RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES ELEMENTS DE CONTEXTE
|
|
- Joëlle Guérard
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 RAPPORT DE LA COUR DES COMPTES EUROPEENNES SUR L EFFICACITE DE L AIDE EXTERIEURE AUX SYSTEMES DE SANTE EN AFRIQUE SUBSAHARIENNE ELEMENTS DE CONTEXTE L audit réalisé par la Cour des Comptes européennes intervient au moment où l unité d évaluation de la Commission Européenne clôt son exercice d évaluation des programmes santé d aide extérieure. Cette simultanéité procède d une volonté politique : il s agit d assurer une complémentarité des démarches visant à apprécier l efficacité de la coopération sectorielle européenne, dans un souci de cohérence. Cet exercice d audit conserve pour objectif global l évaluation de l effectivité de l aide fournie par la Commission Européenne au travers de ses différents programmes, en recourant à des instruments de coopération diversifiés, au profit de la zone d Afrique sub-saharienne. Elle s attache notamment à évaluer l impact du FED, de l aide mobilisée sur le budget général (crédits de coopération pour actions extérieures et crédits dédiés au Fonds Mondial). Au titre des objectifs particuliers de l audit entrepris, une attention particulière a été portée à l utilisation par la Commission de différents outils (aide projet, aide budgétaire, appui aux fonds thématiques sectoriels) dans le cadre de son appui au développement sanitaire. De même, l audit s est intéressé à l adéquation des RH et des compétences au service des projets, comme de la cohérence entre les engagements politiques et financiers de la Commission. CONCLUSIONS DE L AUDIT Les volumes d aide dédiés à la santé n ont pas augmenté depuis 2000, contrairement aux engagements souscrits par la Commission Européenne ; L aide consacrée à l appui au Fonds Mondial contre les pandémies semble disproportionnée par rapport au soutien apporté au systèmes de santé, alors même que ce dernier axe était considéré comme une priorité ; Le taux d exécution des différents instruments ne semble pas toujours satisfaisant, notamment en raison des capacités de décaissement du Fonds Mondial (alimenté par des subventions européennes) comparé au FED ; La Commission n a pas recouru de manière substantielle aux outils d appui budgétaire sectoriel, malgré l apport significatif que ces instruments de financement auraient potentiellement pu avoir sur le renforcement des services de santé ; D une manière générale, l aide projet déployée par la Commission s est révélée relativement efficace, bien que la pérennité de ces projets demeure un écueil important ; La Commission n a pas porté une attention suffisante aux différents instruments de coopération ainsi qu aux moyens de les combiner de manière cohérente et pertinente, en fonction des contextes particuliers des pays bénéficiaires ; L expertise sectorielle santé nécessaire pour appuyer l efficacité de l aide déployée n est pas toujours suffisamment présente dans les délégations en charge du suivi des projets. 30/01/09_GD 1/5
2 RECOMMANDATIONS 1 Accroître l aide disponible pour le secteur de la santé en profitant de la fenêtre d opportunité du 10 e FED (Fonds Européen de Développement, instrument pour les pays ACP) ; 2 Veiller à une concordance des priorités politiques définies par la Commission et des programmes d aide mis en œuvre au niveau des pays ; 3 Assurer le renforcement d une expertise sectorielle santé adéquate, au sein des délégations ou de son réseau de partenaires ; 4 Optimiser l utilisation des instruments d appui budgétaire sectoriel, la Commission ayant tendance à privilégier l appui budgétaire général ; 5 Continuer à recourir à l aide projet, notamment dans le cadre d appui à la mise en œuvre de politiques publiques, au développement des capacités ainsi qu à certaines interventions pilotes ; 6 Travailler de manière plus étroite avec le Fonds Mondial, dans les pays bénéficiaires ; 7 Etablir des principes plus clairs relatifs à l utilisation des instruments de coopération et leur combinaison optimale ; 8 Renforcer considérablement les efforts entrepris pour contribuer au développement de politiques de santé bien définies, au sein des pays bénéficiaires. COMMENTAIRES Sur la méthodologie de la Court of Auditors Les magistrats européens ont concentré leurs audits sur quatre questions principales : - les ressources déployées par la Commission étaient elles conformes à ses engagements politiques envers le secteur de la santé? - la Commission a-t-elle augmenté son appui financier au profit du secteur de la santé? - la Commission a-t- elle recouru aux instruments disponibles pour contribuer à une amélioration effective des services de santé? - la Commission a-t-elle utilisé la gamme d instruments de coopération de manière cohérente pour contribuer à l efficacité des programmes d amélioration des services de santé? ( La Cour a réalisé son audit en procédant par voie d analyse documentaire, d audit budgétaire (budget, contribution au Fonds Mondial, FED) ainsi qu en réalisant des missions de terrains ou en enquêtant auprès d un échantillon large de délégations. L audit ne se prononce pas sur l opportunité ou la pertinence de la stratégie décidée par la Commission, mais s intéresse tout naturellement à la mesure d écart entre les objectifs et les moyens de cette stratégie. De surcroît, l analyse opérée par les auditeurs s attache à une définition stricto sensu de la santé, sans rechercher d interactions avec d autres secteurs fortement corrélés comme l eau, l assainissement et la nutrition, qui emportent pourtant des effets non négligeables sur les indicateurs sanitaires. Sur les ressources allouées au secteur de la santé La Cour note que la Commission n a pas été en mesure de respecter ses engagements de porter à 15% du montant de son aide les crédits dédiés au secteur de la santé en Afrique subsaharienne. A ce titre, il est noté que seuls 5,5% des engagements du 9 e FED concernent cette affectation (contre 4,4% pour le 8 e FED). De manière significative, il faut retenir que la faiblesse relative de ces engagements ne semble pas compensée par un investissement proportionnellement renforcé sur d autres secteurs de développement comme l éducation. 30/01/09_GD 2/5
