Le risque électrique dans nos établissements de santé. Comment faire la lumière sur ce risque?

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1 Le risque électrique dans nos établissements de santé OU Comment faire la lumière sur ce risque?

2 Un constat de départd Nous banalisons la production et la fourniture de cette énergie On ne se rend même m me plus compte que l él électricité fait partie intégrante du fonctionnement de l él établissement Au point qu on en oublie les principes de base de prévention et de maintenance Il s agit s d un d risque évitable La réglementation r et la jurisprudence se renforcent La gestion du risque est devenue obligatoire (HAS, ARS, Ministère, Installations classées, Commissions de sécurits curité,, D.U.) ou «incitée» (assureur) Le risque est réelr

3 Panne de courant inédite dans un hôpital h parisien juin 2008 Dans la nuit du jeudi 26 juin, vers 1h, l'hôpital parisien a été victime d'une panne d'électricit lectricité qui a plongé l'établissement dans le noir et nécessitn cessité par précaution, l'évacuation de cinq malades en réanimationr animation. L'hôpital est alimenté par deux câbles c de volts et l'un deux a cessé de donner du courant. De plus, seuls deux des trois groupes électrogènes de sécurits curité se sont déclenchd clenchés.. La panne pourrait provenir d'un chantier à proximité de l'hôpital qui aurait sectionné un câble c d'alimentation. La panne a été identifiée e vers 02H30 par les équipes techniques de l'hôpital, renforcées es par des agents d'edf. Des équipes du Samu ont apporté des batteries et des halogènes ont été mis dans certains couloirs dont les prises fonctionnaient par intermittence, a constaté un journaliste. A 2H15 les équipes finissaient d'évacuer l'unité de réanimation" r tandis que le courant était "rétabli à 50%". A 03H15, la situation revenait à la normale.

4 A Château-Thierry, chute d'arbres et coupure d'électricit lectricité L union Août t 2010 Les intempéries de ces derniers jours ont provoqué plusieurs incidents dans le Sud de l Aisne, l mais ils n ont n jamais atteint une extrême gravité.. Le centre hospitalier de Château-Thierry a été victime d uned coupure électrique pendant plusieurs heures,, hier matin. La «panne» fut sans conséquence pour le fonctionnement de l établissement.

5 Coupure de courant pour foyers et dans le métrom janvier 2009 Un défaut matériel dans un poste de transformation électrique du Val-de-Marne a entraîné,, mardi 6 janvier en début d d'après- midi, une panne d'électricit lectricité touchant foyers du département, ainsi que les lignes 3 et 13 du métro m et la ligne D du RER. Cette coupure du poste de transformation électrique de Charenton-le-Pont a entraîné celle du poste Créteil. Panne de courant à l'hôpital H. Mondor pendant 7 minutes, les générateurs g de secours n'ayant pas pris le relais comme ils auraient dû le faire

6 Conflit ErDF :: nouvelles coupures d éd électricité et de gaz avril 2009 La direction d ErDF d a "déploré"" la poursuite des "coupures d électricité intempestives", qui ont lieu depuis plusieurs semaines. "Il s agit s d actes d isolés s de malveillance commis par une minorité de personnes", a déclard claré une porte-parole d ErDF. La veille, une polémique s est s déclenchd clenchée e après s une coupure de courant à l hôpital de Douai mardi, couplée à une défaillance des groupes électrogènes.. La coupure, d uned durée e de 40 minutes, a provoqué la panique dans l établissement, mais les grévistes d ErDF d ont nié toute responsabilité. La direction de l hôpital l attend un rapport d enqud enquête d EDF d et envisage, "s il y a eu acte de malveillance", de porter plainte.

7 Coupure d'électricit lectricité suspecte au CH de Douai La voix du nord juin 2009 Le plan blanc a été déclenché hier matin, à la suite d'une coupure d'électricit lectricité et d'un dysfonctionnement des groupes électrogènes. Deux patients du service de réanimation r ont dû d être transférés dans d'autres établissements. L'un des deux patients de l'unité de soins intensifs du CH de Douai a été évacué par les airs. Les groupes électrogènes n'ont pris le relais que quarante minutes plus tard.» Quarante minutes qui auraient pu être fatales à certains patients. Avec le plan blanc, une cellule de crise a permis de cibler les services les plus sensibles. Les sapeurs-pompiers de Douai et Cambrai ont ainsi évacué deux patients de l'unité de soins intensifs pour les transférer rer à Lens et Valenciennes. Reste à connaître l'origine de la coupure d'électricit lectricité et celle du dysfonctionnement des groupes électrogènes. La direction de l'hôpital s'y attelle : «Un débriefing d va être organisé pour tirer les enseignements de cet incident.»

