Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download ""

Transcription

1

2

3

4

5

6 Dès qu'une action atteint un certain degré de complexité ou qu'il s'agit d'actions collectives il est nécessaire d'organiser, c'est-à-dire de diviser et coordonner. L'organisation suppose donc division et coordination des tâches. La structure va matérialiser cette division et assurer la coordination par des mécanismes appropriés.

7 Le terme de structure peut faire référence à des éléments relativement différents, mais qui concourent tous au fonctionnement de l'entreprise. 1. La structure du capital concerne la répartition des droits entre les différents associés. 2. La structure du financement concerne la répartition des sources de financement entre les prêteurs et les propriétaires de l'entreprise. 3. La structure sociale correspond aux relations informelles existant entre les individus participant à l'entreprise. 4. La structure productive désigne, classiquement, la répartition des facteurs de production Dès qu'il y a diversité (des actionnaires, des capitaux, des hommes, des tâches, etc.), il faut structurer pour agir.

8

9

10 Longtemps, l'étude des structures est restée marquée par une approche très normative privilégiant un aspect particulier : 1. L'unité de commandement chez Fayol (structure hiérarchique comme structure idéale) 2. La compétence fonctionnelle chez Taylor (structure fonctionnelle comme structure idéale) La théorie contemporaine, et notamment Mintzberg, privilégie une approche analytique contingente : elle élabore une structure, non pas idéale mais acceptable dans un contexte donné.

11 La construction d'une structure va s'appuyer sur : 1. Des choix fondamentaux de la division de l'entreprise 2. La combinaison de paramètres de conception 3. Le choix de mécanismes de coordination.

12 1. Faire ou faire faire? 2. Comment répartir les tâches? 3. Comment répartir le pouvoir et contrôler la dynamique sociale?

13 Ce qui est internalisé relève de l'organisation, donc de la régulation organisationnelle Ce qui est externalisé relève de la régulation contractuelle (selon les modalités les diverses : filiale, franchise, marché négocié, marché concurrentiel «pur», etc.). La structure, lieu de la régulation organisationnelle, doit intégrer des éléments de régulation contractuelle.

14 La départementalisation : manière dont les activités sont réparties dans l'entreprise. Longtemps, le découpage des activités était le seul critère retenu pour analyser la structure. Historique : Fayol : découpage par fonctions (l'unité de commandement). Taylor : découpage qui met en avant la compétence technique et la spécialisation. Evolution des grandes entreprises (GM avec A. Sloan, Dupont de Nemours et GE avec A. Chandler) : 1. Développement d activités très diversifiées sur des marchés non homogènes. 2. Départementalisation reposant sur des couples produit-marché. 3. Organisation multidivisionnelle (appelée «M Form»par O. Williamson) va être la forme prédominante de nombreuses grandes entreprises dans les années Essor de grands projets : développement d'autres formes de découpage du travail (la structure matricielle, l'organisation par projet, etc.).

15 La répartition du pouvoir et les méthodes d'animation sont directement liées : 1. Au mode d'exercice du pouvoir 2. A la gestion des ressources humaines. Les paramètres de structuration plus directement lié aux processus d'animation des hommes : 1. Le degré de centralisation de la structure (plus ou moins grande délégation de pouvoir) 2. Le degré de participation des individus aux décisions 3. Les modes de coordination

16 La spécialisation horizontale : découpage des tâches dans l'ordre séquentiel de leur réalisation tout au long d'un processus de fabrication. Elle améliore la productivité. La spécialisation verticale : séparation de la réalisation du travail de l administration, de son contrôle. Elle traduit l'existence d'un pouvoir hiérarchique.

17 L'élargissement du travail (déspécialisation horizontale du travail) : intégration à un poste de travail des tâches au préalable attribuées à plusieurs postes travail le long de la même séquence de production. L'enrichissement des tâches : intégration à un poste de travail les tâches de contrôle, éventuellement de préparation, préalablement assurées par un membre de la hiérarchie.

18 La centralisation : tous les pouvoirs de décision sont concentrés en un seul point de l'organisation. La décentralisation est nécessaire pour trois séries de raison : 1. Les limites cognitives du décideur 2. La recherche d'un temps de réaction rapide aux conditions locales 3. La motivation des individus

19 La décentralisation verticale : transfert le pouvoir formel de décision (en totalité ou en partie) vers le bas de la ligne hiérarchique, c'est-à-dire vers le lieu d'exécution de la décision. La décentralisation horizontale : transfert du contrôle des processus de décisions à des personnes situées en dehors de la ligne hiérarchique. Les choix de décentralisation/centralisation sont largement interdépendants avec les mécanismes de contrôle, de coordination et d'animation.

20 Coordination : ensemble de mécanismes pour assurer la coopération des acteurs au sein d'une organisation. Historique : La hiérarchie assurait la coordination, soit sur la base de l'unité de commandement avec Fayol, soit sur la base de la compétence technique avec Taylor. Dans la pratique, difficultés pour assurer la cohérence de l'action collective : conception non réaliste. Mintzberg distingue la coordination par des «mécanismes d'ajustement» et par des «mécanismes de couplage».

21 Les mécanismes de couplage correspondent à des interdépendances techniques plus ou moins fortes qui créent des conditions particulières de coordination. 1. Le couplage communautaire : Deux services (deux individus, etc.) utilisent les mêmes moyens (machines-outils, ordinateurs, camions, etc.). Obligation de se coordonner même si leur travail respectif (une école, deux professeurs, deux classes de niveau différent mais une seule et même classe). 2. Le couplage séquentiel : Interdépendance d'un poste de travail aval par rapport à un poste de travail amont (chaîne de production). 3. Le couplage réciproque : Interdépendance est réciproque. Un poste de travail a besoin du travail de l'autre mais lui en fournit aussi (service de maintenance et d exploitation).