3 La Cour note également le recours important à l aide budgétaire déliée, sans fléchage en direction des thématiques sanitaires. Ainsi, les 2 milliards d euros de cette aide budgétaire globale n auront permis de mobiliser au mieux que 200 millions d euros pour l appui au secteur de la santé. Ces 10% d engagements sectoriels restent très en deçà des 35% jusque là consacrés par la Commission à ces problématiques. L augmentation constatée en valeur absolue de l ensemble des volumes d aide consacrés par la Commission Européenne à la santé en Afrique sub-saharienne (pour un total de 1,1 Md tous instruments de financement confondus) entre les périodes du 8 e et du 9 e FED ne masquent pas le fait que la part de la santé croît de 30% alors que sur la même période, l ensemble des crédits d aide de la Commission progresse de 40%. De même, le 10 e FED représente une augmentation de 60% des crédits d aide alloués à l Afrique sub-saharienne par rapport au 9 e FED ; or les ressources consacrées au secteur de la santé demeurent constantes, sans aucune progression. La Cour conclut que la recherche de complémentarité entre les bailleurs et financeurs internationaux n empêche pas un partage des rôles manquant de pertinence et d adéquation au regard des besoins de réalisation des OMD ; à ce titre, le recul par rapport à la stratégie des OMD est en partie imputable, pour la Cour, au retrait d un acteur aussi important que la Commission du secteur de la santé. Il est rappelé que le Parlement Européen ne considère pas que le principe de complémentarité constitue une raison valide pour justifier l absence de rôle déterminant assumé par la Commission. Sur l approche verticale de la Commission La Commission a réalisé un effort substantiel d investissement et de soutien aux interventions thématiques ciblant certaines pathologies spécifiques (et notamment les pandémies). De manière corollaire, la Commission a porté une attention moindre à l appui aux politiques de santé, d une manière plus large. La Cour note que cette évolution s inscrit dans un mouvement plus global de la communauté internationale des bailleurs, qui s opère «aux dépens» du renforcement des systèmes de santé. A titre d exemple, le rapport d audit cite les cas de l Ethiopie et du Mali, aux taux de séroprévalence relativement bas, et recevant toutefois une aide au titre de la lutte contre le VIH/SIDA supérieure au montant total du budget national de santé! Sur l expertise santé de la Commission La Cour rappelle que la Commission opérait un constat d insuffisance d expertise interne sur le secteur de la santé, dès En effet, sur 37 délégations sollicitées dans le cadre de l audit, un seul membre de délégation titulaire d un emploi permanent présente une qualification en matière de santé! Les auditeurs sont par conséquent amenés à souligner que la Commission doit renforcer son expertise sanitaire, tout particulièrement dans celles des délégations travaillant dans les pays bénéficiaires du FED où la santé est un secteur de concentration. Le problème se pose de manière toute aussi aigue au siège de EuropeAid, où la Cour note que seuls 2 professionnels du secteur de la santé sont en charge du soutien technique sectoriel aux 41 délégations de la Commission en Afrique sub-saharienne. La question du renforcement des capacités de la Commission en termes de back office reste par conséquent posée. A l inverse, un problème de cohérence a pu être mis en lumière au Swaziland, où la personne ressource de la délégation qualifiée en santé a été affectée à d autres secteurs, puisque la santé ne comptait pas au nombre des secteurs de concentration pour le FED dans ce pays. 30/01/09_GD 3/5
4 Sur le taux d exécution La Cour note que le taux d exécution du 9 e FED s est amélioré par rapport au 8 e FED. En effet, on note que les décaissements concernant le 8 e FED se montent à 0% pour la première année, 3% pour la deuxième, et 39% la dernière année. La réforme de déconcentration des DCE a permis d améliorer l exécution des crédits, pour 77% des délégations interrogées. Les auditeurs remarquent toutefois que la complexité des procédures de passation de marchés comme de réalisation et de gestion des programmes/projets constituent des freins à l amélioration de l exécution des crédits d aide (FED). On observe également que l aide budgétaire favorise un taux d exécution plus élevé, comparativement, que l aide projet : ainsi, dans le cadre du 9 e FED, ce taux est de 5% la première année, 18% la deuxième année, et 74% la dernière année. La part d aide européenne dédiée au Fonds Mondial montre une utilisation de volumes de crédits plus importants mais un taux d exécution plus lent que le FED. Sur la gestion et l efficacité des instruments La Cour a adopté une optique comparative portant sur les trois principaux instruments utilisés par la Commission Européenne dans le cadre de son aide au secteur de la santé en Afrique subsaharienne : l aide budgétaire, l aide projet et l appui au Fonds Mondial. L aide budgétaire a pour objectif de permettre aux autorités des pays bénéficiaires d accroître les ressources disponibles au titre du budget de la santé, d améliorer les services de santé, dans le but de contribuer à la réalisation des OMD. Les auditeurs concluent toutefois