POLITIQUE POUR UN ENVIRONNEMENT SANS DROGUE OU ALCOOL DANS NOS ÉCOLES ET AU CENTRE* (Révisée le 11 mai 2012)



Documents pareils
Ce que les parents devraient savoir

CODE DE VIE

Violence au travail Un organisme national

Présence policière dans les établissements d enseignement CADRE DE RÉFÉRENCE

Orientations. gouvernementales. en matière. d agression. sexuelle. Plan d action

Section 3. Utilisation des ressources informatiques et du réseau de télécommunication

Politique Institutionnelle. Politique de protection de l enfance. Direction Générale Fédérale 2007 PI 01

GT 008. Date : 18 août 2009 Modifiée : 22 octobre 2013

(CC )

Tes droits lorsque tu parles à la police

LES HABITATIONS NOUVEAU DÉPART pointe-gatineau Gatineau,Qc J8t2c8. Code de vie du «137»

Les victimes et auteur-e (s) de violences domestiques dans la procédure pénale

Section Responsabilités des exploitants d autobus scolaires et des conducteurs et conductrices d autobus Type Responsabilités.

MANUEL DES POLITIQUES, PROCÉDURES ET RÈGLEMENTS ADMINISTRATIFS

Recommandation CP(2014)17 sur la mise en œuvre de la Convention du Conseil de l Europe sur la lutte contre la traite des êtres humains par Saint-Marin

POLITIQUE EN MATIÈRE DE SURVEILLANCE VIDÉO (adoptée le 15 janvier 2010)

L obligation de déposer un rapport Guide à. l intention des employeurs, exploitants et infirmières

Chaque Jour, les enfants sont victimes d intimidation.

Politique de la Commission canadienne des droits de la personne sur le dépistage d alcool et de drogues

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6

Liste des documents à joindre à l avis. Liste des documents à conserver en tout temps. Renseignements généraux

Les infractions au. Code criminel PERMIS DE CONDUIRE

Table des matières. 1. Mesures législatives Loi sur la protection des personnes recevant des soins Généralités 3 Principaux éléments 3

le QuEbec POUR Enrichir Affirmer les valeurs communes de la société québécoise

Politique des stages. Direction des études

Politique Utilisation des actifs informationnels

UTILISATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION ET DES COMMUNICATIONS

Règles de bonne conduite applicables à toutes les villes désireuses d obtenir l organisation des Jeux Olympiques. Article 1 : CHAMP D APPLICATION

Nouveaux médias. Guide pour les écoles obligatoires. Utilisation des téléphones mobiles Le cyber-harcèlement

Dispositions pénales Loi du Bien-être et Code Code pénal social 1/5

Conditions générales de vente pour le SUMMER BREEZE Open Air

CERTIFICATS DE SÉCURITÉ Qu est-ce qu un certificat de sécurité?

Chapitre 5. Déontologie des représentants en assurance de dommages

Questionnaire du projet Innocence

Annule : Politique relative à l utilisation des technologies de l information de la Commission scolaire. 1. TITRE CONTEXTE...

ASSOCIATION DES COMPTABLES GÉNÉRAUX ACCRÉDITÉS DU CANADA. Norme de formation Professionnelle continue Version 1.1

RÈGLEMENT CO MODIFIANT LE RÈGLEMENT CO ÉTABLISSANT UN CODE DU LOGEMENT POUR LA VILLE DE LONGUEUIL

Guide pratique pour lutter contre le cyber-harcèlement entre élèves

Federation de Hockey Mineur Lakeshore RÈGLES, PROCÉDURES ET POLITIQUES

PROGRAMME DES PRESTATIONS D AIDE AU TRAVAIL INDÉPENDANT DE L ONTARIO (PATIO)

_Règlement Caritas Protection des enfants

Normes de formation au pré-déploiement pour la Police des Nations Unies

C est quoi l intimidation?

Code de vie St-Norbert

J ai droit, tu as droit, il/elle a droit

Droits de l enfant au parlement Aperçu de la session d automne 2014

RÈGLEMENT RELATIF À L'UTILISATION DES TECHNOLOGIES DE L INFORMATION

Feuillet récapitulatif Gestion des causes de niveau intermédiaire : droit criminal

CHAPITRE V III: LES RESSOURCES MATÉRIELLES

Pour pouvoir fréquenter le restaurant scolaire, l inscription préalable est obligatoire.

Un seul droit de la famille pour toutes les femmes.

