennent perturber le dessin de la surface-support de manière tautologique. Le début des années quatre-vingts est marqué par le retour de la peinture figurative, manifestation du retour du refoulé pictural, dans lequel Noël Dolla refuse de s inscrire. Il prend alors le risque d un retrait radical de la scène artistique. Durant les années 1986-1990, l artiste mène de concert une réflexion sur le médium, la représentation au sein même de la peinture abstraite et la nécessité d un style identifiable imposé par le marché. La découverte de la théorie des hétéronymes de Fernando Pessoa va lui permettre de dépasser les contradictions propres à sa pratique picturale, notamment celle de l hétérogénéité. Ainsi l artiste associe-t-il au nombre de combinaisons qu offrent les lettres d un nom, le nombre de possibilités formelles qu offre l abstraction. En 1988-89, il rédige un texte programmatique présentant le travail de quatre artistes dont les noms ne sont autres que les anagrammes de son propre nom. Les six séries élaborées alors par l artiste (dont Tchernobyl, Les Trois du Cap et Boat People) peuvent sembler contradictoires tant leurs formes paraissent hétéroclites. Pourtant, réalisées les unes en regard des autres, elles sont animées par les mêmes préoccupations picturales, notamment la mise à distance des affects par la mise à distance des savoirs techniques. La série Tchernobyl (1986-90) est peinte de la main droite (Noël Dolla est gaucher), l œil gauche caché. Tel un borgne manchot, l artiste se trouve en difficulté par rapport aux savoirs et habitudes techniques, provoquant l écart nécessaire entre le titre de l oeuvre et l inquiétante étrangeté de la matière picturale. On retrouve cette même préoccupation dans un registre différent dans les recherches sur la couleur «après» Barnett Newman (Red Slice, 1988-90) et Robert Ryman (Maroufle et sardines, 1988-91) ou encore dans la série des Châsses (1988-89), peintures à l encaustique, cerclées de plomb. Trois de ces six séries intègrent la tarlatane à la surface picturale (Red Slice, Maroufle et sardines et Tchernobyl). Si dans le passé, la tarlatane était à la fois support et surface de l œuvre, ici elle devient un des éléments du médium pictural, un outil. Ces derniers tableaux montrent remarquablement comment la reprise de pratiques anciennes intervient dans le processus de création. Alors qu il travaille aux séries Maroufle et sardines, Red Slice et Châsses, Noël Dolla continue inlassablement ses recherches sur le médium LE CABINET - 62, rue Saint-Sabin - 75011 Paris contact@le-cabinet.com - le-cabinet.com Ouvert du mardi au samedi de 14h à 19h et sur rdv

Noël Dolla, un abstrait baroque. «Ce va-et-vient entre pratiques anciennes et expérimentation obstinée du médium, tel un work in progress, conduit l artiste à convoquer une fois encore la tarlatane dans ses peintures.» réalisant des peintures monochromes jaunes, capturant a fresco le noir de fumée sorti d un flambeau tenu par l artiste sous la toile inclinée. Les Silences de la fumée (1988-1999) poursuivent le travail de marquage d une surface, en cela ils évoquent plutôt les drippings de Pollock - «là où la peinture coulait, la fumée monte» - que l IKB de Klein. On retrouve également les traces de fumée dans les Jalousies peintes en 1992. Ces œuvres magistrales associent trois éléments de bois, la surface picturale de chacun étant traitée de manière différente. Le panneau inférieur (rectangulaire), sur lequel reposent une jalousie (fenêtre niçoise) et un carré de fumée, est marqué de points. Ici, fumée et points ne sont plus l essence même de l œuvre, mais prennent part à sa structure devenant ainsi éléments du médium. À partir de 1995, Noël Dolla reprend le travail des fumées dans une série intitulée Girafes (1995-97). Il expérimente alors une technique de masquage de la toile. À l aide d un système de caches qui lui permet de laisser vierges certaines parties de la toile, l artiste peint des «entonnoirs à peinture», d abord jaunes puis blancs, empreints eux aussi de fumée. Ce travail de peinture au scotch, laissé en jachère pendant presque six ans, sera repris à partir de 