que l aide budgétaire sectorielle a été très peu utilisée par la Commission, alors que l aide budgétaire déliée a apporté un soutien peu lisible au renforcement du secteur de la santé. Ainsi, le Mozambique et la Zambie, caractérisés par des politiques de santé clairement définies, ont fait l objet d une aide sectorielle, alors que de manière plus large, 21 pays d Afrique sub-saharienne ont bénéficié de cet instrument durant le 9 e FED. Il reste intéressant de noter que dans la plupart de ces pays, aucune augmentation des ressources budgétaires à destination du secteur de la santé n a pu être constatée. La Cour regrette d ailleurs le manque de plaidoyer ou d incitation de la Commission auprès de ces pays, tout comme l «interprétation dynamique» de la Commission, principe qui permet de rendre éligible à l appui budgétaire des pays dont les finances publiques posent questions en termes de gouvernance et de solidité/stabilité. En conclusion, les auditeurs notent que seuls 50% des indicateurs de performance ont été atteints, soulevant un certain nombre de questions relatives à l efficacité des mécanismes de suivi mis en place. Les délégations, appelées à noter l efficacité perçue de l appui budgétaire sur le secteur de la santé (de 1 à 5) lui attribuent une note de 2,77. De manière globale, l aide projet financée par le FED se singularise par une efficacité relative, mais suscitent des doutes importants quand à sa pérennité. Les 2/3 des projets audités sont jugés satisfaisants ou partiellement satisfaisants au plan de l efficacité, totalisant une note globale de 3,11 attribuée par les délégations. Parmi les aspects de réussite moindre soulignés par les auditeurs, il convient de retenir le dimensionnement mal adapté de certains projets, notamment dans les pays post-crises ; les procédures et les calendriers de réalisation semblent également devoir être revus. De surcroît, la Cour insiste sur la qualité très diverse de l assistance technique, dans un contexte de rareté des ressources qualifiées pour assurer une supervision optimale, au niveau des délégations. 30/01/09_GD 4/5
5 La Commission a assumé un rôle prépondérant dans la structuration du Fonds Mondial, et demeure le 4 e contributeur du Fonds, avec un montant de crédits de 622,5 millions durant la période Pour autant, la Cour met en exergue les difficultés du Fonds comme des pays bénéficiaires en termes de capacité d absorption des contributions. Par ailleurs, elle remarque que les délégations n ont pas su jouer le rôle qui leur étaient assigné au travers de la stratégie politique décidée par EuropeAid, et consistant à participer activement aux mécanismes de coordination du Fonds Mondial dans les pays, à assurer un retour d information sur les activités du Fonds dans les pays bénéficiaires, et à fournir de l assistance technique dans le cadre des bourses de financement et de la réalisation des projets. Les auditeurs insistent également sur le nécessaire infléchissement de la politique du Fonds Mondial, afin de contribuer davantage au renforcement pérenne de systèmes de santé sur lesquels adosser les programmes plus spécifiquement destinés à la lutte contre les pandémies. D une manière plus générale, la Cour relève l insuffisance de lignes directrices édictées par la Commission en terme d harmonisation des instruments. Les délégations n ont pas reçu suffisamment d instructions ni de sensibilisation leur permettant de faire un usage optimal de différents outils de financement. De manière plus particulière, l investissement dans des démarches d approche sectorielle demeure en deçà des objectifs de la Commission. ELEMENTS DE REPONSE DE LA COMMISSION La Commission Européenne a formulé un certain nombre de réponses capitalisant sur l exercice d audit réalisé par la Cour des Comptes. Commentaires prenant en compte les conclusions de l audit La Commission entend profiter de l analyse opérée par les auditeurs pour affiner sa stratégie d appui au secteur de la santé. A ce titre, elle montre une sensibilité toute particulière à l utilisation plus fréquente de l appui budgétaire sectorielle (l objectif est de l augmenter, afin que sa part passe de 9% sous le 9 e FED à 16% sous le 10 e FED). La Commission souhaite également travailler à davantage de synergie et de coopération entre les parties prenantes, y compris afin de renforcer l expertise en santé mise à disposition à l intérieur des délégations ou en collaboration avec d autres partenaires internationaux. Prise en compte opérationnelles des recommandations Pour faire suite aux recommandations, la Commission a mis en place un groupe de travail transversal dédié à l amélioration de l efficacité dans l utilisation des ressources du Fonds Mondial. Elle entend également préciser les différences d utilisation et de recours aux instruments de coopération, à l occasion de la nouvelle version de son guide de programmation santé, disponible très prochainement. 30/01/09_GD 5/5
Gestion budgétaire et financière
Élaboration et suivi de la programmation budgétaire Exécution budgétaire et comptable Aide au pilotage et contrôle financier externe Expertise financière et juridique Ministère de la Culture et de la Communication
Plus en détailExpert principal 1: Chef d'équipe, coordonnateur de projet (expert senior)
1.1.1 Experts principaux Ces termes de référence définissent les profils requis pour les experts principaux. Le soumissionnaire doit fournir une déclaration d'exclusivité et de disponibilité pour les experts
Plus en détailGUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES
REPUBLIQUE DU BENIN MINISTERE DE LA DECENTRALISATION, DE LA GOUVERNANCE LOCALE, DE L ADMINISTRATION ET DE L AMENAGEMENT DU TERRITOIRE GUIDE D ASSISTANCE CONSEIL AUX COMMUNES Elaboré par la Direction Générale
