Les publications en question seront proposées mais les étudiants concernés peuvent en choisir d autres de rechange après mon accord.

Documents pareils
Les publications en question seront proposées mais les étudiants concernés peuvent en choisir d autres de rechange après mon accord.

CALENDRIER DES FORMATIONS

CATALOGUE DE FORMATIONS

Viser une démarche de recherche organisée

Quatre axes au service de la performance et des mutations Four lines serve the performance and changes

1 er SEMESTRE 2012 CALENDRIER DES FORMATIONS

Editing and managing Systems engineering processes at Snecma

Codes attribués par l'abes pour identifier les bouquets en vue de l'exemplarisation automatique

Mise en place d un système de cabotage maritime au sud ouest de l Ocean Indien. 10 Septembre 2012

L hypertexte, le multimédia, c est quoi?

L animation de la performance d une Supply Chain

SHAREPOINT PORTAL SERVER 2013

Instructions Mozilla Thunderbird Page 1

Quick Start Guide This guide is intended to get you started with Rational ClearCase or Rational ClearCase MultiSite.

Le MDM (Master Data Management) Pierre angulaire d'une bonne stratégie de management de l'information

Application Form/ Formulaire de demande

La solution idéale de personnalisation interactive sur internet

Ingénierie et gestion des connaissances

HEC LAUSANNE. CONTROLE STRATEGIQUE Professeur Daniel Oyon (6 crédits ECTS)

6085, rue Corbeil MULTIHEXA TROIS-RIVIÈRES

Deadline(s): Assignment: in week 8 of block C Exam: in week 7 (oral exam) and in the exam week (written exam) of block D

CEPF FINAL PROJECT COMPLETION REPORT

Township of Russell: Recreation Master Plan Canton de Russell: Plan directeur de loisirs

Formulaire d inscription (form also available in English) Mission commerciale en Floride. Coordonnées

ESC Programme CORE COURSES (Master level) 2011/2012

CURRICULUM VITAE. Informations Personnelles

Anne-Sophie FERNANDEZ

Les Grandes Tendances d Investissement Informatique en 2011/ Rachel Hunt

POSITION DESCRIPTION DESCRIPTION DE TRAVAIL

Défis de l interdisciplinarité. Professeur Roderick J. Lawrence Université de Genève

Integrated Music Education: Challenges for Teaching and Teacher Training Presentation of a Book Project

Service management. Transforming the IT organization and driving it across the enterprise. Carlo Purassanta. Integrated Technology Services Executive

Tier 1 / Tier 2 relations: Are the roles changing?

Chercheur au centre de recherche CEDAG EA 1516, Université Paris Descartes

Enhancing cybersecurity in LDCs thru multi-stakeholder networking and free software

Programming Server-Side Web Applications with Object-Oriented PHP NC Group Syllabus. Duration: 75 hours 1-2-2

Lamia Oukid, Ounas Asfari, Fadila Bentayeb, Nadjia Benblidia, Omar Boussaid. 14 Juin 2013

Institut d Acclimatation et de Management interculturels Institute of Intercultural Management and Acclimatisation

SOS! Parent Teens Acculturation Conflict in Immigrant Families

RÉSUMÉ DE THÈSE. L implantation des systèmes d'information (SI) organisationnels demeure une tâche difficile

Course List for Exchange Students PGE Program

Forthcoming Database

Public and European Business Law - Droit public et européen des affaires. Master I Law Level

REVITALIZING THE RAILWAYS IN AFRICA

MANUEL MARKETING ET SURVIE PDF

Optimiser votre reporting sans déployer BW

Proposition de méthode d implémentation d ITIL

Get Instant Access to ebook Cest Maintenant PDF at Our Huge Library CEST MAINTENANT PDF. ==> Download: CEST MAINTENANT PDF

Forum AMOA ADN Ouest. Présentation du BABOK. 31 Mars 2013 Nadia Nadah

De nouveaux modèles de GRH?

Gestion des prestations Volontaire

Comprendre l impact de l utilisation des réseaux sociaux en entreprise SYNTHESE DES RESULTATS : EUROPE ET FRANCE

KPI. 4 avril 2007 Montréal AGENDA. Les buzz-word. La gestion de la performance. Exemples en TI. Méthodologie et problématiques

Soumission des articles pour l ICOFOM Study Series

Plan de cours ADM 992C Page 1. École des sciences de la gestion Département de management et technologie Université du Québec à Montréal

CEST POUR MIEUX PLACER MES PDF

REMOTE DATA ACQUISITION OF EMBEDDED SYSTEMS USING INTERNET TECHNOLOGIES: A ROLE-BASED GENERIC SYSTEM SPECIFICATION

Préconisations pour une gouvernance efficace de la Manche. Pathways for effective governance of the English Channel

Projet de réorganisation des activités de T-Systems France

physicien diplômé EPFZ originaire de France présentée acceptée sur proposition Thèse no. 7178

setting the scene: 11dec 14 perspectives on global data and computing e-infrastructure challenges mark asch MENESR/DGRI/SSRI - France

