1. Étude de cas. Plan de la présentation

Documents pareils
CODE DE CONDUITE ET D ÉTHIQUE DES ADMINISRATEURS

Charte du Bureau de l ombudsman des clients de la Banque Nationale

CODE DE CONDUITE DES AGENTS IMMOBILIERS CHARTE DE DÉONTOLOGIE

Politique d utilisation des médias sociaux et des technologies de l information

COMMISSION DE LA FONCTION PUBLIQUE INTERNATIONALE. Normes de conduite de la fonction publique internationale

Titre : POLITIQUE AFIN DE CONTRER LE HARCÈLEMENT PSYCHOLOGIQUE OU TOUTE AUTRE FORME DE VIOLENCE EN MILIEU DE TRAVAIL

Food & Allied GROUP. L éthique au sein du groupe Food & Allied

Politique de gestion contractuelle de la SHDM

CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD

CHARTE ETHIQUE ACHATS

POLITIQUE DE GESTION CONTRACTUELLE

POLITIQUE N o : P AJ-005 POLITIQUE SUR LA PROTECTION DES INFORMATIONS CONFIDENTIELLES

Avant-projet de Code de déontologie des avocats

RÈGLES DE CONDUITE DE L ENTREPRISE D ASSURANCES

Les principes du professionnalisme

Notre retraite : prendre en main COLLECTIVEMENT notre avenir

Continuité d activité. Enjeux juridiques et responsabilités

A propos de la médiation

CODE DE CONDUITE FOURNISSEUR SODEXO

CHARTE ETHIQUE DE WENDEL

Notre Programme de responsabilité Formation au Code déontologique de Nyrstar Code déontologique Des craintes? Contactez

Les Principes fondamentaux

La diffamation. Quand l honneur, la dignité et la réputation sont en jeu!

Le Responsable de l'accès : véritable décideur ou courroie de transmission?

CIRCULAIRE N 01/02 (annule et remplace la circulaire n 01/00)

POLITIQUE INSTITUTIONNELLE SUR LES CONFLITS D INTÉRÊTS DANS LA RECHERCHE

Dossier d adhésion. Photo d identité. Cadre réservé à la FIDI Suivi du dossier. Société :... Date de réception. Adresse :.. N Adhérent. ..@.

Projet de loi n o 20

ETES-VOUS PRET.ES A ALLER MIEUX?

COMMENTAIRES. du Regroupement des cabinets de courtage d assurance du Québec. présentés à l Autorité des marchés financiers

RISQUE SPORTIF, RESPONSABILITES ET ASSURANCE. MONTPELLIER 27 mai 2013

UN AVOCAT PEUT-IL AGIR À TITRE DE COURTIER IMMOBILIER?

PROTOCOLE DE LA COUR DE JUSTICE DE L UNION AFRICAINE

Le monitoring des médias

NOTE DE COUVERTURE. Fédération de soccer du Québec

Politique d approvisionnement

Être un administrateur de sociétés d État 16 questions et réponses sur la gouvernance

Politique Utilisation des actifs informationnels

DROIT ET RÉGLEMENTATIONS DE LA PLACE FINANCIÈRE

REGLEMENT INTERIEUR TITRE I : DISPOSITIONS GENERALES

Lignes. directrices. droits. d enfants. d accès. Pour l expertise en matière de garde. et des. février 2oo6

Les Français ais et l assurance l

EXPORTATION ET DÉVELOPPEMENT CANADA MANDAT DU COMITÉ DE LA VÉRIFICATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION

CODE DE BONNE CONDUITE

Assurer, de concert avec nos partenaires, la sécurité publique au Québec.

