-Plaies particulières- -Traitement particulier- Study Overview. Ulcères qui ressemblent au pyoderma gangrenosum. Plaies de multiples origines

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "-Plaies particulières- -Traitement particulier- Study Overview. Ulcères qui ressemblent au pyoderma gangrenosum. Plaies de multiples origines"

Transcription

1 -Plaies particulières- -Traitement particulier- V del Marmol Hopital Erasme ULB- 80 à 90 % des tous les ulcères de jambes ont une origine veineuse les autres ulcères ont de multiples causes! Selon le prof. Gottrup, dans un grand hôpital de référence à Copenhague en 2003,seulement : 51 % des patients avec une plaie chronique ont eu une examen clinique à visée diagnostique 40 % des patient avec des ulcères de jambes d origine veineuses n ont pas eu de compression 34% des patients avec un mal perforant plantaire n ont pas eu une investigation de son diabète EWMA journal, VOL 3, n 1, 2003 Skin Ulcers Misdiagnosed as Pyoderma Gangrenosum Roger H. Weenig, M.D., Mark D.P. Davis, M.D., Patrick R. Dahl, M.D. and W.P. Daniel Su, M.D. N Engl J Med Volume 347;18: October 31, 2002 Study Overview It can be difficult to distinguish pyoderma gangrenosum from other causes of cutaneous ulceration In this study, the authors identified 95 patients with skin ulcers that resembled pyoderma gangrenosum The ulcers were actually caused by vascular occlusive or venous disease, vasculitis, cancer, infection, drug-induced or exogenous tissue injury, or other inflammatory disorders Most patients who received a diagnosis of pyoderma gangrenosum were treated, and 36 percent of those who were treated had exacerbation of their underlying condition or a delay in its diagnosis Pyoderma gangrenosum is a diagnosis of exclusion In patients in whom pyoderma gangrenosum is suspected, evaluation for alternative causes of cutaneous ulceration is important Ulcères qui ressemblent au pyoderma gangrenosum Pathologie vasculaire occlusive : antiphospholipides, vasulite livedoide, cryoglobulinemie,.. Vasculite inflammatoire: wegener, polyarterite noueuse, Pathologie oncologique : lymphome Infection : mycoses, cryptoc, herpes, Induit par des medicaments ou autre composé pharmaco: cocaine, hydroxyurée, halogenide, Lié à une pathologie inflamm: necrobiose, crohn, Ulceration Resembling Pyoderma Gangrenosum but Due to Antiphospholipid-Antibody Syndrome Weenig, R. et al. N Engl J Med 2002;347:

2 Frequency of Diagnostic Findings on Initial or Repeated Biopsy Conclusions The misdiagnosis of pyoderma gangrenosum is not uncommon and exposes patients to risks associated with its treatment A thorough evaluation is required in all patients suspected of having pyoderma gangrenosum in order to rule out alternative diagnoses Weenig, R. et al. N Engl J Med 2002;347: Une plaie nécessite une évaluation clinique globale avec une évaluation systémique, locale, et parfois moléculaire qui permettra un traitement plus adapté à la pathologie Apprentissage Nous apprenons qu une maladie est composée de symptômes et de signes Temps Un malade Lesions visibles Un malade avec une plaie Œil (du dermatologue) Un diagnostic Hypothèses diagnostiques Hypothèses diagnostiques Rapide et inconscient Courtesy of Prof JM BONNETBLANC DIAGNOSTIC ANALOGIQUE Plus rapide et inconscient Courtesy of Prof JM BONNETBLANC

3 Un malade avec une dermatose Lesions visibles Items discriminants Œil (du dermatologue) + contexte Un diagnostic Hypothèses diagnostiques Ulcération Contexte de la plaie Contexte medical DIAGNOSTIC ANALYTIQUE Plus rapide Plus ou moins conscient Courtesy of Prof JM BONNETBLANC Items discriminants A Ulcération Siège Nombre Douleur Taille, fond, bord Peau périphérique Pouls artériels Symptomes et/ou signes associés : neurologiques, osseux, tégument Ou absence des précédents item Courtesy of Prof JM BONNETBLANC Items discriminants B Contexte L ulcère qui ne guérit pas Age Evolution (aigüe, chronique, récidive) Peau noire Origine géographique Traumatisme Sexe Courtesy of Jm Bonnetblanc : Evaluation Histoire générale Evaluation clinique Evaluation vasculaire Evaluation biologique Evaluation bactérienne Biopsie Examen Radiologique Patch tests Histoire générale Histoire médicale personnelle, familiale Médicaments Facteurs de risque (HTA, diabète, tabac, trauma) Histoire et évolution de la plaie Effet des différents traitements