Gouvernance IT : par où commencer? Hubert Lalanne DE, Chief Architect for Industries IBM Software France

Agile&:&de&quoi&s agit0il&?&

Syllabus Dossiers d études

Maquette du MA en sciences économiques Finalité : Management science ECON4E et ECON5E

Formations Techniques : Infrastructures Janvier - Mars 2009

IODE Consulting I Intelligence on Demand Slide 1

How to Login to Career Page

ICA Congress, Brisbane 2012 Thème général : Les temps qui changent. La confiance et les archives*

SEMINAIRE SAS VISUAL ANALYTICS LAUSANNE, MARCH 18 : JÉRÔME BERTHIER VALERIE AMEEL

Les marchés Security La méthode The markets The approach

PLM 2.0 : Mise à niveau et introduction à l'offre version 6 de Dassault systèmes

Prof. PhD Mathias J. Rossi

iqtool - Outil e-learning innovateur pour enseigner la Gestion de Qualité au niveau BAC+2

Institut français des sciences et technologies des transports, de l aménagement

Frank LASCK. Courriel : f.lasch@montpellier-bs.com Fonction : Professeur. Biographie

Women s State of the Media Democracy 2012 L observatoire international des usages et interactions des médias

SMALL CITY COMMERCE (EL PEQUEÑO COMERCIO DE LAS PEQUEÑAS CIUDADES)

Celine BARREDY, PhD Associate Professor of Management Sciences

GLOSSAIRE PSYCHOLOGICAL AND BEHAVIORAL BARRIER

The impacts of m-payment on financial services Novembre 2011

Bienvenue. au Pôle. de l ENSAMl

THÈSE. présentée à TÉLÉCOM PARISTECH. pour obtenir le grade de. DOCTEUR de TÉLÉCOM PARISTECH. Mention Informatique et Réseaux. par.

SÉMINAIRES RÉGIONAUX 2012

EN UNE PAGE PLAN STRATÉGIQUE

Le rôle de la DSI avec l audit Interne pour la maîtrise des risques

UNILINK ENTERPRISE PARTNERSHIP SCHEME IN TUNISIA

Grégoire de Lassence. Copyright 2006, SAS Institute Inc. All rights reserved.

Guide d'installation rapide TFM-560X YO.13

Architecture client riche Evolution ou révolution? Thomas Coustenoble IBM Lotus Market Manager

AVOB sélectionné par Ovum

Scénarios économiques en assurance

Power BI 365. #SPSParis E05 Isabelle Van Campenhoudt Jean-Pierre Riehl 30 Mai 2015 / May 30 th, 2015

Thèmes de recherche. Projets en cours

Présentation par François Keller Fondateur et président de l Institut suisse de brainworking et M. Enga Luye, CEO Belair Biotech

BNP Paribas Personal Finance

Le nouveau visage de la Dataviz dans MicroStrategy 10

Must Today s Risk Be Tomorrow s Disaster? The Use of Knowledge in Disaster Risk Reduction

Formation continue BNF // Programme des cours 2015

SIO Stratégies d affaires électroniques. Section à distance via Internet (Z1) Syllabus du cours. Hiver 2006

Transcription:

Mastère de recherche Sciences et Techniques de l Informatique de Décision (2015-2016) Parcours IGC Systèmes d information avancés Enseignant: Mohamed Louadi (mlouadi@louadi.com) Comme en M1, le contrôle continu de ce cours se fait sous forme de présentations (et non d exposés) à faire en classe. Ces présentations se feront autour de publications scientifiques centrées autour des concepts centraux du cours. En fait, ce cours porte sur les systèmes d information, la business intelligence, l intelligence économique, les réseaux sociaux, la veille et les TIC. Il introduit plus spécialement la recherche dans le domaine des systèmes d information en général. A chaque séance, des étudiants ou groupes d étudiants (dépendant du nombre) présenteront une publication selon le planning arrêté en fonction du nombre de semaines et d étudiants inscrits. L ordre des étudiants (ou groups d étudiants) sera tel que déterminé par celui de la liste affichée sur le site www.louadi.com dans l espace réservé à ce cours. Les publications en question seront proposées mais les étudiants concernés peuvent en choisir d autres de rechange après mon accord. Il m arrivera également de communiquer avec les étudiants via des réseaux sociaux, essentiellement Facebook. I. Les articles (Voir le site, www.louadi.com) II. Le planning des présentations (à venir) III. Les biens livrables Au début de chaque séance, les étudiants programmés ce jour-là devront me remettre deux pages tapées et sur CD résumant la publication, sachant que: 1. Un CD qui ne peut pas être lu ou qui est vierge est noté en conséquence, aucun remplacement ne sera accepté ultérieurement. Les étudiants sont donc encouragés à vérifier le contenu de leur CD avant de me le remettre. 2. S ils sont remis dans un intercalaire, le CD et le rapport devront se conformer au format de remise tel qu illustré cicontre. 3. Ce rapport et le CD devront être sur mon bureau au début de la séance quelque soit l ordre dans lequel les présentations seront faites ce jour là. 4. Aucun plagiat (voir définition ci-dessous) ne sera toléré. La note du plagiat est 0,99 en guise de note de contrôle continu. Les références, s il y a lieu, devront être écrites dans les règles de l art (voir ci-dessous). Les étudiants (ou groupes) coupables de plagiat sont pénalisés sur la base de preuves tangibles et leur traitement est donc sans appel. a. Les citations et les références sont faites dans un souci d'honnêteté intellectuelle et ne diminuent d'aucune façon la valeur du document dans lequel elles sont appliquées. Par contre, utiliser une référence et ne pas l'identifier explicitement relève du plagiat. 1 sur 10