Code à l intention des partenaires commerciaux

CONTRAT DE CESSION DE BREVET TABLE DES MATIÈRES

Sondage sur le climat. scolaire. Guide d utilisation à l attention des administratrices et des administrateurs

Formulaire de demande de renouvellement au Tableau des membres

Avant-projet de loi. Loi modifiant le Code civil et d autres dispositions législatives en matière d adoption et d autorité parentale

GUIDE À L INTENTION DES PARENTS DONT L ENFANT A ÉTÉ VICTIME D UN ACTE CRIMINEL

OCRCVM Règles des courtiers membres Règle 2800 (auparavant le Principe directeur n o 5 de l ACCOVAM)

Loi modifiant la Loi sur l assurance automobile

COMMISSION DE L ÉQUITÉ SALARIALE

Lycéens... page 2 Devoirs des lycéens... page 2 Droit des lycéens... page 7

POLITIQUES EN MATIÈRE DE GARDE D ENFANTS

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience

Mémento. A l usage des parents et de leurs enfants

AVERTISSEMENT. Cette codification intègre les modifications apportées au règlement VS-R

Consultez-nous. Traiter votre plainte par la résolution locale

CHARTE ETHIQUE GROUPE HEURTEY PETROCHEM

Loi modifiant la Loi sur l Autorité des marchés financiers et d autres dispositions législatives

POLITIQUE INTERCULTURELLE

DEMANDE DE COMMENTAIRES

Certification des ressources d hébergement en toxicomanie ou en jeu pathologique

N DE DOSSIER : N De Dossier Admission Post Bac : Rentrée Nom... Prénoms...

RESPONSABILITE DU DIRIGEANT EN DROIT DU TRAVAIL

a c e a c e f Un compte de banque, c est un droit! association coopérative d économie familiale des Basses-Laurentides

Guide d organisation d entretiens semi-dirigés avec des informateurs clés

UV DIRECT MODALITÉS DU COMPTE

STATISTIQUES POLICIERES DE CRIMINALITE LIEU DE PERPETRATION: COMMUNE. Herstappe Police Fédérale - DGR/DRI

RÈGLEMENT N O 1. ASSOCIATION DU SOCCER MINEUR DE VERDUN 1976 LTÉE (Club de soccer Verdun) (RÈGLEMENTS GÉNÉRAUX)

CONSIDÉRANT qu un avis de présentation de ce règlement a été donné lors de la séance ordinaire du Conseil de Ville, tenue le 17 mai 1999;

SECTION VI OUTILS DE GESTION DU RENDEMENT POUR DES FAMILLES D EMPLOIS COMMUNES POUR LES COMPÉTENCES COMPORTEMENTALES

Notice sur les allégements dans l exécution des peines et mesures

FAIRE UN SIGNALEMENT AU DPJ, C EST DÉJÀ PROTÉGER UN ENFANT. Quand et comment signaler?

A/RES/55/25 II. Protection des victimes de la traite des personnes

La fraude par complaisance et la justice alternative chez les mineurs

Du 1 er juillet 2014 au 30 juin 2015

GROUPE DE RÉDACTION SUR LES DROITS DE L HOMME ET LES ENTREPRISES (CDDH-CORP)

POLITIQUE N o : P AJ-005 POLITIQUE SUR LA PROTECTION DES INFORMATIONS CONFIDENTIELLES

jç- L iis :2! 3 i23 Q Autorisation de financement à obtenir et source de financement proposée: çj Ville de FICHE DE PRISE DE DÉCISION

Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL

Cinzia Grassi, Loredana Ceccacci, Anna Elisa D Agostino Observatoire pour le contraste de la pédophilie et de la pornographie enfantine

Politique de sécurité de l information

HARCÈLEMENT CRIMINEL. Poursuivre quelqu un, ce n est pas l aimer!

Demande de permis Candidats du cheminement CPA, CA

CONTENU DU CAHIER DE GESTION

Nouvelle demande de permis d agent ou de courtier d assurances I.A.R.D.

