SAPM. Résumés des communications affichées. 11 Février 2017

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1 Troisième journée de la société algérienne de pathologie mammaire Résumés des communications affichées 11 Février 2017 Palais de la culture Moufdi Zacharia Alger

2 Membres du bureau de la Nadia Terki Présidente Benali Fatiha Vice-présidente Benahcen Karima Vice-présidente Kouchkar Amal Secrétaire générale Djennas Nadia Secrétaire générale Adjoint Bouffenara Assia Trésorière Ait kaci Hayet Trésorière adjoint Membres assesseurs Baghli Mohamed el-amine Benkhedda Ghania Chaher Nabila Cherid Mohamed cherif Comité scientifique Ait kaci Hayet Aityounes Sonia Benkhedda Ghania Latréche Batoul Boufennara Assia Chaher Nabila Djennas Nadia Kouchkar Amal Comité d organisation Ait kaci Hayet Boufennara Assia Cherid Mohamed cherif Djennas Nadia Kouchkar Amal Groussel Razika Benamira Imène Derbal Sara Hamidatou M.E Hafdallah Zineb

3 Programme de la troisième journée de la 1 er Séance Modérateurs : Pr Terki - Pr Belarbi - Pr Ouahioune - Pr Liani. 9h 9h10 9h10-9h45 Introduction Pr Terki Elimination des déchets d anatomie pathologique Mme Muriel Thirion, Cadre du Département de Pathologie des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg 9h45-10h00 Discussion 10h00 10h30 Séminaire de lames de pathologie mammaire (1) Pr Marie-Pierre Chenard, Chef du Département de Pathologie des Hôpitaux Universitaires de Strasbourg 10h30-10h40 10h40 11h10 Discussion Pause café, visite des posters. 2ème Séance Modérateurs : Pr Amir - Pr Benzidane- Pr Bedar - Dr Slimani 11h10 11h40 Séminaire de lames de pathologie mammaire (2) Pr Marie-Pierre Chenard, 11h40 12h20 Risque chimique et risque biologique en anatomie pathologique Pr Jean-Pierre Bellocq, AFAQAP 12h20-12h35 Discussion 12h35 14h Pause déjeuner

4 3ème Séance Modérateurs : Pr Benserai - Pr Bendissari - Pr Lamouti- Dr Djenas 14h 14h30 Séminaire de lames de pathologie mammaire (3) 14h30 15h Pr Marie-Pierre Chenard HER2 équivoque : impact des recommandations ASCO/CAP 2013 Pr Marie-Pierre Chenard 15h 15h40h Comment la démarche qualité fait-elle évoluer les pratiques diagnostiques en anatomie pathologique? 15h40-16h Pr Jean-Pierre Bellocq, AFAQAP Discussion

5 Liste des communications affichées 1- Carcinome papillaire du sein chez un homme : à propos d un cas. DIBOUN K, KALAIDJI-DIB M. Laboratoire d anatomie pathologique CHU Damerdji Tlemcen 2- Métastase thyroïdienne d'un carcinome mammaire: à propos d un cas. DIBOUN K, BELKHOUANE Z, KALAIDJI-DIB M. Laboratoire d anatomie pathologique CHU Damerdji Tlemcen 3-Tumeurs phyllodes du sein. N Benachenhou1,W Chetibi1, S Rabahi1, A Kouchkar2, N Benzidane1, A Bendib1. (1) Service de chirurgie«b» (sénologie).(2) Service d anatomo-pathologie.cpmc. 4- CARCINOME COLLOÏDE DU SEIN, A PROPOS DE 75 PATIENTES. N.Benachenhou, B. Ait Ouakli, S.Rabahi, A.Kouchkar, A. Bendib, N.Benzidane (1) Service de chirurgie«b» (sénologie).(2) Service d anatomo-pathologie.cpmc. 5- Le carcinome in situ mammaire à différenciation neuroendocrine. A propos d un cas. N Benachenhou (1), S Rebahi (1), A Kouchkar (2), B Ait Ouakli (1), N Benzidane (1). (1) Service de chirurgie«b» (sénologie).(2) Service d anatomo-pathologie.cpmc. 6- Tumeurs phyllode du sein. Expérience du service d anatomie et cytologie pathologiques CHU Tlemcen (Série de 22 cas) Zekri Dj, Yelles N, Kalaidji-Dib M. Service d anatomie et cytologie pathologiques CHU Tlemcen. 7-APPLICATION DU SEQUENCAGE HAUT DEBIT DANS LES CANCERS AVANCES (EXPERIENCE DE L UNITE DE BIOLOGIE MOLECULAIRE DANS LE CANCER COLORECTAL METASTAQUE) A.BOUMAHDI, ZL.BELLIL, H.AIT KACI, N.TERKI Service d anatomie et cytologie pathologique -CPMC 8- Kyste thymique à propos d un cas avec revue de la littérature M.Mezhoud, F.OUDJIDA, A.SLIMANI Service de pathologie CHU Béni Messous 9-Cellules immunitaires et cancer du sein triple négatif Nasri R. (1), Kouchkar A. (2), Ladjeroud A. (3), Terki N. (2), Chami S. (4), Hadjhamdi I. (4), Kaidi R. (4), Oumouna M (1)

6 (1) Université Dr. Yahia Farès de Médéa, Faculté des Sciences et de Technologie, Algérie. (2) Laboratoire d Anatomie Pathologique, (CPMC), Alger, Algérie. (3) Service d oncologie, (CPMC), Alger, Algérie. (4) Université Saad Dahlab de Blida, Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie, Algérie. 10-Carcinome mucineux du sein : à propos d une série de 13 cas S. Derbal ; A. Boufennara ; A. Kouchkar; N. Terki Service d'anatomie et de Cytologie Pathologiques CPMC Alger 11- Métastase choroïdienne d un carcinome mammaire Y.BENGOUNIA,ML.RAHOU,S.OUKRIF Service de radiothérapie oncologie de CPMC 12- Métastase rectale d un carcinome lobulaire infiltrant du sein. Cas clinique C.sedkaoui,H ammour, L. benali, D. merrad Service d oncologie médicale CHU TIZI OUZOU. 13- LOCALISATION CUTANEE SCROTALE ET OSSEUSE DE LA MALADIE DE DESTOMBES ROSAI DORFMAN. A PROPOS D UN CAS A.GHERBI (1), S.BOUCHENAFA (1), A.TIBOUK (1), M.C.BENREMOUGA (1), S.BOUMELIT (2), M.LOUNICI (2), A.KACIMI (1) (1) : Service d anatomie et de cytologie pathologique HCA (2) : Service d urologie HCA 14- RHABDOMYOME DE TYPE ADULTE, A propos d une observation N. BOUZID Z.LAMARI N. DJENAS Y. LAMOUTI Service d anatomie pathologique CHU NEFISSA HAMOUD «EX PARNET» 15- Caractéristiques morphologiques et moléculaires des carcinomes canalaire in situ du sein.a propos de 65 cas R.Groussel, A. Kouchkar, N. Terki Service d anatomie et de cytologie pathologiques. (CPMC). Alger 16- Carcinome mammaire avec différenciation apocrine pure : à propos de 03 cas. Y.BENALI ; A.KOUCHKAR ; F.Z.HADDOUNI ; R.BOUKHELOUA ; Y.BOUANIKA ; N.TERKI. Service d anatomie et cytologie pathologiques, centre Pierre et Marie Curie

