Déminéralisations Ostéoporose. IFSI Croix Rouge Dr Jacquier 23 mars 2009
|
|
- Emma Labbé
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 Déminéralisations Ostéoporose Ostéomalacie IFSI Croix Rouge Dr Jacquier 23 mars 2009
2 Le tissu osseux - rappels Rôle de charpente Rôle métabolique - Réserve en Ca - Régulation phospho-calcique Remaniement permanent - Formation osseuse: ostéoblastes - Résorption osseuse: ostéoclastes 2
3 Masse osseuse Enfant-adulte jeune: constitution progressive, masse osseuse max en fin de croissance. Sujet âgé: décroissance progressive dès 30 ans. Perte accélérée à la ménopause 3
4 Masse osseuse Résorption Stimulée par: - PTH - Vit D3 - Facteurs locaux Inhibée par: - calcitonine 4
5 Masse osseuse: Formation Stimulée par: - oestrogènes, testostérone - Hormone de croissance - PTH à faible dose et long terme - Facteurs locaux Inhibée par: - Glucocorticoïdes 5
6 Adulte 70 kg: 1500g - 99% tissu osseux mg ds le sang Régulation: PTH puissant hypercalcémiant ostéoclastose réabsorption rénale Absorption intestinale Calcium Vit D hypercalcémiant Apport alimentaire, synthèse endogène par la peau ss l effet du soleil, Os: favorise ostéogénèse et stimule la résorption avec la PTH Intestin: augmente l absorption du Ca Rein: augmente la calciurie 6
7 7
8 Ostéoporose: défaut quantitatif Travées osseuses correctement minéralisées mais plus rares et grêles Q totale de Ca et Ph diminuée Ostéomalacie: défaut qualitatif Travées de dimension normale mais minéralisation insuffisante, excès relatif d os ostéoïde 8
9 Os normal Ostéoporose Ostéomalacie Os ostéoïde Os calcifié 9
10 Ostéoporose Rupture de l équilibre résorption/formation 10
11 Etiologies Ostéoporoses «primitives» - Ostéoporose commune ++: aggravation pathologique de l ostéopénie physiologique. - Ostéoporose idiopathique de l homme jeune: entre 40 et 45 ans, rare. 11
12 Ostéoporoses «secondaires» -endocrinienne: hypercorticisme surrénalien (maladie de Cushing, corticothérapie prolongée++); hyperthyroïdie; acromégalie; hémochromatose -par immobilisation prolongée: tétraplégie, plâtre -génétique: ostéogenèse imparfaite -au cours d affections diverses: rhumatisme inflammatoire chronique 12
13 Ostéoporose post-ménopausique Epidémio 1ère cause d ostéoporose 1 femme sur 4 Fragilité osseuse accrue fractures du col du fémur / an fractures du poignet Pb de santé publique Facteurs de risque - Sexe féminin, âge - Ménopause précoce sans THS (<40 ans) = carence oestrogénique++ - Carence d apport vitamino calcique - Petite taille, faible IMC - Tabac, alcool - Inactivité physique 13
14 14
15 Diagnostic Aucune plainte, asymptomatique Dépistage par ostéodensitométrie, c est l ostéoporose non fracturaire Fracture vertébrale («tassement») spontanées ou pour un trauma minime, c est l ostéoporose fracturaire Hyper cyphose, hyper lordose Perte de taille Douleur mécanique du rachis lombaire Pas d altération de l état général (AEG) 15
16 Densitométrie osseuse =évaluation de la densité minérale osseuse en comparaison: - aux sujets de même âge et même sexe (Z score) - aux sujets de même sexe plus jeunes (Tscore) 16
17 T score - <-2,5 DS = ostéoporose - -2,5<Tscore<-1 = ostéopénie - >-1 = perte physiologique Ce n est pas un outil diagnostic! 17
18 Fractures ostéoporotiques Fracture de Pouteau Colle ans. Risque ultérieur de fracture vertébrale 5 Fracture vertébrale 65 ans. 20% de nouvelle FV ds l année Fracture du col fémoral 81 ans. 10% de fracture de la 2ème hanche ds les 5 ans 18
19 Clichés standards Radiologie - Déminéralisation osseuse diffuse - Fracture (cf. radio) IRM, TDM: peu d indication, sauf suspicion de lésion tumorale Scintigraphie osseuse: détecte des fissures précocement 19
20 Fracture vertébrale: biconcave Fractures vertébrales étagées du rachis 20 dorsal
