VIDEO-CAPSULE. D r Eric SGRO Service Hépato gastro-entérologie CARCASSONNE

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "VIDEO-CAPSULE. D r Eric SGRO Service Hépato gastro-entérologie CARCASSONNE"

Transcription

1 VIDEO-CAPSULE D r Eric SGRO Service Hépato gastro-entérologie CARCASSONNE

2 Qu apporte la vidéo capsule? => vision de la muqueuse de l intestin grêle Non vue par Rx Plus facile que l entéroscopie (rarement complète) Pas d anesthésie Pas d irradiation Peu de complication

3 VIDEO-CAPSULE Technique Indications actuelles Indications futures

4 TECHNIQUE Le système diagnostique de se compose de 3 éléments : La capsule àusage unique qui, une fois ingérée par le patient, aidée en cela par le péristaltisme et la motilité intestinale, progresse régulièrement et sans douleur le long du tractus gastrointestinal. Pendant sa traversée gastrointestinale, la capsule transmet les signaux vidéo qui seront stockés dans l'unité réceptrice (2 images/s). Ces signaux permettent également au système de suivre le parcours physique de la capsule. La capsule s'élimine ensuite spontanément par les voies naturelles.

5 Un enregistreur sans fil porté sur une ceinture à la taille qui peut capter les signaux transmis par la capsule via un ensemble d'antennes placé sur l'abdomen. Cette ceinture, de port ambulatoire et confortable, autorise l'utilisateur à vaquer à ses occupations pendant la durée de l'exploration gastrointestinale. TECHNIQUE

6 TECHNIQUE Un poste de travail informatique, équipé du logiciel propriétaire de Given, RAPID (Reporting and Processing of Images and Data), qui traite les données et produit une courte séquence vidéo du grêle en même temps qu'il apporte une information pertinente sur le tractus digestif. Le poste de travail RAPID offre ainsi au médecin la possibilité de visionner, d'éditer et d'archiver la vidéo ainsi que de sauvegarder images individuelles et courts clips vidéo.

7 TECHNIQUE Modalités pour un examen du grêle Repas liquide la veille au soir Patient à jeun depuis la veille au soir Possibilité de boire de l eau, 2 heures après le début de l examen Possibilité de s alimenter, 4 h après le début de l examen Contrôle du voyant lumineux par le patient durant l examen pour vérifier la bonne réception du signal

8 TECHNIQUE Durée d enregistrement = 8h Récuperation des données => CD ou DVD Lecture / analyse des images => diagnostic => traitement

9 CONTRE-INDICATIONS ABSOLUES : Chez les patients soupçonnés de présenter une obstruction, un rétrécissement ou une fistule du tractus gastro-intestinal au vu des données cliniques ou du dossier médical et des examens préliminaires. Intérêt de la «patency capsule» Chez les patients porteurs d un pacemaker ou d autres implants à fonctionnement électrique. Chez les patients atteints de troubles de la déglutition CI RELATIVES : Téléphones portables???? ne pas utiliser car interférences possibles, id pour poste radio-amateur Troubles de la déglutition ou trouble de la vidange gastrique(mettre dans l estomac ou le duodenum avec «panier») IRM Femme enceinte Pas de Ci : -anticoagulants

10 INDICATIONS Saignements digestifs MICI (Mie de CROHN) Tumeurs ( Mie Coeliaque )

11 saignement digestif obscur Définition : saignement aigu ou chronique sans cause retrouvée lors des explorations digestives endoscopiques hautes et basses on distingue schématiquement: SDO occultes = anémie ferriprive SDO patentes = hémorragies digestives extériorisées après un bilan endoscopique haut et bas, un saignement reste inexpliqué dans : 5% des hémorragies digestives 38% des anémies ferriprives

12 Anémie ferriprive Hémorragie digestive extériorisée examens négatifs = SDO 2 gastroscopies (+ biopsies duod si AF) 1 coloscopie totale Vidéo-capsule Suspicion sténose clinique = Entero-TDM ou transit du grêle traitement positive abstention thérapeutique négative arrêt du saignement pas d explorations ou entéroscanner persistance: enteroscanner gastroscopie et coloscopie