7 17- CORRELATION ENTRE LE MARQUEUR TUMORAL CA125 ET LE TYPE HISTOLOGIQUE DU CANCER DE L'OVAIRE T.Attouche, F.Hadj-Arab, N. Habak, A.Taibi, A. Chikouche*, K.Bouzid. Service d oncologie médicale CPMC Alger *Service de biochimie CPMC Alger 18- Le syringocyctadénocarcinome papillifère une entité très rare. À propos d un cas M.E.Hamidatou, A.Attou, M.C.Cherid, N.Chaher, N.Terki Service d anatomie et cytologie pathologiques (CPMC), Alger 19- Les cancers du sein triple négatif : A propos d une série de 112 cas. N.Gherib, A.Kouchkar, I.El-Hafaia, S.Derbal, F.Z.Haddouni ; R.Boukheloua ; Y.Bouanika ; N.Terki. Service d anatomie et cytologie pathologiques (CPMC), Alger 20-Problématique de prise en charge d une double néoplasie synchrone ovarienne et mammaire: à propos d un cas M.HAMZAOUI,F.HADJARAB,A.TAIBI,K.BOUZID. service d oncologie médicale CPMC 21-Localisation pariétale thoracique rare d un sarcome utérin : à propos d un cas et revue de la littérature M.HAMZAOUI, F.HADJARAB, A.TAIBI, K.BOUZID. Service d oncologie médicale CPMC Alger 22-Tumeur rare vulvaire (Glande de Bartholin) avec revue de la littérature. A. Terra, F.HadjArab, A.Taibi, K.Bouzid Service d oncologie médicale CPMC Alger 23-Chimiothérapie néoadjuvante chez les patientes surexprimant HER2: à propos d une série de 70 cas Z.HAFDALLAH, A KOUCHKAR, N TERKI. Service d anatomie pathologique du centre Pierre et Marie Curie, Alger 24-TUMEUR PHYLLODE DE LOCALISATION VULVAIRE : A propos d UN CAS S.Lameche(1) B ;Latreche(1) ;W.Lamamri (2)A ;Slimani (1) (1) laboratoire d anatomie et de cytologie pathologiques du CHU Beni-Messous (2) Laboratoire d anatomie et de cytologie pathologique privé 25-Hamartome géant du Sein, à propos d un cas avec revue de la littérature

8 Y.Bouanika, A.Kouchkar,F.Chentouf. N.Terki. Service d anatomie pathologique du CPMC. 26- Plasmocytome mammaire à propos d un cas Dr.Goura;Dr.Cherid;Dr.Kouchkar;Pr.Terki Service d anatomie pathologique du CPMC 1- Carcinome papillaire du sein chez un homme : à propos d un cas. DIBOUN K, KALAIDJI-DIB M. Laboratoire d anatomie pathologique CHU Damerdji Tlemcen Introduction Le cancer du sein chez l'homme reste une maladie rare malgré l'augmentation récente de son incidence ces dernières années. Le cancer du sein chez l'homme a beaucoup de similitudes avec le cancer du sein chez la femme hormis quelques différences. C'est une maladie sousestimée et seuls quelques cas de carcinome papillaire invasif du sein chez l'homme ont été publiés dans la littérature, Les lésions papillaires du sein chez l'homme sont rares et comprennent un éventail de lésions allant de papillomes intracanalaires bénins, carcinomes papillaires intracanalaires aux carcinomes papillaires invasifs. Notre but est de définir l incidence générale du cancer du sein chez l homme, le terrain de risque sur lequel peut se développer cette maladie ainsi que ses caractéristiques moléculaires à travers une revue de la littérature Cas clinique Nous rapportons le cas d un homme âgé de 49 ans présentant depuis un an une masse indolore du quadrant supéro-externe du sein droit dont la biopsie a révélé un processus carcinomateux papillaire justifiant une mastectomie totale avec curage ganglionnaire axillaire droit. L étude microscopique de la tumeur a conclu à un carcinome papillaire invasif du sein classé pt2n0m0 avec immuno-marquage positive pour RO et RP et négatif pour HER2, l'actine musculaire lisse et la CK 5/6. A travers cette observation nous avons fait une revue de la littérature afin de dégager les éventuels facteurs de risques qui augment l incidence du cancer du sein chez l homme mais aussi de confronter son profil immunohistochimique et génétique au pronostic général de la maladie. Conclusion Le cancer du sein chez l homme a beaucoup de similitude avec celui observé chez la femme, néanmoins une hormono-dépendance plus fréquente et un pronostic actuellement globalement moins favorable, notamment en raison du retard diagnostic. Peu d études randomisées y sont consacrées, une information générale au sein de la population et des médecins s impose. Mots clés : tumeur du sein, Carcinome papillaire, cancer du sein de l'homme, 2- Métastase thyroïdienne d'un carcinome mammaire: à propos d un cas. DIBOUN K, BELKHOUANE Z, KALAIDJI-DIB M. Laboratoire d anatomie pathologique CHU Damerdji Tlemcen