21 Fracture du plateau sup Fracture cunéiforme Fracture en galette Différents types de fractures vertébrales 21
22 Fracture de Pouteau Colle avec déplacement postérieur de la diaphyse du radius 22
23 Fracture du col fémoral droit 23
24 Traitements Traitement des douleurs (ostéoporose fracturaire) Traitement de l ostéoporose maladie Prévention 24
25 Traitement antalgique +++ Traitement de la fracture (plâtre, chirurgie ) Immobilisation au lit puis fauteuil des FV Antalgiques paliers I à III OMS Prévention des complications de décubitus (sujet âgé, phlébites, escarres ) 25
26 Traitement de la maladie Supplémentation calcique (30-40 % des sujets âgés atteignent les apports recommandés) Vitamine D: 1 ampoule de Stérogyl une fois par an, ou association Ca-vitD 26
27 Biphosphonates: masse osseuse risque de nouvelle FV Actonel 35 et Fosamax 70 Fosavance : idem + vit D Modalités de prise à expliquer au patient: - 1 prise hebdomadaire, tjs le même jour - À jeun - Avec un verre d eau, ne pas associer de produit lactés - À prendre assise ou debout sans se recoucher avant 30 min - Attendre 30 min avant de petit déjeuner Biphosphonates IV: Zométa Forsteo : à partir de la 2ème fracture. Injections sous cutanées quotidiennes pdt 18 mois Protélos 27
28 28
29 Prévention Apports vitamino calciques réguliers et suffisants Activité physique en charge Traitement hormonal substitutif THS à la ménopause Prévention des chutes: éviter somnifères et BZD à effet prolongé, corriger les tb de la vue et de l équilibre, améliorer la marche, apprendre à se relever, aménager l environnement (tapis, meubles, escaliers ) 29
30 Rôle infirmier Mme V. 75 ans est hospitalisée pour chute en trébuchant sur un trottoir qu elle n avait pas vu. SF: douleur lombaire, pas d AEG Radio: fracture vertébrale de la 1ère vertèbre lombaire Le reste du bilan écarte une cause d ostéoporose secondaire 30
31 Quelles questions lui posez vous pour évaluer la possibilité du retour à domicile? Le médecin ne lui a rien expliqué. Elle veut savoir: Ce qu est cette fracture? Quel en est le ttt? Combien de temps va-t-elle souffrir? Comment éviter une récidive? 31
32 Mode de vie: couple/veuve, maison/appartement, ascenseur, animal de compagnie. Système d alarme Aide à domicile: famille, aide soignante, femme de ménage, IDE Expliquer: - la FV est une fracture, un «accident de parcours» sans gravité réelle - Aide pour la toilette nécessaire au début - Mise au fauteuil dès que possible bénéfique pour prévenir les complications de décubitus - Traitement: repos+++, antalgiques - Douleurs pdt 4 à 6 semaines, impotence pdt 2 à 3 semaines 32
33 Après la phase aiguë: Traitement de l ostéoporose elle même Prévention des chutes: port d une canne, consultation chez l ophtalmo, aménagement de l environnement, éviter les somnifères à effet prolongé 33
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool)
Evaluer le risque fracturaire: l outil FRAX (Fracture Risk Assessment Tool) F. FLAISLER Service de Rhumatologie Groupe Hospitalo-Universitaire CAREMEAU, Nîmes OSTÉOPOROSE DEFINITION AFSSAPS «Maladie diffuse
Plus en détailDENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR
DENSITOMÉTRIE OSSEUSE : CE QUE LE RADIOLOGUE DOIT SAVOIR C Andreux et F L Huillier H Guerini, A Feydy, X Poittevin, F Thevenin, R Campagna, JL Drapé, A Chevrot Hôpital COCHIN, Paris, France OBJECTIF Proposer
Plus en détailTraitement de l ostéoporose post-ménopausique Janv ier 2006 TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE RECOMMANDATIONS
TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTEOPOROSE POST-MENOPAUSIQUE RECOMMANDATIONS Actualisation 2006 Afssaps - 143/ 147, bd Anatole France F-93285 Sai nt-denis Cedex t él. +33 (0)1 55 87 30 00 www.afssaps.sante.fr
