INTRODUCTION AUX BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE POUR LES FORMATIONS DE RECHERCHE DE L INSERM

Dimension: px
Commencer à balayer dès la page:

Download "INTRODUCTION AUX BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE POUR LES FORMATIONS DE RECHERCHE DE L INSERM"

Transcription

1 INTRODUCTION AUX BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE POUR LES FORMATIONS DE RECHERCHE DE L INSERM 1

2 SOMMAIRE Avant propos... page 3 Introduction... page Objet... page Définitions des termes... page 4 Principes de bonnes pratiques... page 6 I - Fonctionnement du laboratoire... page 6 I Organisation du laboratoire... page 6 I Personnel... page 7 I Installation... page 7 I Appareillage... page 7 I Réactifs, solutions et produits... page 8 I Elimination des déchets... page 8 II - Conduite de la recherche... page 9 II Projet de recherche... page 9 II Protocole... page 9 II Conduite d une recherche... page 10 II Rapport final de la recherche... page 11 III - Archivage... page 12 III Conservation de documents concernant la recherche... page 12 III Conservation des produits après étude... page 13 IV - Cessation d activité d un laboratoire... page 13 2

3 AVANT PROPOS Une démarche de sensibilisation des formations de recherche de l INSERM à la mise en œuvre des bonnes pratiques de laboratoire a été retenue comme un des six objectifs de travail de l intercommission n 2 de l INSERM Utilisation thérapeutique de produits humains et de produits de substitution. En effet, l application des bonnes pratiques de laboratoire apparaît de plus en plus indispensable aux activités des formations de recherche de l INSERM. Elle doit permettre d une part la valorisation des résultats obtenus par leurs personnels vis à vis de la communauté scientifique internationale et d éventuels partenaires d origine publique ou privée. D autre part, elle doit assurer un transfert fiable et rapide des produits issus de la recherche vers des applications à visée thérapeutique ou diagnostique. A cet effet, ce fascicule regroupe les notions essentielles des bonnes pratiques de laboratoire pouvant être suivies au sein des formations de recherche de l INSERM. Il a été rédigé à partir de documents internationaux 1 largement utilisés par les industriels, dans un souci d adaptation au contexte particulier de la recherche publique. Il n a pas comme finalité d entraver la liberté créative des chercheurs mais plutôt de leur permettre d exploiter au mieux le fruit de leur travail. Les recommandations contenues dans ce document constituent le plus souvent un rappel de tout ce qu il convient d organiser, de respecter, d étudier, de conserver et de vérifier afin de réaliser une recherche de qualité. Ainsi, la traçabilité des produits et des résultats, la rédaction de procédures opératoires standard et la tenue rigoureuse d un cahier de laboratoire sont des pratiques qui devraient devenir routinières dans les laboratoires de notre Institut. Ce document ne prétend pas se substituer aux réglementations existantes. Ainsi, les laboratoires de recherche impliqués dans la préparation de produits faisant l objet d études précliniques ou cliniques ont à suivre des règles de bonne exécution pour lesquelles des documents existent déjà (bonnes pratiques de fabrication 2 ) ou sont en cours de rédaction 3. De même, les bonnes pratiques de l expérimentation animale 9ont l objet d un décret 4. 1 Les principes de l O.C.D.E. de bonnes pratiques de laboratoire, monographie de l environnement n 45, 1992, révisée 1997 disponible sur le site ; Code of federal regulations - Vol. 21 Part 58 - Revised April 1997 : GLP for conducting nonclinical laboratory studies. 2 Bonnes pratiques de fabrication : La réglementation des médicaments dans l Union Européenne, Vol. IV ; Bonnes pratiques en thérapie cellulaire, Agence française du sang - 20 novembre Bonnes pratiques de laboratoire : Arrêté du 14 mars 2000 relatif aux bonnes pratiques de laboratoire (J.O. n 70 du 23 mars 2000 page 4465) 4 Décret n du 19 octobre 1987 modifié par le Décret n du 29 mai 2001 modifiant le décret n du 19 octobre 1987 pris pour l application de l article 454 du code pénal et du troisième alinéa de l article 276 du code rural et relatif aux expériences pratiquées sur les animaux 3

4 INTRODUCTION 1 - Objet Le présent fascicule de bonnes pratiques de laboratoire s adresse à toutes les personnes travaillant au sein des laboratoires de l INSERM, quelle que soit leur qualification. Le respect des recommandations a pour but d'assurer la qualité, la traçabilité et l'intégrité des données produites au cours de la recherche. Lorsqu'un laboratoire de l INSERM utilise les services d'un laboratoire sous-traitant, pour effectuer une analyse ou une autre prestation, il doit notifier au laboratoire de sous-traitance que cette prestation fait partie d un projet de recherche qui doit être effectué en conformité avec les bonnes pratiques de laboratoire. Les dispositions relatives aux études cliniques chez l homme 5 et à l utilisation des animaux de laboratoire 4 et des organismes génétiquement modifiés (OGM) 6, font l objet d une réglementation particulière et ne seront pas abordées dans le présent fascicule. 2 - Définitions des termes Les termes suivants, utilisés dans ce fascicule ont la signification indiquée ci-dessous : a - bonnes pratiques de laboratoire : ensemble des mesures permettant d'assurer au cours de la recherche, la qualité, la traçabilité et l'intégrité des données. Elles définissent les modes 5 Voir notamment à ce propos : Article L et suivant du Code de la Santé Publique relatifs aux Recherches biomédicales, Article R.5118 du Code de la Santé Publique pour les médicaments et produits soumis à autorisation, Arrêté du 9 décembre 1996 fixant les normes et protocole applicables aux essais analytiques, aux essais toxicologiques et pharmacologiques ainsi qu à la documentation clinique auxquels sont soumis les médicaments ou produits mentionnés à l article L.601 du Code de la Santé Publique (J.O.n 303 du 29 décembre 1996 page 19401) modifiée par l Arrêté du 3 mars 2000 (J.O n 58 du 9 mars 2000 page 3682) et par l Arrêté du 14 mars 2000 (J.O. n 65 du 17 mars 2000 page 4153), Avis aux expérimentateurs qui dirigent et surveille la réalisation d essais de sécurité sur les médicaments à usage humain ( J.O. n du 14 juin 2000 page, Bulletin Officiel solidarité Santé ). 6 Voir l article L531-1 et suivants du Code de l Environnement. 4