2003 lorsque l artiste inaugure sa série Fait à la 2 4 6 8 (2003-2005). Ces peintures mettent en scène un motif, celui de l entonnoir, décliné dans toutes ses formes et qualités picturales. Chez Noël Dolla, chaque expérience avec le médium en entraîne une autre, le médium s inventant dans la pratique. Ainsi, le travail à l encaustique des Châsses lui permet de réaliser à partir de 1993 la série des Gants à débarbouiller la peinture (1993-94) puis celle des Gâteaux Bobo (1995-2002). Les premiers, au titre provocateur, allient une technique ancienne à un support extrait du monde ménager (un gant de toilette) et mettent en évidence l essence même de la pratique picturale de Noël Dolla qui consiste à perturber un savoir technique par l association, l utilisation ou l intégration d objets (hameçons, plumes), de techniques (fumée, rouleau à décor) ou de supports (tarlatane, torchons, serpillière, draps) traditionnellement étrangers au tableau. Les Gâteaux Bobo, aux formes de réelles pâtisseries, parfois des plus originales (sapin, nounours ) laissent apparaître à leur surface, prisonniers dans la matière picturale, des hameçons. Ces derniers rendent ces peintures, quand on les regarde de plus près, moins sympathiques et séductrices qu elles ne semblaient de prime abord. Ce va-et-vient entre pratiques anciennes et expérimentation obstinée du médium, tel un work in progress, conduit l artiste à convoquer une fois encore la tarlatane dans ses peintures. La série des Tableaux d École (1991-99) voit la bande de tarlatane, d abord sur des panneaux de bois, puis dans l espace (du mur au plafond), dessiner les contours d une maison, d une étoile, d un poisson ou encore d un sexe. Pour un temps mis de côté, le dessin re- LE CABINET - 62, rue Saint-Sabin - 75011 Paris contact@le-cabinet.com - le-cabinet.com Ouvert du mardi au samedi de 14h à 19h et sur rdv

Noël Dolla, un abstrait baroque. trouve ici ses lettres de noblesse. À la fin des années quatre-vingt-dix, Les Silences de la fumée seront rejoués dans une nouvelle distribution. À la toile s est substituée une plaque d aluminium et à la peinture à l huile et acrylique, une matière industrielle (peinture polyuréthane) pour carrosserie. Les couches successives de peinture et de fumée créent une surface picturale vibrant au gré des mouvements du spectateur face à l œuvre. La fumée devient ainsi un des éléments du vocabulaire pictural de Noël Dolla au même titre que la tarlatane et le point. Ce dernier, tel un point d origine, sera au fil des années décliné sous différents aspects. On le retrouve dans la série Ripolin (1994) sous la forme d une boîte de peinture de la marque Ripolin pris entre deux éléments de bois. Afin de percevoir les potentialités du point, il faut rappeler que lorsque Noël Dolla envisage le point comme possibilité de marquage d une surface picturale, il réalise parmi ses premiers gestes celui d un point sur toile matérialisé par un trou cerclé d un œillet métallique. Ce geste répété sur deux autres toiles forme un triptyque (trois toiles, chacune percée d un œillet). Cette pièce de 1969, Triptyque aux œillets, marque le début d un travail sur le premier nombre complexe : le trois. Originellement marquage, le point recouvre aussi une qualité structurelle dès lors qu il est triple. Ainsi les Ripolins convoquent le point et son «triple», par le biais de trois pots ronds et coulures de peinture et, de manière plus dissimulée, dans la structure du tableau, lui-même constitué de trois éléments (pots de peinture, panneau et barrière en bois), comme dans les Jalousies. La métaphore du triptyque dans les œuvres Jalousies et Ripolins, nous renseigne sur les strates de mémoire qui traversent les œuvres de Noël Dolla. Ses œuvres offrent divers degrés de mémoire. Par exemple dans les Jeunes filles aux œillets (2000-2008) qui réinterprètent le Triptyque aux œillets de 1969, l œillet emprisonne à la surface de la toile une mémoire d atelier (un morceau de tissu, de tarlatane, de peinture sèche ) autrement dit une mémoire de la pratique, à l image de la chute de tissu ou du patron du tailleur. Mais cette mémoire d atelier en invoque