DESAISONNER SON TROUPEAU INTERET ECONOMIQUE

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1 REFERENCES TECHNICO ECONOMIQUES : SAISONNALITE DE LA PRODUCTION DESAISONNER SON TROUPEAU INTERET ECONOMIQUE RESEAUX Rhône Alpes D ELEVAGE FACTEURS DE REUSSITE ET RISQUES DE DERIVES POURQUOI CETTE FICHE? La chèvre est un animal dont la reproduction est saisonnée. Cette caractéristique physiologique a pour conséquence un déséquilibre de la production laitière entre le printemps et l hiver. Les volumes collectés par les entreprises sont ainsi 3 à 4 fois plus importants en mai qu en novembre. Par un prix du lait attractif en hiver, les éleveurs laitiers sont incités à faire évoluer la conduite de leur troupeau. Du côté des éleveurs fromagers, la volonté de s adapter aux contraintes commerciales, de mieux répartir la production peuvent aussi être des motivations pour faire évoluer leur système. Les travaux conduits par le PEP CAPRIN ont mis en évidence plusieurs voies techniques pour arriver à une meilleure répartition de la production. Ils ont également montré la nécessité de considérer l exploitation dans sa globalité. Le plus souvent en effet, la réflexion sur le désaisonnement se limite à une investigation sur la reproduction et sur les techniques pour avancer la saison sexuelle des chèvres (éponges, traitements lumineux,...). Les autres éléments du système d exploitation étant de fait rarement pris en compte : aspects techniques : alimentation (type et quantité de fourrages à prévoir), élevage des chevrettes, gestion des animaux vides, des tarissements et des reformes, vente des chevreaux de boucherie... aspects humains : travail et qualité de vie pour l exploitant, place par rapport aux autres productions, image du produit (AOC,...). Sur le terrain, les techniciens signalent des problèmes de reproductibilité d une année sur l autre difficile... échecs à la reproduction, lots de chèvres vides... tout ceci induisant des coûts, des manques à gagner. Si aujourd hui sur le plan technique, on peut arriver à des préconisations adaptées à un système donné, la question de l intérêt économique du désaisonnement reste entière. Les suivis réalisés dans le cadre du dispositif FERME DE REFERENCES caprine fournissent des éléments pour construire une réponse. QUELQUES MOTS SUR LA METHODE RETENUE. * Description d une situation de départ (rationnement, conduite du troupeau,..) avec des mises bas en saison et d une situation finale avec désaisonnement. * Chiffrage des différents scénarios (chiffrer quelques postes clés). * Les situations décrites étant optimisées, mise en évidence des points techniques risquant de faire dériver le système et de peser lourd sur l économie de l exploitation. LES HYPOTHESES DE DEPART * Un laitier avec 120 chèvres à 800 litres. * Système utilisant le pâturage. Les surfaces en herbe permettent de produire 350 kg par chèvre de foin de qualité moyenne (1 coupe) et 175 kg par chèvre de foin de bonne qualité (2 coupe, légumineuses). Ceci représente 80% des quantités nécessaires en fourrages conservés. * Les animaux pâturent du 15 avril au 01 novembre. * Durée de lactation : 300 jours. Pas de traite pendant 2 mois. * Conduite du troupeau : Conduite en un seul lot pour garder une période sans traite (qualité de vie, organisation du travail sur le rationnement, la reproduction,..). Les mises bas sont concentrées sur 2 mois avec 80 % des mises bas adultes sur 30 jours. Les dates moyennes de mises bas sont le 1 février pour le système saisonné et le 1 novembre pour le système désaisonné. Le système est calé et reproductible d une année sur l autre.