4 Histoire générale- Histoire médicale Personnelle Maladie Hématologique : leucémie, lymphome, drépanocytose, Dysproteinemies: cryoglobulinemies, agglutinines froides. Maladie systémique : périarthrite noueuse, lupus, sclérodermie,.. Métabolique: insuffisance rénale, goutte, déficience en prolidase Gastro intestinale: RCUH, Crohn,. Infectieuse: bactérienne, viral (hépatite, HIV ), parasitaire. Histoire générale Apparition, évolution, symptômes Thrombose veineuse profonde (après grossesse ou chirurgie): ulcère post phlébitique Claudication intermittente Douleur: plus sévère dans les ulcères d origine artérielle Paresthésies et/ou brulures dans le cas d atteinte neuropathique Evaluation- Examen Physique Neuropathie Pouls périphériques Pouls capillaire et temps de réplétion veineuse Ulcère : Localisation Apparence Nombre Examen cutané autour de l ulcère Lit de la plaie Ulcere de jambe Veineux Arteriel Evaluation Clinique Aspects diagnostics Localisation Apparence Peau environnante Malleolaire Surtout médian Proeminence osseuse Malleolaire lateral Dos du pied orteils Bords irréguliers debris fibrineux Granulation qui peut être extensive Suintant bord à l emporte pièce Fibrineux ou nécrotique sec Absence de granulation Neuropathique Sur zone de pression Profond, à l emporte pièce, Exsudat purulent si une osteomyelite est présente Vasculite Dos du pied Pre tibial mollet oedeme Pigmentation Purpura Eczema Sclerose Cellulite Perte de pilosité, peau brillante, atrophique Hyperkeratose autour de l ulcère hypo/ hyperesthetic Contours net, ulcères parfois Purpura Palpable multiples, confluents, débris necrotiques Examens Formule hémato, glycémie pour exclure un diabète ou une maladie hématologique Sédimentation, CRP: ostéomyélite, maladie systémique Albumine, ferritine et autres éléments : déficience nutritionnelles (zinc, vit C, vit A,.) Facteur Rhumatoïde, FAN Biopsie : vasculite, infection, ou tumeur Examen-biopsie: quand? Ulcère veineux, artériel ou escarre dont l évolution est supérieure à 3 mois Présentation atypique de l ulcère Présence de manifestations systémiques non expliquées ou antécédent de voyage dans un pays tropical

5 Vasculaire Neurologique Infectieuse Inflammatoire Traumatique Iatrogène Néoplasique Dermatologique: pemphigus, etc. Métabolique Plaie particulière : traitement particulier Traitement de la pathologie sous jacente Traitement adapté de la plaie et donc implication de contre indications ou indications particulières Plaie particulière : traitement particulier. Plaie particulière d origine neurologique: syndrome trigeminal Plaies neurologiques :ulceration trigeminale Vasculite cocaine Calcyphylaxie Plaies iatrogènes Plaie d origine neurologique: Ulcération trigeminale Triade : paresthesie Anesthesie Ulceration aile nasale Plaie d origine neurologique: Ulceration trigeminale Condition associée à une atteinte de la partie sensitive du nerf trigeminé Periode de latence entre semaines jusque plusieurs années

6 Plaie d origine neurologique: Ulceration trigeminale Donne la sensation de nez anesthésié de passage d air rendu difficile peut induire une manipulation locale qui fait apparaitre la lésion mais dans le cadre d une atteinte nerveuse initiale Le plus souvent associé à un antécédent de zona local Plaie d origine neurologique: Ulceration trigeminale plus fréquent chez la femme âgé L extrémité du nez est épargné parce que il est associé à l innervation de la branche médiane du nerf ethmoidien Apparait dans la partie non cartilagineuse, en croissant JAAD 2004;50: JAAD 2006; 55,2, On presentation, the patient had glistening erythematous, well-circumscribed ulcerations on the right side of his head THE TRIGMINALM TROPHIC SYNDROM Monrad S et al, JAAD, 50; Fredeking, A. E. et al. Arch Dermatol 2008;144: Copyright restrictions may apply. Initial presentation of 8 x 5-cm left parietal scalp lesion and numerous 5 x 5-mm plaques in V3 trigeminal dermatome distribution Plaie d origine neurologique: Ulceration trigeminale Histologie : infiltrat inflammatoire minimum, pas de cellule géante, de granulome, pas d aspect vasculitique Adams, W. B. et al. Arch Dermatol 2007;143: origine: toutes les atteintes de cette branche sensitive du nerf: vasculaire Tumeur Infection: zona, lepre Trauma Copyright restrictions may apply.

7 Plaie d origine neurologique: Ulceration trigeminale : diagnostique differentiel Plaie d origine neurologique: Ulceration trigeminale : traitement Plaies très amorphe, necessitant un effort intense, de moyens pour la faire cicatriser! Traitement local: collagène, acide hyaluronique VAC Multples therapeutiques pharmacol avec succès anecdotiques Reconstruction chirurgicale Monrad S et al,jaad, 2004, 50: Approche des ulcères avec une origine inflammatoire Pseudo vasculite induite par la cocaine Calciphylaxie Vasculite dans la polyarthite rhumatoide Necrose digitale Vasculite particulière : pseudovasdculite induite par la cocaine De multiples manifestations cutanées Cocaine: pseudo vasculite Brewer et al, JAAD, 2008

8 Pseudovasculite /cocaine Pseudovasculite /cocaine Femme de 27 ans, fatigue, lesions au niveau du visage, jambe bras, dos A reçu recemment de l erythromycine pour une pharyngite à streptocoque mais traitement sans effet Antec medicaux sp Antec chirug sp Ex clin : a febrile, signes vitaux nx, une membrasse epaisse est visdualisée sur l oropharynx et multiples lésions pustuleuses et ulcérées sur le corps y compris le visage Biol GB, PLTuée/creat nl, urine : screen pour cocaine : pos panca + Decédée après 2 ans d evolution d hemorragie gastrique d intoxication Pseudovasculite /cocaine Pseudovasculite induite par la cocaïne Levamizole : mis dans les doses de cocaine : est l inducteur de ces pseudo vasculite : Molécule connue pour induire une réponse immune entre autre dans les vaccinations Induit des réactions immunitaires granulomateuse s Pseudovasculite /cocaine Nécroses cutanées et toxicomanies Cause de plaie particulière et d évolution atypique des plaies! Y penser devant un tableau de personne jeune, avec plaie de localisation atypique, d évolution peu favorable. Examen ORL! Screening des urines! Dermo-hypodermites nécrosantes, abcès sous cutanés. Del Giudice, P. (2004). British Journal of Dermatology 150 (1), 1-10 Ulcères nécrosants post injection sous cutanées Subutex multifactoriels: toxique, pharmacologique, infectieuse Livédo nécrosant post injection intra-artérielle de méthadone cps