5 d organisation des recherches et les conditions dans lesquelles elles sont planifiées, réalisées, contrôlées, enregistrées et diffusées ; b - cahier de laboratoire : document source, quel que soit le support : papier (l utilisation d encre indélébile étant alors impérative) ou informatique, permettant le recueil des données brutes d une façon infalsifiable ; c - directeur du projet de recherche : responsable de la conduite complète d'une recherche. Si le directeur du projet de recherche n est pas le directeur de la formation de recherche, ce dernier est également responsable du projet de recherche ; d - données brutes : ensemble des comptes rendus : cahiers de laboratoire, rapports, mémorandums, notes ou leur copie conforme (quel que soit le support : papier ou informatique) qui sont le résultat des observations originales et des activités développées au cours de la recherche. Si des copies conformes des données brutes ont été effectuées, la copie conforme ou la transcription exacte peut remplacer les documents originaux comme donnée brute. Les données brutes peuvent inclure des photographies, des copies, des microfilms ou microfiches, des imprimés provenant d'enregistrements d'ordinateur, de supports magnétiques et données enregistrées à partir d'instruments automatisés ; e - échantillon : toute partie du produit prélevée au cours de la recherche pour examen ou analyse ; f - procédures opératoires standard : modes opératoires écrits qui décrivent la façon de réaliser certains protocoles ou travaux routiniers de laboratoire dont le détail ne figure normalement pas dans le projet de recherche ; g - produit : tout élément faisant l objet de la recherche ou servant de référence, de témoin ou de contrôle au cours de la recherche (médicament, produit chimique, produit biologique, produit électronique, matériel médical pour usage humain...) ; h - projet de recherche : document décrivant la justification, les objectifs, les protocoles et les méthodes statistiques de la recherche ; i - protocole : document décrivant les méthodologies utilisées au cours du développement du projet de recherche. 5

6 PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES I - FONCTIONNEMENT DU LABORATOIRE I Organisation du laboratoire a- chaque laboratoire doit élaborer des procédures opératoires standard rédigées par l ensemble du personnel du laboratoire et propres à assurer la qualité des résultats générés au cours des études menées dans le laboratoire ; b- les procédures opératoires standard doivent décrire précisément toutes les tâches et manipulations de routine effectuées dans le laboratoire ; c- les procédures opératoires standard doivent être constamment accessibles ; d- les procédures opératoires standard sont régulièrement révisées ; e- un dossier historique des procédures opératoires standard et de toutes leurs révisions datées doit être conservé (cf Archivage, chap. III-2). Pour exemple, les procédures opératoires standard organisent (liste non exhaustive) : 1. l attribution des tâches et responsabilités aux personnels du laboratoire de recherche 2. la réception, l identification, la conservation, la manipulation, le mélange et la méthode d'échantillonnage des produits à tester et de référence 3. la collecte et l identification des échantillons 4. le traitement, la conservation et la récupération des résultats 5. l entretien, le calibrage et la maintenance des appareillages 6. l élimination des déchets 7. le nettoyage et la stérilisation des matériels 6

7 I Personnel a - toute personne d un laboratoire INSERM impliquée dans la conduite ou responsable d un travail de recherche doit posséder la formation, la pratique et l expérience lui permettant d assurer les fonctions assignées ; b - le directeur de la formation de recherche doit veiller au respect des principes relatifs aux bonnes pratiques de laboratoire dans sa formation ; c - le directeur du projet de recherche, sous la responsabilité du directeur de la formation de recherche, est chargé de la bonne conduite du projet de recherche ainsi que de l'interprétation, de l'analyse et de l'établissement du rapport final de la recherche. I Installation a - chaque laboratoire doit posséder les locaux et les aménagements permettant le déroulement correct de la recherche ; b - par ses dimensions, sa construction et sa localisation, le laboratoire doit répondre aux exigences de la recherche et permettre de réduire au mieux les perturbations qui pourraient altérer le déroulement normal de la recherche. Sa configuration doit permettre un certain degré de séparation afin d'éviter qu'une fonction ou une activité ne nuise au déroulement normal de la recherche. I Appareillage Les appareils utilisés dans le laboratoire doivent être régulièrement nettoyés, entretenus, étalonnés et inspectés conformément aux procédures opératoires standard. Il faut tenir un registre de ces opérations. 7

8 I -5 - Réactifs, solutions et produits a - tous les réactifs et les solutions doivent porter une étiquette indiquant l'identité, le titre, la concentration, les conditions de conservation et la date de péremption et/ou de préparation. On ne doit pas utiliser des réactifs ou des solutions altérées ou périmées ; b - les méthodes de préparation et de conservation d un produit utilisé au cours de l étude doivent être consignées. Dans le cas où des produits commercialisés sont utilisés au cours de l étude, ils doivent être définis par leur étiquetage ; c - des procédures opératoires standard doivent être établies pour la manipulation des produits utilisés au cours de l étude de façon à assurer que : 1. le stockage est adéquat 2. la répartition est effectuée de façon à exclure la possibilité de contamination et de détérioration du produit 3. l'identification exacte est maintenue durant la répartition 4. la réception et la répartition de chaque lot sont consignées. La consignation doit comporter la date et la quantité de chaque lot répartie ou retournée. I Elimination des déchets La manutention et l évacuation des déchets générés au cours de la réalisation du projet de recherche doivent s effectuer de manière conforme à la législation et à la réglementation en vigueur 7. A cet effet, 1. il faut disposer d installations appropriées de collecte, de stockage et d évacuation 2. il faut disposer de méthodes de décontamination et de transport 3. il faut tenir des registres relatifs aux activités de décontamination et de transport. II - CONDUITE DE LA RECHERCHE 7 Décret n du 28 mai 1982 relatif à l hygiène et la sécurité du travail ainsi qu à la prévention médicale dans la fonction publique, modifiée ; Arrêté du 5 décembre dit arrêté ADR - relatif au transport des marchandises dangereuses par route ; 8

9 II Projet de recherche a - pour chaque recherche, l ensemble des participants à la recherche établit un projet de recherche écrit avant le début des expériences ; b - le projet de recherche doit être conservé en tant que donnée brute ; c - tous les changements ou révisions apportés au projet de recherche, y compris leurs justifications, doivent être approuvés par le directeur du projet de recherche et clairement indiqués et conservés. II Protocole a - pour chaque expérience un protocole est écrit et approuvé par le directeur du projet de recherche et éventuellement par le directeur de la formation de recherche ; b - le protocole peut figurer dans le cahier de laboratoire ; c - il indique clairement les objectifs et toutes les méthodes pour son exécution. Le protocole doit contenir les informations suivantes : 1. un titre descriptif et l'énoncé du but de l expérience 2. la mention du projet auquel se rapporte le protocole 3. l'identité des produits utilisés 4. une description détaillée du plan expérimental 5. une description des méthodes statistiques éventuellement proposées d - l expérience doit être conduite en suivant le protocole ; e - tous les changements ou révisions apportés au protocole initial, ainsi que les raisons de les faire, doivent être approuvés par le directeur du projet de recherche, datés et conservés avec le protocole. Déchets d activités de soins et assimilés : voir les articles R et suivants du Code de la Santé Publique. 9