2 REMARQUE PREALABLE : Le choix a été fait de réaliser la simulation sur un troupeau désaisonné conduit avec un lot de mise bas unique et arrêt de la traite pendant 2 mois. CE CHOIX EST AMBITIEUX TECHNIQUEMENT. Sur le terrain, on trouve en effet plutôt des conduites en 2 ou 3 lots voir des mises bas étalées sur 6 mois sans que ceci soit réellement un choix de l éleveur mais plutôt la conséquence d un manque de réflexion globale sur le système. Pour beaucoup de producteurs, cette conduite en un lot désaisonné est un objectif. DESAISONNEMENT ET COUT ALIMENTAIRE En tenant compte des niveaux de production des aliments disponibles sur la région, un rationnement sur l année a été établi. Il permet de comparer les quantités de fourrages, concentrés et déshydratés distribuées aux animaux. Il a servi de base au calcul du coût des aliments achetés (cf. fiche jointe). On constate un coût de l alimentation supérieur de 223 francs par chèvre dans les systèmes désaisonnés, soit F pour les 120 chèvres. D un point de vue plus qualitatif, on peut mettre en avant les atouts et contraintes du système désaisonné par rapport au système saisonné. ATOUTS * L essentiel de la lactation se déroule en chèvrerie. Le suivi et l adaptation de la ration sont facilités. * La mise à l herbe va permettre un maintien de la lactation à un coût bas. CONTRAINTES * Obligation d avoir une ration hivernale de très bonne qualité - il n y a plus de «droit à l erreur» sur la qualité des fourrages récoltés sous peine d une augmentation des achats en concentrés et en déshydratés. des techniques de récolte spécifiques (enrubannage, séchage en grange) qui nécessitent des investissements non négligeables et ont des coûts de fonctionnement importants. avoir suffisamment de 2 coupes (mais que fait-on des 1?) Les surfaces et les équipements de l exploitation doivent permettre de récolter des stocks fourragers en QUANTITE SUFFISANTE et DE TRES BONNE QUALITE. * Nécessite une plus grande quantité de stock - le bâtiment de stockage est-il suffisant? * Nécessite d être mieux équipé pour la distribution des aliments (quantité distribuée plus importante). DESAISONNEMENT ET CONDUITE DU TROUPEAU Les animaux sont conduits en un seul lot. Les mises bas sont groupées. Dans les 2 systèmes, la maîtrise de la reproduction est IMPERATIVE. En terme de coût direct, le système désaisonné va nécessiter en plus par rapport au système «en saison» : L aménagement du bâtiment pour la réalisation du programme lumineux sur l ensemble du troupeau (chèvres, chevrettes et boucs). Ceci représente un coût de : * 60 francs/chèvre pour l installation et son fonctionnement. * 45 francs/chèvre (de 35 à 55 F selon les fournisseurs) pour l implant de mélatonine. Un nombre de boucs 1,5 à 2 fois plus important, soit un coût d environ 30 francs/chèvre (achat + entretien + traitement mélatonine des boucs supplémentaires). A noter qu un bâtiment spécifique est nécessaire pour les boucs. Des échographies (12 francs/chèvre) sont réalisées sur l ensemble du troupeau dans les 2 systèmes. Elles constituent en effet un OUTIL INDISPENSABLE de gestion du troupeau (réforme des animaux vides, ).

3 En système désaisonné, LES RISQUES DE DERIVES sont très importants. TOUT ECHEC DE LA REPRODUCTION VA SE TRADUIRE PAR : Des lactations écourtées. L objectif étant de recaler l ensemble du troupeau sur une date de mise bas unique, toutes les chèvres sont mises à la reproduction quelque soit leur stade de lactation.. une lactation de 210 jours au lieu de 300 jours c est 200 litres de lait en moins. * Les chèvres sont improductives à la période où le lait est payé le plus cher. * Les chèvres sont improductives à une période où la ration coûte cher. La perte de recette peut se monter à 800 francs par chèvre. L impact de ce «recalage» sur les futures lactations de l animal n est pas comptabilisé. Un moindre choix pour les chevrettes de renouvellement et la perte possible d animaux de bonne valeur génétique. Les chèvres ayant des mises bas trop tardives sont écartées du support de reproduction, l objectif étant de faire mettre bas les primipares à 13 mois au plus tard en même temps que les adultes. Un taux de renouvellement plus important. Pour limiter le nombre d animaux improductifs, les animaux vides à l échographie sont réformés. Des chèvres de bonne valeur génétique peuvent ainsi être éliminées. Des mises bas toute l année et la nécessité de constituer des lots. L objectif d arrêter la traite pendant 2 mois n est alors plus possible. L organisation du travail et de l alimentation des animaux doivent être revues et adapté. En conclusion : D un point de vue plus qualitatif, on peut mettre en avant les atouts et contraintes du système désaisonné par rapport au système saisonné. ATOUTS * moins de risques sanitaires pour les naissances précoces. * des chevrettes qui vont pouvoir pâturer la première année (sortie à 5,5 mois possible).. un plus pour le développement de l animal et la mise en route des habitudes alimentaires. * bonus possible sur la vente des cabris nés avant le 20/11. CONTRAINTES * Nécessité de très bien maîtriser la reproduction - préparation des femelles et des mâles à la saillie. - durée de la période de reproduction. - contrôle des gestations et réforme des vides. des risques de lactations écourtées et des conséquences sur les lactations suivantes. des risques d avoir des mises bas toute l année. des risques de devoir renoncer à l objectif d arrêt de la traite pendant 2 mois. un moindre choix pour les chevrettes de renouvellement. un taux de renouvellement plus important. réforme précoce de chèvres de bonne valeur génétique. nécessité d un bâtiment séparé pour les boucs avec du programme lumineux.