9 Introduction : Les métastases intrathyroïdiennes sont peu fréquentes. Leur distinction clinique avec une tumeur maligne est difficile. Cas clinique : Nous rapportons le cas d'une femme de 60 ans qui a consulté pour une tuméfaction cervicale. La patiente avait subi une mastectomie droite 4 ans auparavant pour un cancer mammaire. La palpation des aires ganglionnaires cervicales était positive. L échographie cervicale mettait en évidence un goitre multinodulaire avec des adénopathies latérocervicales et retrosternales d allure métastatique. Une cytoponction thyroïdienne révélait un processus néoplasique malin de nature épithéliale avec métastases ganglionnaires. Une thyroïdectomie totale a été réalisée. L'examen histologique et immunohistochimique étaient en faveur d une métastase thyroïdienne d'un carcinome d origine mammaire avec à l histologie une prolifération tumorale maligne infiltrante de nature carcinomateuse, agencée en lobules, en amas, en cordons ainsi qu en comédocarcinomes, l examen immunohistochimique a été réalisé avec les marqueurs suivants: RO, RP, TTF-1, thyroglobuline et l HER2. Conclusion Le diagnostic de métastase thyroïdienne doit être évoqué devant une tuméfaction de la glande chez un patient ayant des antécédents carcinologiques et amené à pratiquer une cytoponction thyroïdienne. Le traitement de ces métastases thyroïdiennes se décide en fonction de l'évolution métastatique du cancer primitif. Mots clés :Métastase;Glande thyroïde; carcinome du sein. 3-Tumeurs phyllodes du sein. N Benachenhou1,W Chetibi1, S Rabahi1, A Kouchkar2, N Benzidane1, A Bendib1. (1) Service de chirurgie«b» (sénologie).(2) Service d anatomo-pathologie.cpmc. La tumeur phyllode est une entité particulière et rare en pathologie mammaire, représentée par une double prolifération, à la fois épithéliale glandulaire et conjonctive. Le but de notre travail est de souligner les particularités diagnostiques, thérapeutiques, histologiques ainsi que pronostiques de cette tumeur. Matériel et méthodes. Nous souhaitons, à travers notre étude portant sur 36 cas de tumeurs phyllodes colligées au service de sénologie du 1 ier janvier2012 au 31 décembre Les résultats de l étude étaient marqués par une incidence de tumeur phyllode de 0,81% par rapport à l ensemble des tumeurs du sein, l âge des patientes était compris entre 19 et 57 ans avec une moyenne de 38.5 ans(2), avec 19% de nullipares et 88,8% des patients étaient en période d activité génitale. Dans tous les cas, la mammographie (1) mettait en évidence une opacité hyperdense, bien limitée, sans microcalcifications. L échographie mettait en évidence une formation lobulée, hypoéchogène, héterogène pour l ensemble des patientes avec un renforcement postérieur pour 2 d entre elles. La cytoponction peut évoquer la présence d une tumeur phyllode dans 27.7 % des cas. Le délai moyen de la survenue de la tumeur avant la consultation était de 16 mois, et une taille tumorale moyenne de 7 cm. Le diagnostic histologique a trouvé une tumeur phyllode bénigne dans 88.8% des cas et une dégénérescence maligne dans 11.1% des cas(4). Le traitement était exclusivement chirurgical à base d une tumorectomie large dans 31 cas (86.1%), une

10 mastectomie simple dans 5 cas (13.8%). L évolution a été marquée par un cas de décès (2.7%) et 5 cas de récidives (13,8%). Dans les autres cas l évolution après 24 mois était bonne sans récidives, ni métastases. Discussions. A travers notre étude et les données de la littérature il ressort que le diagnostic de tumeur phyllode ne peut être fait que par l histologie, le traitement est exclusivement chirurgical et le pronostic dépend du type histologique et surtout des facteurs histopronostiques. Conclusions. La tumeur phyllode est une tumeur rare. Le traitement de référence est chirurgical. Il consiste en une tumorectomie élargie avec l obtention de marges de sécurité (supérieures à 10 mm). En cas de récidive locale, une reprise chirurgicale est réalisée par tumorectomie ou par mastectomie si la tumeur est de grande taille supérieure à 5 cm ou de grade 3. Le principal facteur pronostique est le caractère complet ou incomplet de l exérèse chirurgicale(3). Mots clés : Tumeur phyllode- sein- traitement- pronostic. 4- CARCINOME COLLOÏDE DU SEIN, A PROPOS DE 75 PATIENTES. N.Benachenhou, B. Ait Ouakli, S.Rabahi, A.Kouchkar, A. Bendib, N.Benzidane (1) Service de chirurgie«b» (sénologie).(2) Service d anatomo-pathologie.cpmc. Sujet de l étude : Le carcinome colloïde du sein est une forme histologique particulière caractérisée par la production de mucus extracellulaire. La forme pure, rarement rapportée est de meilleur pronostic que les autres types du cancer du sein. Objectif de notre étude était de préciser les particularités anatomocliniques, ainsi que les facteurs de pronostic du carcinome colloïde pur du sein. Patients et méthodes Nous rapportons une série de 75 cas colligés sur une période de 13 ans ( ) dans le service de sénologie du centre Pierre et Marie Curie d Alger. Une revue des dossiers cliniques avec étude immunohistochimique (récepteurs hormonaux, chromogranine, synaptophysine, Ki67, et Her-2/neu a été réalisée pour certains cas. Résultats Le carcinome colloïde pur du sein représentait 0,7 % de l ensemble des cancers du sein. L âge moyen de nos patientes était de 46 (23-86) ans. Au moment du diagnostic, les patientes présentaient des tumeurs localement avancées dans 27(36%) cas; aucune patiente n avait présenté de métastase selon la classification TNM. L échomammographie montrait une masse à contours réguliers dans 4 cas. Toutes les patientes ont été opérées, une chirurgie radicale a été pratiquée chez 56(74.7%) patientes. A l étude anatomopathologique, Le diamètre tumoral histologique moyen était de 4(0.5-13) cm, sachant qu il est > 3 cm chez 34(45.3%) patientes. Le curage ganglionnaire était négatif dans 49(65%) et il y avait une atteinte ganglionnaire <3N+ chez 9(12%) patientes, >3N+ chez 17(12.2%) patientes. Le grade II de SBR était retrouvé chez 49(65.3%) patientes suivi du grade I et grade III respectivement 20(26%) et 6(8%) patientes. Une différentiation neuroendocrine a été retrouvée dans un cas, toutes les tumeurs avaient présenté des récepteurs hormonaux positifs (estrogène et progestérone), l étude immunohistochimique était négative pour les autres

11 anticorps. La durée moyenne de suivi était de 78 mois ; l évolution a été marquée par la survenue de métastases dans 6 cas. Conclusion Les carcinomes colloïdes purs du sein constituent une entité morphologique particulière qui mérite d être individualisée ; la différenciation neuroendocrine de ces tumeurs doit être recherchée. Leur pronostic est relativement favorable. 5- Le carcinome in situ mammaire à différenciation neuroendocrine. A propos d un cas. N Benachenhou (1), S Rebahi (1), A Kouchkar (2), B Ait Ouakli (1), N Benzidane (1). (1) Service de chirurgie«b» (sénologie).(2) Service d anatomo-pathologie.cpmc. Introduction : Le carcinome neuroendocrine mammaire primitif est rare, représentant 0,5% de tous les carcinomes mammaires (1). Le carcinome in situ neuroendocrine est une variété rare de carcinome canalaire in situ, représentant 6,8 % de tous les carcinomes in situ (2). Objectif: Nous rapportons un cas de carcinome in situ neuroendocrine mammaire et en discutons les particularités anatomocliniques. Matériels et méthodes: Patiente de 76 ans présentant un nodule palpable à l union des quadrants inférieurs du sein gauche. Mammographie: opacité suspecte. Echographie: lésion hypoéchogéne 20 mm. ACR4. Des microbiopsies sont réalisées. Résultats: tumeur intracanalaire faite de massifs de petites cellules à cytoplasme finement granulaire, parfois creusés de lumières glanduliformes. Les cellules tumorales expriment intensément la chromogranine et la synaptophysine. Elles sont entourées d une couche myoépithéliale p63+. Forte expression des récepteurs hormonaux. Il s agit d un carcinome in situ neuroendocrine. Tumorectomie: nodule 35 mm, sans contingent infiltrant;4 ganglions sentinelles libres. Radiothérapie. Au cours de la surveillance, découverte à un an, d un nodule mammaire droit: carcinome canalaire infiltrant grade II, 20 mm, sans contingent neuroendocrine sur tumorectomie. Radiothérapie hypofractionnée puis traitement par Femara. Bilan actuel normal à 8 mois. Discussion La série la plus importante de la littérature collige 9 cas de carcinome in situ neuroendocrine mamaire (3). Dans notre observation, l âge de la patiente (76 ans) est supérieur à l âge moyen signalé: 72 ans (4). Le signe clinique principal est un écoulement hémorragique mamelonnaire (3), une masse palpable, comme dans notre observation, étant moins fréquente. La tumeur est unique sauf dans deux cas : elle est alors bilatérale synchrone (2) ou bifocale unilatérale (4). Les données de l imagerie ne sont pas spécifiques. Le diagnostic repose sur la biopsie en particulier grâce à l immunohistochimie qui montre une forte expression des marqueurs neuroendocrines. Le diagnostic différentiel se pose surtout avec un carcinome canalaire in situ, un carcinome neuroendocrine infiltrant, un carcinome infiltrant adénoide kystique dans sa variante solide. Le diagnostic définitif ne peut se faire que sur tumorectomie qui confirme l absence de composante infiltrante. Evolution: bon pronostic avec un recul moyen de 7 ans (3).