9 CALCIPHYLAXIE OU ARTERIOLOPATHIE CALCIFIANTE CALCIPHYLAXIE : CLINIQUE SURVENUE BRUTALE, LE PLUS SOUVENT SANS FACTEUR DECLENCHANT EVIDENT (traumatisme, thrombose, hypotension) Maladie micro occlusive (sur)aiguë essentiellement cutanée survenant sur des vaisseaux calcifiés au cours de l IRC (le plus souvent dialysée) Weenig, JAAD, 2008 ISCHEMIE DISTALE +/ GANGRENE PANNICULITE NODULAIRE ABDOMINO CRURALE (+/ SEINS) LIVEDO RETICULAIRE NECROSANT ET ASCENDANT DES MEMBRES INFERIEURS A GRANDES MAILLES FERMEES +++ Calciphylaxie : Femme de 38 ans IRC depuis 7 ans Livedo extensif des membres inf. rapidement nécrotique Weenig et al, JAAD, 2008 CALCIPHYLAXIE OU ARTERIOLOPATHIE CALCIFIANTE ÉVOLUTION Extension et aggravation initiale Amélioration secondaire après parathyroïdectomie et chirurgie des nécroses

10 CALCIPHYLAXIE : PHYSIOPATHOLOGIE DEUX PHENOMENES ASSOCIES/SEPARES CALCIFICATION PROGRESSIVE DES VAISSEAUX DE PETIT ET MOYEN CALIBRE LIEE AUX TROUBLES Ph/Ca ET A L OSTEOPONTINE MICROTHROMBOSES AIGUES DE MECANISME MAL CONNU : hyperparathyroidie,tbles hémostase (parfois induits par la dialyse), CS... CALCIPHYLAXIE : EXPLORATIONS MORPHOLOGIE : * CALCIFICATIONS VASCULAIRES DIFFUSES MUSCULO CUTANEES * HYPERTROPHIE DES PARATHYROIDES CALCIFICATIONS MEDIA ET FIBROSE PARIETALE BIOLOGIE : * AUGMENTATION PHOSPHATEMIE ET Ca x Ph sang * HYPERPARATHYROIDIE PAS CONSTANTE ET ASSEZ SOUVENT MODEREE CALCIFICATION DES VX DE MOYEN CALIBRE * TROUBLES DE COAGULATION (PROT C, S, Ac APL etc) CALCIFICATIONS PERINEURALES CALCIFICATIONS HYPODERMIQUES Image histologique hypoderme calciphylaxie CALCIPHYLAXIE SANS IR EXCEPTIONNEL!! HYPERPARATHYROIDIE I HYPOPARATHYROIDIE NEOPLASIES CANCER DU SEIN SOUS CT CIRRHOSE HEPATIQUE PR HORTON NUTRITION PARENTERALE IDIOPATHIQUE? Weenig, JAAD, 2008 ROLE D UN DEFICIT ACQUIS EN PC/S?

11 Survie et calciphylaxie dialyse, traitement, debridement Survie et calciphylaxie dialyse, traitement, debridement De 30à 70% de Décès Mortalité par sepsis Atteintes systémiques : infarctus, intestin, SNC, De 30à 70% de Décès Mortalité par sepsis Atteintes systémiques : infarctus, intestin, SNC, Survie et calciphylaxie dialyse, traitement, debridement De 30à 70% de Décès Mortalité par sepsis Atteintes systémiques : infarctus, intestin, SNC, CALCIPHYLAXIE :TRAITEMENT Symptomatique DIALYSES EN CONDITIONS PARTICULIERES DIPHOSPHONATES INFECTION, DOULEUR Parathyroidectomie rapide? PTH TRES ELEVEE A DISCUTER DANS TOUS LES CAS Chirurgie de débridement Thiosulfate de sodium Plaie iatrogènes Dermite livédoïde de Nicolau: signes cliniques Dermite livedoide Nicolau Nécroses induites par injection d interferon IM +++ (/s cut. et iv possibles) T0: Douleur intense, macule érythémateuse 24h: placard livédoïde extension dendritique 1 3s: Nécrose cutanée +/ musculaire Complications Ischémie homolatérale Compression nerveuse Surinfection Dermite de Nicolau après injection IM de sels de Bismuth