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailCHUTES DE LA PERSONNE AGEE. «Protection Escaliers motorisée»
CHUTES DE LA PERSONNE AGEE «Protection Escaliers motorisée» Ehpad «Les Magnans» St Martin de Valgagues Dr Sylvie Andre Allheilig Médecin coordonnateur La Chute n est pas une «Fatalité» L âge, la poly morbidité
Plus en détailsur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière
Généralités sur les fractures Didier Hannouche Service de Chirurgie Orthopédique Hôpital Lariboisière Généralités Tissu vivant Constant renouvellement Trois fonctions principales Tissu de soutien (station
Plus en détailTRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTÉOPOROSE CORTISONIQUE
Recommandation de Bonne Pratique TRAITEMENT MEDICAMENTEUX DE L OSTÉOPOROSE CORTISONIQUE RECOMMANDATIONS 1 GROUPE DE TRAVAIL Docteur Christian ROUX, Président, Rhumatologue, Paris Docteur Bertrand MOURA,
Plus en détailGUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE
GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les
Plus en détailAnatomie. Le bassin inflammatoire. 3 grands cadres. 4 tableaux. Spondylarthrite ankylosante. Spondylarthrite ankylosante 26/10/13
Anatomie Enthésopathies Docteur Emmanuel Hoppé Service de Rhumatologie CHU Angers 18.10.2013 Symphyse pubienne Coxo-fémorales Bursopathies Sacroiliaques 4 tableaux 3 grands cadres Douleur lombofessière
Plus en détailL arthrose, ses maux si on en parlait!
REF 27912016 INFORMER UPSA BROCH ARTHROSE V2 08-12.indd 2 30/08/12 11:48 Qu est-ce que l arthrose? L arthrose est une maladie courante des articulations dont la fréquence augmente avec l âge. C est une
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailLa reprise de la vie active
Prothèse de hanche Les conseils de votre chirurgien La reprise de la vie active Vous êtes aujourd hui porteur d une prothèse de hanche ; elle va vous permettre de reprendre vos activités sans gène ni douleur.
Plus en détailTraitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée
Traitement des Pseudarthroses des Os Longs par Greffe Percutanée de Moelle Osseuse Autologue Concentrée Etude rétrospective de 45 cas Didier MAINARD, Jérôme DILIGENT Service de Chirurgie Orthopédique,
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailOSTÉOPOROSE PRÉVENIR ET AGIR À TOUT AGE
OSTÉOPOROSE PRÉVENIR ET AGIR À TOUT AGE www.grio.org L'ostéoporose est une maladie qui a été longtemps méconnue et dont les conséquences ont été sous estimées. On sait maintenant qu'il s'agit d'une maladie
Plus en détailCinq stratégies essentielles pour prendre soin de ses os après 50 ans. www.iofbonehealth.org
Cinq stratégies essentielles pour prendre soin de ses os après 50 ans www.iofbonehealth.org QU EST-CE QUE L OSTÉOPOROSE? L ostéoporose est une maladie qui fragilise les os, conduisant à une augmentation
Plus en détailPrise en charge des fractures du fémur par enclouage intra-médullaire
Prise en charge des fractures du fémur par enclouage intra-médullaire GUIDE POUR LES PARENTS 514-412-4400, poste 23310 hopitalpourenfants.com/trauma Le fémur est l os le plus long du corps humain : il
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailConsolidation osseuse et biotechnologies État des lieux. Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY
Consolidation osseuse et biotechnologies État des lieux Prof. L. GALOIS Centre Hospitalier Universitaire de NANCY La problématique Tissu osseux : forte aptitude à se réparer MAIS Situations cliniques particulières
Plus en détailDOSSIER DE SOINS INFIRMIERS
DOSSIER DE SOINS INFIRMIERS Débuté le Terminé le. FICHE ADMINISTRATIVE PATIENT Nom Prénom Date de naissance / / Téléphone. ADRESSE...... N SS / / / / / // ENTOURAGE-PERSONNE RESSOURCE NOM QUALITE..TEL...