DU COMMERCE DES VALEURS MOBILIÈRES

90 AV SHEPPARD E 90 SHEPPARD AVE E BUREAU 200 SUITE 200

I. - LES FAITS NÉCESSITANT LA MISE EN ŒUVRE DE LA PROCÉDURE SPÉCIFIQUE D URGENCE A.

SERVICE APPARTEMENTS THÉRAPEUTIQUES. Livret d Accueil - 1 -

RÈGLEMENT # 302 Règlement concernant les alarmes applicable par la Sûreté du Québec

Transcription:

POLITIQUE POUR UN ENVIRONNEMENT SANS DROGUE OU ALCOOL DANS NOS ÉCOLES ET AU CENTRE* (Révisée le 11 mai 2012) 1. Énoncé de mission La Commission scolaire Central Québec, de par sa devise «Continuons à apprendre», reconnaît qu il est de sa responsabilité de fournir à tous ses élèves un environnement qui favorise l apprentissage. Cela n est possible que si le climat des écoles et du centre est sécuritaire et sans danger. La consommation de drogues et d alcool empêche l apprentissage et limite et entrave notre mission première en tant qu éducateurs. La Commission scolaire croit qu il est dans le meilleur intérêt des écoles et du centre, des élèves et de la communauté de promouvoir, d encourager et d appuyer un système scolaire exempt de drogues et d alcool et qu elle a, de concert avec les parents et divers organismes communautaires, un rôle très important à jouer pour prévenir la consommation de drogues et d alcool chez ses élèves. La Commission scolaire Central Québec ne tolère, en aucune façon, forme ou moyen, la consommation ou la vente de stupéfiants et d alcool parmi les élèves dont elle a la responsabilité. 2. Principes directeurs Selon l article 76 (1) et l article 110.2 (2) de la Loi sur l instruction publique, toutes les écoles et le centre doivent adopter et appliquer des règles de conduite internes en conformité avec la politique de la Commission scolaire. Les règles de conduite internes seront communiquées à tous les élèves de moins de 18 ans, à leurs parents et au personnel. Tout élève, jeune ou adulte, qui enfreint ces règlements sera passible de sanctions selon les règles de conduite de l école ou du centre. On peut également exiger que l élève demande de l aide. La Commission scolaire exige que les écoles et le centre incorporent des projets de prévention à leur programme éducatif; elle leur fournira du soutien et du matériel à cet effet. Dans tous les cas, les membres du personnel de l école ou du centre doivent traiter l élève de façon respectueuse. Pour l éducation des adultes et la formation professionnelle, l article 110.2 de la Loi sur l instruction publique donne au conseil d établissement le pouvoir d approuver les règles de fonctionnement qui sont appliquées par la direction du centre. La Loi sur l instruction publique stipule, en vertu de l article 242 (3), que, dans des cas extrêmes, la commission scolaire peut, «pour une cause juste et suffisante», expulser un élève de ses écoles.

*Les définitions se trouvent à la partie 6. 3. Interventions préventives, interventions et élèves recherchant de l aide : 3.1 Des séances régulières d information et de sensibilisation sur la consommation ou l abus de drogues illégales, de médicaments d ordonnance et d alcool ainsi que l intégration de celles-ci dans le cadre du Programme de formation de l école québécoise (PFEQ) doivent faire partie des pratiques courantes des établissements scolaires. 3.2 Les programmes de sensibilisation doivent porter sur une meilleure compréhension des élèves en matière d abus d alcool et d autres substances et des répercussions de ces abus à court et à long terme. Les parents peuvent également être invités à assister à ces séances. 3.3 Il est essentiel de mettre en place un réseau de personnes-ressources pour rechercher, déceler et aider les élèves qui sont personnellement aux prises avec un problème de consommation ou d abus d alcool ou de drogues ou qui sont en contact avec des gens qui le sont. Ce processus nécessite la participation de tous les partenaires en éducation pour que les élèves puissent trouver l aide nécessaire. 3.4 Un partenariat avec des organismes qui peuvent apporter le soutien nécessaire aux membres de notre communauté scolaire doit être établi afin de permettre à celles et ceux qui en ont besoin de vaincre leur dépendance à l alcool ou aux drogues. 3.5 On doit répondre individuellement et avec respect aux élèves qui désirent obtenir des renseignements ou des conseils sur l abus de drogues, d alcool et de stupéfiants. Le personnel doit prendre en considération la raison de la demande d information ou de traitement. Les membres du personnel doivent aider les élèves dans leur recherche d aide. 3.6 Il est important que le personnel puisse faire la distinction entre les élèves qui recherchent de l aide et ceux qui enfreignent la loi. Il est également nécessaire que le personnel respecte le droit de l élève à la confidentialité s il désire obtenir de l aide médicale ou des conseils. Si l élève a moins de 14 ans et que son abus de drogues ou d alcool compromet sa sécurité, on doit en informer le Directeur de la protection de la jeunesse. 4. Actions à prendre par l école ou le centre en cas d infraction : 4.1. Fouilles, perquisitions et saisies : 4.1.1 Selon le règlement de 1998 de la Cour suprême du Canada concernant les fouilles, perquisitions et saisies dans les écoles et les centres, la direction d une école ou d un centre a le droit de fouiller un élève si elle a des motifs raisonnables de croire que l élève est en possession de drogues, d accessoires facilitant la consommation de drogues ou d alcool, c est-à-dire si elle croit

