C.CHAMMAKHI-JEMLI 1, I.RADHOUANI 1, O.GHAMRA 2, W.ZOUAOUI 1, H.MZABI 1, C.MBAREK2, A.LEKHDIM 2,MH.DAGHFOUS 1 1: Service de Radiologie 2: Service ORL
|
|
- Coraline Lucile Delisle
- il y a 8 ans
- Total affichages :
Transcription
1 C.CHAMMAKHI-JEMLI 1, I.RADHOUANI 1, O.GHAMRA 2, W.ZOUAOUI 1, H.MZABI 1, C.MBAREK2, A.LEKHDIM 2,MH.DAGHFOUS 1 1: Service de Radiologie 2: Service ORL CHU HBIB THAMEUR TUNISIE
2 INTRODUCTION MATERIELS ET METHODES RESULTATS DISCUSSION Rappel anatomique Rappel clinique Apport de la TDM EVOLUTION CONCLUSION
3 La cellulite se définit comme une infection des espaces celluloadipeux du cou et de la face à tendance extensive propagée de proche en proche à partir d une inoculation septique locorégionale. La plupart des formes observées correspondent à des cellulites aigues circonscrites, séreuses ou suppurées. Dans certains cas, l'infection s'étend rapidement de façon brutale, dépassant l'espace anatomique de départ, on parle alors de cellulite diffuse.
4 La cellulite est considérée comme grave quand son caractère extensif et nécrosant met en jeu le pronostic fonctionnel ou vital du patient. Tous retard diagnostic et thérapeutique assombrit le pronostic Pronostic vital mis en jeu La cellulite cervico-faciale constitue ainsi une véritable urgence thérapeutique.
5 Si l examen clinique permet à lui seul de poser le diagnostic de suppuration cervicale, il ne peut confirmer son caractère collecté et préciser l extension locorégionale des lésions et les facteurs de gravité. D où l intérêt du scanner
6 Il s agit d une étude rétrospective porté sur 22 cas de cellulites cervico-faciales compliquées colligées à l Hôpital Habib Thamer entre 2001 et Tous nos patients sont explorés par une TDM hélicoïdale d emblée avec injection de produit de contraste. L objectif de notre travail est de préciser l intérêt de la TDM dans la détermination des facteurs de gravité et dans la réalisation d un bilan précis de la maladie.
7 Les complications qui ont été retrouvées chez nos patients sont à type de : Pneumopathie chez 1 patient Médiastinite chez 7 patients Méningite chez 1 patient Extension orbitaire chez 5 patients Compression trachéale chez 8 patients La TDM a été indiquée d emblée devant la présence de signes de gravité ou dans les cas où l examen clinique est douteux concernant l existence de complications.
8 L âge de nos patients a varié entre 12 et45 ans avec une moyenne de 45 ans. Nos patients ont été répartis en 91% d hommes et 9 % de femmes. Les antécédents pathologiques retrouvés sont: - Diabète 18% - Traitement mal adapté 50% - Absence de traitement 36% - Traitement par AINS 23% - Traitement par AIS 9%
9 La porte d entrée a été identifiée dans tous les cas: - Dentaire 45% - Oropharyngée 36% - Autres (cutanée, glandulaire) 19% Les signes fonctionnels rapportés son à type de: - Trismus 45% - Crépitation gazeuse 18%
10 La TDM a montré: Des hyperclartés présentes au sein de la zone suppurée dans 77% des cas, indiquant la présence de nécrose à germes anaérobies d où la forme de cellulite gangréneuse. Une extension médiastinale a été notée dans 27% des cas Une extension orbitaire dans 23% des cas
11 TDM cervicale coupe axiale : Épaississement et infiltration hétérogène contenant des bulles d air de l espace masticateur droit: cellulite sans collection profonde oropharyngée. TDM cervicale coupe axiale: cellulite gangreneuse étendue avec des bulles d air.
12 TDM en coupe axiale après injection de PDC: Collection au dépend de la loge amygdalienne gauche mal limitée contenant des clartés aériques et comprimant la filière laryngée. TDM en coupe axiale avec injection de PDC: Cellulite submandibulaire avec extension latérocervicale avec la présence d hyperclartés aériques.
13 TDM en coupe axiale pratiqué après injection de PDC: Infiltration du médiastin antéro-supérieur du processus infectieux. TDM en coupes axiale : Extension vers le médiastin antéro-supérieur de la cellulite. Noter la présence d emphysème sous cutané thoracique.
14 TDM thoracique coupe axiale: Médiastinite chez un malade trachéotomisé TDM thoracique coupe axiale: Épaississement et rehaussement hétérogène de la graisse médiastinale lors d une médiastinite postérieure compliquant une collection de l espace rétro pharyngien
15 TDM massif facial coupe coronale: Cellulite intraorbitairre avec abcès sous périosté et collection ethmoido-orbitaire. Coupes TDM après injection de produit de contraste: Abcès sous-périosté secondaire à une ethmoïdite. Noter la lyse osseuse de la lame papyracée gauche.
16 TDM cervicale coupe sagittale: Collection rétro pharyngée TDM cervicale coupe axiale: Cellulite faciale des espaces submandibulaires et masticateur
17 TDM coupe axiale: Collection superficielle partiellement cloisonnée au niveau de la région antérieure du cou. TDM coupe axiale: Collections au niveau des espaces submandibulaires.
18 TDM cervicale coupe axiale: Cellulite de la région profonde de la face en voie de collection avec extension à la paroi latérale gauche du cavum qu elle bombe. TDM cervicale coupe axiale : Collection de la région profonde de la face exerçant un effet de masse sur l oropharynx en le refoulant à droite.
19 TDM en coupe axiale après injection de PDC: Aspect hétérogène du lobe droit de la thyroïde avec image de collection en regard. TDM en coupes axiale : Extension périlaryngée et périvasculaire de la cellulite avec refoulement de la filière laryngée.
20 TDM en coupe axiale après injection du PDC: Extension dans l espace submandibulaire et péri pharyngien de la cellulite avec rétrécissement de la filière oropharyngée TDM reconstruction coronale: Collection laryngée gauche exerçant un discret effet de masse sur la filière laryngée. A noter le siège profond de la collection.
