Table des matières. Historique de l'impression 3D. 2 Stéréo. 2 Techno additives. 2 Printrbot/arduino. 2 Domaines du possible

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1 Table des matières Historique de l'impression 3D Stéréo Techno additives Printrbot/arduino Domaines du possible 3 Je n'ai pas de «fichier 3D»! 4 Fichier 3D? Format de fichier? 4 Logiciel de modélisation? 5 Scan 3D? 6 Bibliothèque d'objets 3D? 7 J'ai un fichier 3D! MakerBot? Qu'est-ce que je dois faire avec le logiciel de la MakerBot? Choix de l'imprimante Ouverture d'un fichier 11 Paramètres d'impression 1 Exportation vers fichier imprimante

2 13 Historique de l'impression 3D Stéréo Techno additives Printrbot/arduino Domaines du possible Je n'ai pas de «fichier 3D»! Fichier 3D? Format de fichier? Un «fichier 3D» est un fichier contenant toutes les informations sur l'objet devant être imprimé. Il existe plusieurs moyens d'en obtenir un : Le créer au moyen d'un logiciel de modélisation (OpenSCAD, SolidWorks, Blender, 3DStudio, ) Utiliser un scanner 3D afin d'obtenir une copie du modèle originel.1 Télécharger un modèle existant sur une bibliothèque d'objets 3D (ThingIverse) De très nombreuses informations peuvent-être prises en compte par un format de fichier 3D, chaque format ayant une utilité selon l'utilisation que l'on peut en avoir. La première chose qu'il faut est différencier un «format scène» d'un «format objet». La majorité des logiciels, afin d'alléger votre fichier et de permettre la création de scènes complexes afficheront l'objet voulu grâce à une description de l'objet et non grâce à un calcul réel de tous les points censés le former et permettant à une imprimante 3D de calculer son tracé. Exemple de sphère dans un logiciel en mode «scène» : Le «format scène» indiquera qu'une sphère doit être représentée aux coordonnées X, Y et Z, ce qu'il fera au moyen d'un cercle et de deux demi-cercles pour indiquer ses axes et d'un dégradé pour terminer de lui donner du volume. Mais ce format fera appel à un objet «sphere» que le logiciel comprendra et interprétera afin de nous donner une représentation d'une sphère à l'écran. Ce format est donc parfait pour une image de synthèse, puisqu'il permet en un minimum de données et de traitement de nous donner à l'écran une sphère parfaitement sphérique.

3 Exemple de sphère en mode «objet» : L'impression 3D ne prend rien d'autre en compte que des points, permettant de créer des vecteurs entre certains d'entre eux, ces vecteurs permettant de créer des triangles orientés dans une certaine direction, l'intérieur ou l'extérieur de l'objet. Cela permettra au logiciel de savoir exactement comment imprimer un objet, comment il est composé, et où déposer du plastique pour créer cet objet. Mais il n'aura pas la moindre idée que cet ensemble de points, vecteurs et faces sont une sphère, ce sera juste un objet. En règle générale, il faut faire attention avec les logiciels dédiés, à la base, à la création d'images de synthèses car ceux-ci ont pour vocation de créer des images et non des objets solides. Si votre logiciel ne permet pas l'exportation en un format triangulé, il est inutile de nous apporter votre fichier, nous n'effectuons aucune installation de logiciel sur nos ordinateurs. Les deux principaux formats utilisés sont «OBJ» et «STL». Si votre logiciel de modélisation ne prend pas en compte l'un de ces formats, il vous est possible de passer par un logiciel tiers, MeshLab, permettant l'importation et l'exportation vers de très nombreux formats. Logiciel de modélisation? Il existe de nombreux logiciels vous permettant de créer un objet 3D, tous ne nécessitant pas de connaissances appronfondies, certains mêmes pouvant être mis dans les mains d'un enfant. La plupart des logiciels de modélisations offrent des options d'export vers des formats imprimables, mais ces options sont parfois extrêmement délicates à utiliser et l'objet doit avoir été créé en le pensant, dés le début, dans une optique «solide». Voici une liste non exhaustive de logiciel libres et/ou open-source vous permettant d'obtenir un modèle 3D qui pourra devenir imprimable : MathMod Blender Logiciel Prise en main Commentaires Débutant à utilisateur confirmé Blender est un logiciel libre de modélisation, d animation et de rendu en 3D. Il dispose de fonctions avancées de modélisation, de sculpture 3D, de dépliage UV, detexturage, de rigging, d armaturage, d animation 3D, et de rendu. Il gère aussi le montage vidéo non linéaire, la composition, la création nodale de matériaux, la création d applications 3D interactives ou de jeux vidéo grâce à son moteur de jeu intégré (le Blender Game Engine), ainsi que diverses simulations physiques telles que les particules, les corps rigides, les corps souples et les fluides. FreeCAD est un logiciel à conception paramétrique proposant des outils similaires à CATIA, SolidWorks et Solid Edge. Il est doté d'une architecture modulaire, qui permet l'ajout de

