Compagnonnage en milieu de travail

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1 Programme d apprentissage en milieu de travail Compagnonnage en milieu de travail Outil de référence pour compagne et compagnon Technicien et technicienne de véhicules récréatifs

2 Note Dans le but d alléger le texte, le genre masculin a été utilisé pour certains termes à titre d épicène. Ce matériel de formation a été conçu et réalisé par la société INNOVATION CONSULTANTS Gamonnet Vachon Ltée pour la Commission des partenaires du marché du travail. Texte de référence Page 2

3 TABLE DES MATIÈRES Préambule... 4 TENIR COMPTE DU VOLET HUMAIN DU COMPAGNONNAGE... 5 Qu est-ce que le compagnonnage en milieu de travail... 6 Les trois dimensions du compagnonnage... 7 Comment le compagnonnage tiendra compte de la façon d apprendre des adultes... 8 EFFECTUER UNE ACTIVITÉ DE COMPAGNONNAGE ET TRANSMETTRE SES CONNAISSANCES PRATIQUES ET SES SAVOIR- FAIRE Les étapes clés d une activité de compagnonnage Comment écouter activement Comment questionner Comment s exprimer clairement Comment adapter le compagnonnage au niveau d autonomie de l apprenti Les trucs du métier PLANIFIER L APPRENTISSAGE Les étapes clés du compagnonnage DONNER DES RÉTROACTIONS LORS DE L'ÉVALUATION DU COMPAGNONNAGE ET DES APPRENTISSAGES ERREUR! SIGNET NON DEFINI. À quoi sert la rétroaction Les trois types de rétroaction Les conditions de succès d une rétroaction Les étapes clés de la rétroaction PRÉVENIR ET TRAITER LES SITUATIONS DE COMPAGNONNAGE DIFFICILES Comment établir et maintenir de bonnes relations Comment maintenir l efficacité au travail Texte de référence Page 3

4 PRÉAMBULE Le groupe de travail de la Commission des partenaires du marché du travail (CPMT) sur l apprentissage en milieu de travail a coordonné la préparation du présent document à partir de la norme professionnelle de compagnon. Cette démarche vise à améliorer ou à développer vos habiletés comme compagnon, à compléter les apprentissages requis pour réussir vos activités de compagnonnage et à obtenir un certificat de qualification professionnelle de compagnon. Emploi-Québec délivre un certificat de qualification professionnelle de compagnon à la personne qui : 1. est inscrite auprès d Emploi-Québec ; 2. maîtrise tous les éléments de compétence de la norme professionnelle du compagnon; 3. est une personne qualifiée dans le métier visé par l apprentissage ; 4. a agi comme compagnon auprès d un apprenti, pour aider celui-ci à compléter avec succès la démarche d apprentissage. Les six compétences du compagnon certifié Voici les six compétences inscrites dans la norme que vous devez maîtriser pour obtenir le certificat de qualification professionnelle : Être capable 1. d évaluer les compétences maîtrisées et les besoins d apprentissage 2. de planifier et d organiser la mise en œuvre du plan d apprentissage 3. de transmettre ses compétences 4. de soutenir l apprenti dans sa pratique et de suivre sa progression 5. d évaluer les compétences. 6. d interagir en milieu de travail. BONNE FORMATION! Texte de référence Page 4

5 TENIR COMPTE DU VOLET HUMAIN DU COMPAGNONNAGE

6 QU EST-CE QUE LE COMPAGNONNAGE EN MILIEU DE TRAVAIL Le compagnonnage en milieu de travail met en relation un compagnon et un apprenti. Ce mode d interaction vise à soutenir l apprenti dans le développement des compétences permettant de réaliser efficacement les tâches d une profession, d un métier ou d une fonction de travail. Accompagner un apprenti, c est l aider : à apprendre et à maîtriser l exercice des tâches ; à résoudre des problèmes ; à prendre des initiatives ; à développer sa confiance à atteindre des résultats ; à améliorer son rendement ; à contribuer au succès de l organisation ; à faire face au changement ; à satisfaire de nouvelles attentes ou à remplir de nouvelles responsabilités ; à se responsabiliser. Texte de référence Page 6