Plus en détailDOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT
Jacques Butel - Nadiat Donnat - Jeanne Forestier - Céliane Héliot - Anne Claire Rae Forum prévention des chutes 2010 DOCUMENTATION CLINIQUE D UNE CHUTE D UN PATIENT 1 Recueil données Formulaire de signalement
Plus en détailCatherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
1 PREVENTION DES COMPLICATIONS DE LA CORTICOTHERAPIE GENERALE DANS LES PEMPHIGUS DE L ADULTE Catherine Prost Squarcioni Centre de Références Maladies Rares NET-DBAI-IDF Hôpital Saint Louis et hôpital Avicenne
Plus en détailActivité physique et santé osseuse
L os est en remodelage perpétuel selon les contraintes auxquelles il est soumis. Activité physique et santé osseuse Avis du Comité scientifique de Kino-Québec Activité physique et santé osseuse Avis du
Plus en détailPROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc
CONGRES UCL DE MEDECINE GENERALE 1 juin 2013 PROTEGER SON DOS ex. Cliniques St Luc Philippe Mahaudens, PhD Faculté des sciences de la motricité UCL Service de Médecine Physique et Réadaptation, Saint-Luc
Plus en détailPrévention des chutes
Notre mission Dispensateur de services de première ligne et de services spécialisés, le CSSS du Suroît a la responsabilité de maintenir et d améliorer la santé et le bien-être de la population de son territoire
Plus en détailLES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S
LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence
Plus en détailClaude Karger Anne Sophie Kesseler
Claude Karger Anne Sophie Kesseler Docteur, j ai mal au dos!! Faites de la natation, ça va passer Mythe ou réalité? Les poissons souffrent-ils du dos? A priori, non. Pourquoi? Ne sont pas soumis à la pesanteur!!
Plus en détailOstéoporose au cours des hépatopathies chroniques en 2006
Ostéoporose au cours des hépatopathies chroniques en 2006 Gérard Chalès Service de Rhumatologie, CHU Rennes Hôpital Sud, Rennes Points clés L ostéoporose et non l ostéomalacie est la complication la plus
Plus en détailRespiration abdominale d effort encore appelée respiration abdominale inversée
Respiration abdominale d effort encore appelée respiration abdominale inversée Intérêt dans la prévention et le traitement des LOMBALGIES, SCIATIQUES et RACHIALGIES et dans les MANUTENTIONS DE CHARGES
Plus en détailOrdonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie
Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département
Plus en détailTraitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées
BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailLa prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre polyarthrite rhumatoïde Vivre avec une polyarthrite rhumatoïde Décembre 2008 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant
Plus en détailProblèmes locomoteurs
VOLUME 2 Aspects cliniques Chapitre 10 Problèmes locomoteurs Problèmes locomoteurs 343 Problèmes locomoteurs J.P. Praet, T. Mets Les problèmes locomoteurs sont fréquents et le deviennent de plus en plus
Plus en détailMIGRAINES. Diagnostic. A rechercher aussi. Critères IHS de la migraine. Type d aura. Particularités chez l enfant. Paraclinique.
MIGRAINES Diagnostic Critères IHS de la migraine SANS AURA : 5 crises 4-72 heures sans traitement 2 caractéristiques suivantes : Unilatérales Pulsatiles Modérées ou sévères Aggravation par activités physiques
Plus en détailL eau dans le corps. Fig. 6 L eau dans le corps. Cerveau 85 % Dents 10 % Cœur 77 % Poumons 80 % Foie 73 % Reins 80 % Peau 71 % Muscles 73 %
24 L eau est le principal constituant du corps humain. La quantité moyenne d eau contenue dans un organisme adulte est de 65 %, ce qui correspond à environ 45 litres d eau pour une personne de 70 kilogrammes.
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailIFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015. M. BLOT Ergothérapeute. CHU de NIMES
IFAS 11 décembre 2014 15 janvier 2015 M. BLOT Ergothérapeute CHU de NIMES Introduction Définition de l hémiplégie Causes Evolution Conséquences Description Prise en charge du patient en fonction de l activité
Plus en détailLa polyarthrite rhumatoïde est-elle une maladie courante parmi la patientèle d'un rhumatologue?
