Des études pour un emploi

Consultation «Universités entreprises» http://www.universites-entreprises.com Des études pour un emploi Premiers résultats filière par filière Mai 6 Union nationale interuniversitaire 8 rue de Musset 7516 Paris http://www.uni.asso.fr

Sommaire Méthodologie p. 3 Edito p. 4 Le projet professionnel pp 5-13 Les relations Universités / Entreprises pp 13-15 Synthèse P. 16-17 Annexes pp 18-19 2

Méthodologie La consultation «Universités entreprises» en chiffres questionnaires édités et distribués 41 2 questionnaires remplis Présentation du questionnaire Répartition des étudiants ayant rempli le questionnaire selon leur filière : Filière Nombre Droit 9493 Eco/AES 51 Lettres/Sciences Humaines 7351 Sciences 5774 IUT 6793 Ecoles 6551 Total 412 La consultation a débuté au mois d octobre 5 et s est achevée fin février 6. Les questionnaires ont été distribués dans l ensemble des universités françaises (à l exception de l université de CORTE) et dans 56 grands établissements ou écoles. Les questionnaires ont soit été distribués de la main à la main (environ 7 %), soit remplis à l occasion de l une des 436 tables organisées au sein des établissements pour présenter la consultation et faire remplir les questionnaires. Le fort taux de retour (13,7 %) s explique, en grande partie, par la tenue de ces tables. Nous avons reçu 8112 questionnaires remplis par voie postale (soit un taux de retour par cette voie d environ 3,8 %) et 32 99 questionnaires ont été renseignés sur place. Les premiers résultats se basent sur le dépouillement de la moitié des questionnaires, répartis filière par filière. Les 17 questions du questionnaire s inscrivent au sein de trois grands chapitres : Votre projet professionnel Les relations universités / entreprises Quelles solutions proposer? La durée moyenne nécessaire pour remplir le questionnaire est de 3 minutes. 3

EDITO «Le diplôme est un bouclier contre le chômage!» Cette affirmation a longtemps été scandée comme un slogan. Ainsi, la direction des études et de la prospective du ministère de l Education nationale constate que «le risque de chômage dépend étroitement du niveau de diplôme. Parmi les jeunes qui ont terminé leurs études depuis un à quatre ans et sont économiquement actifs, 42 % n ayant aucun diplôme ou seulement un diplôme national du brevet sont au chômage au premier semestre 4, pour 21 % des diplômés des CAP, BEP et baccalauréat et 13 % des diplômés de l enseignement supérieur.» - Repères et statistiques 5, chapitre 8 - Pourtant, s il est vrai que le chômage des jeunes touche davantage les moins qualifiés, cela ne signifie pas que les «sortants du supérieur» en soient totalement épargnés. Si un diplôme de l enseignement supérieur atténue les risques de chômage, son efficacité en la matière diminue depuis quelques années. Pour preuve, le taux de chômage des diplômés du supérieur en 1 représente en mars 4 presque le double de celui, en mars 1, des jeunes ayant fini leurs études en 1998. Au-delà du seul taux de chômage à trois ans, les difficultés d accès à l emploi des jeunes issus du supérieur se mesurent grâce à différents critères : 1. Le rapport entre le diplôme et l emploi obtenu (risque important de déclassement). 2. Le niveau de rémunération atteint. 3. La nature du contrat obtenu (CDI, CDD, mission d intérim) 4. L accès au statut «cadre». 5. Le temps d accès à un emploi. Trop souvent, le problème de l emploi des jeunes n est abordé que par le biais de statistiques générales dont la pertinence demeure faible tant les différences en matière d accès à l emploi sont très nombreuses selon les filières suivies et les diplômes obtenus. On ne peut donc pas analyser de façon opérationnelle la situation de l accès à l emploi des jeunes sortants de l enseignement supérieur en additionnant des élèves ingénieurs, des diplômés de licence de psychologie, des titulaires de BTS ou de DUT, des docteurs de physique et des non diplômés. C est pourquoi, cette première partie de l étude des résultats de la Consultation «Universités entreprises» s attache à présenter des résultats filière par filière. La méfiance et la méconnaissance réciproque qui demeurent entre le monde de l entreprise et celui de l enseignement supérieur (étudiants et enseignants) est à l origine de cette consultation. Une meilleure connaissance des attentes et des spécificités de chacun est un préalable pour que puisse avoir lieu un rapprochement fécond entre ces deux univers. Cette première partie de notre étude s attache à analyser les perceptions qu ont les étudiants de leur projet professionnel, ainsi que des relations universités / entreprises existantes. 4