13 Vidéo-capsule Versus Entéroscopie Examens plutôt complémentaires L entéroscopie permet un geste thérapeutique endoscopique : -biopsies -résection de polype -angiodysplasie : élèctrocoagulation à l argon

14 MICI Pour l instant exploration des lésions du grêle dans la M ie de CROHN Quand suspicion MC sans preuve endoscopique Bilan des lésions du grêle : non ou mal explorée par l imagerie Contrôle de l efficacité d un traitement ( utilisation de la «Patency capsule» si suspicion de sténose )

15 CAPSULE ENDOSCOPIQUE ET MICI SUSPICION DE MALADIE DE CROHN Symptômes évocateurs (diarrhée, syndrome inflammatoire, amaigrissement) MALADIE DE CROHN CONNUE Fibroscopie-Coloscopie normales ou Colite ulcéreuse Contrôle post-opératoire (résection iléale) Bilan évolutif Suspicion lésions grêles sévères (discussion immuno-suppresseurs) Transit du grêle ou entéroscanner normal Coloscopie et iléoscopie rétrograde à 6 mois Absence de sténose grêle ou de symptômes évocateurs CAPSULE Bilan de colite inclassée Absence de sténose grêle ou de symptômes évocateurs CAPSULE CAPSULE protocole en cours

16 Ulcération aphtoïde Ulcération superficielle Erythème, érosions Ebauchede sténose ulcérée Ebauchede sténose inflammatoire Ulcération circonférentielle

17 Tumeurs bénignes du grêle Adénome Hémangiome Léiomyome Lipome TUMEURS 90 % Tumeurs nerveuses (neurofibrome) Tumeurs malignes du grêle ADK : 50 % Duodénum (55 %) / Endoluminal Carcinoïdes : 25 % iléon / Endoluminal Stromales (GIST) : 12 % iléon (50 %) / Exoluminal 65 % Lymphomes : % iléon / Indifférent

18 TUMEURS Localisation de la lésion Recherche de lésion du grêle dans les polyposes Bilan d extension, recherche de lésions multifocales

19 Maladie COELIAQUE Étendue de l atrophie Complication : recherche de lymphome

20 Indications futures Capsule oesophagienne : Surveillance : EBO VO Oesophagite, efficacité du traitement Dépistage : EBO VO cancer épidermoide oesophage

21 Indications futures Capsule colique : Surveillance : polype cancer MICI Dépistage : Polype cancer

22 Intérêt : Indications futures Pas d anesthesie Peu ou pas de complication Pas d arrêt des anticoagulants Bien accepté par les patients? (préparation) Inconvénient : Pas de prélèvement, pas de traitement Temps de lecture

23 C est fini. Merci de votre attention

24 Vidéo capsule et oesophage Pourquoi une capsule oesophagienne? Pathologie de reflux : dépistage de l EBO? EBO : Surveillance de la hauteur? Oesophagite : résistance au traitement? Dépistage du carcinome épidermoïde de l œsophage chez le sujet à risque élevé?

25 Vidéo capsule et oesophage Auteurs année n capsule résultats Neu et al (1) Pillcam SB concordance grade oeso: 38% 58 Pillcam SB visualisation œsophage distal (50/100%) : 10% et 0% Eliakim et al (2) Pillcam ESO VPP=100% et VPN=92% pour diagnostic oeso et EBO Cave et al (3) Pillcam SB Se=86% et Sp=33% pour diagnostic pathologies oesophagiennes Kiafar et al (4) Pillcam SB on a concordance avec la string pulled out FOGD =97% Ramirez et al (5) Pillcam SB on a concordance avec la string pulled out FOGD =100% Schnoll-Sussman et al (6) Pillcam SB VPP=67% et VPN=75% pour diagnostic EBO Oeso = oesophagite et EBO : endobrachyoesophage 1 : Neu et al. Endoscopy 2003;35: :Eliakim et al. Aliment Pharmacol Ther. 2004;20: : Cave et al. Gastroenterology 2004;126:A50 4 : Kiafar et al. Gastrointest Endosc 2004;59:AB102 5 : Ramirez et al. Gastrointest Endosc 2004;59:AB145 6 : Schnoll-Sussman et al. Gastrointest Endosc 2004;59:AB263