une autre, plus intime, celle d une personne connue, aimée, rencontrée, ces tableaux se voulant des portraits. La peinture de Noël Dolla est mémoire amnésique : s il a besoin d oublier pour un temps, de mettre en jachère certaines expériences picturales passées, celles-ci finissent toujours par se rappeler à lui, non comme un retour à l ordre, mais plutôt comme le symptôme d un terrain toujours en chantier, au terreau riche d une perpétuelle effervescence. Le volcan est toujours en activité Elodie Antoine, novembre 2008 LE CABINET - 62, rue Saint-Sabin - 75011 Paris contact@le-cabinet.com - le-cabinet.com Ouvert du mardi au samedi de 14h à 19h et sur rdv

expositions personnelles 2009 Noël Dolla, Galerie des Multiples, Paris, avril-mai2009 Léger v e n t d e travers, Ma c Va l, Iv r y, m a r s -a o û t 2009, c o m m i s s a r i at: Fr a n k La m y Noël Dolla, FondationZappettini, Milan, Italie, mars 2009 2007 My Mo t h e r Fl y in g between Do g Fo o d a n d Fish Fo o d, Ga l e r i e So a r d i, Ni c e, 15 m a r s - 14 av r i l 2007 2006 Noir, jaune, violet et rose quelque part, Le Dojo, Nice 2005 So l e i l v o i l é, Ga l e r i e Les filles d u c a lva i r e, Pa r i s, 9-27 septembre et 14-29 octobre 2005 Art ménager Ménagez l art, Musée de Bourgoin-Jallieu, 17 septembre-31 décembre 2005, commissariat: Florence Charpigny 2004 Cold White et Blanchot, Galerie Les filles du Calvaire, Bruxelles, Belgique Off shore, expositionitinérante, Paris, Tours, St Etienne, Sète, Nice 2003 No n, 1967-2001, Mamco, Genève, février avril2003, Suisse, commissariat : Christian Bernard 2002 Noël Dolla, Espace d art contemporaingustave Fayet, Sérignan 2001 Tableaux d Ecole V, South Art, Nice Noël Dolla, Espace d art contemporaingustave Fayet, Sérignan La larme militaire ou la ballade à dos d âne, Galerie chez Valentin, Paris 1999 Vir heroicus sublimis Find us /Le grand Leurre, Ma m a c, Ni c e 1998 Cinq silences, Centre d art contemporainde Vassivière, Vassivière Ho m è r e, Le Quartier, Centre d art contemporainde Quimper, Quimper No ë l Dolla o n e -m a n s h o w, Fo n d at i o n Kat i n k a Pr i n i d e Ge n o va à Ar t Jo n c t i o n, Ni c e Un leurre, Villa Steinbach art contemporain, Mulhouse Un o u t i l p a r f a i t, Ma i s on Le v a n n e u r, Ce n t r e n at i o n a l d e l e s ta m p e et d e l a r t im p r im é, Ch at o u 15 Lès, créationd un panoramique, Musée du papier peint de Rixheim 1997 FIAC, Galerie Météo, Paris 1996

expositions personnelles Peintures, 14/12/1967-25/12/1968, Galerie Nice Fine Arts, Nice Peindre la Girafe, Galerie Evelyne Canus, La Colle sur loup Le tableau d école ou l heure de Noël, Galerie M.D.J, Neuchâtel, Suisse Tableaux d école et Leurres de Noël, Galerie Météo, Paris 1995 L abstraction humiliée 4, Galerie Gabrielle Vitte, Ajaccio L a b s t r a c t i on humiliée, Mu s e u m Moderner Ku n s t Stiftung Lu d w ig, Vi e n n e, Autriche, commissariat: Lorand Hegyi La nuit des longs lobes 2, Galerie N.Z.E.T Projekt (Météo) Gand, Belgique 1994 L abstraction humiliée, Le Parvis, Tarbes Les silences de la fumée, Frac Auvergne, Clermont -Ferrand Enol. A.Bait.Sham/Shame, Espace BorisVian, Montluçon Ripolin Nestlé, Résidence-secondaire, Galerie Météo, Paris 1993 Dessin de tarlatane, Galerie Le regard sans cran d arrêt, Dunkerque Noël Dolla, Galerie Météo, Paris Noël Dolla, Galerie Les Entrepôts Laydet, éditions GDL, Paris Ateliers d artistes de la Ville de Marseille, Marseille 1991 Supports-Surfaces et Oeuvres Récentes, Galerie Montaigne, Paris Th e First In t e r n a t i on a l Sc u l p t u r e Sy m p o s i um, c r é at i o n et i n s ta l l at i o n d e la sculpture Léger vent de travers (Light crosswind), Kaohsiung, Taïwan 3 Leurres et Les Silences de la fumée, Galerie Pierre Bernard, Nice 1990 Ensemble des oeuvres du groupe E.L.A.N, Galerie de la Villa Arson, Nice Noël Dolla, Galerie Gill Favre, Lyon Les silences d e la f u m é e, CCC, To u r s 1989 No ë l Dolla, Ca r t e b l a n c h e a u g r o u p e E.L.A.N, (Allen Do o l, Al d o Öllen, Della No l o, O.Del Ll a n o, Li-Pa f o a l, Lo n a -Od e l l), Fo n d at i o n Ca r t i e r, Paris, commissariat: Marie-Claude Beaud Groupe E.L.A.N., Galerie Jacques Girard, Toulouse 1987 Noël Dolla, Galerie CooperativaCommunale, Bologne, Italie 1992 Les silences de la fumée, Institut culturel italo-français, Bologne, Italie 1986 Leurres, Galerie Archétypes, Nice Jalousies, Galeriecarrée, Villa Arson, Nice, commissariat: Christian Bernard