L ACTUALITÉ FÉDÉRALE

Code de déontologie des pharmaciens

Information Presse & Communication : les textes qui fondent notre profession et notre éthique

PROTÉGER ET CONSOLIDER LA RÉPUTATION DE LA SOCIÉTÉ

Politique de sécurité de l information

LE DOCUMENT UNIQUE DE DELEGATION

DONS, D HOSPITALITÉ. Lignes directrices 1. mai 2012 COMMISSAIRE À L ÉTHIQUE ET À LA DÉONTOLOGIE

TABLE DES MATIERES AVANT-PROPOS INTRODUCTION AU CODE D ETHIQUE RELATIONS INTERNES. Page 5 Page 7 Page 9

Un contrat de respect mutuel au collège

La conduite automobile et le vieillissement

Les présentes sont la traduction d un document en langue anglaise réalisée uniquement pour votre convenance. Le texte de l original en langue

Écologie, démocratie et participation

CHARTE DU SPORT DE HAUT NIVEAU

N'imprimez ce document que si nécessaire. Protégez l'environnement. Principes de Conduite ÉTHIQUE. des affaires. SPIE, l ambition partagée

Comment faire face à une bataille juridique tout à fait légitime. Vue d ensemble. Martin Shain, S.J.D.

Charte du tourisme durable

CONTRAT DE PERMANENCE TELEPHONIQUE EXTERNALISATION DE STANDARD

Standards d accès, de continuité, de qualité, d efficacité et d efficience

Mémoire. CTE 003M C.P. P.L. 48 Véhicules automobiles. Rehausser la performance environnementale de notre parc automobile.

LOI ORGANIQUE N DU 10 JUILLET 1998 PORTANT ORGANISATION ET FONCTIONNEMENT DE LA COUR DES COMPTES.

POLITIQUE GÉNÉRALE D INVESTISSEMENT Ordre des conseillers en ressources humaines agréés

REGLES PROFESSIONNELLES PREVUES PAR L ARTICLE 54-1 (II) DU DECRET DU 27 DECEMBRE 1985 MODIFIE

CADRE DE GESTION DE LA SÉCURITÉ DE L INFORMATION DE TÉLÉ-QUÉBEC

LIGNE DIRECTRICE SUR LA CONFORMITÉ

Qu est-ce qu un avis éthique pour le Comité d éthique de santé publique? sa structure, sa portée

CHAPITRE QUINZE POLITIQUE DE CONCURRENCE, MONOPOLES ET ENTREPRISES D ÉTAT

Florent Vaubourdolle Vendredi 27 mai 2011

Politique de gestion des risques

Les affaires et le droit

L OBSERVATOIRE LCL EN VILLE - RÉALISÉ PAR BVA L ÉCONOMIE DU PARTAGE, ZOOM SUR LES JEUNES URBAINS. Juin 2014

Les médias sociaux en milieu de travail

Charte Éthique. de la Mutuelle Intégrance. Santé - Prévoyance - Épargne - Assistance

RECUEIL DE LEGISLATION. A N 39 6 mars S o m m a i r e RÈGLEMENTS DE L ORDRE DES AVOCATS DU BARREAU DE LUXEMBOURG

N 2807 ASSEMBLÉE NATIONALE PROPOSITION DE LOI

CANADA PROVINCE DE QUÉBEC MRC CÔTE-DE-BEAUPRÉ MUNICIPALITÉ DE BOISCHATEL

RENDEZ-VOUS D AUTOMNE DE L ADRECA. 17 novembre 2003

Charte de la laïcité à l École Charte commentée

Consultation publique PARL OMPI EXPERTS PRESENTATION ET ETAT D AVANCEMENT DU PROJET PARL OMPI EXPERTS

Les 7 Principes fondamentaux

Plan d action de développement durable Le développement durable, une question de culture

2008 Règles de conduite pour négociants en valeurs mobilières. applicables à l exécution d opérations sur titres

Par Me Eric Théroux. Directeur général Affaires multilatérales et Engagements internationaux Ministère des Relations internationales du Québec

ÊTRE OU NE PAS ÊTRE TON AMI?

Erreur médicale au cabinet

CIRCULAIRE AUX ETABLISSEMENTS DE CREDIT N Objet : Renforcement des règles de bonne gouvernance dans les établissements de crédit.