Plus en détailVérification des procédures en fin d exercice
Vérification des procédures en fin d exercice DIVERSIFICATION DE L ÉCONOMIE DE L OUEST CANADA Direction générale de la vérification et de l évaluation Décembre 2011 Table des matières 1.0 Résumé 1 2.0
Plus en détailRAPPORT ANNUEL DU COMITE D AUDIT ET DES RISQUES AU CONSEIL D ADMINISTRATION EXERCICE 2012
RAPPORT ANNUEL DU COMITE D AUDIT ET DES RISQUES AU CONSEIL D ADMINISTRATION EXERCICE 2012 Avril 2013 TABLE DES MATIERES INTRODUCTION.2 AUDIT INTERNE 2 AUDIT EXTERNE.4 GESTION DES RISQUES..5 OPINION GLOBALE
Plus en détailT : +33 1 47 38 55 00 F : +33 1 47 38 55 55 info@cms-bfl.com www.cms-bfl.com Neuilly-sur-Seine, le 14 décembre 2011
CMS Bureau Francis Lefebvre 1-3 Villa Emile Bergerat, 92522 Neuilly-sur-Seine Cedex, France T : +33 1 47 38 55 00 F : +33 1 47 38 55 55 info@cms-bfl.com www.cms-bfl.com Neuilly-sur-Seine, le 14 décembre
Plus en détailSéminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014
Séminaire éducation Focus Rythmes scolaires Compte-rendu 11 mars 2014 OUVERTURE DU SEMINAIRE : Bernard Amsalem, Vice-président du CNOSF Etat de l avancée des travaux depuis le dernier séminaire Rappel
Plus en détailROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET
ROYAUME DU MAROC DIRECTION DU BUDGET I CONTEXTE DE LA REFORME BUDGETAIRE II OBJECTIFS ET AXES DE LA REFORME BUDGETAIRE III CARACTERISTIQUES DE LA REFORME BUDGETAIRE IV FACTEURS CLES DE SUCCES 2 Modernisation
Plus en détailLe management des risques de l entreprise Cadre de Référence. Synthèse
Le management des risques de l entreprise Cadre de Référence Synthèse SYNTHESE L incertitude est une donnée intrinsèque à la vie de toute organisation. Aussi l un des principaux défis pour la direction
Plus en détailRémunération des Professionnels du Capital Investissement Lignes Directrices
Rémunération des Professionnels du Capital Investissement Lignes Directrices 1. Contexte Les travaux du groupe de travail de place constitué au début de l année 2009 à la demande des pouvoirs publics ont
Plus en détailOUVRIR LES PORTES DE LA BANQUE AUX JEUNES ENTREPRENEURS
Contexte général de lancement de l expérimentation Pour des raisons indépendantes de notre volonté et de notre implication, la convention avec le Ministère a été signée à la fin du mois de décembre 2010.
Plus en détailAnalyse du processus de décision des propriétaires rhônalpins en matière de rénovation énergétique :
Analyse du processus de décision des propriétaires rhônalpins en matière de rénovation énergétique : des motivations à la réalisation des travaux Le contexte Suite au Grenelle de l Environnement, l Etat
Plus en détailExpert International en Gestion des ressources en eau Coresponsable - Maroc
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailLa modernisation de la gestion publique au sein des EPSCP. Colloque des Agents Comptables. 05 juin 2015
La modernisation de la gestion publique au sein des Colloque des Agents Comptables 05 juin 2015 EPSCP Frédéric Dehan Directeur Général des Services Université de Strasbourg 1) Des éléments de contexte
Plus en détailPROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO
PROJET DOUGORE 2011 SUR LA DECENTRALISATION AU TOGO ELABORATION D UN PLAN DE DEVELOPPEMENT COMMUNAL Par : LEGONOU François, Directeur SYDEL AFRIQUE, Consultant En guise d introduction La décentralisation
Plus en détailInvestissements et R & D
Investissements et R & D Faits marquants en 2008-2009 - L investissement de l industrie manufacturière marque le pas en 2008 et se contracte fortement en 2009 - Très fort recul de l utilisation des capacités
Plus en détailExpert(e) International(e) en santé publique Délégué(e) à la co-gestion de la composante «Appui à la demande de soins» Sénégal
Agence belge de développement, la CTB mobilise ses ressources et son expertise pour éliminer la pauvreté dans le monde. Contribuant aux efforts de la Communauté internationale, la CTB agit pour une société
Plus en détailFormation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds. Termes de référence
Formation des Partenaires en Fundraising/Récolte de fonds Termes de référence 1 1. Contexte et justification La formation en recherche de financement s inscrit dans le cadre du programme «Promouvoir l
Plus en détailCet article s attache tout d abord
Méthodes internationales pour comparer l éducation et l équité Comparaison entre pays des coûts de l éducation : des sources de financement aux dépenses Luc Brière Marguerite Rudolf Bureau du compte de
Plus en détailCHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC.
CHARTE DU COMITÉ DES RESSOURCES HUMAINES ET DE RÉMUNÉRATION DU CONSEIL D ADMINISTRATION DE TIM HORTONS INC. Adoptée le 28 septembre 2009 (Modification la plus récente : novembre 2013) La présente charte
Plus en détailGroupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences
Groupe de travail 3 : Emploi, formation, compétences Réunion 3 11 décembre 2013 Ivry-sur-Seine Fiche synthèse Réunion 3 Emploi, formation, compétences Groupe animé par Patrick Loire, directeur des relations
Plus en détailLA LUTTE CONTRE LES DISCRIMINATIONS DANS LES CONTRATS DE VILLE DU LANGUEDOC-ROUSSILLON
PREFET DE LA REGION LANGUEDOC ROUSSILLON Direction régionale de la jeunesse, des sports et de la cohésion sociale Pôle Cohésion sociale Territoriale Montpellier, le 19 juin 2015 Dossier suivi par Rodolphe
Plus en détailCOMPTE RENDU : Programme Leader 2007-2013 -Bilan et évaluation
COMPTE RENDU : Programme Leader 2007-2013 -Bilan et évaluation Lieu : Salle des fêtes de Rosnay Date : le 27 juin 2013 Présents M. DARNAULT (Commune de Rivarennes) Mme GUILLEMOT (Ecomusée) M. BURDIN (CPIE)
Plus en détailDétention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes?