10 II Conduite d une recherche a - La recherche est conduite sous la responsabilité du directeur du projet de recherche. Celui-ci doit s assurer que : 1. toutes les personnes prenant part à la réalisation de la recherche sont informées du contenu du projet de recherche 2. les protocoles sont respectés et toute modification est enregistrée 3. toutes les données expérimentales, y compris les observations inattendues, sont correctement enregistrées et vérifiées 4. tout événement imprévu pouvant affecter la qualité et l'intégrité de la recherche est enregistré et si une correction a été apportée, elle est documentée et enregistrée 5. toutes les mesures propres à assurer la confidentialité des résultats nominatifs sont prises en conformité avec la réglementation en vigueur 8 6. tous les principes de bonnes pratiques de laboratoire du présent document sont pris en compte ; b- toutes les données générées au cours d'une recherche, sauf celles produites par des systèmes automatiques, doivent être enregistrées directement dans le cahier de laboratoire ; 1. le cahier de laboratoire tenu sous la responsabilité du directeur du projet de recherche est la propriété de l INSERM. Il pourra être mise à disposition de toutes personnes dûment mandatées par le Directeur général de l INSERM. Le cahier de laboratoire ne doit pas sortir du laboratoire de recherche lorsque le personnel impliqué dans le projet de recherche quitte le laboratoire. Seules des copies du cahier de laboratoire peuvent sortir du laboratoire. 2. toutes les entrées de données doivent être datées à la date d'entrée et signées ou paraphées par la personne qui les effectue 8 Loi n du 6 janvier 1978 relative à l informatique, aux fichiers et aux libertés, modifiée. 10

11 3. tout changement d'entrée doit être effectué de façon à ne pas masquer l'entrée d'origine, doit indiquer la raison du changement et doit être daté et signé au moment du changement 4. toute correction d'entrée provenant de systèmes automatisés doit être effectuée de façon à ne pas masquer l'entrée d'origine, doit indiquer la raison du changement, doit être datée et la personne responsable du fonctionnement du système automatisé doit être identifiée. II Rapport final de la recherche a - Un rapport final doit être rédigé pour chaque recherche et doit inclure (liste non limitative) : 1. les coordonnées du laboratoire qui a effectué la recherche et les dates de début et de fin de recherche 2. le nom du directeur du projet de recherche, les noms des autres scientifiques et professionnels impliqués dans l'étude 3. le plan d étude, les protocoles ainsi que tous les changements apportés 4. l identification des produits utilisés au cours de la recherche 5. la description des matériels et méthodes utilisés y compris les méthodes statistiques 6. la description de tous les événements ayant pu affecter la qualité ou l'intégrité des données 7. le lieu où tous les échantillons, les données brutes et le rapport final doivent être conservés b - le rapport final doit être signé et daté par le directeur du projet de recherche et par le directeur de la formation de recherche ; c - les corrections ou additifs au rapport final doivent être apportés sous forme d'amendement par le directeur du projet de recherche. L'amendement doit identifier clairement la partie du rapport final qui a été modifiée et indiquer les raisons de la correction ou de l'additif et 11

12 doit être signé et daté par le directeur du projet de recherche et par le directeur de la formation de recherche. III - ARCHIVAGE III - 1 Conservation de documents concernant la recherche a - Toutes les données brutes, la documentation, les protocoles, les rapports finaux générés par la recherche doivent être conservés ; b - Selon les prescriptions du présent fascicule, il faudra conserver : 1. un exemplaire des procédures opératoires standard et leurs modifications comportant la date de leur mise en oeuvre 2. les documents relatifs aux instruments et à leur entretien 3. les cahiers de laboratoire c - les archives doivent être entreposées dans un local adapté à cet usage, permettant la conservation des documents sans altération (température, état hygrométrique en particulier) ; d - au cas où des documents sont conservés sous forme informatique, la procédure de stockage doit être établie pour éviter toute perte accidentelle des informations. Les informations archivées doivent être dupliquées sur deux supports distincts : le premier servant à la consultation habituelle et le second étant gardé en réserve. Les informations archivées doivent pouvoir être facilement accessibles et consultées pendant toute la durée de leur conservation ; e - l organisation et le classement doivent permettre une consultation rapide et facile. Les documents archivés ou se référant aux archives doivent être numérotés pour permettre un recouvrement aisé ; f - les documents écrits (protocoles, procédures opératoires standard et résultats nominatifs) ne doivent pas sortir du laboratoire lorsque le personnel impliqué dans la recherche concernée quitte l INSERM. Seules des copies des documents écrits peuvent sortir du laboratoire ; 12

13 g - les enregistrements exigés peuvent être archivés soit sous forme originale, soit sous forme de copies conformes telles que photocopies, microfilms, microfiches ou toute autre reproduction exacte des originaux. III - 2 Conservation des produits après l étude a - les produits devant être conservés sont à répertorier de manière à faciliter un stockage ordonné et une localisation rapide ; b - les prélèvements liquides, les échantillons et les produits préparés spécialement, qui sont relativement fragiles et dont la stabilité et la qualité s'altèrent notablement pendant la conservation, ne doivent être conservés qu'aussi longtemps que la qualité de la préparation permettra leur évaluation. IV - CESSATION D ACTIVITE D UN LABORATOIRE Si un laboratoire cesse son activité, la direction de l INSERM doit être avertie du lieu où sont entreposés les produits et les documents générés au cours des recherches. 13

SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES NUMÉRO 3 (RÉVISÉ)

SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES NUMÉRO 3 (RÉVISÉ) DIFFUSION GÉNÉRALE OCDE/GD(95)67 SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES NUMÉRO 3 (RÉVISÉ) ORIENTATIONS A L INTENTION DES AUTORITES DE

Plus en détail

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses

Utilisation de produits sains et sûrs Mise en oeuvre de procédures strictes et rigoureuses INTRODUCTION H.A.C.C.P. ou A.R.M.P.C. L Analyse des risques et maîtrise des points critique La nouvelle réglementation en matière d hygiène (ar. 09 mai 1995 et ar. 29 septembre 1997) oblige les responsables

Plus en détail

Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique

Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Rôle de l Assurance Qualité dans la recherche clinique Pôle Qualité / Gestion des Risques 05 Janvier 2012 Plan La qualité d une recherche c est quoi? Bonnes Pratiques Cliniques (BPC) Responsabilités des

Plus en détail

évaluation des risques professionnels

évaluation des risques professionnels évaluation des professionnels Inventaire des Etablissement : Faculté de Médecine Unité de travail : Laboratoire de Biochimie Médicale Année : 2013 Locaux Bureaux Salle de Microscopie Culture cellulaire

Plus en détail

SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES. Numéro 2 (révisé)

SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES. Numéro 2 (révisé) DIFFUSION GÉNÉRALE OCDE/GD(95)66 SERIE OCDE LES PRINCIPES DE BONNES PRATIQUES DE LABORATOIRE ET LA VERIFICATION DU RESPECT DE CES PRINCIPES Numéro 2 (révisé) ORIENTATIONS A L INTENTION DES AUTORITES DE

Plus en détail

Série sur les Principes de Bonnes Pratiques de Laboratoire et Vérification du Respect de ces Principes Numéro 4 (version révisée)

Série sur les Principes de Bonnes Pratiques de Laboratoire et Vérification du Respect de ces Principes Numéro 4 (version révisée) Non classifié ENV/JM/MONO(99)20 ENV/JM/MONO(99)20 Or. Ang. Non classifié Organisation de Coopération et de Développement Economiques OLIS : 22-Oct-1999 Organisation for Economic Co-operation and Development

Plus en détail

REPOBIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana-Fahafahana-Fandrosoana

REPOBIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana-Fahafahana-Fandrosoana REPOBIKAN I MADAGASIKARA Tanindrazana-Fahafahana-Fandrosoana CONTEXTE 2 INTRODUCTION... 2 I. QUELQUES DEFINITIONS ET CONCEPTS... 2 I.1. Qu est ce que les archives?... 2 I.2. Pourquoi archiver?... 2 I.3.