b. Le plagiat est punissable par la loi tunisienne (décret n 2008-2422 du 23 juin 2008, JORT n 52 du 27 juin 2008, pages 1956-1959). c. Le plagiat est le résultat de l acte de plagier. PLAGIER, c'est voler les mots (parlés ou écrits), les idées, les théories, les faits (qui ne sont pas considérés comme des connaissances générales), les statistiques, les œuvres d'art, etc. d'une autre personne en les faisant passer pour les vôtres. La traduction partielle ou totale des textes d'autrui constitue une forme de plagiat si la source n'est pas indiquée. d. L usage des citations directes (texte repris intégralement et mis entre guillemets) est totalement exclu. e. Les citations et les références sont faites dans un souci d'honnêteté intellectuelle et ne diminuent d'aucune façon la valeur du document dans lequel elles sont appliquées. Par contre, utiliser une référence et ne pas l'identifier explicitement relève du plagiat. 5. Les présentations seront faites oralement, c est-à-dire sans lecture de feuillet et sans parcœurisme. 6. Une présentation ratée ne sera pas reprogrammée. Ne m en parlez donc même pas. 7. Les présentations seront faites utilisant obligatoirement un logiciel de présentation (PowerPoint, Prezi, Pow Toon, emaze, ou équivalent). 8. La police (taille des caractères utilisés dans le texte tapé) à utiliser est de 11 points au maximum. 9. Le CD devra contenir le document remis sur papier ainsi que les références électroniques (copies des pages Web) utilisées, s il y a lieu. 10. Les fautes d orthographe, de formatage des documents, etc. sont à éviter très sérieusement. Les étudiants sont très fortement encouragés à procéder à une correction d orthographe et de grammaire à l aide de leur logiciel de traitement de texte!!! Faites attention aux noms propres, aux anglicismes (ex : en français on dit Etats-Unis et non USA), aux dates (les noms de mois ne prennent pas de majuscule s ils ne sont pas en début de phrase), aux monnaies étrangères (éviter de parler de «billions» et lui préférer «milliards»), aux mauvaises traductions, à l usage des majuscules, etc. Evitez tout particulièrement les erreurs suivantes : a) «prés» plutôt que «près», b) «dés» plutôt que «dès», c) «il y a» ou «il ya» plutôt que «il y a», d) «crée» plutôt que «créé» ou «créée», e) «malgré que» plutôt que «bien que», f) «tache» plutôt «tâche», g) «la plus part» plutôt que «la plupart», h) «sucés» ou «succés» plutôt que «succès», i) «les argents», «les personnels», j) «le hardware» plutôt que «le matériel» et «le software» plutôt que «le logiciel», k) «comme même» plutôt que «quand même», l) «vatêtre» au lieu de «va être», m) «en plus que» au lieu de «en plus de», n) «plus pire» au lieu de «bien pire», «plus mieux» au lieu de «bien mieux», o) l usage de «on» à la place du pronom «nous», p) «se communiquer» plutôt que «communiquer» q) etc. JE M ATTENDS A CE QUE CHAQUE ETUDIANT FORMULE DANS SON RAPPORT UNE PROBLEMATIQUE OU UNE QUESTION DE RECHERCHE QUE SES LECTURES DE LA SEMAINE LUI/LEUR ONT INSPIRE. 2 sur 10

