L ORGANISATION DES VIGILANCES À L HÔPITAL. Dr H. PEYRIERE MCU-PH Service de Pharmacologie Médicale CHU Montpellier 2016

Documents pareils
Marquage CE et dispositifs médicaux

dossier de presse nouvelle activité au CHU de Tours p a r t e n a r i a t T o u r s - P o i t i e r s - O r l é a n s

Décrets, arrêtés, circulaires

DANSE, CHANT ET SPECTACLE LE SEJOUR INFOS PRATIQUES. Adresse du séjour

INAUGURATION LABORATOIRE DE THERAPIE CELLULAIRE 16 FEVRIER 2012 DOSSIER DE PRESSE

Groupement d'achat UNI-HA SSI: sécurisation pragmatique, efficiente et homogène des SI de Sante en partenariat avec l'asip Sante et les FSSI

La gestion des risques dans les établissements de soins

Dermatoses professionnelles dans la BTP : données issues du rnv3p.

La version électronique fait foi

Présentation des intervenants et modérateurs

Nous avons tous un don qui peut sauver une vie. D e v e n i r. donneur de moelle. osseuse

La protection sociale obligatoire du chef d entreprise indépendant

ADRESSES PHYSIQUES DES BUREAUX MARINE CENTRES D INFORMATION ET DE RECRUTEMENT DES FORCES ARMEES (CIRFA)

BILAN D ACTIVITE DU PÔLE DE SOUTIEN PSYCHOLOGIQUE Année 2010

Décrets, arrêtés, circulaires

Foire Aux Questions. Sur les recherches biomédicales

PROGRAMME D ÉTUDES (SPÉCIALITÉ) 1 Ingénieur diplômé de l'école centrale de Marseille UNIF

FORMATIONS Bienvenue à l Invacademy!

Guide de l année-recherche

VAGUE E. 5 ans (renouvelé par arrêté du 15 Nantes Audencia Nantes (Ecole de management) AUDENCIA septembre 2008) VAGUE F

SÉJOURS LINGUISTIQUES

Liste des titres de formation autorisés par le CNOSF

Soins infirmiers et gestion des risques

Votre quotidien à Blanche

BULLETIN OFFICIEL DES ARMÉES. Édition Chronologique n 13 du 14 mars PARTIE PERMANENTE Administration Centrale. Texte 3

Diplôme d expertise comptable (DEC)

ENQUÊTE SUR LE COÛT DE LA VIE ETUDIANTE

Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir

Université Saint-Joseph

PRÉSENTATION Stanley Security France

Panorama des formations en biotechnologie

Encadrement réglementaire

LES MASTERS 2 DANS LE DOMAINE DES STAPS EN FRANCE 2012/2013 NORD-PAS-DE-CALAIS. Université Lille 2

Décrets, arrêtés, circulaires

Guide d'aide à la mise en place. du dispositif d'amp vigilance * * Dispositif de vigilance relatif à l'assistance médicale à la procréation

Introduction au métier d ARC. en recherche clinique

23/01/2015. Les nouvelles structures (IHU et autres) Les petites dernières : les CRC. STRUCTURES de RECHERCHE CLINIQUE RECONNUES

Décrets, arrêtés, circulaires

Liste des centres du sommeil homologués par la Société Française de Recherche et Médecine du Sommeil

DON DE SANG. Label Don de Soi

L auto-archivage en maths, quoi de neuf?

Après en avoir délibéré le 5 février 2013 ; 1. Analyse

Valorisation des patrimoines. Conseil et accompagnement stratégique

observatoire des emplois d avenir

metal USB PEOPLE tel USB people Electronique 03 Objets et Cadeaux Publicitaires

ECOLES DE COMMERCE. En ce qui concerne le concours, elles se répartissent en trois catégories

MINISTÈRE DU TRAVAIL, DE L EMPLOI ET DE LA SANTÉ MINISTÈRE DES SOLIDARITÉS ET DE LA COHÉSION SOCIALE SANTÉ ETABLISSEMENTS DE SANTÉ.