22 Mintzberg identifie trois mécanismes de base pour procéder à la coordination : 1. L'ajustement mutuel : Mode de coordination d'opérateurs peu nombreux qui ajustent leurs activités par contacts directs de gré à gré (négociation, compromis). 2. La supervision directe : La coordination du travail de plusieurs opérateurs est assurée par un supérieur hiérarchique qui les dirige. 3. La standardisation : Le processus d'homogénéisation (standardisation des procédés de travail, des résultats, des qualifications, des normes). La standardisation offre un outil de contrôle. Le non-respect du standard permet de repérer un éventuel problème.

23 Les différents mécanismes d'ajustement se complètent plus qu'ils ne s'opposent. 1. Une même entreprise peut utiliser différents mécanismes selon les départements concernés 2. Au fur et à mesure de son développement (notamment en termes de taille et de type de départementalisation), toute entreprise privilégie successivement les différents modes de coordination :

24 Mintzberg propose même une relation entre les types structurels et le mécanisme de coordination privilégié par chacune de ces configurations structurelles. Configuration structurelle Structure simple Bureaucratie mécaniste Bureaucratie professionnelle Structure divisionnalisée Adhocratie Organisation missionnaire Mécanisme de coordination privilégié Supervision directe Standardisation des procédés Standardisation des qualifications Standardisation des résultats Ajustement mutuel Standardisation des normes

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1

Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion. Marie Gies - Contrôle de gestion et gestion prévisionnelle - Chapitre 1 Chapitre 1 : Introduction au contrôle de gestion Introduction 2 Contrôle de gestion : fonction aujourd hui bien institutionnalisée dans les entreprises Objectif : permettre une gestion rigoureuse et une

Plus en détail

LE CONTROLE DE GESTION CONTRIBUE-T-IL A AMELIORER LE MANAGEMENT DE L ENTREPRISE?

LE CONTROLE DE GESTION CONTRIBUE-T-IL A AMELIORER LE MANAGEMENT DE L ENTREPRISE? Sara Jouven A l attention de : Amélie Goncalves Monsieur Berland Xavier Capronnier LE CONTROLE DE GESTION CONTRIBUE-T-IL A AMELIORER LE MANAGEMENT DE L ENTREPRISE? DESS Contrôle de Gestion Sociale Année

Plus en détail

Management par les processus Introduction et définitions. Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE

Management par les processus Introduction et définitions. Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE Management par les processus Introduction et définitions Lionel Di Maggio Master 1 MIAGE 1 Le fonctionnement du cours Cours ou TD tous les vendredi après-midi Pause de 10 mn Téléphone éteint La presentation

Plus en détail

Management Chapitre 3 Diriger et décider

Management Chapitre 3 Diriger et décider I) Les décisions et les processus décisionnels A) La notion de décision Diriger une entreprise c est avant tout exercer un pouvoir décisionnel. Décider c est transformer une information en action. C est

Plus en détail

«LES PRINCIPES ET OUTILS ESSENTIELS DU CONTRÔLE DE GESTION»

«LES PRINCIPES ET OUTILS ESSENTIELS DU CONTRÔLE DE GESTION» Pour une performance durable et solidaire «LES PRINCIPES ET OUTILS ESSENTIELS DU CONTRÔLE DE GESTION» Audit et contrôle de gestion, quelle complémentarité? Port Leucate Les 12-13-14 septembre 2012 1 Pour

Plus en détail

PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS

PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ORGANISATIONS Cycle terminal de la série sciences et technologies du management et de la gestion I. INDICATIONS GÉNÉRALES L enseignement de management des organisations vise

Plus en détail

Gestion médicalem. Novembre Décembre 2006. L. Conrad Pelletier MD, MBA 1. L. Conrad Pelletier MD, MBA

Gestion médicalem. Novembre Décembre 2006. L. Conrad Pelletier MD, MBA 1. L. Conrad Pelletier MD, MBA Gestion médicalem Habiletés à développer 2è journée e de formation pour médecins m gestionnaires L. Conrad Pelletier MD, MBA Novembre Décembre 2006 L. Conrad Pelletier MD, MBA 1 Plan de présentation 1.

Plus en détail

FRANCHISE, COOPÉRATION ET ORGANISATION EN RÉSEAU

FRANCHISE, COOPÉRATION ET ORGANISATION EN RÉSEAU FRANCHISE, COOPÉRATION ET ORGANISATION EN RÉSEAU 1. LE RÉSEAU COMME FORME D ORGANISATION L objet de cet articles est de comprendre, à l aide de concepts théoriques simples, pourquoi la forme organisationnelle

Plus en détail

Les démarches qualités

Les démarches qualités Les démarches qualités Sommaire : Introduction... 2 Un levier d'innovation organisationnelle et sociale... 3 Les enjeux... 5 1.1 Le marché... 5 1.2 L innovation incrémentale (amélioration continue) ou

Plus en détail

1 Les différents courants de pensée de la théorie des organisations

1 Les différents courants de pensée de la théorie des organisations 1 Les différents courants de pensée de la théorie des organisations 1 Comment définir la théorie des organisations? Avec la seconde révolution industrielle, de grandes entreprises industrielles émergent,

Plus en détail

A. Définition et formalisme

A. Définition et formalisme Les cardinalités et les différents types d'associations I. Les cardinalités A. Définition et formalisme Les cardinalités sont des couples de valeur que l'on trouve entre chaque entité et ses associations

Plus en détail

Management Chapitre 4 La Stratégie I) La notion de stratégie A) Caractéristiques

Management Chapitre 4 La Stratégie I) La notion de stratégie A) Caractéristiques L Management Chapitre 4 La I) La notion de stratégie A) Caractéristiques 1) Définition a stratégie : consiste pour une entreprise, à se fixer des objectifs à long terme et à se donner les moyens de les

