TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT DU COORDONNATEUR DU PROJET DE MISE EN PLACE DES DISPOSITIFS NATIONAUX D EVALUATION

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1 TERMES DE REFERENCE POUR LE RECRUTEMENT DU COORDONNATEUR DU PROJET DE MISE EN PLACE DES DISPOSITIFS NATIONAUX D EVALUATION Novembre 2008

2 1. Contexte La gestion des systèmes d éducation et de formation demeure de plus en plus confrontée à des défis croissants du fait des pressions endogènes inhérentes à l évolution économique, technologique et pédagogique mais également à la complexité croissante de la demande sociale vis-à-vis de l école et des institutions de formation. Par souci de relever ces défis, de nombreux pays francophones du Sud ont adopté à la suite du forum mondial sur l Education en 2000 à Dakar, des Programmes d Education Pour Tous (EPT) qui ont fait émerger au niveau national et international de nouveaux cadres de connaissances, d'action et d exigence par rapport au développement du secteur éducatif. Depuis, des efforts importants sur les plans techniques et financiers ont été déployés dans les systèmes éducatifs qui ont alors connu un développement important presque partout, dans le domaine de l accès avec des taux de scolarisation dans l enseignement élémentaire de plus en plus proche des 100%. Cependant, la qualité et le pilotage demeurent une grande préoccupation. Les taux de promotion restent encore faibles, les redoublements élevés ainsi que les abandons. Les pourcentages de réussite aux différents examens de fin de cycle demeurent faibles et présentent des écarts aberrants d une année à l autre ; ce qui est la conséquence d une non maîtrise des techniques d évaluation (non pertinence des épreuves, correction défectueuse ).. En effet, ces enjeux politiques, économiques et sociaux d'éducation corrélés à la recherche permanente de la «qualité» dans les interventions ont fait aujourd hui de l évaluation un outil indispensable à la conception et à la mise en œuvre efficace des politiques publiques d éducation et de formation. A cet égard, plusieurs fonctions sont assignées à l évaluation dans les systèmes d éducation et de formation : - L évaluation comme outil de pilotage des systèmes éducatifs, - L évaluation comme outil de certification des apprentissages, - L évaluation comme outil de formation des apprenants, - L évaluation comme outil de mesure des performances des apprenants et de comparaison des performances des pays. Par conséquent, l évaluation en tant qu outil de mesure garantissant une objectivité scientifique dans l élaboration et la mise en œuvre des stratégies publiques de pilotage des systèmes demeure incontournable. Elle devient un instrument de bonne gouvernance pour certains, 2

3 même si elle soulève quelques fois bien des controverses dans les milieux scientifiques et politiques. Pour accompagner cette dynamique, de nombreux mécanismes et stratégies sont aujourd hui mis au point au plan international et timidement à l échelle de certains pays afin de bâtir un cadre cohérent de mise en œuvre et de suivi-évaluation des nouveaux objectifs assignés à l éducation. Cependant, force est de constater que d innombrables disparités existent et continuent à persister entre pays. C est pourquoi, la Conférence des Ministres de l Éducation des pays ayant le français en partage (CONFEMEN) s est résolument engagée depuis 2004 à concevoir et mettre en œuvre un vaste projet d institutionnalisation de l évaluation, sous ses différentes formes, au sein des systèmes éducatifs francophones. A ce titre, en rapport avec l OIF, les départements ministériels en charge de l éducation et de la formation ainsi que des organisations professionnelles intervenant dans le secteur de l éducation et de la formation, des groupes techniques et thématiques de réflexion/recherche-action portant sur les différents aspects des politiques d éducation et de formation ont été mis en place et un cadre d orientation pour l évaluation élaboré en vue d améliorer la qualité et la gouvernance du secteur. Ces instruments de mesure/contrôle permettent à la fois aux chercheurs et gestionnaires du système de disposer d outils fiables et scientifiques d évaluation mais offrent aussi aux décideurs politiques des opportunités de choix face aux différents scénarii que les évaluations sont susceptibles de mettre en exergue. 2. Justification L élaboration de ces termes de référence s inscrit dans le cadre de la politique de la CONFEMEN qui vise à faire connaître ses positions par rapport aux thèmes discutés en session ministérielle à travers la publication d un document de réflexion et d orientation. En effet, la thématique de la 51 e session ministérielle tenue à Maurice, en 2004, portait sur l évaluation des systèmes éducatifs. Elle a permis aux Ministres d échanger sur les enjeux de l évaluation dans un contexte marqué par les défis de l Education pour tous (EPT). Les participants à cette session ont unanimement constaté que l atteinte des objectifs de l EPT passe par l adoption de politiques éducatives plus efficaces, c est-à-dire qui permettent une meilleure transformation des ressources en résultats chez les élèves. Dans cette perspective, l institution de l évaluation sous ses différentes formes permettra, d une part, d identifier les voies par lesquelles ces gains d efficience pourront être obtenus et, d autre part, de rendre compte à la communauté nationale et internationale des progrès réalisés. C est 3