4 FreeCad OpenSCAD Débutant à utilisateur confirmé Débutant à utilisateur confirmé création d applications 3D interactives ou de jeux vidéo grâce à son moteur de jeu intégré (le Blender Game Engine), ainsi que diverses simulations physiques telles que les particules, les corps rigides, les corps souples et les fluides. FreeCAD est un logiciel à conception paramétrique proposant des outils similaires à CATIA, SolidWorks et Solid Edge. Il est doté d'une architecture modulaire, qui permet l'ajout de nouvelles fonctionnalités très simplement, sans devoir modifier le noyau de l'application. FreeCAD est basé sur Open CASCADE, un puissant noyau géométrique. Il dispose d'un modèle de représentation des scènes 3D conforme au format Open Inventor et fourni par la bibliothèque logicielle Coin 3D, ainsi qu'une vaste interface de programmation Python. L'interface graphique est basée sur Qt. FreeCAD fonctionne donc de façon identique sur les plateformes Windows, Mac OS X et Linux. OpenSCAD est un logiciel de modélisation tridimensionnelle rudimentaire. Il a pour particularité de fonctionner de façon entièrement paramétrique, c'est-à-dire que la conception passe par la rédaction d'un script dans une sous-fenêtre située à gauche, tandis qu'une sous-fenêtre à droite permet de visualiser l'objet en 3D, mais pas de l'éditer. A noter que les scripts OpenSCAD sont les scripts utilisés par Thingiverse pour le «Customizer». Ajout listes logiciels commerciaux. Scan 3D? Un scanner 3D de type Prime Sense est également disponible en libre service. Seul le scanner est en libre service et il vous faudra donc vous munir d'un ordinateur portable afin de faire fonctionner le logiciel. Les pilotes sont disponibles sur : Votre carte d'identité vous sera demandée le temps de l'utilisation du scanner. Toute perte ou bris du scanner entraînera un remboursement du prix du scanner, soit 350 TVAC. Aucune aide ne sera fournie quant à l'utilisation du scanner, néanmoins nous pouvons vous conseiller de vous renseigner sur les logiciels suivants : ReconstructMe, MeshLab, Skanect, Artec Studio,

5 Petit tableau explicatif. Options : à la journée. Faire listes des points importants pour un scan. Bibliothèque d'objets 3D? Le Relab propose toute une série d'objets «prêts à imprimer» et de «générateurs» permettant de créer votre propre objet grâce à quelques paramètres. Vous pourrez trouver ces objets à l'adresse suivante : + design autres personnes + vraies photos. J'ai un fichier 3D! MakerBot? Makerbot est la marque de l'imprimante 3D mise en libre accès au sein du lab. Il vous faudra donc télécharger le logiciel gratuit, MakerBot Desktop, permettant de transformer votre fichier 3D en un fichier lisible par l'imprimante 3D, au format «X3G». Vous pourrez télécharger ce logiciel à l'adresse suivante : Qu'est-ce que je dois faire avec le logiciel de la MakerBot?