Unité d onco-hématologie pédiatrique. Procédure de recueil de consentements du donneur. Codification du document : PO Rédacteur : Dr V Gandemer

Devenez Donneurs Sommaire

Service de Biothérapies

OCTOBRE L M M J V S D CALENDRIER SCOLAIRE

Risques et dispositifs médicaux. «Responsabilités encourues» Isabelle Lucas-Baloup. 12, 13 et 14 octobre 2010

OFFRE DE FORMATION SCIENCES PHARMACEUTIQUES ET BIOLOGIQUES PHARMACIE 2015/2016

Les plateformes de génétique

Ci-après, la liste des masters proposés par les universités françaises pour se former, en 2 ans après la licence, à l un des métiers de la culture.

Décrets, arrêtés, circulaires

Modules optionnels. Passer à l acte en implantologie

L épargne de tous au service de l intérêt général

Bilan des formations présentées lors de la semaine étudiant SEGEUN 2013

Vos interlocuteurs en région

Pharmacovigilance des Essais cliniques

Contribution du Syndicat national des pharmaciens praticiens hospitaliers (SNPHPU)

NOTE DE SYNTHESE RELATIVE AUX COMMENTAIRES SUR LE PROJET DE DECRET N RELATIF A L AUTORISATION DE MISE SUR LE MARCHE DES MEDICAMENTS A USAGE

LES DIFFERENTS LICENCES PROPOSEES EN FRANCE ET DISPONIBLE POUR LA DAP BLANCHE

Les personnels enseignants. de l enseignement supérieur. sous tutelle du MESR note d Enseignement supérieur & Recherche.

Association pour l insertion sociale et professionnelle des personnes handicapées.

Références juridiques. Biologie médicale

Réseau CAI Bpifrance L EQUIPE DES CHARGES D AFFAIRES INTERNATIONAUX UBIFRANCE

Juridique info. Sommaire. Médicaments. 1 Procédure pour la mise sur le marché des médicaments traditionnels à base de plantes. Actualités Législatives

Ministère des affaires sociales, de la sante et des droits des femmes

Comment améliorer la sécurite du médicament? Propositions du Leem

La raison d être des systèmes d information

Liste des diplômes des métiers de la formation 2000/2001 par région et organisme

FONDATION L ÉCHIQUIER DE LA RÉUSSITE. Fondation sous l égide de la Fondation de France

Référentiel Officine

DIPLOME DE CHIRURGIE ORALE

Décrets, arrêtés, circulaires

Réseau National de Laboratoires * * * * * * * * * *

Sommaire des documents de la base documentaire v /11/2013

Don d organes et mort cérébrale. Drs JL Frances & F Hervé Praticiens hospitaliers en réanimation polyvalente Hôpital Laennec, Quimper

17E90 8E20 23E40 11E90 22E90 3E20

Relations territoriales CRA CREDIT COOPERATIF

SOLUTIONS CRÉDIT VOS CLIENTS VONT ADORER!

Secteur Protégé d Hématologie

MASTER (LMD) INGENIERIE DE LA SANTE

Il est bien établi que le réseau d eau hospitalier peut

Masters Banque. des Professionnels. Master : Economie et Finance Internationales. Master : Activités bancaires. entreprises

Clôture des inscriptions 18 JANVIER 2013

Propriété intellectuelle : comment valoriser son activité?