4 dans ce cadre que les Ministres des pays membres de la CONFEMEN se sont engagés à favoriser la mise en place de systèmes d évaluation et à développer une culture de l évaluation dans les pays membres. L évaluation : une exigence dans la mise en œuvre des programmes sectoriels Concernant le secteur de l éducation, les pays engagés dans le processus d initiative d allègement de la dette des PPTE, des OMD ou d Initiative de mise en œuvre accélérée de l Éducation pour tous (IMOA-EPT) ont le plus souvent élaboré et voté une loi d orientation ou ont adopté, en Conseil des Ministres, une lettre de politique sectorielle. Dans ce cadre, ils ont établi des plans ou programmes à court ou long terme, le plus souvent décennaux. A cet effet, les décideurs se sont engagés dans un dialogue avec les partenaires techniques et financiers et sont ainsi amenés à rendre compte de leur engagement, tout comme ils le font a l égard d organismes internationaux qui assurent le suivi des politiques (auxquels lesdits partenaires techniques et financiers participent également). Ceci vaut, par exemple, pour la mise en oeuvre des DSRP ou des programmes décennaux de l éducation, qui sont d ailleurs soumis a des examens périodiques. Ainsi, les Etats se doivent d évaluer leurs propres politiques parce que des engagements extérieurs ont été pris, mais aussi parce que, au travers des lois d orientation du système éducatif, ils ont l obligation de rendre compte des résultats à la représentation nationale et, plus largement, à la société civile. D où la nécessité de se doter d un dispositif national d évaluation s appuyant sur un «tableau de bord» constitué d une série d indicateurs. Un dispositif d évaluation permettra de mesurer les résultats atteints, d analyser les forces et les faiblesses, de faire des propositions d amélioration et enfin d élaborer des rapports d exécution techniques et financiers à l intention des partenaires et de la société civile. Des engagements publics ayant été pris, il importe que les résultats attendus soient atteints. Un pilotage s appuyant sur un dispositif permanent d évaluation est l un des moyens de réguler l action, d apporter les rectifications nécessaires et de se donner de meilleures chances d atteindre les objectifs fixés. 4

5 Pour ce faire, il convient de rechercher les facteurs qui, pour un moindre coût, sont susceptibles de produire les plus grands effets, c'est-à-dire scolariser le plus grand nombre et garantir un niveau appréciable d acquisitions scolaires de base et de qualité à chacun. Si l intention est claire, encore faut-il disposer des éléments d appréciation susceptibles de fonder un choix informé et équilibré. Sur ce point, c est largement la mesure des rendements scolaires corrélés avec les facteurs scolaires et non extrascolaires qui permet de fournir les aides nécessaires à la décision. L évaluation et les aspects économiques et financiers Nos Etats consacrent des ressources importantes (de 3% à 6% du produit intérieur brut (PIB), souvent plus du cinquième des ressources publiques) au secteur de l éducation car il est aujourd hui avéré que ce dernier constitue le meilleur investissement. Cependant des travaux de recherche dans le domaine des sciences de l éducation, parmi lesquels ceux du PASEC, ont révélé que les performances des systèmes éducatifs ne sont pas toujours corrélées positivement avec la quantité des ressources allouées. Par conséquent, les décideurs doivent mieux articuler les financements mis à disposition et les résultats escomptés. Ainsi, l enjeu premier de l évaluation des politique éducatives est celui de l efficience. Il s agit de s assurer qu il existe une relation acceptable entre les coûts et les résultats du système éducatif. Concernant la recherche d abaissement des coûts unitaires de l éducation conséquemment aux résultats de la recherche, il est évident que toute mesure allant dans ce sens a ou aura un impact direct sur les populations, qu il s agisse du niveau de recrutement et de rémunération des maîtres, de la taille des classes, des redoublements, etc. Il faut pouvoir expliquer et parfois justifier de tels choix, notamment en montrant qu ils ne se font pas au détriment de la qualité de l éducation dispensée. Là encore l évaluation trouve toute sa pertinence. Evaluation et pilotage Le faible niveau, voire l absence, de culture de l évaluation pour le pilotage des systèmes éducatifs francophones et principalement ceux du Sud amène à réfléchir sur les stratégies d une institutionnalisation de cette pratique. En effet, en dehors du SACMEQ, du PASEC et des analyses sectorielles pilotées au niveau international, les pays d Afrique francophones ont peu intégré cette forme d évaluation dans le fonctionnement de leurs systèmes d éducation et de 5