8 ABBEVILLE -Coupure de courant :: à deux doigts du chaos L incendie d un transformateur électrique haute et basse tension a touché 53 communes. À Abbeville, la coupure de courant a duré sept heures. On est passé tout près s du chaos : commerces, industries, hôpital Face à la panne, la préfecture a indiqué qu'elle a mis en œuvre «le plan électro-secours» pour gérer g les conséquences de cette coupure importante du réseau électrique en identifiant les personnes et les établissements prioritaires (hôpitaux, maisons de retraite, personnes sous assistance respiratoire, captages d'eau).

9 Coupure d'électricit lectricité survenue à l'hôpital Édouard-Herriot de Lyon Nouvel obs SEPT Il est 0 heure 30 lorsque l'alimentation en électricité de l'hôpital Édouard-Herriot de Lyon s'interrompt brutalement. Et les groupes électrogènes censés s prendre le relais ne se déclenchent d pas. Résultat: : 720 malades plongés s dans le noir, dont certains sous assistance respiratoire. "Les infirmières, res, les aides soignantes, les brancardiers s'activent à tâtons tons dans le noir, s'éclairant parfois avec une lampe coincée dans la bouche [...]. Des médecins m et des infirmières res se relaient pour actionner à la main des pompes qui ne sont plus alimentées es en courant [...]. Des ambulances du Samu transfèrent rent 26 patients dans l'état le plus critique vers d'autres établissements. Vers deux heures du matin, lorsque la lumière revient, lorsque les gyrophares bleus cessent de tourner entre les pavillons, le personnel, épuisé,, est persuadé d'avoir sauvé tout le monde.«la presse annonce «des bilans effarants". Deux des vingt-six malades transférés s d'urgence sont décédés. d Puis la presse parle de neuf morts et, le surlendemain, de dix!

10 CH Lyon-Sud :: des pannes électriques qui causent mort d'homme -Lutte Ouvrière re n 1719 n du 22 juin 2001 Nouvelle panne électrique au CH Lyon-Sud (CHLS), mêmesm mes causes que celles déjà d survenues en décembre d 1999 (20 minutes) et avril 2001 (1h20). La panne du 13 juin, d une heure, certainement responsable de la mort d'une patiente arrivée e en urgence et en pleine opération ration. Les blocs opératoires du CHLS, contrairement aux services de réanimation, ne sont pas équipés s en onduleurs. Les 3 pannes sont dues à des micro-coupures du réseau r EDF. Les groupes électrogènes se sont mis en route, mais le circuit interne de l'hôpital n'a pas pris en compte le système de relais et n'a pas été en mesure d'assurer la distribution de l'électricit lectricité sur l'ensemble de l'établissement. Comme l incident l survenu à l'hôpital Edouard-Herriot à Lyon en septembre Le système électrique de l'hôpital était géré par une entreprise privée e dont les techniciens ne sont pas sur place pour intervenir immédiatement en cas de dysfonctionnement.

11 Une panne de courant a touché l'hôpital de Jolimont rtbf, juillet 2010 Une coupure de courant a affecté pendant une petite heure le quartier de l'hôpital Jolimont à La Louvière. Toutes les mesures d'urgences ont été prises : le groupe électrogène a permis la poursuite des opérations et des interventions nécessitant du courant. Les radiographies ont par contre été interrompues. A l'origine de la panne : un engin de chantier qui a sectionné un câblec

12 Une panne d éd électricité peut avoir de lourdes conséquences Le but : Se prémunir contre une éventuelle défaillance d de l alimentation électrique et d assurer d la qualité et la disponibilité de l él énergie électrique. Quels sont les facteurs qui fragilisent une installation électrique? La surveillance, l entretien, l la formation, les évolutions de l installation (rajout de circuits, d appareils d ), la connaissance du circuit D où l intérêt t de développer d une démarche d de sûrets reté de fonctionnement qui replace toute évolution dans le contexte global de l installation l en veillant à préserver l él équilibre entre les trois piliers : architecture, produits, services.