LES OBLIGATIONS D UN ADMINISTRATEUR

ÉTHIQUE DE LA RELATION COMMERCIALE : PRINCIPES DIRECTEURS

COMITÉ DE DISCIPLINE

ENJEUX, PRATIQUES ET RÉGLEMENTATION EN ASSURANCE AUTOMOBILE : UNE COLLABORATION RÉUSSIE ENTRE L AUTORITÉ ET LE GAA

GUIDE SUR LES MUTUELLES DE FORMATION. Règlement sur les mutuelles de formation

RISQUE SPORTIF ET ASSURANCE

GUIDE DE SOUMISSION D UN PROJET DE RECHERCHE

(Adopté le 29 février 2012) CODE DE CONDUITE APPLICABLE AU PERSONNEL DE LA BERD

Règlement de la Cour

Transcription:

Luc Valiquette 12e École d été de l IEPF et du SIFÉE APPLICATION DES OUTILS ET MÉTHODES D ÉVALUATION ENVIRONNEMENTALE AUX PROJETS DE PRODUCTION ET DE TRANSPORT D ÉNERGIE ÉLECTRIQUE Québec, du 2 au 6 septembre 2008 Sources : Conférence de Luc Bégin, Directeur de l Institut d éthique appliquée de l Université Laval Centre québécois d éthique appliquée Conférence de Pierre André (2e module du CRESA Yaoundé octobre 2007) Plan de la présentation 1. Étude de cas 2. Quelques précisions 3. Être un professionnel 4. Responsabilité et engagement social 5. Exemples québécois 1. L éthique des administrateurs publiques 2. Code d éthique et de déontologie des membres du BAPE 3. Règles de déontologie de CRC Sogema 1. Étude de cas Projet de l autoroute 25 reliant Montréal à Laval Le ministère des Transports veut confier àun partenaire privé le soin de concevoir le projet Ce projet est assujetti àla procédure d évaluation environnementale Le MTQ veut obtenir l autorisation gouvernementale avant de négocier avec ce partenaire privé qui définira le projet Les experts du ministère sont consultés sur la viabilité de cette approche

Le contexte vous indiquant que l autorité du ministère de l Environnement aimerait donner suite àla demande du MTQ, quel conseil lui donneriez vous? Problèmes d éthique Conflit d intérêt (juge et partie) Dire des choses non fondées Copier coller Réseaux d influence Corruption Achat des consciences (lors de consultations publiques) Intimidation

2. Quelques précisions L éthique Un défi qu ont à relever employeurs et employés L éthique : intervient dans le processus de décision vise le juste et le bon implique un choix préférentiel conciliant àla fois le possible et l idéal 2. Quelques précisions (suite) Éthique accompagne le jugement moral de la personne en situation difficile Valeurs dessinent l horizon, le sens des gestes posés constituent un guide de ce que l organisation ou les employés considèrent beau, bon, vrai, souhaitable 2. Quelques précisions (suite) Déotonlogie constitue l application disciplinaire de systèmes de normes qui régissent une activité professionnelle

2. Quelques précisions (suite) L éthique : un complément nécessaire quand : la règle ne dit rien sur la conduite àadopter la règle prescrit des conduites incompatibles la règle appliquées àla lettre recommanderait des conduites contraires àl esprit qui a présidé à son énonciation il n y a pas de règles applicables àla situation 2. Quelques précisions (suite) L éthique comprend toujours Décision Contexte Valeurs ainsi qu une inconfortable possibilité d erreur Exemple de valeurs : Déclaration de valeurs de l Administration publique québécoise La qualité des services aux citoyens et la poursuite de l intérêt public constituent des impératifs qui interpellent l ensemble des fonctionnaires Ces impératifs s appuient sur des valeurs éthiques qui servent d assise aux membres de l administration publique dans l exercice de leurs fonctions Cinq valeurs : compétence, impartialité, intégrité, loyauté et respect