Association Française des Polyarthritiques & des Rhumatismes Inflammatoires Chroniques 9, rue de Nemours - 75011 Paris E-mail : afp@nerim.net - www.polyarthrite.org Tél. : 01 400 30 200 - Fax : 01 400
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailLa dysplasie fibreuse des os
La dysplasie fibreuse des os La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous
Plus en détailTrucs du métier. L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis. clinicien@sta.ca. Avez-vous un truc? Son épidémiologie et son expression
L arthrite psoriasique en l absence du psoriasis Trucs du métier Son épidémiologie et son expression Le psoriasis est une maladie cutanée inflammatoire chronique qui touche de 1 % à 3 % de la population
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailUne discipline en pleine évolution
Sommaire Berger/Phanie et Airelle-Joubert/Phanie Maladies rhumatismales : des coûts conséquents Douleur : un symptôme toujours présent Lombalgies : la plainte la plus fréquente Arthrose : un problème de
Plus en détailGrossesse et HTA. J Potin. Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours
Grossesse et HTA J Potin Service de Gynécologie-Obstétrique B Centre Olympe de Gouges CHU de Tours HTA et grossesse Pathologie fréquente : 2 à 5 % des grossesses (2 à 3 % des multipares, 4 à 8 % des primipares)
Plus en détailPrenez soin de votre dos. Informations et astuces contre les douleurs lombaires
Prenez soin de votre dos Informations et astuces contre les douleurs lombaires Prenez soin de votre dos 1 2 3 4 Des causes diverses, souvent liées au travail Plaintes et lésions Prévention: mieux vaut
Plus en détailPROCEDURE D EVALUATION ET DE PREVENTION DU RISQUE DE CHUTE ET DE MAINTIEN DE LA MOBILITE
PROCEDURE D EVALUATION ET DE PREVENTION DU RISQUE DE CHUTE ET DE MAINTIEN DE LA MOBILITE Nb de pages : 8 Date de création 03/12/2013 Rédaction : Dr Robert ABADIE Dr Jean FAVAREL Date d application Vérification
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailAnémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4
Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des
Plus en détailOption sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES
Option sémiologie orthopédique Cours n 1 du 06/03/08 Dr Hannouche D. Ronéotypé par : Angela Tan et Métrey Tiv GENERALITES SUR LES FRACTURES PLLAANN DU CCOURRSS INTRODUCTION : GENERALITES I. CONSOLIDATION
Plus en détailAprès. la fracture. Informations sur la douleur et des conseils pratiques pour le mouvement
Après la fracture Informations sur la douleur et des conseils pratiques pour le mouvement Table des matières Introduction... 2 Informations générales sur la douleur après une fracture... 3 Les trois étapes
Plus en détailTraumatologie de l enfant. Joël Lechevallier Saad Abu Amara
Traumatologie de l enfant Joël Lechevallier Saad Abu Amara Plan Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas particuliers Traitement Spécificités de l enfant Traumatismes de l enfant Cas pa Physiologie
Plus en détailLes postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR. Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011
Les postures, l appareillage Point de vue du médecin MPR Dr. P. LUBLIN MOREL CMPR de COUBERT 2011 Introduction Le rôle du médecin MPR : poser les indications Réflexion pluridisciplinaire Définir les objectifs
Plus en détailLE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie
Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7
Plus en détailOstéoporose chez l homme
le point sur Ostéoporose Rev Med Suisse 2013 ; 9 : 1260-4 E. Biver B. Uebelhart Drs Emmanuel Biver et Brigitte Uebelhart Service des maladies s Département des spécialités de médecine HUG et Faculté de
Plus en détailw w w. m e d i c u s. c a
www.medicus.ca En appelant la colonne vertébrale «arbre de vie» ou «fleuve sacré qui irrigue tout le corps», les Anciens voyaient juste. De tout temps considéré comme fragile, cet axe du corps se révèle
Plus en détailPrise en Charge de la Fracture du Col du Fémur. Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE
Prise en Charge de la Fracture du Col du Fémur Dr Christine LAFONT Service de Gériatrie C.H.U. TOULOUSE Épidémiologie «Problème médical, social et économique» Incidence : France : 50/100 000 hab. Augmente
Plus en détailL APS ET LE DIABETE. Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie.
1. Qu est-ce que le diabète? L APS ET LE DIABETE Le diabète se caractérise par un taux de glucose ( sucre ) trop élevé dans le sang : c est l hyperglycémie. Cette hyperglycémie est avérée si à 2 reprises
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailTableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline
Tableau récapitulatif : composition nutritionnelle de la spiruline (Valeur énergétique : 38 kcal/10 g) Composition nutritionnelle Composition pour 10 g Rôle Protéines (végétales) 55 à 70 % Construction
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailPathologies osseuses
Rhumatologie version: 1.0 Pathologies osseuses A. Métabolisme osseux I. Remodelage osseux a. Constitution du T osseux Eau (10%) Protéines (20%) (Collagène de type I surtout) Minéral (70%) (hydroxyapatite)
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailAthénée Royal d Evere
Athénée Royal d Evere Prévention des hernies discales en milieu scolaire et dans la vie de tous les jours Présenté par Didier Vanlancker LEVAGE DE CHARGES POSITION INITIALE Levage de charges Jambes légèrement
Plus en détailQuoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?
Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,
Plus en détailHERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait
Plus en détailTRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir?
TRAUMATISME CRANIEN DE L ENFANT : conduite à tenir? H Le Hors-Albouze Urgences pédiatriques Timone enfants Marseille Traumatismes crâniens (TC) de l enfant Grande fréquence même si incidence réelle mal
Plus en détailEn savoir plus sur le diabète
En savoir plus sur le diabète 2 Qu est-ce que le diabète? Le diabète se caractérise par un excès de sucre dans le sang, on appelle cela l hyperglycémie. Le diabète est une maladie chronique qui survient
Plus en détailLa migraine : quelle prise de tête!
La migraine : quelle prise de tête! Introduction La migraine est une véritable «prise de tête» pour les personnes qui en souffrent! Bien au-delà d un mal physique, cette réelle maladie engendre également
Plus en détailLes Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est
Plus en détailLES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION
LES ORTHESES DE COMPRESSION CONTENTION Parfois sous estimées, les orthèses de compression contention augmentent le niveau de vigilance par leur mécanisme de «rappel à l ordre», préviennent les récidives
Plus en détailPrévention des escarres
Prévention des escarres MOBILISATION ET POSITIONNEMENT Historique 1848 : Robert Graves Ecrivait qu il était possible de prévenir les escarres par une mobilisation régulière. 1961 : Kosiak Etude sur les
Plus en détailVivre bien avec l ostéoporose
Vivre bien avec l ostéoporose Apprendre à gérer l ostéoporose pour une vie pleine et active ` Vous n etes ` pas seul Cette brochure s adresse à ceux qui viennent d apprendre qu ils sont aux prises avec
Plus en détailEn souvenir du P r Olivier Dizien, décédé le 1 er juillet 2007
En hommage au D r Marc Maury, ancien médecin chef du CRM de Fontainebleau et ancien vice-président de l APF, pour son œuvre sur la paraplégie et son action au service du rapprochement associations / médecine
Plus en détail27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013
27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse
Plus en détailLe syndrome de Cushing
La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur le syndrome de
Plus en détailPrise en charge de l embolie pulmonaire
Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix
Plus en détailPréfaces... 6. Introduction... 8
Préfaces... 6 Introduction... 8 Comment aborder une problématique musculosquelettique chronique?... 10 Termes importants... 12 La douleur... 14 Repérage anatomique... 24 Les principaux syndromes musculosquelettiques...
Plus en détailInformation au patient
Information au patient Hôpital de jour médico-chirurgical Je vais subir une intervention chirurgicale en hôpital de jour, cela signifie que l intervention et le retour à domicile s effectueront le même
Plus en détailPrévention osseuse dans le traitement du cancer de la prostate
73 Volume 1 - Février 11 - Supplément 1 Progrès en urologie (11) 1, supplément, S5-S Journées d Onco-Urologie Médicale : La pratique, les protocoles 5 et juin 1 ISSN 11-77 Prévention osseuse dans le traitement
Plus en détailI. TECHNIQUES DE RÉÉDUCATION ET DE RÉADAPTATION 1. KINÉSITHÉRAPIE PASSIVE : PAS D ACTION MUSCULAIRE VOLONTAIRE DU PATIENT
CHAPITRE 1 PRINCIPALES TECHNIQUES DE RÉÉDUCATION ET DE RÉADAPTATION. SAVOIR PRESCRIRE LA MASSO-KINÉSITHÉRAPIE (ET L ORTHOPHONIE, NON TRAITÉ) Module 4. Handicap incapacité dépendance Question 53 Objectif
Plus en détailPsoriasis et travail dans le BTP. Pr E. Delaporte
Psoriasis et travail dans le BTP Pr E. Delaporte 30 Mai 2013 Janvier 2013 : File active de 335 malades traités (293) ou ayant été traités (42) par immunosupp./ modulateurs (MTX CyA biomédicaments) 214
Plus en détail> Présentation du programme... 3. > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4