IV. La manière de citer et de référencer Avant tout considérez de vous inspirer du style de référencement utilisé dans la publication. Sinon, aidez-vous des recommandations suivantes : 1. Les citations dans le texte: Les citations dans le texte sont obligatoires et doivent éclairer le lecteur sur l'origine d'une affirmation. Par exemple, l'affirmation suivante est imputée à un auteur dont le nom est Flanagan et dont la source est une œuvre publiée en 1935 (la référence complète devra figurer dans une section intitulée Références à mettre à la fin du document): [ ] la personnalité est un exemple de concept multidimensionnel qui incorpore des traits de personnalité divers tels que l autosuffisance, l introversion et la tendance à la domination (Flanagan, 1935). Dans certains cas, il y a plusieurs auteurs à citer. Le format est comme suit: Plusieurs autres chercheurs en systèmes d information se sont inquiétés de la situation qui semble prévaloir dans le domaine de la recherche et surtout dans le courant du développement des mesures (Goodhue, 1988; Hamel, 1988; Kim, 1989; Klenke, 1992; Melone, 1990). Dans ce cas, vous noterez que les noms d'auteurs sont fournis dans l'ordre alphabétique. D'autres préfèrent que les citations soient faites dans l'ordre chronologique: Plusieurs autres chercheurs en systèmes d information se sont inquiétés de la situation qui semble prévaloir dans le domaine de la recherche et surtout dans le courant du développement des mesures (Goodhue, 1988; Hamel, 1988; Kim, 1989; Melone, 1990; Klenke, 1992). Dans le cas où le même auteur est cité pour plusieurs publications: Plusieurs autres chercheurs en systèmes d information se sont inquiétés de la situation qui semble prévaloir dans le domaine de la recherche et surtout dans le courant du développement des mesures (Goodhue, 1988a, 1988b, 1990). 2. La liste des références: La liste des références est à distinguer de la bibliographie. Une bibliographie liste les documents supports consultés et non cités dans le texte. La liste des références énumère les travaux consultés et utilisés dans le texte de l'article ou le document écrit. Seule la liste des références doit figurer à la fin du document. Les références doivent être classées par ordre alphabétique de leur nom et non pas de leur prénom. Pour des besoins de lisibilité, une ligne doit séparer une référence de la suivante. Pour un livre: Andrews, K. (1980). The concept of corporate strategy. Homewood, Illinois: Irwin. Pour une publication dans une revue scientifique: Blau, P. (1970). A formal theory of differentiation in organizations. American Sociological Review, Vol. 35, No. 1, pp. 201-218. Pour un article publié dans un recueil ou un livre: 3 sur 10

Hedberg, B. (1981). How organizations learn and unlearn. In P. Nystron & W. Starbuck (Eds.), Handbook of organizational design (pp. 3-27). Oxford, England: Oxford University Press. Pour un article publié dans une revue scientifique à deux auteurs: Lippman, S., & Rumelt, R. (1982). Uncertain imitability: An analysis of interfirm differences in efficiency under competition. Bell Journal of Economics, Vol. 13, No.2, pp. 418-438. Pour un article publié dans une revue scientifique à plusieurs auteurs: Inkson, J., Pugh, D., & Hickson, D. (1970). Organization, context, and structure: An abbreviated replication. Administrative Science Quarterly, Vol. 15, No. 2, pp. 318-329. 3. Les citations du Web: Les citations des sites Web de l Internet doivent comporter l adresse de ladite page Web (et non pas l adresse du document sauvegardé sur disque). Dans les cas où des pages Web sont utilisées, je m attends à en trouver une copie sur la disquette ou le CD que vous me remettrez en plus de leur mention dans le document en papier qui me sera remis. Des points en moins sont prévus pour tout manquement à cette exigence. De plus, un site ou une page web dont ni le titre ni l auteur ne sont connus n est pas une reference valable. Exemple d une reference Web correcte: Willingham, D. B. (1995). The Death of Memory. PSYCHE, Vol.2, http://www.psyche.edu /psyche-willingham.html, consulté le 5 novembre 2004. Une «référence» de la forme suivante est donc totalement incorrecte: http://... ou www.. V. Supports de cours: 1. Les diapos, dont l URL sera proposée sur le site www.louadi.com dans l espace consacré à ce cours. Une copie sera également fournie au coordinateur du cours sous la forme de CD. 2. APA (1993). Publication Manual of the American Psychological Association, 3 ème édition, (disponible à la bibliothèque de l ISG sous le code 150A74P). Voir aussi le document www.uottawa.ca/plagiat.pdf, consulté le 30 septembre 2001. VI. Références bibliographiques additionnelles 1. Ballard, C., White, C., McDonald, S., Myllymaki, J., McDowell,S. et Goerlich, O. (2005). Annie NerodIBM (2005). Business Performance Management... Meets Business Intelligence, Information Management Software, IBM, http://asaha.com/ebook/zmdgymje3/business- Performance-Management-.-.-.-Meets-Business-Intelligence.pdf 2. Imhoff, C., Galemmo, N. et Geiger, J.G. (2003). Mastering Data Warehouse Design Relational and Dimensional Techniques, http://artemisa.unicauca.edu.co/~ecaldon/docs/bd/mastering.pdf 3. US Army (2010). Intelligence, http://www.fas.org/irp/doddir/army/fm2-0.pdf 4 sur 10