7 LES TROIS DIMENSIONS DU COMPAGNONNAGE Processus Climat Contenu A B C Toute interaction comporte trois dimensions : le processus ; le climat ; le contenu. Il en est également ainsi pour le compagnonnage. Aussi, le compagnon doit remplir trois fonctions, soit une fonction pour chaque dimension : encadrer le processus ; assurer un soutien relationnel ; transmettre son expertise. Texte de référence Page 7

8 COMMENT LE COMPAGNONNAGE TIENDRA COMPTE DE LA FAÇON D APPRENDRE DES ADULTES L adulte s engage et apprend s il perçoit, comprend et accepte les objectifs de la démarche. Conseils Les objectifs et le déroulement doivent être clairement énoncés au début du compagnonnage. L apprenti doit avoir l occasion d exprimer ses attentes ouvertement. Le compagnon doit, dès le début : ajuster le plan d apprentissage en fonction des attentes exprimées ; prévoir des moments, en cours de route, pour évaluer le plan d apprentissage et l ajuster. s il se trouve dans un climat de respect mutuel et de collaboration. Le compagnon doit, dès le début de la démarche : établir un climat de confiance en accueillant chaleureusement l apprenti ; favoriser l expression des appréhensions ; établir des règles de fonctionnement qui précisent les attitudes de chacun (respect, sincérité, ouverture...) et la participation attendue et qui autorisent l erreur... traiter l apprenti d égal à égal ; éviter les préjugés et les jugements hâtifs ; valoriser l expérience de l apprenti ; régler sur-le-champ tout conflit qui pourrait se manifester. s il agit. Le compagnon doit, tout au long de la démarche : présenter de l information et des processus pouvant être appliqués dans le travail ; laisser l apprenti s exercer au lieu de faire à sa place ; poser des questions plutôt que donner des réponses ; faire chercher les réponses dans les documents de référence, le cas échéant. Texte de référence Page 8

9 L adulte s engage et apprend si le compagnon sait utiliser les effets de la réussite et des difficultés. si la démarche d apprentissage est en relation directe avec son expérience et son quotidien. Conseils Le compagnon doit, tout au long de la démarche : créer les conditions pour que l apprenti expérimente des succès ; doser le niveau de difficulté en invitant, par exemple, l apprenti à effectuer une étape à la fois si la tâche est complexe ; présenter à l apprenti des occasions d explorer des situations et des idées nouvelles sans risque de sanctions à la suite d erreurs ; fournir à l apprenti des occasions de s autoévaluer ; évaluer, d une façon régulière, l atteinte des objectifs ; donner de la rétroaction en mettant l accent non pas sur la personne ou sur l erreur, mais bien sur les processus, les points forts et les solutions ; valoriser et encourager les bonnes performances. Le compagnon doit, tout au long de la démarche : vérifier le niveau d expérience de l apprenti avant d aborder toute activité de compagnonnage ; présenter de l information et des processus en lien avec ce que l apprenti sait ou fait déjà ; présenter des cas et des problèmes réels, des exemples reliés au travail de l apprenti ; utiliser un vocabulaire et un langage pertinents et adaptés à l apprenti. Texte de référence Page 9

10 EFFECTUER UNE ACTIVITÉ DE COMPAGNONNAGE ET TRANSMETTRE SES CONNAISSANCES PRATIQUES ET SES SAVOIR-FAIRE

11 LES ÉTAPES CLÉS D UNE ACTIVITÉ DE COMPAGNONNAGE PRÉPARER L ACTIVITÉ Préciser les objectifs d apprentissage. Préparer le contenu et le déroulement. Veiller à l organisation matérielle. LANCER L ACTIVITÉ GUIDER LES APPRENTISSAGES Accueillir l apprenti. Établir un climat de confiance et de collaboration Situer l activité dans le plan d apprentissage. Présenter les objectifs, le déroulement et le matériel. Faire préciser les besoins de l apprenti et son niveau d autonomie face à la tâche. Convenir des conditions de succès et obtenir l engagement. Effectuer les actions prévues, parmi les suivantes : Donner une explication. Faire une démonstration. Faire s exercer l apprenti. Corriger et valider. Observer, écouter et donner de la rétroaction. CONCLURE L ACTIVITÉ Évaluer les apprentissages et la satisfaction de l apprenti. Déterminer le suivi. Texte de référence Page 11

