Informations générales

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "Informations générales"

Transcription

1 PHARMACEUTICAL INSPECTION CONVENTION PHARMACEUTICAL INSPECTION CO-OPERATION SCHEME Informations générales PS/INF 71/ septembre 2012 Le schéma de coopération dans le domaine de l inspection pharmaceutique (pharmaceutical inspection cooperation scheme [PIC/S]) est une structure qui comprend actuellement 41 autorités participantes réparties aux quatre coins du globe. Il s est créé en 1995 sur la base de la convention relative à l inspection pharmaceutique (pharmaceutical inspection convention [PIC]), fondée par l Association européenne de libre échange (AELE) en 1970 (opérationnelle en 1971). Le PIC/S a pour objectifs principaux d être un acteur reconnu sur le plan international en matière d élaboration de recommandations pour les bonnes pratiques de fabrication, d être un lieu de formation pour les inspecteurs (via un séminaire annuel de formation et des cercles d experts dans des domaines comme les principes actifs, la gestion des risques qualité, les systèmes informatisés... permettant plus particulièrement de rédiger des aide-mémoires d inspection), d amener les systèmes d inspection à un haut niveau de management de la qualité (notamment grâce à des audits croisés et réguliers) et enfin d être un lieu d échanges entre inspecteurs mais aussi entre industrie et inspecteurs sur des sujets techniques. De la convention PIC au schéma PIC/S L origine du PIC/S réside dans la fameuse convention PIC fondée en octobre 1970 dans le cadre de l Association européenne de libre échange (AELE) dont le siège est situé à Genève. À l époque, dix pays se sont associés pour créer cette convention. Il s agissait là d un traité international entre états dont les buts principaux étaient l harmonisation des règles concernant les bonnes pratiques de fabrication (BPF), la mise en place de systèmes d inspection harmonisés, la reconnaissance mutuelle des rapports d inspection et la formation des inspecteurs. Le champ d application de cette convention concernait aussi bien les médicaments que les principes actifs à usage pharmaceutique (les fameux API). Ainsi la convention PIC s est développée jusqu à compter 18 membres. Toutefois et sur la base des traités européens en vigueur, un changement profond est intervenu dans le fonctionnement de l Union européenne le 1er janvier En effet et à cette date, c est à la Commission européenne qu est revenu le rôle de négocier des traités internationaux dans le domaine du commerce. Selon l avis de la Commission, il n était plus possible à un état membre ou à un groupe d états membres de négocier seul un accord de reconnaissance mutuelle (comme mentionné dans la PIC) avec un pays tiers à l Union. Très vite, il s est avéré que les états membres de la PIC avaient envie de poursuivre certains buts de la Convention, notamment l harmonisation des BPF et la formation des inspecteurs, alors même que la Commission européenne refusait de les rejoindre au sein de la convention. La situation était bloquée pour PS/INF 71/ de 6 26 septembre 2012

2 la convention PIC mais pouvait rester ouverte pour une autre structure. C est ce qui a amené le Comité des officiels de la PIC à proposer la création du système de coopération en matière d inspection des produits pharmaceutiques (PIC/S). La solution trouvée a été de passer du niveau d un traité international entre états à celui beaucoup plus souple d association d autorités compétentes en matière d inspection des BPF. Le PIC/S aujourd hui Sa composition À l heure actuelle, le PIC/S est une association de 41 autorités compétentes en matière d inspection, originaires de 39 pays différents (dont 28 de l Espace Economique Européen). Les autorités compétentes du Brésil, de la Corée du Sud, de l autorité vétérinaire de Grande- Bretagne, de l Iran, du Japon, de la Nouvelle-Zélande, des Philippines, et de l ile chinoise de Taipei sont en cours d évaluation. Des demandes de pré-adhésion ont été déposées par les autorités compétentes de l Arménie et de l Ouganda. Les autorités d Arabie Saoudite, de la Bulgarie, de la Chine, de la Croatie, de Hong-Kong SAR, du Mexique, du Nigéria, de la Russie, de la Serbie et de la Turquie ont manifesté leur intérêt auprès du secrétariat permanent. Sa gouvernance Elle reste identique à celle de la PIC, partagée entre le Comité des officiels où siègent les représentants des autorités compétentes, le bureau exécutif et le secrétariat permanent. Légalement, le PIC/S est une association de droit suisse dont les bureaux sont à Genève. Son budget est basé essentiellement sur les cotisations des autorités compétentes (8100 francs suisses par an et par autorité) et des redevances issues de l organisation des séminaires annuels. Le Comité des officiels fonctionne sur la base du consensus, notamment grâce aux bonnes relations établies entre ses membres, ainsi que sur leur engagement fort. Un site Internet assure une partie de la communication en direction du public et des adhérents : Les buts du PIC/S Ils restent très proches de ceux de la PIC et sont : l harmonisation internationale des BPF ; la création d un réseau international d inspecteurs ; l échange d information et d expérience en matière de BPF ; la formation des inspecteurs ; la mise en place de systèmes de gestion de la qualité dans les inspections. Le processus d adhésion L adhésion au PIC/S se fait selon la procédure suivante : l autorité compétente souhaitant son intégration doit d abord manifester son intérêt, notamment via la participation de ses inspecteurs à des réunions de formation organisées par le PIC/S. Ensuite, il lui est nécessaire d adresser une demande d adhésion auprès du secrétariat du PIC/S qui comporte le renseignement d un questionnaire. Un droit fixe de 8100 francs suisses est demandé pour PS/INF 71/ de 6 26 septembre 2012