26 Vidéo capsule et oesophage Étude pilote But : comparer la performance de la capsule oesophagienne à la FOGD pour la détection des pathologies de l œsophage Méthodes : 17 patients présentant pyrosis et/ou douleurs épigastriques Étude en double aveugle Comparaison des résultats de la capsule oesophagienne aux résultats de la FOGD Eliakim et al. A novel diagnostic tool for detecting oesophageal pathology : the PillCam oesophageal video capsule. Aliment Pharmacol Ther. 2004;20:

27 Vidéo capsule et oesophage Résultats (1) : 12/17 patients présentent des lésions oesophagiennes Toutes les lésions ont été visualisées par la capsule oesophagienne La sensibilité de la capsule oesophagienne est de 100% Pas d effet indésirable Temps de transit oesophagien : 189 +/-280 sec Eliakim et al. A novel diagnostic tool for detecting oesophageal pathology : the PillCam oesophageal video capsule. Aliment Pharmacol Ther. 2004;20:

28 Vidéo capsule et oesophage Résultats (2): FOGD + - Capsule oesophagienne VPP = 92% et VPN = 100% Se = 100 % et Sp = 80% Eliakim et al. A novel diagnostic tool for detecting oesophageal pathology : the PillCam oesophageal video capsule. Aliment Pharmacol Ther. 2004;20:

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues

Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues Pôle Santé Prévention Régulation R.P.S. CL/EF Troyes, le 4 décembre 2008. Lettre circulaire aux Gastro-Entérologues PRISE EN CHARGE DE L EXPLORATION INTESTINALE PAR VIDEOCAPSULE INGEREE Docteur, La décision

Plus en détail

Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013?

Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Anti-agrégants, anticoagulants et Endoscopie digestive Faut-il encore modifier nos pratiques en 2013? Christian Boustière, Marseille ANGIOPAS Essai de phase II randomisé multicentrique évaluant l efficacité

Plus en détail

Dépistage du cancer colorectal :

Dépistage du cancer colorectal : Dépistage du cancer colorectal : Quels enjeux? Robert Benamouzig Gastro-entérologie Hôpital Avicenne Bobigny Le cancer colorectal dans le monde 3ème cause de cancer Augmentation 1975 : 500 000 cas 1990

Plus en détail

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien : Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne

Plus en détail

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY

Les grands syndromes. Endoscopie trachéo-bronchique. Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY Les grands syndromes Endoscopie trachéo-bronchique Professeur D. ANTHOINE CHU de NANCY 1 Endoscopie souple avec pince et brosse (fibroscopie) 2 Endoscopie Arbre bronchique normal Bifurcation trachéobronchique

Plus en détail

Mieux informé sur la maladie de reflux

Mieux informé sur la maladie de reflux Information destinée aux patients Mieux informé sur la maladie de reflux Les médicaments à l arc-en-ciel Mise à jour de l'information: septembre 2013 «Maladie de reflux» Maladie de reflux La maladie de

Plus en détail

INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE

INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE INFORMATIONS AU PATIENT SUR LA COLOSCOPIE Votre médecin vous a prescrit une coloscopie. Afin que vous soyez parfaitement informé(e) sur l examen, ses indications, sa préparation indispensable, etc., nous

Plus en détail

Janvier 2003 PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES RECOMMANDATIONS DE LA

Janvier 2003 PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES RECOMMANDATIONS DE LA Janvier 2003 RECOMMANDATIONS DE LA PLACE DE L ENDOSCOPIE DANS LES COLITES MICROSCOPIQUES L. BEAUGERIE (Paris) Avec la collaboration de : G. GAY (Nancy), B. NAPOLEON (Lyon), T. PONCHON (Lyon), J. BOYER