12 Préparer l activité Préciser les objectifs d apprentissage Répondre aux questions suivantes : Qu est-ce que l apprenti sait faire? Qu est-ce que l apprenti doit être capable de faire qu il ne sait pas faire? Se référer au carnet d apprentissage pour repérer les compétences à travailler. S il y a lieu, répondre aussi à ces autres questions : Qu est-ce que l apprenti doit savoir pour être capable d effectuer la tâche? Quelle attitude doit-il adopter? Respecter les règles de l art. Pour chaque objectif : Se situer du point de vue de la personne à accompagner; employer un verbe d action ; énoncer un résultat concret, unique et réaliste. Préparer le contenu et le déroulement Choisir les actions à réaliser et leur séquence en fonction des critères suivants : la nécessité de vérifier la maîtrise des compétences de l apprenti ; le type d objectif d apprentissage visé ; la complexité de la tâche à réaliser; le contexte de travail et les besoins de l entreprise. Texte de référence Page 12

13 Préparer vos explications, et pour cela : utiliser tout matériel existant qui est structuré et reconnu ; découper en étapes (points clés) ; mettre en ordre (logique, du général au particulier, du simple au complexe) ; détailler les points clés (des énoncés simples, des exemples concrets, des analogies pertinentes) ; formuler les questions à poser pour vérifier la compréhension des questions ouvertes ou de précision. Préparer vos démonstrations, et pour cela : effectuer la tâche et décortiquer les étapes ; noter les difficultés et les trucs du métier. Veiller à l organisation matérielle Réunir le matériel et vous assurer de sa disponibilité il s agit du carnet d apprentissage du métier, d aides à la tâche (processus, aide-mémoire, grille d observation, feuille de travail, tableau de nombres, table de décisions, arbre de décisions et liste de vérification), de documents de référence, d outils, d équipement... Vous assurer de disposer d un lieu de travail adéquat, si possible. Texte de référence Page 13

14 Lancer l activité Accueillir l apprenti et établir un climat de confiance et de collaboration. Situer l activité dans le plan d apprentissage. Présenter les objectifs, le déroulement et le matériel. Faire préciser les besoins de l apprenti et son niveau d autonomie face à la tâche. Convenir de conditions de succès et obtenir l engagement. Texte de référence Page 14

15 Guider les apprentissages Donner une explication Donner un aperçu des points clés à prendre en compte. Détailler chaque point clé. Vous assurer que l apprenti note vos explications, s il y a lieu. Vérifier la compréhension à l aide de questions ouvertes et de questions de précision. Faire une démonstration Employer les aides à la tâche existantes. Donner un aperçu de la tâche. Exécuter la tâche étape par étape, en indiquant les difficultés et les trucs du métier. Questionner l apprenti et répondre à ses questions. Texte de référence Page 15

16 Laisser s exercer l apprenti Inciter l emploi des aides à la tâche existantes. Le suivre quand il expérimente. Au besoin, faire exécuter la tâche étape par étape, puis en continu, si elle s avère complexe. Transformer les erreurs en occasions d apprendre. Laisser à l apprenti la possibilité de s exercer plusieurs fois (pas nécessairement le même jour) jusqu à la maîtrise de la tâche. Favoriser les occasions de faire vivre des succès. Corriger et valider Renforcer et corriger les résultats de l apprenti au fur et à mesure. Conseiller l apprenti en lui indiquant les trucs du métier lui faire noter ces trucs. Observer, écouter et donner de la rétroaction Porter attention aux résultats, ainsi qu aux comportements non verbaux. Vérifier vos perceptions. Questionner pour amener l apprenti à identifier ses réussites et ses difficultés. Texte de référence Page 16