VII. Autres ressources: 1. Competitive Intelligence Magazine, SCIP.online, introductory resources, conference information, etc. 2. Society of Competitive Intelligence Professionals (SCIP) www.scip.org 3. The resource for business intelligence http://www.businessintelligence.com/* 4. SAS Business Intelligence http://www.sas.com/technologies/bi/ 5. Microsoft Business Intelligence http://www.microsoft.com/bi/ 6. Data warehouse information centre http://www.dwinfocenter.org/ 7. Guide to Data Mining http://www.data-mining-guide.net/ 8. BI service Adastra Canada http://www.adastracorp.com/ 9. Dataset for data mining http://www.kdnuggets.com/datasets/ 10. Data Mining Book http://www.dataminingbook.com/ 11. Conferences / Workshops http://www.kmining.com/info_conferences.html 12. XLMiner online help http://www.resample.com/xlminer/help/index.htm 5 sur 10

Annexe NOTA : A l exception des liens URL, les articles suivants ont été remis sur un CD avec des répertoires numérotés en fonction des semaines. Ceux qui ne sont pas dans le CD sont accessibles directement sur le Web. 1-Business Intelligence / Competitive Intelligence Abdelkarim 1. Sagasti, F.R. (1983).Techno-economic Intelligence for Development, International Foundation for Development Alternatives (IFDA) Dossier No. 35, Mai/juin, pp. 17-26 (voir CD : 2 Technoeconomic intelligence for development.pdf). 2. Babu, R. (non daté). Promise and Peril in the Age of Networked Intelligence. By Don Tapscott, Reviewed by Rupali Babu, sprott.carleton.ca/~aramirez/5401/bookreviews/babu.pdf (ou voir CD : Babu.pdf). 3. Jordan, J. et Finkelstein, S. (2005). The Ethics of Competitive Intelligence, Tuck School of Business at Dartmouth, Business Case 1-0095, http://mba.tuck.dartmouth.edu/pdf/2005-1-0095.pdf (ou voir CD: 2005-1-0095.pdf). Abdelkhalek 4. Goria, S. (non daté). Knowledge Management et Intelligence Economique, deux notions aux passés proches et aux futurs complémentaires, http://isdm.univ-tln.fr/pdf/isdm27/isdm27_ie&km_goria_06.pdf (ou voir CD : isdm27_ie&km_goria_06.pdf). 5. Furnham, A. et Chamorro-Premuzic, T. (2006). Personality, Intelligence and General Knowledge, Learning and Individual Differences, Vol. 16, pp. 79-90 (voir CD, science.pdf) 2-Modèles et cadres de références Amami 1. Venkatadri, M., Sastry, H.G.et Manjunath. G. (2010). A Novel Business Intelligence System Framework, Universal Journal of Computer Science and Engineering Technology, Vol.1, No.2, pp. 112-116, Novembre, http://www.unicse.org/publications/2010/november/a%20novel%20business%20intelligence%20system% 20Framework.pdf (ou voir CD: A Novel Business Intelligence System Framework.pdf). 2. Min-Hooi Chuah, M-H. et Wong, K-L. (2011). A Review of Business Intelligence and its Maturity Models, African Journal of Business Management Vol. 5, No. 9, pp. 3424-3428, 4 mai (voir CD, Chuah and Wong.pdf) 3. Gordon, J.R.M., Lee, P-M. et Lucas Jr., H.C. (2005). A Resource-based View of Competitive Advantage at the Port of Singapore, Journal of Strategic Information Systems, Vol. 4, pp. 69-86, http://portal.jnu.edu.cn/publish/uploadfile/2970/ewebeditor/20100702053347962.pdf (ou voir CD : 20100702053347962.pdf). 3-Le processus de l intelligence objectifs, fonctions, applications Ben Mahmoud Partie 1: 1. Herring, J. (2005). Understanding the Intelligence Process, Intelligence Insights, Vol. 1, issue 2, Mai, pp. 1, 6. (voir lien ci-dessous) 2. Sawka, K. (2005). Information vs. Intelligence, Intelligence Insights, Vol. 1, issue 2, Mai, pp. 4-5 (voir lien ci-dessous). Tous deux disponibles sur http://units.sla.org/division/dci/insights/iimay05.pdf 3. Hampson, E. et Cowley, P. (2005). Instrumenting the Intelligence Analysis Process, Proceedings of the 2005 International Conference on Intelligence Analysis, https://www.eeducation.psu.edu/drupal6/files/sgam/instrumenting%20the%20intelligence%20analysis%20process.p df Amdouni 4. Elbashir, M.Z., Collier, P.A. et Sutton, S.G. (2011). The Role of Organizational Absorptive Capacity in Strategic Use of Business Intelligence to Support Integrated Management Control Systems, The Accounting Review, Vol. 86, No. 1, pp. 155 184 (voir CD: The Role of Organizational Absorptive Capacity.pdf). 6 sur 10