21 Le traitement consistait en: Traitement médical: triple antibiothérapie dans 100% des cas. Chirurgie: drainage dans 100% des cas. L évolution était favorable seulement dans 86% des cas.
22 Les fascias du cou délimitent entre elles des espaces cervicaux profonds qui forment des voies de diffusion de l infection dans la région cervico-faciale et vers le médiastin. Ces espaces sont essentiels à connaître à fin de faire face à cette évolution souvent fatale.
23 LES APONEVROSES DU COU: L aponévrose cervicale superficielle L aponévrose cervicale moyenne ou pré trachéale L aponévrose cervicale profonde ou lame pré vertébrale La gaine viscérale La gaine carotidienne
24 LES ESPACES DU COU : L espace péripharyngien : il est subdivisé par deux lames sagittales pharyngo-prévertébrales en trois espaces, rétro pharyngien et latéropharyngiens L espace rétro pharyngien L espace latéral ou para-pharyngien : Il est subdivisé par le diaphragme stylien en deux régions: - La région préstylienne - La région rétro-stylienne L espace rétro viscéral L espace pré vertébral La région du plancher buccal L espace viscéral antérieur ou espace pré trachéal
25 Coupe axiale passant par C6 : Fascias et gaines cervicales
26 Fascias et espaces profond du cou
27 Les espaces péripharyngiens
28 LE MEDIASTIN: Il est limité en avant par le plan sterno-costal, en arrière par le rachis, et latéralement par les plèvres médiastinales. La trachée, entourée des chaînes lymphatiques, forme l axe moyen du médiastin avec en avant le médiastin antérieur contenant la loge thymique et en arrière le médiastin postérieur contenant l œsophage, le pneumogastrique et la veine azygos. L infection cervicale peut ainsi s étendre en haut vers l endocrâne à travers l espace rétro-stylien et en bas vers le médiastin en suivant 3 voies de diffusions : L espace pré-trachéal vers le médiastin antérieur. L espace périvasculaire soit vers le médiastin antérieur ou postérieur. L espace rétropharyngé principalement vers le médiastin postérieur mais aussi vers le médiastin antérieur.
29 Coupe axiale au niveau de T3 : Médiastin supérieur
30 Les espaces profonds de la face: Sont situés entre la base du crâne et l os hyoïde Certains communiquant entre eux. Architecture anatomique complexe Explorés surtout par l imagerie en coupes (TDM, IRM) Les espaces profonds de la face sont répartis en: Médians : Rétropharyngé (RP) Pré-vertebral antérieur et postérieur (PV) Latéraux : Parapharyngé (préstylien) (PP) Parotidien (P) Carotidien (C) (rétrostylien) Masticateur (M) Buccal (B) Submandibulaire (SM) Antérieurs : Sublingual (SL) Viscéral (V)
31 L espace retropharyngé (RP): Il contient du tissu conjonctif lâche, les nœuds lymphatiques rétropharyngiens, l artère pharyngienne ascendante et le plexus veineux. Il s étend de la base de crâne jusqu à la hauteur de la première vertèbre dorsale où les deux feuillets se réunissent. Il n est pas identifiable en imagerie Espaces prévertebraux ant et post (PV): Cet espace est limité en avant par le fascia prévertébral et en arrière par les vertèbres. Il s étend le long du rachis jusqu au coccyx. L espace latéropharyngé: Encore appelé espace pharyngo-maxillaire. C est l espace cervical le plus important, en forme de cône et s étend de la base de crâne jusqu à la hauteur de la grande corne de l os hyoïde. Il est subdivisé par le diaphragme stylien en deux régions préstylienne et rétro-stylienne.
32 L espace carotidien (rétrostylien): Situé en arrière du diaphragme stylien, c est un espace vasculaire (carotide, jugulaire), ganglionnaire et nerveux L espace parapharyngien (préstylien): Situé en avant du diaphragme stylien, il contient des ganglions, de la graisse et quelques glandes salivaires accessoires L espace masticateur : Est plus vaste que la fosse infratemporale, situé en avant de l espace préstylien et englobe les structures situées en dehors du ramus mandibulaire et au dessus de l arcade zygomatique. L espace submandibulaire : Situé en dedans et en bas de l espace masticateur,il contient la glande submandibulaire
33 Communications des espaces profonds A : Fosse infratemporale B : Loge parotidienne B : Espaces préstylien et rétrostylien C : Espaces rétropharyngé et prévertebral D : Espace sublingual E : Loge sous-maxillaire F : Espace sous-mental G : Espace carotidien
34 La cellulite cervico-faciale demeure une pathologie fréquente sous nos climats malgré l amélioration du niveau social et économique. La mauvaise hygiène bucco-dentaire, la négligence des patients et l automédication augmentent son incidence Les cellulites cervico-faciales graves se caractérisent par une évolution clinique extensive et pouvant aboutir à un syndrome septicémique et au décès du patient. Les formes gravissimes représentent 5-10% des cellulites cervico-faciales et sont préférentiellement retrouvés chez les sujets masculins jeunes.
35 La dépression immunitaire en rapport avec un état physiologique, avec une pathologie générale ou d origine iatrogène semble prédisposer à une évolution grave de ces infections (diabète, anémie) Les cellulites cervico-faciales sont en grande majorité d origine dentaire suivie par les portes d entrées oro-pharyngées, les autres étiologies sont plus rares. Il faut penser à une cellulite devant la conjonction de signes généraux infectieux graves et de modifications physiques de l aspect du cou dans le contexte d antécédents récents, parfois encore évolutifs de pharyngite aigue, d avulsion dentaire, d abcès péri-apical ou de soins dentaires. La flore responsable du processus cellulitique est polymicrobienne et le plus souvent mixte, aéro-anaérobie
36 Le diagnostic est avant tout clinique permettent de distinguer deux formes : -Une forme gangreneuse avec des crépitations sous cutanée, myonécrose responsable d une rapidité de diffusion et d un plus grand risque d extension médiastinale et de décès. -Une forme pseudo phlegmoneuse sans crépitation sous cutanée mais ayant une évolution plus lente. Le traitement est double, médical par une antibiothérapie à large spectre prolongée associée à un traitement chirurgical consistant en une exérèse des tissus nécrosés et drainage des collections purulentes. Un traitement étiologique est aussi nécessaire afin d éviter les récidives.