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE AVIS. 18 janvier 2006

Jean-Christophe Richard Véronique Merle CHU de Rouen

Rapport au Parlement. Bilan des règles applicables à la sécurité des dispositifs médicaux et propositions d améliorations

Nos Services. Un Accueil de Qualité. La Relation Terrain. Un Parc Diversifié. Notre Priorité : Votre Sécurité. Un Transport Maîtrisé

Mise au point sur LA MAINTENANCE DES DISPOSITIFS MEDICAUX. Octobre Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé

Centre Antipoison et de Toxicovigilance Strasbourg Tél:

LE WEBCLASSEUR ORIENTATION UN SERVICE EN LIGNE DISPONIBLE POUR TOUS LES ÉTABLISSEMENTS

Les élèves nouveaux arrivants non francophones en

ECHOGRAPHIE EN GYNECOLOGIE ET EN OBSTETRIQUE

Les masters en langues

Transcription:

1 L ORGANISATION DES VIGILANCES À L HÔPITAL Dr H. PEYRIERE MCU-PH Service de Pharmacologie Médicale CHU Montpellier 2016

2 Les vigilances sanitaires Sous la tutelle de l ANSM: autorité sanitaire compétente Niveau administratif& scientifique d évaluation Encadrement réglementaire spécifique Soumises à déclaration obligatoire Objectifs Exercer une surveillance de la sécurité d emploi, du bon usage / recueil effets indésirables, incidents ou risques d incidents Réaliser toutes études et de tous travaux sécurité d emploi de ces produits Diminuer et prévenir les risques liés à leur utilisation par la mis en place d actions correctrices ou préventives 8 vigilances sanitaires Maislesvigilancespeuventsedéclineràl infini

3 8 vigilances sanitaires Pharmacovigilance: médicaments et produits à usage humain Pharmacodépendance (addictovigilance) : stupéfiants et psychotropes Matériovigilance: dispositifs médicaux Réactovigilance: dispositifs médicaux de diagnostics in vitro Hémovigilance: produits sanguins labiles Biovigilance : organes, tissus, cellules et les produits thérapeutiques annexes Cosmétovigilance : produits à finalité cosmétique ou d hygiène corporelle Vigilance produits de tatouage

4 Organisation pyramidale cosmétovig Tatouage ANSM Échelon régional : CRPV, CEIP-A, HémoVig Échelon local : MV, HémoVig, RéactoVig, BioVig Professionnels de santé

La coordination des vigilances et gestion des risques Contribue au dispositif de sécurité sanitaire Missions: Assurer la surveillance et l évaluation des incidents et effets indésirables ou des risques d incidents ou d effets indésirables mettant en cause un produit de santé et de prendre toute mesure afin d éviter qu ils ne se reproduisent Objectif: Assurer la sécurité d emploi du produit dans le cadre de son utilisation et in fine renforcer la sécurité du patient ou de l utilisateur Simplifier les circuits de signalement(fiche Fil) Associer la gestion des risques du produit à ceux associés à son utilisation Organisation des équipes Certification V2010 l exige 5

6 LES VIGILANCES À VOCATION RÉGIONALE

LA PHARMACOVIGILANCE 7

8 Répartition des 31 centres de Pharmacovigilance en France Amiens Angers Besançon Bordeaux Brest Caen Clermont-Ferrand Dijon Grenoble Lille Limoges Lyon Marseille Montpellier Nancy Nantes Nice Paris (6 centres) Poitiers Reims Rennes Rouen Saint-Etienne Strasbourg Toulouse Tours

9 Quand, quoi, à qui déclarer? Immédiatement: Tout effet indésirable grave ou inattendu Au Centre Régional de Pharmacovigilance de la région de compétence Adéfaut:ANSM Effets indésirables médicaments dérivés du sang: CRPV Correspondant local dans les centres hospitaliers Pharmacien gérant PUI

10 Rôle des professionnels de santé NotifieràunestructuredePV Toute présomption d EIM Tout EIM résultant d un surdosage, IMV EIM/exposition professionnelle Anomalie congénitale/ tératovigilance Toute perte d efficacité Comment déclarer? Fiche CERFA : notificateur identifiable, patient identifiable, 1 médicament suspect, 1 EIM Patient peut déclarer

11 Pharmacodépendance addictovigilance

Répartition des 13 CEIP-A en France 12 Bordeaux Caen Clermont-Ferrand Grenoble Lille Lyon Marseille Montpellier Nantes Nancy Paris Fernand-Widal Poitiers Toulouse

