DÉPARTEMENT DE L'ENERGIE ET DES MINES Division de la Communica on Mardi 20 janvier 2015
SOMMAIRE Abdelkader Amara à la semaine de durabilité d Abou Dhabi. éco Energies renouvelables : La stratégie marocaine présentée à Abou Dhabi. Les ventes des phosphates se stabilisent en 2014. Domaine des énergies renouvelables : Le Maroc est devenu un grand acteur régional. R & D : Les chercheurs se ruent sur le fonds OCP. Libéralisa on du carburant : Harvard accompagne Vivo Energy. Solaire expo : Du 24 au 27 février à Casablanca. اعمارة يسعى إلى استقطاب استثمارات إماراتية في مجال الطاقة. أكد عبد القادر اعمارة وزير الطاقة والمعادن والماء والبيئة أول أمس األح د ب أب وظ ب ي أن ال م غ رب أضحى فاعال جھويا كبيرا في مجال إنتاج الطاقات المتجددة. استثمارات التنقيب واالستكشاف المعدني بمنطقة تافياللت وفكيك قد تصل إلى 100 مليون درھم سنويا. الزيادات في فواتير الكھرباء تلھب جيوب المواطنين بجماعة أورير.
Info NET challenge.ma challenge.ma menara.ma agenceecofin.com Brésil : OCP poursuit sa conquête. Gérer l eau entre le coût de produc on et la préserva on de la ressource. La chute du brut n'aurait pas d'impact sur les énergies renouvelables (ministre émira ). Pétrole/Algérie: un prix de baril autour de 37 40 dollars est possible, début février, selon l expert Saïd Beghoul. akhbarona.com الشركة االسبانية ريبسول تتوقف عن التنقيب قبالة جزر الكناري. Eco Marché
Info NET www.challenge.ma Brésil : OCP poursuit sa conquête. OCP poursuit la conquête du marché brésilien. L entreprise vient de se porter acquéreur de 10% des ac ons d un des leaders du marché brésilien des engrais, Fer lizantes Heringer S.A, et la signature d un contrat de vente à long terme de produits phosphatés. Ce e opéra on, qui a mobilisé une enveloppe budgétaire de 145 millions de réaux brésiliens, soit environ 509 millions de dirhams a été menée par la filiale de l office, OCP Interna onal. L acquisi on a été finalisée suite à une augmenta on du capital de la société qui a été approuvée par les ac onnaires de Heringer, après l octroi de toutes les autorisa ons réglementaires requises à la fois par les autorités marocaines et brésiliennes. www.challenge.ma Gérer l eau entre le coût de produc on et la préserva on de la ressource. Le Maroc a beaucoup inves dans ses barrages, a mis en place une loi sur l eau, mais a con nué à vivre dans la difficulté face à l eau. Ce n est pas seulement dans les caprices de la nature que se trouvent nos problèmes, mais aussi et surtout dans l acte humain. Notre agriculture con nue de dilapider une grande quan té d eau et nos usines ainsi que nos villes, con nuent de polluer. Par Driss Al Andaloussi. L eau souterraine est exploitée en dehors de la loi et les pollueurs sont toujours protégés par le vide juridique. Le ministère délégué chargé de l Eau compte ouvrir un chan er de réforme. Espérons un abou ssement à ce e volonté et surtout un lendemain meilleur en ma ère de ges on de ce e ressource vitale pour l économie pour la vie. Une décennie après l adop on de la loi sur l eau Depuis une décennie, le gouvernement a lancé une réflexion sur la ges on de l eau. Le Maroc est un pays qui est connu par son stress hydrique et par sa poli que volontariste en ma ère de stockage des eaux de pluies. Les barrages dont la construc on s est intensifiée depuis les années soixante dix ont évité au pays des crises dont les affects auraient été catastrophiques. Mais l accès à l eau reste au centre des problèmes de beaucoup de marocains dans le monde rural et notamment, dans les régions montagneuses et déser ques. Le Maroc avait besoin d une loi pour mieux gérer ses ressources en eau. Un nouveau cadre juridique et ins tu onnel a été mis en place. Un conseil supérieur de l eau, du climat et des agences de bassins a été créé. Les concepts d «u lisateur payeur» et de «pollueur payeur» ont fait leur appari on dans le paysage ins tu onnel et financier.