12 Conclusion : les études concernant ce type de carcinome mammaire sont rares. Des séries plus importantes permettraient de mieux connaître son histogénèse. 6- Tumeurs phyllode du sein. Expérience du service d anatomie et cytologie pathologiques CHU Tlemcen (Série de 22 cas) Zekri Dj, Yelles N, Kalaidji-Dib M. Service d anatomie et cytologie pathologiques CHU Tlemcen. Introduction : Les tumeurs phyllodes du sein constituent une entité moins fréquente des tumeurs mammaires (elle représente 1% des tumeurs mammaires) ; Elle est plus courante chez les femmes jeunes de moins de 50 ans. Matériel et méthodes : Nous rapportons 22 cas colligés entre janvier 2014 et décembre Pour chaque cas nous avons recueilli les renseignements suivants : âge, la taille, données radiologiques et présentation clinique. Résultats : la moyenne d âge est de 38ans, 12 cas soit 54% ont des ACR (score 4), une légère prédominance du sein gauche 11 cas soit 50% avec plusieurs cas de bilatéralité. La présentation clinique était sous forme d un nodule mammaire dans la majorité des cas de croissance rapide associe a une mastodynie. La taille tumorale moyenne est de 43mm. Le type histologique était bénin dans 16 cas (73%), borderline dans 04 cas (18%) avec 02 cas sarcome phyllode (09%). Nous avons noté une association avec carcinome canalaire in situ dans 01cas, avec carcinome de type non spécifique dans 02cas, avec un fibroadénome dans 02 cas, avec mastose dans 03 cas. Conclusion : Les tumeurs Phyllodes du sein sont rares, touchent surtout les femmes jeunes. Leur diagnostic est essentiellement histologique, et leur traitement est surtout chirurgical. Le pronostic est basé sur les caractères histologiques de la tumeur et sur la qualité d exérèse tumorale. 7-APPLICATION DU SEQUENCAGE HAUT DEBIT DANS LES CANCERS AVANCES (EXPERIENCE DE L UNITE DE BIOLOGIE MOLECULAIRE DANS LE CANCER COLORECTAL METASTAQUE) A.BOUMAHDI, ZL.BELLIL, H.AIT KACI, N.TERKI Service d anatomie et cytologie pathologique -CPMC Introduction : La biologie moléculaire des tumeurs est aujourd'hui un atout majeur pour le diagnostic, le choix et la surveillance du traitement d'un nombre croissant de cancers. Les technologies de haut débit font partie des principales innovations techniques en biologie moléculaire ces dix dernières années. Le séquençage haut débit, dit nouvelle génération ou Next-GenrationSequencing (NGS) permet en un temps réduit de séquencer des millions de fragments d ADN en parallèle. La mise en évidence de nombreuses altérations géniques et chromosomiques variables d'une tumeur à l'autre a permis de développer des thérapies anticancéreuses dites ciblées.

13 Objectif : Notre travail présente l application des techniques de séquençage haut débit NGS dans le traitement des cancers (expérience de l unité de biologie moléculaire NGS dans le cancer colorectal métastatique CCRm au sein du service Anatomie et cytologie pathologique). Matériel et méthodes : Dans le service d anatomie et cytologie pathologique du Centre Pierre et Marie curie nous avons mis en place une plateforme de biologie moléculaire qui dispose des technologies nécessaires pour la réalisation des tests moléculaires indispensable à la prescription de la thérapie ciblée celle-ci consisteà l extraction et purification de l ADNà partir de tissus frais ou fixé au formol tamponné, une Polymerase Chaine Reaction (PCR) en temps réel, hybridation et amplification, électrophorèse sur gel d agarose, quantification et dénaturation,séquençage NGS MiSeqDx illumina et analyse des résultats par logiciel bioinformatique variant studio. Nous réalisons au sein de notre laboratoire pour tout CCRm la recherche de mutations des gènes KRAS et NRAS portant sur l'exon 2 (codons 12 et 13), l'exon 3 (codons 59 et 61) et l'exon 4 (codons 117 et 146). Résultats : Notre étude comporte une série de 133 cas de cancer colorectal métastasique. L analyse des mutations montre les résultats suivants : 59% RAS Sauvage et 41% RAS muté. L étude des biomarqueurs montre :34% KRAS muté ; 08% NRAS muté ; 06%PIK3CA muté ; 03% BRAF muté ; 03%PTEN muté; 03%SMAD4 muté ; 00% Akit1 muté. Deux facteurs indispensables à la réalisation des tests de biologie moléculaire par NGS sont: -le pourcentage de cellules tumorales dans le prélèvement adressé ( 20%) soit sur un prélèvement biopsique ou sur une pièce de résection colorectale et L ADN extrait qui doit répondre aux normes de qualité et de quantité (ΔCq<4 à respecter et une concentration d ADN de 4 nm pour un meilleur séquençage). -Apres amplification par PCR les bandes d ADN sont observé sous lampe UV afin de confirmer que les Library amplifiée présentent la même taille 300pb. Un panel de 26 gènes est analysé : KRAS, NRAS, BRAF, EGFR, PTEN, TP53, MSH6, ALK, KIT, PICK3CA, SMAD4, CDH1, MET, FOXL2, FGFR2, ; par logiciel bioinformatique avec data-base du réseau illumina. Conclusion : La découverte de nouvelles cibles moléculaires et le développement de nouvelles thérapies nécessitent un nombre croissant d analyses moléculaires basées sur la recherche de mutations de gènes impliquées dans la carcinogenèse : le cancer colorectal, le cancer du sein et le cancer du poumon. La thérapie ciblée représente alors une révolution dans la prise en charge thérapeutique des cancers. Mots clés : Biologie Moléculaire, Cancer colorectal métastatique, Next Generation Sequencing (NGS), Thérapie ciblée. 8- Kyste thymique à propos d un cas avec revue de la littérature M.Mezhoud, F.Oudjida, A.Slimani. Service de pathologie CHU Béni Messous Introduction :