Plus en détail

Informations sur le cancer de l intestin

Informations sur le cancer de l intestin Informations sur le cancer de l intestin Le cancer de l intestin fait partie des affections malignes les plus fréquentes et représente la deuxième cause de mortalité par cancer en Suisse. Cette maladie

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Item 308 : Dysphagie

Item 308 : Dysphagie Item 308 : Dysphagie Date de création du document 2008-2009 Table des matières 1 Définition...1 2 Deux types de dysphagie...2 3 Démarche diagnostique en cas de dysphagie oesophagienne... 3 3. 1 Étape 1

Plus en détail

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle

GASTRO-ENTEROLOGIE. Variabilité. A des entrées. B des sites anatomiques. C inter-individuelle. D intra-individuelle GASTRO-ENTEROLOGIE Variabilité A des entrées B des sites anatomiques 2 l externe + 2 l interne 15 litres sécrétion-absorption entrée 2 l duodénum 4 l grêle 3 l côlon 0,3 l anus 0,3 l œsophage 10" estomac

Plus en détail

LA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME

LA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME LA SECRETINE ET L AXE CERVEAU-INTESTIN DANS L AUTISME Dr Karoly HORVATH, M.D., Ph.D. Diapo 1 : Mesdames et messieurs : c est un plaisir d être ici et de présenter notre expérience dans le traitement des

Plus en détail

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes

L'œsophage L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Causes L'œsophage est un tube musculaire qui traverse de la bouche à l'estomac. Chez l'adulte moyen, il fait 25 cm à 30 cm (10 po à 14 po) de long et environ 2 cm (moins d'un pouce) de large. L'œsophage est constitué

Plus en détail

HEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs

HEL-01298-de-0513-0001-21494. Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs HEL-01298-de-0513-0001-21494 Des maladies dépistées grâce aux examens préventifs Sommaire 1. Pourquoi des examens préventifs? 3 2. Examens préventifs pour le dépistage des facteurs de risque/maladies du

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé.

RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT. Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl par comprimé enrobé. RÉSUMÉ DES CARACTÉRISTIQUES DU PRODUIT 1. Dé nomination du mé dicame nt Bisolax 5 mg comprimés enrobés. 2. Composition qualitative e t quantitative Bisolax 5 mg comprimés enrobés contient 5 mg de bisacodyl

Plus en détail

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007

COMMISSION DE LA TRANSPARENCE. Avis. 23 mai 2007 COMMISSION DE LA TRANSPARENCE Avis 23 mai 2007 SUTENT 12,5 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 265-0) SUTENT 25 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 266-7) SUTENT 50 mg, gélule Flacon de 30 (CIP: 376 267-3)

Plus en détail

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique

LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?

Plus en détail

LE REFLUX ACIDE ET LE RGO

LE REFLUX ACIDE ET LE RGO LE REFLUX ACIDE ET LE RGO PATHOLOGIQUE : Une réalité troublante au Canada FAIT 1 SUR LE RGO PATHOLOGIQUE VOIR PAGE 8 Société canadienne sur la recherche intestinale En moyenne, les patients atteints de

Plus en détail

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département

Plus en détail

Cancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca

Cancer de l'œsophage. Comprendre le diagnostic. Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca Cancer de l'œsophage Comprendre le diagnostic Vous venez d apprendre que vous avez un cancer Une

Plus en détail

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING

Plus en détail

Apport de l IRM dans la

Apport de l IRM dans la Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction

Plus en détail

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris

PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases

Plus en détail

La présente règle coloscopie (avec. l endoscope. coloscopie en. nécessaire et DIRECTIVES. b. Assurer le. e doit :

La présente règle coloscopie (avec. l endoscope. coloscopie en. nécessaire et DIRECTIVES. b. Assurer le. e doit : Règle de soins médicaux Technique de la coloscopie en duo INDICATION (situation visée) La présente règle de soins médicaux vise à préciser les conditions d encadrement de la coloscopie (avec endoscope)

Plus en détail

Cancers de l hypopharynx

Cancers de l hypopharynx Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome

Plus en détail

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés

Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique

Plus en détail

Chapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique. José LABARERE

Chapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique. José LABARERE UE4 : Biostatistiques Chapitre 1 Evaluation des caractéristiques d un test diagnostique José LABARERE Année universitaire 2011/2012 Université Joseph Fourier de Grenoble - Tous droits réservés. lan I.