Le projet professionnel Question 1 : Diriez-vous que votre projet professionnel est : Diriez-vous que votre projet professionnel est : 7 5 49 46 43 46 51 38 27 29 21 22 21 18 17 17 14 11 7 6 6 6 3 précis flou modifiable vous n'en avez pas 2 Les étudiants qui ont un projet professionnel précis sont peu nombreux. L écart est de 27 points entre les juristes qui déclarent avoir à 38% un projet précis et les élèves d écoles qui ne sont que 11 %. C est au sein des filières universitaires (hors IUT) que l on trouve, à la fois, le plus d étudiants déclarant avoir un projet professionnel précis et ceux qui déclarent ne pas en avoir du tout. La filière «Lettre et SHS» est emblématique de cette situation, puisqu ils sont 14 % à affirmer ne pas avoir de projet professionnel (le taux le plus important) et 22 % à déclarer avoir un projet précis. On note que c est dans cette filière que la répartition entre les différentes réponses est la plus équilibrée. On peut ainsi dégager deux catégories d étudiants dans ces filières : - ceux qui choisissent l université par véritable choix (notamment en raison de l attrait de la discipline). - ceux qui n ont pas de projet et se retrouvent là par défaut A l inverse, on note un très fort déséquilibre pour le groupe des «écoles» et celui des «IUT». 77 % des élèves des écoles affirment avoir un projet modifiable ou flou. Ils sont, aussi, les moins nombreux à ne pas avoir du tout d idée sur leur avenir professionnel. Cela peut s expliquer par le fait que l orientation dans ces filières est majoritairement déterminée par l existence supposée d importants débouchés. Nombreux sont les étudiants qui 5

choisissent ces filières en raison des débouchés potentiels, ou de la méthode de travail. Ce n est souvent qu au cours de leur cursus qu ils préciseront leur projet. Question 2 : Comment pensez-vous avoir été orienté? Comment pensez-vous avoir été orienté? 5 45 43 35 29 28 33 26 34 32 26 31 25 15 17 16 12 11 18 15 11 14 12 15 5 6 4 8 6 4 7 5 4 6 8 8 3 5 3 très bien bien assez bien assez mal mal très mal Comment pensez-vous avoir été orienté? 9 8 77 77 7 63 71 72 5 37 29 28 23 23 ensemble positif ensemble négatif Les étudiants sont très nombreux à penser avoir été assez mal orientés, mal orientés ou très mal orientés (près d un tiers des étudiants). 6

Question 3 : Avez-vous déjà été réorienté? Avez-vous déjà été réorienté? 9 83 8 7 76 75 71 7 62 5 38 24 25 29 27 oui non Le taux de réorientation est lui aussi très élevé, puisque près d un tiers des étudiants sont concernés. Question 4 : A la fin de vos études, vous souhaitez? A la fin de vos études, vous souhaitez : 7 66 5 49 48 38 12 28 22 16 24 25 22 12 16 24 14 8 12 4 créer votre entreprise être indépendant intégrer la fonction publique être embauché comme salarié du secteur privé 49 % des étudiants de Lettres et Sciences Humaines et 48 % des étudiants scientifiques souhaitent intégrer la fonction publique suite à leurs études. 7