37 La TDM occupe une place importante dans le bilan de toute cellulite cervico-faciale en effet elle permet d identifier : Le siége, l importance de l extension locale, la diffusion transspatiale ou à distance. Une collection drainable sous guidage TDM ou par voie chirurgicale ainsi que son volume. Le retentissement sur l axe aérien et l axe vasculaire carotidien (thrombose, atteinte pariétale vasculaire). Une origine méconnue : dentaire(granulome) ; sinusienne ; corps étranger. Une collection de gaz. Une diffusion médiastinale : atteinte sus et infra-carénaire. Une atteinte du sinus caverneux,des méninges voire l orbite ou du parenchyme encéphalique.
38 La TDM est réalisée avec et sans injection de produit de contraste, en coupes axiales et coronales de 3-5mm d épaisseur depuis la base du crâne jusqu au médiastin avec reconstructions sagittales et coronales. Dans les cellulites diffuses, le scanner montre une image hypodense, très extensive, à limites floues, avec disparitions des tissus graisseux atteints, les plans aponévrotiques et musculaires de contiguïté sont infiltrés et épaissies. La TDM est excellente dans la détection de la présence d emphysème cutané et des opacités gazeuses disséquant les espaces cervicaux et thoraciques. Des recoupes thoraciques réalisées devant toute cellulite cervicale extensive permet de révéler une médiastinite, la localisation du processus infectieux par rapport à la crosse de l aorte oriente le drainage.
39 Les complications sont surtout l apanage des cellulites de la gouttière vasculaire et de l espace rétropharyngien. Les thrombophlébites cervico-faciales et jugulaires peuvent conduire à une dissémination hématogène rapide. Le scanner est l examen clé pour établir le bilan lésionnel Les principales complications sont : Les infections pleuro-pulmonaires La médiastinite: La TDM permet de localiser avec précision le niveau de l atteinte médiastinale par rapport à la carène orientant ainsi la voie de drainage Les complications pleuro péricardiques Les thrombophlébites septiques ( thromboses veineuses et ruptures artérielles) L extension à la base du crâne L extension méningo-encéphalique Les complications générales (septicémie,civd..)
40 La médiastinite: C est la complication la plus fréquente des cellulites cervicofaciales. C est une pathologie rare mais grave L extension médiastinale est plus fréquente au cours des cellulites gangreneuses 3 voies anatomiques de diffusion : l espace prétrachéal vers le médiastin antérieur dans 7% des cas. L espace péri vasculaire vers le médiastin antérieur ou postérieur dans 20% des cas. L espace rétro pharyngé principalement vers le médiastin postérieur, mais aussi vers le médiastin antérieur, dans 70% des cas.
41 La TDM met en évidence: Épaississement et rehaussement de la graisse médiastinale Collections médiastinales sous forme de formations hypodenses mal limitées comblant les espaces cellulo-graisseux du médiastin Traînées de densité gazeuse disséquant les espaces anatomiques cervico-faciaux Une classification de la médiastinite selon le siège de la suppuration par rapport à la bifurcation trachéale a été établi par, Endo et col. qui a permis d harmoniser la stratégie thérapeutique: Le type 1 : les lésions ne dépassent pas la carène. Le type 2A : extension des lésions vers le médiastin inféroantérieur. Le type 2B : extension des lésions vers le médiastin postéroinférieur.
42 Les complications pleuro péricardiques: Ces complications peuvent être isolées ou le plus souvent associées à une extension médiastinale. Elles sont à type de: -Péricardite -Pleurésie -Pneumonie -Pneumopathie nécrosante d évolution fatale. -Les abcès pulmonaires L atteinte du péricarde se fait par contiguïté par fusion des aponévroses cervicales avec le péricarde par le biais de la lame thyropéricardique La TDM montre un épanchement péricardique dans la majorité des cas.
43 Les thrombophlébites septiques: La thrombose septique de la veine jugulaire interne : Douleur se projetant le long du bord antérieur du muscle sternocléido-mastoïdien + une tuméfaction de la région jugulo-carotidienne. La confirmation diagnostique: tomodensitométrie cervicale avec injection de produit de contraste TDM: augmentation de calibre de la veine thrombosée non opacifiée, entourée d un liséré hyperdense La rupture artérielle: Les complications hémorragiques sont devenues exceptionnelles avec la précocité de la prise en charge des cellulites cervicales. La rupture de ces lésions qui surviennent en règle au niveau des gros troncs vasculaires entraîne une hémorragie cataclysmique fatale La TDM montre une extravasation du PDC
44 Si les cellulites cervico-faciales circonscrites sont connues par leur évolution souvent favorable sous un traitement adéquat, le pronostic des cellulites diffuses ou gangréneuse reste sévère et la mortalité dans les séries rapportées se situe autours de 20 à 30%. Cette mortalité est étroitement liée aux complications générales et locorégionales. L extension médiastinale multiplie la mortalité par deux. Le taux de mortalité atteignant 50% avant l avènement des antibiotiques a beaucoup diminué grâce à une antibiothérapie large et précoce, à la réalisation systématique d une tomodensitométrie cervicofaciale et notamment à une chirurgie agressive.
45 La cellulite cervico-faciale est une affection redoutable pouvant mettre en jeu le pronostic vital devant son caractère extensif et nécrosant. Constitue ainsi une véritable urgence diagnostique et thérapeutique. La porte d entrée dentaire est de loin la cause la plus fréquente 2 formes cliniques -La forme circonscrite : avec trois phases : Séreuse Suppurative De collection.
46 -La forme extensive : -L infection va diffuser de proche en proche sans tendance à la limitation spontanée. -C est une forme rare, mais potentiellement grave. -Les signes cliniques alarmant d une forme grave: Des signes de compressions à type de dyspnée et de dysphagie. Des crépitations neigeuses en faveur de la nature gazogène de la cellulite. Des signes généraux de sepsis avec fièvre supérieure à 38.5 C et altération de l état général. La flore responsable du processus cellulitique est polymicrobienne et mixte, aéro-anaérobique.