Plus en détail

Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens

Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Pharmacologie Clinique des Anti-Inflammatoires Non stéroïdiens Effets indésirables Aude FERRAN Plan Toxicité digestive Ulcères» Physiopathologie : effets locaux et systémiques» Cas du cheval Augmentation

Plus en détail

MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN :

MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN : DOSSIER 13 MALADIES INFLAMMATOIRES DE L INTESTIN : ENTRE SOUFFRANCE ET TABOU Souvent dissimulées par les malades, parfois encore ignorées par la médecine de ville, les maladies inflammatoires chroniques

Plus en détail

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie

G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge du cancer du foie G U I D E P A T I E N T - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge du cancer du foie Décembre 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer

Plus en détail

Comprendre la COLITE ULCÉREUSE

Comprendre la COLITE ULCÉREUSE Comprendre la Qu est-ce que la colite ulcéreuse? La colite ulcéreuse est une affection chronique du gros intestin (côlon). L appareil digestif (y compris l estomac, les petit et gros intestins) transforme

Plus en détail

Infestation par Dipylidium caninum,

Infestation par Dipylidium caninum, Fiche technique n 24 Infestation par Dipylidium caninum, le téniasis félin à Dipylidium Parmi tous les vers qui peuvent infester le chat, Dipylidium caninum est un parasite fréquemment rencontré dans le

Plus en détail

1 Les symptômes et signes courants en gastro-entérologie

1 Les symptômes et signes courants en gastro-entérologie 1 Les symptômes et signes courants en gastro-entérologie C. Dubé Sections rédigées par : R.F. Bursey, M.C. Champion, J.M. Fardy, S. Grégoire, D.G. MacIntosh, D.G. Patel, A. Rostom, N. Saloojee, L.J. Scully,

Plus en détail

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem

Plus en détail

«J ai mal au ventre» :

«J ai mal au ventre» : «J ai mal au ventre» : La douleur abdominale chronique Georges Ghattas, MD Présenté à la Journée d éducation médicale continue de l Université de Montréal, le 10 octobre 2003. Il n existe pas d algorithme

Plus en détail

Etablissement Français du Sang

Etablissement Français du Sang Etablissement Français du Sang LE LIEN ENTRE LA GÉNÉROSITÉ DES DONNEURS DE SANG ET LES BESOINS DES MALADES Document de préparation à l entretien médical préalable au don de sang Partie médicale La sécurité

Plus en détail

Maladies inflammatoires chroniques intestinales: une approche globale

Maladies inflammatoires chroniques intestinales: une approche globale World Gastroenterology Organisation Global Guidelines Maladies inflammatoires chroniques intestinales: une approche globale juin 2009 Reviewers Dr. Charles N. Bernstein (président, Canada) Prof. Michael

Plus en détail

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil

Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Que représentent les Spondyloarthrites Axiales Non Radiographiques? Pascal Claudepierre CHU Mondor - Créteil Liens d intérêt Intérêts financiers : aucun Liens durables ou permanents : aucun Interventions

Plus en détail

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS

L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE. Vincent de PARADES PARIS L ATROPHIE DU SPHINCTER ANAL EXTERNE en ENDOSONOGRAPHIE TRIDIMENSIONNELLE Vincent de PARADES PARIS INTRODUCTION L incontinence anale du post-partum partum relève de deux mécanismes : la déchirure de l

Plus en détail

Prise en charge des symptômes gastro-intestinaux courants dans la communauté

Prise en charge des symptômes gastro-intestinaux courants dans la communauté World Gastroenterology Organisation Global Guidelines Prise en charge des symptômes gastro-intestinaux courants dans la communauté Perspective globale concernant les brûlures rétrosternales, la constipation,

