URML Ile de France. "Stockage et partage de données : Nouveautés Technologiques" 20 mai 2003



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Transcription:

URML Ile de France "Stockage et partage de données : Nouveautés Technologiques" 20 mai 2003 1

Plan! Les enjeux de l informatisation des réseaux de santé et les domaines de besoin (rappels)! Les modèles de stockage du système d information! Trois méthodes de partage " le «dossier commun,partagé, communicant» " le «panier commun» " la recherche de l information répartie»! Quelles perspectives? 2

Les enjeux de l informatisation des réseaux de soins (rappels)! Une perception des enjeux qui diffère selon les acteurs " Praticiens et acteurs sociaux Faciliter la communication et l échange d informations dans la prise en charge de patients Améliorer la visibilité sur le parcours du patient Accéder à des références partagées dans le processus de prise en charge " Organisateurs (coordonnateurs des réseaux) Favoriser le développement du réseau en utilisant les possibilités offertes (cf supra) par l informatisation du réseau Faciliter le processus d évaluation du fonctionnement du réseau et de l atteinte des objectifs du réseau Communiquer sur l existence du réseau, en assurer la promotion " Financeurs Favoriser les pratiques coopératives contribuant notamment au décloisonnement ville-hôpital Faciliter l évaluation de l utilité des investissements engagés Articuler les prestations spécifiques éventuellement versées dans le cadre du réseau " Patients?? Des patients en réalité peu impliqués jusqu à ce jour dans les processus «d industrialisation» de la circulation des informations les concernant au premier chef 3

Les domaines de besoin Favoriser le travail coopératif Annuaire Annuaire des des acteurs acteurs du du réseau réseau Messagerie Messagerie Agenda Agenda Favoriser la visibilité sur le réseau Site Internet Site Internet Partager l information de santé Serveur de fiches Serveur de fiches Dossier Dossier médical médical commun commun Dossier Dossier partagé partagé «Modèle unifié» «Modèle unifié» Favoriser l évaluation Anonymisation Anonymisation Requêtes Requêtes Infocentre Infocentre 4

Les modèles de structuration du système d information! Structuration du contenu : 3 modèles existent Modèles utilisés Bases de données relationnelles Bases de données «objets» Modèle «expérimental» Ex : «Modèle unifié» Gestion de tables d information structurées Ex : consultations, symptômes Avantage une structuration simple et traditionnelle pour la «fabrication informatique» Inconvénient un maillage trop fin de l information est difficilement gérable dans ce type d architecture Gestion d objets d information Ex : organes, pathologie Avantage Ouverture vers la gestion de documents de type fiches Inconvénient La complétude est réalisable au prix de développements de nombreux objets Structuration de l information sur la base des techniques des langages naturels Avantage Représentation individuelle des informations compatible avec un partage d informations cohérentes Inconvénient Grande complexité de mise en pratique 5

Les modèles de structuration du système d information! Quelles que soient les implantations (praticiens libéraux, établissements), les informations sont organisées selon un mode spécifique! Les principaux points de divergence concernent : " L identification du patient (identifiant spécifique) " L organisation des données (administratives, état du patient, suivi, compterendus ) " Les modalités de restitution de cette information! Malgré l utilisation de normes internationales (CIM-X, normes OMS ), la symétrie de la sémantique des informations n est pas assurée entre les systèmes de mémorisation de l information! Les outils utilisés proposent une structuration apte à mémoriser la majorité des données «objectives» mais ne peuvent répondre autrement que par du texte libre (non structuré) à la mémorisation d informations «subjectives» Échanger «l inéchangeable»? 6

Les modèles de structuration du système d information! Un élément structurant dans la réponse informatique aux besoins d informatisation des réseaux : «INTERNET»! Le potentiel offert par un média s appuyant sur des protocoles de communication désormais répandus " La tentation de considérer que le poste de travail peut devenir un «super navigateur» " Un terme qui regroupe des réalités différentes selon les variables qu on lui applique : Sécurité des connexions et du trafic Haut débit ou non Ligne permanente ou non! Une «évidence» partagée en réalité par une minorité de citoyens et parmi lesquels les professions de santé ne font pas exception. 7