qu il peut y avoir infraction aux règles de conduite de l école ou du centre et que ces fouilles, perquisitions et saisies peuvent en établir la preuve. 4.1.2 Les membres du personnel doivent informer la direction lorsqu ils s aperçoivent que des élèves consomment de la drogue ou de l alcool, qu ils en font la vente ou qu ils en ont en leur possession. 4.1.3 Avant de fouiller un élève, la direction de l école ou du centre doit : informer l élève des droits et responsabilités du personnel de l école quant au maintien d un environnement scolaire sécuritaire et sans danger; informer l élève de la raison de la fouille et du matériel recherché et lui demander de remettre le matériel en question. 4.1.4 La direction de l école ou du centre a le droit de vérifier les vêtements d un élève, ses effets personnels, son casier et de fouiller sa personne afin d établir la preuve qui lui permettra de prendre les mesures disciplinaires ou judiciaires appropriées. Le tout doit se faire en présence d un autre membre du personnel, qui agira à titre de témoin. 4.1.5 Les fouilles devraient être effectuées avec délicatesse et tenir compte de l âge et du sexe de l élève. Il est fortement recommandé que la fouille soit effectuée par une personne du même sexe que l élève. 4.2 Intervention policière : 4.2.1 La personne qui assure la direction de l école ou du centre doit détenir l élève ou les élèves, sans pour autant compromettre la sécurité de ces derniers ou la sienne, et confisquer les drogues ou l alcool. 4.2.2 Les forces policières sont prévenues et informées du nom de l élève, et les articles confisqués leur sont remis. 4.2.3 Les parents ou les tuteurs légaux (peu importe l âge de l élève du secteur des jeunes) sont prévenus de l incident. 4.2.4 Dans l éventualité où un élève est placé en état d arrestation, la direction doit informer les parents immédiatement du fait que l élève n est plus sous la supervision de l école. 4.2.5 Des sanctions à l interne seront déterminées. 4.2.6 La direction de l école ou du centre devra compléter la fiche d observation présentée à l annexe 1 et la faire parvenir à la direction générale. 5. Actions de la Commission scolaire lors d une recommandation d expulsion : 5.1 Dans l éventualité où la direction de l école recommande l expulsion de l école ou de la Commission scolaire, la direction générale devra étudier la recommandation. Si la direction générale est d avis que la recommandation est fondée, un comité sera

mis en place, formé d un membre de la direction de l école concernée, d un membre de l administration de la Commission scolaire, d un membre du personnel professionnel et d un commissaire. Ce comité sera chargé d étudier le cas sans délai. 5.2 Le comité offrira à l élève et à ses parents l occasion d être entendus. 5.3 Lorsque le comité recommande l expulsion de l école, la direction générale sera informée de la recommandation et prendra la décision qui s impose. 5.4 Lorsque le comité recommande l expulsion de tous les établissements scolaires de la Commission scolaire, la direction générale sera informée de la recommandation et le dossier sera présenté aux membres du Conseil des commissaires pour que ces derniers puissent prendre la décision qui s impose. 5.5 L élève ou ses parents peuvent demander au Conseil des commissaires de reconsidérer la décision finale d expulsion. Pour ce faire, ils devront suivre la procédure décrite dans le Règlement sur la procédure d examen des plaintes. (5) 5.6 L élève et ses parents, la direction de l école et le Directeur de la protection de la jeunesse, au besoin, seront informés de la décision. 6. Définitions : Dans la cadre de la présente politique, à moins d indications contraires : 6.1 Environnement de l école ou du centre signifie l immeuble et les biens, les programmes et les activités parascolaires, les services de transport scolaire et toute installation de l école ou du centre approuvée par la Commission scolaire ou dont elle a la responsabilité. 6.2 Direction de l école ou du centre représente la personne qui assure la direction de l école ou du centre ou une personne désignée par la direction. 6.3 Parent signifie le parent ou la personne agissant à titre de tuteur légal de l élève. 6.4 Drogues ou stupéfiants signifient : tous les stupéfiants énumérés dans la Loi réglementant certaines drogues et autres substances; tous les médicaments contrôlés et les drogues à usage restreint énumérés dans le Règlement sur les aliments et drogues. 6.5 Alcool signifie toutes les substances définies comme alcool ou spiritueux dans la Loi sur les permis d alcool. 6.6 Accessoires facilitant la consommation de drogues signifient tout instrument ou objet pouvant être utilisé pour faciliter la consommation de drogues.