47 La tomodensitométrie est l examen de choix,elle permet de: Appréhender la localisation de l infection l au niveau des sites anatomiques cervicaux Orienter le diagnostic étiologique Guider la voie de drainage Mettre en évidence une complication :une extension médiastinale,une thrombose de la veine jugulaire interne
48 La pratique d un d examen TDM en urgence est indispensable devant toute suspicion de cellulite cervico-faciale afin de faire un bilan précis de la maladie, d adapter d le protocole thérapeutique et d éviter les complications qui peuvent mettre en jeu le pronostic vital du patient.
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales
Apport de la TDM dans les cellulites cervico-faciales A propos de 35cas L.Derouich, N.El Benna, N.Moussali, A.Gharbi, A.Abdelouafi Service de Radiologie Hôpital 20 Aout CHU Ibn Roch Casablanca Maroc plan
Plus en détailPatient de 40 ans, pas d antécédent notable. Abcès dentaire soigné par ATB + AINS.
Patient de 40 ans, pas d antécédent notable Abcès dentaire soigné par ATB + AINS. Syndrome infectieux sévère clinique (fièvre à 40 C frissons, AEG) et biologique Extraction de la dent 38 et ponction-aspiration
Plus en détailConcours d Internat et de Résidanat
Concours d Internat et de Résidanat Ce programme a pour but d aider à la préparation des concours d internat et de résidanat. Il ne constitue en aucun cas un répertoire de «questions d examen» mais une
Plus en détailPROGRAMME DU CONCOURS D ACCES AU RESIDANAT DE CHIRURGIE DENTAIRE
MINISTERE DE L ENSEIGNEMENT SUPERIEUR ET DE LA RECHERCHE SCIENTIFIQUE UNIVERSITE D ALGER DEPARTEMENT DE 1- SPECIALITE : PROTHESE 1 Anatomie dentaire 2 Les matériaux à empreinte 3 Les traitements pré-prothetiques
Plus en détailTuméfaction douloureuse
Santé bucco-dentaire Médecin de 1 er recours et problèmes dentaires fréquents Dre May SALMAN, médecin dentiste HUG Dr Jean-Pierre RIEDER, médecin interniste HUG Plan de présentation Santé bucco-dentaire
Plus en détailLa langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale,
LES «ANNEXES» DE LA CAVITE ORALE La Langue La langue, constituant la majeure partie de la partie inférieure de la cavité orale, occupe l espace dans cette cavité orale, dans la concavité de l arche mandibulaire,
Plus en détailCancers de l hypopharynx
Cancers de l hypopharynx A- GENERALITES 1) Epidémiologie Cancer fréquent et de pronostic grave du fait de son évolution insidieuse et de son caractère lymphophile. C est quasiment toujours un carcinome
Plus en détailLe cliché thoracique
Le cliché thoracique Date de création du document 2008-2009 Table des matières * Introduction... 1 1 Nomenclature radiologique... 1 2 Le cliché thoracique de face... 2 2. 1 Qualité du cliché... 1 2. 2
Plus en détailRecommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés
Recommandations régionales Prise en charge des carcinomes cutanés - décembre 2009 - CARCINOMES BASOCELLULAIRES La chirurgie : traitement de référence et de 1 ère intention Classification clinique et histologique
Plus en détailL ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ
L ACCÈS VEINEUX DE COURTE DURÉE CHEZ L ENFANT ET LE NOUVEAU-NÉ Plan de la présentation Introduction L enfant Le cathéter court La voie veineuse centrale La voie intra-osseuse Plan de la présentation Le
Plus en détailLE LARYNX VUE ANTERIEURE DU LARYNX : Décembre 2007 Sources Étudiantes. Faculté de Médecine Montpellier-Nîmes
LE LARYNX Le larynx est un conduit aérien qui joue un rôle essentiel dans la phonation mais aussi dans la respiration. Suite au larynx, se trouve la glotte, une zone rétrécie qui délimite les voies aériennes
Plus en détailAspects cliniques et thérapeutiques des cellulites cervico faciales d origine dentaire au niveau du CHU Tlemcen
الجمهورية الجزائرية الديمقراطية الشعبية République Algérienne Démocratique et Populaire Ministère de l enseignement supérieur وزارة التعليم العالي و البحث العلمي et de la recherche scientifique UNIVERSITE
Plus en détailPeut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY
Peut-on reconnaître une tumeur de bas-grade en imagerie conventionnelle? S. Foscolo, L. Taillandier, E. Schmitt, A.S. Rivierre, S. Bracard, CHU NANCY A quoi sert l imagerie conventionnelle dans le diagnostic
Plus en détailIRM du Cancer du Rectum
IRM du Cancer du Rectum quels CHOIX TECHNIQUES pour quels OBJECTIFS THERAPEUTIQUES? Frank Boudghène, T. Andre, A. Stivalet, I. Frey, L. Paslaru, V. Ganthier, M. Tassart Hopital Tenon - Université Paris
Plus en détailLeucémies de l enfant et de l adolescent
Janvier 2014 Fiche tumeur Prise en charge des adolescents et jeunes adultes Leucémies de l enfant et de l adolescent GENERALITES COMMENT DIAGNOSTIQUE-T-ON UNE LEUCEMIE AIGUË? COMMENT TRAITE-T-ON UNE LEUCEMIE
Plus en détailAPONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras
APONEVROTOMIE ENDOSCOPIQUE du Syndrome Compartimental d Effort à l Avant-bras Didier FONTÈS Institut Main, Epaule et Sport Paris Espace Médical Vauban - Paris VII e Séminaire DIU d Arthroscopie 2012 Le
Plus en détailPrise en charge des cellulites cervicofaciales en réanimation
Réanimation (2010) 19, 297 303 MISE AU POINT Prise en charge des cellulites cervicofaciales en réanimation Surgical and critical care treatment of cervico-facial fasciitis J.-P. Blancal a,, R. Kania a,
Plus en détailDocteur, j ai pris froid!