Plus en détail

P résentation. L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines. La Gestion des Ressources Humaines (collection Les Zoom s)

P résentation. L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines. La Gestion des Ressources Humaines (collection Les Zoom s) P résentation L ensemble des concepts et des outils de la Gestion des Ressources Humaines est développé dans le livre rédigé par Chloé Guillot-Soulez et publié dans la même collection : La Gestion des

Plus en détail

PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES DANS LES SECTIONS DE TECHNCIEN SUPERIEUR : RELEVANT DU SECTEUR TERTIAIRE

PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES DANS LES SECTIONS DE TECHNCIEN SUPERIEUR : RELEVANT DU SECTEUR TERTIAIRE Direction générale de l enseignement supérieur PROGRAMME DE MANAGEMENT DES ENTREPRISES DANS LES SECTIONS DE TECHNCIEN SUPERIEUR : RELEVANT DU SECTEUR TERTIAIRE «assistant de gestion PME-PMI». «assistant

Plus en détail

Master Administration des Entreprises. Gestion des organisations

Master Administration des Entreprises. Gestion des organisations IAE de Poitiers Institut d Administration des Entreprises de Poitiers Université Senghor Alexandrie (Egypte) Master en Administration des Entreprises Gestion des organisations Ouvrage de référence proposé

Plus en détail

360 feedback «Benchmarks»

360 feedback «Benchmarks» 360 feedback «Benchmarks» La garantie d un coaching ciblé Pour préparer votre encadrement aux nouveaux rôles attendus des managers, Safran & Co vous propose un processus modulable, adapté aux réalités

Plus en détail

La division horizontale du travail traite de la question du degré de spécialisation ou de polyvalence du travail. Partie 3. L organisation du travail

La division horizontale du travail traite de la question du degré de spécialisation ou de polyvalence du travail. Partie 3. L organisation du travail Les théories des organisations portent sur la division du travail. On distingue la division du travail horizontale et la division du travail verticale. Partie 3. L organisation du travail La division horizontale

Plus en détail

Orientations sur la solvabilité du groupe

Orientations sur la solvabilité du groupe EIOPA-BoS-14/181 FR Orientations sur la solvabilité du groupe EIOPA Westhafen Tower, Westhafenplatz 1-60327 Frankfurt Germany - Tel. + 49 69-951119-20; Fax. + 49 69-951119-19; email: info@eiopa.europa.eu

Plus en détail

PROPOSITION DE RÉPONSES THÈME 2 Q3 CAS RUE DU COMMERCE

PROPOSITION DE RÉPONSES THÈME 2 Q3 CAS RUE DU COMMERCE PROPOSITION DE RÉPONSES THÈME 2 Q3 CAS RUE DU COMMERCE Travail préparatoire : Fiche de caractérisation CRITÈRES GÉNÉRAUX Nom : Rue du Commerce Type : Entreprise GRILLE DE CARACTÉRISATION D UNE ORGANISATION

Plus en détail

Dossier 2 : Une approche théorique des organisations

Dossier 2 : Une approche théorique des organisations Management des organisations et stratégies Dossier 2 : Une approche théorique des organisations Ce dossier ne prétend pas exposer de manière exhaustive l ensemble des théories qui ont réfléchi les problématiques

Plus en détail

PROCESSUS D'INTERNATIONALISATION, STRUCTURE ORGANISATIONNELLE DE LA PMI ET RÉGULATIONS SOCIALES INTERNES

PROCESSUS D'INTERNATIONALISATION, STRUCTURE ORGANISATIONNELLE DE LA PMI ET RÉGULATIONS SOCIALES INTERNES PROCESSUS D'INTERNATIONALISATION, STRUCTURE ORGANISATIONNELLE DE LA PMI ET RÉGULATIONS SOCIALES INTERNES BLANDINE AGERON UPRES-A 5055 EURISTIK IAE - Université Jean Moulin Lyon 3 15 Quai Claude Bernard

Plus en détail

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise

Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Source : "Comptable 2000 : Les textes de base du droit comptable", Les Éditions Raouf Yaïch. Contrôle interne et organisation comptable de l'entreprise Le nouveau système comptable consacre d'importants

Plus en détail

LES NOUVEAUX PARADIGMES DU MARKETING

LES NOUVEAUX PARADIGMES DU MARKETING Table des matières Master Recherche Management, Logistique et Stratégie Jean-Louis Moulins I. LA DEMARCHE MARKETING : CONTENU ET EVOLUTION 1. Le Protomarketing 2. Le Marketing Vente ou Marketing Commercial

Plus en détail

MARKETING INTERNATIONAL UN CONSOMMATEUR LOCAL DANS UN MONDE GLOBAL. de boeck PERSPECTIVES. 6 e ÉDITION CHARLES CROUÉ

MARKETING INTERNATIONAL UN CONSOMMATEUR LOCAL DANS UN MONDE GLOBAL. de boeck PERSPECTIVES. 6 e ÉDITION CHARLES CROUÉ PERSPECTIVES MARKETING CHARLES CROUÉ MARKETING INTERNATIONAL UN CONSOMMATEUR LOCAL DANS UN MONDE GLOBAL PRÉFACE DE JEAN-MARC DE LEERSNYDER 6 e ÉDITION de boeck TABLE DES MATIERES Remerciements 7 Préface

Plus en détail

UE 13 Contrôle de gestion. Responsables : Henri Bouquin, Professeur Stéphanie Thiéry-Dubuisson, Maître de Conférences