L accès aux données partagées : une évolution incontournable! Une évolution incontournable vers l utilisation systématique d une carte d authentification : la CPS! Un foisonnement de solutions basées sur l utilisation de cette carte, exemples : " Sign&Go Santé (société Ilex), solution d authentification forte : la carte CPS véhicule l identité du professionnel de santé. " «Messagerie Santé», de France Telecom, permet de sécuriser les échanges électroniques de données. Elle est compatible avec n importe quel fournisseur d accès à Internet et fonctionne avec toutes les autres solutions (en cours d homologation par le GIP «CPS») " Schlumberger / Sema vient de présenter le prototype de sa solution «Vitale en ligne» où Internet, via la CPS et la carte Vitale, permet le partage d informations entre les différents organismes et les professionnels de santé en toute sécurité 8

L accès aux données partagées : une évolution incontournable! Une évolution significative de la CPS, le conseil d administration du GIP «CPS» a voté en outre 18 janvier 2003 le principe à terme de la sortie des données d assurance maladie (DAM) de la CPS : la CPS redeviendrait alors «un outil générique, qui garantit à la fois sécurité et confidentialité...»! «L arrivée du haut débit et la mise en service des messageries intercommunicantes vont modifier considérablement l environnement informatique actuel. Le RSS, détenteur de la concession de service public pour la télétransmission sécurisée des FSE, vit ses derniers mois. D autres solutions vont être offertes aux professionnels de santé pour télétransmettre les FSE ; en particulier les messageries sécurisées basées sur la CPS. Elles sont en cours d homologation par le GIP CPS» Panorama du Médecin, Informatique, ce qui va changer pour vous (Serge Bernaderette ) 13 mars 2003 235 320 professionnels de santé sont aujourd hui en possession de leur carte CPS 209 150 CPE sont en circulation 9

Les modèles de structuration du système d information Favoriser le travail coopératif? 10

Trois méthodes de partage Favoriser le travail coopératif? Méthode 1 «Le dossier commun» Dossier commun partagé 11

Méthode 1 : le «dossier commun,partagé, communicant» Principes! Centralisation de l information concernant les patients au sein d un dossier unique " Récupération de l information depuis le poste de travail des professionnels : Par utilisation de l interface normalisé de son logiciel habituel (RARE ) Par re-saisie de l information (très fréquent )! Gestion des accès (mise à jour, consultation, création) selon des principes habituels de gestion de profils informatiques! Utilisation non systématique d une carte d authentification sécurisée (CPS ou assimilée) et très fréquente du couple «identifiant + mot de passe»! de manière caricaturale, ce type de dossier a pour vocation (pour certains acteurs) à devenir une image fidèle de l ensemble des informations concernant un patient (accentué par les volontés de synchronisation forte avec le logiciel du praticien) 12

! La loi du 4 mars 2002, relative aux droits des malades et à la qualité de système de santé démontre la volonté du législateur d instaurer un corpus de règles fondateur d un «droit des malades». Cette loi rappelle que la «conservation sur support informatique» et «la transmission par voie électronique entre professionnels» des informations médicales personnelles doivent respecter des règles qui seront définies par décret. Ce décret devra déterminer les cas dans lesquels les professionnels de santé doivent obligatoirement utiliser la carte professionnelle de santé (CPS). 13

Méthode 1 : le «dossier commun,partagé, communicant» Justifications de ce modèle! Simplicité technologique de mise en œuvre (Internet, bases de données relationnelles, )! Modèle simplificateur permettant de mémoriser de nombreuses informations accessibles facilement par une communauté d utilisateurs référencés! Une réponse induite à l archivage et l historisation d informations de santé d un réseau de soins (contexte médico-légal)! Une centralisation de l information facilitant le processus d évaluation! Une approche centralisée de l information qui correspond : - Au «schéma de pensée» d organismes institutionnels (financeurs), notamment dans une perspective d évaluation - A l approche des fournisseurs de solutions (logiciel et hébergement de données) dans la logique Internet 14