13 Quand, quoi, à qui déclarer? Immédiatement Tout cas de pharmacodépendance grave ou d'abus grave Au Centre d Evaluation et d Information sur la Pharmacodépendance de la région de compétence Adéfaut:ANSM Comment déclarer? Fiche CERFA provisoire : notificateur identifiable, patient identifiable, 1 médicament suspect,

HÉMOVIGILANCE

Définition Organise l évolution et le suivi de l acte tranfusionnel Objet : surveillance, évaluation et prévention des incidents et des effets indésirables survenant chez les donneurs ou les receveurs de produits sanguins labiles (PSL) : sang total, plasma et des cellules sanguines d'origine humaine Objectifdecesmesures: Recueillir et évaluer les informations sur les effets inattendus ou indésirables survenus chez les donneurs ou résultant de l utilisation thérapeutiques des produits sanguins labiles Assurer le suivi épidémiologique des donneurs de sang Médicaments dérivés du sang: Pharmacovigilance

Système national d hémovigilance Le système national d'hémovigilance comprend 3 niveaux: Niveau national L'ANSM L'Institut de veille sanitaire Niveau régional Les coordonnateurs régionaux d'hémovigilance / placés auprès du directeur de l ARS Niveau local Les correspondants d'hémovigilance des établissements de transfusion (sièges : Etablissement français du sang et le centre de transfusion sanguine des armées) Les correspondants d'hémovigilance des établissements de santé, Tout professionnel de santé

Signalement et déclaration Obligation de signaler et déclarer les incidents graves, et effets indésirables graves survenus chez un donneur de sang et effets indésirables survenus chez unreceveurdepsl Qui doit signaler ou déclarer? Tout professionnel de santé qui constate ou a connaissance d'un incident grave, d un effet indésirable grave survenu chez un donneur de sang ou d'un effet indésirable survenu chez un receveur de PSL le signale sans délai au correspondant d'hémovigilance de l'ets où a été effectué le don de sang,oùaétéprélevéleproduit. ou au correspondant d'hémovigilance de l'es où l'incident a eu lieu, ou où lepslaétéadministré. Aquisignaleroudéclarer? Les fiches de déclaration doivent être adressées simultanément à l ANSM et au coordonnateur régional d'hémovigilance.

18 VIGILANCES À VOCATION LOCALES

MATÉRIOVIGILANCE 19

20 Définition Surveillance des incidents ou risques d incidents résultant de l utilisation des dispositifs médicaux après leur mise sur le marché Produits concernés: TouslesDMsurlemarché Consommables à usage unique ou réutilisables (perfuseurs, compresses, instruments chirurgicaux) Implants passifs ou actifs Equipements biomédicaux (pousse seringue, respirateur, échographe, autoclave, lit médical, brancard )

21 Quand, quoi déclarer? Tout incident ou risque d incident Contacter le correspondant local Tout incident ou risque d incident grave doit être signalé sans délai à l ANSM(L.5212-2 et R.5212-14 Les autres événements indésirables peuvent être signalés selon une périodicité trimestrielle et de manière facultative (R.5212-15). Noter numéro de lot, date de péremption Référence Conserver le matériel défectueux

Réactovigilance 22

23 Définition Surveillance des incidents et des risques d'incidents définis à l'article R. 665-64-47(1 ) Articles R.5222-3 et suivants du CSP Produits, réactifs, instruments Récipients d échantillons destinés spécifiquement à être utilisés in vitro dans l examen d échantillons du corps humain

Catégories Dispositif Médical de Diagnostic In Vitro (DMDIV) Pré-analytique / Unités de soins 1. Récipients d échantillons biologiques Tubes pour prélèvement sanguin, Pots à expectoration, Flacons d hémoculture 2. Autodiagnostics Contrôle Ultime au Lit du Malade Bandelettes réactives, Lecteurs de glycémie Analytique / Laboratoires 3. Réactifs de laboratoire biologie médicale + ana-path 4. Logiciels d analyseurs Sérologies infectiologie Biochimie (glycémie, gaz du sang) Hématologie (hémostase )