1 Numéro 200, juin 2013 Détention des crédits : que nous enseignent les évolutions récentes? I) Un taux de détention en baisse La détention au plus bas historique A la fin de l année 2012, seulement 48,6%
Plus en détailCOMPOSANTE 3 Objectif 3.C
TERMES DE RÉFÉRENCE POUR LE RECRUTEMENT D UN CABINET POUR LE DÉVELOPPEMENT DE LA PLATEFORME DE GESTION DES CONNAISSANCES POUR LA REFORME DE LA GOUVERNANCE COMPOSANTE 3 Objectif 3.C Sous-objectif 3.C.02
Plus en détailChapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1
Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une
Plus en détail1 Informations générales
PAMEC-CEEAC Programme d Appui aux Mécanismes de Coordination et au renforcement des capacités de la CEEAC pour la mise en œuvre et le suivi du PIR Communauté Economique des Etats de l Afrique Centrale
Plus en détail- CONSEIL RÉGIONAL DE LA MARTINIQUE
Jérôme DUPUIS CONSULTANT Conseil en Gestion Des Organisations Publiques - CONSEIL RÉGIONAL DE LA MARTINIQUE Note de synthèse portant conclusion de l audit de gestion de la politique sportive régionale
Plus en détailTHÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES DANS LES PLANS NATIONAUX ET RÉGIONAUX DE DÉVELOPPEMENT»
ATELIER UNION AFRICAINE / COMMUNAUTÉS ECONOMIQUE RÉGIONALES SUR LE COMMERCE DES SERVICES EN COLLABORATION AVEC JEICP ET LA BAD 29-30 MARS 2012, LUSAKA (ZAMBIE) THÈME: «INTÉGRATION DU COMMERCE DES SERVICES
Plus en détailCharte d audit du groupe Dexia
Janvier 2013 Charte d audit du groupe Dexia La présente charte énonce les principes fondamentaux qui gouvernent la fonction d Audit interne dans le groupe Dexia en décrivant ses missions, sa place dans
Plus en détailLa Banque européenne d investissement. en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer
La Banque européenne d investissement en Afrique, dans les Caraïbes et le Pacifique ainsi que dans les pays et territoires d outre-mer La banque de l UE La Banque européenne d investissement, la banque
Plus en détailLe tableau de bord de la DSI : un outil pour mieux piloter son informatique.
Le tableau de bord de la DSI : un outil pour mieux piloter son informatique. Introduction Face à l évolution constante des besoins fonctionnels et des outils informatiques, il est devenu essentiel pour
Plus en détailREFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE :
REFERENTIEL POUR L ATTRIBUTION DE LA MENTION RGE : RECONNU GARANT DE L ENVIRONNEMENT Date de mise en application : 20/02/2014 QUALIFELEC RE/0010 indice A 1 SOMMAIRE 1. DOMAINE D APPLICATION... 4 1.1 Objet...
Plus en détailNORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES
NORME INTERNATIONALE D AUDIT 330 REPONSES DE L AUDITEUR AUX RISQUES EVALUES Introduction (Applicable aux audits d états financiers pour les périodes ouvertes à compter du 15 décembre 2009) SOMMAIRE Paragraphe
Plus en détail5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme*
Communiqué de presse Gennevilliers, le 05 Septembre 2013 5 e Baromètre ALMA CG sur l Absentéisme* L Absentéisme en France augmente de 18% en 2012, ce qui représente une moyenne de 16,6 jours d absence
Plus en détailUn Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi. Unique et inédit!
Conférence de presse du 30 novembre 2011 Session budgétaire de la Région Auvergne* Un Budget 2012 en hausse pour la jeunesse et l emploi Unique et inédit! L Auvergne : 1 ère Région de France à lancer une
Plus en détailSystème de gestion des données du secteur des transports (TSDMS)
Système de gestion des données du secteur des transports (TSDMS) Exposé succinct I. Introduction II. Objet de la gestion des données du secteur des transports III. Efforts passés et présents par le SSATP
Plus en détailCurrent challenges for Audit Authorities and Groups of Auditors in ETC and IPA programmes and perspectives for the future
Current challenges for Audit Authorities and Groups of Auditors in ETC and IPA programmes and perspectives for the future Session 3.1 Sampling method Expérience de l Autorité d audit dans le programme
Plus en détailTitre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité.
Titre : La Mutuelle Communautaire de Santé de Yaoundé : Un mécanisme solidaire de financement collectif d accès aux soins de santé de qualité. Sous titre: Projet d appui aux mutuelles de santé et incidence
Plus en détailC ) Détail volets A, B, C, D et E. Hypothèses (facteurs externes au projet) Sources de vérification. Actions Objectifs Méthode, résultats
C ) Détail volets A, B, C, D et E Actions Objectifs Méthode, résultats VOLET A : JUMELAGE DE 18 MOIS Rapports d avancement du projet. Réorganisation de l administration fiscale Rapports des voyages d étude.