14 Parmi les tumeurs primitives du médiastin ; existe les kystes thymiques, il y en a deux types : Le kyste congénital, présent à la naissance et le kyste acquis qui se développe durant la vie de la personne. Les kystes thymiques sont des rares tumeurs du cou et du médiastin antérieur La plupart des kystes thymiques ne causent aucun symptôme. On les découvre habituellement par hasard lorsque la personne a un examen d imagerie pour d autres raisons. Matériels et méthodes : Patiente âgée de 38 ans se plaint de myasthénie, le diagnostic radiologique porté est celui d un thymome, la patiente fût opérée pour tumeur du thymus. Résultats : L examen anatomopathologique conclut à un kyste thymique. Ce type de lésions peut être associé à un lymphome qu il faut rechercher par examen minutieux de la pièce opératoire. Conclusion : En l absence de marqueur spécifique et de diagnostic de certitude, seul l examen anatomopathologique après exérèse chirurgicale permet de préciser le diagnostic des kystes thymiques. 9-Cellules immunitaires et cancer du sein triple négatif Nasri R. (1), Kouchkar A. (2), Ladjeroud A. (3), Terki N. (2), Chami S. (4), Hadjhamdi I. (4), Kaidi R. (4), Oumouna M (1) (1) Université Dr. Yahia Farès de Médéa, Faculté des Sciences et de Technologie, Algérie. (2) Laboratoire d Anatomie Pathologique, (CPMC), Alger, Algérie. (3) Service d oncologie, (CPMC), Alger, Algérie. (4) Université Saad Dahlab de Blida, Faculté des Sciences de la Nature et de la Vie, Algérie. Introduction et objectif : La notion de «cancer du sein» relève d une nomenclature générique qui fait référence à tout un ensemble de proliférations néoplasiques de la glande mammaire qui diffèrent tant du point de vue histologique qu en ce qui concerne leur comportement évolutif. Les cancers du sein triples négatifs sont définis comme des tumeurs dépourvues d'expression de récepteur d'œstrogène (RE), le récepteur de la progestérone (RP), et la surexpression de HER2. Ils sont généralement de hauts grades mitotiques, d une taille tumorale plus grande, et ils montrent un profil d'expression plus agressif avec une faible expression de Bcl-2, mais de forte expression de p53 et Ki67. La chimiothérapie néoadjuvante ou adjuvante est le seul traitement systémique validé dans les cancers du sein triples négatifs. L objectif principal de notre étude vise à évaluer le niveau de l infiltrat inflammatoire au niveau des tumeurs triples négatives. Pour ce faire, nous avons travaillé sur des prélèvements biopsiques de patientes prétraitées par chimiothérapie néo-adjuvante, ainsi que des pièces opératoires obtenues après traitement des patientes. Ceci afin de nous permettre de corréler nos résultats avec l effet de la chimiothérapie néo-adjuvante Matériel et méthodes : Cette étude est réalisée au niveau du laboratoire d anatomie pathologique du d Alger. Le travail a été effectué sur des prélèvements de microbiopsies et des pièces opératoires de dix patientes atteintes d un cancer du sein triple négatif traitées par chimiothérapie néo adjuvante. Cinq avec reliquat tumoral et Cinq sans reliquat tumoral. A partir de microbiopsies mammaires, nous avons réalisé une étude histologique pour en déterminer le type, le grade SBR et les récepteurs hormonaux. Nous avons évalué le taux de réponse pathologique selon la classification de Sataloff. Nous avons examiné les lames issues de la coloration hématoxyline-éosine (HE), afin de quantifier

15 l infiltrat des cellules inflammatoires et leur disposition dans le tissu tumoral à partir des microbiopsies et des pièces opératoires. Une étude immunohistochimique a été réaliséé sur des prélèvements de microbiopsies en utilisant des anticorps anti-cd3, anti-cd4, anti-cd8 et anti-cd20. L appréciation de cet infiltrat (cellules immunes en périphérie, dans le stroma tumoral, et en intra-tumoral) s est faite via une méthode semi-quantitative, qui nous a permis de reveler quatre niveaux de l infiltrat (allant du plus faible au plus intense). Résultats et discussion : En périphérie des micro-biopsies : 60% des patientes avec reliquat tumoral ont un niveau de l infiltrat 1+, et 20% de niveau % des patientes sans reliquat tumoral ont un niveau de l infiltrat réparti avec égalité entre les niveaux 1+ et 2+, et 20% de niveau 3+. Au niveau du stroma des micro-biopsies : 80% des patientes avec reliquat tumoral ont un niveau de l infiltrat reparti avec egalité entre 0 et 1+ et de 20% de niveau % des patientes sans reliquat tumoral ont un niveau de l infiltrat 1+, 20% de niveau 2+ et 20% de niveau 0. Les taux de l infiltrat inflammatoire sur les microbiopsies et sur les pièces opératoires chez les patientes avec reliquat tumoral sont globalement identiques, concernant la périphérie et le stroma. L étude de la distribution des lymphocytes CD3, CD4, CD8 et CD20 au niveau des microbiopsies chez les patientes avec et sans reliquat tumoral, nous a permis de constater un taux de l infiltrat plus important au niveau des microbiopsies chez les patientes sans reliquat tumoral en situation périphérique et stromale. Conclusion : Notre étude est une modeste contribution visant à rechercher une corrélation entre le niveau de l infiltrat lymphocytaire et la réponse à la chimiothérapie néoadjuvante, chez des patientes atteintes du cancer du sein triple négatif. Malgré un faible effectif, nous avons constaté que le traitement avait un effet activateur de l immunité anti-tumorale. Cette immunité était principalement médiée par les lymphocytes T. De plus, la réponse pathologique augmentait en cas d un niveau élevé de l infiltrat lymphocytaire. Cette démarche pourrait constituait un facteur intéressant pouvant orienter l approche thérapeutique. Mots clés : Cancer du sein, Triple négatif, Infiltrat lymphocytaire, Chimiothérapie néoadjuvante 10-Carcinome mucineux du sein : à propos d une série de 13 cas S. Derbal ; A. Boufennara ; A. Kouchkar; N. Terki Service d'anatomie et de Cytologie Pathologiques CPMC Alger Introduction : Le carcinome mucineux du sein, ou carcinome colloïde muqueux (CCM), est une variante histologique rare du cancer du sein ; décrit pour la première fois en Il est défini, selon l Organisation mondiale de la santé (OMS), par la présence de mucus extracellulaire dans lequel baignent des cellules tumorales muco-sécrétantes. Le CCM du sein est actuellement sub-divisé en deux variantes : 1 le CCM «pur», dans lequel la tumeur est constituée exclusivement de cellules tumorales muco-sécrétantes entourées de plages étendues de mucus extracellulaire. 2 le CCM «mixte», caractérisé par la présence simultanée au sein de la tumeur de foyers de carcinomes infiltrants conventionnels dépourvus de sécrétions mucoïdes. Ces deux variantes ont un profil évolutif très variable,qu il s agit d une forme pure ou mixte. Matériels et méthodes : Il s agit d une étude rétrospective portant sur les cas de CCM purs du sein diagnostiqués durant une période de deux ans ( ) dans le service d anatomie et de cytologie pathologiques du centre Pierre et Marie Curie d Alger. 13 cas de CCM sur un total de 2145 cas de cancers infiltrants du sein seront étudiés. Pour chaque cas, nous avons déterminé la taille tumoral, le grade SBR, le nombre de ganglions métastatiques et le taux