Bahri Partie 2 : Balanced Scorecard et les tableaux de bord 1. Eckerson, W.W. (2006). Deploying Dashboards and Scorecards, tdwi, juillet, http://download.101com.com/pub/tdwi/files/rrs_db_q206_f_web.pdf (ou voir CD : RRS_DB_Q206_F_web.pdf). 2. Eckerson, W.W. (2007). Dashboards and Scorecards - Explaining their Essential Differences, Dashboard Insight, http://www.dashboardinsight.com/articles/digital-dashboards/fundamentals/dashboards-andscorecards.aspx Bdiri 3. Kaplan, R.S. et Norton, D.P. (1992). The Balanced Scorecard - Measures That Drive Performance, Harvard Business Review, http://www.iluv2teach.com/mgt424/bs1.pdf (ou voir CD : BS1.pdf). 4. Milton, N. (2007). Filtering an Organization s Critical Knowledge, Knowledge Management Review, Mars/Avril, Vol. 10, No. 1, pp. 28-33 (voir CD: FILTERING AN ORGANIZATION'S CRITICAL KNOWLEDGE.pdf). 5. Olson, E.M. et Slater, S.F. (2002). The balanced scorecard, competitive strategy, and performance, Business Horizons, Mai-juin, pp. 11-16, http://biz.colostate.edu/facultypages/stanleys/articles/balanced_scorecard_strategy_performance.pdf (ou voir CD: balanced_scorecard_strategy_performance.pdf). 4-L intelligence compétitive et les TIC Beji 1. Zadeh, L.A. (2004). A Note on Web Intelligence, World Knowledge and Fuzzy Logic, Data & Knowledge Engineering, Vol. 50, pp. 291 304 (voir CD, science (1).pdf) 2. Singh, S., Sayal, R. et Rao, P.V. (2011). Analysis and Usage of Fuzzy Logic for Optimized Evaluation of Database Queries, International Journal of Computer Applications, Vol. 16, No.3, Février, pp. 19-26 (voir CD : Analysis and Usage of Fuzzy Logic for Optimized.pdf). Ben Brik 3. Chowdhury, S. (2011). A Soft Computing Environment for Data Mining, The Business Review, Vol. 18, No. 1, pp. 14-19 (voir CD : A Soft Computing Environment for Data Mining.pdf). 4. Brewer, P. C., Gation, A.W. et Reeve, J.M. (1993).. Managing Uncertainty, Management Accounting, Octobre, Vol. 75, No. 4, pp. 39-45 (voir CD : Managing uncertainty.pdf). 5. Hejazi, S., Yazdanpanah, S. et Hadi-Vencheh, A. (2011). Critical Success and Failure Factors Analysis in Management Information System Utilization Using Fuzzy Approach (Case Study: Islamic Azad University, Khorasgan Branch), Interdisciplinary Journal Of Contemporary Research In Business, Vol 3, No. 3, juillet, pp. 717-730 (voir CD : Critical success and failure factors analysis in Management Information System.pdf). Ben Slimane 6. Stasieńko, J. (non daté).business Intelligence as a Decision Support System, Methods and Instruments of Artificial Intelligence, pp. 141-148, http://www.foibg.com/ibs_isc/ibs-20/ibs-20-p17.pdf (ou voir CD : ibs-20- p17.pdf). 7. Borthick, A.F., Bowen, P.L. et Gerard, G.J. (2008). Modeling a Business Process and Querying the Resulting Database: Analyzing RFID Data to Develop Business Intelligence, Journal of Information Systems, Vol. 22, No. 2, pp. 331 350, http://www2.gsu.edu/~accafb/pubs/jisborthickbowengerard2008.pdf (ou voir CD : JISBorthickBowenGerard2008.pdf). El Amari 8. Pacifici, S. I. et Cavallini, D. (2005). Competitive Intelligence: A Selective Resource Guide, LLRX.com, 20 novembre (mis à jour le 25 juin 2007), http://www.llrx.com/features/ciguide.htm 9. Zhang, L., Currim, S. et Currim, F. (2011). Competitive Intelligence Task Analysis And Retrieval: An End- User Approach, Review of Business Information Systems,Vol. 15, No. 2, http://journals.cluteonline.com/index.php/rbis/article/download/4200/4265 7 sur 10