12 Dermite livédoïde de Nicolau: pathogénie Dermite livédoïde de Nicolau: étiologies Injection Thrombose vasculaire Embolisation de petites artères cutanées (ex. substances huileuses) Stimulation sympathique et vasospasme Destruction ou perforation des parois (ex. phénylbutazone) Cristallisation de substances dissoutes dans des solutions aqueuses Sels de Bismuth AINS Corticothérapie Benzathine penicilline Anesthésiques locaux Antihistaminiques Vitamines B Sulfonamide Procaïne Pyrazolone Chlorpromazine Phenobarbital Interferon α, interferon β Vaccins (varicelle, DTP) Agents sclérosants Produits de comblement Dermite livédoïde de Nicolau: traitements Nécroses cutanées après injections sous cutanées d interféron Préventif +++ IM quadrant supéroexterne Aspiration avant injection Interruption si douleur intense Vasodilatateurs, antiagrégants? +/ chirurgie Interférons β, α, α peg Non corrélés aux doses, fréquences des injections 24 48h après injection Délais après instauration: variables (Jrs ans. Moy. 2 3 mois) Mécanismes: Nicolau, autres Traitements Soins locaux Variation des sites d injection Homme, Hépatite C Ribavirine + Interféron α peg (90 μg/wk) Nécrose après 11 mois Vasculite sur polyrathite rhumatoide VASCULITE NECROSES DIGITALES Attitude therapeutiques? Septembre 2009 Patiente soignée en collaboration avec Me Taminiau VALIDA

13 VASCULITE NECROSE DIGITALE ET PLANTAIRE VASCULITE NECROSE DIGITALE ET PLANTAIRE Septembre 2009 novembre 2009 Patiente soignée avec Me Taminiau VALIDA Fevrier 2010 VASCULITE NECROSE DIGITALE ET PLANTAIRE Aout 2010 Traitements des necroses digitales Traitements symptomatiques 1/ Soins locaux Application d antiseptiques > nécrose sèche : Pansements gras Rechercher ostéite et adapter antibiothérapie Contrôler la vaccination antitétanique Traitement antalgique Traitements 2/ Améliorer perfusion Vasodilatateurs Inhibiteurs calciques Antiaggrégants plaquettaires et anticoagulants Prostaglandines Sympathectomies thoraciques Neurostimulation cordonale postérieure (Amputation ) Plaies particulières Traitements particuliers Conclusions Intégrer le patient dans le cadre de sa plaie Remettre en question le diagnostique lorsque l évolution n est pas adéquate Faire un diagnostique correct mais également un traitement adapté à la pathologie (mise à jour!)

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs

B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue

Plus en détail

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis?

Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Quoi de neuf dans la prise en charge du psoriasis? Nathalie QUILES TSIMARATOS Service de Dermatologie Hôpital Saint Joseph Marseille Ce que nous savons Le psoriasis Affection dermatologique très fréquente,

Plus en détail

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin

Thérapeutique anti-vhc et travail maritime. O. Farret HIA Bégin Thérapeutique anti-vhc et travail maritime O. Farret HIA Bégin Introduction «L hépatite C est une maladie le plus souvent mineure, mais potentiellement cancérigène, qu on peut ne pas traiter et surveiller

Plus en détail

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie

Compte rendu d hospitalisation hépatite C. À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie Compte rendu d hospitalisation hépatite C À partir de la IIème année MG, IIIème années MD et Pharmacie ASSISTANCE PUBLIQUE HOPITAUX DE PARIS HOPITAL DU BON SECOURS Service d HEPATHOLOGIE du Professeur

Plus en détail

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING

TECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT

Plus en détail

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées

Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées BON USAGE DES TECHNOLOGIES DE SANTÉ Traitement des plaies par pression négative (TPN) : des utilisations spécifiques et limitées Les systèmes de traitement des plaies par pression négative (TPN) sont des

Plus en détail

Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris

Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Actualités thérapeutiques dans le VHC : les recommandations de l AFEF Vendredi 8 et samedi 9 avril 2011 à Paris Des journées scientifiques pour accompagner l arrivée des nouvelles molécules qui vont modifier

Plus en détail

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86

LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86 LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT

Plus en détail

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat

SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014. Psoriasis. Rapport du Secrétariat SOIXANTE-SEPTIÈME ASSEMBLÉE MONDIALE DE LA SANTÉ A67/18 Point 13.5 de l ordre du jour provisoire 21 mars 2014 Psoriasis Rapport du Secrétariat 1. Le Conseil exécutif, à sa cent trente-troisième session,

Plus en détail

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation.

LASER DOPPLER. Cependant elle n est pas encore utilisée en routine mais reste du domaine de la recherche et de l évaluation. LASER DOPPLER INTRODUCTION La technique qui utilise l effet Doppler à partir d un faisceau laser est l une des seules qui permette d enregistrer en continu le reflet de la perfusion superficielle de tissus

Plus en détail

Carte de soins et d urgence

Carte de soins et d urgence Direction Générale de la Santé Carte de soins et d urgence Emergency and Healthcare Card Porphyries Aiguës Hépatiques Acute Hepatic Porphyrias Type de Porphyrie* Déficit en Ala déhydrase Ala Dehydrase

Plus en détail

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013

27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 27 ème JOURNEE SPORT ET MEDECINE Dr Roukos ABI KHALIL Digne Les Bains 23 novembre 2013 Les Nouveaux Anticoagulants Oraux (NACO) dans la maladie thrombo embolique veineuse INTRODUCTION Thrombose veineuse

Plus en détail

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas

HEPATITES VIRALES 22/09/09. Infectieux. Mme Daumas HEPATITES VIRALES 22/09/09 Mme Daumas Infectieux Introduction I. Hépatite aigu II. Hépatite chronique III. Les différents types d hépatites A. Hépatite A 1. Prévention de la transmission 2. Vaccination

Plus en détail

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané

Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané Énoncés Unité d enseignement 4 : Perception/système nerveux/revêtement cutané N 109 Dermatoses faciales : acné, rosacée, dermatite séborrhéique Diagnostiquer l acné, la rosacée, la dermatite séborrhéique.