expositions personnelles 1984 Noël Dolla, Galerie Sapone, Nice Le bleu d u Ciel n 11, (Ar t et p ay s a g e Ba r r o i s 84), s c u l p t u r e i n s ta l l at i o n, Ba r-le-du c 1982 1975 Noël Dolla, Galerie Renzo Spagnoli, Florence, Italie Noël Dolla, Galerie Paul Maenz, Cologne, RFA Noël Dolla, Galerie Gérald Piltzer, Paris Noël Dolla, Galerie La Bertesca, Düsseldorf, RFA Noël Dolla, Galerie Fagergren, Copenhague 1981 Noël Dolla, Galerie Errata (Christian Laune), Montpellier 1980 1974 Noël Dolla, Galerie La Bertesca, Gênes, Italie Noël Dolla, Galerie La Bertesca, Milan, Italie Noël Dolla, Galerie Albert Baronian, Bruxelles, Belgique Ta r l a t a n e s, Galerie d art contemporaindes Musées de Nice, Nice Noël Dolla, Galerie Sapone, Nice Ta r l a t a n e s, Galerie Anne Van Horenbeeck, Bruxelles, Belgique Ta r l a t a n e s, Galerie Georg Nothelfer, Berlin, Allemagne No ë l, Mu s é e d e Sa i n t Pa u l d e Ve n c e 1977 Noël Dolla, Galerie La Bertesca, Düsseldorf, RFA 1973 Noël Dolla, Galerie Chez Malabar et Cunégonde (Ben), Nice 1972 Noël Dolla, Galerie de la Salle, Saint-Paul de Vence 1976 Noël Dolla, Galerie Gérald Piltzer, Paris

expositions collectives 2010 PITTURA E PITTURA, An a l i t i c a e Su p p o r t s/su r fa c e s, otto p r o ta g o n i s t ii e r i e oggi, AcquiTerme (Italie), mars 2010, commissariat: Alberto Rigoni 2009 Ch a u d s les Ma r r o n s a u x Buttes Ch a u m o n t, Nu i t Bl a n c h e, Pa r i s, 3 o c t o b r e 2009, commissariat: Alexia Fabre, Frank Lamy Pittura anni 70 europea, Mu s e o Sa n d o n at o Mi l a n e s e, Mi l a n, o c t o b r e -n o- vembre 2009 Pittura Analitica Europa + USA, Villa Croce, Museo d arte contempora - nea, avril-mai2009, commissariat: Alberto Rigoni Da n s l œ i l d u critique, Be r n a r d La r m a r c h e Va d e l et les artistes, Mu s é e d Ar t Mo d e r n e d e la Ville d e Pa r i s, Pa r i s, 29 m a i 6 septembre 2009, c o m m i s s a r i at : Sébastien Gokalp Trivial Abstract, Villa Ar s o n, Ni c e, février-m a i 2009, c o m m i s s a r i at: Pa s c a l Pi n a u d 2008 Supports-Su r f a c e s, Galerie Christophe Gaillard, Paris, octobre 2008 Fa r West Zéro, Ga l e r i e Du k a n & Ho u r d e q u i n, Marseille, 10 m a i 28 j u i n 2008 2005 Fondazione Zappettini, Ch i ava r, i Ita l i e INAC, Ce r r i n a, Ita l i e Espace de l art concret, Mouans-Sartoux CCC, To u r s 2004 Amicalement votre, Musée des Beaux Arts, Tourcoing L intime, (oeuvres de Noel Dolla), Ma i s o n Ro u g e, Pa r i s De quelques manières, Frac Bretagne, Châteaugiron Interior vision, Galerie Joel Scholtes, Nice Ca m p u s, l art contemporaindans les universités, Jussieu, Paris Colocataires 2, Galeries Poirel, Nancy Pittura 70, Fo n d at i o n Za p p e t t i n i, Ch i ava r, i Ita l i e Co-c o n s p i r a t o r s : Artist a n d Co l l e c t o r, t h e c o l l e c t i on o f Ja m e s Cottrell and Joseph Lovett, Musée d Orlando, Etats -Unis, commissariat: Sue Scott 2003 Autour de support surface, Musée de St Etienne, St Etienne Art-Ca d e, Galerie des Grands Bains Douche, Marseille Collection Frac Basse Normandie, Ca e n Espace Gustave Fayet, Sé r ig n a n Lee 3 t a u c e t i c e n t r a l armory s h o w, Villa Ar s o n, Ni c e 20 ans des Frac, St r a s b o u r g Ea u et Ga z à t o u s les étages, Ma m c o, Genève, Suisse Co m p o s i t i on s, Frac Bretagne, Chateaugiron Le diable évidemment, oeuvres du Frac Bretagne, Musée des Beaux-Arts, Brest Pittura peinture painting, Galerie Martagon, Turin, Italie Poetique de l espace, oeuvres de la collection Frac Bretagne, Châteaugir o n 2002 De simples débordements, Maisonde la Culture, Amiens