13 Le principe de fonctionnement Coupure électrique Onduleur Batterie Groupe électrogène Relais immédiat Relais immédiat Relais différé Réseau prioritaire DM sur batterie Secteur hôpital

14 Sécurité électrique des ES Les textes de référence r rence (1/2) Circulaire DHOS/E4 n n du 7 avril 2008 relative à la prévention des coupures électriques dans les établissements de santé Article R sur la sécurité des établissements de santé en cas de défaillance d du réseau r d'énergie (Code de la Santé Publique - décret d n n du 12 septembre 2007) Circulaire DHOS/E4 n n du 8 décembre d 2006 relative à la prévention des risques électriques dans des conditions climatiques de grands froids Circulaire DHOS/E4 n n du 8 septembre 2006 relative aux conditions techniques d'alimentation électrique des établissements de santé publics et privés Circulaire DHOS/E 4 n n du 30 mai 2005 relative aux conditions techniques d alimentation d électrique des établissements de santé publics et privés s : abrogée

15 Sécurité électrique des ES Les textes de référence r rence (2/2) Arrêté du 19 novembre 2001 portant approbation de dispositions complétant et modifiant le règlement r de sécurits curité contre les risques d'incendie et de panique dans les établissements recevant du public. Circulaire du 25 octobre 2004 relative à la prévention des risques électriques dans les établissements de santé ; Circulaire du 24 décembre 2003 relative à la prévention des risques de coupure de courant dans les établissements de santé ; Circulaire du 12 décembre 2003 relative à la prévention des risques électriques dans les établissements de santé ; Guide sécurits curité électrique dans les établissements de santé : rappels de réglementation, conseils pour la conception, maintenance et exploitation des installations électriques, ministère de l emploi l et de la solidarité,, avril 2001 ; Circulaire du 6 octobre 1998 relative à la sécurits curité électrique des établissements de santé publics et privés ; Circulaire du 6 janvier 1958 relative au dispositif de secours dont doivent disposer les établissements sanitaires pour la fourniture d énergie électrique

16 Circulaire DHOS/E4 n du 8 septembre 2006 relative aux conditions techniques d'alimentation électrique des établissements de santé publics et privés Service prioritaire : déclaration d à la préfecture 2 compteurs ou 1 compteur et 2 sources d alimentation différentes Les sources de remplacement Inventaire des chargeurs/batteries Traçabilit abilité des maintenances Les essais et périodicitp riodicité Habilitation du personnel Nommer un chargé d exploitation

17 Circulaire DHOS/E4 n du 7 avril 2008 relative à la prévention des coupures électriques dans les établissements de santé avant la fin de l annl année e 2008, vérifier v les éléments suivants : 1. La fiabilité des installations électriques de l établissement correspond aux réseaux r de distribution «de secours» : qualité et bon fonctionnement des moyens autonomes principaux d alimentation d électrique prévus en cas de défaillance d du réseau r de distribution ; intégrit grité et qualité opérationnelle des systèmes autonomes comportant des batteries (dispositifs médicaux, autres...).

18 Circulaire DHOS/E4 n du 7 avril 2008 relative à la prévention des coupures électriques dans les établissements de santé 2. La cohérence du circuit de délestage d en tenant compte des besoins de l él établissement en fonction des niveaux de criticité (activités s médicales m et installations de sécurits curité). Les installations prioritaires des plateaux techniques, les installations de chauffage et les systèmes de détectiond incendie sont bien alimentés s par les systèmes de secours. 3. La conformité des maintenances préventives : l ensemble des maintenances préventives a été effectué et est à jour sur tous les systèmes qui composent les éléments de sécurits curité ; de façon régulir gulière, des tests sur groupes afin de vérifier v le bon déclenchement d de la source de remplacement.

19 Des difficultés s de terrain perte de savoir des équipes techniques (internes ou externes) du circuit de l él établissement difficultés s croissantes de recrutement : de techniciens (concurrence du BTP, des bureaux de contrôle, des collectivités s territoriales, des sociétés s de service, FM etc..). Turn over élevé évolution des organisations sanitaires : temps médical, m temps soignant, travail en 12 heures.. Davantage de souplesse exigée e dans la réalisation r de la maintenance réduction générale g de l encadrement l des chantiers (tant en travaux qu en services) : qui encadre (côté entreprise)? réduction r générale g des stocks : quelle réponse à l urgence?