Plus en détail

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE

ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE ÉVALUATION DE LA PERSONNE ATTEINTE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE PRISE EN CHARGE SYSTÉMATISÉE DES PERSONNES ATTEINTES D HYPERTENSION ARTÉRIELLE SOCIÉTÉ QUÉBÉCOISE D HYPERTENSION ARTÉRIELLE 23 ÉVALUATION DE

Plus en détail

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose

Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Association lymphome malin-traitement par Interféron-α- sarcoïdose Auteurs Cendrine Godet (*) Jean-Pierre Frat (**) Cédric Landron (*) Lydia Roy (***) Paul Ardilouze (****) Jean-Pierre Tasu (****) (*)

Plus en détail

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales

Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan

Plus en détail

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se

Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se Le psoriasis est une maladie fréquente Le psoriasis est une maladie qui touche environ 2 à 3 % de la population et qui se traduit le plus souvent par des plaques rouges sur la peau, légèrement surélevées

Plus en détail

Infirmieres libérales

Infirmieres libérales Détail des programmes- Feuillets complémentaires à la plaquette générale Infirmieres libérales Stages courts 2012 Durées et dates disponibles sur un calendrier en annexe Santé formation Formations gratuites

Plus en détail

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :

Module digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien : Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne

Plus en détail

La maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes

La maladie de Horton Artérite temporale Artérite à cellules géantes Artérite temporale Artérite à cellules géantes La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est

Plus en détail

Fibrillation atriale chez le sujet âgé

Fibrillation atriale chez le sujet âgé Dr Benoit Blanchard LE HAVRE Le 18 MARS 2014 Fibrillation atriale chez le sujet âgé Le plus fréquent des trouble du rythme cardiaque, 750,000 personnes atteintes de FA en France, 100,000 nouveaux cas chaque

Plus en détail

Item 182 : Accidents des anticoagulants

Item 182 : Accidents des anticoagulants Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome

Plus en détail

E04a - Héparines de bas poids moléculaire

E04a - Héparines de bas poids moléculaire E04a - 1 E04a - Héparines de bas poids moléculaire Les héparines de bas poids moléculaire (HBPM) sont un mélange inhomogène de chaînes polysaccharidiques obtenues par fractionnement chimique ou enzymatique

Plus en détail

La périartérite noueuse Maladie de Küssmaul-Maier

La périartérite noueuse Maladie de Küssmaul-Maier Maladie de Küssmaul-Maier La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003

Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Pré-Requis : Corpus Médical Faculté de Médecine de Grenoble Le reflux gastro-oesophagien (280) Professeur Jacques FOURNET Avril 2003 Sécrétion acide et peptique de l estomac Motricité œsophagienne et gastrique

Plus en détail

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express

Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des

Plus en détail

Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis

Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Item 288 : Troubles des phanères : Onyxis Collège National des Enseignants de Dermatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières OBJECTIFS... 2 I Atteinte matricielle avec modification

Plus en détail

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence

La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de

Plus en détail

Accidents des anticoagulants

Accidents des anticoagulants 30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER

Plus en détail

http://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com

http://www.aroma-zone.com - contacts@aroma-zone.com HUILE ESSENTIELLE DE BASILIC TROPICAL Revigorante et vitalisante, tonique puissante du système nerveux. Digestive, antispasmodique. Stress, fatigue, dépression, insomnie Flatulence, indigestion, nausée,

Plus en détail

TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE

TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE TRAITEMENT DE LA POLYARTHRITE RHUMATOIDE RÉVOLUTION DES PRINCIPES DE TRAITEMENT Mise à disposition de nouvelles molécules Traitements de fond classiques ( Méthotrexate, Salazopyrine ) : plus efficaces

Plus en détail

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation

Livret des nouveaux anticoagulants oraux. Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation Livret des nouveaux anticoagulants oraux Ce qu il faut savoir pour bien gérer leur utilisation DONNÉES DU PATIENT Nom Adresse Tél MÉDECIN TRAITANT Nom Adresse Tél SPÉCIALISTE Nom Hôpital Tél MÉDICAMENT

Plus en détail

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS

Céphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine

Plus en détail

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone

NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR. Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone NOTICE : INFORMATION DE L UTILISATEUR Delphi 0,1 % crème Acétonide de triamcinolone Veuillez lire attentivement cette notice avant d utiliser ce médicament car elle contient des informations importantes

Plus en détail

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène

La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène 1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients

Plus en détail

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie

LE GRAND LIVRE Du. Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel. Prévenir les complications. et surveiller la maladie Pr Jean-Jacques Altman Dr Roxane Ducloux Dr Laurence Lévy-Dutel LE GRAND LIVRE Du diabète Vivre avec le diabète à tout âge Traiter et surveiller la maladie Prévenir les complications, 2012 ISBN : 978-2-212-55509-7

Plus en détail

Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones

Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones Symposium des Société Française d Angéiologie (SFA) et Société Francophone de Médecine Sexuelle (SFMS), Paris, Journées internationales Francophones d Angéiologie 8 Janvier 2010 Historique 1550 Falloppio

Plus en détail

Conseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou

Conseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer

Plus en détail

La maladie de Buerger Thromboangéite oblitérante

La maladie de Buerger Thromboangéite oblitérante Thromboangéite oblitérante La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus

Principales causes de décès selon le groupe d âge. 0 24 25 44 45 64 65 84 85 et plus Module 2 Exercice 1: Cellules souches hématopoïétiques 1. Causes de décès en Suisse (2010) La figure suivante montre les causes de décès les plus fréquentes en Suisse en 2010, telles qu elles ont été relevées