Exercice individuel (5 min) Parmi les 5 valeurs (compétence, impartialité, intégrité, loyauté et respect), quelle est celle qui vous apparaît la plus importante? Quelle est celle qui vous apparaît la plus vécue dans votre organisation? Pour vous, dans le cadre de votre travail, y a t il d autres valeurs importantes? 2. Quelques précisions La préoccupation actuelle à l égard de l éthique: une réponse à la crise de confiance. une réaction à la pluralité des «conceptions du bien» Objectifs de l éthique favoriser une prise de conscience, par la personne, des valeurs qui motivent son action; aider la personne (notamment le professionnel) à faire face à des problèmes impliquant des conflits de valeurs et dont la résolution aura un impact sur autrui (conséquences positives et/ou négatives) 2. Quelques précisions: éthique et éthique professionnelle (suite) droit morale Obligations devoirs éthique Valeurs Éthique professionnelle déontologie Éthiques appliquées

2. Quelques précisions: éthique et éthique professionnelle (suite) droit morale hétérorégulation éthique Éthique professionnelle autorégulation déontologie Éthiques appliquées 2. Quelques précisions (suite) L éthique professionnelle est au-delà de la déontologie et du droit Au-delà de l obéissance aux CODES: elle invite le professionnel à une prise en charge autonome et responsable du sens que cela fait d être un professionnel! 2. Quelques précisions (suite) Les efforts personnels et organisationnels en éthique doivent permettre àune personne, un fonctionnaire, un expert, de passer d un savoir théorique, constitué de normes, àune décision concrète en situation, inspirée en valeurs

Ateliers (15 minutes) Avez vous des expériences àpartager relatant l expression des valeurs? Avez vous des exemples de situations où les valeurs ont joué un rôle prépondérant dans votre prise de décision? 3. Être un professionnel Le professionnel Est soumis àdes règles légales et déontologiques Fait preuve de jugement et d autonomie, fondé sur ses valeurs 3. Être un professionnel (suite) Les 3 piliers du système professionnel: L expertise L autonomie La relation de pouvoir

3. Être un professionnel (suite) «Un risque de dérive?» Le professionnel: un simple exécutant des volontés du client? Le statut de professionnel peut-il se justifier si ce dernier n offre qu une relation de service comme tous les emplois de service (ex. service après vente, assurances, agents de voyage, etc.)? L acte professionnel continue-t-il d avoir du sens? 4. Responsabilité et engagement social La perte de l autonomie met en danger la dimension sociale du professionnalisme! Le professionnel est quelqu un dont les actions peuvent avoir un impact sur la santé, la sécurité, et/ou les biens des personnes. (risque de préjudice) Les «personnes» ne sont pas que les clients : c est à l égard du public et de la société dans son ensemble que le professionnel a une responsabilité 4. Responsabilité et engagement social D où l insistance, au début de tous les codes de déontologie, sur la prise en compte du bien-être la société: La solution la plus simple au seul plan technique Meilleure décision pour le client (rapport coûts-qualité) Meilleure décision pour la société ne sont pas toujours parfaitement compatibles

4. Responsabilité et engagement social (suite) Exercer son jugement professionnel, c est ne jamais perdre de vue la priorité de l intérêt de la société : Le professionnel manifeste son engagement social en maintenant un haut niveau de qualité dans l exercice de sa profession; Par sa pratique professionnelle, il peut également contribuer à éclairer les choix de la société à l égard du présent et de l avenir; Le professionnel doit, selon les cas, explorer les avenues de développement économique, social, politique et écologique favorisant le mieux-être de ses concitoyens. Exemple 1 : L éthique des administrateurs publics Efficacité et loyauté Honnêteté Indépendance et objectivité Discrétion et réserve Exclusivité du service Rémunération exclusive àses fonctions Liaison par certaines règles après mandat Utilisation des biens publics Ex. 1 : Règlement sur l éthique et la déontologie des administrateurs publics Objectifs : préserver et de renforcer le lien de confiance des citoyens dans l intégrité et l impartialité de l administration publique favoriser la transparence au sein des organismes et entreprises du gouvernement responsabiliser les administrations et les administrateurs publics