UE 13 Contrôle de gestion. Responsables : Henri Bouquin, Professeur Stéphanie Thiéry-Dubuisson, Maître de Conférences UE 13 Contrôle de gestion Responsables : Henri Bouquin, Professeur Stéphanie Thiéry-Dubuisson, Maître de Conférences www.crefige.dauphine.fr polycopié de TD Ouvrage de référence : Henri BOUQUIN, Comptabilité

Plus en détail

SECTION : BTS MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ( première et deuxième année) MATIERE : MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ENVIRON 200 HEURES

SECTION : BTS MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ( première et deuxième année) MATIERE : MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ENVIRON 200 HEURES SECTION : BTS MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ( première et deuxième année) MATIERE : MANAGEMENT DE L UNITE COMMERCIALE ENVIRON 200 HEURES Manuel Murgia Page 1 19/08/2006 LES FONDEMENTS DU MANAGEMENT

Plus en détail

SCIENCES ÉCONOMIQUES ET SOCIALES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE. Annexe

SCIENCES ÉCONOMIQUES ET SOCIALES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE. Annexe SCIENCES ÉCONOMIQUES ET SOCIALES EN CLASSE DE SECONDE GÉNÉRALE ET TECHNOLOGIQUE A. du 1-7- 2002. JO du 10-7-2002 NOR : MENE0201542A RLR : 524-5 MEN - DESCO A4 Vu code de l'éducation, not. art. L. 311-1

Plus en détail

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI?

quelles sont les spécificités du système de gouvernance des PME - PMI? LA GOUVERNANCE DES PME-PMI Gérard CHARREAUX Professeur de Sciences de Gestion à 1 Université de Bourgogne, Dijon PREAMBULE Il est probable que vous vous interrogez sur l'apport des recherches en matière

Plus en détail

INTELLIGENCE ECONOMIQUE : ENJEUX ET RETOUR D EXPERIENCE PILOTE DANS SEPT PMI DE BOURGOGNE

INTELLIGENCE ECONOMIQUE : ENJEUX ET RETOUR D EXPERIENCE PILOTE DANS SEPT PMI DE BOURGOGNE INTELLIGENCE ECONOMIQUE : ENJEUX ET RETOUR D EXPERIENCE PILOTE DANS SEPT PMI DE BOURGOGNE BUSINESS INTELLIGENCE : GOALS AND RESULTS OF A PILOT EXPERIMENT INVOLVING SEVEN SMEs FROM BOURGOGNE Ludovic DENOYELLE,

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION

Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Sciences de Gestion Spécialité : SYSTÈMES D INFORMATION DE GESTION Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion Préambule Présentation Les technologies de l information

Plus en détail

Les fondements intellectuels de l entrepreneuriat

Les fondements intellectuels de l entrepreneuriat Les fondements intellectuels de l entrepreneuriat Howard H. Stevenson Sarofim-Rock Professor Harvard University Le 5 octobre 2007 Harvard Business School 2007 1 Une longue histoire Premières recherches

Plus en détail

LES HABILETÉS POLITIQUES ET LE LEADERSHIP EN ÉDUCATION

LES HABILETÉS POLITIQUES ET LE LEADERSHIP EN ÉDUCATION LES HABILETÉS POLITIQUES ET LE LEADERSHIP EN ÉDUCATION Un texte d accompagnement au séminaire de la FORRES 2006 Guy Pelletier, Professeur Université de Sherbrooke Il n y a pas d ascension dans l exercice

Plus en détail

LES OBJECTIFS. Branche réforme. Buts à atteindre selon le modèle d apprentissage

LES OBJECTIFS. Branche réforme. Buts à atteindre selon le modèle d apprentissage VOYAGES LES OBJECTIFS Nr. 1.8.4.1 1.8.4.5 1.8.4.6 2.5.1.1 Buts à atteindre selon le modèle d apprentissage Je définis, sans utiliser de documents, les termes suivants en expliquant leurs différences dans

Plus en détail

Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2. Section M Division 70

Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2. Section M Division 70 Nomenclatures 2008 NAF rév. 2 - CPF rév. 2 Section M Division 70 70 ACTIVITÉS DES SIÈGES SOCIAUX ; CONSEIL DE GESTION Cette division comprend le conseil et l'assistance à des entreprises et autres organisations

Plus en détail

Les obligations des entreprises multinationales et leurs sociétés membres

Les obligations des entreprises multinationales et leurs sociétés membres Justitia et Pace Institut de Droit international Session de Lisbonne - 1995 Les obligations des entreprises multinationales et leurs sociétés membres (Quinzième Commission, Rapporteur : M. Andreas Lowenfeld)

Plus en détail

La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins

La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins La boite à outils du dirigeant, Dispositif packagé ou modularisable en fonction des besoins Durée : Minimum 14h Maximum 182h (Ce choix permet de valider 10% du Titre de niveau II «chef d entreprise développeur

Plus en détail

Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires

Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Enquête APM sur le Gouvernement d entreprise dans les PME-PMI : quelques résultats et commentaires Pierre-Yves GOMEZ Professeur EMLYON Directeur de l Institut Français de Gouvernement des Entreprises (IFGE)

Plus en détail

Chapitre 4 : les stocks

Chapitre 4 : les stocks Chapitre 4 : les stocks Stocks et actifs Une entreprise achète généralement des biens pour les utiliser dans son processus de production, ce sont les matières premières et les fournitures, elle peut également

Plus en détail

Mesurer et piloter la performance

Mesurer et piloter la performance Mesurer et piloter la performance Nicolas Berland Professeur à l Université Paris-Dauphine E-book Source : www.management.free.fr Nicolas Berland Professeur de contrôle de gestion Université Paris-Dauphine

Plus en détail

Résumé CONCEPTEUR, INTEGRATEUR, OPERATEUR DE SYSTEMES CRITIQUES

Résumé CONCEPTEUR, INTEGRATEUR, OPERATEUR DE SYSTEMES CRITIQUES Aristote ----- Cloud Interopérabilité Retour d'expérience L A F O R C E D E L I N N O V A T I O N Résumé Les systèmes d'information logistique (SIL) sont des outils qui amènent des gains de productivité

Plus en détail

BTS Comptabilité et Gestion SOMMAIRE

BTS Comptabilité et Gestion SOMMAIRE BTS Comptabilité et Gestion SOMMAIRE ANNEXE I : RÉFÉRENTIELS DU DIPLÔME... PAGE 2 I a. Référentiel des activités professionnelles...page 3 I b. Référentiel de certification... page 21 I c. Lexique....