Un diagnos c réaliste reste une poli que courageuse Dix ans après, il semble que les résultats escomptés n ont été que par ellement a eints. Les insuffisances en ma ère de ges on, de développement et de la préserva on des ressources sont notoires. Le diagnos c fait par les services du ministère délégué chargé de l eau s est a aqué à la structure du texte de 1995 et à l insuffisance des disposi ons juridiques pour perme re une ac on efficace dans la ges on de ce secteur. L ambiguïté des termes est relevée et l exploita on des eaux usées ainsi que la protec on contre les inonda ons n est pas structurée sur le plan juridique. Le diagnos c permet de constater d autres points de faiblesse, comme la complexité des mécanismes de ges on du domaine public hydraulique et notamment, les autorisa ons de creusement des puits. Pire encore, le rejet des eaux usées dans la mer, l assainissement, le dessalement de l eau de mer, le partenariat public privé et l organisa on des mé ers de creusage des puits restent en dehors de la structure juridique. Le chan er de la réforme devait s ouvrir pour pallier les insuffisances et surtout pour faire face à la grande probléma que de ges on et de préserva on des ressources limitées du pays. En plus de la reformula on des disposi ons de la loi pour plus d homogénéité et de cohérence, les ques ons rela ves aux rejets dans la mer, de la réu lisa on des eaux usées et de l organisa on des mé ers de l eau méritent une réflexion profonde pour arriver à un texte et surtout à dégager les moyens pour me re effec vement en place une police de l eau. Qu avons nous réalisé en ma ère de paiement de l eau Le diagnos c n a malheureusement pas fait état d un bilan financier pouvant faire ressor r les rece es réalisées suite au creusage des puits et à leur exploita on en dehors des contrôles. La pollu on est un axe central et très cri que. Beaucoup de décharges publiques tradi onnelles menacent les ressources souterraines. L infiltra on du lixiviat dans les eaux pourrait les condamner pendant plusieurs décennies. La police de l eau est plus que nécessaire pour contrôler un secteur qui draine des inves ssements publics évalués à 20 milliards de DH annuellement. L u lisa on de l eau au Maroc, reste prédominée par le secteur agricole avec 90%. L eau potable ne représente que 9% et les eaux des nées au secteur du tourisme représentent 1%. Le déficit en ma ère d accès à l eau potable dans beaucoup de centres ruraux et de villages, devrait inciter l Etat à intensifier ses encouragements à l u lisa on des méthodes modernes d irriga on. Les barrages coûtent chers et les canalisa ons de transport de l eau le sont aussi.
www.menara.ma La chute du brut n'aurait pas d'impact sur les énergies renouvelables (ministre émira ). Abou Dhabi, 19 janv. 2015 (MAP) La chute des prix du pétrole n'aurait pas d'impact sur le développement des énergies renouvelables, a affirmé, lundi à Abou Dhabi, le ministre d'etat des Emirats arabes unis, Sultan Al Jaber. "Ce secteur a dépassé la phase où il pouvait être affecté par les prix du pétrole" qui ont chuté de plus de 50 pc depuis juin, a indiqué le ministre à l'ouverture d'un forum sur les énergies du futur à Abou Dhabi. A l'échelle mondiale, les inves ssements dans les énergies nouvelles ont progressé de 16 pc en 2014, a eignant 310 milliards de dollars, et la capacité de produc on des éoliennes et des parcs solaires s'est renforcée de 26 pc pendant la même période, à 100.000 mégawa s, a t il précisé. "L'énergie renouvelable est passée du statut de choix coûteux à celui de secteur concurren el", a expliqué M. Al Jaber, a ribuant ce passage à la baisse des coûts de produc on et les bonnes performances des technologies u lisées. Le responsable émira a appelé à saisir l'occasion de la chute des prix du pétrole pour réduire les subven ons aux carburants qui ont coûté au monde 550 milliards de dollars en 2013. Le forum fait par e d'une semaine consacrée au développement durable à Abou Dhabi où aura lieu également jusqu'au 24 janvier un sommet de l'énergie, ainsi qu'un sommet interna onal de l'eau. Pour sa part, l'agence interna onale pour les énergies renouvelables (Irena) ent sa réunion annuelle à Abou Dhabi où elle a son siège. Dimanche, l'irena et le Fonds d'abou Dhabi pour le développement (ADFD) ont annoncé des prêts à taux réduit d'un montant de 57 millions de dollars pour cinq projets d'énergie propres dans divers pays, dont l'iran. www.agenceecofin.com Pétrole/Algérie: un prix de baril autour de 37 40 dollars est possible, début février, selon l expert Saïd Beghoul. La tendance baissière du baril de pétrole laisse supposer une «probable stabilisa on autour de 37 40 dollars» dès les débuts de février 2015, a es mé ingénieur d Etat en géophysique et expert algérien Mohamed Saïd Beghoul, dans une interview au site économique Maghreb Emergent publiée le 15 janvier. Selon ce consultant en explora on et développement dans le domaine pétrolier, les prix con nuent à chuter de 2 à 5% par jour «mais pas de façon linéaire du fait de certaines périodes de stabilité durant 3 ou 4 jours». Il indique qu en restant sur ce e tendance baissière de seulement 1,5% par jour, le prix du baril sera d environ 37 dollars à fin janvier 2015.