6 Une fois lancé, la première chose à faire sera d'indiquer sur quelle imprimante votre objet se créera. Les deux imprimantes mises à disposition sont deux imprimantes différentes, l'idéal sera donc de créer deux fichiers, un pour chacune des imprimantes. Cela optimisera vos chances de voir votre impression se réaliser. Choix de l'imprimante Les deux imprimantes parmi lesquelles vous pouvez choisir sont : ReplicatorX Replicator (dual) Ouverture d'un fichier Une fois votre imprimante sélectionnée, ouvrez le fichier que vous désirez imprimer : Il est très rare, avec ce logiciel, qu'un objet ne soit pas accepté. Si cela devait arriver, nous vous invitons à effectuer une recherche Google sur les termes du message d'erreur afin d'avoir de plus amples informations quant au moyen d'y remédier. + Mise à dispo ABS N&B + proposition commande BeeMaker.be pour autres. Les boutons situés à gauche de l'écran sont des outils permettant de déplacer, orienter ou redimensionner l'objet. Vous pourrez, par exemple, automatiquement «déposer» l'objet sur le plan d'impression, agrandir à la taille maximale, etc. Faite attention au fait que la durée de l'impression ne dépend pas du volume devant être imprimé mais de la complexité du chemin de chacune des couches. Exemple : Ces deux formes ont exactement les mêmes dimensions. Mais s'il fallait imprimer chacune d'entre elles sur une hauteur de 10 centimètres, la première, bien qu'ayant un volume plus important, s'imprimerait beaucoup plus vite de par son tracé beaucoup plus court. Paramètres d'impression En cliquant sur «Settings», une fenêtre s'ouvrira vous permettant de définir certains paramètres pour votre impression. Il est conseillé d'utiliser les paramètres utilisés dans la copie d'écran ci-dessus. Seul du plastique de type PLA est mis à disposition du public tant que de nouvelles études quant à la toxicité des autres plastiques n'auront pas été publiées. Voici à quoi correspondent les différentes options :

7 «Raft» vous permet d'imprimer un «lit» de plastique sur lequel votre objet sera imprimé. «Supports» vous permet d'indiquer au logiciel qu'il devra calculer si votre objet a, ou non, des parties en porte-à-faux et s'il faut, ou non, imprimer des supports pour éviter l'effondrement de votre pièce, «Infill» vous indique le taux de remplissage de votre objet, Il est conseillé de ne pas dépasser les 0 %, sauf cas exceptionnels. «Number Of Shells» correspond au nombre de bords qu'aura chacune de vos couches. Ce paramètre semble avoir plus d'influence sur la solidité de l'objet imprimé que le «infill» «Layer height» correspond à la hauteur de chaque couche. Passer de 0,mm à 0,1mm doublera votre temps d'impression tout en n'assurant pas une meilleure qualité. A modifier si cas exceptionnel. Lorsque vous cliquez sur l'onglet «Températures», veillez à ce que celle-ci soit comprise entre 195 et 0 Exportation vers fichier imprimante Une fois toutes ces étapes accomplies, appuyez sur «Export print file» : Selon la complexité de votre objet, ce processus peut être relativement long. Le logiciel tentera également la correction de certaines erreurs s'il devait en rencontrer. Cependant, il ne vous indiquera pas forcément qu'il en a rencontré une, pensant l'avoir corrigée. Une fois le processus terminé, une nouvelle fenêtre s'affichera vous proposant une prévisualisation de l'objet imprimé (cf. ci-contre). Cela vous donnera déjà une idée du bon déroulement du processus. Si, à ce stade, des erreurs devaient être visibles, il y a de fortes chances qu'elles proviennent de l'objet 3D lui-même et d'une erreur de conception. Si vous ne voyez aucune erreur, vous pouvez fermer cette fenêtre et cliquez sur «Export now», ce qui créera le fichier X3G à l'endroit que vous désignerez. ATTENTION! Il est IMPERATIF que le fichier X3G soit copié sur une carte SD de MAXIMUM gigas! Les imprimantes 3D MakerBot refusent catégoriquement l'emploi de carte SD de plus grande capacité.