Plus en détail

Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines?

Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines? Qu est-ce que la Gestion des Ressources Humaines? Chapitre 1 La gestion des ressources humaines (GRH) peut être définie comme la gestion des hommes au travail dans des organisations (Martory et Crozet,

Plus en détail

CHAPITRE 14 LA DIVERSITÉ ET L ORGANISATION DES RÉSEAUX D UNITÉS COMMERCIALES.

CHAPITRE 14 LA DIVERSITÉ ET L ORGANISATION DES RÉSEAUX D UNITÉS COMMERCIALES. CHAPITRE 14 LA DIVERSITÉ ET L ORGANISATION DES RÉSEAUX D UNITÉS COMMERCIALES. I. L organisation en réseau. A. Définition. Un réseau est un ensemble organisé d unités commerciales (UC) liées par des intérêts

Plus en détail

Les PGI. A l origine, un progiciel était un logiciel adapté aux besoins d un client.

Les PGI. A l origine, un progiciel était un logiciel adapté aux besoins d un client. Les PGI Les Progiciels de Gestion Intégrés sont devenus en quelques années une des pierres angulaire du SI de l organisation. Le Système d Information (SI) est composé de 3 domaines : - Organisationnel

Plus en détail

Tutoriel - flux de facturation

Tutoriel - flux de facturation 1 of 12 17.01.2007 01:41 Tutoriel - flux de facturation Le schéma ci-dessous illustre le flux de facturation classique : Lors de la création d'une facture, elle possède l'état de brouillon, ce qui veut

Plus en détail

Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie.

Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie. C HAPI TRE 8 Tableau de bord et reporting Objectifs : piloter l organisation à travers des indicateurs (regroupés dans un tableau de bord), et informer des résultats la hiérarchie. 1 Principes A Le tableau

Plus en détail

Programme détaillé DIPLÔME SPECIALISE MARKETING DES PRODUITS INDUSTRIELS. Objectifs de la formation. Les métiers. Niveau et durée de la formation

Programme détaillé DIPLÔME SPECIALISE MARKETING DES PRODUITS INDUSTRIELS. Objectifs de la formation. Les métiers. Niveau et durée de la formation Programme détaillé Objectifs de la formation Le diplôme spécialisé en Marketing des Produits Industriels est une formation de niveau BAC +5. Il valide votre qualification professionnelle et votre aptitude

Plus en détail

Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique

Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique Management des organisations et stratégies Dossier n 10 Veille et intelligence économique.i. Les enjeux et domaines de la veille.ii. La mise en place d un processus de veille.iii. Illustration d une démarche

Plus en détail

On doit répondre en deux mois pour un financement d un espace virtuel de travail collaboratif. Les personnes intéressées par cet appel d offre sont

On doit répondre en deux mois pour un financement d un espace virtuel de travail collaboratif. Les personnes intéressées par cet appel d offre sont On doit répondre en deux mois pour un financement d un espace virtuel de travail collaboratif. Les personnes intéressées par cet appel d offre sont nombreuses : service production, R&D, service approvisionnement,

Plus en détail

LES TABLEAUX DE BORD DE COORDINATION

LES TABLEAUX DE BORD DE COORDINATION LES TABLEAUX DE BORD DE COORDINATION Trois constats généraux sont encore prépondérants dans bon nombre d organisations actuelles : Un fonctionnement avec une planification a priori et des constats a posteriori.

Plus en détail

L'INGENIERIE DE LA FORMATION, ENJEUX ET DEMARCHES

L'INGENIERIE DE LA FORMATION, ENJEUX ET DEMARCHES L'INGENIERIE DE LA FORMATION, ENJEUX ET DEMARCHES «Il n existe pas de tâches humbles dans une entreprise car toutes concourent à sa réussite» F. Mantione Liminaire : Cette présentation à caractère introductif

Plus en détail

Le CONTRAT TRIANGULAIRE en coaching Le contrat tripartite Fanita English, et la Négociation des Contrats Prescrits'

Le CONTRAT TRIANGULAIRE en coaching Le contrat tripartite Fanita English, et la Négociation des Contrats Prescrits' Le CONTRAT TRIANGULAIRE en coaching Le contrat tripartite Fanita English, et la Négociation des Contrats Prescrits' Le Contrat Triangulaire ou tripartite est inventé par Fanita English. Il illustre la

Plus en détail

Les outils classiques de diagnostic stratégique

Les outils classiques de diagnostic stratégique Chapitre I Les outils classiques de diagnostic stratégique Ce chapitre présentera les principaux outils de diagnostic stratégique dans l optique d aider le lecteur à la compréhension et à la manipulation

Plus en détail

GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE

GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE GLOBAL SUPPLY CHAIN MANAGEMENT & STRATEGIE LOGISTIQUE La logistique représentait traditionnellement l activité allant de la mise à disposition des produits finis par l usine ou le négociant jusqu à la

Plus en détail

Innover en formation avec des apprenants de + en + connectés

Innover en formation avec des apprenants de + en + connectés SEMINAIRE bilan AEFA 9 & 10 octobre 2014 - INSEP (Paris) Mission de valorisation, de suivi et d évaluation du programme AEFA / ITG Paris Innover en formation avec des apprenants de + en + connectés Jean