Ex. 1 : Règlement sur l éthique et la déontologie des administrateurs publics réaliser la mission de l État dans le respect du droit, avec honnêteté, loyauté, prudence, diligence, efficacité, assiduité et équité respecter les principes d éthique etles règles de déontologie prévus par la loi ainsi que ceux établis dans le code d éthique et de déontologie qui lui est applicable en cas de divergence, les principes et les règles les plus exigeants s appliquent. Ex. 1 : Règlement sur l éthique et la déontologie des administrateurs publics Chaque organisme du gouvernement doivent se doter d un code d éthique et de déontologie.établissant ses principes d éthique et ses règles de déontologie Les principes d éthique tiennent compte de la mission de l organisme, des valeurs qui sous tendent son action Les règles de déontologie portent sur les devoirs et obligations des administrateurs publics notamment : des mesures de prévention, notamment des règles relatives àla déclaration des intérêts détenus par les administrateurs publics; de l identification de situations de conflit d intérêts; des devoirs et obligations des administrateurs publics même après qu ils ont cessé d exercer leurs fonctions. Ex. 2 Le code d éthique et de déontologie des membres du BAPE Comportement Remplit ses fonctions dans l intérêt public avec équité, intégrité, dignité, honneur et impartialité Sert le public de façon irréprochable et au meilleur de sa connaissance Évite toute activité incompatibilité S abstient de faire tout geste qui risque de nuire àl image ou àla crédibilité du BAPE Fait preuve de neutralité politique en exercice S abstient d utiliser indûment son titre ou statut Respecte les lois, règlements et règles de procédure du Bureau Respecte le principe de la saine gestion des ressources humaines, financières et matérielles

Ex. 2 BAPE (suite) Indépendance Évite tout conflit d intérêt Évite les situations qui pourraient évoluer en conflit d intérêt Remet au président, annuellement, une déclaration indiquant la nature de ses intérêts financiers Lors de sa sollicitation, informe le président de toute situation pouvant entacher sa crédibilité Ne peut accorder, solliciter ou accepter une faveur ou un avantage indu pour lui même ou pour une autre personne, ou utiliser àson profit un bien de l État ou une information privilégiée Dans ses décisions, éviter laisser influencer par des perspectives ou offres d emploi Traite toute tentative d ingérence dans son travail comme irrecevable et inadmissible À cessation, éviter de tirer d avantages indus de ses fonctions antérieures Ex. 2 BAPE (suite) Droit de réserve Fait preuve de réserve dans la manifestation publique de ses opinions politiques Est discret sur ce dont il a connaissance en exercice Fait preuve de réserve dans la manifestation publique de son opinion concernant un projet controversé lié à l environnement S abstient de prendre position publiquement sur tout projet actuellement ou éventuellement soumis Ne commente pas les rapports du Bureau S abstient de commenter publiquement les décisions du ministre Ex. 2 BAPE (suite) Dispositions particulières àla tenue d audiences publiques Aucun intérêt dans le dossier Agit et paraît agir de façon neutre et impartiale Évite de mettre en doute les situations précédentes Respecte les règles d équité procédurale et agit avec transparence Évite toute rencontre privée avec promoteurs et requérants, sauf exception Acquiert une connaissance aussi complète que possible du dossier et respecte les échéances Fait preuve de réserve, courtoisie, sérénité et considération envers tous les participants Suscite le respect mutuel de tous Favorise la participation pleine et entière de tous Favorise l accès des citoyens à l information, les aide àbien comprendre les projets et les incitent àexprimer leur opinion sans contrainte Respecte la confidentialité des délibérations et du rapport Le président d une commission peut présenter et expliquer le rapport de cette commission

Ex. 3 CRC Sogema Intégrité des opérations Loyauté, Fonctions incompatibles, Gratifications Confidentialité Protection des données, de la réputation, Usage personnel de l information Divulgation Déclaration d intérêt, Traitement de faveur