«Cela suppose qu une probable stabilisa on autour de 37 40 dollars est à entrevoir dès les débuts de février 2015», a déclaré Saïd Beghoul, auteur d une cinquantaine de communica ons et publica ons dans le domaine pétrolier et possédant plus de trente années d expérience dans la branche explora on développement du pétrole et du gaz. Mais il aver t qu un prix inférieur à 40 dollars ne sera pas sans incidence sur l exploita on des schistes et l explora on pétrolière dans son ensemble. Il a fait état d une stabilisa on qui annoncera le «retour progressif vers une hausse, quoique mide, des prix qui a eindront la barre des 50 dollars vers le début de l été». Mohamed Saïd Beghoul explique la dégringolade du prix du baril par la coexistence de plusieurs facteurs techniques et économiques, dont la surabondance du pétrole sur le marché, alimentée par la produc on des schistes texans et qui a réduit les importa ons américaines en provenance de pays producteurs comme l Arabie saoudite. www.akhbarona.com الشركة االسبانية ريبسول تتوقف عن التنقيب قبالة جزر الكناري. كشفت الشركة االسبانية الدولية ريبسول المتخصصة في مجال التنقيب عن البترول عن قرارھا بوقف ال ت ن ق ي ب عن البترول في المياه اإلقليمية قبالة سواح ل الص ح راء ال م غ رب ي ة. وع ل ل ت الش رك ة ق رارھ ا األخ ي ر ب ك ون المؤشرات التي عثرت عليھا في السواحل المقابلة لجزر الكناري ال تشجع على االست م رار ف ي ال ت ن ق ي ب ع ن النفط. و ذكرت نفس الشركة انھا رصدت وجود غاز ونفط في المياه العميقة على بعد نحو خمسين ك ل م ف ي ج زي رت ي النزاروت وفويرتفانتورا المعروفتين بمناظرھما البركانية وشواطئھما الخالبة. لكن ن وع ي ة واح ج ام ال ع ي ن ات التي تم استخراجھا غير كافية "للتفكير بعمليات تنقيب محتملة" بحسب المجموعة. وأوضحت ريبسول أن "المخزونات التي تم اكتشافھا مشبعة بالمياه والمحروق ات ال م وج ودة م ح اط ة ب ق ش ور رقيقة وال يمكن استغاللھا". وبالتالي فان المجموعة لن تقوم بعمليات بحث اخرى في المنطقة وسترسل السفين ة المستخدمة في عمليات البحث ھذه إلى أنغوال حيث تقوم بعمليات استكشاف أخرى. وقد تسبب تراجع ال ن ف ط ف ي األسواق الدولية في إقدام عدد من شركات النفط الدولية على تجميد التنقيب عن النفط.
Eco Marché Energie Mines PETROLE OPEC 43.87 $/baril (+0.011) Brent (IPE) 47.69 $/baril (0.00) GAZ Gaz naturel 3.13 $/MBTU (0.00) (Sources : http://www.oil-price.net / http://www.opec.org) Métaux Cuivre 5 655.00 $/T (-1.10) Plomb 1 766.00 $/T (-0.23) Zinc 2 056.00 $/T (+0.91) OR Argent 1 666.00 Cts/ Once 1 275.50 $/Once (+1.37) (-6.08) Aluminium 1 798.00 $/T (+0.90) Nickel 14 355.00 $/T (-1.34) Etain 19 275.00 $/T (-0.93) (Source : http://bourse.lesechos.fr/matieres_premieres.phtml) Taux de Change Contre Dirham Cours achat Cours vente 1 EURO 10.8420 (+0.001) 10.9070 (+0.001) 1 DOLLAR U.S.A 9.3391 (-0.002) 9.3952 (-0.002) 1 LIVRE STERLING 14.1440 (-0.004) 14.2290 (-0.004) (Source : http://www.bkam.ma)