Plus en détail

Les Migraines et les céphalées. Dr G.Hinzelin Migraines et Céphalées Migraines et Céphalées La migraine représente entre 5 à 18% de la population française selon le sexe et en fonction des études. Est

Plus en détail

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004

neurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004 11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE

Plus en détail

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4

Anémie et maladie rénale chronique. Phases 1-4 Anémie et maladie rénale chronique Phases 1-4 Initiative de qualité en matière d issue des maladies rénales de la National Kidney Foundation Saviez-vous que l initiative de qualité en matière d issue des

Plus en détail

CRPP. Syndrome MYH9. Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires. Livret destiné au patient

CRPP. Syndrome MYH9. Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires. Livret destiné au patient CRPP Centre de Référence des Pathologies Plaquettaires Syndrome MYH9 Macrothrombocytopénies constitutionnelles liées à MYH9 (Anomalie de May-Hegglin, Syndrome de Sebastian, d Epstein, de Fechtner, d Alport-like

Plus en détail

Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes

Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Mécanismes moléculaires à l origine des maladies autoimmunes Sébastien Lacroix-Desmazes INSERM UMRS 1138 Immunopathology and herapeutic Immunointervention CRC - Paris, France Ma connaissance d un patient

Plus en détail

Tuméfaction douloureuse

Tuméfaction douloureuse Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire

Plus en détail

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies :

1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : 1- Parmi les affirmations suivantes, quelles sont les réponses vraies : a. Les troubles fonctionnels digestifs sont définis par les critères de Paris b. En France, le syndrome de l intestin irritable touche

Plus en détail

Dermatologie courante du sujet âgé. Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard

Dermatologie courante du sujet âgé. Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard Dermatologie courante du sujet âgé Printemps Médical de Bourgogne 31 Mars 2012 Dr Claude Plassard Gériatre CHI Châtillon/Montbard Mécanismes du vieillissement cutané En vieillissant, la peau se ride, s

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Feuillet d'information complémentaire à l'attention du patient HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée ; il faudrait

Plus en détail

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX

Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants. Docteur Christine BOITEUX Hémostase et Endocardite Surveillance des anticoagulants Docteur Christine BOITEUX Théorie Endocardites et anticoagulation POUR Thromboses Emboles septiques CONTRE Favorise emboles septiques et diffusion

Plus en détail

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE

GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE GUICHET D ACCÈS À UN MÉDECIN DE FAMILLE Vous êtes à la recherche d un médecin de famille? Le CSSS-IUGS peut vous aider. Inscrivez-vous au guichet d accès à un médecin de famille en remplissant le formulaire

Plus en détail

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain)

NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR. Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) NOTICE: INFORMATION DE L UTILISATEUR Immukine 100 microgrammes/0,5 ml solution injectable (Interféron gamma-1b recombinant humain) Veuillez lire attentivement l'intégralité de cette notice avant d'utiliser

Plus en détail

Douleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013

Douleurs des mains. Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements. C.Zenklusen septembre 2013 Douleurs des mains Douleurs des mains les plus fréquentes: pertinence, causes, traitements C.Zenklusen septembre 2013 Causes de douleurs aux mains Articulations (origine articulaire) Nerfs (origine nerveuse)

Plus en détail

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES

DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES DERMATOSES ECZEMATIFORMES LICHENOIDES ET ERYTHEMATO-SQUAMEUSES I ECZEMA ET LESIONS ECZEMATIFORMES II LICHEN PLAN III LICHEN SCLERO-ATROPHIQUE IV MALADIE LUPIQUE V PSORIASIS VI AUTRES Parapsoriasis Kératodermies

Plus en détail

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?

QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem

Plus en détail

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE

I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE I - CLASSIFICATION DU DIABETE SUCRE 1- Définition : Le diabète sucré se définit par une élévation anormale et chronique de la glycémie. Cette anomalie est commune à tous les types de diabète sucré, mais

Plus en détail

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE

GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE GUIDE D INFORMATIONS A LA PREVENTION DE L INSUFFISANCE RENALE SOURCES : ligues reins et santé A LA BASE, TOUT PART DES REINS Organes majeurs de l appareil urinaire, les reins permettent d extraire les

Plus en détail

La maladie de Still de l adulte

La maladie de Still de l adulte La maladie de Still de l adulte Syndrome de Wissler-Fanconi La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée

Plus en détail

SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE

SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE SYNDROME DU TUNNEL CARPIEN, EPICONDYLITE ET TRAVAIL : POINT DE VUE DU RHUMATOLOGUE D. VAN LINTHOUDT La Chaux-de-Fonds Lausanne, le 19.11.2004 SYNDROMES DOULOUREUX PAR SURCHARGE DU MEMBRE SUPERIEUR épaule

Plus en détail

Atelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale

Atelier N 2. Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Atelier N 2 Consultation de patientes porteuses d une maladie générale Contre indica,ons à la grossesse Hypertension artérielle pulmonaire >30mmHg Maladie de Marfan (dilatation aortique>4 cm) Rétrécissement

Plus en détail

Les eczémas: l approche au cabinet

Les eczémas: l approche au cabinet Les eczémas: l approche au cabinet Dr H. Brandstätter Dr J. Sommer-Bülher Prof. V. Piguet Plan Comment analyser une lésion? Différentes formes d eczémas Traitement Quand référer chez le dermatologue? 1

Plus en détail

Hépatite C une maladie silencieuse..