Plus en détailM. Edos Ousséini YEYE Directeur Général de la PAPME I. L environnement des PME/PMI au Burkina Faso
UNE EXPERIENCE D APPUI AUX PME/PMI AU BURKINA FASO M. Edos Ousséini YEYE Directeur Général de la PAPME I. L environnement des PME/PMI au Burkina Faso 1 Le Burkina Faso PME/PMI - Burkina Faso 3 Le Burkina
Plus en détailEn collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013
En collaboration avec LA GESTION DES RISQUES AU SEIN DU SECTEUR PUBLIC LOCAL EN 2013 MARS 2013 INTRODUCTION, METHODOLOGIE Primo France, association dédiée à la gouvernance et à la gestion du risque public,
Plus en détailRemarques introductives, décentralisation fiscale
Remarques introductives, décentralisation fiscale Forum Régional sur la Décentralisation Marseille, 23 juin 2007 Hélène Grandvoinnet Plan Variété des CL RESSOURCES Trois grands types de ressources Ressources
Plus en détailGroupe de la Banque africaine de développement. ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement
Groupe de la Banque africaine de développement ALLOCUTION D OUVERTURE DE M. OMAR KABBAJ Président du Groupe de la Banque africaine de développement AU SEMINAIRE DE SENSIBILISATION DES SERVICES DE LA BANQUE
Plus en détailNorme ISA 330, Réponses de l auditeur à l évaluation des risques
IFAC Board Prise de position définitive 2009 Norme internationale d audit (ISA) Norme ISA 330, Réponses de l auditeur à l évaluation des risques Le présent document a été élaboré et approuvé par le Conseil
Plus en détailAtelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé. Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie
République Tunisienne Ministère des Finances Atelier sur la stratégie de compétitivité et du Développement du Secteur Privé Mécanismes de financement de l entreprise en Tunisie Zouari Maher Directeur de
Plus en détailBaromètre de la gestion immobilière des villes Pour une stratégie de création de valeur
Baromètre de la gestion immobilière des villes Pour une stratégie de création de valeur 2015 Répartition géographique des villes participantes sur le territoire français Martinique Editorial Une enquête
Plus en détailRéforme du Code des assurances :
Réforme du Code des assurances : orienter l épargne des Français vers les entreprises Pierre Moscovici, ministre de l économie et des finances «Une des priorités de mon action est de réconcilier l épargne
Plus en détailPlan régional d internationalisation des entreprises en Pays de la Loire 2013 / 2015
Plan régional d internationalisation des entreprises en Pays de la Loire 2013 / 2015 Dans le cadre du Schéma Régional de l Economie et de l Emploi Durables et de la Stratégie régionale à l international
Plus en détailACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA
1 APPEL D OFFRES ACCOMPAGNEMENT A LA CERTIFICATION ISO 9001 DE L AGENCE POUR LA RECHERCHE ET L INNOVATION EN CHAMPAGNE-ARDENNE - CARINNA JUILLET 2013 2 1. OBJET DE L APPEL D OFFRE Réalisation d un accompagnement
Plus en détailGUIDE SUIVI EVALUATION RIDER SUODE
GUIDE SUIVI EVALUATION RIDER SUODE Ce document, réalisé dans le cadre du GT5 «suivi / évaluation», est un guide pour les experts du Comité Scientifique. Les critères et indicateurs choisis dans ce document
Plus en détailNOTE SUR LES SUBVENTIONS. - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées
NOTE SUR LES SUBVENTIONS - Récapitulatif des obligations des associations subventionnées - Les produits de la tarification ne sont pas des subventions A. Récapitulatif des obligations des associations
Plus en détailLe règlement REACH. Transparence des entreprises au sujet de leur mise en conformité
Le règlement REACH Transparence des entreprises au sujet de leur mise en conformité Impacts économiques, risques extra-financiers et opportunités pour les entreprises Résumé de l étude réalisée par EthiFinance,
Plus en détailRapport d évaluation du master
Section des Formations et des diplômes Rapport d évaluation du master Droits de l'homme de l Université de Strasbourg Vague C 2013-2017 Campagne d évaluation 2011-2012 Section des Formations et des diplômes
Plus en détailInvestir dans l action pour le climat, investir dans LIFE
Investir dans l action pour le climat, investir dans LIFE Un aperçu du nouveau sous-programme LIFE Action pour le climat 2014-2020 istock Action pour le climat Qu est-ce que le nouveau sous-programme LIFE
Plus en détailETUDE SUR LES BESOINS DE FORMATION DANS LES ENTREPRISES PUBLIQUES TUNISIENNES. Analyse et synthèse des résultats
ETUDE SUR LES BESOINS DE FORMATION DANS LES ENTREPRISES PUBLIQUES TUNISIENNES Analyse et synthèse des résultats Etude organisée par le service Etudes du CIFODECOM 1. INTRODUCTION 2. OBJETIF DE L ETUDE
Plus en détailAnnexe 1 L Agenda politique d Istikshaf
This project is funded by The European Union Annexe 1 L Agenda politique d Istikshaf This project is funded by The European Union Istikshaf: explorer la mobilité Agenda politique régional pour la mobilité
Plus en détailLes dirigeants face à l innovation
Les dirigeants face à l innovation Vague 2 FACD N 111164 Contact Ifop : Flore-Aline Colmet Daâge Directrice d Etudes Département Opinion et Stratégies d'entreprise flore-aline.colmet-daage@ifop.com Mai
Plus en détailTERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS
TERMES DE REFERENCE POUR LE COORDONNATEUR DE LA PLATEFORME DE DIALOGUE DU SECTEUR DES TRANSPORTS 1. INFORMATIONS GÉNÉRALES... 1 1.1. Pays bénéficiaire... 1 1.2. Autorité contractante... 1 2. CONTEXTE...