Plus en détail

Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire

Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire 1 2 3 4 Bonnes Pratiques de Fabrication des médicaments à usage humain et vétérinaire Partie 1 Chapitre 3: Locaux et matériel 5 6 7 8 9 10 11 12 13 PRINCIPE Les locaux et le matériel doivent être situés,

Plus en détail

RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS

RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS RÉFÉRENTIEL DE CERTIFICATION IDENTIFICATION DES COMPÉTENCES À PARTIR DES ACTIVITÉS ACTIVITÉS Capacités COMPÉTENCES C1 Préparation des activités Réalisation d activités Relations avec les clients, avec

Plus en détail

POLITIQUE DE GESTION ET DE CONSERVATION DES DOCUMENTS (Adoptée le 12 juin 2013)

POLITIQUE DE GESTION ET DE CONSERVATION DES DOCUMENTS (Adoptée le 12 juin 2013) POLITIQUE DE GESTION ET DE CONSERVATION DES DOCUMENTS (Adoptée le 12 juin 2013) Le générique masculin est utilisé sans discrimination uniquement dans le but d alléger le texte. 1. OBJECTIFS Gérer efficacement

Plus en détail

GUIDE DE L'ARCHIVAGE OCTOBRE 2012

GUIDE DE L'ARCHIVAGE OCTOBRE 2012 GUIDE DE L'ARCHIVAGE OCTOBRE 2012 SOMMAIRE - Introduction Page 1 - Coordonnées du service d Archives de l INSERM Page 2 - Glossaire Page 3 - Les archives dans les bureaux Page 4 - Les archives administratives

Plus en détail

Système de management H.A.C.C.P.

Système de management H.A.C.C.P. NM 08.0.002 Norme Marocaine 2003 Système de management H.A.C.C.P. Exigences Norme Marocaine homologuée par arrêté du Ministre de l'industrie, du Commerce et des Télécommunications N 386-03 du 21 Février

Plus en détail

POLITIQUE DE GESTION DES DOCUMENTS ADMINISTRATIFS

POLITIQUE DE GESTION DES DOCUMENTS ADMINISTRATIFS POLITIQUE N o 11 POLITIQUE DE GESTION DES DOCUMENTS ADMINISTRATIFS Adoptée le 14 juin 2005 cegepdrummond.ca Adoptée au conseil d administration : 14 juin 2005 (CA-05-06-14-19) Cégep de Drummondville 960,

Plus en détail

Archiver dans une entreprise privée commerciale Fiche 4 : au moins 5 ans

Archiver dans une entreprise privée commerciale Fiche 4 : au moins 5 ans Sécurité Livre de paie (applicable jusqu au 31/07/1998) art. L. 143-5). Déclarations préalables à l embauche L. 320). Relevé mensuel des contrats de travail art. R. 320-1-1). Tous documents, en général,

Plus en détail

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION. La méthode HACCP. olet 1 : Informations générales

LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION. La méthode HACCP. olet 1 : Informations générales LA DÉMARCHE GLOBALE DE PRÉVENTION La méthode HACCP olet 1 : Informations générales 1 Textes 2 Réseau 3 Formations obligatoires 4 Offres de formations Année : 2005-2006 1 Textes (Extraits) J.O n 247 du

Plus en détail

Politique de gestion documentaire

Politique de gestion documentaire Politique de gestion documentaire L application de cette politique est sous la responsabilité du cadre de direction qui remplit les fonctions de secrétaire général Adopté par le conseil d administration

Plus en détail

Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical)

Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) IND/RN/001/NT03 Notice UTILISATION DE SOURCES RADIOACTIVES (domaine non médical) Renouvellement, modification ou annulation de l autorisation I DEMANDE DE RENOUVELLEMENT D UNE AUTORISATION...3 I.1 Rappels...3

Plus en détail

des banques pour la recherche

des banques pour la recherche ADN, cellules, tissus... des banques pour la recherche FÉVRIER 2009 Les banques d échantillons de matériel biologique (tissus, cellules, ADN ), appelées biobanques, mettent à disposition des chercheurs

Plus en détail

Les mentions et abréviations employées se lisent donc de la façon suivante :

Les mentions et abréviations employées se lisent donc de la façon suivante : CIRCULAIRE AD 94-2 DU 18 JANVIER 1994 Tri et conservation des archives des établissements publics de santé : documents produits après 1968 par les services administratifs chargés de la gestion des hospitalisations

Plus en détail

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments

Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Sensibilisation des opérateurs à l hygiène des aliments Le respect des bonnes pratiques d hygiène de fabrication, par chaque opérateur, constitue le préalable à toute démarche de maîtrise de la sécurité

Plus en détail

Stages en archives pendant l apprentissage d agent-e en information documentaire liste de contrôle

Stages en archives pendant l apprentissage d agent-e en information documentaire liste de contrôle Stages en archives pendant l apprentissage d agent-e en information documentaire liste de contrôle De nombreux archivistes se sont déjà interrogés sur la manière d organiser un stage en archives pour des

Plus en détail

REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF REACTION AU FEU MANCHONS ET PLAQUES D ISOLATION THERMIQUE EN ELASTOMERE EXPANSE PARTIE 4

REGLES DE CERTIFICATION MARQUE NF REACTION AU FEU MANCHONS ET PLAQUES D ISOLATION THERMIQUE EN ELASTOMERE EXPANSE PARTIE 4 REGLES DE CERTIFICATION MARQUE MANCHONS ET PLAQUES D ISOLATION THERMIQUE EN ELASTOMERE EXPANSE PARTIE 4 PROCESSUS DE SURVEILLANCE DES PRODUITS CERTIFIES MODIFICATIONS ET EVOLUTION SOMMAIRE 4.1. Processus

Plus en détail

L assurance de la qualité à votre service

L assurance de la qualité à votre service Atelier L assurance de la qualité à votre service Présentation de Jean-Marie Richard 24 et 25 novembre Sujets Qu est-ce que l assurance de la qualité? Initiation aux concepts de l assurance de la qualité.