expositions collectives Les horizons du paysage, Maisonde la Culture, Bourges, commissariat: Hubert Besacier Questions d e Pe in t u r e, Ce n t r e In t e r n at i o n a l d Ar t Co n t e m p o r a i n, Ch â t e a u de Carros, Carros Les années 70, CAPC, Bordeaux, commissariat: Maurice Fréchuret Jouets d artistes, Galerie Joël Scholtès, Nice Au t o u r d e support-s u r f a c e, oeuvres d e la c o l l e c t i o n d u m u s é e d a r t m o d e r n e de la ville de St Etienne-Métropole, Musée de Valence, Valence 2001 Ca t h é d r a l e s et a u t r e s m o n u m e n t s en souvenir d e Be r n a r d La m a r c h e-va d e l, Galerie Papillon-Fiat, Paris Open studios, ISCP, New york 3 set in 7, Centre Régional d Art Contemporain, Sète 2000 Nic e Movements, Co n t e m p o r a r y Fr e n c h Ar t, Ho n g Ko n g Mu s e u m o f Ar t, Hong Kong, commissariat: Jean-François Mozziconacci, Jacqueline Peg l i o n. L art dans le vent, Domaine de Chamarande, Chamarande 1999 Corps social, Ecole Nationale Supérieure des Beaux-Arts, Paris, commissariat : Éric de Chassey 70s & contemporary, Gimpel Fils, Gallery London, Londres, Angleterre Supports-Su r f a c e s : critiques o f m o d e r n i sm, intimate a n d Fr e n c h, Co u r ta u l d Institute of Art, Londres, Angleterre Dezeuze, Dolla, Pa g è s, Vi a l l a t, Ga l e r i e Cat h e r i n e Issert, Sa i n t-pa u l d e Ve n c e Les seuils d e la p e in t u r e en Fr a n c e et en It a l i e 1968-1998, Ce n t r o espositivo Rocca Paolina, Perouse, Italie Peinture Générique, Galerie CatherineIssert, Saint-Paul de Vence Le Feu a u x Po u d r e s, Ga l e r i e d e la Ma r i n e, Ni c e Été 1999, Centre d art contemporainde Vassivière, Vassivière Ho m m a g e à Sa d e, Ga l e r i e Ma r ta g o n, Ma l a u c è n e, c o m m i s s a r i at: Gu y Sc a r- p e t ta De coraz (i)on, Tecla Sala, L Hospitalet, Espagne 1998 Le dessin en p r o c è s, La Bo x, Bo u r g e s 2 o u 3 choses q u e je s a i s d elle, MAMCO, Genève, c o m m i s s a r i at: Christian Be r n a r d Painting Objectives, Galerie Evelyne Canus, La Colle sur Loup, commissariat : Sh i r l e y Ka n e d a Noël Dolla et Istvan Nadler, Institut Hongrois de Paris, Paris, commissariat : Lorand Hegyi Exploiting the Abstract, Feigen Gallery, New York, Etats -Unis Les années Supports-Surfaces dans les collections du Centre Georges Pompid o u, Ga l e r i e d u Jeu d e Pa u m e, Pa r i s L art dégénéré, expositionréalisée par le CAAC (Collectif Aix Art Contem - porain), Pavillon de Vendôme, Aix-en-Provence Meteore, Galerie The Box, Turin, Italie Le Cercle, le ring, MaisonLevanneur, Chatou A Ba l z a c, N. Dolla, N. Is t v a n,,s. Ta m a s, Institut Françaisde Budapest, Hongrie 1997 Adieu Monde Cruel, associationalloncle Larose, Paris Am i, e n t e n d s-tu...?, Galerie Météo, Paris Ouverture 2, Château de Bionnay, Lacenas

expositions collectives Light Catchers, Bennington College, Vermont, Etats -Unis 6ème Triennale der Kleinplastik 1995, Europa Ostasien 1996 No n! p a s c o m m e ç a!, C.A.N. Neuchâtel, Suisse Pa in t in g in a n e x p a n d in g field, Ur s a n Gallery Be n n i ng t o n College, Vermont, Etats -Unis, commissariat: Saul Ostrow Du musée a u c h â t e a u, Su p p o r t s-su r fa c e s, Fo n d at i o n Em i l e Hu g u e s, Sa i n t-pa u l de Vence Cl a i r-ob s c u r, Ch e l o u c h e Gallery, Tel-Av i v, Is r a e l, c o m m i s s a r i at: Lo r a n d He g y i Ou v e r t u r e, Château de Bionnay, Lacenas Jeunes Filles chlorotiques, Galerie Gilbert Brownstone, Paris Art Fair Cologne 96, Galerie Evelyne Canus (N. Dolla, A. Schiess) ABSTRAKT/REAL, Museum Moderner Kunst Stiftung Ludwig, Vienne, Autriche 1995 Die Künstler sind anwesend, Galerie Steinek-Halle, Vienne, Autriche Les bords de l oeuvre, Musée Matisse, Nice Abstraction et rhétorique, Galerie Météo, Paris Fast Forward, vidéos, Malmö Konstahall, Malmö, Suède Abstraction Faite, Galeries Gilbert Brownston et Météo, Paris Art Jonction 1995 Cannes, Galerie Evelyne Canus, La Colle sur loup Pi èc e(s) UNIQUE, Atelier Didier Padaillé c/o CCC de Tours Vid é o c h r o n i q u e s, Villa Arson, Nice L art d aimer, Curiositas Erotica, Nouvelle Vague, Sète Supports-Su r f a c e s, Galerie Zola, Cité du livre, Aix-en-Provence Les premières pierres, Galerie Météo, Paris Dolla, Figarella, Flexner, Hu t c h in s o n, Mc Clelland, Smedley, E.S