6 formation. Les études du PASEC ont révélé, entre autres résultats, les incohérences entre le redoublement et le niveau de performance des élèves, l incidence négative du redoublement sur la qualité et l efficience des systèmes éducatifs et proposé une batterie de mesure qui permettrait de réduire les coûts sans affecter la qualité. Il apparaît ainsi clairement que l évaluation occupe une place centrale dans les procédures de pilotage des systèmes éducatifs. Dans cette perspective, il y aurait des avantages certains à créer un dispositif d évaluation intégré à la vie du système et là où il existe déjà, à le renforcer ou à l intégrer au mieux aux procédures de régulation de l ensemble du système éducatif. Au regard de ces constats assez interpelants, les Ministres de la CONFEMEN ont convenu à l occasion de la 51 ème session ministérielle à l Ile Maurice en 2004, d un mémorandum sur l évaluation des systèmes éducatifs en retenant entre autres principes : - La nécessité d intégrer la fonction d évaluation au cœur de ces systèmes ; - Le besoin d articuler les politiques nationales d évaluation aux initiatives et dispositifs internationaux ; - L indispensable inscription de l évaluation dans une démarche transparente, en vue d une meilleure gouvernance et de l implication de tous dans la mise en œuvre des réformes de politiques éducatives. A cet effet, consciente de la nécessité de résorber les fortes disparités constatées dans ce domaine, la CONFEMEN s est engagée à : (i) faciliter la mise en place de dispositifs nationaux d évaluation ayant un ancrage institutionnel, adaptés et suffisamment dotés en personnels de qualité et en moyens, (ii) développer, articuler et valoriser ces dispositifs nationaux par des actions concertées de formation et par l élaboration d instruments, afin que les travaux engagés soient d une qualité technique appropriée et qu ils permettent une comparabilité internationale des résultats obtenus, (iii) et enfin promouvoir de nouvelles modalités de gestion sur le plan local fondées sur la démarche de pilotage par les résultats dans le cadre d une dynamique partenariale engageant l ensemble de la communauté éducative. La mise en œuvre d un tel processus implique à la fois des actions de formation soutenues en direction des différents acteurs, ainsi que la mise à disposition de données pertinentes pour l animation et la supervision d ensemble. C est ainsi qu un groupe de travail composé de Correspondants nationaux de la CONFEMEN s est réuni à Mbodiène (Sénégal 2006) en vue 6

