COMMUNIQUE DE PRESSE



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Dossier de Presse

COMMUNIQUE DE PRESSE Mémoire Vive - projet audiovisuel recueillant les récits de vie et témoignages de personnes âgées L équipe Mémoire Vive invite les personnes du quatrième âge qui le désirent à partager leur histoire au travers de films vidéo d une vingtaine de minutes. Après un entretien filmé, les extraits recueillis sont montés et illustrés avec des photos du participant. L interviewé reçoit ensuite sa propre cassette. Créé en 2000 par l ASBL «Vivre Chez Soi», service d aide à domicile de Watermael-Boitsfort, Mémoire Vive a déjà réalisé une vingtaine de cassettes sur fonds propres. Fiche Technique 1. Projet: cassettes vidéo d'environ 25 minutes reprenant les témoignages, souvenirs et anecdotes de personnes du quatrième âge 2. Sujets des interviews: la guerre 40-45, la Résistance, les métiers et le quotidien d'antan, l'évolution sociale, technique et économique, le Congo,... 3. Objectifs poursuivis: Dynamiser l image de la personne âgée en lui réattribuant un rôle actif de «Porteur d histoire» Resserrer les liens familiaux Favoriser la transition entre générations en familiarisant les jeunes avec un passé trop peu connu. 2

Mémoire Vive - Projet audiovisuel pour personnes âgées Cinq générations sur terre Pour la première fois dans l histoire, nous sommes les contemporains d une époque où quatre voire cinq générations coexistent. Le nombre de personnes du quatrième âge (80 ans et +) est en croissance en Belgique comme partout en Europe. Actuellement, notre durée de vie moyenne a augmenté de deux mois par an au cours de la dernière décennie. Parallèlement, si en 1971 le nombre de personnes isolées en Belgique représentait 6% de la population, il en représente aujourd hui plus de 14%. Rappelons que la majorité d entre elles sont des personnes âgées. 1 Pour contrer cette évolution, on assiste fort heureusement depuis plusieurs années à une volonté d intégration. Ainsi de nombreuses initiatives et notamment des projets intergénérationnels, voient le jour (rencontres entre jeunes et seniors dans les écoles, excursions collectives, ). Mais on oublie souvent que pour les plus âgés, la perte d autonomie et le manque de mobilité rendent souvent ces activités inaccessibles. I. La création du projet Mémoire Vive Depuis 1960, l ASBL «Vivre Chez Soi» coordonne sur la commune de Watermael- Boitsfort un service d aide à domicile dont l objectif est de permettre aux personnes âgées et/ou handicapées de conserver un maximum d autonomie et d ainsi pouvoir vivre à domicile dans des conditions adaptées. Elle propose aujourd hui de nombreux services tels que : un service d aides familiaux(ales) et d aides ménagères une équipe technique pour de petites réparations, des travaux d aménagement, de rénovation, de jardinage, pour un déménagement, la livraison de repas à domicile (en collaboration avec le CPAS) Parmi ses plus de 300 bénéficiaires, l ASBL compte une vingtaine d hommes et près de 140 femmes de plus de 80 ans. A leur contact, nous avons constaté que la majorité d entre eux souffrait aujourd hui de solitude et d un manque de lien social, même lorsqu une relation avec la famille subsistait. Raconte moi le passé Un fossé semble en effet s être creusé entre les jeunes et leurs aînés, peut-être par manque de temps ou d intérêt d une part, par crainte de déranger ou d ennuyer d autre part, Dialoguer, échanger, ne paraît pas toujours facile quand on est séparé par 60 années ou plus. Mais en même temps, il y a là une incroyable richesse d expériences vécues par les aînés que la plupart des jeunes ne demande qu à découvrir et que les membres de la famille souhaitent connaître mieux. C est à partir de là que sont nées l idée et l envie de lancer un projet qui permette à la personne âgée de se réapproprier un rôle social de transmission, qui lui donne l occasion de s exprimer en ses propres termes, de verbaliser son expérience et ceci 1 Chiffre issu du site de l Institut National de Statistique : www.statbel.fgov.be 3