4 DESAISONNEMENT ET PRIX DU LAIT. Pour un laitier, désaisonner c est livrer plus de lait à un moment où les laiteries le payent cher. C est aussi en moyenne, un TB et un TP supérieur de 0,5 gramme/litre (source CL). % mensuel de livraison numéro du mois de livraison bonne persistance pic/chute marqué La recette laiterie a été calculée Avec les grilles FRCL et ILF en vigueur sur la région. Avec les conjonctures 2000 et Pour une courbe de livraison présentant une bonne persistance avec un pic limité et une autre présentant un profil pic chute très marqué. On fait l hypothèse que la conduite du troupeau permet l obtention de courbes identiques dans les 2 systèmes. Le mois 1 est le mois de janvier dans le système «en saison», le mois d octobre dans le système désaisonné. L écart maximum observé entre le système désaisonné et le système en saison est de francs (+431 f/chèvre) pour la courbe pic/chute. Il faut y rajouter un bonus taux de francs (+32 f/chèvre). Soit un total de francs (+463 f/chèvre). Avec la courbe présentant une bonne persistance, l écart se limite à francs (+250 f/chèvre). Avec le bonus pour les taux, ceci représente un gain de francs (+282 f/chèvre). Pour un fromager, l incidence financière directe est plus difficile à mesurer. Le gain va plutôt se traduire par une meilleure adéquation de la production et de la demande, par une limitation du recours aux méthodes de report du lait. EN CONCLUSION Désaisonner??, ne pas désaisonner?? L objectif de cette fiche n était pas d apporter une réponse universelle mais : - d attirer l attention sur les multiples composantes de la prise de décision et de donner des éléments de réflexion - de considérer l exploitation dans sa globalité avec aussi bien ses dimensions techniques (alimentation, reproduction,..) qu humaine (autres activités et pointes de travail, disposer d une période sans traite..) * Sur la recette laiterie. Les simulations mettent bien en évidence les gains supplémentaires permis par le désaisonnement (+463 f/chèvre au maximum). La maîtrise de la persistance de la courbe de production en système saisonné permet également d améliorer de façon significative le prix du lait. Pour un niveau de production moindre, une date moyenne de mise bas au 1 décembre ou même des mises bas en 2 lots, le bonus obtenu sera bien évidemment moindre. * Sur l alimentation. Le désaisonnement se traduit par un surcoût de 220 f/chèvre. Au delà de ce chiffre, il est indispensable de disposer d une structure permettant la réalisation de stocks fourragers de très bonne qualité et en quantité suffisante. * Sur la conduite du troupeau. Le désaisonnement se traduit par un surcoût de 87 f/chèvre. La maîtrise de la reproduction constitue le point central du système. Plus on va vouloir avancer en saison, plus la taille du troupeau va être importante, plus il va être nécessaire d être pointu techniquement et rigoureux., Vouloir désaisonner sans au préalable avoir une parfaite maîtrise de la reproduction en système saisonné et un troupeau bien calé apparaît très hasardeux et les résultats peu reproductibles d une année sur l autre.