7 d une meilleure appropriation du processus par les pays. Le pilotage et l expertise du projet furent depuis cette rencontre confiés au comité de pilotage mixte OIF/CONFEMEN qui a élaboré pour son fonctionnement un cahier de charge pour ses membre et défini un plan d action annuel allant jusqu à la programmation des activités d appui. Le comité a également engagé la réflexion sur les modalités de candidature, les critères et conditions d éligibilité des pays désireux de mettre en place un dispositif national d évaluation ainsi que sur les formes que pourraient prendre ce mécanisme dont la finalité est d assurer un pilotage efficace des systèmes éducatifs et d améliorer la qualité de l éducation. A cet effet, un consultant est déjà commis à la tâche d élaborer les Termes De Référence de candidature des pays. Le lancement du processus implique un appui-accompagnent technique de proximité et une coordination de qualité des actions d où la nécessité de recruter un responsable du projet qui se chargera d assurer la coordination et le suivi opérationnel aux plans financier, administratif et technique. 3. Objectifs L objectif principal poursuivi par la CONFEMEN et l OIF est d identifier et de recruter un expert international en évaluation chargé de conduire et gérer le processus de conception, de mise en oeuvre et de suivi-évaluation du projet d appui à la mise en place des dispositifs nationaux d évaluation dans les pays membres. En plus de l objectif de contribuer au développement des capacités des équipes pays à mettre en place un dispositif national d évaluation, l expert apportera des aides à la prise de décision pour gérer les choix stratégiques et opérationnels optés par le comité mixte de pilotage et d expertise OIF/CONFEMEN. 4. Résultats attendus Deux résultats essentiels sont attendus : Un expert évaluateur sénior est recruté pour coordonner et suivre le projet de mise en place des dispositifs nationaux d évaluation ; Un projet pertinent et opérationnel est proposé par l expert. 7

8 5. Fonction et responsabilité du Responsable de suivi Placé sous la supervision des co-présidents du comité mixte de pilotage et d expertise et domicilié dans les locaux de la CONFEMEN, le coordonnateur a pour principal mission de concevoir le projet et d assurer sa coordination et son suivi opérationnel. A ce titre, il est globalement chargé des tâches suivantes : Tâches à accomplir au démarrage du projet - Assurer le secrétariat du Comité Restreint ; - Etablir la situation de référence du projet sur la base des états des lieux élaborés par les pays. Le projet étant un document d opérationnalisation du programme de mise en place des dispositifs nationaux d évaluation, il précise les objectifs, les résultats attendus, les stratégies, les coûts, les risques - Assurer la finalisation du projet et définir un plan d action triennal assorti d un plan d opération pour la première année et les soumettre au comité de pilotage pour validation ; - Assurer le lancement de l appel à candidature pays ; - Appuyer le Comité restreint dans le processus de sélection des pays. A cet effet, l expert reçoit les dossiers de candidatures des pays qu il transmet au comité restreint. Le document de synthèse fera un classement des pays sur la base de critères objectifs de sélection et mettra en exergue les forces et les faiblesses de chaque pays pour faciliter la prise de décision par le comité mixte. - Appuyer les pays retenus dans la mise en place d une équipe chargée de piloter la conception, la mise en œuvre et le suivi évaluation du dispositif national d évaluation ; - Aider au recrutement des experts chargés d appuyer les pays retenus dans la mise en œuvre et le suivi-évaluation, de leur projet de mise en place de dispositifs nationaux d évaluation ; - Appuyer les pays retenus à finaliser le projet/pays de mise en place du dispositif national de suivi-évaluation ; - Assurer le suivi administratif de la mise en place du projet/pays ; - Elaborer et tenir à jour un référentiel harmonisé d indicateurs de suivi des dispositifs d évaluation mis en place dans les différents pays; - Assurer la liaison et la communication avec les équipes d experts pays et les départements et services ministériels chargés de conduire les dispositifs d évaluation au niveau de chaque pays ; 8

9 - Concevoir et implanter le système de suivi-évaluation du projet et en assurer la régulation. A cet effet, il convient de développer les outils de suivi-évaluation du projet de façon générale et des dispositifs nationaux d évaluation en particulier. L expert proposera à ce niveau la matrice du cadre logique du projet avec notamment la hiérarchie des objectifs, les indicateurs et les mécanismes de suivi. Tâches liées à la mise en œuvre du projet - Suivre et gérer de manière active le processus de mise en place et de fonctionnement des dispositifs nationaux d évaluation ; - Assurer pour le compte du comité de pilotage, le suivi technique et financier du projet et rendre compte aux membres de cette instance ; - Servir de répondant pour toutes les questions liées à la mise en œuvre des activités du plan d action validé par le comité de pilotage; - Entreprendre des missions de lancement des projets nationaux de mise en place de dispositif d évaluation de concert avec les équipes d expert pays ; - Elaborer les rapports d avancement périodiques (trimestriel et annuel) du projet ; - Evaluer annuellement les performances dans la mise en place des dispositifs nationaux et élaborer le rapport annuel d exécution technique et financière ; - Organiser la revue annuelle conjointe du projet afin de partager le rapport annuel d exécution technique et financière et faire des recommandations d amélioration ; - Assurer le suivi des recommandations issues des différents documents de suivi et d évaluation des ateliers de partage et des revues ; - Alimenter le processus de capitalisation des expériences innovantes identifiées dans le cadre de la mise en œuvre du projet ; - Assurer le suivi et les recommandations des ateliers de partage et des revues. Tâches liées à la Communication - Assurer la diffusion de tous les documents pertinents auprès des pays ; - Organiser en rapport avec les coprésidents du comité des sessions de partage des résultats des évaluations commanditées au cours de la mise en œuvre du projet; - Animer et diffuser régulièrement les conclusions et leçons tirées de l exécution des activités du projet auprès des équipes nationales, des partenaires et des autres acteurs concernés, 9