Va n d a m gallery, New York, Etats -Unis, commissariat: Craig Fisher 1994 Kommentar zu Europa 1994, Museum Moderner Kunst Stiftung Ludwig, Vienn e, Au t r i c h e Supports-Su r f a c e s, Musée des Beaux-Arts, Gifu, Japon Paysage en train, Galerie Météo, Paris Un certain regard, Palazzo Martinengo, Brescia, Italie Co m m e n t a i r e s u r l Eu r o p e 1994, Ec o l e Nat i o n a l e Su p é r i e u r e d e s Be a u x-ar t s, Pa r i s Collection particulière, Galerie de France, Paris Vraoum «Snark», cabinet de dessins, Galerie P. Nouvion, Monaco SOS...SOS..., Galerie Evelyne Canus, La Colle sur Loup (Non Profit show ) Commentaire sur l Europe 1994, Va l e n c e, Es pa g n e Vid é o c h r o n i q u e s, 14,15,16, décembre 1994, v i d é o s, Ga l e r i e Ro g e r Pa i l h a s, Marseille 1993 Exposition de la Donation Vicky Rémy, Musée d art moderne, Saint-Étienne Salon de Montrouge, Mo n t r o u g e Supports-Su r f a c e s, Musée d art moderne, Saitama ; Musée d art Ohara, Kur a s h i k i ; Mu s é e d a r t et d histoire, As h i ya ; Mu s é e m u n i c i pa l d a r t, Ki ta k y u s h u, Ja p o n Polly Ap f e l b a u m, No ë l Dolla, Cr a i g Fisher, Ho r o d n e r -Ro m l e y Gallery, New Yo r k, Etat s -Un i s, c o m m i s s a r i at: Sa u l Os t r o w An Am e r ic a n c o l l e c t i on o f Co n t e m p o r a r y Fr e n c h Art, sélection d e la Ja m e s E. Cottrell Collection, French Cultural Services, New York, Etats -Unis S M G P 2 A., Ga l e r i e Ba r b i e r-beltz, Pa r i s

expositions collectives 1992 Supports-Su r f a c e s, Museum of Art, Tel Aviv, Israël 7 artistes français, C.I.A.C, Mo n t r é a l, Ca n a d a Les années Supports-Surfaces, Galerie Hélène Trintignan, Montpellier Vive la France, Galerie Gérald Piltzer, Paris Le g r a n d émerveillement p o u r le Su d, Ch â t e a u d e Villeneuve, Sa i n t-pa u l d e Ve n c e Th a t s a l l... m y f r i en d s, Ga l e r i e Mo n ta ig n e, Pa r i s, c o m m i s s a r i at: Ph i l i p p e Pe r r i n Les mystères de l auberge espagnole, Villa Arson, Nice 1991 Supports-Su r f a c e s, Musée d art moderne, Saint-Étienne, commissariat: Bernard Ceysson Le bel-âge, Supports-Surfaces, Fort de Salses Au Sud, Groupe 70 et Supports-Surfaces, Ateliers municipauxd artistes, Galerie Athanor, Château de Servières, Marseille 1990 Gravures sur plomb, Galerie Art Concept Éditions, Nice Pu b, Po p, Ro c k, Fo n d at i o n Ca r t i e r, Jo u y -en-jo s a s Le bel-âge, Supports-Surfaces, Château de Chambord, Chambord The 1970 s : part 1, Galerie Denise Cadé, New York, Etats -Unis 1989 Couleur Sud, Fo n d at i o n Ca r t i e r, Jo u y -en-jo s a s 1988 Les Années Supports-Surfaces, Musée de Toulon, Toulon 1987 N. Dolla, V. Is n a r d,,c. Ja c c a r d, Foirede Bologne, Bologne, Italie Ja c c a r d, Dolla, Is n a r d, Centre Culturel Français de Rome, Italie Comme chez soi, Galerie Le Chanjour, Nice 1986 Oeuvres 1967-1973, Galerie Athanor, Marseille 1985 Participation au groupe Mediterranea, Foirede Bari, Bari, Italie Nice Nantes, École des Beaux-Arts, Nantes 1984 Ch i a, Dolla, Selz, Sa l o m é, Sa y t o u r, Ga l e r i e d Ar t Co n t e m p o r a i n d e s Musées de Nice, Nice Galerie Le Chanjour, Nice Nice à Genève, Halle Sud, Genève, Suisse Traces et Empreintes, Musée de Bar-le-Duc, Bar-le-Duc 1983 Figurations Libres et Autres, Gé n a s Polaroïds d Artistes, Galerie R. C. des Fossés, Saint-Etienne Pittura Edelweiss, Galerie J. Damase, Paris 1982 Bourse d art monumental d Ivry Environ Tours 1982, Musée de la Ville, Tours Sans Titre, Musée de Toulon, Toulon