7. Catégories d infractions en matière de drogues : 7.1 Facultés affaiblies : Dans le cas où le comportement ou l apparence de l élève laissent croire qu il est sous l influence d une drogue illicite, mais que l on ne peut prouver qu il en a en sa possession. 7.2 Possession : Un élève qui est en possession d une quantité de substance illicite quelconque. Cette définition s applique également aux semblants de drogues ou aux accessoires facilitant la consommation de drogues. 7.3 Trafic : Possession d une substance illicite dans le but d en faire la vente. Cette définition, tout comme la définition précédente, peut aussi s appliquer aux semblants de drogues ou accessoires facilitant la consommation de drogues.

1. Article 76, Loi sur l instruction publique RÉFÉRENCES Le conseil d établissement approuve les règles de conduite et les mesures de sécurité proposées par la direction de l école. Ces règles et mesures peuvent prévoir les sanctions disciplinaires applicables, autres que l expulsion de l école et des punitions corporelles; elles sont transmises à chaque élève de l école et à ses parents. 2. Article 110.2, ibid. (éducation des adultes et formation professionnelle) Le conseil d établissement a aussi pour fonctions d approuver les propositions de la direction sur les sujets suivants : les modalités d application du régime pédagogique; la mise en œuvre des programmes d études; la mise en œuvre des programmes de services complémentaires et d éducation populaire visés par le régime pédagogique et déterminés par la commission scolaire ou prévus dans une entente conclue par cette dernière; les règles de fonctionnement du centre. 3. Article 242 Loi sur l instruction publique, L.R.Q. La commission scolaire peut, à la demande d'un directeur d'école, pour une cause juste et suffisante et après avoir donné à l'élève et à ses parents l'occasion d'être entendus, inscrire un élève dans une autre école ou l'expulser des ses écoles; dans ce dernier cas, elle le signale au directeur de la protection de la jeunesse. 4. Cadre de référence : Présence policière dans l établissement d enseignement, 2010, p. 28 5. Commission scolaire Central Québec, Règlement sur la procédure d examen des plaintes à l intention des élèves et des parents.

FICHE D OBSERVATION (DIRECTION DE L ÉTABLISSEMENT SCOLAIRE) ÉTABLISSEMENT SCOLAIRE : DATE : HEURE : LIEU DE L ÉVÉNEMENT : ÉLÈVE IMPLIQUÉ : NOM : CLASSE : ÉVÉNEMENT RELEVÉ : DROGUE/ALCOOL possession consommation vente substance confisquée Oui Non refus de l élève ARME possession objet confisqué Oui Non vente refus de l élève VOL VOIES DE FAIT INTIMIDATION & MENACES (TAXAGE) MENACES DE VIOLENCE HARCÈLEMENT SEXUEL* AGRESSION SEXUELLE VANDALISME NOTES EXPLICATIVES : TÉMOINS PRÉSENTS LORS DE L ÉVÉNEMENT : NOM PRÉNOM CLASSE OU FONCTION ÉLÈVE PERSONNEL DE L ÉCOLE AUTRE COMMENTAIRES : PARENTS INFORMÉS Oui Non N ont pu être joints TÉLÉPHONE : DATE : HEURE : *Voir la politique pour contrer toute forme de harcèlement

RENCONTRE AVEC L ÉLÈVE PRÉSENT À LA RENCONTRE : NOM : FONCTION : FAITS RELEVÉS : À LA SUITE DE LA RENCONTRE, LES FAITS ONT ÉTÉ RECONNUS PAR L ÉLÈVE OUI NON COMMENTAIRES DE LA DIRECTION : DÉCISION DE LA DIRECTION MESURES (ÉDUCATIVES, DISCIPLINAIRES OU JUDICIAIRES) : INTERVENTION POLICIÈRE DEMANDÉE : NOM DE LA POLICIÈRE OU DU POLICIER QUI A REÇU LA DEMANDE : DATE : HEURE : AUCUNE MESURE ENTREPRISE COMMENTAIRES : AUTRES : FICHE REMPLIE PAR: SIGNATURE FONCTION DATE : À DÉTRUIRE SI LES FAITS SONT SANS FONDEMENT. La fiche d observation sert de formulaire général à être utilisé lors de toute intervention policière à l école. NOTA : Cette fiche peut être modifiée et reproduite.