Dr j ai pris froid: Objectifs Docteur, j ai pris froid! Jean-Paul Humair Avec la contribution de MC Kramer Colloque SMPR 21.12.2011 Connaitre l épidémiologie des infections des voies respiratoire sup (IVRS)
Plus en détailPLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM. Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris
PLACE DE L IRM DANS LE BILAN D EXTENSION DU CANCER DU RECTUM Professeur Paul LEGMANN Radiologie A - Cochin Paris Cancer du rectum France : 15000 décès/an : 1ère cause. Pronostic souvent réservé Métastases
Plus en détailCertificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale Guide Reconnaissance par la SSO du statut de praticien généraliste Le certificat SSO de formation postgrade en médecine dentaire générale
Plus en détailB06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs
B06-1 B06 - CAT devant une ischémie aiguë des membres inférieurs L ischémie aiguë est une interruption brutale du flux artériel au niveau d un membre entraînant une ischémie tissulaire. Elle constitue
Plus en détailAccidents des anticoagulants
30 Item 182 Accidents des anticoagulants Insérer les T1 Objectifs pédagogiques ENC Diagnostiquer un accident des anticoagulants. Identifier les situations d urgence et planifier leur prise en charge. COFER
Plus en détailConduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005)
Conduite à tenir devant une morsure de chien (213b) Professeur Jacques LEBEAU Novembre 2003 (Mise à jour mars 2005) Pré-Requis : Anatomie faciale Principes de traitement des plaies Principes d'antibiothérapie
Plus en détailPositionnement de l implant
HORS SÉRIE Hors série - 2009 Positionnement de l implant Déterminants biologiques et précision NobelActive NobelGuide Chirurgie à minima et esthétique ESTHÉTIQUE ET CHIRURGIE GUIDÉE AVEC NOBELACTIVE PAR
Plus en détailItem 182 : Accidents des anticoagulants
Item 182 : Accidents des anticoagulants COFER, Collège Français des Enseignants en Rhumatologie Date de création du document 2010-2011 Table des matières ENC :...3 SPECIFIQUE :...3 I Cruralgie par hématome
Plus en détailApport de l IRM dans la
Apport de l IRM dans la caractérisation tissulaire préopératoire des tumeurs rectales Y MORMECHE, S SEHILI, J MORMECHE, CH CHAMMEKHI, S KHELIFI, A BACCAR, MH DAGHFOUS, A CHERIF TUNIS - TUNISIE PLAN Introduction
Plus en détailTECHNIQUES D AVENIR LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING LASER DOPPLER IMAGING
TECHNIQUES D AVENIR Jonathan LONDNER, Aurélie HAUTIER Centre Régional de Traitement des Grands Brûlés Service de chirurgie Plastique, Hôpital de la Conception, Marseille. DIAGNOSTIC DÉTERSION BOURGEONNEMENT
Plus en détailLA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique
LA LOMBALGIE CHRONIQUE : Facteurs de risque, diagnostic, prise en charge thérapeutique Caroline Karras-Guillibert Rhumatologue, Hôpital Saint Joseph, Marseille La lombalgie chronique : le «mal du siècle»?
Plus en détailTout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN
Tout ce que vous avez toujours voulu savoir sur la scintigraphie osseuse et le TEP-SCAN Docteur Antoine MONET Centre d Imagerie Fonctionnelle Clinique Saint Augustin Jeudi 25 Septembre 2008 Un peu d histoire
Plus en détailOSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE
OSSIFICATION DU LIGAMENT VERTEBRAL COMMUN POSTERIEUR ET DU LIGT JAUNE: MYELOPATHIE CERVICALE SUBAIGUE Jurgita Bruzaite,, Monique Boukobza,, Guillaume Lot* Services de Neuroradiologie et de Neurochirurgie
Plus en détailDéveloppement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel
Développement d'une nouvelle interface utilisateur multi-modalité en scanner interventionnel E. de Kerviler, C. de Bazelaire, P. Coulon*, S. Gotman**, J Yanof***, C. Bauer***J. Sapir**. Service de Radiologie,
Plus en détailPatho Med Cours 5. Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme
Patho Med Cours 5 Maladie Pulmonaires Obstructives BPCO Asthme BPCO: B: Broncho ( Bronche) P: Pneumopathie C: Chronique O: Obstructive Asthme Maladies avec des spasmes bronchiques Maladies avec des spasmes
Plus en détailTransplantation hépatique à donneur vivant apparenté. Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin
Transplantation hépatique à donneur vivant apparenté Olivier Scatton, Olivier Soubrane, Service de chirurgie Cochin Introduction Le prélèvement d une partie du foie chez une personne «vivante» et apparentée
Plus en détailCollection Soins infirmiers
Collection Soins infirmiers Une production du Université de Caen Basse-Normandie Traumatologie : traitements des fractures Dr. J-P de ROSA CH. AVRANCHES-GRANVILLE Fractures diagnostic 2 Fractures-diagnostic
Plus en détailModule digestif. II. Prévention du reflux gastro-œsophagien :
Module digestif Pathologie œsophagique I. Rappel anatomique : Etendu de 15 à 40 cm des arcades dentaires. D environ 25 cm de long. Constitué de 2 types de muscles. Recouvert par une muqueuse malpighienne
Plus en détailRésultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants.
Résultat du traitement de la varicocèle chez l'adolescent par l'association coils-sclérosants. P. Fajadet, L. Carfagna, O. Loustau, J. Vial, J. Moscovici, J.J. Railhac, N. Sans. Radiologie Interventionnelle
Plus en détailPseudotumor cerebri. Anatomie Le cerveau et la moelle épinière baignent dans un liquide clair, appelé le liquide céphalo-rachidien (LCR).
Hypertension intracrânienne idiopathique Pseudotumor cerebri Votre médecin pense que vous pouvez souffrir d hypertension intracrânienne idiopathique connue aussi sous le nom de «pseudotumeur cérébrale».