Plus en détail

L Univers SWIFTNet. Transformons l essai. Multiplexons les relations

L Univers SWIFTNet. Transformons l essai. Multiplexons les relations L Univers SWIFTNet Transformons l essai Multiplexons les relations High performance. Delivered. High performance. Delivered.* Globalisation de la communication bancaire Vincent.Lebeault Partner Accenture

Plus en détail

FONCTIONNEMENT DE GROUPE ET D'EQUIPE AU TRAVAIL

FONCTIONNEMENT DE GROUPE ET D'EQUIPE AU TRAVAIL FONCTIONNEMENT DE GROUPE ET D'EQUIPE AU TRAVAIL Intro... 1 I. Caractéristiques des différents types de groupe... 1 A. Définitions... 1 B. Définition selon Anzieu et Martin... 2 C. Définition de Fisher...

Plus en détail

Le géomarketing - Page 1 sur 7

Le géomarketing - Page 1 sur 7 Le géomarketing - Page 1 sur 7 LES DOSSIERS MADWATCH.net méthodes Le Géomarketing Novembre 2003 Nb de pages : 7 Le géomarketing - Page 2 sur 7 Créé dans les années 80, la plupart des applications du géomarketing

Plus en détail

Sage Paie & RH. Une offre 100% Productivité 100% Maroc.

Sage Paie & RH. Une offre 100% Productivité 100% Maroc. Sage Paie & RH Une offre 100% Productivité 100% Maroc. Pour les Petites et Moyennes Entreprises 1 2 SOMMAIRE 3 4 6 8 10 13 14 16 18 Sage Sage Paie & RH Sage Paie Base Sage Paie Pack et Sage Paie Pack+

Plus en détail

Bâtir et améliorer son système d appréciation

Bâtir et améliorer son système d appréciation Bâtir et améliorer son système d appréciation Bâtir et faire évoluer son système d'appréciation, Se doter de critères pertinents pour son entreprise, Se positionner en tant que conseil dans l'entretien

Plus en détail

ÉCONOMIE ET GESTION LYCÉES TECHNOLOGIQUE ET PROFESSIONNEL

ÉCONOMIE ET GESTION LYCÉES TECHNOLOGIQUE ET PROFESSIONNEL ÉCONOMIE ET GESTION LYCÉES TECHNOLOGIQUE ET PROFESSIONNEL Au niveau du second degré, l'économie et gestion recouvre un ensemble de champs disciplinaires relevant de l'économie, du droit, des sciences de

Plus en détail

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude:

La création d une agence autonome présenterait les avantages et inconvénients suivants, recensés à travers l étude: RÉSUMÉ Contexte de l étude Le 4 septembre 2003, le Parlement européen a adopté une résolution contenant des recommandations à la Commission sur les langues européennes régionales et moins répandues les

Plus en détail

La gestion du temps 3e partie: La planification

La gestion du temps 3e partie: La planification Volume 15 No 3 - Septembre 1998 ÉDUCATION ET DROITS DE L'HOMME La gestion du temps 3e partie: La planification Colette Paillole Dans de précédents numéros de La revue des Échanges, nous vous avons présenté

Plus en détail

Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles?

Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles? CONCEPTION ET MISE EN PAGE : PAUL MILAN 7 mai 2015 à 13:59 Chapitre 16 Comment les entreprises fonctionnent-elles? Introduction Regards croisés? car apports de la science économique (économie de la firme)

Plus en détail

2. Activités et Modèles de développement en Génie Logiciel

2. Activités et Modèles de développement en Génie Logiciel 2. Activités et Modèles de développement en Génie Logiciel Bernard ESPINASSE Professeur à l'université d'aix-marseille Plan Les Activités du GL Analyse des besoins Spécification globale Conceptions architecturale

Plus en détail

Agir en situation complexe - Note de synthèse 2 - Le management des organisations

Agir en situation complexe - Note de synthèse 2 - Le management des organisations Agir en situation complexe - Note de synthèse 2 - Agir en situation complexe - Formation APP - INAS/UMH/ESEN Le management des organisations Au sommaire A. Les organisations 1. Mais qu est-ce qu une organisation?

Plus en détail

L'entreprise derrière l'organigramme

L'entreprise derrière l'organigramme L'entreprise derrière l'organigramme Du TGV à l'agv : dépasser l'entreprise hiérarchique pour aboutir à l'entreprise communautaire Rafaël STOFER Manager Entreprise Content Management Logica Management

Plus en détail

Collection les mémentos finance dirigée par Jack FORGET. Gestion budgétaire. Prévoir et contrôler les activités de l entreprise.

Collection les mémentos finance dirigée par Jack FORGET. Gestion budgétaire. Prévoir et contrôler les activités de l entreprise. Collection les mémentos finance dirigée par Jack FORGET Gestion budgétaire Prévoir et contrôler les activités de l entreprise Jack FORGET Éditions d Organisation, 2005 ISBN : 2-7081-3251-2 Chapitre I Se

Plus en détail

Management partie 2 : Marketing

Management partie 2 : Marketing Management partie 2 : Marketing Marketing 1. L'approche marketing S'est le contexte économique qui a induit la fonction marketing. Elle est née des contraintes que rencontre l'entreprise sur son marché,

Plus en détail

Eléments de spécification des systèmes temps réel Pierre-Yves Duval (cppm)

Eléments de spécification des systèmes temps réel Pierre-Yves Duval (cppm) Eléments de spécification des systèmes temps réel Pierre-Yves Duval (cppm) Ecole d informatique temps réel - La Londes les Maures 7-11 Octobre 2002 - Evénements et architectures - Spécifications de performances