dans une optique de partage. Plus besoin de se déplacer, l interviewer vient chez la personne et, en intermédiaire neutre, lui redonne la parole. Mettre un visage sur des mots Le choix du support audiovisuel s imposait pour plusieurs raisons. D un côté, il semble être le support contemporain par excellence, facilement accessible aux jeunes générations. Par ailleurs, associer l image au son crée davantage de proximité et rend le témoignage plus authentique. De plus, l écart existant entre l image et le récit incite à aller au-delà des apparences : derrière chaque visage ridé se cache une histoire, une jeunesse, une vie. Le résultat filmé permet de faire partager ses expériences avec la famille, les amis, etc. sans devoir forcément se déplacer. Des copies de la cassette peuvent être commandées à tout moment par le participant. La mémoire, source de lien social L initiative agit sur 3 niveaux et tente de tisser des liens entre eux. 1. Le participant Le cœur de la démarche est l écoute. Les entretiens sont des moments privilégiés d échange auxquels la perspective d une projection de la cassette dans le cercle familial et même au-delà ajoute une dimension sociale. Au cours de l élaboration de la cassette, la personne reprend possession d un rôle actif dans la transmission de savoir et de valeurs véhiculées par le quotidien. Participer à un tel projet ne se fait pas sans peine et exige des participants un travail de préparation et de recherche. Il s agit de revisiter le passé, de clarifier des souvenirs parfois enfouis depuis longtemps, d établir des comparaisons, de structurer le propos, de mettre des mots sur le ressentis. L échange, la recherche et le résultat final redonnent confiance dans la capacité de se remémorer ses souvenirs. 2. La famille Transmettre ses souvenirs aux descendants est vital pour la cohésion et la solidarité au sein d une famille. Souvent, enfants et petits-enfants d un côté, grands-parents ou arrière grands-parents de l autre, sont figés dans des rôles dans lesquels chacun s est installé depuis longtemps. Partager ses souvenirs d antan peut alors éveiller un intérêt endormi, relancer un dialogue et renouer des liens familiaux. Les enfants et petits-enfants ayant accompagné leurs parents dans un travail de recherche de photos nous ont confié combien cette expérience leur avait permis de resserrer des liens. Par ailleurs, ces films constituent un souvenir précieux, la technique audiovisuelle présentant l avantage de reproduire fidèlement chaque intonation, chaque expression familière. 3. La collectivité L objectif plus large du projet «Mémoire Vive» est de lier l intérêt public du recueil de témoignages à l intérêt privé de la transmission familiale. L intérêt du récit de vie réside ici dans sa spécificité, son caractère vivant et souvent insolite. Confronté à d autres sources, il peut ainsi être appréhendé comme une approche complémentaire de l Histoire (communale, régionale, ). 4