Plus en détail

Erosions dentaires chez l enfant et l adolescent: arrière-plans gastroentérolo

Erosions dentaires chez l enfant et l adolescent: arrière-plans gastroentérolo Erosions dentaires chez l enfant et l adolescent: arrière-plans gastroentérolo giques Le reflux gastro-œsophagien concerne 10% environ des enfants et des adultes et entraîne souvent des lésions dentaires

Plus en détail

MI1:Métabolisme et Nutrition Séméiologie des troubles du transit Année universitaire 2007-2008

MI1:Métabolisme et Nutrition Séméiologie des troubles du transit Année universitaire 2007-2008 Introduction Séméiologie des troubles du transit Dans sociétés occidentales, où la quantité de fibres alimentaires est faible, le transit digestif normal se manifeste par : émission de selle de consistance

Plus en détail

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané

G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome

Plus en détail

Traitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien et de la hernie hiatale

Traitement chirurgical du reflux gastro-œsophagien et de la hernie hiatale Relecture scientifique Société française Relecture juridique Médecins experts Relecture déontologique Médecins Conseil national de l ordre des médecins (CNOM) Relecture des patients Confédération interassociative

Plus en détail

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil

Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE

Plus en détail

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés. Bisacodyl NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes pour

Plus en détail

prise en charge paramédicale dans une unité de soins

prise en charge paramédicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

Les formes cliniques. Maxime Breban

Les formes cliniques. Maxime Breban Reconnaître la Spondylarthrite en 2011 Les formes cliniques Maxime Breban maxime.breban@apr.aphp.fr Qu'est-ce que les rhumatismes inflammatoires? Inflammation chronique des articulations Maladies complexes

Plus en détail

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE

TUMEURS DU BAS APPAREIL URINAIRE 1 Plan de cours I - TUMEURS PRIMITIVES DE LA VESSIE c1 - Tumeurs papillaires non infiltrantes c2 - Tumeurs papillaires infiltrantes c3 - Carcinome in-situ en muqueuse plane D - Pronostic : II - TUMEURS

Plus en détail

La recto-colite hémorragique

La recto-colite hémorragique La recto-colite hémorragique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous

Plus en détail

ABREGE D HEPATO-GASTRO-ETROLOGIE- 2ème édition - Partie «Connaissances» - Octobre 2012 par la CDU-HGE - Editions Elsevier-Masson

ABREGE D HEPATO-GASTRO-ETROLOGIE- 2ème édition - Partie «Connaissances» - Octobre 2012 par la CDU-HGE - Editions Elsevier-Masson Chapitre 36 : Item 308 Dysphagie I. Définition II. Deux types de dysphagie III. Démarche diagnostique en cas de dysphagie œsophagienne IV. Dysphagies lésionnelles V. Dysphagies fonctionnelles OBJECTIF

Plus en détail

INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT

INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT INDICATIONS DE L AMYGDALECTOMIE CHEZ L ENFANT I. PROMOTEUR Agence nationale d accréditation et d évaluation en santé. II. SOURCE Recommandations de pratique clinique de 1997 sur les «Indications de l adénoïdectomie

Plus en détail

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle)

Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Traitement des calculs urinaires par fragmentation (Lithotripsie par ondes de choc extracorporelle) Le traitement des calculs urétéraux et rénaux a beaucoup changé depuis 1980 avec la venue d un appareil

Plus en détail

Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation

Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation SYNTHESE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Suivi ambulatoire de l adulte transplanté rénal au-delà de 3 mois après transplantation Novembre 2007 OBJECTIF Assurer une qualité optimale du suivi et de

Plus en détail

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)

Plus en détail

Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis

Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification

Plus en détail

Anémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient.

Anémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. Anémies par carence martiale 1 Item 222 : Diagnostiquer une anémie par carence martiale l'attitude thérapeutique et planifier le suivi du patient. - Argumenter Introduction - Les anémies par carence martiale

Plus en détail

Lombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010

Lombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82

Plus en détail

admission aux urgences

admission aux urgences Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

Solar GI. Manométrie digestive évolutive. Diagnostic complet de la motricité. Base de données universelle MMS. Configurations évolutives

Solar GI. Manométrie digestive évolutive. Diagnostic complet de la motricité. Base de données universelle MMS. Configurations évolutives M E D I C A L M E A S U R E M E N T S Y S T E M S Solar GI Manométrie digestive évolutive Diagnostic complet de la motricité Base de données universelle MMS Configurations évolutives M A K E S M E A S

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Bisolax 5 mg comprimés enrobés Bisacodyl Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament. Elle contient des informations importante s pour

Plus en détail

Ville : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année

Ville : Province : Code postal : Date de naissance : jour mois année Date de naissance : jour mois année Assurance médicale Choix du voyageur L assurance est souscrite auprès de la Compagnie d Assurance Générale CUMIS, l une des sociétés du Groupe Co-operators. Proposition d assurance page 1 2015-2016 Bureau

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Le dépistage des cancers

Le dépistage des cancers Le dépistage des cancers G R A N D P U B L I C Octobre 2009 Le dépistage des cancers Détecter tôt certains cancers permet de les traiter mieux, c'est-à-dire de proposer des traitements moins lourds, et

Plus en détail

Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005

Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité

Plus en détail

Définitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave

Définitions. PrioritéVie MC. Votre assurance contre le risque de maladie grave Définitions PrioritéVie MC Votre assurance contre le risque de maladie grave Le présent document ne constitue qu un exemple de libellé et n a aucune force exécutoire. En cas de divergence entre les renseignements

Plus en détail

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire

UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire UE2 CANCEROLOGIE Place de la Médecine Nucléaire Imagerie Imagerie de Gamma Caméra Tomographie d émission monophotoniqueou TEMP: radiopharmaceutiqueémetteurs de rayonnement Gamma Imagerie de Caméra TEP

Plus en détail

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.

Plus en détail

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE

DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy

Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Service de Chirurgie Viscérale Centre Hospitalier de Saint Malo Gastric Bypass, Mini-Gastric Bypass et Sleeve Gastrectomy Chère Patiente, Cher Patient, Vous devez être opéré(e) en raison de votre forte

Plus en détail

Bulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur,

Bulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur, Bulletin n 10 2014 Cher adhérent, cher donateur, La maladie crée souvent une situation de stress aussi il nous a semblé nécessaire de préciser les différentes étapes du parcours de soins afin de faciliter

Plus en détail

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S

LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S LES DOULEURS LOMBAIRES D R D U F A U R E T - L O M B A R D C A R I N E S E R V I C E R H U M A T O L O G I E, C H U L I M O G E S INTRODUCTION La lombalgie est un symptôme fréquent avec une prévalence

Plus en détail

Maladies neuromusculaires

Maladies neuromusculaires Ministère de la Santé et des Solidarités Direction Générale de la Santé Informations et conseils Maladies neuromusculaires Lisez attentivement ce document et conservez-le soigneusement avec la carte de

Plus en détail

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques

Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques Artéfact en queue de comète à l échographie hépatique: un signe de maladie des voies biliaires intra-hépatiques T Smayra, L Menassa-Moussa, S Slaba, M Ghossain, N Aoun Hôtel-Dieu de France, Université

Plus en détail

Bien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte

Bien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,

Plus en détail

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire

Plus en détail

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie

INFORMATION & PRÉVENTION. Le cancer de la vessie INFORMATION & PRÉVENTION Le cancer de la vessie G R A N D P U B L I C Ce à quoi sert la vessie La vessie est une poche qui reçoit l urine produite par les reins, via les uretères*. Elle est constituée

Plus en détail

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse

Traitements néoadjuvants des cancers du rectum. Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Traitements néoadjuvants des cancers du rectum Pr. G. Portier CHU Purpan - Toulouse Journées Francophones d Hépato-gastroentérologie et d Oncologie Digestive 2010 CONFLITS D INTÉRÊT Pas de conflit d intérêt

Plus en détail

admission directe du patient en UNV ou en USINV

admission directe du patient en UNV ou en USINV Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : admission

Plus en détail

BIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie

BIOPSIE PAR ASPIRATION Sous stéréotaxie Vous avez appris qu une anomalie a été détectée lors de votre mammographie. Afin d investiguer cette anomalie, le radiologue a pris la décision d effectuer une biopsie par aspiration sous stéréotaxie.