3 l instruction de la demande. Le secrétariat transmet le dossier au Comité des officiels qui désigne un (ou des) rapporteur(s), selon la taille de l autorité compétente concernée. Des échanges s instaurent entre le rapporteur et la personne désignée comme contact au niveau de l autorité compétente qui a déposé la demande, pour clarifier les points qui le nécessitent. À l issue de cette étude, le rapporteur rédige un premier rapport (après échange avec l autorité compétente concernée pour trouver un consensus sur le contenu du rapport) qui est transmis au Comité des officiels pour avis. Si ce dernier est favorable, une visite sur place est alors organisée dont le pilote est normalement le rapporteur. La visite sur place consiste, d une part, à vérifier l existence de la mise en œuvre des éléments fournis dans la documentation de la demande d adhésion et, d autre part, des observations d inspection. Pour la première partie, il s agit principalement d étudier la mise en place effective du système documentaire. Pour la seconde partie, il s agit d observer des inspecteurs au cours d une inspection d un site de fabrication, sur l ensemble du processus, c est-à-dire de la préparation de l inspection à la rédaction du rapport. Il s agit là d une étape très difficile mais cruciale pour déterminer le niveau des inspecteurs et ce en situation réelle. À l issue de cette visite, un nouveau rapport est rédigé, en appui du premier, toujours de façon contradictoire. Ce rapport est à nouveau envoyé au Comité des officiels qui prend alors une décision vis-à-vis de la demande. Ce comité a décidé que le cycle d une demande d adhésion ne pouvait pas excéder six années, sauf cas exceptionnel et justifié. Depuis 2011, le PIC/S offre la possibilité aux autorités compétentes qui le souhaitent de déposer une demande de pré-adhésion. L'avantage de la procédure de pré-adhésion consiste en la réalisation d un audit de l autorié candidate permettant d identifier les lacunes de cette dernière par rapport aux exigences du PIC/S. Suite à cet audit, une recommandation concernant l'état de préparation de l autorité candidate est rendue. Le système documentaire du PIC/S Le PIC/S est doté d un système documentaire étoffé qui doit être utilisé par les autorités compétentes qui le composent. Il est important de rappeler que le PIC/S n émet que des recommandations et il appartient à ses membres de les intégrer dans leur propre législation. Il n y a pas d obligations sauf que vous ne pouvez pas être membre d un club sans en respecter les règles. Toutefois, lors des évaluations et des réévaluations des autorités compétentes, la mise en œuvre de ces recommandations est particulièrement étudiée. Ce système documentaire comprend : le texte fondateur du PIC/S ; la procédure d adhésion au PIC/S ; la feuille de route (ou blueprint) du PIC/S pour la période ; un guide des BPF qui est quasi identique à celui de l Union européenne ; des documents relatifs à l organisation des systèmes d inspection ; des guides d inspection, par exemple concernant les systèmes de traitement d air ou d eau, les isolateurs, les laboratoires de contrôles de la qualité, etc. ; des guides relatifs à l organisation des séminaires ou des cercles d experts, les inspections conjointes ; l ensemble des documents utilisés dans le cadre du programme de réévaluation des autorités compétentes du PICS (joint reassessment programme [JRP]). Des informations complémentaires peuvent être trouvées sur le site Internet du PIC/S ( PS/INF 71/ de 6 26 septembre 2012

4 La formation des inspecteurs Une des vocations principales du PIC/S est d assurer la formation des inspecteurs. Pour cela, il dispose de quatre outils principaux qui sont : Les séminaires Ce sont des manifestations qui se déroulent une fois par an, autour d un thème donné, choisi par le groupe de travail chargé de la formation. En 2012, le séminaire a lieu à Kiev (Ukraine) sur le sujet de la qualification et la validation. En 2011, le séminaire s est tenu au Cap (Afrique du Sud) et avait pour thème les techniques d inspection. En 2010 il a eu lieu à Kuala Lumpur (Malaisie) et portait sur la fabrication des médicaments traditionnels (notamment à base de plantes). En 2009, le séminaire s est tenu en Suède et a eu pour thème la fabrication des formes stériles (au regard de la nouvelle annexe 1 du guide BPF). Les cercles d experts Ces réunions ont deux buts principaux : l amélioration des BPF existantes et la formation des inspecteurs. Différents cercles d experts se réunissent sur une base annuelle ou bisannuelle comme sur les principes actifs à usage pharmaceutique, la gestion du risque, le sang, les organes-tissus-cellules, les systèmes informatisés et les bonnes pratiques de distribution. Les inspections conjointes Ce sont des inspections réalisées dans le cadre d un groupe de trois inspecteurs qui réalisent, une fois par an et en rotation géographique, une inspection ensemble. Le but est d assurer l interprétation consistante des BPF ainsi que de découvrir des besoins en termes d harmonisation ou de formation. Les inspections de formation (coached inspection) Ce sont des inspections réelles qui ont aussi un but de formation. L accord préalable de lastructure inspectée est demandé. Deux types existent : l un dans lequel un inspecteur confirmé mène l inspection et est observé par au plus des inspecteurs juniors et l autre dans lequel un inspecteur junior est observé par un inspecteur expérimenté. Dans les deux cas et en dehors de la présence de la structure inspectée, des échanges ont lieu afin de faire comprendre les principes et outils d une bonne inspection. L échange d information Le PIC/S souhaite aussi se développer dans l échange d information, notamment les rapports d inspection. Il faut rappeler que le PIC/S n impose pas la reconnaissance mutuelle de ces rapports mais il ne l empêche pas non plus. Il appartient donc à chacune de ses composantes de se déterminer sur ce point. C est ainsi que l appartenance au PIC/S peut être la base d un système de reconnaissance mutuelle des rapports d inspection comme c est le cas pour les dix pays membres de l Association des nations de l Asie du Sud-Est (ASEAN), parmi lesquels l Indonésie, la Malaisieet Singapour sont déjà membres. Il apparaît de plus en plus que les rapports émis par une autorité compétente du PIC/S sont utilisés dans la planification des inspections basée sur un système de gestion des risques. PS/INF 71/ de 6 26 septembre 2012