Plus en détail

Observatoire des Métiers, Qualifications et Besoins de formation

Observatoire des Métiers, Qualifications et Besoins de formation Observatoire des Métiers, Qualifications et Besoins de formation Secteur Tertiaire 6 ème édition - 2003 Réali sé par la Chambre de Commerce et d Industrie Centre en partenariat avec le pôle ORFE du Groupement

Plus en détail

Cahier des charges pour l appel d offres. février 2015 SOMMAIRE

Cahier des charges pour l appel d offres. février 2015 SOMMAIRE Actions Thématiques 2015 : développer les compétences des travailleurs handicapés, usagers des ESAT bas-normands dans la Branche sanitaire, sociale et médico-sociale privée, à but non lucratif Cahier des

Plus en détail

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS

SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS PREFET DES PYRENEES-ATLANTIQUES Direction Départementale de la Protection des Populations des Pyrénées-Altantiques SECURITE SANITAIRE DES ALIMENTS Quelques règles à respecter, secteur de la remise directe

Plus en détail

Luxembourg-Luxembourg: Services de traduction AMI14/AR-RU 2014/S 059-098331. Appel de manifestations d'intérêt

Luxembourg-Luxembourg: Services de traduction AMI14/AR-RU 2014/S 059-098331. Appel de manifestations d'intérêt 1/5 Cet avis sur le site TED: http://ted.europa.eu/udl?uri=ted:notice:98331-2014:text:fr:html Luxembourg-Luxembourg: Services de traduction AMI14/AR-RU 2014/S 059-098331 Appel de manifestations d'intérêt

Plus en détail

Registres de fermentation lente. Critères d inspection

Registres de fermentation lente. Critères d inspection Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Chapitre 15 - tâches liées traitement non-thermique Registres de fermentation lente 1.15.0.3204 Registres de fermentation lente Registres Un échantillon

Plus en détail

TABLEAU D ARCHIVAGE MODELE A DESTINATION DES LIGUES, COMITES ET CLUBS. Janvier 2008

TABLEAU D ARCHIVAGE MODELE A DESTINATION DES LIGUES, COMITES ET CLUBS. Janvier 2008 TABLEAU D ARCHIVAGE MODELE A DESTINATION DES LIGUES, COMITES ET CLUBS Janvier 2008 Ce document a pour objectif de donner des indications sur les durées de des principaux documents susceptibles d être produits

Plus en détail

Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie

Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Médicaments en vente libre : considérations pour la pratique de la physiothérapie Adapté d un article approuvé de l Alliance canadienne des organismes de réglementation de la physiothérapie (2012) Le CPTNB

Plus en détail

Fiche descriptive d activités

Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités Fiche descriptive d activités (FDA) La fiche descriptive d activités (FDA) dresse la liste de l ensemble des activités, recensées lors d enquêtes, exercées par des titulaires

Plus en détail

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants

1. Identification de la substance ou préparation et de la Société. 2. Composition/ informations sur les composants Date d impression : 23/08/02 Valable à partir du : 08.08.01 Page: 1/7 1. Identification de la substance ou préparation et de la Société Données relatives au produit : Nom commercial : KNAUF ZADUR Mortier

Plus en détail

INSCRIPTION, CLASSEMENT ET EMBALLAGE. Communication de l expert de l Afrique du Sud

INSCRIPTION, CLASSEMENT ET EMBALLAGE. Communication de l expert de l Afrique du Sud NATIONS UNIES ST Secrétariat Distr. GÉNÉRALE ST/SG/AC.10/C.3/2005/47 13 septembre 2005 FRANÇAIS Original: ANGLAIS COMITÉ D EXPERTS DU TRANSPORT DES MARCHANDISES DANGEREUSES ET DU SYSTÈME GÉNÉRAL HARMONISÉ

Plus en détail

MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE NOTICE

MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE NOTICE cerfa N 50078#07 MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE PROCEDURE D'AGREMENT, AU TITRE DU CREDIT D'IMPOT-RECHERCHE, DES ORGANISMES EXECUTANT POUR DES TIERS DES OPERATIONS DE RECHERCHE ET DE DEVELOPPEMENT NOTICE

Plus en détail

LABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax.

LABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax. LABO EXPRESS - 6, avenue Charles de Gaulle - 78150 Le Chesnay 451 372 361 00027 RCS Versailles SARL au capital de 20 000 Tél. 01.39.43.78.78 / Fax. 01.39.43.78.79 www.laboexpress.fr SOMMAIRE I. PRESENTATION

Plus en détail

DEMANDE D ACCES AUX EQUIPEMENTS DE MICROSCOPIE PHOTONIQUE

DEMANDE D ACCES AUX EQUIPEMENTS DE MICROSCOPIE PHOTONIQUE Page 1/6 Gif-sur-Yvette, le Objet : Lettre d accord pour l accès aux équipements de la plateforme Imagerie-Gif Entre : Plateforme Imagerie-Gif Avenue de la Terrasse 91198 Gif sur Yvette Cedex Et : Email

Plus en détail

Parties communes et services

Parties communes et services Parties communes et services Ergonomie pratique en 128 points CHECKPOINT 95 Mettre des vestiaires et des sanitaires à la disposition des employés pour garantir un bon niveau d'hygiène et de propreté. POURQUOI

Plus en détail

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière

Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière Les pages qui suivent constituent les Déclarations européennes de la pharmacie hospitalière. Elles représentent l expression consensuelle de ce que

Plus en détail

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012

Unité de Recherche Clinique St Louis - Lariboisière Fernand Widal Le 03 Février 2012 Visite de pré-sélection Visite de Mise en place Murielle COURREGES-VIAUD, ARC Laurence GUERY, ARC responsable Assurance Qualité Véronique JOUIS, Coordinatrice des ARCs Responsable Logistique Unité de Recherche

Plus en détail

Protocole de sécurité chargement déchargement

Protocole de sécurité chargement déchargement Protocole de sécurité chargement déchargement Note pratique de prévention N.P.P.-01/2007 CRAM Centre Ouest Caisse Régionale d Assurance Maladie Centre Ouest 37 avenue du Président René Coty - 87048 LIMOGES

Plus en détail

Recueil des règles de conservation des documents des établissements universitaires québécois 04 RESSOURCES MOBILIÈRES ET IMMOBILIÈRES

Recueil des règles de conservation des documents des établissements universitaires québécois 04 RESSOURCES MOBILIÈRES ET IMMOBILIÈRES 04 RESSOURCES MOBILIÈRES ET IMMOBILIÈRES 04.01 Gestion des ressources immobilières - Fichier informatique Fichier contenant des données utilisées pour contrôler l'inventaire et la gestion des immeubles,

Plus en détail

CATALOGUE DES FORMATIONS ET SEMINAIRES 2015

CATALOGUE DES FORMATIONS ET SEMINAIRES 2015 CATALOGUE DES FORMATIONS ET SEMINAIRES 2015 Adresse : 65, Lot El Bina, Dély Ibrahim, Alger Algérie Tél : 021 910 77 E-mail : ifirstmag@gmail.com Fax: 021 910 768 CATALOGUE DES FORMATIONS ET SEMINAIRES

Plus en détail

MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE

MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE cerfa N 50078#10 MINISTÈRE CHARGÉ DE LA RECHERCHE PROCEDURE D'AGREMENT, AU TITRE DU CREDIT D'IMPOT-RECHERCHE, DES ORGANISMES EXECUTANT POUR DES TIERS DES OPERATIONS DE RECHERCHE ET DE DEVELOPPEMENT NOTICE