16 d expression des récepteurs hormonaux ainsi que l éxpression de l HER-2 par immunohistochimie. Résultats : l âge de nos patientes varie entre 33et 83 ans avec une moyenne de 50 ans. A l étude anatomo-pathologique des pièces opératoires; les tumeurs mesuraient entre (1Χ1.5Χ1.5) cm et (12Χ8.5Χ2.5) cm avec une moyenne de 3.6 cm. L analyse morphologique a mis en évidence des amas et petites glandes baignant dans de la mucine extracellulaire, séparés par des cloisons fibreuses grêles. Le pléomorphisme nucléaire est modéré et rares mitoses. 10 cas sur 13 des tumeurs étaient de grade II de SBR. L envahissement ganglionnaire est présent dans 6 cas sur 13 avec 3cas de ruptures capsulaires. Les récepteurs hormonaux sont positifs et l absence de surexpression de l HER-2 dans la majorité des cas. Discussion : Le CCM du sein représente 1 à 7 % de l ensemble des tumeurs malignes mammaires. Le CCM survient chez les femmes ménopausées au delà de 60 ans. Le diagnostic de malignité est rarement suspecté à l échographie ou à la mammographie qui montrent typiquement un nodule lobulé, circonscrit, à limites plus ou moins bien définies, sans micro-calcifications. La taille tumorale ne constitue pas un facteur pronostic dans les CCM purs, pouvant s expliquer par un mucus abondant majorant cette taille. Le CCM pur exprime le plus souvent les récepteurs hormonaux, avec souvent une expression nucléaire forte et diffuse de ces derniers. Ce taux va respectivement de 91 à 100 % selon les auteurs. Par contre, la présence de certains marqueurs biologiques, comme l expression du récepteur HER-2, pourrait expliquer en partie ce caractère inhabituellement agressif du CCM pur. La présence de métastases ganglionnaires représente le seul facteur péjoratif du CCM pur. Certains auteurs considèrent que la présence de métastases ganglionnaires est fortement liée à la présence d une composante carcinomateuse non mucineuse associée souvent ignorée par un mauvais échantillonnage en macroscopie; ces mêmes auteurs préconisent de ne pas faire de curage axillaire dans les CCM purs ; d où l intérêt de la technique du ganglion sentinelle, qui permet d ajuster au mieux la présence de métastases ganglionnaires. Conclusion : Le CCM reste de bon pronostic, qui justifie un traitement conservateur associé à la technique du ganglion sentinelle. Il n y a pas de consensus thérapeutique particulier pour les carcinomes mucineux, la chirurgie est toujours indiquée. La radiothérapie fait partie intégrante du traitement et la chimiothérapie de ces derniers a les mêmes indications que les autres carcinomes du sein. L hormonothérapie est indiquée à chaque fois que les récepteurs hormonaux sont positifs. La survie du carcinome mucineux est nettement supérieure aux autres types de cancers mammaires. La survie à 10 ans passe de 91 % dans la forme pure, à 46 % dans la forme mixte selon des études. La quantité du mucus, la cellularité, la taille tumorale et la composante intracanalaire sont des facteurs à impact pronostique incertain. Les rechutes tardives aussi bien locorégionales qu à distance peuvent survenir, imposant une surveillance à moyen et long terme. 11- Métastase choroïdienne d un carcinome mammaire Y.BENGOUNIA,ML.RAHOU,S.OUKRIF Service de radiothérapie oncologie de CPMC Introduction : Les métastases choroïdiennes sont des tumeurs malignes oculaire plus fréquentes que les mélanomes de la choroide, mais souvent diagnostiquées à un stade tardif

17 .Leur fréquence reste sous estimée par l absence de leur recherche systématique. D après les dernières publications, elle serait de l ordre de 10 a 38 %. Matériels et Méthodes : Nous rapportons le cas d une patiente âgée de 46 ans, qui a présenté des métastases choroïdiennes bilatérales révélatrices d un carcinome mammaire. Observations : Il s agit d une patiente âgée de 46 ans, mère de 3 enfants, sans antécédents médico-chirurgicaux, en très bon état général, et qui a consulté pour une baisse de l acuité visuelle de l œil gauche évoluant depuis 1 mois, suivie de troubles visuels très gênants au niveau du même œil, qui a motivé la patiente a consulté. Elle se plaignait d aucune symptomatologie du coté droit. Résultat : Tomographie de cohérence optique(oct) : A mis en évidence un Soulèvement du profil rétinien a cause d une masse d allure choroïdienne volumineuse, ayant fait bénéficié à la patiente 4 séances de laser. L angiographie : A mis en évidence de multiples taches blanches rétiniennes maculaires, hypo-fluorescente aux temps précoces avec une hyper fluorescence progressives ; on note la présence d un aspect de pin points aux temps tardifs. L Echographie de l œil gauche: objective une Masse choroïdienne homogène bilobée maculaire mesurant 5*14 mm TDM du crane et de l orbite : Epaississement tissulaire a développement intra vitréen irrégulier de la paroi postérieur du globe oculaire gauche de 5*22*25 mm, sans lésion cérébrale. Mammographie: A mis en évidence une Masse du quadrant supero externe gauche avec rétraction cutanée de 38*30 mm classée ACR 5 Micro-Biopsie mammaire:conclue à un Carcinome Lobulaire Infiltrant Grade II de SBR. L IHC: RH+ HER + KI67=40%. TDM thoraco abdomino pelvienne :a montré de multiples lésions évocatrices de métastases pulmonaires et ganglionnaires médiastino hilaire. Scintigraphie osseuse : Une discrète hétérogénéité de fixation au niveau du tiers inferieur du sternum et rachis cervico dorsal en faveur de localisation secondaire osseuse. Le diagnostic de métastases choroïdiennes lie a un carcinome lobulaire infiltrant mammaire associe a des localisations secondaires pulmonaire, ganglionnaire et osseuses. On a décide une irradiation oculaire externe au niveau de l œil gauche par une radiothérapie aux photons a raison de 30Gy s en 10 séances pendant 12 jours Discussion : Il ressort de notre étude que les métastases choroïdiennes peuvent être révélatrices d un cancer latent. L origine mammaire était évoquée en première intention en élargissant notre bilan (mammographie et micro biopsie) avec bilan d extension (TDM TAP, scintigraphie osseuse).a travers les données de la littérature, les métastases choroïdiennes révélatrices d un cancer primitif sont souvent asymptomatiques au début. Lorsque elles se manifestent, le plus souvent s est un stade terminal des néoplasie et coexistent avec des métastases d autres organes dans 60% a 91% des cas. Dans 35% des cas, l origine du primitif est pulmonaire, le cancer du sein ne représente que 7% des cas, au niveau digestif 1%, rénal (moins de 1%). A ce stade le pronostic vital est sévère, le décès survient quelques semaines après. Les métastases choroïdiennes cliniquement se traduisent par des signes d appels dominés par des métamorphopsies et baisse de l acuité visuelle en cas d atteinte maculo-papillaire. Elles sont unilatérales dans 64% et bilatérales dans 36%.