Plus en détailEUROPAID/119860/C/SV/multi. Identification et formulation du projet d'appui à la politique de santé à financer sur les ressources du PIN 10 ème FED
EUROPAID/119860/C/SV/multi Identification et formulation du projet d'appui à la politique de santé à financer sur les ressources du PIN 10 ème FED LOT N 8 DEMANDE N 2009/201619/1 TERMES DE REFERENCE SPECIFIQUES
Plus en détailLa Ministre des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes. Le Ministre des finances et des comptes publics
Ministère des affaires sociales, de la santé et des droits des femmes Direction Générale de l Offre de Soins Sous-direction du pilotage de la performance des acteurs de l offre de soins Bureau de l efficience
Plus en détailSéminaire en ligne : Diffuser un management transversal des projets dans une université
Séminaire NQI du jeudi 14 février 2013 En partenariat avec : Séminaire en ligne : Diffuser un management transversal des projets dans une université NQI COMPTE RENDU DE SEMINAIRE EN LIGNE Présenté par
Plus en détailAppel à propositions
Appel à propositions Dispositif de professionnalisation des acteurs de l accueil, l information, l orientation, l emploi, la formation professionnelle initiale (par la voie de l apprentissage) et la formation
Plus en détailasah alpha consulting Prog o ram a m m e e de d e fo f r o mat a i t on o n 2 01 0 5
AUDIT 1 1.1 Evaluation et appréciation du contrôle Auditeurs internes, contrôleurs de gestion Responsables administratifs et financiers ; Durée : 03 jours Maitriser la démarche d évaluation interne Mettre
Plus en détailLES CONDITIONS D ACCÈS AUX SERVICES BANCAIRES DES MÉNAGES VIVANT SOUS LE SEUIL DE PAUVRETÉ
3. Les crédits 3.1 Les crédits en cours 3.1.1 Les ménages ayant au moins un crédit en cours Un peu plus du quart, 31%, des ménages en situation de déclarent avoir au moins un crédit en cours. Il s agit
Plus en détailDécision du Haut Conseil du Commissariat aux Comptes
DECISION 2007-01 Décision du Haut Conseil du Commissariat aux Comptes Relative aux contrôles périodiques auxquels sont soumis les commissaires aux comptes Séance du 6 juillet 2007 Lors de la séance du
Plus en détailNote Simplifiée. UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------
UNION ECONOMIQUE ET MONETAIRE OUEST AFRICAINE ---------------- La Commission ------------ PROJET D APPUI A L EXTENSION DE LA COUVERTURE DU RISQUE MALADIE DANS LES PAYS MEMBRES DE L UEMOA Note Simplifiée
Plus en détailCoup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés
Coup de projecteur : Transferts d'argent des migrants et produits financiers associés BIM n - 19 février 2008 Ce BIM est réalisé en partenariat avec le Portail francophone de la microfinance : www.lamicrofinance.org.
Plus en détailPrésenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA. DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009
EXPERIENCE SENEGALAISE DE LA MICROASSURANCE: DEFIS ET OPPORTUNITES Présenté par OUEDRAOGO Adolphe Chef de Brigade de la CIMA DAKAR, les 3-4 et 5 novembre 2009 2 INTRODUCTION Le thème sera abordé en cinq
Plus en détailEVALUATION FINALE MLI/016. Programme d Appui à la Santé de Base
EVALUATION FINALE MLI/016 Programme d Appui à la Santé de Base FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre long du projet Titre court du projet Code LuxDev Mali Programme d Appui à la Santé de Base PASAB MLI/016 Version
Plus en détailDU RISQUE DANS LES CADRES RÉGLEMENTAIRES*
R. GESTION DU RISQUE DANS LES CADRES RÉGLEMENTAIRES* Le Groupe de travail des politiques de coopération en matière de et de normalisation: Reconnaissant que l atténuation du risque qui peut avoir une incidence
Plus en détailISBN-13 : 978-2-922325-43-0 Dépôt légal : Bibliothèque et Archives nationales du Québec, 2009
REMERCIEMENTS AUX PARTENAIRES Cette étude a été réalisée grâce à la participation financière de la Commission des partenaires du marché du travail et du ministère de l Éducation, du Loisir et du Sport.
Plus en détailAction de soutien à la mobilité
UNION EUROPÉENNE Fonds social européen Investit pour votre avenir PROGRAMME DEPARTEMENTAL D INSERTION 2012-2016 APPEL A PROJETS 2015 Action de soutien à la mobilité Date de lancement de l appel à projets
Plus en détailLES INDUSTRIES EXTRACTIVES
LES INDUSTRIES EXTRACTIVES 1. Les mesures pratiques qui ont été prises et les progrès réalisés dans leur mise en œuvre Depuis son accession à l indépendance, le Mali, à travers ses différents plans de
Plus en détailEVALUATION FINALE SEN/024. Programme d Appui à la Mise en Œuvre de la Réforme de l Enseignement technique et Formation professionnelle
EVALUATION FINALE SEN/024 Programme d Appui à la Mise en Œuvre de la Réforme de l Enseignement technique et Formation professionnelle FICHE SYNTHETIQUE Pays Titre long du projet Titre court du projet Code
Plus en détailAPPEL A PROJETS 2010. Axe d intervention 4. Version corrigée Mars 2010. PO FSE 2007-2013 «Compétitivité régionale et emploi» Ile-de-France
PO FSE 2007-2013 «Compétitivité régionale et emploi» Ile-de-France Contacts Direction régionale du travail, de l emploi et de la formation professionnelle d Ile de France Orientation et appui Service FSE
Plus en détailTermes de référence pour le recrutement d un consultant en communication
Termes de référence pour le recrutement d un consultant en communication A. Contexte La Conférence des Ministres de l Éducation des États et gouvernements de la Francophonie (CONFEMEN) est une organisation
Plus en détailRemarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines
Remarques d Ouverture par M. Mohammed Laksaci, Gouverneur de la Banque d Algérie, Président de l Association des Banques Centrales Africaines Symposium des Gouverneurs sur le thème «Inclusion financière
Plus en détailS engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée
S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien
Plus en détailCahier des charges. pour la réalisation d une étude. Articulation des programmations nationale et communautaire en faveur de la R&D