Plus en détail

Questionnaire Responsabilité Contractuelle et Professionnelle des Entreprises du Transport

Questionnaire Responsabilité Contractuelle et Professionnelle des Entreprises du Transport Ce questionnaire a pour objet de renseigner l Assureur sur le risque à garantir. Les réponses apportées aux questions posées ci-après ainsi que les documents à fournir serviront de base à l établissement

Plus en détail

FICHE PRATIQUE. CLP : Classification, étiquetage et emballage des produits chimiques. Contexte : classifier et identifier les substances chimiques

FICHE PRATIQUE. CLP : Classification, étiquetage et emballage des produits chimiques. Contexte : classifier et identifier les substances chimiques FICHE PRATIQUE CLP : Classification, étiquetage et emballage des produits chimiques Contexte : classifier et identifier les substances chimiques «En vue de faciliter les échanges internationaux tout en

Plus en détail

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE

PARTIE 5 NOTICE HYGIENE ET SECURITE de en Martinik NOTICE HYGIENE ET SECURITE BUREAU VERITAS ASEM Dossier n 6078462 Révision 2 Octobre 2014 Page 1 de en Martinik SOMMAIRE 1. INTRODUCTION... 3 1.1 OBJET DE LA NOTICE... 3 1.2 CADRE REGLEMENTAIRE...

Plus en détail

ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE

ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Référence HCL : Titre de l étude : ELABORATION DU PLAN DE MONITORING ADAPTE POUR UNE RECHERCHE BIOMEDICALE A PROMOTION INSTITUTIONNELLE Investigateur Coordonnateur : Méthode. Définition du niveau de risque

Plus en détail

Métiers de la Production/ Logistique

Métiers de la Production/ Logistique Les fiches Métiers de l Observatoire du Travail Temporaire Emploi, compétences et trajectoires d intérimaires cadres Métiers de la Production/ Logistique R & D Production Ingénieur de recherche Responsable

Plus en détail

POLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ

POLITIQUE DE BIOSÉCURITÉ Date d entrée en vigueur: Mai 2006 Remplace/amende: VRS-52/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-52 DÉFINITION Une substance biologique dangereuse se définit comme un organisme

Plus en détail

Conservation des données à long terme

Conservation des données à long terme Rencontres ACADM 26 juin 2014 Conservation des données à long terme Sandrine DANIEL, data manager Sandrine VINAULT, data manager Isabelle FOURNEL, médecin épidémiologiste CIC 1432 Module Epidémiologie

Plus en détail

LETTRE DE CONSULTATION

LETTRE DE CONSULTATION LETTRE DE CONSULTATION N 07_26 Le présent document est à retourner à l'adresse suivante : Agence française de sécurité sanitaire de l environnement et du travail 253 avenue du général Leclerc 94 701 Maisons-Alfort

Plus en détail

Charte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon

Charte de la Banque ADN et de Cellules de Généthon Sommaire 1. PREAMBULE... 2 2. DEFINITIONS... 2 3. CADRE LEGAL... 3 4. ORGANISATION DE LA BACG... 4 5. PRESTATIONS DE LA BACG... 5 6. MODALITES DE CONTRIBUTION ET D UTILISATION DES SERVICES... 5 7. REGLES

Plus en détail

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV

RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV RESOLUTION OIV-VITI 469-2012 GUIDE D APPLICATION DU SYSTÈME HACCP (HAZARD ANALYSIS AND CRITICAL CONTROL POINTS) A LA VITICULTURE DE L OIV L ASSEMBLÉE GÉNÉRALE, Suivant la proposition de la Commission I

Plus en détail

ECE/TRANS/WP.15/AC.1/2015/21. Conseil économique et social. Nations Unies. Commission économique pour l Europe Comité des transports intérieurs

ECE/TRANS/WP.15/AC.1/2015/21. Conseil économique et social. Nations Unies. Commission économique pour l Europe Comité des transports intérieurs Nations Unies Conseil économique et social ECE/TRANS/WP.15/AC.1/2015/21 Distr. générale 9 janvier 2015 Français Original: anglais Commission économique pour l Europe Comité des transports intérieurs Groupe

Plus en détail

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON

EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON REPUBLIQUE FRANCAISE DEPARTEMENT DU RHONE EXTRAIT DU REGISTRE DES ARRETES DU PRESIDENT DE LA COMMUNAUTE URBAINE DE LYON ARRETE N 2013-07-15-R-0287 commune(s) : Villeurbanne objet : Autorisation de déversement

Plus en détail

RÈGLEMENT 15 REGISTRES OFFICIELS ET DOCUMENTATION ADMINISTRATIVE

RÈGLEMENT 15 REGISTRES OFFICIELS ET DOCUMENTATION ADMINISTRATIVE NOTE : Le texte que vous consultez est une codification administrative des Règlements de l'uqar. La version officielle est contenue dans les résolutions adoptées par le Conseil d'administration. RÈGLEMENT

Plus en détail

Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE

Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE DEPARTEMENT ENVELOPPES ET REVETEMENTS Constructions Légères et Couvertures Conditions Générales d Intervention du CSTB pour la délivrance d une HOMOLOGATION COUVERTURE Livraison Cahier V1 de Mars 2010

Plus en détail

POLITIQUE DE GESTION DES DOCUMENTS ADMINISTRATIFS

POLITIQUE DE GESTION DES DOCUMENTS ADMINISTRATIFS 1. OBJET DE LA POLITIQUE La présente politique a pour objet l application d un ensemble de méthodes et de systèmes portant sur le classement, la conservation et la protection des informations contenues

Plus en détail

Lignes directrices pour l application d un système de management de la qualité dans les laboratoires d analyse des drogues

Lignes directrices pour l application d un système de management de la qualité dans les laboratoires d analyse des drogues Lignes directrices pour l application d un système de management de la qualité dans les laboratoires d analyse des drogues Notre engagement: la qualité et l amélioration continue Crédits photo: Bibliothèque

Plus en détail

La correction des erreurs d'enregistrement et de traitement comptables

La correction des erreurs d'enregistrement et de traitement comptables La correction des erreurs d'enregistrement et de traitement comptables Après l'étude des différents types d'erreurs en comptabilité (Section 1) nous étudierons la cause des erreurs (Section 2) et les techniques

Plus en détail

Le Centre canadien de réponse aux incidents cybernétiques (CCRIC)

Le Centre canadien de réponse aux incidents cybernétiques (CCRIC) Le Centre canadien de réponse aux incidents cybernétiques (CCRIC) Mai 2014 Stratégie de cybersécurité du Canada Depuis la publication de la Stratégie de cybersécurité du Canada en 2010, Sécurité publique

Plus en détail

Service Intercommunal d Aide au Classement et à la Valorisation des Archives FICHE INFORMATIVE N 2 L A COMMU N IC AT I O N DES AR C HIVES