17 Conclure l activité Évaluer les apprentissages et la satisfaction de l apprenti Donner votre rétroaction (renforcement, bilan ou rétroaction constructive) : demander à l apprenti ses points forts, et un ou deux points à améliorer ; utiliser les faits ; compléter ou corriger les points forts, et le ou les deux points à améliorer formulés par l apprenti ; présenter les points forts et un ou deux points à améliorer que vous avez observés ; faire découvrir ou souligner les conséquences ; aider l apprenti à trouver la cause de ses difficultés ; aider l apprenti à trouver des solutions. Demander à l apprenti ses commentaires sur l activité (p. ex. : «Comment as-tu aimé notre façon de procéder?»). Reconnaître les contributions. Déterminer le suivi Déterminer la ou les prochaines activités de compagnonnage. Responsabiliser l apprenti pour qu il prenne en charge ses besoins. Texte de référence Page 17

18 COMMENT ÉCOUTER ACTIVEMENT Encouragement «Hum, hum!» «Ah oui!» «OK!» Reformulation des émotions et des faits «Si je comprends bien...» Écho L autre : «Ça m est difficile.» Vous : «Difficile?» Texte de référence Page 18

19 COMMENT QUESTIONNER QUESTIONS FERMÉES Peux-tu? Veux-tu? Es-tu d accord? pour QUESTIONS DE PRÉCISION Où? Qui? Quand? Combien? pour QUESTIONS OUVERTES Quoi? Pourquoi? Comment? pour Décider Obtenir un engagement Valider une information Obtenir des détails Préciser une demande Écourter un échange Comprendre Vérifier ce que l autre comprend, pense, retient, ressent Faire participer Texte de référence Page 19

20 COMMENT S EXPRIMER CLAIREMENT Adapter son niveau de langage à celui de l apprenti. Utiliser les bons mots pour favoriser la rétention. Utiliser un langage simple et précis (éviter les «peut-être», «environ», «il me semble que», «selon moi...»). Ralentir son débit et articuler. ps eixrer amclimentre??? S exprimer clairement! Utiliser des expressions positives (p. ex. : «il faut» au lieu de «il ne faut pas»). Donner des exemples pour faire visualiser. Utiliser des trucs mnémotechniques pour faciliter la mémorisation (p. ex. : vacances : ). Utiliser des analogies, des images, des anecdotes. Parler à un rythme qui favorise la compréhension. Reformuler, faire reformuler. Rester centré sur l objectif de l activité de compagnonnage («En savoir beaucoup, en dire peu»). Texte de référence Page 20

21 COMMENT ADAPTER LE COMPAGNONNAGE AU NIVEAU D AUTONOMIE DE L APPRENTI Le compagnon doit aider l apprenti à améliorer son autonomie. Ainsi, le compagnon agira toujours de façon à amener progressivement l apprenti à plus d autonome et de responsabilité. Pour ce, le compagnon devra adapter ses interventions en fonction du niveau d autonomie de l apprenti. Le niveau d autonomie de l apprenti s estime à partir de son niveau de compétence et de son engagement. LA COMPÉTENCE la connaissance, les attitudes et les habiletés acquises par rapport à celles recherchées ; les expériences antérieures transférables dans la situation de travail. L ENGAGEMENT la motivation à assumer les tâches (intérêt, enthousiasme) ; la confiance (assurance, conviction de réussir). Texte de référence Page 21

22 Quatre niveaux d autonomie FAIBLE FORT Non compétent et non engagé Non compétent mais engagé Compétent mais non engagé Compétent et engagé Mode directif Mode participatif Texte de référence Page 22

23 LES TRUCS DU MÉTIER Faciliter le développement de l autonomie de l apprenti Adapter le compagnonnage au niveau d autonomie de l apprenant. Obtenir l engagement de l apprenti. Faire vivre des succès à l apprenti et l aider à apprendre de ses erreurs. Laisser l apprenti s exercer seul et favoriser son initiative. Laisser agir l apprenti au lieu de le faire à sa place Poser des questions ouvertes («quoi? pourquoi? comment?») au lieu de donner des réponses Faire trouver les réponses dans les documents de référence, le cas échéant. Faciliter les apprentissages Établir dès le départ une entente de compagnonnage (attentes respectives et résultats escomptés). Ajuster le plan d apprentissage aux besoins de l apprenti (compétences attendues, compétences réelles et écarts à combler), ainsi qu à ses attentes et à son profil, c est-à-dire à comment il aime apprendre. Expliquer, montrer et faire s exercer l apprenti une étape à la fois si la tâche s avère complexe (découper la tâche). Évaluer la compréhension par des questions ouvertes ou de précision. Doser l apprentissage pour qu il y ait toujours plus de deux tiers de mise en pratique pour moins d un tiers d explications théoriques. Texte de référence Page 23