II. Etapes de réalisation d une cassette Mémoire Vive Le premier contact Ce sont les aides familiaux(ales) de l'asbl qui, entretenant un contact régulier avec les personnes, les informent de l'existence du projet. Si la personne semble intéressée, l'aide familial(e) nous en fait part et nous suggère de l'appeler. En tant que personnes relais, les aides familiaux(ales) nous signalent également des spécificités dont il est préférable de tenir compte (état de santé de la personne,...) et stimulent ou rassurent le participant, ce qui favorise souvent le premier contact. La (les) rencontre(s) préliminaire(s) Lors de la première rencontre, nous présentons le projet plus en détail, exposons notre démarche, nos motivations et expliquons à l intéressé la manière dont se déroulent les interviews. Cet entretien a aussi pour but de faire connaissance, d'établir un rapport de confiance, de répondre aux éventuelles interrogations et/ou craintes de la personne (vais-je être capable de m'exprimer clairement, comment vais-je passer à l'écran,...?). Le jour même ou lors d'un autre rendez-vous, nous proposons au participant de nous parler librement d'une partie de sa vie, et ce, hors caméra. Nous nous tenons à sa disposition pour l'aider à définir un fil conducteur dans son récit. Lors de la /des séance(s) d'enregistrement, l'interview se déroule comme un entretien. La recherche de documentation Nous incitons les participants à rechercher d'anciennes photos ou d'anciens documents nous permettant d'illustrer le film vidéo. Ceux-ci peuvent servir de support au récit et jouer un rôle d'aide-mémoire, facilitant pour certains la structuration des souvenirs. Le montage Le montage est réalisé sur ordinateur dans les locaux de l'asbl. Y sont intégrés les photos et documents personnels amenés par la personne mais parfois également d autres illustrations récoltées par l équipe (vieilles cartes postales, photos d époque). La remise de la cassette. Le participant visionne le montage final, soit en compagnie de la personne qui a réalisé l interview, soit, si elle le souhaite, en toute intimité. La diffusion Dans la plupart des cas, ce sont d abord les proches (enfants, petits-enfants, amis, voisins...) qui vont visionner la cassette. Parfois, ils ont déjà accompagné leurs aînés dans la recherche de documentation. L année dernière, nous avons tenté d élargir la diffusion des cassettes déjà réalisées. Ainsi, des extraits ont été montrés : - à des élèves du secondaire, dans le cadre d un projet pédagogique pilote dans une école en Wallonie - lors du week-end «Watermael-Boitsfort Ma découverte» organisé par la commune - dans le cadre de l exposition «10 ans, 10 regards» organisée par l Association de la Ville et des Communes de la Région de Bruxelles-Capitale. 5

III. Conclusion Reconnaître l impact vital du rôle de transmission pour une personne du quatrième voire du cinquième âge nous semble capital. Connaître le parcours de l autre, son histoire et ses expériences est important tant au niveau familial, qu au niveau communautaire. Cela nous permet de comprendre d où nous venons, de quelle histoire et de quelle Histoire, nous sommes le prolongement C est aussi une condition de respect mutuel dans la cohabitation entre générations. Conserver les traces du passé est également un facteur de cohésion sociale pour l ensemble des habitants d une commune. Il nous semble donc essentiel de participer dès aujourd hui à la création et au développement de ces espaces de rencontre, de dialogue et d échange qui sont le terreau de demain. Sans prétention aucune, Mémoire Vive essaie de contribuer avec ses petits moyens à cet objectif. Mais nous avons besoin de vous! Nous ne pourrons porter ce projet vers d autres horizons ni lui donner les moyens de ses ambitions sans l appui du politique et de ses subsides, sans les relais incontournables que sont les médias, sans toutes les bonnes volontés, les bonnes idées et les talents. Contacts Mémoire Vive: Maïté Renquet Alice Latta Jack Vandersmissen e-mail : memoirevive@vivrechezsoi.be Tel : 02/660.58.71 6

Le public de l ASBL «Vivre chez soi» 1. Age des bénéficiaires en 2003 ÂGE 32 28 Série 1 24 20 16 12 8 4 0 40-49 50-59 60-69 70-79 80-89 90+ 2. A partir de 70 ans, on retrouve plus de deux fois plus de femmes que d hommes par tranche d âge. ÂGE 30 HOMMES FEMMES 20 10 0 40-49 50-59 60-69 70-79 80-89 90+ 7

Perspectives de population 2000-2050 pour la Belgique par groupe d'âge (source: SPF Economie - INS, Statistiques démographiques) 6.000.000 5.000.000 4.000.000 3.000.000 2.000.000 1.000.000 0 2000 2010 2020 2030 2040 2050 0-19 ans 2.416.147 2.344.140 2.274.612 2.272.188 2.243.270 2.228.643 20-59 ans 5.615.112 5.681.656 5.521.385 5.279.113 5.221.584 5.166.305 60-64 ans 518.665 649.030 722.633 695.854 637.833 658.309 65 ans et plus 1.730.746 1.854.864 2.205.198 2.647.133 2.861.945 2.899.324 8

Participation au week-end «Watermael-Boitsfort Ma Découverte», octobre 2004. 9

Participation à l exposition 10 ans /10 regards organisée dans le cadre des 10 ans de «l Association de la Ville et des Communes» de la région de Bruxelles-Capitale. 10

Aperçu des films réalisés par «Mémoire Vive» : 11

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