5 Les relations extérieures du PIC/S Pendant de nombreuses années, les relations entre le PIC/S d une part et les instances de l Union européenne d autre part, notamment la Commission européenne et l EMA, ont été empreintes de prudence mutuelle. Lorsque le PICS a définitivement mis le cap sur l international, il lui est apparu important de renforcer ses relations avec la Commission et l EMA. Il a pu convaincre ces deux structures qu il est un formidable vecteur de dissémination de la pensée européenne en matière de BPF et qu il voulait agir en synergie et non en compétition. À l issue de quoi, des échanges formels ont été établis avec l EMA (qui participe désormais au Comité des officiels) et d autres sont en cours avec la Commission européenne. Le PIC/S a aussi conclu un accord de coopération avec le département européen pour la qualité des médicaments (DEQM) situé à Strasbourg et placé sous le contrôle du Conseil de l Europe. Des relations étroites existent aussi depuis très longtemps avec deux départements de l Organisation mondiale de la santé qui participent régulièrement aux réunions du Comité des officiels. Le premier département est celui en charge de la qualité des médicaments et plus particulièrement de l évaluation des fabricants de médicaments utilisés contre le paludisme, le sida et la tuberculose. Le second est celui en charge de la qualité des vaccins. De nouvelles relations viennent de s établir avec les pays de l ASEAN via leur secrétariat permanent dans l idée de conclure, là aussi, à un partenariat en matière de coopération. Il faut aussi noter que depuis janvier 2006, le fond des Nations Unis pour l enfance (Unicef) dispose d un statut d observateur au Comité des officiels. Dans tous ces cas, il s agit de bâtir des synergies dans les domaines de compétence du PIC/S afin d éviter la redondance des actions et les déperditions de ressources. Le futur du PIC/S Le futur du PIC/S est théoriquement décrit au début de ce document. Plusieurs objectifs ont été assignés : la croissance du nombre d autorités compétentes; une meilleure visibilité du PIC/S et de ses actions ; le développement des synergies d actions avec les autres acteurs de son champ de compétence ; la mise en place de formations à haute valeur ajoutée (par exemple dans le domaine de l inspection des API) ; la reconnaissance du PIC/S en tant qu expert international dans le domaine des BPF ; l élargissement des activités du PIC/S dans des domaines comme les bonnes pratiques de distribution, les bonnes pratiques cliniques, la pharmacovigilance, la biosécurité, des offres de formation spécifique ; le développement de coopération avec les structures internationales de professionnels du médicament comme ISPE ou PDA en vue d une harmonisation de la compréhension de l évolution des BPF. Il s agit là d objectifs ambitieux qui se heurtent aux ressources limitées des autorités compétentes qui peuvent constituer un frein. La vitalité du PIC/S repose aujourd hui et notamment sur celle de son secrétariat animé par une très forte personnalité et sur un petit nombre de membres du Comité des officiels. C est un challenge important qui peut se PS/INF 71/ de 6 26 septembre 2012

6 résoudre avec l arrivée de nouveaux membres venant d Afrique, d Amérique du Sud et surtout d Asie. Nous sommes face à des difficultés croissantes en matière de sécurisation des chaînes de fabrication de médicaments et de leur distribution et le PIC/S doit être un acteur dans ce domaine. Remerciements : Le Secrétariat du PIC/S tient à remercier très chaleureusement Monsieur Jacques Morénas qui est l auteur de cet article et qui l a gracieusement mis à disposition du PIC/S. Monsieur Morénas est Directeur Adjoint à l Agence nationale de sécurité du médicament et des produits de santé (ANSM). Il est également le représentant de l ANSM et de la France au sein du Comité Permanent du PIC/S dont il a été le Président entre 2006 et PS/INF 71/ de 6 26 septembre 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012

à la Consommation dans le monde à fin 2012 Le Crédit à la Consommation dans le monde à fin 2012 Introduction Pour la 5 ème année consécutive, le Panorama du Crédit Conso de Crédit Agricole Consumer Finance publie son étude annuelle sur l état du

Plus en détail

Le Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil:

Le Conseil d administration. L Article VI du Statut du PAM définit comme suit les fonctions du Conseil: 1. L E C O N S E I L D A D M I N I S T R A T I O N E T S E S F O N C T I O N S 1er janvier 1996, suite à l adoption de résolutions parallèles par l Assemblée générale des Nations Unies et la Conférence

Plus en détail

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière

La BRI. Au service de la stabilité monétaire et financière La BRI Au service de la stabilité monétaire et financière Fondée le 17 mai 1930, la BRI est la plus ancienne organisation financière internationale. Outre son siège social, à Bâle (Suisse), elle possède

Plus en détail

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics

Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve publics Extrait de : Panorama des pensions 2013 Les indicateurs de l'ocde et du G20 Accéder à cette publication : http://dx.doi.org/10.1787/pension_glance-2013-fr Actifs des fonds de pension et des fonds de réserve

Plus en détail

BOURSES SCOLAIRES. au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER

BOURSES SCOLAIRES. au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER BOURSES SCOLAIRES au bénéfice des enfants français résidant avec leur famille à l étranger AGENCE POUR L ENSEIGNEMENT FRANÇAIS À L ÉTRANGER ÉTABLISSEMENT PUBLIC NATIONAL À CARACTÈRE ADMINISTRATIF SOUS

Plus en détail

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP)

Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) F CDIP/12/INF/4 ORIGINAL : ANGLAIS DATE : 3 OCTOBRE 2013 Comité du développement et de la propriété intellectuelle (CDIP) Douzième session Genève, 18 21 novembre 2013 RÉSUMÉ DE L ÉTUDE SUR LA PROPRIÉTÉ

Plus en détail

ROBERT WALTERS ENQUÊTE CANDIDATS 2015. www.robertwalters.fr CHIFFRES CLÉS

ROBERT WALTERS ENQUÊTE CANDIDATS 2015. www.robertwalters.fr CHIFFRES CLÉS ROBERT WALTERS ENQUÊTE CANDIDATS 2015 Pour mieux comprendre les attentes des candidats, Robert Walters référence mondiale du recrutement spécialisé a diffusé une enquête au début de l année 2015, auprès

Plus en détail

Les Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION

Les Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION Les Journées Régionales de la Création & Reprise d Entreprise 8 ème ÉDITION S.M.A.R.T. Production 2004-2005 - Tous droits de reproduction réservés. Par les mêmes organisateurs : 40 ateliers gratuits sur

Plus en détail

ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944

ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 ACCORD RELATIF AU TRANSIT DES SERVICES AÉRIENS INTERNATIONAUX SIGNÉ À CHICAGO LE 7 DÉCEMBRE 1944 Entrée en vigueur : L Accord est entré en vigueur le 30 janvier 1945. Situation : 130 parties. Cette liste

Plus en détail

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry *

Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * Base de données sur l'économie mondiale Alix de Saint Vaulry * 1) Base de données 2) Sources et définitions * Alix de Saint Vaulry est économiste au CEPII, responsable de la production de la base de données

Plus en détail

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL

Conseil d administration Genève, mars 2000 ESP. Relations de l OIT avec les institutions de Bretton Woods BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL BUREAU INTERNATIONAL DU TRAVAIL GB.277/ESP/4 (Add.1) 277 e session Conseil d administration Genève, mars 2000 Commission de l'emploi et de la politique sociale ESP QUATRIÈME QUESTION À L ORDRE DU JOUR

Plus en détail

L OFFRE MOBILITÉ EXPAT

L OFFRE MOBILITÉ EXPAT L OFFRE MOBILITÉ EXPAT Malakoff Médéric propose aux entreprises employant des salariés expatriés ou détachés, une solution d assurance collective spécialement conçue pour leurs besoins de protection sociale.