24 Donner une rétroaction Souligner les points forts en premier. Échanger sur les difficultés rencontrées, les recommandations, les solutions et les trucs du métier. Insister davantage sur les points forts que sur les points à améliorer. Centrer la rétroaction sur les faits et non sur la personne. Éviter les mais, comme dans «C était bien, mais...». Faire participer activement l apprenti à la rétroaction afin de favoriser son autonomie. Texte de référence Page 24

25 PLANIFIER L APPRENTISSAGE

26 LES ÉTAPES CLÉS DU COMPAGNONNAGE PRÉPARER LE COMPAGNONNAGE Planifier l apprentissage (à l aide du carnet d apprentissage) Préparer les outils Prévoir les conditions de succès LANCER LE COMPAGNONNAGE Présenter le plan d apprentissage Établir une entente de compagnonnage Ajuster le plan d apprentissage DIRIGER LE COMPAGNONNAGE Effectuer les activités de compagnonnage Évaluer en cours de processus et s ajuster CONCLURE LE COMPAGNONNAGE Animer une rencontre bilan Formuler des recommandations Texte de référence Page 26

27 Préparer le compagnonnage Planifier l apprentissage Définir les compétences attendues (utiliser le carnet d apprentissage à cet effet). Préciser les besoins de l apprenti (compétences attendues, compétences réelles et écarts à combler) Préciser le profil de l apprenti, c est-à-dire comment il aime apprendre. Déterminer les objectifs, les contenus, les activités, les responsables, le matériel et les outils, les échéances et les ressources. Préciser les contributions du supérieur immédiat de l apprenti et des intervenants concernés. Préparer les outils Choisir et concevoir les outils (carnet d apprentissage, plan d apprentissage, grilles d observation, grilles d autoévaluation, dossier des apprentis). Ouvrir un dossier au nom de l apprenti pour y classer ses observations, ainsi que tout autre document pertinent. Prévoir les conditions de succès S assurer du soutien des supérieurs immédiats. Prévoir les impacts et anticiper les solutions. Motiver et impliquer les joueurs clés dans la démarche. S assurer de la disponibilité des ressources. Développer ses compétences de compagnon. Texte de référence Page 27

28 Lancer le compagnonnage Présenter le plan d apprentissage Établir un climat de confiance. Présenter le plan d apprentissage aux personnes concernées. Établir une entente de compagnonnage Clarifier les rôles et les responsabilités. Clarifier les attentes respectives (processus, climat et contenu). Convenir des règles de fonctionnement. Confirmer les engagements respectifs. Ajuster le plan d apprentissage Apporter les ajustements requis et en informer, au besoin, le supérieur immédiat de l apprenti. Texte de référence Page 28

29 Diriger le compagnonnage Effectuer les activités de compagnonnage Préparer l activité. Lancer l activité. Guider les apprentissages. Conclure l activité. Évaluer en cours de processus et s ajuster Évaluer l atteinte des objectifs. Faire le point sur le déroulement du compagnonnage (climat, processus et contenu). Transmettre l information pertinente aux personnes concernées. S ajuster. Texte de référence Page 29

30 Conclure le compagnonnage Animer une rencontre bilan Se préparer, lancer, diriger et conclure la rencontre bilan. Formuler des recommandations Prévoir, en concertation avec l apprenti, les améliorations à mettre en place la prochaine fois, considérant les réussites et les difficultés du compagnonnage. Texte de référence Page 30