Plus en détail

La conduite de projet

La conduite de projet Ministère de l Équipement, des Transports du Logement, du Tourisme et de la Mer CEDIP Centre d Evaluation, de Documentation et d Innovation Pédagogiques La conduite de projet Michel DENJEAN Mars 2004 1

Plus en détail

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand

LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand LE CADRE COMMUN DE REFERENCE LA CONVERGENCE DES DROITS 3 e forum franco-allemand Guillaume Wicker Professeur à l Université Montesquieu - Bordeaux IV 1 Je commencerais par cette interrogation : est-il

Plus en détail

Annexe sur la maîtrise de la qualité

Annexe sur la maîtrise de la qualité Version du 09/07/08 Annexe sur la maîtrise de la qualité La présente annexe précise les modalités d'application, en matière de maîtrise de la qualité, de la circulaire du 7 janvier 2008 fixant les modalités

Plus en détail

LE MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES

LE MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES LE MODELE CONCEPTUEL DE DONNEES Principe : A partir d'un cahier des charges, concevoir de manière visuelle les différents liens qui existent entre les différentes données. Les différentes étapes de réalisation.

Plus en détail

Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili. RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET

Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili. RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET Lilurti ÉgQ.//ti Fr41rrnili RbuBLlQ.UE FJtANÇAISE LE MINISTRE DES FINANCES ET DES COMPTES PUBLICS LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DU BUDGET LE SECRETAIRE D'ETAT CHARGE DE LA REFORME DE L'ETAT ET DE LA SIMPLIFICATION

Plus en détail

Qu'est ce que le KM? M. Prax a d'abord défini le KM par la négative. Le KM n'est pas :

Qu'est ce que le KM? M. Prax a d'abord défini le KM par la négative. Le KM n'est pas : Compte-rendu : «Les enjeux des TIC : le Knowledge Management» Conférence du 3 ème millénaire, Salon Initiatives du jeudi 18 octobre 2001 Orateur : Jean-Yves Prax, Directeur de POLIA CONSULTING Face à un

Plus en détail

APPLICATIONS PRATIQUES DE LA THEORIE DES COUTS DE TRANSACTION *

APPLICATIONS PRATIQUES DE LA THEORIE DES COUTS DE TRANSACTION * APPLICATIONS PRATIQUES DE LA THEORIE DES COUTS DE TRANSACTION * Michel GHERTMAN Département Stratégie et Politique d Entreprise Groupe HEC 78351 Jouy en Josas Cedex, France 33 (1) 39 67 72 74 Fax : 33

Plus en détail

En outre 2 PDD sont impliqués dans le développement de politiques locales destinées à favoriser l'insertion des personnes handicapées.

En outre 2 PDD sont impliqués dans le développement de politiques locales destinées à favoriser l'insertion des personnes handicapées. PHOES Version : 2.0 - ACT id : 3813 - Round: 2 Raisons et Objectifs Programme de travail et méthodologie Dispositions financières Dispositions organisationnelles et mécanismes décisionnels Procédures de

Plus en détail

Du taylorisme à la lean production

Du taylorisme à la lean production Du taylorisme à la lean production Réussir l organisation du travail Colloque de la FSSS, CSN 7 et 8 juin 2011 Paul-André LAPOINTE Relations industrielles, Université Laval ARUC-Innovations, travail et

Plus en détail

Coût de fabrication ou d achat. Calcul des besoins Management Industriel et Logistique (4) (2) (1) (2)

Coût de fabrication ou d achat. Calcul des besoins Management Industriel et Logistique (4) (2) (1) (2) Etude de cas 1 : La société Lebreton fabrique un produit A dont la nomenclature est la suivante (les chiffres entre parenthèses indiquent le nombre de composants dans un composé de niveau immédiatement

Plus en détail

Colloque International IEMA-4

Colloque International IEMA-4 Comment mettre en place un dispositif coordonné d intelligence collective au service de la stratégie de l entreprise. Conférence de Mr. Alain JUILLET - Le 17/05/2010 IEMA4 Pour ne pas rester dans les banalités

Plus en détail

Liste des propositions :

Liste des propositions : Liste des propositions : Enseignants Propositions Hamid SKOURI Thèmes pour mémoires de licence : - Thème 1- Les entreprises familiales à Fès : management, gouvernance et challenges. (Etude de cas). - Thème

Plus en détail

MPI Activité.10 : Logique binaire Portes logiques

MPI Activité.10 : Logique binaire Portes logiques MPI Activité.10 : Logique binaire Portes logiques I. Introduction De nombreux domaines font appel aux circuits logiques de commutation : non seulement l'informatique, mais aussi les technologies de l'asservissement

Plus en détail

La Fonction Comptable des grandes entreprises. Résultats d enquête benchmarking. Contribuer à la performance de l entreprise. GT002 rev octobre 2002

La Fonction Comptable des grandes entreprises. Résultats d enquête benchmarking. Contribuer à la performance de l entreprise. GT002 rev octobre 2002 GT002 rev octobre 2002 La Fonction Comptable des grandes entreprises Résultats d enquête benchmarking Contribuer à la performance de l entreprise 153 rue de Courcelles 75817 Paris cedex 17 www.qualite-comptable.com

Plus en détail

Contexte organisationnel des ERP Séance 1 : Changements sur les tâches

Contexte organisationnel des ERP Séance 1 : Changements sur les tâches Contexte organisationnel des ERP Séance 1 : Changements sur les tâches Régis Meissonier Maître de Conférences École Polytechnique Université Montpellier II regis.meissonier@univ-montp2.fr Cas introductif

Plus en détail

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE

PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE PLACE DE L ASSURANCE PRIVEE DANS LA MISE EN ŒUVRE D UNE ASSURANCE MALADIE DITE UNIVERSELLE 37 ème Assemblée Générale de la FANAF YAOUDE (CAMEROUN) 23-28 Février 1 ASSURANCE MALADIE 2 - Un des principaux