Plus en détail

notre vision CARTE DE VISITE

notre vision CARTE DE VISITE 360 notre vision CARTE DE VISITE 2012 Malgré un durcissement de la conjoncture économique à partir du second semestre 2011, le Groupe SEB a maintenu son cap et consolidé ses positions sur la plupart des

Plus en détail

LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI»

LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» LA SOCIETE DE PARTICIPATIONS FINANCIERES «LA SOPARFI» La SOPARFI n'est pas régie par une loi spécifique, mais se définit comme une société de capitaux luxembourgeoise soumise à une fiscalité tant directe

Plus en détail

RÉSEAU MONDIAL DE BANQUES D IMPORT-EXPORT ET D INSTITUTIONS DE FINANCEMENT DU DEVELOPPEMENT (G-NEXID) STATUTS. Juillet 2006

RÉSEAU MONDIAL DE BANQUES D IMPORT-EXPORT ET D INSTITUTIONS DE FINANCEMENT DU DEVELOPPEMENT (G-NEXID) STATUTS. Juillet 2006 RÉSEAU MONDIAL DE BANQUES D IMPORT-EXPORT ET D INSTITUTIONS DE FINANCEMENT DU DEVELOPPEMENT (G-NEXID) STATUTS Juillet 2006 Préambule Considérant qu en juin 2004, à l occasion de la Onzième session de la

Plus en détail

LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN

LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN LE CHEMINEMENT COMPLEXE D UN VACCIN Chaîne de production, exigences réglementaires et accès aux vaccins International Federation of Pharmaceutical Manufacturers & Associations LE CHEMINEMENT COMPLEXE D

Plus en détail

Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell. Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell

Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell. Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell Guide de démarrage de votre nouveau service de Bell Table des matières Bienvenue au service d audioconférence sans réservation de Bell...

Plus en détail

Procédures d enregistrement des médicaments

Procédures d enregistrement des médicaments Vie du Médicament Procédures d enregistrement des médicaments Avis scientifiques Essais cliniques ATU Inspections AMM Vigilances Contrôle Veille Sanitaire Procédures d enregistrement Soumission du dossier

Plus en détail

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013

LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES. Françoise Lemoine, Deniz Ünal Conférence-débat CEPII, L économie mondiale 2014, Paris, 11 septembre 2013 LES BRIC: AU DELÀ DES TURBULENCES 1. Facteurs structurels du ralentissement de la croissance dans les BRIC 2. Interdépendances commerciales entre les BRIC et le reste du monde Françoise Lemoine, Deniz

Plus en détail

Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011

Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Le coût du rachat de trimestres pour carrière à l étranger multiplié par 4 au plus tard le 1 er janvier 2011 Un article de la loi de financement de la sécurité sociale 2010 aligne le coût de ce rachat

Plus en détail

MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE

MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE 2014 RELAIS EXPAT L ASSURANCE SANTÉ EN COMPLÉMENT DE LA POUR EXPATRIÉS MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE L ASSURANCE SANTÉ SANS FRONTIÈRES Le contrat Relais Expat de l ASFE : pourquoi vous couvrir?

Plus en détail

P RO - enfance. Plateforme Romande pour l accueil de l enfance

P RO - enfance. Plateforme Romande pour l accueil de l enfance P RO - enfance Plateforme Romande pour l accueil de l enfance Rapport de la phase d analyse 1. Résumé Le présent document contient la description du déroulement et des résultats de la phase d analyse des

Plus en détail

28.6 À PROPOS DU MEDICINES PATENT POOL

28.6 À PROPOS DU MEDICINES PATENT POOL MPP 2015 35 millions de personnes dans le monde sont touchées par le VIH 28.6 millions devraient bénéficier d un traitement* Pourtant seuls 12.9 millions y ont aujourd hui accès * conformément aux directives

Plus en détail

0.941.291 relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures

0.941.291 relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures Texte original 0.941.291 Convention relative à l établissement d un bureau international des poids et mesures Conclue à Paris le 20 mai 1875 Approuvée par l Assemblée fédérale le 2 juillet 1875 1 Instruments

Plus en détail

Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai. Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge?

Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai. Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge? Délégation Asie-Pacifique du Groupe Crédit Agricole à Hong Kong et à Shanghai Le RMB s internationalise: Un simple filet d eau ou le déluge? Le Tour du Monde en 8 heures Poitiers, le 21 juin 2011 Agenda

Plus en détail

125 700 m² LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE. Demande placée. Taille des transactions 2010 2011 2012 2013 3T2014 2010 2011 2012 2013 3T2014

125 700 m² LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE. Demande placée. Taille des transactions 2010 2011 2012 2013 3T2014 2010 2011 2012 2013 3T2014 LE MARCHÉ LOCATIF - 3T 2014 LA DÉFENSE Demande placée 125 700 m² +41% : confirme son retour en grâce sur le marché locatif, en dépit d un 3 ème trimestre 2014 beaucoup moins flamboyant que le précédent,

Plus en détail

Association METROPOLIS Association française Loi 1901 RÈGLEMENT INTÉRIEUR

Association METROPOLIS Association française Loi 1901 RÈGLEMENT INTÉRIEUR Association METROPOLIS Association française Loi 1901 RÈGLEMENT INTÉRIEUR 20 mai 2015 Ce règlement intérieur complète et précise certains articles des statuts de l association modifiés et approuvés le

Plus en détail

Les banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse

Les banques suisses 2013 Résultats des enquêtes de la Banque nationale suisse Communiqué presse Communication Case postale, CH-8022 Zurich Téléphone +41 44 631 31 11 communications@snb.ch Zurich, le 19 juin 2014 Les banques suisses 2013 Résultats s enquêtes la Banque nationale suisse

Plus en détail

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays

Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Analyse prospective des marchés à l export, par secteur et par pays Octobre 2012 RESULTATS DE L ANALYSE DES COUPLES PAYS/SECTEURS PORTEURS EN FAVEUR DU COMMERCE EXTERIEUR DE LA FRANCE SOMMAIRE Résumé 2