10 - Préparer les réunions du comité de pilotage en mettant à disposition la documentation requise et en mettant en exergue les sujets de préoccupation à traiter ; - Faciliter et promouvoir le partage des expériences entre pays. 6. Conditions générales de recrutement 6.1. Modalités de sélection L expert sera recruté sur avis du Comité mixte de pilotage OIF/CONFEMEN sur la base d un contrat à durée déterminée de 6 mois renouvelables une fois. Il sera placé sous la supervision de la présidente du comité de pilotage du projet, et sera de ce fait domicilié à la CONFEMEN. L OIF assurera la rémunération du coordonnateur à compter du 1 er janvier 2009, selon ses barèmes en vigueur. Les candidats au poste devront soumettre une offre technique comprenant les éléments ci-après : - Une note de compréhension du mandat assigné par les termes de références ; - Une méthodologie d exécution du mandat ; - Une proposition synthétique du projet assortie d une stratégie de mise en œuvre ; - Un chronogramme détaillé de réalisation du projet dans ses différentes phases ; - Un Curriculum Vitae mettant en évidence les références et expériences similaires au projet. A cet effet, les documents suivant seront mis à disposition : - Le Document de Réflexion et d Orientation sur «l évaluation des systèmes éducatifs : pour un meilleur pilotage par les résultats» ; - Le document sur les axes d orientation pour la mise en place de dispositifs nationaux d évaluation ; - La note de cadrage ; - Le cahier de charge du comité mixte avec le plan d action indicatif ; - Le rapport de la réunion du comité mixte de pilotage et d expertise OIF/CONFEMEN sur la mise en place des dispositifs nationaux d évaluation (5 et 6 mars 2008 à Dakar). - Les TDR de sélection des pays Profil L expert doit démontrer d une expérience reconnue d au moins 10 ans de pratiques évaluatives de systèmes éducatifs. Ainsi, il devra avoir des compétences en matière de : 10

11 - Approche du cadre logique et autres approches en planification stratégique ; - Conception, coordination et gestion de systèmes et dispositifs d évaluation ; - Méthode et approche en évaluation de système éducatif et conduite d opération telles que le PASEC, PISA, - Formation à la mise en place de dispositifs d évaluation ; - Analyse critique de l information et rédaction de rapports. L expert devra également : - Etre titulaire au moins d un diplôme de troisième cycle (DEA, DESS, Master) ou équivalent dans le domaine de l évaluation en éducation ; - Démontrer des qualités de leader et de coaching d équipe assorties d une expérience avérée dans la création d un environnement de travail propice à la production de résultats ; - Avoir des capacités avérées à communiquer et travailler en équipe dans un environnement multiculturel ; - Avoir une expérience en matière de coordination de projet/programme d éducation avec une approche sectorielle ; - Avoir des connaissances et une bonne maîtrise de l outil informatique. - Avoir une expérience au niveau international, de préférence dans les pays en développement, constituera un atout Durée du contrat : 6 mois, renouvelable 1 fois Début prévisionnel de prise de fonction : 1 er janvier Date limite de candidature : 15 décembre 2008 Les dossiers de candidature devront être transmis par voie postale ou par courriel exclusivement à l adresse suivante : confemen@confemen.org. Les documents ressources nécessaires à l élaboration du dossier de candidature et susmentionnés à l article 6.1 sont téléchargeables en ligne sur le site internet de la CONFEMEN rubrique «Actualités, Appel à candidatures». 11

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