Cahier des charges pour la réalisation d une étude Articulation des programmations nationale et communautaire en faveur de la R&D Sommaire Sommaire...2 Article 1 Objet du marché...3 Article 2 Contexte...3
Plus en détailMÉMOIRE CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE
MÉMOIRE DU CONSEIL QUÉBÉCOIS DU COMMERCE DE DÉTAIL SUR LE DOCUMENT DE CONSULTATION VERS UN RÉGIME DE RENTES DU QUÉBEC RENFORCÉ ET PLUS ÉQUITABLE PRÉSENTÉ À LA COMMISSION DES AFFAIRES SOCIALES AOÛT 2009
Plus en détailMesures évaluées 46 68 % 35 324 %
Niches fiscales et sociales Un inventaire à la Prévert Il a fallu un an au comité d évaluation (une douzaine de hauts fonctionnaires), au ministère du budget, pour sortir un très gros rapport qui inventorie
Plus en détailNote de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan
Note de contexte relative aux propositions de modifications du plan de développement Programme Leader Terres Romanes en Pays Catalan Terres Romanes en Pays Catalan est porteur, en partenariat avec le Pnr
Plus en détailÉvaluation et recommandations
ÉVALUATION ET RECOMMANDATIONS 13 Évaluation et recommandations Les personnes souffrant de troubles mentaux s intègrent mal sur le marché du travail. En Belgique, par rapport aux personnes qui ont une bonne
Plus en détail«LES PRINCIPES ET OUTILS ESSENTIELS DU CONTRÔLE DE GESTION»
Pour une performance durable et solidaire «LES PRINCIPES ET OUTILS ESSENTIELS DU CONTRÔLE DE GESTION» Audit et contrôle de gestion, quelle complémentarité? Port Leucate Les 12-13-14 septembre 2012 1 Pour
Plus en détail,,ÉTUDES ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS LE MUNICIPE DE CONSTANŢA
RESUMÉ Mots clés : marketing, produits alimentaires, stratégies La thèse de doctorat intitulée,,études ET RECHERCHES SUR LA DISTRIBUTION, LA PROMOTION ET LA VALORISATION DES PRODUITS DE BOULANGERIE DANS
Plus en détailCHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD
CHARTE D ÉTHIQUE PROFESSIONNELLE DU GROUPE AFD AVANT-PROPOS Établissement public, l Agence Française de Développement exerce une mission d intérêt public, principalement à l international. CHARTE D ÉTHIQUE
Plus en détailEvaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale. Résumé MAEE
MAEE RAPPORT FINAL Evaluation du dispositif de Volontariat de Solidarité Internationale Résumé Agnès Lambert, Raphaël Beaujeu, Helena Stucky de Quay, Didier Beaufort, Moctar Ahmed, Riad Bensouiah, Ralison
Plus en détailla solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire
la solution AAFEX aux problèmes de financement des entreprises exportatrices du secteur agricole et agroalimentaire HISTORIQUE Le Centre pour le Développement des Exportations Africaines CEDEXA S.A. CEDEXA
Plus en détailMutualisation des compétences
Premières Rencontres richesses humaines associatives 2 & 3 décembre 2014 ATELIER PROSPECTIF Mutualisation des compétences DEFINITIONS Mutualisation La mutualisation se définit comme la synergie entre deux
Plus en détailPrésentation générale du Manuel De Procédures de l Agence de Développement Social
Présentation générale du Manuel De Procédures de l Agence de Développement Social 1 Page sur 5 1. PRESENTATION DU MANUEL DE PROCEDURES... 3 2. STRUCTURE DU MANUEL DE PROCEDURES... 3 Fenêtre 1 : Structure
Plus en détailAppendice 2. (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs
Appendice 2 (normative) Structure de niveau supérieur, texte de base identique, termes et définitions de base communs NOTE Dans les propositions de Texte identique, XXX désigne un qualificatif de norme
Plus en détailLa participation financière des collectivités territoriales à la protection sociale complémentaire de leurs agents
La participation financière des collectivités territoriales à la protection sociale complémentaire de leurs agents La protection sociale complémentaire des agents de la fonction publique territoriale est
Plus en détailHarmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action
Bureau régional pour l Afrique Harmonisation pour la santé en Afrique (HHA) Cadre d action - 2 - Historique 1.1 En Afrique, sous l effet conjugué de la pauvreté et des faibles investissements dans la santé,
Plus en détailGestion de la sécurité de l information par la haute direction
Étude technique Gestion de la sécurité de l information par la haute direction _la force de l engagement MC Groupe CGI inc. 2004, 2010. Tous droits réservés. Aucune partie de cette publication ne peut
Plus en détailPRDFP. 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations Professionnelles. cohérence. Concertation. Innovation.
cohérence ÉGALITÉ DES CHANCES/DYNAMIQUE ÉCONOMIQUE Concertation Innovation Innovation www.regionreunion.com Concertation cohérence 2011-2015 Le Contrat de Plan Régional de Développement des Formations
Plus en détailÉtude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 n 26 mai 2014
n 26 mai 2014 Étude sur les taux de revalorisation des contrats individuels d assurance vie au titre de 2013 Sommaire 1.INTRODUCTION 4 2.LE MARCHÉ DE L ASSURANCE VIE INDIVIDUELLE 6 2.1.La bancassurance
Plus en détailCDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France
CDC Entreprises présente son étude annuelle : Le capital investissement dans les PME en France Communiqué de presse Paris, le 20 novembre 2012 CDC Entreprises, filiale de la Caisse des Dépôts, gère dans
Plus en détailConsultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014
Consultation sur le projet de mise à jour des indicateurs PEFA, 7 août 2014 Madame, Monsieur Le Programme «Dépenses publiques et Responsabilité financière» (PEFA), lancé en 2001, a mis en place un cadre
Plus en détailRéunion correspondants Europe 26 juin 2012
Réunion correspondants Europe 26 juin 2012 1 Groupe de travail fonds structurels 2 Les fonds structurels Les ressources humaines financées par les fonds structurels : une contribution au développement
Plus en détail