Dridi 10. Goel, S. (2008). Cyberwarfare: Connecting the Dots in Cyber Intelligence, Communications of the ACM, Vol. 54, No. 8, août, pp. 132-140 (voir CD : Cyberwarfare.pdf). 11. Rhee, C., Sanders, G. L. et Simpson, N.C. (2010). I, Myself and e-myself, Communications of the ACM, juin, Vol. 53, No. 6, pp. 154-157 (voir CD : I myself and e-myself.pdf). 12. Vaughan, L. et You, J. (2011).Exploring Web Data for Competitive Intelligence: The Case of the Femtocell Sector, Advances in Competitiveness Research, Vol.19, Nos. 1&2, pp. 37-49 (voir CD : EXPLORING WEB DATA FOR COMPETITIVE INTELLIGENCE.pdf). 5-Intelligence et analyse Jabnoun 1. Davenport, T. (2006). Competing on Analytics, Harvard Business Review, http://hbr.org/2006/01/competing-on-analytics/ar/1 (voir CD : Competing on Analytics.pdf) 2. MIT (2010). Are You Ready to Reengineer Your Decision Making? Interview with Thomas H. Davenport, MIT Sloan Management Review, juillet 2010, Reprint Number 52102 (voir CD : Are You Ready to Reengineer Your Decision Making.pdf). Hamrouni 3. Svobodová, A. et Koudelková, P. (2011). Collective Intelligence and Knowledge Management as a Tool for Innovations, Economics and Management, https://www.researchgate.net/publication/229043959_collective_intelligence_and_knowledg E_MANAGEMENT_AS_A_TOOL_FOR_INNOVATIONS (ou voir CD : COLLECTIVE INTELLIGENCE AND KNOWLEDGE MANAGEMENT AS A TOOL FOR INNOVATIONS.pdf). 4. Gregg, D.G. (2010). Designing for Collective Intelligence, Communications of the ACM, Vol. 53, No. 4, avril, pp. 134-138 (voir CD : Designing for collective intelligence.pdf). 6-Le knowledge management dans l intelligence Jerbi Jouili 1. Fibuch, E. et Van Way, III, C.W. (2011). What Is a Knowledge Management System and Why Should I Care? Septembre-octobre, Physician Exec, Vol. 37, No. 5, pp. 34-38, (voir CD : What Is a Knowledge Management.pdf) 2. Gray, P. (2008).It Is 11 O clock. Do You Know What Your Competitor Is Doing? Book Review, Information Systems Management, pp. 87-91 (voir CD : 17110856.pdf) 3. Price, D.A. (2006). The Dawn of a New ERA: What's Next in Business Intelligence? DM Review, http://www.hitachiconsulting.com/files/pdfrepository/ar_dawnera_bi.pdf (ou voir CD: AR_DawnEra_BI.pdf). 4. Tosey, P., Visser, M. et Saunders, M. NK. (2012). The origins and conceptualizations of 'triple-loop' learning: A critical review, Management Learning, Vol. 43, No. 3, pp. 291-307, www.ru.nl/publish/pages/529530/visser_ml_12.pdf (ou voir CD: visser_ml_12.pdf). 5. Aron, L. J. (2000). Managing to Learn: How Companies Can Turn Knowledge into Action, Working Knowledge: A Report on Research at Harvard Business School, Vol. IV, No. 1, 13 novembre, http://hbswk.hbs.edu/item/1777.html 6. Harris, P.R. (2005). Comparative Review: Knowledge Management, European Business Review, Vol. 17, No. 5, pp. 471-474 (voir CD : COMPARATIVE REVIEW.pdf) 7. Seidl, D. (2007). The Dark Side of Knowledge, E:CO Issue, Vol. 9, No. 3, pp. 16-2 (voir CD : 27375876.pdf) 8 sur 10

Ksiaa 8. Liebowitz, J. (2001). Knowledge Management and its Link to Artificial Intelligence, Expert Systems with Applications, Vol. 20, pp. 1-6 (voir CD : Science.pdf) 9. Seeley, C.P. et Davenport, T.H. (2006). KM Meets Business Intelligence, KM Review, Vol. 8, No. 6, pp. 10-15 (voir CD : KM Meets Business Intelligence.pdf) 10. Paik, Y. et Choi, D.Y. (2005). The Shortcomings of a Standardized Global Knowledge Management System: The Case Study of Accenture, Academy of Management Executive, Vol. 19, Iss. 2, pp. 81-84 (Voir CD : 16963096.pdf) 11. Hoeschl, H.C., Barcellos, V., 2006, in TFTP International Federation for Information Processing, Volume 217, Artificial Intelligence in Theory and Practice, ed. M. Bramer, (Boston; Springer), pp. 11-19., http://www.springer.com/cda/content/document/cda_downloaddocument/9780387346540- c2.pdf?sgwid=0-0-45-326618-p173660402 (ou voir CD: 9780387346540-c2.pdf). Maamer 12. McAfee, A. et Wagonfeld, A.B. (2004). Business Intelligence Software at SYSCO, Harvard Business School, Harvard Case 9-604-080, pp. 1-19, http://community.mis.temple.edu/mis2502sum1/files/2011/05/bi_sw_sysco.pdf (ou voir CD : BI_SW_SYSCO.pdf). 13. Bologa, A-R. et Bologa, R. (2011). Business Intelligence using Software Agents, Database Systems Journal, Vol. II, No. 4, pp. 31-42, http://www.dbjournal.ro/archive/6/4_bologa.pdf (ou voir CD : 4_Bologa.pdf). NB.: D autres articles et références sont à trouver. 7-L implémentation 1. Olszak, C.M. et Ziemba, E. (2007). Approach to Building and Implementing Business Intelligence Systems, Interdisciplinary Journal of Information, Knowledge, and Management, Vol. 2, http://ijikm.org/volume2/ijikmv2p135-148olszak184.pdf (ou voir CD: IJIKMv2p135-148Olszak184.pdf). Mghirbi 2. Azita, S.S. (2011). An Approach to Building and Implementation of Business Intelligence System in Exchange Stock Companies, Australian Journal of Basic and Applied Sciences, Vol. 5, No. 6, pp. 1491-1495, http://ajbasweb.com/old/ajbas/2011/june-2011/1491-1495.pdf (ou voir CD : 1491-1495.pdf). 3. Vahid Farrokhi, V. et Pokorádi, L. (2012). The necessities for building a model to evaluate Business Intelligence projects- Literature Review, International Journal of Computer Science & Engineering Survey (IJCSES), Vol.3, No.2, Avril, pp. 1-10, http://airccse.org/journal/ijcses/papers/3212ijcses01.pdf (ou voirb CDE: 3212ijcses01.pdf). Sammoud 4. Yeoh, W. et Koronios, A. (2010).Critical Success Factors for Business Intelligence Systems, AllBusiness.com, http://iacis.org/jcis/articles/yeoh_koronios_2010_50_3.pdf (ou voir CD: Yeoh_Koronios_2010_50_3.pdf). 5. Woodside, J. (2011).Business Intelligence Best Practices for Success, 2 nd International Conference on Information Management and Evaluation (ICIME), 27-28 avril, Toronto, Canada. (voir CD : Business Intelligence Best Practices for Success.pdf). 8-Les réseaux sociaux Yazidi 1. Jones, G.T. (2008). Heterogeneity of Degree and the Emergence of Cooperation in Complex Social Networks, Emergence: Complexity and Organization, Vol. 10, No. 4, pp. 46-54 (voir CD : 51817838.pdf). 2. Hassan, N.R. (2009).Using Social Network Analysis to Measure IT-Enabled Business Process Performance, Information Systems Management, Vol. 26, pp. 61 76 (voir CD: Using Social Network Analysis to Measure IT-Enabled Business.pdf). 9 sur 10