Hépatite C une maladie silencieuse.. Hépatite C une maladie silencieuse.. F. Bally Centre de Maladies Infectieuses et Epidémiologie Institut Central des Hôpitaux Valaisans Histoire Années 70 Hépatite non-a-non-b = hépatite post-transfusionelle

Plus en détail

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ

L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le

Plus en détail

Innovations thérapeutiques en transplantation

Innovations thérapeutiques en transplantation Innovations thérapeutiques en transplantation 3èmes Assises de transplantation pulmonaire de la région Est Le 16 octobre 2010 Dr Armelle Schuller CHU Strasbourg Etat des lieux en transplantation : 2010

Plus en détail

Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique

Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Mme BORGHI Monique Infirmière ETP Mme ALEXIS Françoise Hopital Archet I Infectiologie/Virologie Clinique Une hépatite est une inflammation du foie causée soit par des substances toxiques (médicaments,

Plus en détail

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV

Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV Guide méthodologique développé par l équipe de projets ci-dessous : Fiche Produit Profils Médicalisés PHMEV EQUIPE PROJET Chef de projet : Maryline CHARRA, Pharmacien Conseil Responsable de la mission

Plus en détail

Psoriasis & Sport. Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives. Qui le psoriasis touche-t-il?

Psoriasis & Sport. Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives. Qui le psoriasis touche-t-il? Psoriasis, let s sport together! Psoriasis & Sport Pour un meilleur accès des personnes psoriasiques aux activités sportives Qui le psoriasis touche-t-il? On estime que 2 à 3 % de la population belge est

Plus en détail

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI

LE SYNDROME DE BUDD CHIARI CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)

Plus en détail

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans)

La drépanocytose. Sikkelcelziekte (Frans) La drépanocytose Sikkelcelziekte (Frans) Qu est-ce que la drépanocytose? La drépanocytose est une maladie causée par un changement héréditaire du pigment rouge dans les globules rouges : l hémoglobine.

Plus en détail

Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie

Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Actualisation de la prescription en biologie rhumatologie Pathologies inflammatoires et connectivites Pathologies dégénératives Exclusion du métabolisme phosphocalcique et des marqueurs du remodelage osseux

Plus en détail

Marchés des groupes à affinités

Marchés des groupes à affinités Marchés des groupes à affinités Guide du produit destiné aux conseillers Régime d assurance maladies graves Chèque-vie MD de base La Compagnie d Assurance-Vie Manufacturers Le produit en bref Nul n aime

Plus en détail

Le VIH et votre foie

Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Le VIH et votre foie Que dois-je savoir au sujet de mon foie? Votre foie joue un rôle incroyablement important. Il filtre votre sang en éliminant les substances nocives (toxiques)

Plus en détail

PROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres

PROGRAMME. Qu est ce que la sélection? Médicale Non médicale. Tarification et compensation Mortalité, surmortalité Loi des grands nombres COMPRENDRE LA SELECTION ET LA TARIFICATION DES RISQUES B1 Durée : 1 journée Niveau Retenir les principes et définitions de base Comprendre les raisons de la sélection et les principes de tarification Faciliter

Plus en détail

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE

EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE EXEMPLE DE METHODOLOGIE POUR L ELABORATION D UN PROTOCOLE DOULEUR Marie AUBRY Infirmière référente douleur Hôpital TENON AP-HP Paris XX e SOMMAIRE Etape n 1 : Faire l état des lieux Identifier la situation

Plus en détail

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015

L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 L hépatite C pas compliqué! Véronique Lussier, M.D., F.R.C.P.C. Gastroentérologue Hôpital Honoré-Mercier 16 avril 2015 Objectifs de la présentation Décrire l évolution clinique et la prise en charge d

Plus en détail

L anémie hémolytique auto-immune

L anémie hémolytique auto-immune L anémie hémolytique auto-immune La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à

Plus en détail

La maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée

La maladie de Verneuil Hidrosadénite suppurée Hidrosadénite suppurée La maladie Le diagnostic Les aspects génétiques Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur Cette fiche est destinée à vous informer

Plus en détail

La maladie de Takayasu

La maladie de Takayasu La maladie Le diagnostic Le traitement, la prise en charge, la prévention Vivre avec En savoir plus Madame, Monsieur, Cette fiche est destinée à vous informer sur la maladie de Takayasu. Elle ne se substitue

Plus en détail

E03 - Héparines non fractionnées (HNF)

E03 - Héparines non fractionnées (HNF) E03-1 E03 - Héparines non fractionnées (HNF) Les héparines sont des anticoagulants agissant par voie parentérale. 1. Modalités d u tilisation Mode d action : l héparine est un cofacteur de l antithrombine

Plus en détail

Bien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte

Bien vous soigner. avec des médicaments disponibles sans ordonnance. juin 2008. Douleur. de l adulte Bien vous soigner avec des médicaments disponibles sans ordonnance juin 2008 Douleur de l adulte Douleur de l adulte Ce qu il faut savoir La douleur est une expérience sensorielle et émotionnelle désagréable,

Plus en détail

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE

Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Laurence LEGOUT, Michel VALETTE, Henri MIGAUD, Luc DUBREUIL, Yazdan YAZDANPANAH et Eric SENNEVILLE Service Régional Universitaires des Maladies Infectieuses et du Voyageur, Hôpital Gustave Dron 59208 TOURCOING

Plus en détail

Concours d Internat et de Résidanat

Concours d Internat et de Résidanat Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une