Plus en détailSujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT
ANAMACaP Association Nationale des Malades du Cancer de la Prostate 17, bis Avenue Poincaré. 57400 SARREBOURG Sujets présentés par le Professeur Olivier CUSSENOT Place des nouvelles techniques d imagerie
Plus en détailcursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage
cursus d implantologie orale Les clés du succès par le compagnonnage Validé par un certificat - Crédit de 200 points Accrédité par le Conseil National de la Formation Continue en Odontologie Numéro d accréditation
Plus en détailCéphalées. 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée. APP du DENAISIS
Céphalées 1- Mise au point sur la migraine 2- Quand s inquiéter face à une céphalée EPU DENAIN -14 novembre 2006 Dr Kubat-Majid14 novembre 2006 Dr KUBAT-MAJID Céphalées 1 Mise au point sur la migraine
Plus en détailRéflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Bull. Acad. Natle Chir. Dent., 2007, 50 113 Commission de l exercice professionnel et Groupe de réflexion Réflexions sur les possibilités de réponse aux demandes des chirurgiens orthopédistes avant arthroplastie
Plus en détailMaladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005
Maladies et Grands Syndromes : Angiomes (223) Professeur Guy Magalon Juin 2005 1. Définition Les angiomes sont des tumeurs très fréquentes. La définition de TOURAINE rend parfaitement compte de la complexité
Plus en détailMaladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin
Maladie de Hodgkin ou lymphome de Hodgkin Ce que vous devez savoir Le cancer : une lutte à finir 1 888 939-3333 www.cancer.ca MALADIE DE HODGKIN Ce que vous devez savoir Même si vous entendez parler du
Plus en détailQu est-ce qu un sarcome?
Qu est-ce qu un sarcome? Qu est-ce qu une tumeur? Une tumeur est une prolifération anormale de cellules. Les tumeurs ne devraient donc pas automatiquement être associées à un cancer. Certaines tumeurs
Plus en détailTUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013
TUTORAT UE 5 2012-2013 Anatomie Correction Séance n 6 Semaine du 11/03/2013 Appareil respiratoire-organogénèse de l appareil digestif Cours du Pr. PRUDHOMME Séance préparée par Anissa BARAKAT, Caroline
Plus en détailL EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE
L EXPÉRIENCE POUR L AUTONOMIE Depuis plus de 10 ans, l association Actis dentaire formation a pour objectif de former des praticiens à la chirurgie orale, parodontale et implantaire. L expérience pour
Plus en détailLe ganglion cervical moyen
UNIVERSITE DE NANTES FACULTE DE MEDECINE MASTER I SCIENCES BIOLOGIQUES ET MEDICALES UNITE D ENSEIGNEMENT OPTIONNEL MEMOIRE REALISE dans le cadre du CERTIFICAT d ANATOMIE, d IMAGERIE et de MORPHOGENESE
Plus en détailLa santé bucco-dentaire au cabinet OMS. Problèmes majeurs. Santé bucco-dentaire et santé générale. Santé. Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire
La santé bucco-dentaire au cabinet Santé OMS Déterminants sociaux et santé bucco-dentaire Colloque MPr 14 septembre 2011 Dr J-P Carrel Division de stomatologie, chirurgie orale et radiologie dento-maxillo-faciale
Plus en détailLe diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers
Le diagnostic de Spondylarthrite Ankylosante? Pr Erick Legrand, Service de Rhumatologie, CHU Angers Les spondylarthopathies 0.2% de la population en France Arthrites Réactionnelles rares S. Ankylosante
Plus en détailL imagerie dentaire 3 D.
L imagerie dentaire 3 D. Tomographie, tomodensitométrie, Scanner (Ct Scan), tomographie volumétrique à faisceau conique ou CBCT (Cone Beam Computerized Tomography) tous ce termes font appel à la reconstitution
Plus en détailLa fonction respiratoire
La fonction respiratoire Introduction Fonction vitale : Au-delà de 3 min = atteintes graves Après 5 min = très altérés On parle de 3 phénomènes : Ventilation : respiration visible, échanges aériens intérieur
Plus en détailCéphalées vues aux Urgences. Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS
Céphalées vues aux Urgences Dominique VALADE Centre d Urgence des Céphalées Hôpital Lariboisière PARIS Deux Objectifs aux Urgences Identifier les céphalées à risque vital Optimiser le traitement des céphalées
Plus en détailSytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif
Sytème de Diagnostic d'imagerie Numérique simple et évolutif Un système simple et évolutif Scanner Ceph - Temps d'exposition : minimum 4 sec - Mode HD Fonction de prévisualisation Décidez ainsi immédiatement
Plus en détailF. LAVRAND CHIRURGIE INFANTILE HOPITAL DES ENFANTS CHU BORDEAUX
F. LAVRAND CHIRURGIE INFANTILE HOPITAL DES ENFANTS CHU BORDEAUX Excès s de croissance des cotes et des cartilages causant soit une dépression d (PECTUS EXCAVATUM) soit une protrusion (PECTUS CARINATUM)
Plus en détailMigraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques
Migraine et céphalées de tension: diagnostic différentiel et enjeux thérapeutiques Dr Solène de Gaalon Service de neurologie- CHU Nantes Société française des migraines et céphalées Céphalées de tension
Plus en détailManuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes
Manuel d hygiène bucco-dentaire Destiné à la formation de prophylaxistes élaboré pour le SDI par Graziella Secci hygiéniste dentaire g_secci@bluewin.ch SDI 2006 / 2007; Ed. n 1 La cavité buccale - Anatomie
Plus en détailBURKINA FASO Unilé- Progrè..s-llIstice
BURKINA FASO Unilé- Progrè..s-llIstice UNIVERSITE DE OUAGADOUGOU Unité de Formation et de Recherche en Sciences de la Santé ( UFRJSDS) Se'ction Médecine Année Universitaire 2003-2004 THESE Présentée.-.\
Plus en détailo Non o Non o Oui o Non
Enquête générale (à remplir une fois) [ ] = plusieurs réponses possibles o = une seule réponse possible Date de votre réponse à ce questionnaire Nombre de lits dans l'unité Connaissez-vous l incidence
Plus en détailConseils aux patients* Lutter activement. *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou
Conseils aux patients* Lutter activement contre la thrombose *pour les patients ayant subi une opération de remplacement de la hanche ou du genou 2 Mentions légales Directeur de la publication : Bayer
Plus en détailURGENCES MEDICO- CHIRURGICALES. Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor
URGENCES MEDICO- CHIRURGICALES Dr Aline SANTIN S.A.U. Henri Mondor Coup d envoi Définition de l urgence Fonction des personnes : Pour les patients : «ça ne va pas», «il n est pas comme d habitude», «il
Plus en détailActualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2
Actualités IRM dans la SEP Thomas Tourdias 1, 2 (1) Service de NeuroImagerie Diagnostique et Thérapeutique, CHU Bordeaux, Université de Bordeaux (2) Neurocentre Magendie, INSERM U 862, Université de Bordeaux