18 Conclusion : Les métastases choroïdiennes révélatrices d un cancer primitif sont rares. Elles s inscrivent souvent dans le cadre de néoplasie généralisée. Elles sont de mauvais pronostic. Sur le plan fonctionnel et vital la recherche du primitif doit être faites le plus rapidement possible afin de permettre une prise en charge thérapeutique, dominée surtout par une radiothérapie oculaire pour limiter l extension tumorale. 12- Métastase rectale d un carcinome lobulaire infiltrant du sein. Cas clinique C.Sedkaoui, H. Ammour, L. Benali, D. Merrad Service d oncologie médicale CHU TIZI OUZOU. Introduction : carcinome lobulaire infiltrant représente 4 à 10% des cancers du sein Son diagnostic clinique et radiologique est difficile, il métastase le plus souvent au niveau du tractus digestif, il est plus fréquemment bilatéral, son pronostic est différent de celui des carcinomes canalaires. Matériel et méthode: c est la patiente A.L, âgée de 46 ans célibataires suivis à notre service depuis le mois de juin 2014 pour un carcinome lobulaire infiltrant du sein bilatéral révélé par des rectorragies dont la colonoscopie plus biopsie concluent une localisation secondaire d une néoplasie mammaire. L examen clinique : patiente en moyen état général PS 2 avec des signes cliniques à type de rectorragies, asthénie et pâleur cutanéo muqueuse et des signes biologiques à type d une bi cytopénie (anémie et thrombopénie).vu son état général altéré et la perturbation de son bilan biologique anémie et thrombopénie ayant nécessité plusieurs transfusions sanguines on a décidé de la mettre sous chimiothérapie orale : capécitabine à doses réduites. Resultats : au bout de 03 cures on a constaté une amélioration clinique et biologique d où la décision d augmenter les doses de capécitabine progressivement. Conclusion : malade vivante à ce jour avec une bonne réponse clinique, biologique et une stabilité radiologique soit 18 mois de survie globale. 13- LOCALISATION CUTANEE SCROTALE ET OSSEUSE DE LA MALADIE DE DESTOMBES ROSAI DORFMAN. A PROPOS D UN CAS A.GHERBI (1), S.BOUCHENAFA (1), A.TIBOUK (1), M.C.BENREMOUGA (1), S.BOUMELIT (2), M.LOUNICI (2), A.KACIMI (1) (1) : Service d anatomie et de cytologie pathologique HCA (2) : Service d urologie HCA INTRODUCTION : La maladie de DESTOMBE-ROSAI-DORFMAN est une histiocytose non langheransienne bénigne qui peut se voir à tout âge, d étiologie inconnue, elle serait en rapport avec un désordre lymphohistiocytaire qui entraine une prolifération histiocytaire, atteignant surtout l adulte jeune et l enfant avec une légère prédominance masculine, de siège ubiquitaire mais dominée par la localisation ganglionnaire.

19 La particularité de cette observation est la multiplicité des atteintes extra-ganglionnaires de cette maladie. OBSERVATION : Nous rapportons le cas d un patient âgé de 30ans sans antécédents médicaux et chirurgicaux particuliers, qui consulte pour des fessalgies gauches mécaniques d installation progressive avec apparition d une tuméfaction scrotale gauche Une TDM est réalisée objective de multiples lésions ostéolytiques (d allure secondaires) de l aile iliaque gauche, du cotyle droit, et du grand trochanter gauche Une biopsie exérèses de la lésion scrotale ainsi qu une biopsie osseuse iliaque gauche ont été réalisées MACROSCOPIE: Nous avons reçus : * Une pièce de résection cutanée scrotale de 7x5x3 cm, présentant des lésions nodulaires blanc jaunâtres exubérantes et ulcérées de 2 cm de grand axe La tranche de section : une formation tumorale polylobée blanc jaunâtre * une biopsie osseuse qu on a incluse en totalité. MICROSCOPIE : L examen microscopique des prélèvements réalisés sur la formation cutanée scrotale et des biopsies osseuses montre un aspect similaire : Des plages d histiocytes a cytoplasme abondant pale et présentant des signes d empéripolèse, entres ces plages d histiocytes s intercalent des nappes de lymphoplasmocytes L étude immunohistochimique montre une positivité diffuse et intense des cellules tumorales à la PS100 et le CD68, le CD1a est négatif. DISCUSSION/CONCLUSION : La maladie de ROSAI DORFMAN est une entité anatomo-clinique particuliere, rare et idiopathique, le diagnostic de certitude est anatomopathologique, d évolution bénigne, le traitement n est pas bien codifié 14- RHABDOMYOME DE TYPE ADULTE, A propos d une observation N. BOUZID Z.LAMARI N. DJENAS Y. LAMOUTI Service d anatomie pathologique CHU NEFISSA HAMOUD «EX PARNET» INTODUCTION :Les rhabdomyomes sont des tumeurs mésenchymateuses bégnines rares ; composées de cellules musculaires striées. Il existe 02 types : cardiaque et extracardiaque. Le rhabdomyome cardiaque s observe exclusivement en âge pédiatrique et peut être associé à la sclérose tubéreuse, à la neurofibromatose et aux adénomes sébacés. Ce type de rhabdomyome est considéré pour beaucoup d auteurs comme une lésion hamartomateuse. Le rhabdomyome extracardiaque se divise en 03 sous types (adulte,fœtal,génital) présentant des aspects cliniques et morphologiques différents. Le rhabdomyome adulte (RA) est la forme extracardiaque la plus fréquente ; siège principalement au niveau de la tête et du cou.cette tumeur est composée de fibres musculaires striées matures. Le RA est une masse unique ou multifocale bien limitée; observée au niveau de la bouche, le palais mou, la langue et la muqueuse buccale. Le traitement est chirurgical, les récidives sont rares. MATERIEL&METHODES : Nous rapportons une observation d un patient âgé de66 ans, qui consulte pour une tuméfaction du bord latéral de la langue ulcérée évoluant depuis 02mois. Cure chirurgicale pour bourgeon charnu inflammatoire. Nous avons reçu in nodule plein de01cm blanc-rosé RESULTATS :