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Le syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique

Le syndrome SAPHO Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique Ostéomyélite multifocale chronique récidivante Spondylarthrite hyperostosante pustulo-psoriasique La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre

Plus en détail

Démence et fin de vie chez la personne âgée

Démence et fin de vie chez la personne âgée Démence et fin de vie chez la personne âgée Dr C le Provost Gériatre C.H.B.A Vannes Dr M Michel Gériatre C.H.U Rennes Démence et fin de vie Sujet grave: la mort la «de mens» = être privé de son esprit

Plus en détail

Nurofen 400 Fastcaps, 400 mg capsules (molles) Ibuprofène

Nurofen 400 Fastcaps, 400 mg capsules (molles) Ibuprofène NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Nurofen 400 Fastcaps, 400 mg capsules (molles) Ibuprofène Veuillez lire attentivement cette notice avant de prendre ce médicament. Elle contient des informations importantes

Plus en détail

PLAN DE THESE INTRODUCTION OBJECTIFS. RAPPEL DE PHYSIOPATHOLOGIE MATERIEL ET METHODE D'ETUDE

PLAN DE THESE INTRODUCTION OBJECTIFS. RAPPEL DE PHYSIOPATHOLOGIE MATERIEL ET METHODE D'ETUDE PLAN DE THESE INTRODUCTION.... 6 OBJECTIFS.... 8 RAPPEL DE PHYSIOPATHOLOGIE.... 10 MATERIEL ET METHODE D'ETUDE :... 15 A-Matériel d étude... 16 B-Méthode d étude... 16 1.Recueil des données... 16 2.Technique

Plus en détail

Vers une approche managériale des tarifs T2A

Vers une approche managériale des tarifs T2A Vers une approche managériale des tarifs T2A Contribution de CAHPP Consultant Juin 2013 Page 1 sur 35 SOMMAIRE SOMMAIRE... Page 2 PRÉAMBULE... Page 3 PARTIE I : MÉTHODOLOGIE... Page 5 PARTIE II : IMPACT

Plus en détail

Marchés des groupes à affinités

Marchés des groupes à affinités Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime

Plus en détail

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES

SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES SURVEILLANCE DES SALARIES MANIPULANT DES DENREES ALIMENTAIRES Dr Virginie NAEL Service de Santé au travail du personnel hospitalier CHU Nantes 44èmes journées FMC ANMTEPH / SOHF - Lausanne - Septembre

Plus en détail

La constipation occasionnelle chez l adulte

La constipation occasionnelle chez l adulte Laconstipationoccasionnellechezl adulte Laconstipationsedéfinitparladiminutiondelafréquencedessellesendessousde3parsemaine. Cette définition ne constitue pas une règle absolue, la fréquence des selles

Plus en détail

Dermatologie courante du sujet âgé. Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard

Dermatologie courante du sujet âgé. Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard Dermatologie courante du sujet âgé Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard Mécanismes du vieillissement cutané En vieillissant, la peau se ride, s

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY

Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic

Plus en détail

Le cancer du foie. Carcinome hépatocellulaire. Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches

Le cancer du foie. Carcinome hépatocellulaire. Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Le cancer du foie Carcinome hépatocellulaire Une information de la Ligue contre le cancer pour les personnes concernées et leurs proches Impressum _Editrice Ligue suisse contre le cancer Effingerstrasse

Plus en détail

Item 127 : Transplantation d'organes

Item 127 : Transplantation d'organes Item 127 : Transplantation d'organes Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Allogreffe de moelle ou de cellules souches...1 2 Transplantation d'organes... 2 3 Diagnostic...3

Plus en détail

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012

Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments. Avis 2 23 Octobre 2012 Assurance Maladie Obligatoire Commission de la Transparence des médicaments Avis 2 23 Octobre 2012 Titre I : Nom du médicament, DCI, forme pharmaceutique, dosage, présentation HUMIRA (DCI : Adalimumab

Plus en détail