Plus en détail

RAPPORT. (préparé par le Secrétariat)

RAPPORT. (préparé par le Secrétariat) FR COMMISSION DES FINANCES UNIDROIT 2011 70 ème session AG/Comm. Finances (70) 9 Rome, 29 septembre 2011 Original: français septembre 2011 RAPPORT (préparé par le Secrétariat) Sommaire Action demandée

Plus en détail

Vers une nouvelle culture qualité avec le QbD

Vers une nouvelle culture qualité avec le QbD 44 ème Congrès International SFSTP 6 et 7 juin 2012 LA CONNAISSANCE SCIENTIFIQUE AU SERVICE DE LA QUALITE PRODUIT Apports du «Quality by Design» et retours d expériences Vers une nouvelle culture qualité

Plus en détail

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres

Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres LE POINT SUR LES INÉGALITÉS DE REVENU Le creusement des inégalités touche plus particulièrement les jeunes et les pauvres Résultats issus de la Base de données de l OCDE sur la distribution des revenus

Plus en détail

La Marque de sécurité UL-EU. La nouvelle marque de certification paneuropéenne mondialement reconnue

La Marque de sécurité UL-EU. La nouvelle marque de certification paneuropéenne mondialement reconnue La Marque de sécurité UL-EU La nouvelle marque de certification paneuropéenne mondialement reconnue Services d essais et de certification mondlaux La Marque UL confirme que des échantillons représentatifs

Plus en détail

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation?

Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? Indicateur Quelle part de leur richesse nationale les pays consacrent-ils à l éducation? En 2008, les pays de l OCDE ont consacré 6.1 % de leur PIB cumulé au financement de leurs établissements d enseignement.

Plus en détail

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales»

Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les concepts et définitions utilisés dans l enquête «Chaînes d activité mondiales» Les chaînes d activité mondiales (CAM) Les chaînes d activité recouvrent la gamme complète des fonctions et des tâches

Plus en détail

A. Liste des pays tiers dont les ressortissants doivent être munis d un visa pour traverser la frontière nationale. 1.

A. Liste des pays tiers dont les ressortissants doivent être munis d un visa pour traverser la frontière nationale. 1. Liste des pays tiers dont les ressortissants doivent être munis d un visa pour traverser la frontière nationale et pays dont les ressortissants en sont exemptés A. Liste des pays tiers dont les ressortissants

Plus en détail

Alert PRÉVENIR ET ALERTER LA BONNE PERSONNE, AU BON MOMENT, AU BON ENDROIT, AVEC LA BONNE INFORMATION. www.pcvuesolutions.com

Alert PRÉVENIR ET ALERTER LA BONNE PERSONNE, AU BON MOMENT, AU BON ENDROIT, AVEC LA BONNE INFORMATION. www.pcvuesolutions.com Alert PRÉVENIR ET ALERTER LA BONNE PERSONNE, AU BON MOMENT, AU BON ENDROIT, AVEC LA BONNE INFORMATION www.pcvuesolutions.com France allemagne chine ItaLIe Japon MaLaISIe SInGapoUr SUISSe UK USa Alert Alert

Plus en détail

les étudiants d assas au service des professionnels

les étudiants d assas au service des professionnels les étudiants d assas au service des professionnels 2 3 Présentation Générale Les avantages de l Association Pour les professionnels QUI SOMMES-NOUS? Assas Junior Conseil est une association à caractère

Plus en détail

QUATRE-VINGT-DIXIÈME SESSION

QUATRE-VINGT-DIXIÈME SESSION Original: anglais 20 octobre 2005 QUATRE-VINGT-DIXIÈME SESSION RÉGIME DE SÉCURITÉ SOCIALE DE L OIM Amendement au Statut du personnel pour les fonctionnaires et les employés Page 1 RÉGIME DE SÉCURITÉ SOCIALE

Plus en détail

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE Actualisation Mai 2012 Direction de l'evaluation des Dispositifs Médicaux Département Surveillance du Marché GUIDE POUR LA MISE SUR LE MARCHÉ DE DISPOSITIFS MÉDICAUX SUR MESURE APPLIQUE AU SECTEUR DENTAIRE

Plus en détail

11 848 milliards de $EU. Statistiques du commerce international 2014 TOTAL MARCHANDISES. milliards de $EU PRODUITS MANUFACTURÉS

11 848 milliards de $EU. Statistiques du commerce international 2014 TOTAL MARCHANDISES. milliards de $EU PRODUITS MANUFACTURÉS Statistiques du commerce international 2014 Voyages 1 185 milliards de $EU Exportations mondiales 2013 TOTAL SERVICES COMMERCIAUX 4 645 milliards de $EU Transport 905 milliards de $EU Autres services commerciaux

Plus en détail

Quel est le temps de travail des enseignants?

Quel est le temps de travail des enseignants? Quel est le temps de travail des enseignants? Dans les établissements publics, les enseignants donnent, en moyenne et par an, 779 heures de cours dans l enseignement primaire, 701 heures de cours dans

Plus en détail

Chapitre 2 : La logistique. Pour le commerce international, les modes de transport utilisés sont :

Chapitre 2 : La logistique. Pour le commerce international, les modes de transport utilisés sont : I) La chaine logistique internationale. A. Le concept de logistique. Chapitre 2 : La logistique. Les activités de logistique et de transport permettent de gérer l ensemble des flux de matières et de produits,

Plus en détail

Commission des finances

Commission des finances Autorité internationale des fonds marins ISBA/21/FC/5 Commission des finances Distr. limitée 4 juin 2015 Français Original : anglais Vingt et unième session Kingston (Jamaïque) 13-24 juillet 2015 État

Plus en détail

L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE

L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L AIDE AU DÉVELOPPEMENT FRANÇAISE L Aide publique au développement (APD) désigne les dépenses publiques au bénéfice des pays en développement dont le but essentiel est de favoriser le développement économique

Plus en détail

ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030

ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 ACCÉLÉRER METTRE FIN À L ÉPIDÉMIE DE SIDA D ICI À 2030 Mettre fin à l épidémie de sida ces mots renferment de tels espoirs et de telles promesses. Grâce à des engagements mondiaux et à des objectifs précis,

Plus en détail

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE?

LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? LE COMMERCE EXTÉRIEUR CHINOIS DEPUIS LA CRISE: QUEL RÉÉQUILIBRAGE? Françoise Lemoine & Deniz Ünal CEPII Quel impact de l expansion chinoise sur l économie mondiale? Rencontres économiques, 18 septembre

Plus en détail

SYNTHESE D INSPECTIONS

SYNTHESE D INSPECTIONS Direction de l Inspection et des Etablissements Département Inspection en Contrôle du Marché Unité Inspection des dispositifs médicaux SYNTHESE D INSPECTIONS THEME : Prothèses Dentaires Il importe de souligner

Plus en détail

Formations pour les entreprises:

Formations pour les entreprises: Nouveau - Nouveau - Nouveau - Nouveau - Nouveau Formations pour les entreprises: Pharmaceutiques Chimiques Biotech et Medtech Actives dans les sciences de la vie & Sciences de la vie en Suisse romande

Plus en détail

Annexe 3. Système modèle d assurance de la qualité pour agences d approvisionnement. Introduction

Annexe 3. Système modèle d assurance de la qualité pour agences d approvisionnement. Introduction Annex 3 Annexe 3 Système modèle d assurance de la qualité pour agences d approvisionnement Introduction Le Comité d experts des Spécifications relatives aux préparations pharmaceutiques de l Organisation

Plus en détail

La réforme de l assurance prospection s articule autour de 5 axes principaux :

La réforme de l assurance prospection s articule autour de 5 axes principaux : MESURE 1 REFORME DES PROCEDURES FINANCIERES PUBLIQUES DE LA COFACE La réforme concerne particulièrement deux procédures : l Assurance Prospection et l Assurance Crédit. L objectif est de simplifier et

Plus en détail

Introduction. I. Évolution du commerce mondial. II. Commerce des marchandises

Introduction. I. Évolution du commerce mondial. II. Commerce des marchandises Introduction 1. Remerciements 2 2. Message du Directeur général 3 3. Comprendre les statistiques du commerce international 4 4. Membres et observateurs de l OMC 6 Composition des régions géographiques

Plus en détail

de résultat opérationnel courant (3) en hausse de 20,7 % (4) Ratings AA-, perspective stable par Fitch Ratings et A2, perspective stable par Moody s

de résultat opérationnel courant (3) en hausse de 20,7 % (4) Ratings AA-, perspective stable par Fitch Ratings et A2, perspective stable par Moody s REGARD SUR COFACE / Le Groupe Coface est un leader mondial de l assurance-crédit et un expert reconnu des risques commerciaux. Il propose aux entreprises du monde entier des solutions pour les protéger

Plus en détail

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée

S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée S engager pour la survie de l enfant: Une promesse renouvelée Rapport de situation 2013 RÉSUMÉ L UNICEF s est engagé à publier des rapports annuels de situation relatifs à la survie de l enfant en soutien

Plus en détail

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI

Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Présentation à l Association des économistes québécois Le 19 mai 25 Les perspectives mondiales, les déséquilibres internationaux et le Canada : un point de vue du FMI Kevin G. Lynch Administrateur Fonds

Plus en détail

Parce que vous faire grandir, c est grandir ensemble Notre succès repose sur notre capital humain evenir un hub pour les opérations économiques mondiales, tel est le défi à relever par le Maroc les prochaines

Plus en détail

11 511 milliards de $EU. Statistiques du commerce international. total. milliards de $EU. total Services commerciaux 4 170 milliards de $EU

11 511 milliards de $EU. Statistiques du commerce international. total. milliards de $EU. total Services commerciaux 4 170 milliards de $EU Statistiques du commerce international Exportation mondiales 2011 total Services commerciaux 4 170 milliards de $EU total MARCHANDISES 17 816 milliards de $EU Voyages 1 065 milliards de $EU Transports

Plus en détail

intégration tri ogique Démarches Processus au service des enjeux de la Santé

intégration tri ogique Démarches Processus au service des enjeux de la Santé Démarches Processus au service des enjeux de la Santé Sommaire 1. Présentation d IDS Scheer et de ses Partenaires «Santé» 2. Modélisation par les métiers des processus et données clés dans le secteur «Santé»

Plus en détail

Recommandation sur les conventions concernant la distribution des contrats d assurance vie

Recommandation sur les conventions concernant la distribution des contrats d assurance vie Recommandation sur les conventions concernant la distribution des contrats d assurance vie 2014-R-01 du 3 juillet 2014 1. Contexte L analyse des pratiques et des conventions observées sur le marché de

Plus en détail

SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ

SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE QUALITE 2 UNE ORGANISATION PROFESSIONNELLE FORTE ET GARANTE DE SES MEMBRES 3 NOTRE SMQ Manuel Qualité 5 place du Rosoir 21000 DIJON Tél. : 03.80.59.65.20 Fax : 03.80.53.09.50 Mèl : contact@bfc.experts-comptables.fr www.bfc.experts-comptables.fr SOMMAIRE 1 LA POLITIQUE GENERALE ET LA POLITIQUE

Plus en détail

Objectif 3 : Confinement et certification

Objectif 3 : Confinement et certification Objectif 3 : Confinement et certification CONFINEMENT ET CERTIFICATION Principaux objectifs Indicateurs de réalisation Principales activités Certifier l éradication et le confinement de tous les poliovirus

Plus en détail

MANAGEMENT DE TRANSITION FRANCE

MANAGEMENT DE TRANSITION FRANCE MANAGEMENT DE TRANSITION FRANCE EDITO «Quand le cabinet de recrutement Robert Walters a lancé l activité Management de Transition en France il y a 10 ans, beaucoup d entreprises et de candidats étaient

Plus en détail

2013 : une activité stable dans un environnement contrasté. Une rentabilité opérationnelle préservée.