20 De la complexité technique Électricité, haute tension, circuit principal Électricité, haute tension, circuit de secours ou de sécurité Électricité, basse tension Électricité, basse tension, circuit de secours ou de sécurité Electricité, réseau ondulé Electricité, très basse tension Détection et asservissement Incendie Aspiration des gaz anesthésiques Ventilation : extraction, soufflage Traitement d air : bloc, réanimation, stérilisation, médecine nucléaire Informatique, Télétransmission Téléphonie, Interphonie Appels-malades Vidéo surveillance Contrôle d accès Domotique GTC (alarmes et pilotage technique) Transport automatique (tortues, valises) Réseau pneumatique

21 À des installations rationnelles Pour 500 lits Electricité : prises électriques 1500 disjoncteurs électriques 5000 appareils d'éclairage 3 groupes électrogènes 10 transformateurs V / 380 V postes téléphoniques et DECT Incendie : 1500 détecteurs incendie 200 volets et clapets Chauffage : 4 chaudières, 10 sous-stations 200 pompes de circulation 1000 radiateurs Equipements : 20 portes automatiques 2000 portes et serrures 25 appareils élévateurs Froid : 4 groupes de production d'eau glacée (blocs opératoires, imagerie, chambre mortuaire, etc)

22 Catégories des risques électriques Alimentaire Soins vitaux directs Soins vitaux indirects (appel malade) Utilitaires (lumière, chauffage, téléphone t ) Accès Confort/accessoire (téléviseur ) Se surajoute les DM non déclard clarés s et non suivis par les services internes

23 Coupure électrique et conséquences Contamination par l air (aspergillose ) Risque incendie (personnes et biens) Risque climatique (chaleur, froid) Risques intox alimentaire Pollution Coupure de téléphone Coupure informatique : perte de données vitales Pertes financières (non recouvrement ) Perte d image circulation./évacuation limitées Chutes de personnes Chocs (chariots, véhicules ) Chutes d objets (étagères, éclairages..) Dommages aux biens Malveillance (vol, dégradation, agression) Conservation des corps Arrêt d équipements vitaux Mauvaise qualité des soins Mauvaise qualité du séjour (hôtellerie) Hypothermie Pertes de prélèvements (congélateur ) Cessation d activité de soins Indisponibilité d équipements ou de chambres Non détection de situation grave Accidents de travail Perte de chance Interruption des soins Diagnostic erroné

24 Niveau de criticité des activités Niveau 1 = aucune coupure Niveau 2 = coupure < 15 secondes Niveau 3 = coupure de 15 à 30 secondes

25 Niveau de criticité des activités Niveaux Activités Bloc opératoire Salle d'opération X Salle surveillance post-interventionnelle X Bloc obstétrical X Salle d'accouchement X Anesthésie X Réanimation X Unité de soins intensifs X Service de prématurés X Hémodialyse X Imagerie interventionnelle X Explorations fonctionnelles X Imagerie médicale Salle de radiologie conventionnelle X Salle d'angiographie X Salle de coronarographie X Salle de scanographie X* X Salle d'imagerie par résonance magnétique X* X Médecine nucléaire Salle de scintigraphie X* X Ventilation X Radiothérapie X Laboratoires Automates d'analyses X Pharmacie Chambre froide pour la conservation des produits sanguins X Unités d'hospitalisation X * pour les équipements informatiques des disposititfs médicaux

26 La sûrets reté de fonctionnement aptitude d un d système à fonctionner correctement au cours de sa vie. C est à dire satisfaire les exigences de fonctionnement : cycles, niveaux, valeurs, fiabilité,, disponibilité C est aussi être réparable r rapidement (maintenabilité)

27 Élaboration d un d plan de sûreté de fonctionnement analyse des besoins du process, en particulier les aspects critiques, adaptation de l installation en conséquence (modification de l architecture, modernisation des équipements, etc.), programmation réfléchie d interventions de maintenance, la gestion des équipements en fin de vie, formation des équipes d exploitation et de maintenance aux nouveaux produits installés, introduire des équipements de monitoring facilitant la maintenance prédictive et la traçabilité, Choisir des composants adaptés aux contraintes du site, Associer les équipes d exploitation et de maintenance lors de phases critiques (comme le basculement mensuel sur des sources de secours dans les établissements de santé) et surtout lors des phases d extension, Services d optimisation de l exploitation (télésuivi, assistance en ligne, formation, etc.).