20 L étude histologique : HE/montre une prolifération cellulaire composée de larges cellules rondes,ovalaires et polygonales,de taille variable avec un cytoplasme pale, éosinophile, finement granuleux ; à noyau périphérique Les mitoses et la nécrose sont absentes. *L étude Immunohistochimique : AML,Myoglobine et Desmine sont positives. PS100 et NSE sont négatives Diagnostic : rhabdomyome de type adulte CONCLUSION : le RA est une entitéanatomo-clinique bien définie rare et bégnine ;décrit pour la1iere fois par Zenker en 1864.De localisation cervico-faciale le plus souvent ; la tumeur se présente comme une masse nodulaire bien limitée de petite taille. Le diagnostic est anatomo-pathologique grâce à l immunohistochimie. Les principaux diagnostics différentiels sont : tumeur d Abrikosoff, rhabdomyosarcome,hibernome et paragangliome. Une surveillance clinique et tomodensitométrique prolongée doit être instaurée du fait de l apparition de récidives tardives. 15- Caractéristiques morphologiques et moléculaires des carcinomes canalaire in situ du sein. A propos de 65 cas R.Groussel, A. Kouchkar, N. Terki Service d anatomie et de cytologie pathologiques. (CPMC). Alger Introduction:Le carcinome canalaire in situ (CCIS) constitue 15% à 20% des cancers du sein selon les séries et représente 85% à 90% des cancers du sein in situ. L incidence du CCIS a augmenté durant les deux dernières décennies en Amérique du Nord et en Europe. Cette augmentation du taux d incidence est liée essentiellement au développement du dépistage mammographique organisé ou individuel. Actuellement 90% des CCIS sont découverts sur anomalies radiologiques et 10% sur anomalies cliniques. L objectif de cette étude est d analyser les différentes caractéristiques de CCIS qui constitue une lésion précoce de cancer du sein d où l importance de le connaitre. Patients et méthodes : Il s agit d une étude rétrospective étalée sur deux ans ( ). 76 cas de CCIS ont été colligés au laboratoire d anatomie et de cytologie pathologiques du CPMC. Nous avons exclue 11 cas de CCIS de notre étude, dont 09 cas de CCIS avec microinvasion et 02 cas de CCIS avec ganglions métastatiques. Donc 65 cas de CCIS ont fait l objet de notre analyse. Nous avons étudié des différents paramètres (sexe, âge, type de résection chirurgicale, taille tumorale, grade nucléaire, architecture, nécrose, microcalcifications, berges de résection chirurgicale). Une analyse immunohistochimique (récepteurs oestrogéniques RE, récepteurs progésteroniques RP) a été réalisée pour 28 patients. Résultats et discussion : 2,7 % était le taux de CCIS dans notre série de 65 cas. Ce taux est faible en comparant avec les autres séries dans la littérature (15% à 20%). Ceci est lié au dépistage mammographique qui est essentiellement individuel (le dépistage organisé est peu développé). Deux (3%) de nos patients étaient de sexe masculin et 63 (97%) étaient de sexe féminin. L âge moyen était de 49 ans, avec des extrêmes de (34-77) ans et un pic entre (41-

21 50) ans. La chirurgie adoptée était radicale dans 47 cas (72,3%) et conservatrice dans 18 cas (27,7%). 13 patients (20%) ont bénéficié d un examen extemporané de GS. L exploration axillaire a été réalisée chez 31 patients (18 curages axillaires et 13 GS). La taille tumorale moyenne était de 35,7 mm avec des extrêmes de (04 mm-100 mm). Dans 50 cas (77%) la taille lésionnelle était supérieure à 15 mm. Le grade nucléaire était souvent intermédiaire dans notre série, 37 cas (57%) suivie de CCIS de haut grade 25 cas (38,5%) et de CCIS de bas grade 03 cas (4,6%). Dans la littérature le CCIS de haut grade est en première position 50%, contre 41% de CCIS de grade intermédiaire et 09% de CCIS de bas grade. L architecture était souvent polymorphe dans 36 cas (55,4%) suivie des autres types : massif (21), cribriforme (06) et micropapillaire (02). La nécrose tumorale était présente dans 46 cas (70,7%) dont 24 cas de CCIS de haut grade soit 52,2%. Les microcalcifications étaient présentes dans 36 cas (55,4%) dont 21 cas de CCIS de grade intermédiaire soit 58,3%. Les berges de résection chirurgicale ont été évaluées sur 18 cas de chirurgie conservatrice. Dans 12 cas (66,6%) les berges étaient inférieures à 2 mm et dans 06 cas (33,3%) les berges étaient supérieures ou égal à 2 mm. Le profil immunohistochimique a été précisé dans 28 cas. 21 cas (75%) de CCIS étaient de phénotype luminal. Conclusion : Le carcinome canalaire in situ constitue une lésion précoce de cancer du sein, il est de bon pronostic avec une survie globale à 10 ans supérieure à 95% d où l intérêt de dépistage et l importance de connaitre cette lésion avant le stade de carcinome infiltrant. 16- Carcinome mammaire avec différenciation apocrine pure : à propos de 03 cas. Y.BENALI ; A.KOUCHKAR ; F.Z.HADDOUNI ; R.BOUKHELOUA ; Y.BOUANIKA ; N.TERKI. Service d anatomie et cytologie pathologiques, centre Pierre et Marie Curie. Introduction : Le carcinome mammaire avec différenciation apocrine est une forme rare, représentant moins de 1% de l ensemble des carcinomes mammaires. L appellation apocrine revient à l aspect caractéristique de ses cellules. Il présente généralement, une négativité des récepteurs hormonaux ( RH),une surexpression d HER2 et une positivité des récepteurs androgènes ( RA ). Le pronostic ne diffère pas des carcinomes de type non spécifique. Objectif : Apprécier sur une série retrospective le taux de carcinome apocrine et ses caractéristiques histopathologiques Matériels et méthodes : Une étude rétrospective étalée sur deux ans ( ) au laboratoire d anatomie et cytologie pathologiques du CPMC, a retrouvé 03 cas de carcinomes mammaires avec différentiation apocrine pure soit un pourcentage de 0,14 % sur un total de 2145 carcinomes infiltrants mammaires Les paramètres d étude sur pièce opératoire ont concerné : l âge, la taille tumorale, la morphologie tumorale, le grade SBR, les récepteurs hormonaux ( RE RP), HER2,récepteurs androgènes ( RA ) et l envahissement ganglionnaire. Résultats : Nos patientes ont un âge respectif de 50, 79, et 85 ans ; soit une moyenne d âge de 71 ans.

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