2013 : une activité stable dans un environnement contrasté. Une rentabilité opérationnelle préservée. COMMUNIQUE DE PRESSE 6 décembre 2013 Résultats annuels 2013 2013 : une activité stable dans un environnement contrasté. Une rentabilité opérationnelle préservée. Volume d activité Villages stable à taux

Plus en détail

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE

TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE ORGANISATION FOR ECONOMIC CO-OPERATION AND DEVELOPMENT TROISIEME REUNION DU FORUM SUR L ADMINISTRATION FISCALE DE L OCDE 14-15 septembre 2006 Séoul, Corée Déclaration de Séoul (version définitive) CENTRE

Plus en détail

BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS. Texte n DGI 2011/25 NOTE COMMUNE N 16/2011

BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS. Texte n DGI 2011/25 NOTE COMMUNE N 16/2011 BULLETIN OFFICIEL DES DOUANES ET DES IMPOTS DIFFUSION GENERALE N 2011/26/06 0.1.0.0.1.2. Documents Administratifs (IMPOTS) Texte n DGI 2011/25 NOTE COMMUNE N 16/2011 O B J E T : Commentaire des dispositions

Plus en détail

THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES

THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES THESAURUS ENTREPRISES PUBLIQUES I. SECTEURS D ACTIVITES - Aéronautique - Agriculture - Assurances - Banques (épargne, office des chèques postaux) - Bâtiment et génie civil - Communications - Postes - Télécommunications

Plus en détail

SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES. Numéro 2 (révisé)

SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES. Numéro 2 (révisé) DIFFUSION GÉNÉRALE OCDE/GD(95)66 SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES Numéro 2 (révisé) ORIENTATIONS A L INTENTION DES AUTORITES DE

Plus en détail

Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile

Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile ANNEXE 1 Pays 1 où il y a un risque de transmission de la fièvre jaune 2 et pays exigeant la vaccination antiamarile Pays Pays où il y a un Pays exigeant Pays exigeant risque de transmission la vaccination

Plus en détail

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A

CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A CONSEIL DE COORDIN AT I O N DU PROGRAM M E DE L ONUSID A ONUSIDA/CCP (36)/15.12 Date de publication : 24 juin 2015 TRENTE-SIXIÈME RÉUNION Date : 30 juin - 2 juillet 2015 Lieu : Salle du conseil exécutif,

Plus en détail

Healthcare * sdv.com. Logistique. Imagination. *Santé

Healthcare * sdv.com. Logistique. Imagination. *Santé Healthcare * sdv.com Logistique. Imagination. *Santé SDV, un service de proximité et une performance assurée La puissance de notre réseau : Notre présence dans 102 pays garantit un service de proximité

Plus en détail

1. Contexte. 2. Dresser le bilan : expériences et nouveaux développements

1. Contexte. 2. Dresser le bilan : expériences et nouveaux développements Renforcer la redevabilité mutuelle pour améliorer l efficacité et les résultats en matière de développement pour la santé : accords conclus à Nairobi par les signataires du IHP+ sur la future approche

Plus en détail

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S

D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S REGARD SUR L EPIDEMIE DU VIH D A N S L E S PAY S F R A N C O P H O N E S Photo: ONUSIDA Levier de la riposte au sida, l ONUSIDA s emploie à bâtir l action politique et à promouvoir les droits de tous les

Plus en détail

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008)

Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Couverture du risque maladie dans les pays en développement: qui doit payer? (Paris, 7 mai 2008) Excellences, Chers collègues, Mesdames et Messieurs, Chers amis, Quelles méthodes, quels instruments pour

Plus en détail

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS

TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS TOUR DE FRANCE NOUVEAU DIALOGUE FORUM-DEBAT POITIERS Synthèse des débats rédigée par : 26 janvier 2012 Dans le cadre de son Tour de France du Dialogue, la CFE-CGC a organisé à Poitiers, le 26 janvier 2012,

Plus en détail

Convention du 4 janvier 1960 instituant l Association européenne de Libre-Echange (AELE)

Convention du 4 janvier 1960 instituant l Association européenne de Libre-Echange (AELE) Convention du 4 janvier 1960 instituant l Association européenne de Libre-Echange (AELE) Décision n o 2/2009 du Conseil au sujet de la modification de l art. 53 et de l annexe I de la Convention AELE relatifs

Plus en détail

CONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE»

CONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE» CONFERENCE DE PRESSE > LANCEMENT DU «MANIFESTE POUR UNE SOCIÉTÉ POSITIVE» > PRÉSENTATION DES RÉSULTATS DE L INDICE DE LA PERFORMANCE ÉCONOMIQUE POSITIVE 2014 UNE INITIATIVE DE DÉROULÉ DE LA CONFÉRENCE

Plus en détail

BASE DE DONNEES - MONDE

BASE DE DONNEES - MONDE BASE DE DONNEES - MONDE SOMMAIRE Partie I Monnaies Partie II Epargne/Finances Partie III Démographie Partie IV Finances publiques Partie V Matières premières Partie I - Monnaies Cours de change euro/dollar

Plus en détail

PROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH

PROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH II. PROGRAMMES DE BOURSES ET DE FORMATION DU HCDH II Les programmes de bourses et de formation examinés dans le présent chapitre ont été instaurés par le Haut-Commissariat des Nations Unies aux droits

Plus en détail

Certification des ressources d hébergement en toxicomanie ou en jeu pathologique

Certification des ressources d hébergement en toxicomanie ou en jeu pathologique Ministère de la Santé et des Services sociaux Direction générale des services sociaux, Direction des dépendances et de l itinérance Certification des ressources d hébergement en toxicomanie ou en jeu pathologique

Plus en détail

L expertise en sécurité pour toutes les entreprises! Passez à la vitesse supérieure. Kaspersky. avec. Open Space Security

L expertise en sécurité pour toutes les entreprises! Passez à la vitesse supérieure. Kaspersky. avec. Open Space Security L expertise en sécurité pour toutes les entreprises! Passez à la vitesse supérieure 2010 avec Kaspersky Open Space Security Aujourd hui, le réseau d une entreprise est un espace ouvert dynamique, mobile.

Plus en détail

Pour vos appels d offre CABINETS DE CONSEIL EN SCM. Octobre 2014. 9 e ÉDITION RGP. SupplyChainMagazine.fr 19, rue Saint-Georges - 94700 Maisons-Alfort

Pour vos appels d offre CABINETS DE CONSEIL EN SCM. Octobre 2014. 9 e ÉDITION RGP. SupplyChainMagazine.fr 19, rue Saint-Georges - 94700 Maisons-Alfort Octobre 2014 Pour vos appels d offre CABINETS DE CONSEIL EN SCM 9 e ÉDITION RGP SupplyChainMagazine.fr 19, rue Saint-Georges - 94700 Maisons-Alfort 1. NOM DU CABINET RGP 2. Date de création Société indépendante

Plus en détail

MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS. Point presse

MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS. Point presse MINISTERE DES AFFAIRES SOCIALES ET DE LA SANTE MINISTERE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS Point presse Suppression de la vignette pharmaceutique au 1 er juillet 2014 Mardi 20 mai DOSSIER DE PRESSE -----------------------------------------------