Plus en détail

HERNIE DISCALE LOMBAIRE

HERNIE DISCALE LOMBAIRE Service de Chirurgie orthopédique et Traumatologique Hôpital Beaujon 100, boulevard du général Leclerc 92110 CLICHY Accueil : 01 40 87 52 53 Consultation : 01 40 87 59 22 Feuillet d information complémentaire

Plus en détail

Bulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur,

Bulletin n 10 2014. Cher adhérent, cher donateur, Bulletin n 10 2014 Cher adhérent, cher donateur, La maladie crée souvent une situation de stress aussi il nous a semblé nécessaire de préciser les différentes étapes du parcours de soins afin de faciliter

Plus en détail

Définitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant

Définitions. MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe. PROTECTION MULTIPLE pour enfant Définitions MALADIES GRAVES Protection de base Protection de luxe PROTECTION MULTIPLE pour enfant Voici les définitions des maladies graves et non critiques que vous pouvez retrouver dans les garanties

Plus en détail

PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE

PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE PLAC E DE L AN ALYS E TOXIC OLOG IQUE EN URGE NCE HOSP ITALI ERE CHEFIRAT B. Les intoxications aiguës constituent un réel problème de santé publique dont l impact reste encore à évaluer. Le nombre total

Plus en détail

Prise en charge de l embolie pulmonaire

Prise en charge de l embolie pulmonaire Prise en charge de l embolie pulmonaire Dr Serge Motte Liège 06.12.14 - Laack TA et Goyal DG, Emerg Med Clin N Am 2004; 961-983 2 PLAN Diagnostic Prise en charge: Phase aiguë: analyse de gravité Choix

Plus en détail

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013

Pathologie VIH. Service maladies infectieuses Archet 1. Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Pathologie VIH Service maladies infectieuses Archet 1 Françoise ALEXIS, infirmière Monique BORGHI, infirmière 15 octobre 2013 Les traitements antirétroviraux Sont classés en 5 familles selon leur mode

Plus en détail

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER

ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER ANEMIE ET THROMBOPENIE CHEZ LES PATIENTS ATTEINTS D UN CANCER Dr Michael Hummelsberger, Pr Jean-Gabriel Fuzibet, Service de Médecine Interne, Hôpital l Archet, CHU Nice 1. ANEMIE L étiologie de l anémie

Plus en détail

Conseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine

Conseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine Conseil International d Ophtalmologie Livret d ophtalmologie pour étudiants en Médecine 2009 Compilé par le comité pour l enseignement Universitaire du Conseil International d Ophtalmologie. Cher étudiant

Plus en détail

et l utilisation des traitements biologiques

et l utilisation des traitements biologiques et l utilisation des traitements biologiques Choisir le meilleur traitement pour retrouver la qualité de vie que vous êtes en droit d avoir Les agents biologiques (biothérapies) Étant les plus récents

Plus en détail

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie

Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie Ordonnance du DFI sur les prestations dans l assurance obligatoire des soins en cas de maladie (Ordonnance sur les prestations de l assurance des soins, OPAS) Modification du 14 juin 2010 Le Département

Plus en détail

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH)

CEPHALEES POST-BRECHE DURALE. Post Dural Puncture Headache (PDPH) CEPHALEES POST-BRECHE DURALE Post Dural Puncture Headache (PDPH) G. Buzançais Dr E. Morau 6 Mars 2013 Plan Introduction Physiopathologie Traitements Conclusion Définitions Brèche durale Ponction de dure-mère

Plus en détail

Les nouveaux traitements de fond de la SEP

Les nouveaux traitements de fond de la SEP Sclérose en plaques : les nouveaux traitements Guillaume MATHEY, Hôpital de Metz-Mercy Les nouveaux traitements de fond de la SEP Le but des traitements de fond Forme par poussées 2 ième ligne TYSABRI

Plus en détail

VOUS et VOTRE NOUVEAU TRAITEMENT anticoagulant Eliquis, Pradaxa, Xarelto

VOUS et VOTRE NOUVEAU TRAITEMENT anticoagulant Eliquis, Pradaxa, Xarelto VOUS et VOTRE NOUVEAU TRAITEMENT anticoagulant Eliquis, Pradaxa, Xarelto Carnet-conseils appartenant à :.... Adresse :......................... Tel :............................ Médecin Généraliste : Adresse

Plus en détail

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1

Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Orientation diagnostique devant une éosinophilie 1 Introduction L hyperéosinophilie est définie par la présence de polynucléaires éosinophiles circulants à plus de 0,5 G/l (500/µl) (quel que soit leur

Plus en détail

SYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES

SYNOPSIS INFORMATIONS GÉNÉRALES Evaluation de l utilisation d un anticoagulant anti-xa direct oral, Apixaban, dans la prévention de la maladie thromboembolique veineuse chez les patients traités par IMiDs au cours du myélome : étude

Plus en détail

prise en charge paramédicale dans une unité de soins

prise en charge paramédicale dans une unité de soins Société française de neurologie RÉFÉRENTIEL D AUTO-ÉVALUATION DES PRATIQUES EN NEUROLOGIE Prise en charge hospitalière initiale des personnes ayant fait un accident vasculaire cérébral (AVC) : prise en

Plus en détail

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique

S o m m a i r e 1. Sémiologie 2. Thérapeutique Sommaire 1. Sémiologie... 1 Auscultation cardiaque... 1 Foyers d auscultation cardiaque... 1 Bruits du cœur... 1 Souffles fonctionnels... 2 Souffles organiques... 2 Souffle cardiaque chez l enfant... 3

Plus en détail