Les étudiants d IUT mais surtout d écoles souhaitent majoritairement être embauchés comme salariés dans le secteur privé. Ces étudiants souhaitent mener des études qui leur permettent d accéder à des postes importants dans des grands groupes. Les étudiants de droit sont quant à eux les plus nombreux à vouloir être indépendants, par le biais des professions libérales, qui sont pour beaucoup des professions de droit. Les étudiants d éco/aes montrent avec les étudiants d IUT le plus fort esprit d entrepreneuriat. Il existe finalement assez peu de surprises sur la destinée espérée des étudiants en fonction de leur filière. Question 5 : Votre formation universitaire vous parait-elle répondre aux exigences du marché du travail? Votre formation universitaire vous parait-elle répondre aux exigences du marché du travail? 9 88 8 74 7 58 64 64 5 42 36 36 26 12 oui non Les étudiants des filières universitaires hors IUT pensent plus que les étudiants d IUT et surtout d écoles que leur filière ne répond pas aux exigences du marché du travail. Ce résultat est surtout probant en Lettres et Sciences Humaines, où ce sont près des deux tiers des étudiants qui ont cette perception, ce qui dénote de l image très dégradée que projettent les étudiants de ces filières sur leur diplôme. Seulement 12 % des étudiants en écoles pensent que leur diplôme les prépare mal aux exigences du marché du travail, ce qui témoigne de la bonne image qu ils ont de leur diplôme. 8

Question 6 : Quel diplôme vous parait-il le plus adapté pour intégrer le marché du travail? Quel diplôme vous parait-il le plus adapté pour intégrer le marché du travail? Panel droit Droit Licence 4% Master recherche % Maitrise 2% thèse 4% BTS 12% DUT 3% Licence pro 4% diplôme d'école de commerce 18% Master professionnel 33% diplôme d'école d'ingénieur % Panel Economie /AES Master recherche 2% Licence 1% Maitrise 4% thèse 2% Eco/AES BTS 8% DUT 8% diplôme d'école de commerce % Licence pro 8% diplôme d'école d'ingénieur 8% Master professionnel 39% 9

Panel Lettres / SHS Master recherche 2% Licence 4% Maitrise 2% thèselettres/sh 2% diplôme d'école de commerce % BTS 34% diplôme d'école d'ingénieur 16% DUT 4% Master professionnel 16% Licence pro % Panel Sciences Sciences Licence 5% Maitrise 11% Master recherche 4% thèse 1% BTS 9% DUT 4% Licence pro 5% diplôme d'école de commerce 3% Master professionnel 21% diplôme d'école d'ingénieur 37%

Panel IUT IUT Licence 6% Master recherche 1% Maitrise 6% thèse 3% BTS 6% diplôme d'école de commerce 4% diplôme d'école d'ingénieur 8% DUT 34% Master professionnel 18% Licence pro 14% Panel Ecole Ecoles Master recherche (1 %) Maitrise (2 %) Licence ( 1 %) These (1 %) BTS 6% DUT 8% Licence pro 8% diplôme d'école de commerce 35% Master professionnel 13% diplôme d'école d'ingénieur 25% 11

Filière Droit Eco Lettres Science IUT Ecoles Total diplômes professionnalisant 8 % 81 % 9 % 79 % 84 % 95 % Total diplômes non professionnalisant % 9 % % 21 % 16 % 5 % Quelle que soit la filière, la perception des diplômes généraux est perçue négativement en termes d insertion professionnelle. Les étudiants d IUT et d écoles sont respectivement satisfaits de leur diplôme. Les étudiants de Droit et d Eco/AES ont une très bonne perception du master professionnel.. Ils ont aussi une bonne perception des écoles de commerce. Les étudiants de Sciences ont majoritairement une bonne perception des écoles d ingénieur. Les étudiants en Lettres et Sciences Humaines sont les plus insatisfaits de leur formation en termes d insertion professionnelle. Ils survalorisent eux aussi les diplômes professionnels, notamment les BTS. 12