Plus en détail

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013

BREVET DE TECHNICIEN SUPÉRIEUR TERTIAIRES SESSION 2013 La commission de choix de sujets a rédigé cette proposition de corrigé, à partir des enrichissements successifs apportés aux différents stades d élaboration et de contrôle des sujets. Pour autant, ce document

Plus en détail

Métiers de la Production/ Logistique

Métiers de la Production/ Logistique Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers de la Production/ Logistique R & D Production Ingénieur de recherche Responsable

Plus en détail

Ajustement mutuel, communautés humaines et intelligence collective

Ajustement mutuel, communautés humaines et intelligence collective 1 Ajustement mutuel, communautés humaines et intelligence collective Alain Dupuis Téluq (Université du Québec) Montréal Décembre 2002 Résumé Le principe de l ajustement mutuel est au fondement de bien

Plus en détail

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE

Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Sciences de Gestion Spécialité : GESTION ET FINANCE Classe de terminale de la série Sciences et Technologie du Management et de la Gestion I. PRESENTATION GENERALE 1. Les objectifs du programme Le système

Plus en détail

- Le Diagramme de Gantt. - Le Diagramme de Pert - La Méthode QQCQCCP - La Méthode MOSI - Cahier des charges fonctionnel

- Le Diagramme de Gantt. - Le Diagramme de Pert - La Méthode QQCQCCP - La Méthode MOSI - Cahier des charges fonctionnel Planifier le projet > Identifier les étapes > Organiser le projet > Identifier les étapes - Le Diagramme de Gantt > Organiser le projet - Le Diagramme de Pert - La Méthode QQCQCCP - La Méthode MOSI - Cahier

Plus en détail

Thème 5. Proposition d'une activité d'exploration élève : Micro-trottoir «Qu'est-ce qu'une entreprise?»

Thème 5. Proposition d'une activité d'exploration élève : Micro-trottoir «Qu'est-ce qu'une entreprise?» Thème 5. Proposition d'une activité d'exploration élève : Micro-trottoir «Qu'est-ce qu'une entreprise?» Propriétés Description Intitulé court Proposition d'une activité d'exploration élève de type Micro-trottoir

Plus en détail

CONTEXTE CONSTATS/D MISE EN ÉFIS. 1. Marketing et établissements Mise en

CONTEXTE CONSTATS/D MISE EN ÉFIS. 1. Marketing et établissements Mise en Marketing et formation continue UN MARKETING RELATIONNEL SUZANNE PELLETIER, JOURNÉES D ÉTUDE DE L ACDEAULF, RIMOUSKI (5 JUIN 2014) MISE EN CONTEXTE CONSTATS/D ÉFIS 1. Marketing et établissements Mise en

Plus en détail

CERTIFICATION DES INSTITUTIONS APPLIQUANT LE CASE MANAGEMENT CRITÈRES DE QUALITÉ ET INDICATEURS DE CONTRÔLE

CERTIFICATION DES INSTITUTIONS APPLIQUANT LE CASE MANAGEMENT CRITÈRES DE QUALITÉ ET INDICATEURS DE CONTRÔLE CERTIFICATION DES INSTITUTIONS APPLIQUANT LE CASE MANAGEMENT CRITÈRES DE QUALITÉ ET INDICATEURS DE CONTRÔLE 1 INTRODUCTION Le présent document a été rédigé par le groupe de travail «Certification» du Réseau

Plus en détail

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE

A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE Référentiel des Activités Professionnelles A1 GESTION DE LA RELATION AVEC LA CLIENTELE L assistant prend en charge l essentiel du processus administratif des ventes. Il met en place certaines actions de

Plus en détail

VI - REALISATION DE LA CENTRALE DES BILANS DES ENTREPRISES DE L UMOA (CBE/UMOA)

VI - REALISATION DE LA CENTRALE DES BILANS DES ENTREPRISES DE L UMOA (CBE/UMOA) VI - REALISATION DE LA CENTRALE DES BILANS DES ENTREPRISES DE L UMOA (CBE/UMOA) Dans le cadre de la mise en oeuvre de la réforme des Directives Générales de la Monnaie et du Crédit, adoptée en septembre

Plus en détail

MAÎTRISE DES ACHATS D INVESTISSEMENTS

MAÎTRISE DES ACHATS D INVESTISSEMENTS MAÎTRISE DES ACHATS D INVESTISSEMENTS Une enquête auprès des DAF et dirigeants de l industrie en France Paris, le 20 octobre 2010 Olaf de Hemmer International Business Manager Purchasing Department 16,

Plus en détail

Rencontres Estivales Form A Ouest août t 2001 - Limoges /CHEOPS Faire du Crédit Mutuel la banque de toutes les proximités s?

Rencontres Estivales Form A Ouest août t 2001 - Limoges /CHEOPS Faire du Crédit Mutuel la banque de toutes les proximités s? Rencontres Estivales Form A Ouest août t 2001 - Limoges /CHEOPS Faire du Crédit Mutuel la banque de toutes les proximités s? Une structure, un fonctionnement en réseau sont-ils des atouts pour le Crédit

Plus en détail

Les membres sont invités à prendre note des modifications proposées et à faire part de leurs observations éventuelles.

Les membres sont invités à prendre note des modifications proposées et à faire part de leurs observations éventuelles. COMMISSION EUROPÉENNE DG Marché intérieur INSTITUTIONS FINANCIÈRES Assurance MARKT/2519/02 FR Orig. EN Bruxelles, le 27 septembre 2002 MARKT/C2/MAAT D(2002) NOTE AUX MEMBRES DU SOUS-COMITE SOLVABILITE

Plus en détail