Plus en détailSpondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste. Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil
Spondylarthropathies : diagnostic, place des anti-tnf et surveillance par le généraliste Pr P. Claudepierre CHU Henri Mondor - Créteil Le Diagnostic Objectif de la démarche diagnostique Diagnostic de SPONDYLARTHROPATHIE
Plus en détailLE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER
LE RACHIS : UNE ENTITE COMPLEXE IMPORTANTE A PRESERVER I : INTRODUCTION Dans le cadre de la Semaine Européenne de la Construction il est utile de se remémorer ou de prendre simplement conscience que notre
Plus en détailCRITERES DE REMPLACEMENT
ANATOMIE ET CYTOLOGIE PATHOLOGIQUES - 7 semestres dans des services agréés pour le DES d anatomie et cytologie pathologiques, dont au moins 5 doivent être accomplis dans des services hospitalouniversitaires
Plus en détailCancer du sein in situ
traitements et soins octobre 2009 recommandations professionnelles Cancer du sein COLLECTION recommandations & référentiels Recommandations de prise en charge spécialisée Carcinome canalaire et carcinome
Plus en détailVotre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express
Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Votre guide des définitions des maladies graves de l Assurance maladies graves express Ce guide des définitions des
Plus en détailModules optionnels. Passer à l acte en implantologie
Passer à l acte en implantologie Modules optionnels est un cycle de formation basé sur des travaux pratiques de chirurgie implantaire, permettant de confirmer les acquis théoriques. À l issue du cursus,
Plus en détailUNIVERSITE DE PARIS ANNEE UNIVERSITAIRE 2006-2007 MEMOIRE EN VUE DE L OBTENTION DU DIPLOME INTERUNIVERSITAIRE DE PEDAGOGIE MEDICALE
UNIVERSITE DE PARIS ANNEE UNIVERSITAIRE 2006-2007 MEMOIRE EN VUE DE L OBTENTION DU DIPLOME INTERUNIVERSITAIRE DE PEDAGOGIE MEDICALE Création d un site Internet pédagogique à l usage des étudiants de DCEM2
Plus en détailSOCIETE ANATOMIQUE DE PARIS 45 75270 PARIS CEDEX
SOCIETE ANATOMIQUE DE PARIS 45 rue des Saints-Pères 75270 PARIS CEDEX 06 Séance du Vendredi 29 mai 2015 amphithéâtre Giroud (3 ème étage) 17h Les communications sont de 10 minutes suivies de 10 minutes
Plus en détailLa prise en charge de l AVC ischémique à l urgence
La prise en charge de l AVC ischémique à l urgence Nathalie Bourdages, inf., B. Sc., conseillère en soins infirmiers, Direction des soins infirmiers et des regroupement clientèles, Centre hospitalier de
Plus en détailCette intervention aura donc été décidée par votre chirurgien pour une indication bien précise.
Qu est-ce qu une arthroscopie? Il s agit d une intervention chirurgicale mini-invasive dont le but est d explorer l articulation du genou et de traiter la lésion observée dans le même temps. Comment se
Plus en détailDossier Administratif du Patient
Handident Franche-Comté CHBM - service ORL (Docteur LEGER) Cadre réservé Handident FC N adhérent au réseau Handident FC 2, rue du Docteur Flamand 25209 MONTBELIARD Cedex Dossier Administratif du Patient
Plus en détailProgramme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse
Programme «Implantologie en pratique privée» Ardentis Clinique Dentaire Lausanne Flon Hiver 2012 Lausanne, Suisse Mardi 24 janvier2012 au vendredi 27 janvier 2012 Informations générales Intervenants Dr
Plus en détailneurogénétique Structures sensibles du crâne 11/02/10 Classification internationale des céphalées:2004
11/02/10 Structures sensibles du crâne neurogénétique Cheveux Cuir chevelu Tissu sous cutané Périoste Os Dure mère Méninges molles Cerveau vaisseaux MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE MIGRAINE:PHYSIOPATHOLOGIE
Plus en détailG U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E. La prise en charge de votre mélanome cutané
G U I D E - A F F E C T I O N D E L O N G U E D U R É E La prise en charge de votre mélanome cutané Mars 2010 Pourquoi ce guide? Votre médecin traitant vous a remis ce guide pour vous informer sur le mélanome
Plus en détailDe la chirurgie du nodule aux ganglions
De la chirurgie du nodule aux ganglions Docteur Xavier CARRAT Institut Bergonié Clinique Saint Augustin Chirurgie des lésions bénignes de la thyroïde problématique opératoire «simple» avec indication portée
Plus en détailCavité buccale et système dentaire
Cavité buccale et système dentaire I. Introduction La cavité buccale forme la 1 ère cavité du tube digestif. Les dents ont un rôle : Fonctionnel : mastication, déglutition, phonation Esthétique : expression
Plus en détailÉchographie normale et pathologique du grand pectoral
Échographie normale et pathologique du grand pectoral JL Brasseur, N Gault, B Mendes, D Zeitoun-Eiss, J Renoux, P Grenier G H Pitié-Salpêtrière Introduction La pathologie du grand pectoral est relativement
Plus en détailLIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : Objectif de ce chapitre. 6.1 Introduction 86
LIGNES DIRECTRICES CLINIQUES TOUT AU LONG DU CONTINUUM DE SOINS : ÉTABLISSEMENT DE LIENS ENTRE LES PERSONNES CHEZ QUI UN DIAGNOSTIC D INFECTION À VIH A ÉTÉ POSÉ ET LES SERVICES DE SOINS ET DE TRAITEMENT
Plus en détailMaurene McQuestion, IA, BScN, MSc, CON(C) John Waldron, MD, FRCPC
Séance plénière 2 : La collaboration interprofessionnelle entre médecins et infirmières Nous examinerons durant cette séance les questions clés liées à la collaboration interprofessionnelle entre médecins
Plus en détailSolva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale
Solva Thérapie traitement de la douleur, de la mobilité réduite et de la distorsion posturale Cours de la formation continue dans les thérapies manuelles Pour ceux qui veulent ajouter des techniques efficaces,
Plus en détailLombalgie inflammatoire. François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010
Lombalgie inflammatoire François Couture Rhumatologue Hôpital Maisonneuve Rosemont Avril 2010 Pronostic d une lombalgie aigue 1mois: 66 à 75% encore symptomatiques quelques limitations fonctionnelles 82
Plus en détailLes fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003
Les fractures de l extrémité inférieure du radius (238) Professeur Dominique SARAGAGLIA Mars 2003 Pré-Requis : Anatomie descriptive et fonctionnelle de l extrémité inférieure du radius Résumé : Les fractures
Plus en détailCOMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE
COMPLICATIONS THROMBOTIQUES DES SYNDROMES MYÉLOPROLIFÉRATIFS: ÉVALUATION ET GESTION DU RISQUE D APRES «THROMBOTIC COMPLICATIONS OF MYELOPROLIFERATIVE NEOPLASMS : RISK ASSESSMENT AND RISK-GUIDED MANAGEMENT
Plus en détail.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203 .(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3 .( @.*" '!%2"+ %#(30! &' 4!!% .+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!