expositions collectives 1981 Futur Corps Passés, Musée Fabre, Montpellier Peinture de Chevalet, Galerie NRA, Paris 1980 L Amérique aux Indépendants, Grand Palais, Paris Foire d Art Actuel, Bruxelles, Be l g i q u e Corps Tours Multiple 1980, To u r s Nice à Berlin, DAAD Ga l e r i e, Be r l i n, Al l e m a g n e 1979 Université Toulouse -Mirail, Toulouse En t r a c t e, Fo n d at i o n Kat i a Pissaro, Pa r i s Le To n d o d e Mo n e t à n o s j o u r s, Mu s é e d e l Abbaye Sa i n t e-cr o i x, Les Sa b l e s d Ol o n n e Lis 79, Galerie de Belém, Lisbonne, Portugal 1978 Toiles Libres, Forum Bourse, Paris 1968,1978, 1988, Galerie de la Marine, Nice 1977 Itinéraire I, Galerie L oeil2000, Châteauroux Canvas without stretchers, Galerie Gimpels Fils, Londres, Angleterre Éc o l e d e Nic e Dix a n s, Ga l e r i e d e la Salle, Sa i n t-pa u l d e Ve n c e 1976 9ème Biennale de Paris à Nice, Galeries des Ponchettes et de la Marine, Nice Cr o n a c a, Comune di Modena, Italie Galerie La Bertesca, Gênes, Italie Galerie La Bertesca, Milan, Italie A p r o p o s i t o della pittura, Mu s é e Va n Bo m m e l -Va n Da m Ve n l o ; Stedelijk Museum, Schiedam ; Hedendaagse Kunst, Utrecht, Pays -Bas To i l e s Libres, Fougéres I Colori della pittura, Ro m e, Ita l i e 1975 Nouvelle Peinture en France, Neue Galerie, Aix-La-Chapelle, Allemagne Fo n d at i o n Gu l b e n k i a n, Li s b o n n e, Po r t o, Po r t u g a l Grado Zero, Galerie La Bertesca, Düsseldorf, Allemagne Pittura, Palazzo Ducale, Gênes, Italie Dessins, Musée de Saint-Paul-de-Vence Galerie Fabian Carlsson, Göteborg, Suède Analytische Malerei, Galerie La Bertesca, Düsseldorf, Allemagne Galerie Gérald Piltzer, Paris Trois Artistes de la Biennale de Paris, Galerie La Bertesca, Düsseldorf, All e m a g n e 9ème Biennale de Paris, Pa r i s Le dessin de la nouvelle peinture, Galerie Le Rhinocéros, Paris 1974 Dolla, Is n a r d, Vi a l l a t, Galerie La Bertesca, Milan, Italie Nouvelle Peinture en France, Musée d Art et d Industrie, Saint-Étienne Musée d Art et d Histoire, Chambéry Ku n s t m u s e u m, Lu c e r n e, Suisse Galerie La Bertesca, Düsseldorf, Allemagne

expositions collectives 1973 Rencontres Internationales d Art Contemporain, La Rochelle Galerie La Fenêtre, Nice Sig n a l, Grasse Galerie AARP, Paris 1972 72 - douze ans d Art Contemporain en France, Grand Palais, Paris, com - missariat : François Mathey Jardin d Explositions, Saint-Paul-de-Vence Impact II, Musée d art moderne de Céret, Céret Occupation à l ENSEEIT, To u l o u s e Intervention au Québec 1971 Une semaine au présent, Ni c e Salon Grands et Jeunes d Aujourd hui, Grand Palais, Paris Supports-Su r f a c e s, Cité Universitaire, Paris Supports-Su r f a c e s, Théâtre de Nice, Nice 7ème Biennale de Paris, Pa r i s 1970 De l unité à la détérioration, Galerie Ben doute de tout, Nice Intervention 70, Galerie de la Salle, Saint-Paul-de-Vence Environ II, To u r s Max Charvolen, Noël Dolla, Céret Environ I, To u r s École Spéciale d Architecture, Paris SIGMA 5, Bo r d e a u x 1968 Nouvelles t e n d a n c e s d e l Ec o l e d e Nic e, m a r s 1968, 9, r u e d u Cd t-fa u r a x, 69 Ly o n (VIALLAT, STRAUCH, SAYTOUR, PIGNON, OLDENBOURG DOLLA, BIGA, ALOCCO) Un paese + l avanguardia, No va r r e, Ita l i e Oltre l avanguardia, An f o, Ita l i e Dossier 68, Nice, commissariat: Jacques Lepage Intervention A, Nice 1967 LA BOUTEILLE ET L ASSIETTE, à la Galerie Ben doute de tout 32, rue Tondut - ti-de-l Escarène (17 au 30 novembre 1967) (Dolla présente u n e bouteille s u s p e n d u e d e ses f o n c t i o n s) : ALOCCO, ANNIE, ARMAN, BEN, BIGA, BOZZI, BLAINE, LOURDES CASTRO, DIETMAN, DITTER ROT, DOLLA, EREBO, Ed. 912, FILLIOU, FREDRIKSON, HELENE, MAURICE HENRY, RAY JOHNSON, DE LESCOET, NESPOLO, SAYTOUR, SPACAGNA, SIMONETTI, A. TOMKINS, VIALLAT Ha l l d e s remises en q u e s t i on, Ga l e r i e Ben d o u t e d e t o u t, Ni c e, 14 décembre 1967 5 janvier 1968 (ALOCCO, SAYTOUR, DOLLA ) 1969 Intervention à Rome, Ita l i e

CATALOGUES Catalogues d expositions personnelles : VERHEGGEN, Je a n-pi e r r e, Dolla, Co l l e c t i o n Fiction, Ma c/va l, Vo t r y, 2009. ANTOINE, Él o d i e, BERNARD, Christian, DOLLA, No ë l, LAMY, Fr a n k, RUBINSTEIN, Ra p h a e l, Léger v e n t d e t r av e r s, Ma c/va l, Vi t ry, 2009. BERNARD, Christian, KIRILI, Al a i n, RÉOL, Je a n-ma r c, TIO BELLIDO, Ram o n, n o ë l dolla 1968-1990, Villa Ar s o n, Ni c e, Ga l e r i e Gill Fav r e, Ly o n, 1990. LEPAGE, Ja c q u e s, LAMARCHE-VADEL, Be r n a r d, No ë l Dolla, Ga l e r i e Sa p o n e, Ni c e, 1980. CHARPIGNY, Fl o r e n c e, No ë l Dolla Ar t Mé n a g e r - Mé n a g e z l a r t, Mu s é e de Bourgoin-Jallieu, Bourgoin-Jallieu, 2005. CHASSEY, Ér i c d