28 AMDEC sur le risque électrique Probabilité/occurrence Probabilité d apparition de la défaillance, ou importance de son existence Défaillance inexistante sur matériel similaire (env. 1 fois tous les 2 ans) Défaillance occasionnelle déjà apparue sur matériel similaire (arrive 1 fois tous les ans) Défaillance fréquente posant régulièrement des problèmes (arrive une fois par an) Défaillance certaine sur ce type de matériel (arrive au moins une fois par semaine) Valeur de F

29 AMDEC sur le risque électrique Gravité Gravité de la défaillance probable Défaillance mineure aucune dégradation notable Défaillance moyenne petite réparation (arrêt de production inférieur à 8h) Niveau de préparation Valeur de G Bonne maîtrise : expérience, surveillance, plan d actions, training 1 Plan d action et procédures connues et testées de tous les acteurs 1 Quelques procédures connues et testées de tous les acteurs 2 Aucun plan d action, procédure ou training 2 1 Défaillance grave changement de matériel (arrêt de production inférieur à 2 jours) Défaillance très grave intervention majeure de production supérieur à 2 jours) Bonne maîtrise : expérience, surveillance, plan d actions, training 1 Plan d action et procédures connues et testées de tous les acteurs 2 Quelques procédures connues et testées de tous les acteurs 3 Aucun plan d action, procédure ou training 4 Bonne maîtrise : expérience, surveillance, plan d actions, training 2 Plan d action et procédures connues et testées de tous les acteurs 3 Quelques procédures connues et testées de tous les acteurs 4 Aucun plan d action, procédure ou training 4

30 AMDEC sur le risque électrique Détectabilité Détectabilité Détection facile et immédiate de la défaillance action corrective immédiate Détection moyenne de la défaillance (tardive ou difficile) 2 Détection très faible (très tardive et imprécise) 3 Détection impossible 4 Valeur de D 1

31 AMDEC sur le risque électrique Bloc opératoire Situation à risque Arrêt alimentation EDF Evénement Causes Précurseurs Criticité situation Onduleur prend le relais Onduleur démarre avec retard < 15 s Onduleur démarre puis s arrête Onduleur ne prend pas le relais Audit à réaliser Absence d entretien Appareil pas branché sur prise prioritaire Manque de puissance pour réseau Onduleurs ok Batteries ok Absence garde Vérification annuelle 3 Aucun Marquage des prises non fait 3 Veille sur puissance appareils ok 2 3 2

32 La feuille de route 1/2 Préalables : 1. Schéma simplifié du réseau r électrique : Alimentations(s) générale(s) g Qu est ce qui alimente quoi dans l hôpitall Quels circuits dépendent d d autres d (circuit parallèle le et série) s Les secours, activables auto ou manuel Les secours groupe ; activables auto ou manuel, Les secours batterie et onduleurs 2. Préciser les points d ombre d et les points critiques connus et/ou soupçonn onnés. 3. Inventaire des batteries de secours et des onduleurs (du CH et avec appareils)

33 La feuille de route 2/2 Analyse des risques : - Selon activité,, définir d les secteurs à risque : Urgence vitale, Retard prise en charge (retard examen, ) - Comment assurer la continuité de service dans les activités à risque et combien de temps : Groupe électrogène Onduleur électrogène - Les causes des pannes et leurs conséquences et les fréquences de ces pannes selon nos installations - Maintenance préventive, Surveillance. Qualification du personnel et des installations - Délai D pour fournir à nouveau de l él électricité Cotation et Hiérarchisation des risques, Proposition d actions d de correction, Suivi et indicateurs.

34 AMDEC Conditions et limites Nécessité d un travail collégial : pour l approche l de la criticité pour l identification l du risque acceptable : en pratique, la criticité acceptable pour l él élaboration d un d plan d action d : organisation, maintenance, investissement Le niveau de probabilité/d /d occurrence est majoritairement dans le champ des Techniciens Le niveau de gravité/cons /conséquence est majoritairement dans le champ de la Direction, des Médecins M et des Soignants

35 Conclusion : une stratégie combinée est indispensable L organisation, le risque et le fonctionnement doivent être surveillés s et qualifiés périodiquement La qualification de l organisation l de l exploitation l et de la maintenance : référentiel, r rentiel, périodique La qualification du risque (criticité), par installation sensible : AMDEC, périodique La qualification du fonctionnement : GTC et inspections techniques, continue et périodiquep riodique.

36 Les effets de la grande panne de courant de New York (1965) La revue américaine Demography nous rapporte une information essentielle : les coupures d éd électricité n ont pas que des effets néfastes. n «Augmentation des naissances neuf mois après s la panne»

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