!"#! $ %#&' (!"#$!% & % ' (!%' ) )''! *)+* *! %#"+, ' ( ', -) " *.( /.*!0) %1 2"+ %#(3004) 05' 203.(.*0"+ ) '!2"+ %#(30+ 0!"%) 4!%2) 3.( -.* %)!(2"+ %#(30! &' 4!!%.+.*0%!!'!(!%2"+ 16 3047!%(%' 0.(89.*
Plus en détailDÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE
DÉFICITS IMMUNITAIRE COMMUN VARIABLE Le présent livret a été rédigé à l attention des patients et de leurs familles. Il ne doit pas remplacer les conseils d un spécialiste en immunologie. 1 Egalement Disponible
Plus en détailTVP fémorale. Systématisation. La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier. Thrombus mobile
Systématisation VCI Fémorale Superf. 3/4 Iliaque Poplitée La TVP : écho-doppler JP Laroche Unité de Médecine Vasculaire CHU Montpellier Mars 2015 Fémorale Sural Difficultés et Pièges: écho-doppler Veineux
Plus en détailItem 262 : Migraine et algie de la face
Item 262 : Migraine et algie de la face Collège Français d'orl Date de création du document 2010-2011 Table des matières * Introduction... 1 1 Classification des céphalées (International Headache Society,
Plus en détailQUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE?
QUE SAVOIR SUR LA CHIRURGIE de FISTULE ANALE A LA CLINIQUE SAINT-PIERRE? Vous allez être opéré(e) à la clinique Saint-pierre d une fistule anale par l équipe chirurgicale des docteurs Bardou, Ben brahem
Plus en détailLes cancers des voies aérodigestives supérieures
INFORMATION & PRÉVENTION Les cancers des voies aérodigestives supérieures G R A N D P U B L I C Cancers des Voies Aérodigestives Supérieures (VADS) Généralités Sommaire > Localisation des cancers des VADS.....
Plus en détailTable des matières. Remerciements...v. Préface... vii. Avant-propos... xi. Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv
Remerciements...v Préface... vii Avant-propos... xi Mode d utilisation du manuel et du DVD... xv Nomenclature française traditionnelle et terminologie anatomique officielle...xvii Table des matières...
Plus en détailItem 262. Migraine et algie de la face. Objectifs pédagogiques
Item 262. Migraine et algie de la face I. CLASSIFICATION DES CEPHALEES II. MIGRAINE III. ALGIES VASCULAIRES DE LA FACE IV. NEVRALGIES V. CEPHALEES ASSOCIEES A UNE DOULEUR DE LA FACE (DENTAIRE, SINUSIENNE,
Plus en détailSYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES. Spondylarthrites. Décembre 2008
SYNTHÈSE DES RECOMMANDATIONS PROFESSIONNELLES Spondylarthrites Décembre 2008 OBJECTIFS - Mieux identifier les patients atteints de spondylarthrite afin de raccourcir le délai entre l apparition des symptômes
Plus en détailRéférentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité :
Référentiel CPAM Liste des codes les plus fréquents pour la spécialité : DERMATOLOGIE ET VENEROLOGIE ADC - Acte de chirurgie BAFA005 1 (I, O) BAFA006 1 0 Exérèse non transfixiante de lésions multiples
Plus en détailLA HERNIE DISCALE LOMBAIRE
Feuillet d'information complémentaire à l attention du patient LA HERNIE DISCALE LOMBAIRE Madame, Monsieur, Suite aux examens, une hernie discale au niveau du rachis lombaire a été diagnostiquée, il faudrait
Plus en détailLE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES
LE CONTRÔLE DU FACTEUR BACTERIEN 3-POUR LE TRAITEMENT DES PARODONTITES Le Diagnostic : Il repose sur l écoute du patient, l examen clinique, le sondage, la radiographie. L inflammation gingivale peut être
Plus en détailLa Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène
1 La Dysplasie Ventriculaire Droite Arythmogène Document rédigé par l équipe pluridisciplinaire du centre de référence pour les maladies cardiaques héréditaires (Paris), en collaboration avec des patients
Plus en détailLE SYNDROME DE BUDD CHIARI
CENTRE DE REFERENCE DES MALADIES VASCULAIRES DU FOIE (C.R.M.V.F.) Hôpital Beaujon 100 bd du Général Leclerc 92110 Clichy Service d Hépatologie Pavillon Abrami (consultation) Pavillon Sergent (hospitalisation)
Plus en détailPLATE-FORME COMMUNE UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ. Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR
Logiciel DIRECTVIEW V5 pour CR et DR UNE SOLUTION LOGICIELLE UNIQUE POUR AMÉLIORER LA PRODUCTIVITÉ Vous pouvez faire confiance aux systèmes CR et DR de Carestream pour leur qualité de prise d images. Maintenant
Plus en détailAccidents musculaires. Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre
Accidents musculaires Dr Marie-Eve Isner-Horobeti Praticien Hospitalier Service de Médecine Physique et de Réadaptation CHU Strasbourg-Hautepierre I. Lésions musculaires aiguës Classification Clinique
Plus en détail