Relations Universités Entreprises Question 7 : Avez-vous exercé une (ou plusieurs) activité(s) «professionnelle(s)» durant vos études? Si oui quelle en était leur nature(s)? Avez-vous exercé une (ou plusieurs) activité(s) "professionnelle(s)" durant vos études? Si oui, quelle en était leur(s) nature(s)? 7 64 61 61 63 5 49 44 42 32 35 19 18 16 21 25 18 12 23 12 28 28 24 15 7 8 Stages CDD CDI Petits boulots Plusieurs réponses étaient possibles, ce qui explique que le total des réponses par filière soit supérieur à %. 81 % des étudiants en droit, 84 % des étudiants en économie et AES, 82 % des étudiants en lettres et SHS, 75 % des étudiants en Sciences ; 78 % des étudiants en IUT et 89 % des élèves d écoles ont déclaré avoir exercé une activité professionnelle. Les étudiants de Sciences sont les moins impliqués sur le marché du travail pendant leurs études. La répartition des «styles» d emploi effectués fait apparaître une prédominance, quelles que soient les filières, des «petits boulots» 13

Question 8 : Si oui pensez-vous le signaler dans votre CV? Si oui, pensez-vous le signaler sur votre cv? 1 91 99 95 8 74 84 82 26 18 16 9 5 1 oui non La majorité des étudiants jugent suffisamment valorisant leur expérience professionnelle pour l indiquer sur leur CV. Cette perception positive est très forte chez les étudiants d IUT et d écoles, filière qui ont les liens les plus étroits avec les entreprises. Ce qui facilite la connaissance du fonctionnement du marché du travail et l importance de valoriser ces expériences professionnelles. Question 9 : L introduction de stages au sein de la formation représente-t-elle pour vous une valeur ajoutée? L'introduction de stages au sein de la formation représente-t-elle pour vous une valeur ajoutée? 1 92 94 93 92 98 99 8 8 6 7 8 2 1 oui non 14

Les stages sont plébiscités, quelle que soit la filière. 99 % des élèves d écoles et 93 % des étudiants de Lettre pensent que les stages représentent une véritable valeur ajoutée à leur formation. Question : Les stages doivent-ils être? Les stages doivent-ils être : 9 89 92 8 73 7 64 67 5 36 33 27 11 8 facultatifs obligatoires Une majorité forte des étudiants pensent que les stages devraient être obligatoires, surtout pour les étudiants en IUT et en écoles. Dans toutes les filières, même si l amplitude diffère très largement, les étudiants sont majoritairement en faveur de stages obligatoires au cours de leur cursus. 15

Synthèse Points positifs 1. Les stages plébiscités Selon la filière, les étudiants sont entre 92 % (Sciences) et 99 % (Ecoles) à penser que les stages constituent une véritable plus value pour leur formation. C est dans cet esprit, qu ils sont une majorité à demander des stages obligatoires au sein des cursus. Les filières qui ont déjà généralisées les stages obligatoires se trouvent ainsi confortées puisque 89 % des étudiants en IUT et 92 % des étudiants en écoles se déclarent favorables au caractère obligatoire des stages. C est en Lettres, qu ils sont le moins nombreux à souhaiter que les stages soient obligatoires, même si ces derniers sont malgré tout largement majoritaires (%). 2. Toutes les expériences professionnelles sont valorisées par les étudiants Quelle que soit la filière, les étudiants sont très nombreux à avoir eu une expérience professionnelle durant leurs études. (C.F. p 13) Cette expérience est majoritairement constituée de «petits boulots». Quelle que soit la forme de cette expérience professionnelle, les étudiants n hésitent pas à la valoriser en l indiquant sur leur CV. Ils sont entre 74 % en Droit et 99 % en IUT à déclarer qu ils signaleront cette expérience sur leur CV. 3. Les diplômes professionnels bénéficient de la meilleure image chez les étudiants. Quelle que soit la filière, la perception des diplômes professionnels est meilleure que celle des diplômes généraux en matière d insertion professionnelle. Les étudiants en Lettres et Sciences Humaines sont les plus insatisfaits de leur formation. Ils ne sont que 4 % à penser qu une licence est adaptée pour intégrer le marché du travail, alors qu ils survalorisent les BTS. (34 % des étudiants de Lettres jugent que ce diplôme est mieux adapté pour le marché du travail). 16