31 DONNER DES RÉTROACTIONS LORS DE L ÉVALUATION DU COMPAGNONNAGE ET DES APPRENTISSAGES

32 À QUOI SERT LA RÉTROACTION La rétroaction est une occasion d échange. Elle a pour but de renforcer les apprentissages et les comportements satisfaisants et de corriger ceux qui ne le sont pas. Pour ce faire, la rétroaction doit : informer et guider, motiver et responsabiliser. Informer La rétroaction indique à la personne si elle a produit (ou non) les résultats souhaités ou si elle a adopté (ou non) les comportements attendus. Motiver La rétroaction encourage la personne à produire les résultats souhaités et à adopter les comportements attendus. Elle l incite à s interroger et à s autoévaluer. La meilleure rétroaction à donner est celle que l on aimerait recevoir. Texte de référence Page 32

33 LES TROIS TYPES DE RÉTROACTION On utilise trois types de rétroaction : le renforcement qui vise à encourager les réussites ; la rétroaction constructive qui vise à corriger un résultat ou un comportement insatisfaisants ; le bilan qui vise à reconnaître ce qui va bien et ce qui doit être amélioré. Le renforcement Pour stimuler le développement Le renforcement répond à un besoin important : la reconnaissance. Il permet d obtenir les résultats suivants : motiver l apprenti et l inciter à se dépasser ; faire que l apprenti prenne conscience de ses forces et développe sa confiance ; renforcer la relation entre l apprenti et le compagnon. N hésitez pas à pratiquer le renforcement en public ; vous stimulerez ainsi toute l équipe. Texte de référence Page 33

34 La rétroaction constructive Pour corriger un résultat incomplet ou un comportement insatisfaisants La rétroaction constructive sert essentiellement à aider l apprenti à corriger un résultat ou un comportement insatisfaisants. Ce type de rétroaction produit les résultats suivants : préciser à l apprenti ce que l on attend de lui ; trouver des solutions aux difficultés d apprentissage ; responsabiliser l apprenti par rapport à son développement ; motiver l apprenti à se dépasser ; renforcer la relation entre l apprenti et le compagnon. Texte de référence Page 34

35 Le bilan Pour faire le point Le bilan permet de faire le point sur les réussites et les difficultés à surmonter, ainsi que sur les solutions à mettre en œuvre. Ce type de rétroaction comprend les suivis, les bilans d étape et les bilans concluant le compagnonnage. Il permet d atteindre les résultats suivants : confirmer et valoriser les réussites ; préciser les points à améliorer ; situer l apprenti dans son plan d apprentissage ; stimuler la poursuite de son développement ; améliorer et renforcer la relation entre l apprenti et le compagnon. Texte de référence Page 35

36 LES CONDITIONS DE SUCCÈS D UNE RÉTROACTION Pour que la rétroaction donne les résultats visés, assurez-vous de la présence de certaines conditions. Conditions liées au climat Être prêt, ouvert, sincère et transparent. Écouter le point de vue de l autre et chercher à comprendre. Tenir compte des besoins de l autre et clarifier ses propres besoins. Éviter de moraliser ou de juger. Respecter ses engagements. Conditions liées au processus Se préparer à donner et à recevoir de la rétroaction. Préciser les objectifs de la rétroaction. Valider sa compréhension. Impliquer l autre dans la recherche de solution. Conclure par des solutions et des actions. Conditions liées au contenu Utiliser un langage clair. Noter les faits précis, sans jugement. Traiter les comportements, non la personne. Viser les comportements observables et modifiables. Donner l heure juste sur ce qui va et ce qui ne va pas. Identifier les effets tant positifs que négatifs. Texte de référence Page 36

37 LES ÉTAPES CLÉS DE LA RÉTROACTION PRÉPARER LA RENCONTRE Observer et noter les faits. Analyser les résultats atteints par rapport à ceux visés et les comportements adoptés par rapport à ceux attendus. Noter les effets positifs et négatifs (pour la personne, l équipe, l organisation, les clients). Communiquer au besoin avec le superviseur et l apprenti pour préparer le terrain. LANCER LA RENCONTRE Accueillir la personne. Préciser l objectif de la rétroaction et le déroulement. S entendre sur des conditions de succès et obtenir l adhésion. DIRIGER LA RENCONTRE Situer la rétroaction dans son contexte. Faire découvrir (ou présenter) les points forts et les effets positifs. Faire découvrir (ou présenter) les points à améliorer et les effets négatifs. Compléter ou corriger ce que la personne a identifié. Identifier ensemble les causes et les solutions possibles. Décider des prochaines actions. Vérifier la compréhension, l accord et l engagement. CONCLURE LA RENCONTRE Exprimer sa confiance, encourager et assurer de son soutien. Rappeler les prochaines actions et fixer une date de suivi. Texte de référence Page 37