5 REFERENCES TECHNICO ECONOMIQUES : SAISONNALITE DE LA PRODUCTION DESAISONNER SON TROUPEAU INTERET ECONOMIQUE RESEAUX Rhône Alpes D ELEVAGE QUELQUES CHIFFRES ET EXPLICATIONS SUPPLEMENTAIRES Pour réaliser les simulations, des hypothèses ont été formulées. Hypothèses sur les niveaux de production, les dates moyennes de mises bas Si l on fait évoluer ces paramètres, comment évoluent les écarts entre le système «désaisonné» et le système «en saison».? C est ce que nous avons voulu observer au travers de ces quelques tableaux. DESAISONNEMENT ET PRIX DU LAIT EN FAISANT VARIER LA FORME DE LA COURBE DE PRODUCTION % mensuel de livraison numéro du mois de livraison bonne persistance pic/chute marqué La quantité de lait livré reste la même. Seule change la répartition mensuelle des livraisons. En système «en saison» et avec une bonne persistance de la courbe de production, l éleveur profite de la remontée des prix sur l été et l automne. Avec une bonne persistance et pour 800 litres de lait par chèvre, le bonus permis par le désaisonnement (+282 f/chèvre) ne permet pas de couvrir le surplus de charges (+307 F/chèvre). Les risques de dérives en système désaisonné apparaissent bien supérieur. DESAISONNEMENT ET PRIX DU LAIT EN FAISANT VARIER LE NIVEAU DE PRODUCTION La simulation a été faite pour 120 chèvres à 800 litres si elles ne produisent que 650 litres Les écarts maximum entre le système «désaisonné» et le système «en saison» sont de (hors bonus taux) ECART PAR CHEVRE ENTRE LE SYSTEME «DESAISONNE» ET LE SYSTEME «EN SAISON» Bonne persistance de la courbe Courbe «pic / chute» marquée 800 litres FF soit FF soit litres FF soit FF soit 52.90

6 DESAISONNEMENT ET PRIX DU LAIT EN FAISANT VARIER LA DATE MOYENNE DE MISE BAS La simulation a été faite sur un système désaisonné avec une date moyenne de mise bas au 1 novembre si cette date passe au 1 octobre ou au 1 décembre Les écarts maximum entre le système «désaisonné» et le système «en saison» pour 800 litres de lait par chèvre sont de (hors bonus taux). ECART PAR CHEVRE ENTRE LE SYSTEME «DESAISONNE» ET LE SYSTEME «EN SAISON» Bonne persistance de la courbe Courbe «pic / chute» marquée MB au 01/ FF soit FF soit MB au 01/ FF soit FF soit MB au 01/ FF soit FF soit Selon le niveau de production, selon la date moyenne de mise bas, selon la forme de la courbe, l écart financier entre les systèmes apparaît plus ou moins intéressant. Ceci constitue des facteurs complémentaires à intégrer dans le raisonnement préalable à l évolution des systèmes. DESAISONNEMENT ET COUT ALIMENTAIRE Les tableaux présentent une synthèse des quantités annuelle nécessaires pour l alimentation du troupeau pour des systèmes «désaisonnés et «en saison» avec des niveaux de production de 800 et de 650 litres par chèvre. Des écarts respectifs de 223 et de 179 FF/ chèvre sont ainsi mis en évidence. SYNTHESE 650 litres Mise bas au 1 février Mise bas au 1 novembre bon foin / chèvre 301 kg 371 kg ECART = 179 FF par foin moyen / chèvre 343 kg 198 kg CHEVRE déshydraté / chèvre 27 kg 153 kg (27.29 ) Fourrage + déshydraté / chèvre 670 kg 722 kg % bon foin + déshydraté 50 % 70 % fourrage acheté / chèvre 130 kg 200 kg concentrés / chèvre 177 kg 156 kg coût alimentation acheté /chèvre 390 F 569 F SYNTHESE 800 litres Mise bas au 1 février Mise bas au 1 novembre bon foin / chèvre 301 kg 371 kg ECART = 223 FF par foin moyen / chèvre 343 kg 207 kg CHEVRE déshydraté / chèvre 27 kg 149 kg (34 ) Fourrage + déshydraté / chèvre 674 kg 727 kg % bon foin + déshydraté 50 % 70 % fourrage acheté / chèvre 125 kg 200 kg concentrés / chèvre 219 kg 205 kg coût alimentation acheté /chèvre 427 F 650 F A noter qu en système désaisonné, l éleveur a la possibilité de vendre 18 tonnes de foin moyen.

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