Méthode 1 : le «dossier commun,partagé, communicant» Les limites de ce modèle! En l absence d interfaces avec les systèmes existants : double saisie " Corollaire : quelle pertinence des interfaces?! Seules des informations d une durée de vie relativement longue (pathologies lourdes, situation sociale.) sont pertinentes dans un tel dossier! Le principal problème dans la mise en œuvre : " Comment concilier une approche «collectiviste» de l information avec une organisation dont les centres de production de l information et de décisions sont répartis dans lesquelles les enjeux de pouvoir, de reconnaissance et les logiques financières sont présents sans être «formalisables»? 15

Trois méthodes de partage Favoriser le travail coopératif? Méthode 2 «Le panier commun» Serveur de fiches DMMP 16

Méthode 2 : «Le panier commun» Principes! Attachement de documents (fiches, document bureautique, images..) concernant un patient à un dossier unique " Gestion événementielle de l information " Association ordonnée mais sans structuration a priori de l ensemble des informations stockées! Mise à jour des informations essentielles concernant les patients (état général, décision thérapeutique..) régie par une habilitation spécifique ou des décisions collectives (UCP en cancérologie par exemple)! Utilisation non systématique d une carte d authentification sécurisée (CPS ou assimilée) et très fréquente du couple «identifiant + mot de passe» 17

Méthode 2 : «Le panier commun» Justifications de ce modèle! Moins d éléments du dossier patient à structurer en commun entre les acteurs! Evolutions technologiques permettant de gérer des informations structurées ainsi que des documents électroniques (images, comptes-rendus )! Emergence de normes d échanges et de présentation (XML)! Une plus grande compatibilité avec l organisation du processus de prise en charge (succession d appréciations de situations évolutives) 18

Méthode 2 : «Le panier commun» Limites de ce modèle! Automatisation de l export d informations vers le serveur directement liée aux formats d échanges supportés par l outil utilisé quotidiennement par le praticien! Vision de synthèse et processus d évaluation moins aisé (sur les données de productions de soins du réseau) que dans l hypothèse d une base centralisée 19

Trois méthodes de partage Favoriser le travail coopératif? Méthode 3 «La recherche de l information répartie»? Serveur d identification Serveur d habilitation 20

Méthode 3 : «La recherche de l information répartie» Principes! Aucune pratique pour deux raisons majeures : " Pas d identification unique des patients " Pas d organisation définie pour la gestion d un serveur d identification et la gestion des droits d accès aux informations réparties! Une solution " Technologiquement faisable " Compatible avec les processus quotidiens de prise en charge par les praticiens " Susceptible de ne pas masquer la relation directe entre deux sources informations (deux praticiens) par un «nuage de données» " Limitant les risques sur la sécurité d informations centralisées sur un patient! Des solutions à trouver cependant pour : " L historisation des données ayant servi au suivi d un patient dans le cadre du réseau " La collecte cohérente d informations nécessaires aux évaluations 21

Quelles perspectives?! Le modèle d une structure centralisée des informations des réseaux de santé peut devenir un modèle par défaut " Par absence d identification unique des patients " Par la pression de l offre de systèmes d information dédiés! Plusieurs facteurs peuvent peut être influer à court terme sur cette tendance lourde " Les nouvelles dispositions relatives à l accès du patient à ses informations Finalement, où se trouve l information ayant une valeur médico-légale? " Des problèmes de rupture de la chaîne de confidentialité liés à l utilisation de mécanismes n offrant pas les conditions maximales de sécurité Absence de carte d authentification sur des réseaux de communication non sécurisés Hébergement par de petites structures.! L évolution à court terme vers des mécanismes d accès à une information répartie ne semblent cependant pas réaliste en l état actuel des dispositions opérationnelles et des moyens engagés par les pouvoirs publics et les mécanismes de tutelle " Des initiatives régionales sont cependant possibles et deviennent dans certains cas urgentes en raison de la pression des demandes de financement 22