Quoi déclarer? Décret 4 fév. 04 : Toute défaillance ou altération d un dispositif médical ou des performances d'un DMDIV, ou une inadéquation dans l'étiquetage ou la notice d'utilisation susceptible d entraîner des effets néfastes sur la santé des personnes doit faire l objet d une déclaration d incident de réactovigilance. Enpratiqueils agit: d un effet indirect pour le patient, par l intermédiaire des conséquences cliniques d un résultat d analyse erroné d un effet direct sur l utilisateur d un dispositif dangereux Dans tous les cas, le risque d incident doit être signalé au même titre que l incident avéré

A qui déclarer? Àl ANSM Par l intermédiaire du correspondant local de réactovigilance (CLRV). Médecin ou pharmacien doté d une expérience en DMDIV. Le CLRV doit informer simultanément : - les fabricants ou distributeurs concernés -les responsables des autres vigilances éventuellement concernés

BIOVIGILANCE

Définition La biovigilance consiste à surveiller et à prévenir les risques liés à l utilisation d éléments et produits issus du corps humain et utilisés à des fins thérapeutiques. Signalement et déclaration des incidents et des effets indésirables liés ou susceptibles d être liés aux produits et activités relevant de la biovigilance.

Produits relevant du champ d application Organes, tissus ou cellules issus du corps humain et utilisés à des fins thérapeutiques chez l'homme, ainsi que leurs dérivés Préparations de thérapie cellulaire Dispositifs médicaux incorporant les éléments et produits issus du corps humain utilisés à des fins thérapeutiques chez l'homme Tous produits thérapeutiques annexes (PTA) y compris ceux utilisés en assistance médicale à la procréation(amp)

Quand, Que déclarer? Sans délai Tout incident ou effet indésirable survenu chez un patient, un donneur vivant ou un receveur

Circuit de signalement/déclaration des incidents et effets indésirables de biovigilance en rapport avec des organes INCIDENT ou EFFET INDÉSIRABLE Professionnel de santé exerçant dans un établissement o u une structure disposant d un CLB Signalement sans délai Information du CLB de l ABM CLB déclarant Déclaration Fiche déclaration biovigilance Cellule de biovigilance de l Ansm

32 Cosmétovigilance / Vigilance des produits de tatouage Définition : Surveillance du risque d'effets indésirables attribué à l'utilisation d'un produit cosmétique sur le marché ou un produit de tatouage Que déclarer? Tout effet indésirable grave susceptible d'être dûàunproduitcosmétiqueouunproduitdetatouage Qui déclare? Tout professionnel de santé Aqui?ANSM

AUTRES VIGILANCES 33

34 Identito-vigilance Objectif:sécurisationdel identitédupatientàtouteslesétapesdesaprise en charge La gestion de l'identité est devenue une Pratique Exigible Prioritaire (PEP) dans la démarche d'accréditation Conformément à cette instruction, les données d'identification permettant d'identifier un patient au CHRU de Montpellier sont les suivants: Nomdenaissance(nomdefamille,nomdenaissance) Nom usuel, nom d'épouse, Date de naissance, Sexe. + document officiel d état civil avec photographie

35 Infectiovigilance Surveillance et prévention des infections associées aux soins acquises à l hôpital, ou infections nosocomiales, qui peuvent atteindre les patients mais aussi les professionnels de santé, Action d information/formation Évaluation des programmes spécifique de maitrise du risque infectieux Surveillance, signalement, veille et alerte Surveillance des infections associées aux soins, des infections du site opératoire, enquête annuelle de prévalence des IN, surveillance de l environnement des patients, surveillance des BHR Signalement via dispositif de signalement interne/chu/chg Signalement l équipe d hygiène hospitalière/ CLIN

36