2 SOMMAIRE > Présentation du programme... 3 > Peps Eurêka - Mémoire : Pour donner du Peps à ses neurones et à sa vie... 4 > L Équilibre, où en êtes-vous? : Prévenir les chutes et apprendre à se relever
Plus en détailLes tests thyroïdiens
Les tests thyroïdiens Mise à jour de juin 2007 par S. Fatio Réf: les images et les graphiques sont tirés de www.endotext.org (textbook d endocrinologie online et libre d accès) QuickTime et un décompresseur
Plus en détailGénéralités sur fractures, luxation et entorses
Généralités sur fractures, luxation et entorses JP. MARCHALAND HIA Bégin Saint-Mandé I- Définitions PLAN II- Consolidation des fractures III- Etiologie IV- Etude anatomique V- Signes cliniques et radiographiques
Plus en détailItem 215 : Rachialgies
Item 215 : Rachialgies COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...5 SPECIFIQUE :...5 I Cervicalgies... 6 I.1 Quand faut-il
Plus en détailCordarone et Thyroïde par François Boustani
Physiologie de la thyroïde : l hormonosynthèse thyroïdienne se fait à partir de l iode essentiellement d origine digestive et de la thyroglobuline qui est une protéine synthétisée par la thyroïde à partir
Plus en détailSport et traumatisme crânien
Sport et traumatisme crânien Sylma M Pamara DIABIRA Neurochirurgie, CHU Rennes Commotion cérébrale «Perturbation physiologique, en général transitoire, de la fonction cérébrale à la suite d'un traumatisme
Plus en détailLivret personnalisé de suivi rééducatif et d entretien physique
Les numéros d urgence : Entourage : Voisin : Votre médecin : Samu : 15 Pompiers : 18 Police : 17 Les numéros de votre suivi rééducatif : Livret personnalisé de suivi rééducatif et d entretien physique
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailmobilisation klinická literatura KOMFORT NA OBOU STRANÁCH sécurité dekubity contrôle des infections mobilisation SIMPLICITÉ ET SÉCURITÉ
klinická literatura KOMFORT NA OBOU STRANÁCH sécurité CONFORT POUR TOUS dekubity CONFORT POUR TOUS contrôle des infections CONFORT POUR TOUS mobilisation SIMPLICITÉ ET SÉCURITÉ mobilisation CONFORT POUR
Plus en détailProgramme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation
Programme «DoSanté Lycée» Présentation et évaluation 1 1 Contexte - Public ciblé 1/3 des accidents du travail sont dus à des manutentions. Coût annuel : 1,5 milliards d euros. Les lombalgies représentent
Plus en détailQUESTIONNAIRE DE DIAGNOSTIC RAPIDE DES NIVEAUX DE CPO ET TMS EN ETABLISSEMENTS DE SOIN
NOTE EXPLICATIVE ORSOSA QUESTIONNAIRE DE DIAGNOSTIC RAPIDE DES NIVEAUX DE CPO ET TMS EN ETABLISSEMENTS DE SOIN Ce document détaille le contenu des questionnaires établis lors de la cohorte ORSOSA 1 et
Plus en détailSuivi ADOM. Claude Boiron Oncologie Médicale
Suivi ADOM Claude Boiron Oncologie Médicale PLAN 1. Problématiques du traitement anti cancéreux per os 2. Objectifs du suivi ADOM 3. Procédures 4. Bilan Étude observationnelle Étude médico économique Étude
Plus en détailPrévention des chutes. Un guide à l intention des patients et leur famille
Prévention des chutes Un guide à l intention des patients et leur famille 1 Qu est-ce qu une chute? Une chute survient lorsque vous tombez soudainement sur le plancher ou par terre. Une blessure peut ou
Plus en détailINTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX
INTÉRÊT DU SCANNER 3D DANS LA MESURE DE L'ANTÉVERSION DES COLS FÉMORAUX F. COLAS, R. CARLIER, C. LE BRETON, D. SAFA, D. MOMPOINT, F. ROFFI, E. M. KOCHEIDA, S. MOKHTARI, S. M KAOUAR, C. VALLÉE HÔPITAL RAYMOND
Plus en détailLe traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence
Le traitement du paludisme d importation de l enfant est une urgence Dominique GENDREL Necker-Enfants Malades Traiter en urgence en présence de trophozoïtes Plus de 80% des paludismes d importation en
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détail