e, OSTROW, Sa u l, Vir h e r o i c u s sublimis Fi n d u s /Le g r a n d Le u r r e, MAMAC, Ni c e, 1999. RUBENSTEIN, Ra p h a ë l, PACQUEMENT, Al f r e d, COHEN-LEVINAS, Da n i e l l e, Ci n q silences, Ho m è r e, Un l e u r r e, Un o u t i l pa r fa i t, Ce n t r e d'a r t contemporain de Vassivière, Vassivière, Le Quartier, Centre d'art contem - p o r a i n d e Qu im p e r, Qu im p e r, Villa St e i n b a c h a r t c o n t e m p o r a i n, Mu l h o u s e, Ma i s o n Le va n n e u r, Ce n t r e n at i o n a l d e l'e s ta m p e et d e l'a r t im p r im é, Ch at o u, 1998. HEGYI, Lorand, PERRET, Catherine, L abstraction humiliée, Museum Moder - ner Kunst Stiftung Ludwig Vienne, 1995. OSTROW, Sa u l, PERRET, Cat h e r i n e, No ë l Dolla Les Silences d e la f u m é e, CCC, To u r s, Villa Ar s o n, Ni c e, 1993. BOURRIAUD, Nicolas, Noël Dolla : Supports/Surfaces & Oeuvres récentes, Galerie Montaigne, Paris, 1991 Ca t a l o g u e s d e x p o s i t i on s c o l l e c t i v e s : SCARPETTA, Gu y, LES PUTES c i n ém a littérature a r t s p l a s t i q u e s, Sém i o s e Éditions, Pa r i s, 2009 ARDENNE, Pa u l, CHASSEY d e, Ér i c, LEYDIER, Ri c h a r d, La f o r c e d e l a r t, RMN, Pa r i s, 2007 Pittura 70, Pittura e astrazione analitica, Fondazione Zappettini, Chiavari, 2004 RUBENSTEIN, Raphaël, SCOTT, Sue, Co-conspirators : Artist and Collect o r, t h e c o l l e c t i o n o f Ja m e s Cottrell a n d Jo s e p h Lo v e t t, Mu s é e d'or l a n d o, Or l a n d o, 2004 BESACIER, Hubert, Les horizons du paysage, invitation au parcours, Maison d e la c u lt u r e d e Bo u r g e s, L'Office, Ec o l e n at i o n a l e s u p é r i e u r e d'a r t d e Di j o n, 2003

catalogues Trésors publics, 20 ans de créationdans les Frac, Flammarion, 2003 Au t o u r d e Su p p o r t s/s u r fa c e s, dessins et o b j e t s d e la c o l l e c t i o n d u Mu s é e d'a r t m o d e r n e d e St Et i e n n e Mé t r o p o l e, Mu s é e d e Va l e n c e, éditions Ar t h a, 2002 De singuliers débordements, Maison de la culture d'amiens, Galerie du Waz o o, Am i e n s, 2002 FRÉCHURET, Maurice, Les Années 70, CAPC, Bordeaux, 2002. Co l l e c t i o n 1989/1999 : Fr a c p r o v e n c e -a l p e s-c ô t e d'a z u r, édition 2000, Actes Sud, Frac Paca, 2000 MOZZICONACCI, Je a n-fr a n ç o i s, PEGLION, Ja c q u e l i n e, Ni c e Mo v e - m e n t s Co n t e m p o r a r y Fr e n c h Ar t, édition Ho n g Ko n g Mu s e u m o f Ar t, Ho n g Ko n g, 2000 SAUZEAU, An n e-ma r i e, CORA, Br u n o, Le s o g l i e della pittura, Fr a n c i a Italia 1968-1998, Danilo Montanari Editeur, Pérouse, 1999 PEGLION, Ja c q u e l i n e, Le Feu a u x Po u d r e s, Editions Ville d e Ni c e, Ni c e, 1999 CHASSEY de, Éric, Corps Social, Editions de L'Ensba, Paris, 1999 De coraz (i)on, Edition Tecla Sala, L'Hospitalet, 1999 L'art dégénéré, édition Al Dante/Caac, 1998, p. 118 HEGYI, Lo r a n d, A. Ba l z a c, S. Ta m a s, N. Dolla, N. Is t va n, Institut Fr a n ç a i s de Budapest, 1998 ABADIE, Da n i e l, CHASSEY d e, Ér i c, PIERRE, Ar n a u l d, SEMIN, Didier, Les années Supports/Surfaces dans les collectionsdu centre G. Pompidou, Gal e r i e Nat i o n a l e d u Jeu d e Pa u m e, Pa r i s, 1998, p. 24, p p. 80-89 HEGYI, Lorand, ABSTRAKT/REAL, Museum Moderner Kunst Stiftung Ludw ig, Vi e n n e, 1996, p p. 174 à 177 Le grand émerveillement pour le sud, Château de Villeneuve, FondationEmile Hu g u e s, Ve n c e, 1993 HEARTNEY, El e a n o r, An Am e r i c a n c o l l e c t i o n o f Co n t e m p o r a r y Fr e n c h Art, Selection from the James E. Cottrell Collection, New York, 1993 Supports/Surfaces, Museum of Art, Tel Aviv, 1992 Au sud : Groupe 70 et Supports/Surfaces, Art Transit, Marseille, 1992 Le bel â g e, Su p p o r t s Su r fa c e s, Éditions d u Ministère d e la Cu lt u r e, Pa r i s, 1991 Supports/Surfaces 1966-1974, Musée d'art moderne, Saint-Étienne, 1991 FOURNET, Cl a u d e, RESTANY, Pi e r r e, LIVINGSTONE, Ma r c o, HAHN, Otto, CABANNE, Pi e r r e, PINCUS-WITTEN, Ro b e r t, MILLET, Cat h e r i n e, LEPAGE, Jacques, MONTICELLI, Raphaël, BIGA, Daniel, Chroniques Niçoises. Genèse d'un musée, tome 1, MAMAC, Nice, 1991