Points négatifs 1. Un projet professionnel fragile et peu précis Les étudiants ne sont pas nombreux à avoir un projet professionnel précis et ce, aussi bien dans les filières littéraires, 22 % en Lettres et SHS, que dans des filières professionalisantes comme les écoles 11% ou les IUT 17 %. La majorité des étudiants ont un projet «flou» qu ils sont susceptibles de modifier. Cela confirme les observations effectuées par l AFIJ. Selon cet organisme d insertion professionnelle des jeunes diplômés, plus de 5 % des jeunes diplômés (avec des écarts significatifs selon les profils) n ont, soit aucun projet professionnel, soit un projet professionnel peu réaliste, ou encore un projet professionnel initial qu ils abandonnent rapidement lorsqu ils sont suivis par cet organisme et confronté ainsi à la réalité du marché du travail. 2. Une orientation critiquée Près d un étudiant sur trois dans les filières universitaires (hors IUT) sont mécontents de leur orientation. Cela est d autant plus inquiétant qu une proportion non négligeable a déjà été réorientée. 17

ANNEXE Tableaux de résultats (résultats en pourcentages) Diriez-vous que votre projet professionnel est : précis 38 27 22 17 11 flou 49 46 43 46 51 modifiable 7 21 21 18 29 17 vous n'en avez pas 6 6 14 6 3 2 Comment pensez-vous avoir été orienté? très bien 6 8 4 11 6 3 bien 29 33 32 26 31 assez bien 28 26 34 43 assez mal 17 12 18 14 12 15 mal 16 11 7 5 8 5 très mal 4 6 15 4 8 3 ensemble positif 63 71 77 72 77 ensemble négatif 37 29 23 28 23 Avez-vous déjà été réorienté? oui 24 38 25 29 27 non 76 62 75 71 83 7 Envisagez-vous de le faire? oui 27 21 14 8 18 7 non 73 79 84 82 82 93 A la fin de vos études, vous souhaitez : créer votre entreprise 12 4 12 14 être indépendant 28 16 25 16 8 intégrer la fonction publique 38 49 48 24 12 être embauché comme salarié du secteur privé 22 24 22 66 18

Votre formation universitaire vous parait-elle répondre aux exigences du marché du travail? oui 58 64 36 74 88 non 42 36 64 26 12 Quel diplôme vous parait-il être le plus adapté pour intégrer le marché du travail? BTS 15 8 34 9 6 6 DUT 1 7 4 4 33 9 Licence pro 4 7 6 15 7 Master professionnel 34 41 16 21 18 13 diplôme d'école d'ingénieur 9 16 37 8 25 diplôme d'école de commerce 18 2 4 34 Licence 3 1 4 4 6 1 Maitrise 2 4 2 11 5 3 Master recherche 9 2 2 5 1 1 thèse 4 1 2 1 4 1 Avez-vous exercé une (ou plusieurs) activité(s) "professionnelle(s)" durant vos études? Si oui, quelle en était leur(s) nature(s)? Stages 32 44 25 23 35 28 CDD 19 16 18 12 28 24 CDI 18 21 12 7 8 15 Petits boulots 64 61 61 49 63 42 Pensez-vous le signaler sur votre CV? oui 74 91 84 82 99 95 non 26 9 16 18 1 5 L'introduction de stages au sein même de la formation représente-t-elle pour vous une valeur ajoutée? oui 92 94 93 82 98 99 non 8 6 7 18 2 1 Les stages doivent-ils être : facultatifs 36 27 33 11 8 obligatoires 64 73 67 89 92 19