Zayani 3. Trevinyo-Rodriguez, R.N. et Bontis, N. (2010). Family Ties and Emotions: A Missing Piece in the Knowledge Transfer Puzzle, Journal of Small Business and Enterprise Development, Vol. 17, No. 3, pp. 418-436 (voir CD : Family ties and emotions.pdf). 4. Moreno, M.A., Jelenchick, L.A., Egan, K.G., Cox, E., Young, H., Gannon, K.E., et Becker, T. (2011). Feeling Bad on Facebook: Depression Disclosures by College Students on a Social Networking Site, Depression and Anxiety, Vol.28, Pp.447 455, http://www.uvm.edu/~pdodds/files/papers/others/2011/moreno2011a.pdf (ou voir CD: moreno2011a.pdf). Zidi 5. Xu, J. et Chen, D. (2008). The Topology of Dark Networks, Communications of the ACM, Vol. 51, No. 10, octobre, pp. 58-65, http://ai.arizona.edu/intranet/papers/xu-sna-2008.pdf (ou voir CD : Xu-SNA-2008.pdf). 6. Kobti, Z., Reynolds, R.G. et Kohler, T.A. (2006). The Emergence of Social Network Hierarchy Using Cultural Algorithms, International Journal on Artificial Intelligence Tools (IJAIT), Vol. 15, Issue 6, pp. 963-978 (voir CD : The emergence of Social Networks.pdf). Snoussi 7. Shore, B. et Venkatachalam, A.R. (2003). Evaluating the information sharing capabilities of supply chain partners: A Fuzzy Logic Model, International Journal of Physical Distribution & Logistics Management, Vol. 33, No.9, pp. 804-824. 8. Taskin, H., Adali, M.R. et Ersin, E. (Aug 2004). Technological intelligence and competitive strategies: An application study with Fuzzy Logic, Journal of Intelligent Manufacturing, Vol. 15, No. 4, pp. 417-429. 9. Special Topics Part 1 1. Duhigg, C. (2012). How companies learn your secrets, The New York Times Magazine, 16 février, http://www.nytimes.com/2012/02/19/magazine/shopping-habits.html?_r=1. Sawsen Ben Slimen 2. Lucker, J. (2013). Know What Customers Want Before They Do, Harvard Business Review, 23 août, pp. 1-6. 3. Marchand, D.A. et Peppard, J. (2013). Why IT fumble Analytics, Harvard Business Review, janvier-février, pp. 105-112. Kifeh Sayahi Part 2 4. Weill, P. et Aral, S. (2006). Generating Premium Returns on Your IT Investments, MIT Sloan Managtement Review, Hiver, VBol. 47, No. 2, pp. 39-48, [Generating Premium Returns on Your IT Investments SMR.pdf] 5. Weill, P. et Ross, J.W. (2004). IT Governance on One Page, Center for Information Systems Research, Sloan School ogf Management, CISR WP No. 349, http://materias.fi.uba.ar/7558/lecturas/cisrwp349- IT%20Governance%20on%20One%20Page.pdf ou http://papers.ssrn.com/sol3/papers.cfm?abstract_id=664612 10 sur 10