Plus en détail

L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE

L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE L IMMIGRATION AU SEIN DE L UE Source: Eurostat, 2014, sauf indication contraire Les données se rapportent aux ressortissants de pays tiers, dont le lieu de résidence habituel se trouvait dans un pays hors

Plus en détail

DEVIS D ÉVALUATION. Efficacité du système d assurance qualité du Collège Shawinigan. Automne 2013

DEVIS D ÉVALUATION. Efficacité du système d assurance qualité du Collège Shawinigan. Automne 2013 DEVIS D ÉVALUATION Efficacité du système d assurance qualité du Collège Shawinigan Automne 2013 La mise en contexte de l évaluation Depuis sa création en 1993, la commission d évaluation de l enseignement

Plus en détail

NOTRE SAVOIR-FAIRE : VALORISER LE VOTRE

NOTRE SAVOIR-FAIRE : VALORISER LE VOTRE NOTRE SAVOIR-FAIRE : VALORISER LE VOTRE FRANCE Créer, améliorer, développer, défendre votre réseau de distribution 32 réseaux de distribution créés en 2013 Aide au choix des stratégies contractuelles de

Plus en détail

Objectifs Contenu de la formation M1 et M2 Organisation de la formation

Objectifs Contenu de la formation M1 et M2 Organisation de la formation MASTER AFFAIRES INDUSTRIELLES INTERNATIONALES PROGRAMME DE LA FORMATION SOMMAIRE Objectifs Contenu de la formation M1 et M2 Organisation de la formation Page 1 sur 6 Objectifs Préparer des cadres de culture

Plus en détail

Le nouveau modèle de financement du Fonds mondial

Le nouveau modèle de financement du Fonds mondial Fonds mondial de lutte contre le sida, la tuberculose et le paludisme Quatrième reconstitution des ressources (2014-2016) Le nouveau modèle de financement du Fonds mondial Avril 2013 Introduction 1. Fin

Plus en détail

Service d assistance matérielle HP destiné aux voyageurs intervention le jour ouvrable suivant Amériques

Service d assistance matérielle HP destiné aux voyageurs intervention le jour ouvrable suivant Amériques Service d assistance matérielle HP destiné aux voyageurs intervention le jour ouvrable suivant Amériques Services Care Pack HP Données techniques Le Service d assistance matérielle HP destiné aux voyageurs

Plus en détail

2007-2012. L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire

2007-2012. L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire 2007-2012 L agence fédérale des médicaments et des produits de santé fête son cinquième anniversaire Cinq ans : petit coup d œil dans le rétro Cher lecteur, chère lectrice, 2012 est une année particulière

Plus en détail

Document explicatif Introduction à Fairtrade

Document explicatif Introduction à Fairtrade Document explicatif Introduction à Fairtrade Explication de quelques mots et expressions clés utilisés à Fairtrade. Coopérative de Café Cocla, Peru. Photo: Henrik Kastenskov Document: Document explicatif

Plus en détail

0.812.101. Convention pour la reconnaissance mutuelle des inspections concernant la fabrication des produits pharmaceutiques.

0.812.101. Convention pour la reconnaissance mutuelle des inspections concernant la fabrication des produits pharmaceutiques. Texte original 0.812.101 Convention pour la reconnaissance mutuelle des inspections concernant la fabrication des produits pharmaceutiques Conclue à Genève le 8 octobre 1970 Approuvée par l Assemblée fédérale

Plus en détail

Admissions en formation initiale sous statut étudiant. Guide de candidature des candidats internationaux

Admissions en formation initiale sous statut étudiant. Guide de candidature des candidats internationaux Admissions en formation initiale sous statut étudiant Guide de candidature des candidats internationaux Session 2013 Table des matières I. Baccalauréat Scientifique (ou équivalent)...3 II. Classe Préparatoire

Plus en détail

PS 406-2. Générateur mobile pour le soudage orbital THE ART OF WELDING. TIG - Avec ou sans métal d apport, AVC, OSC

PS 406-2. Générateur mobile pour le soudage orbital THE ART OF WELDING. TIG - Avec ou sans métal d apport, AVC, OSC PS 406-2 TIG - Avec ou sans métal d apport, AVC, OSC Générateur mobile pour le soudage orbital THE ART OF WELDING PS 406-2 Caractéristiques générales Générateur mobile Interface utilisateur (IHM) Programmation

Plus en détail

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés

Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés POUR DIFFUSION : À Washington : 9h00, le 9 juillet 2015 STRICTEMENT CONFIDENTIEL JUSQU À DIFFUSION Croissance plus lente dans les pays émergents, accélération progressive dans les pays avancés La croissance

Plus en détail

ECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social

ECE/AC.21/SC/2014/3 EUDCE1408105/1.6/SC12/3. Conseil économique et social Nations Unies Conseil économique et social ECE/AC.21/SC/2014/3 Distr. générale 10 septembre 2014 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Réunion de haut niveau sur les transports,

Plus en détail

Améliorer l accès aux renseignements bancaires à des fins fiscales RAPPORT D ÉTAPE 2007

Améliorer l accès aux renseignements bancaires à des fins fiscales RAPPORT D ÉTAPE 2007 Améliorer l accès aux renseignements bancaires à des fins fiscales RAPPORT D ÉTAPE 2007 Améliorer l accès aux renseignements bancaires à des fins fiscales RAPPORT D ÉTAPE 2007 Le Comité des affaires fiscales

Plus en détail

L application doit être validée et l infrastructure informatique doit être qualifiée.

L application doit être validée et l infrastructure informatique doit être qualifiée. 1 2 3 4 5 6 7 8 9 10 11 12 13 14 15 16 17 18 19 20 21 22 23 24 25 26 27 28 29 30 31 32 33 34 35 36 37 38 39 40 41 42 43 44 45 46 47 48 49 50 51 52 53 54 55 56 57 58 59 Annexe 11: Systèmes informatisés

Plus en détail

MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE

MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE 2014 RELAIS EXP A T L ASSURANCE SANTÉ EN COMPLÉMENT DE LA POUR EXPATRIÉS MSH INTERNATIONAL pour le compte de l ASFE L ASSURANCE SANTÉ SANS FRONTIÈRES Le contrat Relais Expat de l ASFE : pourquoi vous couvrir?

Plus en détail