38 PRÉVENIR ET TRAITER LES SITUATIONS DE COMPAGNONNAGE DIFFICILES

39 COMMENT ÉTABLIR ET MAINTENIR DE BONNES RELATIONS Apporter un soutien relationnel Accueillir l apprenti. Montrer de la considération pour sa personne. Montrer de l intérêt pour ses paroles. Être attentif aux besoins. Chercher à satisfaire les besoins ou, sinon, expliquer pourquoi vous ne le pouvez pas. Être attentif aux préoccupations et aux appréhensions. Gérer les règles du jeu. Dire et faire dire les faits et les émotions au fur et à mesure. Formuler et faire formuler les messages de façon acceptable. Vérifier les perceptions. Traiter les résistances de façon à les atténuer. Tabler sur ce qui facilite le compagnonnage. Faire vivre des succès. Donner plus de renforcement et de rétroaction constructive. Intervenir auprès de l entourage de l apprenti afin qu on l accueille bien. Texte de référence Page 39

40 COMMENT MAINTENIR L EFFICACITÉ AU TRAVAIL Gérer son stress Prendre les pauses prévues. Être attentif au stress vécu par l apprenti et au stress que l on vit soi-même, et dont les symptômes peuvent être une moins bonne écoute, un manque de concentration, des doutes, de la fatigue, de l impatience. Nommer la difficulté. Faire appel à ses trucs personnels. Trouver une solution ensemble. Régler les problèmes au fur et à mesure. Faire de part de vos besoins aux personnes concernées. Aller chercher de l aide s il y a lieu. S adapter aux imprévus S allouer plus de temps qu il ne faut. Prévoir des solutions de rechange. Analyser ses réactions face aux imprévus et les transformer au besoin pour en améliorer l efficacité. Texte de référence Page 40

41 Faire preuve de patience et de persévérance Ne pas hésiter à répéter autant que nécessaire. Prévoir des moments où l apprenti peut s exercer seul. Ne pas en faire plus que l apprenti. Ne pas vouloir pour l apprenti. Responsabiliser l apprenti par rapport aux difficultés qu il rencontre en l aidant à trouver et à mettre en œuvre des solutions, et non en les trouvant et les mettant en œuvre à sa place. Maintenir à jour ses connaissances Mettre à jour les documents de référence. Ne pas hésiter à innover. Partager ses trouvailles avec ses collègues. Texte de référence Page 41

42 .COM O-AUTO SM O-AUTO SM ASPMQ Enregistrée selon ISO 9001:2008 Le Comité sectoriel de main-d œuvre des services automobiles (CSMO-Auto) est un organisme à but non lucratif financé et soutenu par la Commission des partenaires du marché du travail (CPMT). Il a pour mission de favoriser une concertation des partenaires privés et COMITÉ SECTORIEL DEpublics de l industrie des DESla main-d œuvre et de services automobiles autour d un objectif commun demain-d'œuvre développement de AUTOMOBILES l emploi. Le CSMO-Auto intervient dans l adaptation desservices compétences de la main-d œuvre et dans la CSMO-AUTO.COM promotion de l emploi en fonction des besoins spécifiques de l industrie. Tél. : info@csmo-auto.com CS Ce document a été réalisé grâce à une aide financière de la Commission des partenaires du marché du travail. COMITÉ SECTORIEL DE MAIN-D'ŒUVRE DES SERVICES AUTOMOBILES CSMO-AUTO.COM C COMITÉ SECTORIEL DE MAIN-D'ŒUVRE DES SERVICES AUTOMOBILES

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