N 96. «Les Diables de Tasmanie» à La Lorraine

Transcription

1 N 96 «Les Diables de Tasmanie» à La Lorraine Sept Le 2 ème rallye (culturel) de La Lorraine s est déroulé, à l étage «rose», le 10 septembre. Placée sur le thème de l olympisme, cette activité accueillait 15 concurrents. 5 postes pour 5 équipes ont été préparés à la perfection par Marianne, en collaboration avec ses collègues du secteur Animation. Au salon rose, les épreuves ont débuté par une «chanson à trous» qui consistait à trouver les mots manquants dans les quatre strophes de notre hymne national, en vigueur depuis Un jeu de massacre du style fête foraine nous demandait de démolir l empilement de dix boîtes de conserves. A la Véranda, il s agissait de reconnaître des sportifs par des photographies. Ensuite, nous étions conviés à mimer un sport désigné par tirage au sort.

2 A l Atelier, le but de l exercice était de placer dans le bon ordre les cinq anneaux du drapeau hissé tous les deux ans sur les mats des stades. Les JO d été et ceux d hiver ont lieu tous les 4 ans, en alternance entre ceux d hiver et d été. Avant la ligne d arrivée, les «sportifs d un jour» se sont attelés à résoudre les questions d un quizz relatif, notamment, aux années olympiques dans le monde. Palmarès 1ers «Les Diables de Tasmanie» (Denise Rémy, Marguerite Gremion et Jean-Claude Séchaud) sont médaillés d or avec 62 points. 2. «Les Pongistes» (argent 60 points) ; 3. «Les Fous d Foot» (bronze 58 pts) sont ex-aequo avec l équipe «Jean- Claude Killy». Au 5 ème rang, «Les Bras Cassés» obtiennent 55 points. Pas de médaille en chocolat pour les concurrents, mais des boîtes de chocolat suisse! En conclusion, selon une citation du rénovateur des JO le baron Pierre de Coubertin en 1894 : «L important était de participer!»... Claude Gentizon

3 Lady Diana moments langoureux, chaleureux et tout en douceur De sa voix particulièrement douce, Diana Miranda envoûte le public et le transporte dans un univers à tonalité colorée. Son style se situe entre la samba et la bossa nova et correspond parfaitement à cette grande artiste au sourire radieux. Diana sait réchauffer son public. Ce fut le cas samedi 12 septembre, à La Lorraine. Avec sa guitare folk, la chanteuse brésilienne, Diana Miranda est venue de Genève pour nous donner concert, accompagnée par Joseph (flûte traversière, trompette, percussions), ancien musicien de jazz. Diana commence son concert par deux bossa nova, avec Joseph à la flûte. Ensuite la chanteuse, s exprimant parfaitement en français, nous a gratifié des «Feuilles Mortes (Yves Montand), Joseph l accompagnant à la trompette. Retour à la bossa nova avec Ne me quitte pas (Jacques Brel) et Joseph aux percussions. Encore en français, Diana chante Tu verras (Claude Nougaro). Au programme, le duo avait inscrit l incontournable Besame mucho, puis La Bamba et, bien sûr Guantanamera. Retour dans la langue de Molière avec La Vie en rose (Edith Piaf). En fin de concert, c est Olele! Olala! qui a terminé ce spectacle de musique surtout sud-américaine.

4 Née dans le monde de la musique Après avoir conquis les cœurs de son pays natal, la chanteuse parcourt le monde entier (dont 11 pays d Europe) pour offrir sa voix, sa musique et beaucoup d émotions. Diana a débuté sa carrière musicale dans sa famille de musiciens, au Brésil. Aujourd hui, la chanteuse possède un répertoire de plusieurs centaines de titres. C est grâce à un concert donné au célèbre «Montreux Jazz Festival», en 1993, que Diana gagne sa place dans l arène internationale (la reine dans l arène!), mais avait déjà enregistré son premier album en Elle a la chevelure léonine, blondchâtain, les yeux bleus lumineux et, dans la voix, une couleur caramel qui, avec ses rythmes tropicaux, émoustille les oreilles de ses auditeurs. Diana joue les sirènes exotiques depuis longtemps en Romandie, surtout dans les EMS, maisons de repos, etc. A chaque fois, elle fait appel à son feeling afin de s adapter à son public (bien différent de celui de Montreux). Hélas Diana, «Le Soleil de cet aprèsmidi», s en est allée ; laissant place à la pluie Triste fin de journée, après ce concert très jovial! Claude Gentizon

5 Jeux en musique Mardi 29 septembre, la rencontre «Remue Mêm âge» accueillait nos amis de La Côte et de La Fontanette pour un loto musical qui a commencé par un petit jeu afin de mieux faire connaissance. Il s agissait de répondre à quelques questions, par exemple : Quel est votre meilleur souvenir d enfance, quels sont vos plus grands plaisirs sucrés ou quelle est votre première pensée le matin? Ensuite, Caroline et Valère se sont mis à la guitare pour entonner des chansons dont les titres figuraient sur nos feuilles de jeu. En échange d un carton plein, les gagnants recevaient une boîte de pâtisseries ou de Nivea, par exemple.

6 l orchestre Pussycat. Des chansons entendues, j ai retenu notamment : Les Enfants du Pirée, Céline, Marjolaine ou encore Tout simplement. La prochaine «Fête de la Vie» vous donne rendez-vous le samedi 24 octobre à Peseux, Salle des Coteaux, avec Claude Gentizon Jeu des 7 différences Les deux images ci-dessous semblent identiques, et pourtant 7 éléments diffèrent d une image à l autre. Pouvez-vous les trouver?

7 Mots-Mêlés Entourez, dans cette grille, les noms de fruits d automne proposés dans cette liste.

8 Bienvenue Sœur Paule Nous avons récemment accueilli Sœur Paule à La Lorraine, et ce pour notre plus grand plaisir. Tentons de résumer sa vie en quelques lignes, même si un livre d une centaine de pages serait plus approprié. Sœur Paule est née à Paris (6 ème ) le 3 janvier Elle a passé toute son enfance dans la capitale française jusqu à ses 22 ans. Elle n a pas connu son papa, qui était couvreur et qu un accident a emporté quand elle avait 10 mois. Sa maman Pauline était blanchisseuse au lavoir. Elle a également grandi auprès de René, son grand frère. Etant plutôt chétive à la naissance, Sœur Paule a dû fréquenter les hôpitaux jusqu à ses 13 ans, embrouillant sa scolarité. Elle a tout de même obtenu son certificat d étude et un CAP dans l entretien des vêtements. C est en voyant un monsieur très bien apprêté dans le Metro qu elle a découvert cette passion pour les habits. C est à ses 21 ans qu elle rencontre les Sœurs de Grandchamps, ce qui lui a donné envie d entrer en communauté en avril Pendant ses 6 ans de formation, Sœur Paule a pratiqué plusieurs métiers dans beaucoup d endroits : travailler en usine à Paris, cuisiner à Grandson, garder des enfants de mères célibataires à Lausanne, et même des ménages au Liban dans un cabinet de dentiste qui arrachait les dents en musique. C est alors que, le 3 septembre 1961, elle s engage à vie dans la communauté. Durant sa vie, Sœur Paule a vécu dans un nombre incalculable de lieux à faire de nombreuses choses que nous lui laissons le soin de vous conter (elle le fait si bien!). Elle apprécie beaucoup la musique classique, la lecture et La Lorraine, c est réciproque!