Service Intercommunal d Aide au Classement et à la Valorisation des Archives FICHE INFORMATIVE N 2 L A COMMU N IC AT I O N DES AR C HIVES Département des Alpes -de-haute-provence CENTRE DE GESTION DE LA FONCTION PUBLIQUE TERRITORIALE Rue de Font de Lagier - BP 9-04130 VOLX - Tél. 04 92 70 13 00 - Fax. 04 92 70 13 01 E-Mail : courrier@cdg04.fr

Plus en détail

Annexe 4 Bonnes pratiques de fabrication des produits pharmaceutiques : Principes généraux 1

Annexe 4 Bonnes pratiques de fabrication des produits pharmaceutiques : Principes généraux 1 Annexe 4 Bonnes pratiques de fabrication des produits pharmaceutiques : Principes généraux 1 Note d introduction Généralités Glossaire Gestion de la qualité dans l industrie pharmaceutique : principes

Plus en détail

La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène»

La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène» La nouvelle réglementation européenne relative à l hygiène des aliments: «Paquet Hygiène» Direction Départementale des Services Vétérinaires de Meurthe-et-Moselle Plan 1. Objectifs de la réforme 2. Quels

Plus en détail

le dossier individuel de l agent

le dossier individuel de l agent QUESTION DE DROIT : le dossier individuel de l agent Le dossier administratif d un agent de la Fonction Publique est un document obligatoire que le service du personnel de chaque établissement se doit

Plus en détail

Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban

Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban Réorganisation du processus de transfusion sanguine au Liban Cahier des charges du Logiciel Médico Technique Rédigé en collaboration avec Cahier des charges du Logiciel Médico Technique La procédure d

Plus en détail

POLITIQUE SUR LA SÉCURITÉ LASER

POLITIQUE SUR LA SÉCURITÉ LASER Date d entrée en vigueur: 30 aout 2011 Remplace/amende: VRS-51/s/o Origine: Vice-rectorat aux services Numéro de référence: VPS-51 Les utilisateurs de lasers devront suivre les directives, la politique

Plus en détail

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier?

Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? DISPOSITIFS MEDICAUX Révision des descriptions génériques Comment monter un dossier? Guide pour le dossier déposé par les fabricants/distributeurs Adopté en séance de la CEPP* le 13 juillet 2005 *CEPP

Plus en détail

H A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations.

H A C C P. Hazard Analysis, Critical Control Point. Analyse des dangers, maîtrise des points critiques. Programme de formations. H A C C P Hazard Analysis, Critical Control Point Analyse des dangers, maîtrise des points critiques Objectifs : L'HACCP est une norme de mise en œuvre destinée à évaluer les dangers, et, mettre en place

Plus en détail

COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX

COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX COMMUNE DE GRESY-SUR-AIX Marché public pour la restauration scolaire (du 01/09/2015 au dernier jour précédent la rentrée scolaire 2016, renouvelable une fois) Date et heure limite de réception des offres

Plus en détail

Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir

Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Audit et Inspection Les contraintes extérieures B.Malivoir Chef de projet Hémato-Onco CHRU Tours Vice Présidente CPP Région Ouest1 Le contexte juridique Directive 2001/20/CE du Parlement européen et du

Plus en détail

HACCP et sécurité sanitaire des aliments

HACCP et sécurité sanitaire des aliments HACCP et sécurité sanitaire des aliments 1. A votre avis, comment cet accident aurait-il pu être évité? En identifiant les risques alimentaires potentiels liés à l activité de conserverie artisanale et

Plus en détail

Plan d accès. 2 - Les Archives Municipales de la Ville d Hyères

Plan d accès. 2 - Les Archives Municipales de la Ville d Hyères Plan d accès 2 - Les Archives Municipales de la Ville d Hyères Archives : Le terme s emploie toujours au pluriel pour désigner un ensemble de documents, produits ou reçus par toute personne physique ou

Plus en détail

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains

ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains ASSOCIATION MEDICALE MONDIALE DECLARATION D HELSINKI Principes éthiques applicables à la recherche médicale impliquant des êtres humains Adoptée par la 18e Assemblée générale de l AMM, Helsinki, Finlande,

Plus en détail

PREFET DES BOUCHES-DU-RHONE

PREFET DES BOUCHES-DU-RHONE PREFET DES BOUCHES-DU-RHONE DIRECTION DEPARTEMENTALE INTERMINISTERIELLE DE LA PROTECTION DES POPULATIONS Siège : 22, Rue Borde - 13285 MARSEILLE CEDEX 08 Publipostage MARSEILLE, 03.04.2013 Téléphone :

Plus en détail

Clôture des comptes de la coopérative scolaire OCCE Liste des opérations à effectuer

Clôture des comptes de la coopérative scolaire OCCE Liste des opérations à effectuer Clôture des comptes de la coopérative scolaire OCCE Liste des opérations à effectuer I - Comptes établis avec le cahier de comptabilité 1. Calculer la situation générale (colonne 14). 2. Totaliser les

Plus en détail

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX

RAPPORT AUDIT HYGIENE AVXX-0XX-XXX Date: SITE: Heure: par: MENTION GLOBAL DE L'AUDIT: NOMBRE D'ECARTS CONSTATES: ECARTS CONSTATES: 1. RESPONSABILITÉ DE LA DIRECTION / DÉFINITION & CONTRÔLE DES RÈGLES D HYGIÈNE 1.1 Déclaration de l'établissement

Plus en détail

RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE A L'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE ANNUELLE DU 15 JUIN

RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL DE SURVEILLANCE A L'ASSEMBLEE GENERALE ORDINAIRE ANNUELLE DU 15 JUIN " PRECIA " Société Anonyme à Directoire et à Conseil de Surveillance Au capital de 2 200 000 Siège social à VEYRAS - 07000 PRIVAS R.C.S. AUBENAS B. 386.620.165 (1966 B 16) RAPPORT DE LA PRESIDENTE DU CONSEIL

Plus en détail

Ordonnance sur les services de certification électronique

Ordonnance sur les services de certification électronique Ordonnance sur les services de certification électronique (OSCert) 784.103 du 12 avril 2000 (Etat le 23 mai 2000) Le Conseil fédéral suisse, vu les art. 28, 62 et 64 de la loi du 30 avril 1997 sur les

Plus en détail

Comment concevoir son lit biologique

Comment concevoir son lit biologique santé - sécurité au travail > RISQUE PHYTOSANITAIRE Gestion des effluents phytosanitaires Comment concevoir son lit biologique > Choix du procédé > Méthode de conception > Construction du lit biologique

Plus en détail

SPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES

SPECIFICATION E DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES 92038 PARIS LA DEFENSE CEDEX Page 1 / 11 SPECIFICATION "E" DU CEFRI CONCERNANT LES ENTREPRISES EMPLOYANT DU PERSONNEL DE CATEGORIE A OU B TRAVAILLANT DANS LES INSTALLATIONS NUCLEAIRES 29/11/00 13 Indice

Plus en détail

N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS

N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS RÉPUBLIQUE FRANÇAISE DIVISION DE PARIS Paris, le 6 mars 2015 N/Réf. : CODEP-PRS-2015-009248 Hôpital d'instruction des Armées du Val de Grâce 74 boulevard de Port Royal 75005 PARIS Objet : Réf : Inspection

Plus en détail

Paris, le 14 janvier 2005. La directrice des Archives de France. Mesdames et Monsieur les directeurs des centres des Archives nationales

Paris, le 14 janvier 2005. La directrice des Archives de France. Mesdames et Monsieur les directeurs des centres des Archives nationales Paris, le 14 janvier 2005 La directrice des Archives de France à Mesdames et Monsieur les directeurs des centres des Archives nationales Mesdames et Messieurs les directeurs d archives départementales

Plus en détail

TRAITEMENTS DE FIN D ANNEE Comptabilité

TRAITEMENTS DE FIN D ANNEE Comptabilité Livret TRAITEMENTS DE FIN D ANNEE Comptabilité Tout ce que vous devez savoir Pour gérer les traitements de fin d année A destination des Utilisateurs de Sage Comptabilité Sommaire Sommaire... 2 Les différentes

Plus en détail

Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté 9, rue des Serruriers 21800 CHEVIGNY SAINT SAUVEUR

Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté 9, rue des Serruriers 21800 CHEVIGNY SAINT SAUVEUR DIRECTION RÉGIONALE DE L INDUSTRIE, DE LA RECHERCHE ET DE L ENVIRONNEMENT DE BOURGOGNE www.bourgogne.drire.gouv.fr Division de Dijon Monsieur RIBETTE Christophe SCREG Est Agence Bourgogne Franche Comté

Plus en détail

CAP d Installateur sanitaire RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES PRÉSENTATION DES FONCTIONS ET TACHES

CAP d Installateur sanitaire RÉFÉRENTIEL DES ACTIVITÉS PROFESSIONNELLES PRÉSENTATION DES FONCTIONS ET TACHES PRÉSENTATION DES FONCTIONS ET TACHES Les activités sont à développer lors de la réalisation d un ouvrage ou d une installation simple ACTIVITES : 1) Préparation / Organisation 1- Prendre connaissance du

Plus en détail

MASTER 2 SCIENCES DU MEDICAMENT

MASTER 2 SCIENCES DU MEDICAMENT MASTER 2 SCIENCES DU MEDICAMENT RÉSUMÉ DE LA FORMATION Type de diplôme : Master (LMD) Domaine ministériel : Sciences, Technologies, Santé Présentation La vocation de ce diplôme est d'apporter une formation

Plus en détail

Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH

Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Contenu attendu des guides nationaux de bonnes pratiques d hygiène GBPH Note d information à l usage des professionnels En complément de cette note, des informations relatives au contenu des GBPH sont

Plus en détail

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure :

OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneux et autres végétaux indésirables Sous-mesure : OUVERT02 - Maintien de l ouverture par élimination mécanique ou manuelle des rejets ligneu et autres végétau indésirables Sous-mesure : 10.1 Paiements au titre d'engagements agroenvironnementau et climatiques

Plus en détail

7. Recherche des essais

7. Recherche des essais 7. Recherche des essais Le chapitre précédent a insisté sur la nécessité de réaliser une recherche des essais aussi exhaustive que possible. Seule la conjonction de tous les moyens disponibles peut laisser

Plus en détail

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires.

DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. Produits de thérapie cellulaire DIAPOSITIVE 1 Cette présentation a trait à la réglementation sur les thérapies cellulaires. DIAPOSITIVE 2 La fabrication des thérapies cellulaires est examinée par la Division

Plus en détail

Université du Québec à Trois-Rivières Politique de gestion des documents actifs, semi-actifs et inactifs de l'u.q.t.r.

Université du Québec à Trois-Rivières Politique de gestion des documents actifs, semi-actifs et inactifs de l'u.q.t.r. Université du Québec à Trois-Rivières Politique de gestion des documents actifs, semi-actifs et inactifs de l'u.q.t.r. (Résolution 398-CA-3497, 25 novembre 1996) 1. Énoncé Par cette politique, l'université

Plus en détail

I. Définitions et exigences

I. Définitions et exigences I. Définitions et exigences Classes d indicateurs chimiques [1] Stérilisation : synthèse des normes ayant trait Exigences générales : Chaque indicateur doit porter un marquage clair mentionnant le type

Plus en détail

QUESTIONNAIRE D ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE DES ENTREPRISES INDUSTRIELLES ET COMMERCIALES

QUESTIONNAIRE D ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE DES ENTREPRISES INDUSTRIELLES ET COMMERCIALES QUESTIONNAIRE D ASSURANCE RESPONSABILITE CIVILE DES ENTREPRISES INDUSTRIELLES ET COMMERCIALES PROPOSANT : Code client.. Nom ou raison sociale Adresse du siège social (localisation).. Ville. Téléphone..

Plus en détail

A-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ

A-ESSE s.p.a. FICHE DE SÉCURITÉ A-ESSE s.p.a. USINE OXYDES de ZINC FICHE DE SÉCURITÉ Oxyde de zinc 1. IDENTIFICATION DU PRODUIT CHIMIQUE ET DE LA SOCIÉTÉ NOM DU PRODUIT: DÉNOMINATION COMMUNE, COMMERCIALE ET SYNONYMES: UTILISATION DE

Plus en détail

Juridique info. Sommaire. Médicaments. 1 Procédure pour la mise sur le marché des médicaments traditionnels à base de plantes. Actualités Législatives

Juridique info. Sommaire. Médicaments. 1 Procédure pour la mise sur le marché des médicaments traditionnels à base de plantes. Actualités Législatives Avril 2009 > numéro 22 Juridique info Le bulletin juridique de l Agence française de sécurité sanitaire des produits de santé Sommaire 1 Actualités Législatives 1 Produits biologiques à effet thérapeutique

Plus en détail

Document d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale

Document d information 1. Principaux aspects de la proposition de la Commission COM (2000) 716 du point de vue de l alimentation animale Proposition de la Commission COM (2000) 716 établissant les principes généraux et les prescriptions générales du droit alimentaire, instituant l Autorité Alimentaire Européenne et fixant des procédures

Plus en détail

Conditions Générales pour l achat de biens et services

Conditions Générales pour l achat de biens et services Conditions Générales pour l achat de biens et services 1 Champ d application 1.1 Les conditions générales règlent la conclusion, le contenu et l exécution des accords d achat de biens et services. 1.2

Plus en détail

ROF 2003_096. Ordonnance. modifiant certaines dispositions relatives à la sécurité des ascenseurs. Le Conseil d Etat du canton de Fribourg

ROF 2003_096. Ordonnance. modifiant certaines dispositions relatives à la sécurité des ascenseurs. Le Conseil d Etat du canton de Fribourg Ordonnance du 1 er juillet 2003 Entrée en vigueur : 01.07.2003 modifiant certaines dispositions relatives à la sécurité des ascenseurs Le Conseil d Etat du canton de Fribourg Vu la loi fédérale du 19 mars

Plus en détail